5 grandes banques américaines détiennent chacune plus de 40 000 milliards de dollars en produits dérivés
par Audrey Duperron 29 sept. 2014
« Grandes banques et produits dérivés : pourquoi une autre crise financière est inévitable », titre Forbes. Le magazine rappelle que la crise financière de 2007-2008 s’explique largement par les prises de risques inconsidérées sur des produits opaques, notamment sur le marché des produits dérivés. Depuis, les banques ont fait des efforts pour assainir leurs bilans, tandis que des réglementations ont été mises en place pour restaurer la confiance dans les institutions financières. Mais dans le fond, peu de choses ont changé : les banques sont toujours aussi opaques, et surtout, elles continuent d’investir dans les produits dérivés de la même manière qu’elles le faisaient avant la crise de 2008, mais sur une échelle encore plus importante. Les nouvelles réglementations sont trop complexes pour être réellement appliquées, et les banquiers rusés, aidés de leurs services juridiques, se font un devoir de trouver les failles qui permettent de les contourner tout en restant dans la légalité. Selon Forbes, le montant notionnel négocié en produits dérivés dépasse désormais plus de 700.000 milliards de dollars, soit plus de 10 fois la taille de l’économie du monde entier. D’après le New York Times, les banques américaines en détiendraient 280.000 milliards de dollars. Et ce marché continue de se développer… 5 banques américaines enregistrent chacune plus de 40.000 milliards de dollars de positions sur des produits dérivés. Ainsi, ensemble, elles totalisent plus de 200.000 milliards de dollars. En comparaison, le total de la dette américaine s'élève actuellement à 17 500 milliards de dollars. Des montagnes de créances risquées qui pourraient s’écrouler comme des châteaux de cartes à la moindre alerte sur les marchés… Voici un aperçu des banques concernées et leurs positions ouvertes:
JP Morgan Chase Total de l'actif: environ 2.477 milliards de dollars Exposition totale aux produits dérivés: 67.951 milliards de dollars
Citibank Total de l'actif: 1.895 milliards de dollars Exposition totale aux produits dérivés: 59.944 milliards de dollars
Goldman Sachs Total de l'actif: 916 milliards de dollars Exposition totale aux produits dérivés : 54.565 milliards de dollars
Bank Of America Total de l'actif: 2.153 milliards de dollars Exposition totale aux produits dérivés: 54.458 milliards de dollars
Morgan Stanley Total de l'actif: 831 milliards de dollars Exposition totale aux produits dérivés: 44.946 milliards de dollars.
« Vous allez couiner… mais alors couiner, comme vous n’avez pas idée… ! »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Ce n’est pas faute de dire, re-dire et répéter qu’il n’y a plus aucune façon facile de sortir de la crise depuis plusieurs années. Il n’y a aucune bonne solution. Aucune. On peut relancer l’économie en imprimant des billets qui finiront tôt ou tard par ne plus rien valoir du tout. C’est l’hyperinflation (à ne pas confondre avec le concept d’hyperfellation de Rachida Dati, experte elle aussi… en nouveaux concepts).
On peut aussi réduire les dépenses, réduire les aides sociales, réduire la dette, réduire le nombre de fonctionnaires, etc. Mais il ne faut pas se leurrer. Dans un pays où la dépense publique représente plus de 57 % de PIB, réduire ce qui permet de faire presque 60 % de notre PIB c’est évidemment courir vers une catastrophe économique. Un tel programme d’austérité ne peut que déboucher sur la contraction de notre économie comme l’a parfaitement montré et démontré l’exemple grec ou, dans une moindre mesure, l’exemple portugais ou italien. C’est la déflation.
Dans tous les cas, vos économies finiront par s’envoler, vos boulots par être perdus, vos pensions de retraite ne seront plus versées (déflation/insolvabilité) ou ne vaudront plus rien en pouvoir d’achat (hyperinflation). Vous serez ruinés, nous serons tous ruinés (sauf ceux qui détiennent un peu d’or, d’argent métal, un plan épargne boîtes de conserve et évidemment leur lopin de terre avec potager et poulailler qui, eux, s’en sortiront un peu moins mal).
Alors avec un tel discours, évidemment, on me prend pour un « fou », un « imbécile », « un malade mental » ou encore, insulte suprême, « un pessimiste ».
Lorsqu’un homme politique me donne un peu raison dans ses propos, vous comprendrez donc qu’en tant que grand incompris évidemment il m’est difficile de ne pas y faire allusion. Mais là, aujourd’hui, cette fois, oui mes braves amis contrariens de la première heure, nous tenons presque notre revanche. Nous pourrons avec une telle phrase parader dans nos dîners de famille la tête haute… ce qui fait longtemps, trop longtemps. N’y voyez aucune joie malsaine. Honnêtement, et vu ce qui va nous débouler dessus, j’aurais vraiment avoir tort. Mais nous n’avons pas tort. Nous avons raison. Nous sommes juste un peu en avance sur la compréhension des conséquences à terme que nous aurons à affronter par rapport à une masse de nos concitoyens qui préfèrent le « mensonge qui rassure » à la « vérité qui dérange ». C’est vrai que c’est plus apaisant.
Alors le gros lot d’aujourd’hui nous est offert (d’ailleurs pour une fois qu’il nous offre un truc celui-là, profitons-en parce qu’il va vite nous prendre) par le président de la République lui-même ! Oui ! En personne. Et il commence enfin à nous expliquer que nous allons tous couiner. Bon, il le dit de façon un peu plus élégante certes, mais en langage cru de contrarien de la France d’en bas, cela se traduit parfaitement bien avec le terme « couiner ». Ça va couiner dans les chaumières et pas qu’un peu mes braves, mes courageux lecteurs.
Hollande : il n’y a « pas de plan d’économie qui soit indolore »
Le grand mamamouchi de la quéquette remettait donc aujourd’hui les grands prix de « l’audace créatrice » devant une foule de grands mamamouchis du grand patronat (qui ne crée aucun emploi mais c’est une autre histoire). Et il a eu cette phrase remarquable que nous devons remarquer :
« Si vous n’entendez pas crier c’est que nous ne faisons pas d’économie. Donc vous voyez, vous entendez. »
Comprenez : les hurlements que vous entendez sont des couinements destinés à augmenter en intensité dans les mois qui viennent. Il a aussi rajouté :
« Il n’y a pas de plan d’économie qui soit indolore. »
Comprenez par-là que ça va vraiment couiner très très fort, parce que si Valls, notre Manu national, est allé dire bonjour à la grosse Bertha d’outre-Rhin, il a tout de même reçu une belle fessée de la part d’Angie qui s’est dite « impressionnée par son programme de réforme et qu’elle lui souhaitait… bonne chance ». En d’autres termes, c’est le coup de pied de l’âne.
Les Zallemands ne veulent rien entendre…
« Ya… grosse réforme d’abord après on ferra… » Pas sympa avec Manu la Bertha. Bon, cela dit, on a tué les Grecs et les Espagnols à petit feu depuis 2007 alors si c’est pour ouvrir les vannes maintenant de la création monétaire, on aurait vraiment dû le faire il y a… 7 ans. Conclusion : les Zallemands seront inflexibles et vraisemblablement jusqu’au bout.
«Il n’y a pas de plan d’économie qui soit indolore. Sinon ça aurait déjà été fait. Les économies forcément sont douloureuses, il n’y a aucun secteur qui peut accepter de voir un certain nombre de ses habitudes, parfois de ses financements être remis en cause… » Oh que oui que ça va couiner. J’en reviens à Mamamouchi 1er là.
Mais, il se veut « optimiste ». Important d’afficher de l’optimisme, même si je considère que, par les temps qui courent, les « zoptimistes béats » sont au mieux des naïfs et au pire des crétins jouant à l’autruche pour ne pas avoir à affronter la dure réalité des faits. Mais bon, en ce bas monde et jusqu’à notre effondrement total qui se rapproche à grand pas au fur et à mesure où notre dette augmente (plus de 2 000 milliards d’euros au dernier pointage).
Bref, le roi Zizi (d’ailleurs j’espère que Julie va bien) a « insisté sur la nécessité de faire ces économies de manière juste, de manière efficace, de manière innovante ».
Hahahahahahaha petite traduction contrarienne, des couinements à venir suite à cette simple phrase :
Économies justes = classes moyennes laminées et prestations familiales dans l’arrière-train.
Manière efficace = on baisse le montant des chèques versés et on augmente celui des prélèvements. Simple. Efficace.
De manière innovante = on va vous créer tout plein de taxes nouvelles pour vous faire les poches mais elles seront justes, comme par exemple pour vous protéger des accidents de la route ou encore pour sauvegarder l’environnement. Important l’environnement. Pas le droit d’être contre. Pareil avec les accidents de la route. Difficile de dire « ben heu, moi, je suis pour qu’on soit plus nombreux à mourir en bagnole… » (Essayez pour voir en dîner en famille, je pense que vous allez être bien reçus.)
Voilà mes amis, nous entrons, après deux ans et demi de fausse croyance, dans une fausse reprise dans le pire de la crise qui est bien toujours devant nous et pas derrière…
Ça va donc couiner, et très fort, et en France quand ça couine trop fort, ça se termine mal… en général !
Préparez-vous et restez à l’écoute. À demain… si vous le voulez bien !! Charles SANNAT
L'insolvabilité d'un pays ne tient pas du Q.I. de ses habitants mais de ses Dirigeants qui se disent de les représenter mais qui n'en font qu'à leur tête.
'La 'combinaison toxique' d'une dette record et du ralentissement de la croissance est en train de mettre l'économie mondiale sur la voie d'une nouvelle crise'
par Audrey Duperron 29 sept. 2014
La «combinaison toxique» d'un montant record de dette et du ralentissement de la croissance signifie que l'économie mondiale se dirige vers une autre crise, affirme le 16ème Genova report, un rapport annuel écrit par un panel d'économistes pour le compte du Centre international d'études monétaires et bancaires, et qui est publié ce lundi. Les auteurs, parmi lesquels on trouve trois ex-patrons de banque centrale, expliquent que les taux d'intérêt devront rester faibles à l'échelle mondiale pendant « très très longtemps », pour permettre aux différents agents économiques de continuer à payer leurs intérêts et éviter une nouvelle crise grave. L'avertissement intervient alors qu’aux Etats-Unis, la patronne de la Fed, Janet Yellen, vient d’annoncer une remontée progressive des taux d’intérêt. Le rapport indique que l’endettement global, privé et public confondu, est passé de 160% du PIB en 2001 à près de 200% en 2009 et de 215% en 2013 : Contrairement à ce que l'on croit généralement, le monde n’a toujours pas commencé à se désendetter et le ratio de la dette mondiale comparée au PIB continue d’augmenter, brisant en permanence de nouveaux records ». Luigi Buttiglione, l'un des co-auteurs, a exprimé ses inquiétudes au Financial Times : Dans ma carrière, j'ai vu tant de soi-disant «miracles économiques» -l’Italie dans les années 1960, le Japon, les tigres asiatiques, l'Irlande, l'Espagne et maintenant peut-être la Chine - et tous se sont achevés sur une montagne de dettes. » Selon Buttiglione, le schéma est toujours le même : la croissance de ces économies les incite à emprunter, ce qui maintient leur croissance alors que les facteurs sous-jacents qui en avaient été à l’origine au départ ont épuisé leurs effets. Le rapport souligne que certains pays, qui se caractérisent par un endettement élevé et une croissance molle, sont particulièrement vulnérables : l’Europe du Sud, la zone euro et la Chine. Dans un e-mail à la rédaction Steen Jakobsen, économiste en chef de Saxo Bank, cite un proverbe yiddish : «L'intérêt sur la dette grossit sans nécessiter de pluie ». Il confirme les grandes lignes du rapport de Genève : Ce proverbe indique l’essentiel de ce qui se passe dans les cercles politiques aujourd'hui. Nous assistons maintenant à l’épisode IV du « Faisons perdurer et faisons semblant » : Promesses d'amélioration, alors que les dettes continuent de s’accumuler. (…) Faire semblant d’avoir un plan crédible, mais ne jamais tenter de régler les problèmes structurels et continuer d’acheter encore plus de temps. (…) Il est évident qu’acheter plus de temps (faire perdurer) est toujours la priorité numéro un, suivie de la projection (faire semblant) qu’une croissance très attendue atteindra une trajectoire encore plus élevée pour faire rentrer le budget dans les contraintes supposées. Ou, comme dans le cas de la France, l’abandon récent du respect des objectifs budgétaires pour les deux prochaines années est déjà un fait accompli. (…)
Dans le secteur privé, un tel comportement pourrait vous coûter votre emploi, mais dans le modèle économique de l'année 2014 qui évoque davantage l'Union soviétique qu'une économie de marché – c’est devenu la chose la plus normale du monde. Mais beaucoup pourront protester que cela serait encore pire si nous n’en avions pas tant fait pour « sauver le système », non ? Eh bien, peut-être, sauf que ces pays où la foi en un capitalisme d’Etat est la plus forte : la Russie, la Chine et la France, sont tous en fin de course. (…) La productivité est négative, on constate des fuites de capitaux, et le système construit pour protéger une élite est en échec. » Jakobsen, qui rentre d’Asie, affirme que ce qu’il a constaté à Singapour témoigne parfaitement de ce phénomène : Pour moi, Singapour incarnait l'exemple de business model le plus rationnel de la planète. Son fondateur Lee Kuan Yew a été l'un des plus grands hommes d'État de l'histoire. Mais aujourd’hui, la productivité s’effondre à Singapour. Comme nous, ils sont en train de devenir le Monaco du monde, une économie basée sur la consommation, et non sur la productivité et la croissance. Les économies développées sont en train de vieillir sur le plan démographique, mais nous ne sommes pas encore assez raisonnables pour comprendre que notre modèle actuel est une chaîne de Ponzi et que nous nous dirigeons vers son inévitable moment de Minsky (lorsque l'argent généré par des actifs ne suffit plus pour assurer le service de la dette contractée pour payer ces actifs). Aucun politicien ou banquier central ne dit la vérité telle qu’elle ressort des simples chiffres et tous espèrent que tout va bien se passer. Mais l'espoir n’est pas une bonne politique, et il ne faut le réserver qu’à l'église, pas à l'économie réelle. »
Ebola En Amérique: Le Cas confirmé à Dallas, au Texas pourrait tout changer
Par Michael Snyder, le 30 Septembre 2014
Le jour que beaucoup d'entre nous espéraient ne serait jamais arriver ici. Ebola est venu en Amérique. Voyage en avion entre les États-Unis et les pays du Libéria, de la Guinée et de la Sierra Leone aurait été totalement fermé sauf pour le personnel absolument essentiels, mais il n'était pas. Et maintenant, notre pays peut finir par payer un prix en conséquence. Mardi, le CDC a annoncé qu'il ya un cas confirmé du virus Ebola à Dallas, Texas. Nous savons que cette personne est un homme et qu'il a voyagé par avion en provenance du Libéria au Texas le 19 Septembre. A cette époque, il ne montrait aucun symptôme. Il est rapporté qu'il a commencé à développer des symptômes le 24 Septembre et qu'il avait sollicité un traitement deux jours plus tard. Incroyablement, il a été détourné et envoyé à la maison. Puis le 28 Septembre, il est allé à l'hôpital et cette fois il a été admis pour traitement. Cela signifie qu'il pourrait potentiellement avoir propagé le virus Ebola aux autres pendant au moins quatre jours complets avant de finalement se faire traiter à l'hôpital. Maintenant, il est en soins intensifs à l'hôpital presbytérien de santé Texas à Dallas. Le CDC affirme qu '«il ne fait aucun doute que nous nous arrêterons ici" et promet que "ce ne sera pas largement répandu dans ce pays". La CDC mieux avoir raison sur les deux points.
À ce stade, la CDC est d'admettre que nous ne savons pas si d'autres ont été infectées par cette personne. La CDC dit aussi qu'il est de traquer tout le monde qu'il a été en contact avec. Mais pendant quatre jours dans une grande ville américaine, vous pouvez être «en contact» avec un tas de gens. Et que dire de tous les gens que ces gens étaient en contact avec ?
Si j'étais en charge de cette crise, je dois admettre que nous ne savons pas encore l'étendue du problème, mais que nous avons affaire avec elle le meilleur que nous pouvons.
Au lieu de cela, le directeur des US Centers for Disease Control and Prevention prend une approche totalement différente. Dr Thomas Frieden insiste que nous n'avons absolument rien à craindre ...
"Je n'ai aucun doute que nous allons contrôler ce cas d'Ebola, de sorte qu'il ne se propage pas largement dans ce pays. Il est certainement possible que quelqu'un qui a été en contact avec ce patient pourrait développer Ebola. Mais il n'y a aucun doute dans mon esprit que nous allons arrêter ici ". Frieden mieux être raison sur ce point.
D'autres «experts» sont étant encore plus dogmatiques ...
"Il n'y a pas lieu de s'inquiéter», dit Peter Hotez, doyen de l'Ecole Nationale de Médecine Tropicale et professeur au Baylor College of Medicine à Houston. "Le virus Ebola n'est pas facilement transmissible de personne à personne, et nous avons une excellente infrastructure en place à la fois pour contenir le virus et oligo-contacts. N'y aura pas une épidémie d'Ebola aux Etats-Unis." Je n'ai aucune idée comment ils peuvent dire ces choses lorsque l'épidémie sur l'Afrique est complètement et totalement hors de contrôle. Malgré les précautions extrêmes, des centaines de travailleurs de la santé ont eu le virus , et les fonctionnaires jusqu'ici de santé mondiaux n'ont même pas été en mesure de ralentir la croissance exponentielle de la pandémie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest.
Et nos responsables de la santé ne devraient pas être dogmatique sur la façon dont ce virus se propage soit.
Dans un article précédent , j'ai parlé d'une étude qui a été reconduit en 2012 qui a démontré que le virus Ebola peut se transmettre par l'air entre les porcs et les singes qui n'a pas eu de contact physique avec l'autre ...
Lorsque les nouvelles éclaté que le virus Ebola avait refait surface en Ouganda, les chercheurs au Canada à faire les manchettes de leur propre avec la recherche indiquant le virus mortel peut se propager entre les espèces, dans l'air.
L'équipe, composée de chercheurs du Centre national des maladies animales exotiques, l'Université du Manitoba, et l'Agence de santé publique du Canada, a observé la transmission du virus Ebola chez les porcs à des singes. Ils ont d'abord inoculé un certain nombre de porcelets avec la souche Zaïre du virus Ebola. Ebola-Zaïre est la souche la plus mortelle, avec des taux de mortalité allant jusqu'à 90 pour cent. Les porcelets ont été ensuite placés dans une chambre à quatre macaques cynomolgus, une espèce de singe couramment utilisés dans les laboratoires. Les animaux ont été séparés par des cages en fil métallique pour éviter un contact direct entre les espèces.
Dans quelques jours, les porcelets inoculés présentaient des signes cliniques de l'infection révélatrices d'une infection à virus Ebola. Chez le porc, le virus Ebola provoque généralement une maladie respiratoire et augmentation de la température. Neuf jours après l'infection, tous les porcelets semblent avoir récupéré de la maladie.
Dans les huit jours de l'exposition, deux des quatre singes ont montré des signes d'infection à virus Ebola. Quatre jours plus tard, les deux singes restants étaient malades aussi. Il est possible que les deux premiers des singes infectés par les deux autres, mais la transmission entre les primates non humains a jamais été observés dans un environnement de laboratoire. Il y a beaucoup que nous ne comprenons pas cette maladie.
Je peux comprendre la nécessité de maintenir le calme publique, mais pourquoi ne pas ces fonctionnaires nous dire la vérité ?
En même temps qu'ils nous disent qu'il n'y a aucune chance qu'il y aura une épidémie d'Ebola aux États-Unis, ils envoient également des lignes directrices pour les salons funéraires sur la façon de traiter avec les morts victimes d'Ebola ...
CBS46 Nouvelles a confirmé les Centers for Disease Control a publié des lignes directrices à US salons funéraires sur la façon de traiter les restes de patients Ebola. Si l'épidémie du virus potentiellement mortel est en Afrique de l'Ouest, pourquoi les maisons funéraires en Amérique étant directives données ?
La liste de trois pages de recommandations comprennent des instructions travailleurs funéraires à porter un équipement de protection lorsque vous utilisez les restes depuis Ebola peut se transmettre dans les soins post-mortem. Il charge également d'éviter les autopsies et l'embaumement. Pourquoi font-ils cela si il n'y a "pas de chance" que la maladie se propage largement ?
Espérons qu'ils isolés ce patient Ebola à Dallas dans le temps.
Espérons qu'il n'a pas infecter quelqu'un d'autre.
Mais nous devons être honnêtes à propos de la situation que nous sommes potentiellement confrontés. Jusqu'à présent, il ya eu plus de 6000 cas d'Ebola en Afrique et plus de 3000 personnes ont trouvé la mort. Malheureusement, même les fonctionnaires de l'OMS reconnaissent que ces chiffres officiels "grande sous-estimation" de la portée de cette épidémie. Le nombre de cas officiels a doublé environ toutes les trois semaines, et le CDC affirme que, dans un «scénario du pire», nous pourrions envisager à 1,4 millions de cas d'ici la fin de Janvier 2015.
En ce moment, toutes les installations de traitement au Libéria et en Sierra Leone sont complètement plein et plus de 80 pour cent des patients Ebola ont été refoulés et renvoyés chez eux sans être traités. C'est un véritable cauchemar, et maintenant il est venu en Amérique.
Et que le virus continue de se propager, il est inévitable que plusieurs porteurs de la maladie auront sur les avions dirigés pour l'Amérique.
Malheureusement pour nous, selon un récent Défense Un article du dépistage fait dans les aéroports ne fait que très peu pour arrêter la propagation du virus Ebola ...
Les mauvaises nouvelles sont que des projections thermiques de la population de vols internationaux dans les aéroports ne sont pas susceptibles de produire beaucoup par le biais de l'amélioration de la sécurité.
Voici pourquoi: la fièvre peut être un signe d'un grand nombre de différentes maladies, pas seulement Ebola. Et balayage thermique s'est avéré être une mauvaise méthode de capture des transporteurs de la grippe aviaire en 2009 ainsi. Donc, présentant une température élevée à un point de contrôle de l'aéroport n'indique pas assez clairement que la personne fiévreuse est porteur du virus mortel. Plus important encore, la période d'incubation du virus Ebola est de deux jours. Autant que 20 jours peuvent s'écouler avant que les symptômes apparaissent. Cela signifie qu'une personne peut être porteuse du virus pendant deux semaines ou plus et sans même le savoir, et encore moins de les voir apparaître par balayage thermique. Alors à quoi servent ces scanners ? Quand j'ai commencé à écrire sur le virus Ebola, quelques personnes m'ont accusé de "répandre la peur".
Eh bien, maintenant que le virus Ebola est arrivé aux États-Unis, peut-être qu'ils vont prendre un second regard sur certains de mes articles récents ...
- " L'enfer pur Au Coeur De La Ebola en cas de pandémie en Afrique pourrait bientôt à l'Amérique "
- " Les modèles informatiques nous disent que cette pandémie à virus Ebola pourrait bientôt tuer des millions "
- " 16 Apocalyptic Citations de responsables de la santé mondiale À propos de cette épidémie d'Ebola horrible "
- " Ebola chez les travailleurs de la santé: plus de 240 malades, plus de 120 morts "
- " Il devient clair - nous ne sommes pas préparés à une pandémie à virus Ebola "
Prions pour que ce n'est qu'un cas isolé et qu'il n'y aura pas une épidémie majeure dans ce pays.
Parce que si les cas ne commencent à apparaître à travers le pays, la peur se propage comme une traînée de poudre et on pourrait être en face de la plus grande crise de santé que chacun de nous ont jamais vu.
L'une des personnes qui ont survécu avec succès cette maladie est le Dr Kent Brantly. Je pense que la citation suivante de lui fait vraiment un excellent travail de synthèse de ce que nous sommes potentiellement face à ...
"Beaucoup ont utilisé l'analogie d'un feu brûlant de contrôle pour décrire cette épidémie d'Ebola sans précédent", a déclaré Brantly. "En effet, il est un feu-c'est un feu directement à partir de la fosse de l'enfer. Nous ne pouvons pas nous tromper en pensant que la grande douve de l'océan Atlantique nous protéger contre les flammes de ce feu. Au lieu de cela, nous devons mobiliser les ressources. .. de garder des nations entières d'être réduit en cendres ". Un virus comme cela pourrait changer tout si elle commence alors à circuler largement.
Comme je l'ai dit tant de fois auparavant, nous espérons pour le mieux, mais nous préparons aussi pour le pire.
«Reprenez nos tanks»: la police ne peut pas se débarrasser des engins militaires à Ferguson suite
Octobre 01, 2014 02:26
Les services de police qui ont été fustigée pour la militarisation accrue à travers le programme en surplus d'équipement du ministère de la Défense ont maintenant un nouveau dilemme. Certains d'entre eux ont découvert qu'ils ne peuvent pas donner leur matériel de guerre inutilisés dans le Pentagone.
Programme des biens excès du DoD - également connu sous le nom de programme 1033 - fournit les services de police à travers le pays avec des armes excédentaires, des véhicules et des fournitures de bureau, sans frais pour la juridiction. Mais ce qui a été critiqué comme la militarisation croissante de la police est devenu un sujet chaud pendant l'été après des émeutes ont éclaté dans Ferguson, Missouri et de l'application de la loi ont répondu à ce que beaucoup ont vu la force excessive et des armes inutiles.
Le programme 1033 a fait l'objet de nombreux rapports et études, ainsi que des enquêtes parlementaires. Plusieurs villes, dont Davis, en Californie, ont dit à leurs services de police pour se débarrasser des stocks militaires, y compris véhicules qui résistent aux mines (MRAP). Toutefois, certaines juridictions ont constaté que de se débarrasser de leur surplus militaire est plus facile à dire qu'à faire.
Un officier avec le ministère de la Chelan County Sheriff dans le centre de Washington, dit qu'il aimerait que quelqu'un prenne trois chars amphibies de ses mains.
«Nous voulons vraiment vous débarrasser de ceux-ci," a déclaré John Undersheriff Wisemore Mother Jones . «Nous avons essayé d'obtenir l'armée de les reprendre depuis 2004"
Le programme a commencé en 1991, lorsque la guerre contre la drogue était à son comble. Fournitures militaires excédentaires ont été transférés aux organismes d'application de la loi locaux, avec une préférence pour ceux qui utiliseraient l'équipement pour les activités de lutte contre la drogue et lutte contre le terrorisme, le Washington Post a rapporté.
Au cours des huit dernières années, le programme de subvention du Pentagone a prêté application de la loi locale quelque 200.000 chargeurs de munitions, 94 000 mitrailleuses, et des milliers de véhicules blindés, des avions, des détecteurs de mines terrestres, silencieux, lance-grenades - tous à la demande des organismes locaux eux-mêmes, Mother Jones rapporté, citant un porte-parole pour le sénateur Claire McCaskill (D-Mo.), qui a mené une enquête du Sénat dans le programme.
Même avant l'arrivée 1033 en plus l'attention des médias au cours de l'été, certaines forces se rendaient compte qu'ils n'avaient pas besoin - ou veulent - les armes de guerre, ils avaient acquis auprès du Pentagone. Dans le cas du comté de Chelan, ils avaient demandé un véhicule blindé qui puissent résister à des balles, et a reçu trois tanks à la place.
Les agences comme Wisemore de constatent qu'ils ne peuvent pas retourner ou échanger grosses pièces d'équipement tactique sans l'approbation du département de la Défense - et depuis le Pentagone possède techniquement toujours que l'équipement, ils ne peuvent pas vendre, selon Mother Jones.
Pendant ce temps, près de 200 étatiques et locaux des services de police aux États-Unis ont été suspendues pour perdre du matériel prêté leur titre du programme 1033.
Derek Citty, directeur de l'Aledo Independent School District au Texas, a été en mesure de retourner les fusils école de police ont reçu du programme.
"Lorsque nous avons reçu ces armes - en particulier les M16 - notre quartier, à bon escient, je crois, pris la décision qu'ils n'entraient pas dans le système philosophique de ce que nous avons essayé de faire pour protéger nos enfants et nos employés», a déclaré Citty Here & «Maintenant, Robin Jeune s
La plupart du temps, le DoD ne veut pas l'ensemble du matériel.
«C'est une méthode de stockage à faible coût pour eux», Robb Davis, le maire pro tempore de Davis, en Californie., dit Mother Jones. «Ils le dumping de ces véhicules sur nous et dire:« Hé, ce sont encore les nôtres, mais vous devez les conserver pour nous ».
Mais le programme ne fait pas que remplir les arsenaux de services de police, selon Kathryn Blake, secrétaire du bureau de l'Iowa prévôt des incendies.
"Tout le monde ne voit que les armes", a dit Blake KCRG . "Ce qu'ils ne voyant pas dire, dans l'état de l'Iowa, nous avons un couple de bateaux pour des urgences de l'eau. Nous avons VTT, matériel de bureau. Ils ont reçu des ordinateurs, des classeurs, et j'en passe ".
Les forces de police qui souhaitent rendre leurs équipements doivent passer par leurs bureaux de l'Etat, comme Blake dans l'Iowa, et ne peuvent pas communiquer directement avec le Pentagone. Cependant, les bureaux de l'État ne peuvent pas aider parce que le ministère de la Défense avait fermé la partie de son site web qui permet aux services de police pour demander des rendements jusqu'à Octobre 1 Blake dit qu'elle est accablé par la responsabilité, qui n'est qu'une partie de sa description de tâches.
«Pour un droit additionnel, cela m'a causé beaucoup de cheveux gris», dit-elle. «L'année dernière cette fois, je vais juste essayer de garder mon programme de déplacement. Tout d'un coup, je défends ce programme ".
Ursula Kroener - un porte-parole de la police pour le district scolaire département de police de San Diego qui essaie de renvoyer un MRAP de 18 tonnes - a dit que le Pentagone a arrêté la distribution en partie parce que de nombreux organismes d'application de la loi sont de réclamer de retourner leur équipement, Mother Jones a rapporté.
A «Aucune Social Media List 'Pour extrémistes et des terroristes potentiels ?
Par Michael Snyder, le 30 Septembre 2014
Vous avez entendu parler de la "No Fly List", non ? Eh bien, maintenant que les conservateurs sont en promettant que s'ils remportent les prochaines élections au Royaume-Uni, ils établiront une liste des «extrémistes» qui devront avoir leurs messages de médias sociaux », approuvés à l'avance par la police" avant de les publier. Il est également prévu d'interdire les «extrémistes» de la radiodiffusion et de parler lors d'événements publics. L'objectif déclaré de ces propositions est de sévir contre le terrorisme, mais dans le processus, les libertés civiles du peuple britannique vont être jeté dans les toilettes. Et le peuple américain ont besoin de prêter attention à ce qui se passe au Royaume-Uni, parce que tout état policier mesures sont mises en œuvre là-bas aussi généralement faire mis en œuvre ici par la suite. Pour ceux qui croient que nous devons faire "tout ce qu'il faut" pour lutter contre le terrorisme, il est une question très importante que vous devez vous poser. Que faire si le gouvernement décide que vous êtes un «extrémiste» en raison de ce que vous croyez ? Que ferez-vous alors ?
Quand j'ai vu un reportage dans le Telegraph aujourd'hui intitulé « Les extrémistes d'avoir Facebook et Twitter examinées par la police anti-terroriste ", je pouvais à peine le croire.
Les Britanniques ne veulent en fait pas "de liste de médias sociaux» qui sera essentiellement d'interdire les gens d'utiliser Facebook et Twitter, même si elles n'ont pas été effectivement condamné de faire quelque chose de mal ?
Ce qui suit est un bref extrait de cet article ...
Les extrémistes devront obtenir messages sur Facebook et Twitter approuvées à l'avance par la police en vertu des règles radicales envisagées par les conservateurs.
Ils seront également interdits de parler lors d'événements publics si elles représentent une menace pour «le fonctionnement de la démocratie», en vertu des nouvelles commandes extrémiste de turbulences.
Theresa May, la ministre de l'Intérieur, exposera les plans pour permettre aux juges d' interdire les gens de la radiodiffusion ou de protester à certains endroits, ainsi que l'association avec des personnes spécifiques .
Les plans - à apporter si les conservateurs gagnent l'élection en mai - font partie d'un vaste ensemble de règles pour renforcer la lutte contre le terrorisme de la stratégie du gouvernement. Cela ressemble à un cauchemar orwellien pour le peuple britannique.
Et qui est un «extrémiste» de toute façon ?
On nous dit que ceux qui appartiennent à ISIS sont des extrémistes, et personne ne dirions que.
Mais l'article du Telegraph fait sonner comme un groupe "qui se propage ou encourage la haine" serait considéré comme extrémiste. Et dans ces nouvelles propositions, même appartenant à un tel groupe pourrait vous jeter en prison jusqu'à 10 ans ...
Le ministre de l'Intérieur présentera également "des ordonnances interdisant" pour les groupes extrémistes, ce qui est une infraction pénale d'être membre ou de recueillir des fonds pour un groupe qui se propage ou encourage la haine. La peine maximale peut aller jusqu'à 10 ans de prison. Alors, que signifie tout cela signifie exactement ?
Est-ce que les groupes anti-avortement soient considérés comme «extrémiste» ?
Voulez-groupes faisant la promotion des valeurs traditionnelles soient considérés comme «extrémiste»?
Est-ce que les groupes qui protestent contre les abus du gouvernement britannique soient considérés comme «extrémiste» ?
Est-ce que les églises chrétiennes finalement être considérés comme «extrémiste» parce qu'ils ne sont pas d'accord avec le programme libéral radical du gouvernement central ?
Essentiellement, ce que les conservateurs proposent de faire, c'est de réglementer étroitement tous les discours. Et il n'y a pas moyen de le faire sans mettre l'ensemble du Royaume-Uni dans un enfer totalitaire.
Pendant ce temps, les États-Unis continuent de marcher sur une route similaire.
Par exemple, nous vivons maintenant dans un environnement où un enfant de 16 ans peut être suspendu de l'école et arrêté par la police pour avoir écrit une histoire "sur l'utilisation d'une arme pour tuer un dinosaure" ...
Dans un autre cas de responsables de l'école a une politique de ridicules politiques de tolérance zéro, un étudiant de Caroline du Sud a été suspendu et arrêté par la police après avoir écrit récemment une histoire d'imagination quant à l'aide d'un fusil pour tirer un dinosaure.
Le délinquant, 16 ans, Alex Pierre de Summerville lycée dans une banlieue de Charleston était en cours de terminer une mission où on a demandé aux élèves d'écrire quelque chose de bref sur eux-mêmes, tout comme les mises à jour de statut Facebook.
Pierre a dit aux journalistes qu'il se trouvait dans l'eau chaude avec des enseignants d'être plus imaginatif et mentionner le mot «arme». C'est de la folie totale, et elle s'aggrave de jour en jour.
Et ce n'est pas seulement les enfants qui doivent faire face à ce genre de chose. Un frère de police grille Big contrôle de l'Etat est construit lentement tout autour de nous. Et les autorités se préparent pour le jour où ils auront à utiliser la force létale pour maintenir la population en ligne. Il suffit de consulter l'extrait suivant d'un récent rapport Infowars ...
Un document publié par l'armée américaine détails préparatifs concernant les "émeutes de la pleine échelle" aux États-Unis au cours de laquelle les troupes peuvent être contraints à se livrer à une "réponse mortelle" pour faire face à des foules de manifestants indisciplinés.
L'apparition du document au milieu de l'agitation croissante dans Ferguson, Missouri, avec la Garde nationale maintenant être appelé à faire face à la maladie, est une coïncidence de mauvais augure.
Le document de 132 pages, intitulé armée américaine Techniques Publication de 3 à 39,33: troubles civils ( PDF ), a été écrit en Avril 2014 et a récemment obtenu par Intelligence publique .
Le document précise que les techniques qui y sont détaillées doivent être appliquées tant à l'extérieur et l'intérieur de la "zone continentale des États-Unis (CONUS)" en cas de "foules indisciplinées et violentes" où il est "nécessaire pour réprimer les émeutes et rétablir l'ordre public. "
Le manuel de formation décrit les principaux scénarios en vertu de laquelle, «l'agitation civile peut aller de simples protestations non-violentes, qui traitent de questions spécifiques, à des événements qui se transforment en émeutes à grande échelle." Alors précisément qui est le gouvernement si préoccupé de toute façon ?
Si ISIS et d'autres groupes terroristes islamiques sont le problème, pourquoi le train de lutter contre les Américains ?
Malheureusement, la vérité est que beaucoup de l'accent mis dans la «guerre contre le terrorisme» a été tourné vers l'intérieur lors de l'administration Obama. De nombreux fonctionnaires du gouvernement fédéral insistent maintenant que "la terreur de chez nous" est la plus grande menace que nous devons faire face.
Et vous pouvez être très surpris d'apprendre qui le gouvernement considère «terroristes potentiels» de l'être. Ce qui suit est un extrait étendu de mon précédent article intitulé « 72 types d'Américains qui sont considérés comme «terroristes potentiels» Dans Documents officiels du gouvernement »...
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Voici une liste de 72 types d'Américains qui sont considérés comme des «extrémistes» et des «terroristes potentiels» dans les documents officiels du gouvernement américain. Pour voir le document original pour chaque point, il suffit de cliquer sur le lien. Comme vous pouvez le voir, cette liste couvre la plupart des pays ...
1. Ceux qui parlent de "libertés individuelles"
2. Ceux qui prônent pour les droits des Etats
3. Ceux qui veulent "faire du monde un meilleur endroit"
4. "Les colons qui cherchaient à se libérer de la domination britannique"
5. Ceux qui sont intéressés à "vaincre les communistes"
6. Ceux qui croient " que les intérêts de sa propre nation sont séparés des intérêts des autres nations ou à l'intérêt commun de toutes les nations »
7. Toute personne qui détient une « idéologie politique qui considère l'état d'être inutile, néfaste, ou indésirable »
8. Toute personne qui possède une " intolérance envers les autres religions »
9. ceux qui « prennent des mesures pour lutter contre l'exploitation de l'environnement et / ou des animaux "
10. "anti-gay"
11. "anti-immigrant"
12. "anti-musulman"
13. «Le mouvement patriote"
14. "L'opposition à l'égalité des droits pour les gays et les lesbiennes"
17. Ceux qui croient que le Mexique, le Canada et les Etats-Unis "sont secrètement l'intention de fusionner en une seule entité l'Union européenne comme qui sera connu sous le nom« Union nord-américaine "
18. membres de l'American Border Patrol / American Patrol
19. membres de la Fédération pour American Immigration Reform
20. membres de la Coalition Liberté Tennessee
21. membres du Réseau Action des Chrétiens
22. Toute personne qui est «opposé à l'Ordre du Nouveau Monde"
23. Toute personne qui est engagée dans "théorie du complot"
24. Toute personne qui s'oppose à l'ordre du jour 21
25. Toute personne qui se préoccupe de camps de la FEMA
26. Toute personne qui "craintes imminentes confiscations de contrôle des armes à feu ou des armes"
27. Le mouvement de milice
28. Le mouvement citoyen souverain
29. ceux qui «ne pense pas qu'ils devraient avoir à payer des impôts"
30. Toute personne qui "se plaint de partialité»
31. Toute personne qui "croit à un complot du gouvernement au point de la paranoïa"
32. Toute personne qui "est frustré par les idéologies traditionnelles"
33. Toute personne qui "sites de visites extrémistes / blogs"
34. Toute personne qui "établit site / blog pour afficher des vues extrémistes"
35. Toute personne qui "assiste à des rassemblements pour des causes extrémistes"
36. Toute personne qui "présente l'intolérance religieuse extrême»
37. Toute personne qui «est personnellement lié à un grief"
38. Toute personne qui "acquiert soudain armes"
39. Toute personne qui "organise des manifestations inspirées par l'idéologie extrémiste"
40. "Milice ou la milice non organisé»
41. «général d'extrême-droite"
42. citoyens qui ont "autocollants pour voiture" qui sont patriotes ou anti-ONU
43. Ceux qui se réfèrent à une "Armée de Dieu"
44. Ceux qui sont «farouchement nationaliste (par opposition à l'universel et international en orientation)"
45. Ceux qui sont «anti-global"
46. Ceux qui sont «suspect de l'autorité fédérale centralisée"
47. Ceux qui sont «respectueux de la liberté individuelle"
48. ceux qui «croient aux théories du complot"
49. Ceux qui ont "la conviction que son« mode de vie »personnels et / ou national est attaqué"
50. Ceux qui possèdent «une croyance dans la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant à des préparations paramilitaires et de la formation ou survivalism"
51. Ceux qui «imposer principes et les lois religieuses strictes sur la société (fondamentalistes)"
52. Ceux qui seraient "insérer la religion dans la sphère politique"
53. Toute personne qui «visent à politiser la religion"
54. Ceux qui ont "soutenu les mouvements politiques d'autonomie"
55. Toute personne qui est "anti-avortement"
56. Toute personne qui est «anti-catholique»
57. Toute personne qui est "anti-nucléaire"
58. "extrémistes de droite"
59. «anciens combattants de retour"
60. Ceux qui s'inquiètent "immigration illégale"
61. ceux qui «croient en droit de porter les armes"
62. Toute personne qui est engagée dans «stockage de munitions"
63. Toute personne qui présente «la peur des régimes communistes"
64. "activistes anti-avortement"
65. Ceux qui sont contre l'immigration clandestine
66. Ceux qui parlent de "Nouvel Ordre Mondial" de manière "dérogatoire"
67. Ceux qui ont une vision négative de l'Organisation des Nations Unies
68. Ceux qui sont opposés "à la perception des impôts fédéraux sur le revenu"
69. Ceux qui ont soutenu les anciens candidats à la présidentielle Ron Paul, Chuck Baldwin et Bob Barr
70. Ceux qui affichent le drapeau de Gadsden ("Ne marchez pas sur moi»)
71. Ceux qui croient en «fin des temps» de prophéties
72. chrétiens évangéliques
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Commencez-vous à comprendre ?
Lorsque les fonctionnaires du gouvernement parlent de la nécessité de sévir contre les «extrémistes» et des «terroristes potentiels», c'est une chose très dangereuse.
Marque comme du bétail: Rapport montre des hordes de victimes, incl. enfants, victimes de la traite en Royaume-Uni
30 Septembre 2014 15:12
Près de 3.000 personnes ont été victimes de la traite pour l'esclavage et de l'exploitation au Royaume-Uni, selon un nouveau rapport publié par l'Agence nationale de la criminalité (NCA), avec l'Internet étant l'un des plus grands pilotes de la prolifération des abus.
Selon la NCA, l'esclavage du Royaume-Uni a fait un bond de 22 pour cent depuis 2013, que les trafiquants utilisent de rencontres en ligne, les médias sociaux et les sites de recrutement d'emplois pour attirer leurs victimes.
Dans certains cas, les victimes ont été attirés dans des réseaux de trafic sous le prétexte de rencontrer quelqu'un se faisant passer pour une histoire d'amour en ligne.
Le rapport, publié mardi, a identifié 2 744 personnes, dont plus de 600 enfants, victimes du trafic. Plus de 40 pour cent des victimes étaient impliquées dans le commerce du sexe, alors que beaucoup ont fini par être utilisé pour le travail manuel forcé.
Environ 19 % des victimes de la traite ont été impliqués dans d'autres formes d'exploitation criminelle.
Le rapport montre que la plupart des victimes étant victimes de la traite dans le Royaume-Uni sont d'Europe de l'Est, à savoir la Roumanie, tandis que ceux qui sont forcés dans le travail manuel en grande partie venue de Pologne. Cependant, les victimes identifiées par l'ANC avaient aussi des origines en Albanie, la Slovaquie et la Lituanie.
L'ANC a également dit qu'il avait vu des preuves des victimes potentielles de la traite étant marqué avec des tatouages et des insignes qui peuvent avoir été utilisés pour «marque».
Liam Vernon, chef de l'équipe de traite des êtres humains de l'ANC, a appelé l'acte marque comme un moyen de marchandiser victimes pour «acheter et vendre» «comme du bétail."
"Traite des êtres humains aux fins d'exploitation est un crime insidieux et complexe et une grande partie de l'exploitation est caché de la vue», a t-il ajouté.
Karen Bradley, l'esclavage moderne au Royaume-Uni et le ministre de la criminalité organisée, a décrit l'esclavage moderne comme un crime effroyable qui avait "pas de place dans la société d'aujourd'hui."
"Pourtant, ces chiffres montrent qu'elle se déroule ici - souvent hors de vue - dans les magasins, les champs, les chantiers de construction et derrière les rideaux de rues ordinaires" a t-elle ajouté.
L'ANC a dit que les gens avaient été portés à la Grande-Bretagne dans des opérations de trafic, après avoir été acheté pour des sommes allant de 200-6,000 livres (US $ 324- $ 9720). Dans certains cas, les victimes ont été contraints de remettre la trésorerie du travail du sexe à leurs «souteneurs» pour des sommes allant jusqu'à 50.000 livres ($ 81,000) pour couvrir les coûts des vols et des documents de voyage.
Le rapport s'inscrit dans le sillage de l'esclavage moderne projet de loi de la Grande-Bretagne, qui est actuellement en cours de révision au Parlement. Le projet de loi, conçu par britannique de l'Intérieur, Theresa May, et publié plus tôt cette année, a été conçu pour protéger les victimes de la traite vers et depuis le Royaume-Uni, et de fournir plus de sécurité aux personnes qui avaient fait l'objet de trafic sexuel.
'Une famille italienne peut obtenir 30 euros par jour si elle accepte d'héberger un migrant'
par Mylène Vandecasteele 30 sept. 2014
Le maire de Rome, Ignazio Marino, vient de soutenir le projet de verser 30 euros à des familles italiennes qui acceptent d’accueillir chez elles temporairement un demandeur d’asile à titre d'indemnités journalières. C’est le sous-secrétaire du ministre italien de l’Intérieur, Domenico Manzione, qui a eu l’idée de cette initiative pour soulager la pression sur les centres d’accueil d’immigrants débordés par le flux incessant des nouveaux arrivants. Marino espère qu’elle permettra d’offrir une « plus grande disponibilité pour la réception et l’intégration sociale » de ces derniers.
Entre le début de l’année et la mi-août, 100 000 migrants sont arrivés en Italie. En outre, selon les estimations de l'Organisation des Nations Unies, près de 2 000 personnes candidates à la migration n’ont pas survécu au voyage.
Le projet consisterait à remettre l’équivalent de la somme que le gouvernement dépense quotidiennement pour chaque migrant, soit 30 euros, à la famille qui accepterait de l’héberger.
Mais cette idée a été critiquée par le parti nationaliste de la Ligue du Nord, qui y voit une « insulte pour les Italiens » : « C’est vraiment une plaisanterie. J’adopterais un Italien en difficulté. Je pense à ceux qui sont au chômage, ceux qui sont forcés de prendre leur retraite précocement ou les pensionnés qui sont forcés de vivre avec le minimum, tous invisibles pour le gouvernement des immigrés », a déclaré le dirigeant du parti au Sénat, Gian Marco Centinaio. Pour des dizaines de milliers de candidats à la migration provenant de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, l’Italie est la première porte de l’Europe. Ces derniers temps, on a constaté une forte hausse du nombre de Syriens qui fuient les violences de la guerre civile dans leur pays. La majorité des migrants souhaiterait gagner d’autres pays d’Europe, mais les lois européennes le leur interdisent.
Depuis des mois, le gouvernement italien réclame une aide aux institutions européennes pour qu’elles le soutiennent pour accueillir toutes ces personnes. A la fin du mois d’août, la Commission européenne a annoncé le lancement de l’opération « Frontex », pour remplacer l’opération « Mare Nostrum » afin de porter secours aux migrants qui arrivent sur des embarcations précaires au bord du chavirement.
Irak: l'armée livre par erreur de l'aide humanitaire à l'EI
MOSCOU, 1er octobre - RIA Novosti/La Voix de la Russie
Les forces aériennes irakiennes ont pas erreur parachuté de l'aide humanitaire dans les zones contrôlées par les combattants de l'Etat islamique, rapporte mercredi le Washington Times. Selon le journal, la cargaison composée de produits alimentaires, d'eau potable et de munitions était destinée aux militaires irakiens participant à l'opération contre les djihadistes de l'EI. Cependant, l'aide a été parachutée sur la province d'Al-Anbar (ouest) contrôlée par les islamistes. "Nos militaires avaient un grand besoin de cette aide, mais en raison d'une erreur commise par le commandement et du manque d'expérience des pilotes, nous avons de facto aidé l'EI à tuer nos soldats", a déclaré le député irakien Hakim al-Zamili dans une interview à la chaîne NBC News. Ces informations ont été confirmées par une source au sein du ministère irakien de la Sécurité qui s'exprimait sous couvert d'anonymat. L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires. Fin juillet l'EI a proclamé un califat islamique sur les territoires irakiens et syriens sous son contrôle. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.
Lecteur question sur une société de crédit-base: Pouvez-vous avoir des intérêts jamais d'être remboursés ?
Tuesday, 30 Septembre, 2014 24:35
Lecteur Mike se demande comment intérêt ne peut jamais être remboursé en une économie basée sur le crédit.
Salut Mish, je me demande si vous seriez en mesure de commenter ce projet de loi de brut dans Pour les mordus seulement : " Une économie financière basée sur le crédit (par opposition à la trésorerie pur) dépend d'un niveau exceptionnel en pleine expansion de crédit pour sa survie. Sans crédit supplémentaire, intérêts sur les dettes émises précédemment ne peut être payé absent de la vente des actifs existants, qui à son tour conduire à un cercle vicieux de la déflation de la dette, la récession et la dépression en fin de compte. Dit simplement, si le crédit doit élargir à 4,5% par an , les secteurs privé et public en combinaison doivent créer environ 2,5 billions de dollars la dette supplémentaire par année pour payer les intérêts échus. " Cela semble en corrélation avec la réalité à 100%, mais les implications sont superbes. Cela signifie que les actifs doivent augmenter en valeur au taux de l'emprunt initial ainsi que tous les paiements d'intérêts jamais fait. Cela signifie aussi qu'il n'y aura un renversement très important à un moment donné qu'il y aura un moment où le dernier prêt que quelqu'un aura à payer qui est rédigé le système ne sera pas en mesure de se développer. J'ai toujours pensé que le niveau d'endettement serait tout simplement atteindre un plateau très élevé et d'y rester, mais brut est de dire que ce n'est pas possible. Si le système que nous avons besoin de l'intérêt à créer chaque année (sous la forme de nouveaux prêts) pour survivre qui semble comme la définition même d'une chaîne de Ponzi. Connaissez-vous la raison mécanique pour laquelle les paiements d'intérêts doivent être créés par l'émission d'une nouvelle dette ? Il est possible, bien sûr, que vous n'êtes pas d'accord avec Bill Gross, mais il sait probablement plus sur le fonctionnement de la dette que tout homme vivant si mon hypothèse est que vous êtes d'accord avec son point de vue. je suis sûr que vous obtenez des demandes sans fin pour les articles, mais ce n'est une telle question fondamentale que je serais extrêmement reconnaissant (comme je suis sûr que feriez beaucoup d'autres personnes) si vous êtes capable d'écrire une réponse dans un article. Mike
Nous sommes dans ce pétrin précisément en raison de prêts fraction de réserve et de la politique de l'inflation par les banques centrales qui ne semblent pas comprendre les conséquences à long terme de mathématiques exponentielle sans fin. J'ai couvert l'aspect exponentielle de mathématiques avant. Pour plus de détails, s'il vous plaît voir l'argent comme la communication: Un Volontairement "-éducatif non" fallacieuse vidéo par la Fed d'Atlanta. crédit dans un or-Backed mondiale Il n'ya rien de mal avec l'expansion de crédit utilisée à des fins productives. Si nous avions un dollar d'or adossés à 100% sans FDIC, les créances douteuses seraient éteints automatiquement. taux d'intérêt seraient faibles pour les entreprises à faible risque et haute pour les entreprises à haut risque, avec des prêteurs (déposants prêts à prêter de l'argent) en prenant le risque. sur les entreprises à haut risque, certains projets perdraient et certains victoire, comme il se doit. Surtout, pas d'argent a eu lieu en lieu sûr (dépôts de vérification), ne jamais être à risque dans le système d'or adossés à 100%. Il n'y aurait pas non nécessité mathématique de crédit pour développer de façon exponentielle pour toujours et à jamais sans fin. hypothèques de 30 ans pourraient même ne pas exister, mais cela ne pose aucun problème. déflation (un état naturel des choses en raison de la hausse de la productivité) permettrait prix les banquiers centraux de stabilité affirment maintenant qu'ils veulent. Mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons. Fiat mondiale Math Malheureusement, nous vivons dans un monde de fiat, pas un monde 100% garantie par l'or du dollar. Nous avons fractionnée prêts de réserve, et un décalage énorme dans la durée. Les banques empruntent à court et à long prêtent. C'est une recette pour le désastre. Merci à l'encouragement de la banque centrale et les taux anormalement bas d'un régime de fiat, le crédit est de la main. Les prêts qui ont été faites ne peuvent éventuellement être remboursés. Entreprises de zombies improductifs ne survivent que parce qu'ils peuvent rouler sur la dette tout en le développant. dette de Pacte-lite représente désormais 50% des nouvelles émissions de dette. Pire encore, les salaires réels sont en baisse à cause de la banque des politiques inflationnistes centrales dans un monde axé sur la productivité de plus en plus dépendantes de robots, pas le travail humain. lois sur le salaire minimum, Obamacare, l'exercice du Congrès politiques, la Fed politiques de taux d'intérêt, les syndicats publics et les politiques inflationnistes dans toutes les phases de gouvernement il était plus probable que les entreprises utilisent des robots à un rythme beaucoup plus rapide que la normale. Quelque chose a à donner et il le fera. Debtberg malinvestissements et la borne du zéro problème , j'ai demandé à mon ami Pater Tenebrarum au Man intérim blog pour carillon sur cette situation. Pater écrit ...
L'intérêt est essentiellement rien d'autre que la remise de biens futurs par rapport aux biens présents. À la base, l'intérêt est en fait un phénomène non-monétaire. Dans le fractionnement réservés système de monnaie fiduciaire moderne-jour, il est devenu possible d'élargir l'argent et de crédit à des taux d'immenses. La raison pour laquelle la debtberg a pu atteindre de telles proportions immenses est que les taux d'intérêt ont chuté de plus de 30 ans. Mais maintenant, nous sommes arrivés à un moment critique, parce que les taux d'intérêt ne peuvent plus aller plus bas. La possibilité de refinancer la dette existante encore et encore pour réduire le coût en est venu à une fin. La taille d'une dette est sans importance si la dette a été utilisée à des fins productives et est pour ainsi dire «auto-liquidation». Imaginez que vous êtes une entreprise qui emprunte $ 200 000 000 à 3%. Si vous employez cet argent pour produire des biens qui ont une marge bénéficiaire nette de 6%, le remboursement de la dette plus les intérêts ne pose pas de problème. Mais beaucoup de dettes dans le système aujourd'hui est un "poids mort" qui ne produisent rien. Tous dette publique existante n'est que le reflet de dépenses passées, et les fonds ont été de 100% consommé. La même chose est évidemment de la dette à la consommation, mais les consommateurs au moins avoir un revenu basé sur la production (leur travail créera de la valeur à l'avenir). Le revenu du gouvernement repose sur la production d'autres produits, qui est coercitive approprié. Dans le domaine de la dette des entreprises, ce qui peut être considéré comme productif, en principe, il ya le problème que la plupart des investissements qui ont été prises sont vraiment malinvestissements, que le calcul économique a été falsifiée par pompage monétaire. La dette qui a financé de mauvais investissements en capital est un poids mort ainsi, bien que cela ne peut devenir évidente à un stade ultérieur. Ainsi, la situation est maintenant à ceci: le service de la dette augmentera désormais à chaque nouvel ajout à la dette existante, les taux d'intérêt sont arrivés à leurs plus bas absolus. Compte tenu de la dette totale du marché du crédit de $ 60000000000000 États-Unis seulement, il deviendra de plus en plus difficile de produire effectivement la valeur ajoutée requis pour traiter cette dette. Il est en effet une incitation pour beaucoup à jouer une sorte de chaîne de Ponzi qui est très similaire à la Ponzi de la dette publique. De nombreuses entreprises, en particulier les crédits d'ordure, ne peuvent survivre qu'en roulant sur leur dette à son échéance. Néanmoins, le calcul brut peut être un peu trop simpliste. Après tout, si vous êtes un créancier et d'être payé intérêts et le capital, l'argent se déplace seulement de A à B. Il est toujours là, que sa propriété a changé de mains. Le problème est que les banques centrales croient à gonfler la dette loin et le maintien des prix "stables".
Dans une économie de marché, les prix ne sont pas stables, ils le feraient en effet déclin. Ainsi, l'intérêt serait très faible pour commencer, et chaque dollar serait faire plus de travail au fil du temps (c.-à-, pourrait être échangé pour plus réelle richesse / produits / services comme le temps passe). Ainsi, nous avons un biais systémique à l'égard de plus en plus d'expansion de la dette. Évidemment, les coûts de service de la dette de ce système sont prévus pour augmenter, tandis que la création d'une compensation de la richesse n'est plus garantie. Vous pouvez le voir dans le fait que de plus en plus la nouvelle dette est ajoutée par dollar de croissance du PIB. Alors brut est tout à fait raison de dire qu'il s'agit d'un problème - le problème est la bulle en cours. Une telle bulle ne nécessite en effet une accélération constante de la dette et l'offre de monnaie pour continuer. Il me semble que c'est un système qui est à venir toujours plus près de la falaise.
Sur le bord d'une falaise
• Le Japon est sur le bord d'une falaise • L'Europe est sur le bord d'une falaise. • Chine se rapproche de la falaise, s'il n'est pas déjà sur le bord. • États-Unis se rapproche de la falaise.
Personne ne peut être sûr que quand un pays va tomber de la falaise, mais finance exponentielle, les systèmes de financement de Ponzi, et les limitations d'intérêt zéro liés suggérer le résultat est plutôt tôt que tard. Comme je l'ai déjà dit, une crise monétaire mondiale attend. Mike "Mish" Shedlock
Ô ironie… Les Américains ont aidé les Russes à découvrir l'un des plus grands gisements de pétrole de l'histoire
par Audrey Duperron 29 sept. 2014
Bien qu’il semble que l’on assiste à une accalmie dans la crise ukrainienne, il ne semble pas probable qu'une solution puisse être rapidement trouvée pour régler définitivement ce problème. L'Occident marche sur des œufs, notamment parce que la Russie contrôle la fourniture de gaz naturel pour de nombreux pays européens qui en dépendent.
La Russie est riche en ressources, et elle dispose de réserves importantes de pétrole et de gaz sur son territoire. L'Occident peut difficilement boycotter cette source d’énergie. Par-dessus le marché, la position de Moscou s’est récemment renforcée sur le marché mondial de l'énergie. En effet, la Russie vient de découvrir un très vaste gisement de pétrole dans le Grand Nord, qui promet d’être l’un des plus grands gisements du monde.
Le président russe Vladimir Poutine peut se frotter les mains, car la découverte a été réalisée par la compagnie pétrolière d’Etat OAO Rosneft en collaboration avec la firme américaine ExxonMobil. Le gisement de pétrole est situé dans la mer de Kara, dans l’Océan Arctique. Le champ nouvellement découvert pourrait être plus grand que ceux du Golfe du Mexique, de l’Alaska ou du Canada, et selon les premiers forages, le puits pourrait fournir environ 1 milliard de barils de pétrole brut.
« Il a dépassé nos attentes. Cette découverte est exceptionnellement révélatrice de la présence d’hydrocarbures dans l’Arctique », a déclaré Igor Sechin, le CEO de Rosneft.
Mais ironie du sort, la coopération entre les deux compagnies pétrolières a été suspendue le 12 Septembre à la suite de sanctions occidentales contre la Russie pour son ingérence en Ukraine. Mais ExxonMobil dispose d’un délai qui court jusqu’au 10 octobre prochain avant de mettre les sanctions à exécution et suspendre cette collaboration. Après cette date, Rosneft et ExxonMobil ne pourront plus faire d’autres forages ensemble, et l’exploration de la zone sera donc reportée à une date ultérieure, en dépit de la découverte que les deux compagnies viennent de faire.
Selon le vice-ministre russe de l’énergie, Kirill Molotsov, les forages se poursuivront au cours de l’année prochaine, même sans la participation d’ExxonMobil.
L'impact sur le marché du pétrole ne doit pas être sous-estimé. La pression à la baisse sur les prix du pétrole pourrait encore se poursuivre sur les prochains mois. C’est une mauvaise nouvelle pour la Russie, parce que le gouvernement russe a besoin d’un cours du baril de pétrole compris entre 110 et 117 dollars pour couvrir les dépenses de l'Etat. Lorsque le cours tombe en deçà de 100 dollars, il peut gagner du temps grâce à quelques astuces fiscales. Mais il ne faut pas que cette situation perdure.
Des écolières de 14-16 ans congé France, Royaume-Uni, l'Allemagne pour la Syrie à Rejoignez ISIS Jihad
Autant que 63 adolescentes très mal orientés en provenance de France, 40 en Allemagne et 50 au Royaume-Uni ont quitté leur pays pour rejoindre ISIS en Syrie. The Guardian a un rapport fascinant sur ??djihadistes écolière: les islamistes femmes quitter la maison pour rejoindre les combattants Isis.
Des centaines de jeunes femmes et les filles quittent leurs foyers dans les pays occidentaux à rejoindre les combattants islamiques au Moyen-Orient, suscitent une préoccupation croissante chez les enquêteurs antiterroristes. filles dès l'âge de 14 ou 15 voyagent principalement en Syrie pour se marier djihadistes, supporter leurs enfants et rejoindre des communautés de chasseurs, avec un petit nombre de prendre les armes. Beaucoup sont recrutés par l'intermédiaire des médias sociaux. femmes et les filles semblent représenter environ 10% de ceux qui quittent l'Europe, l'Amérique du Nord et en Australie pour établir des liens avec des groupes djihadistes, y compris l'Etat islamique (Isis).
La France a le plus grand nombre de recrues djihadistes femmes, avec 63 dans la région - environ 25% du total -. Et au moins un autre 60 croit être compte tenu de la décision Dans la plupart des cas, les femmes et les filles semblent avoir quitté la maison pour se marier djihadistes , établi à l'idée de soutenir leurs «combattants de frère" et d'avoir "des enfants djihadistes de continuer la propagation de l'islam", a déclaré Louis Caprioli, ancien chef de l'agence française de sécurité Direction de la Surveillance du Territoire. "Si leur mari meurt, ils seront donnés adulation que la femme d'un martyr."
Cinq personnes, dont une sœur et frère, ont été arrêtés en France au début du mois soupçonnés d'appartenir à un anneau en centre de la France qui se spécialise dans le recrutement de jeunes français femmes, selon Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur. Au moins 40 femmes ont quitté l'Allemagne pour rejoindre Isis en Syrie et en Irak dans ce qui semble être une tendance de plus en plus d'adolescents deviennent radicalisé et les voyages au Moyen-Orient sans la permission de leurs parents. " Le plus jeune avait 13 ans-vieux », Hans-Georg Maassen, président de l'Office fédéral pour la protection de la Constitution, a déclaré à la Rheinische Post.
"Quatre femmes mineures sont repartis avec une idée romantique de mariage de jihad et de jeunes combattants mariés de sexe masculin qui avaient appris à connaître par l'intermédiaire de l'Internet." Karim Pakzad, de l'Institut français des relations internationales et stratégiques, a déclaré certaines jeunes femmes avaient "un presque romantique idée de la guerre et des guerriers. "Il ya une certaine fascination, même avec la tête et la gorge de coupe. C'est une aventure. "
Certaines femmes et filles britanniques ont posté des photos d'eux portant des AK-47, des grenades et dans un cas, une tête coupée, comme ils s'engagent allégeance à Isis. Mais ils sont aussi tweetent des photos de la nourriture, des restaurants et des couchers de soleil à présenter une image positive de la vie en attente de jeunes femmes dans une tentative pour attirer plus du Royaume-Uni. femmes vivant au milieu des combattants Isis déjà utilisé les médias sociaux habilement dépeindre la Syrie comme une utopie et pour attirer les femmes étrangères à se joindre à leur «sororité dans le califat", dit-elle.
«L'idée de vivre dans le califat est très positif et puissant que ces femmes sont chères à leur cœur." Mais la réalité était très différente, dit-elle. Les deux Bloom et Rolf Tophoven, directeur de l'Institut allemand pour la politique de sécurité contre le terrorisme et la recherche, a déclaré rapports ont indiqué que les femmes avaient été violées, abusé, vendu en esclavage ou forcé de se marier. "[Isis] est un mouvement brutal strictement islamiste ... le pouvoir, la structure de direction, sont de toute évidence un domaine réservé aux hommes», a déclaré Tophoven
Rencontrez djihadiste Samra Kesinovic
Samra Kesinovic est de 16 ans son école, dit-elle avait parlé à de «guerre sainte», écrit «I love al-Qaida» autour du bâtiment. Photo: Interpol C'est une histoire incroyable par le Guardian, avec huit photos et de nombreuses histoires de ce membres de la famille essaient de faire pour leurs enfants de retour. Mike "Mish" Shedlock
Sept décennies de collaboration avec les Nazis : les petits secrets ukrainiens inavouables des États-Unis
1 octobre 2014 The French Saker
Tous ceux qui ont des yeux ont pu les voir lors des événements d’Ukraine : ces porteurs d’insignes et de drapeaux, de symboles nazis, exacts ou imités, de runes étranges, d’emblèmes et d’armoiries SS, qu’il s’agisse du Wolfsangel ou de la croix gammée. Comment ces groupes sont-ils apparus ? D’où viennent ces organisations ? A-t-on simplement voulu, là-bas, en Ukraine, ressusciter le souvenir d’une histoire passée, vieille de sept décennies ? Ou a-t-on au contraire, depuis toutes ces années, entretenu ce qui avait existé alors ? Où, et à quelle fin ? Avec quelles protections ? Indiscutablement, un article important, dans lequel Russ Bellant, l’auteur de « Les vieux Nazis, la nouvelle droite et le Parti républicain » nous dévoile une réalité depuis longtemps dissimulée derrière la façade d’un des deux grands partis politiques étatsuniens.
The French Saker
Sept décennies de collaboration avec les Nazis : les petits secrets ukrainiens inavouables des États-Unis
Paul H. Rosenberg et Foreign Policy In Focus Le 28 mars 2014
Cet article est une publication conjointe du The Nation et de Foreign Policy In Focus.
Alors que la crise ukrainienne s’aggrave ces dernières semaines, il est difficile pour les américains de ne pas considérer Vladimir Poutine comme le grand méchant. Mais l’histoire de cette région est celle de méchants en compétition les uns contre les autres, et une certaine école de méchants – les Nazis – a une longue histoire de coopération avec les États-Unis ; une histoire généralement secrète, mais qui parfois pourtant a été exposée, comme dans l’ouvrage de Russ Bellant, « Les vieux Nazis, la Nouvelle Droite et le Parti Républicain » (South End Press, 1991). Les révélations faites par Bellant à propos des dirigeants nazis émigrés d’Allemagne à la fin de la seconde guerre mondiale, et ralliés en 1988 à la campagne présidentielle de George Bush, ont été la cause principale de l’annonce de la démission de neuf personnes, dont deux originaires d’Ukraine. C’est la raison logique qui nous a fait choisir cet auteur pour nous éclairer au sujet des diverses mentions de la présence de nazis et d’éléments fascistes parmi les nationalistes Ukrainiens, présence qui d’ailleurs semble n’avoir jamais réellement donné lieu à des commentaires ou à des explications. Bien sur, la majorité des Ukrainiens ne sont ni nazis ni fascistes, ce qui est une raison de plus pour mettre en lumière ceux qui voudraient dissimuler leur vraie nature dans l’ombre, ou se cacher en retrait de la lumière momentanée des projecteurs.
Votre livre, « Les vieux Nazis, la nouvelle droite et le Parti républicain », met en lumière l’implication profonde au sein du Parti républicain, d’éléments nazis issus d’Europe centrale et de l’est, parmi lesquels des Ukrainiens, ce depuis la deuxième guerre mondiale et même avant. Alors que la crise Ukrainienne se développe depuis ces dernières semaines, il a été plusieurs fois fait mention de la présence d’éléments fascistes ou néo-fascistes, mais il semble que l’on n’ait jamais considéré que cela justifiât des commentaires ou des explications plus approfondies. Je ne vois personne qui soit plus qualifié que vous pour éclairer tout ce qui n’est pas dit à ce sujet. Le danger d’une belligérance russe est de plus en plus évident, mais ces éléments fascistes mal connus représentent déjà en eux mêmes un danger. Que pouvez-vous nous dire au sujet de ces personnes et de leur dangerosité ?
Cette faction a une longue histoire et un long dossier a été constitué à son sujet, dossier maintenant connu et qui parle de lui même. L’organisation clé du coup d’état qui a eu lieu récemment est l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) [1] ou plutôt une branche spéciale de celle-ci, connue sous le nom de Banderistes (OUN-B). C’est elle le groupe qui se trouve derrière le parti Svoboda, lequel a obtenu nombre de postes importants dans le nouveau gouvernement intérimaire. L’existence de l’OUN remonte aux années 1920, lorsqu’elle s’est séparée d’autres partis, et surtout aux années 1930, pendant lesquelles elle a initié une campagne d’assassinats et de terrorisme à l’encontre de tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec elle.
Alors que la deuxième guerre mondiale approchait, elle a fait alliance avec les forces nazies. Elle a formé différentes organisations militaires et ainsi, lorsque l’Allemagne a envahi l’Union Soviétique en juin 1941, elle avait constitué plusieurs bataillons qui se sont déplacés vers la ville la plus importante à cette époque, ville où se situait leur base : Lvov ou Lwow, on peut l’écrire de plusieurs manières [aujourd'hui, c’est Lviv] [2]. Ils y sont entrés, et nous disposons d’une histoire documentée sur leur participation à l’identification et au regroupement des juifs dans cette ville, ainsi que, presque immédiatement, à l’exécution de plusieurs milliers de citoyens. Ils furent aussi impliqués dans la liquidation de populations polonaises dans d’autres parties de l’Ukraine tout au long de la guerre.
Sans s’être profondément impliquée dans l’ensemble de cette histoire, l’Organisation des nationalistes ukrainiens défend, encore aujourd’hui, le rôle qu’elle a joué lors de la guerre. C’est elle qui a fourni les effectifs pour la formation de la 14e division des Waffen SS, unité entièrement composée d’Ukrainiens et qui est devenue une troupe armée combattant pour les Allemands et entièrement placée sous leur contrôle. Ceux-ci ont aidé et encouragé sa formation et après la guerre, en fait juste à la fin de la guerre, elle fut dénommée « Première division ukrainienne ». L’OUN continue à glorifier l’histoire de cette division SS, et elle a créé une organisation de vétérans qui, bien sur, n’a plus beaucoup de membres, mais qui constitue néanmoins une division de vétérans de cette époque.
Si vous regardez les insignes qui sont arborés lors des manifestations et des marches organisées à Kiev, vous verrez que ceux de la division SS sont toujours portés. En fait, je regardais des photographies de cela la nuit dernière, et l’on y voyait une formation entière marcher, non pas avec l’insigne de la 14e Division, mais avec celui de la Seconde division. C’était une division étoffée, qui a participé à d’importantes batailles dans toute l’Ukraine, et ceux que l’on voit défiler arborent son insigne sur leurs brassards.
Il s’agit donc de documents très clairs, et l’OUN, même dans ses publications d’après guerre, a appelé à la création d’un territoire ukrainien ethnologiquement et génétiquement pur, ce qui bien sûr est simplement un appel à purger ce qu’ils considèrent comme le territoire ukrainien des juifs, des Polonais et des Russes. De plus, les dirigeants actuels de Svoboda ont prononcé des remarques ouvertement antisémites, appelant à se débarrasser des juifs moscovites et de tout le reste. Ils utilisent ce langage, très vulgaire et agressif, qui fait frémir quiconque connaît l’histoire de la deuxième guerre mondiale. S’ils vivaient ici, il me semble que ceux qui l’entendent devraient commencer à s’en inquiéter.
De toute évidence, ces gens n’ont pas le monopole du pouvoir en Ukraine mais ils ont progressé, et les États-Unis étaient derrière le parti Svoboda et derrière ces nationalistes Ukrainiens. En fait, les connections avec les États-Unis remontent à la seconde guerre mondiale, et c’est de longue date que les États-Unis ont maintenu un lien avec l’OUN, par l’intermédiaire des agences de renseignement ; initialement les renseignements militaires, puis plus tard la CIA.
Votre livre parle d’un personnage central au sein de l’OUN, Yaroslav Stetsko, qui fut politiquement actif aux États-Unis durant des décennies. Que pouvez-vous nous dire au sujet de son histoire ?
Yaroslav Stetsko était le numéro deux de l’OUN durant la seconde guerre mondiale, et même par la suite. En 1959, Stepan Bandera, qui dirigeait l’OUN, fut tué, et ce fut alors que Stetkso en assuma la direction. Stetsko fut celui qui marcha sur Lvov avec l’armée allemande le 30 juin 1941. L’OUN publia à l’époque une proclamation, signée par Stesko, qui louait et appelait à glorifier le dirigeant allemand Adolf Hitler, et qui expliquait comment ils marcheraient ensemble main dans la main avec lui pour l’Ukraine, et ainsi de suite. Après la guerre, Stesko fit partie de la direction clé qui fut choisie par les Américains.
J’ai lu plusieurs récits, dont au moins trois rapports crédibles, sur la façon dont ils furent envoyés dans les camps de personnes déplacées : les forces alliées avaient mis en place des camps de personnes déplacées, et elles sélectionnèrent des dizaines de milliers de ces anciens alliés d’Hitler provenant de pays de toute l’Europe de l’est, Hongrie, Lituanie, Lettonie. Il n’y eut pas de collaborateurs polonais ; je pense que la majorité des gens savent que les Allemands ont affreusement persécuté et assassiné des millions de résidents polonais. Mais en revanche il y eut des Bulgares, des Roumains, des Croates, et même des Biélorusses. Les alliés les maintenaient dans ces camps qu’ils avaient construits et organisés et où les Ukrainiens assassinaient leurs rivaux nationalistes de façon à rester les dirigeant incontestés du mouvement nationaliste ukrainien, afin d’obtenir le soutien des États-Unis pour poursuivre leurs opérations politiques, et en cela, ils ont réussi. Ainsi, une fois Bandera éliminé, Stetsko devient le dirigeant indiscuté des nationalistes ukrainiens.
En 1943, l’Organisation des nationalistes ukrainiens organisa, avec le soutien de l’Allemagne, une force multinationale pour combattre au côté de l’armée allemande en retraite. Après la bataille de Stalingrad en 1943, les Allemands ressentirent le besoin urgent d’accroître le nombre de leurs alliés, et ils utilisèrent la Garde de fer roumaine, la Croix en flèche hongroise, l’Organisation des nationalistes ukrainiens, ainsi que d’autres groupes dotés d’une formation militaire, pour leur prêter assistance et former un front uni appelé le Comité des nations conquises, lequel travailla aux côtés de l’armée allemande. En 1946, on le renomma le Bloc des nations antibolchéviques, ou BNA [3]. Stetsko en fut le chef jusqu’à sa mort, en 1986.
Je mentionne ce fait en partie parce que l’OUN essaie de prétendre : à vrai dire, durant la guerre nous avons combattu les Allemands et les communistes. Le fait est qu’ils assumèrent la direction de l’ensemble de cette alliance internationale au profit des Allemands durant les deux dernières années de la guerre, et pendant l’après guerre. Tous les dirigeants des forces alliées aux Nazis et non repenties se trouvaient, après la guerre, sous la direction de Yaroslav Stetsko.
Que s’est-il passé lorsque Stetsko, et d’autres qui étaient comme lui issus des diverses forces alliées aux Allemands, sont arrivés aux États-Unis ?
Lorsqu’ils arrivèrent aux États-Unis, ces groupes organisèrent des comités de « nations captives ». On aurait pu supposer qu’ils deviendraient les représentants des peuples opprimés par l’Union Soviétique en Europe de l’est et dans les pays baltes. En fait, on leur a accordé sans discernement un chèque en blanc pour représenter les voix de toutes ces nations qui faisaient partie du Pacte de Varsovie, alors qu’en fait, ils représentaient les éléments les plus extrémistes de chacune des communautés nationales en question.
Le Comité des nations captives à Washington DC était, par exemple, dirigé par la personne qui avait assuré la direction de l’OUN, et c’était le cas dans de nombreuses villes. Dans ma ville d’origine, proche de Detroit, ils jouèrent un rôle prépondérant. Au début des années 1950, lorsqu’on les réinstalla aux États-Unis, il y eu au moins 10.000 d’entre eux à être relogés là-bas, en comptant toutes les nationalités. Ils devinrent politiquement actifs par l’intermédiaire du Comité national républicain [4], parce que c’était véritablement l’administration d’Eisenhower qui avait opté pour cette politique au début des années 1950 et qui les avait fait venir. Ils mirent en place ces organisations de campagne électorale et tous les quatre ans, ils se mobilisèrent pour soutenir les candidats républicains, quels qu’ils soient; certains politiciens, comme Richard Nixon en 1960, avaient en fait des liens directs avec plusieurs de leurs dirigeants, comme ceux de la Garde de fer roumaine et d’autres groupes.
Lorsque Nixon se présenta à la présidentielle en 1968, il fit une promesse à ces dirigeants : s’il gagnait la présidence, il ferait d’eux, à titre permanent, une sorte de bras ethnique au sein des sections locales du Comité national républicain, de sorte qu’ils n’auraient plus seulement une présence quadriennale, mais une présence continue au sein du Parti républicain. Il leur fit cette promesse par l’intermédiaire d’un homme appelé Laszlo Pasztor, qui avait fait cinq ans de prison après la guerre pour crimes contre l’humanité. Il avait été condamné en 1946 par le gouvernement non communiste qui dirigeait alors la Hongrie (il y a eu une période, de 1945 à 1948, où le Parti Communiste Hongrois ne gouvernait pas le pays). Ce sont eux qui l’avaient condamné. Il avait servi d’agent de liaison entre le parti nazi de Hongrie et Berlin ; il avait travaillé à l’ambassade à Berlin du mouvement de la Croix en flèche hongroise. Voilà donc le gars qu’ils choisirent pour organiser tous les groupes ethniques, et les seules personnes qu’on y fit entrer étaient des collaborateurs nazis.
Ces groupes n’avaient pas d’affiliés russes parce qu’ils haïssaient tous les Russes, quelle que fût leur couleur politique. Ils n’avaient pas non plus de membres afro-américains ni juifs. Ils n’étaient composés que de ces éléments nazis ; pendant un moment, ils ont eu un affilié allemand, mais la révélation publique de l’appartenance nazie de cette personne fit qu’il dut être discrètement renvoyé, alors que d’autres éléments nazis furent, eux, conservés.
Votre livre a été écrit et publié dans les années 1980. Que se passa-t-il à cette période, après que ces groupes aient été établis depuis plus d’une décennie ?
Je suis allé à leurs rassemblements dans les années 1980, et ils produisaient des documents qui révélaient clairement qui ils étaient. Une de leurs brochures de 1984 faisait l’éloge du régime oustachi pro-nazi de Croatie ; ces même Oustachis avaient tués 750.000 personnes, c’est le chiffre qui ressort des estimations, et les avaient brûlées vivantes dans leur propre camp en Croatie. Et voilà qu’ici, ils célébraient la fondation de ce régime, reconnaissant qu’il avait été associé aux Nazis, et le tout était signé par le directeur du Comité national républicain. Des trucs pareils, ça ne s’invente pas! C’était simplement dingue.
J’ai interrogé un Cosaque; il m’a montré la pension qu’il percevait pour son service dans les SS durant la deuxième guerre mondiale, et il m’a expliqué comment il s’était affilié aux groupes nazis libres aux États-Unis ; et il n’avait pas le moins du monde l’air d’un repenti. Tous ces gens étaient les paravents qui avaient été dénommés « Comités des nations captives » par ces personnes aux ordres de Stetsko, et dont il faisait lui aussi partie. Sous Reagan, la Maison Blanche l’accueillit, le promut dirigeant principal et donna à cette occasion un grand souper. Jeane Kirkpatrick (ambassadrice aux Nations Unies durant l’administration Reagan) y prit part, tout comme George H.W. Bush, alors vice-président, et bien entendu Reagan. Stetsko fut présenté comme un grand dirigeant, et des proclamations furent faites à en sa faveur.
Lorsque Bush senior fut candidat à la présidence en 1988, il leur rendit visite ; il vint dans l’un des principaux emplacements des nationalistes Ukrainiens en Amérique du Nord, situé juste à la sortie de Détroit, dans une banlieue, à ce qui est leur centre culturel ; et d’ailleurs un de leurs principaux dirigeants au niveau mondial a son quartier général dans ce lieu. A cette époque, ils firent venir Bush et protestèrent contre l’OSI, et Bush se contenta de secouer la tête. Il ne voulait rien dire du tout à ce sujet.
L’OSI était l’acronyme du Bureau des enquêtes spéciales. Il enquêtait sur la présence de criminels de guerre nazis aux États-Unis, et expulsait ceux dont on découvrait qu’ils avaient menti sur leur passé pour pouvoir émigrer aux États-Unis après la guerre. Ils avaient expulsé bon nombre de personnes à travers tous les États-Unis. Il y avait beaucoup d’enquêtes en cours et tous ces émigrés nazis, y compris les nationalistes ukrainiens, essayaient de recourir à toutes les pressions politiques possibles pour arrêter ces enquêtes.
Donc ils étaient en train de dénoncer cela, les enquêtes de l’OSI, devant Bush. Bush a hoché la tête, mais n’a rien voulu dire car il ne tenait pas à apparaître comme un sympathisant des criminels de guerre nazis ; mais en même temps, il ne voulait pas non plus offenser ses hôtes en contestant à ce sujet avec eux. Ainsi, l’issue de la deuxième guerre mondiale était toujours un enjeu, plus de quatre décennies plus tard, au cœur de la politique présidentielle, et malheureusement Bush et Reagan continuaient à être du côté de ceux que nous avions vaincus lors de ce conflit.
Comment votre livre, qui contenait toutes ces informations, fut-il accueilli à sa sortie ? Comment cette information fut-elle reçue et quelle fut la réaction politique ?
Avant la publication du livre, le Washington Jewish Week [5] avait écrit un article au sujet de certains des dirigeants ethniques de la campagne de Bush et de leur passé, de leur négation de l’Holocauste, de l’implication avec ces groupes d’émigrés nazis. Ils avaient donné les noms de quelques uns d’entre eux qui ne faisaient pas partie de l’Heritage Groups Council [6] mais qui participaient néanmoins à la campagne de Bush.
Ensuite, lorsque j’ai publié mon livre, davantage encore de noms sont ressortis et le Philadephia Inquirer ainsi que le Boston Globe ont fait des articles à leur sujet. On en arriva au point où à chaque fois qu’un journaliste du Philadelphia Inquirer appelait au sujet des dirigeants ethniques de la campagne de Bush, la réponse standard était qu’il ne faisait plus partie de la campagne, et c’est là ce qui était dit pratiquement dès qu’on entendait le nom de la personne. Alors les journalistes appelaient cette personne. Je vais prendre l’exemple de Florian Galdau, qui représentait et dirigeait le bureau de New York City de la Garde de fer roumaine. On avait un dossier sur lui pour la période de la guerre. L’archevêque roumain Valerian Trifa lui même avait été impliqué dans le meurtre en masse de juifs à Bucarest, en 1941, je crois. Le dossier de Galdau est clair, car lorsque Trifa fut jugé – il a été l’une des personnes ciblées par l’OSI et il a été expulsé de force dans les années 1980 – dans un des dossiers de la procédure, l’OSI avait identifié Florian Galdau comme étant un de ses agents, de sorte que son histoire était bien connue, sauf par l’équipe de campagne de Bush, apparemment.
Ainsi, lorsque Galdau fut identifié par le Philadelphia Inquirer, on leur répondit immédiatement qu’il ne faisait pas partie de la campagne ; mais ensuite, l’Inquirer appela Florian Galdau et celui-ci répondit : « Non, j’en fais partie. Ils ne m’ont jamais rien dit. Pour autant que je sache, je fais toujours partie de la campagne. » C’était ça, le schéma type.
Le Comité national républicain déclara, après les élections, qu’ils allaient rassembler un comité du ruban bleu et faire une enquête au sujet des accusations portées dans mon livre. Je n’ai jamais été contacté, ni aucune des personnes ayant participé au projet du livre, ni la maison d’édition. Aucune des sources avec lesquelles j’avais travaillé ne fut contactée. À peu près un an plus tard, alors que personne n’avait soulevé la moindre discussion ou posé la moindre question à ce sujet, ils refermèrent simplement le dossier en disant : « Bon, nous n’avons pas disposé des moyens pour enquêter sur ce dossier. »
J’ai publié une chronique et des commentaires dans le New York Times environ deux semaines après les élections et je pense que c’est la dernière fois que quelqu’un a publiquement déclaré quelque chose à ce sujet qui ait eu quelque écho sur les forums. Je pense qu’on leur a simplement permis de mourir et de sombrer dans l’oubli – je veux parler de ces dirigeants. L’idée des Républicains était probablement de faire entrer en jeu une autre génération de gens qui seraient nés aux États-Unis tandis que ces émigrés mouraient et disparaissaient, mais à propos de cette histoire que Nixon leur avait léguée, ils s’abstinrent de faire quoi que ce soit. Sous Reagan, la Maison Blanche s’était vraiment profondément compromise et alliée avec eux. Ils ne voulaient pas avoir l’air de leur tourner le dos, et comme Bush les voulait pour sa campagne de réélection, il n’allait pas non plus leur tourner le dos.
Si vous voulez une anecdote, je sais que 60 Minutes [7] travaillait sur un sujet, que l’équipe de Bradley travaillait dessus. Nancy Reagan elle même a appelé le producteur exécutif et lui a dit : Nous apprécierions beaucoup que vous ne réalisiez pas cette émission. Et ils l’ont enterrée. Parce que, au fond, il ne s’agit pas seulement des Nazis et du Comité national républicain et de la Maison Blanche. Cela soulève inévitablement la question de savoir qui ils sont, comment ils sont arrivés là et qui les a soutenus ? Et à ce stade, cela renvoie aux agences de renseignement. Certaines personnes n’aiment pas marcher sur ce genre de platebandes. Si c’est lié à une agence de renseignement, ils préfèrent rester à l’écart du sujet. Ainsi, certaines personnes à 60 Minutes furent frustrées par cette histoire, mais c’est pourtant ce qui s’est passé. Je crois qu’ils ont été réellement capables d’enterrer l’histoire lorsque certains ont essayé de la couvrir. Ils ont été capables de persuader les responsables de l’information de ne pas trop creuser cette affaire.
Que s’est-il passé depuis que vous avez écrit votre livre et que la plupart des personnes de la génération qui avait vécu la deuxième guerre mondiale sont mortes ? Qu’ont fait l’OUN et ses alliés depuis lors, que nous devrions savoir ?
Une fois que l’OUN a été soutenue par les agences de renseignement des institutions de sécurité américaines, on l’a introduite également en Europe, de diverses façons, comme dans Radio Free Europe, dont le quartier général est à Munich. Beaucoup de ces groupes du BNA avaient leur quartier général à Munich, où ils profitaient du soutien de Radio Free Europe. De là, ils menèrent différents types d’opérations pour essayer de travailler à l’intérieur des pays du Pacte de Varsovie. Lorsque l’Union Soviétique s’effondra en 1991, un certain nombre d’entre eux retournèrent en Ukraine, et les autres dans leurs pays respectifs. Là, ils commencèrent à monter des opérations et à organiser des partis politiques, en alliance avec les États-Unis. Ils prirent part à ce que l’on a appelé la Révolution Orange de 2004, lorsqu’ils gagnèrent les élections là-bas.
Le premier ministre (référence à Victor Yushchenko, président de l’Ukraine de 2005 à 2010) était très proche de ces groupes. Ils travaillaient avec le nouveau gouvernement afin d’obtenir des aides financières pour les vétérans des divisions SS ukrainiennes et ils ont commencé à mettre en place des statues, des lieux de mémoire, des musées en l’honneur de Stépan Bandera, qui fut le dirigeant de l’OUN et qui, je dois le dire, était détesté des autres nationalistes ukrainiens à cause de ses méthodes, qui étaient extrémistes et violentes envers les groupes nationalistes ukrainiens rivaux. Donc, Bandera n’était pas un héros universel, mais, en partie à cause de ses connections avec les États-Unis, ce groupe fut si influent que si vous allez sur Internet et que vous cherchez « Lviv » ou le mot « Bandera » sur Google, vous verrez des monuments et des statues, ainsi que de grandes affiches et bannières à l’effigie de Bandera, et puis de grands monuments – des monuments construits pour durer – dédiés à Bandera. C’est ainsi qu’ils ont fait de ce type le George Washington de l’Ukraine.
Ce gouvernement est resté au pouvoir jusqu’en 2010. Il y eut alors de nouvelles élections et un nouveau régime fut élu, qui bénéficiait de nombreux soutiens dans l’est du pays. Les nationalistes Ukrainiens regroupés autour de la révolution orange étaient âprement divisés, luttant les uns contre les autres, tandis qu’une corruption rampante sévissait en leur sein ; finalement, les gens votèrent contre eux. Les États-Unis se montrèrent très agressifs dans leur volonté d’essayer de garder les nationalistes au pouvoir, mais ils perdirent les élections. Les États-Unis dépensaient beaucoup d’argent par l’intermédiaire de la « National Endowment for Democracy » (Fondation nationale pour la démocratie) [8], laquelle déversait des flots de dollars dans les caisses de diverses organisations ukrainiennes. Ils faisaient la même chose en Russie, tout comme ils le font dans d’autres pays, un peu partout dans le monde. Nous parlons là d’un grand nombre de millions de dollars par an, destinés à influencer la politique de ces pays.
Lorsque les occupations se sont produites place de l’Indépendance à Kiev, à la fin de l’année dernière, vous avez pu voir les supporters de Svoboda et vous avez pu entendre leurs dirigeants au Parlement faire des remarques ouvertement antisémites. Le dirigeant du parti Svoboda s’est déplacé en Allemagne pour protester contre les poursuites engagées à l’encontre de John Demjanuk, cet Ukrainien qui s’était installé aux États-Unis et qui était impliqué, en tant que gardien de camp de concentration, dans le meurtre de gens innocents. Les tribunaux allemands l’ont reconnu coupable et la direction de Svoboda est allée en Allemagne pour se plaindre du fait que ce type avait été condamné. La raison de cela ? Ils ont dit qu’ils ne voulaient voir aucun Ukrainien sali par ces histoires, parce qu’ils vivent dans le mensonge ; le mensonge qui prétend qu’aucun Ukrainien n’a jamais eu rien à voir avec le régime nazi, même si l’histoire les trahit, et même si leurs propres affiliations les trahissent. Ils n’aiment pas que l’on parle publiquement de tout cela, c’est pourquoi ils protestent toujours de l’innocence de tout Ukrainien accusé de quoi que se soit, quitte à nier même des preuves évidentes.
Votre livre a constitué une révélation importante, mais il n’a pas été le seul. Votre livre fait remarquer que Jack Anderson avait traité des soutiens pro-nazis de certains conseillers ethniques depuis 1971, et pourtant, lorsque votre rapport est sorti, presque deux décennies plus tard, tout le monde a régi en se montrant choqué ; ce fut la surprise, et même le déni. Quelles leçons tirer de cette affaire d’histoire enterrée ? Et quelle influence cela doit-il avoir sur notre façon de voir la crise qui se développe en Ukraine ?
Je ne crois pas qu’il soit jamais trop tard pour se familiariser avec l’histoire de ce phénomène et se cultiver à ce sujet, tant pour ce qui est de l’histoire de cette période de la guerre que de l’histoire de la collaboration avec ces gens, après la guerre. Il y a eu un grand nombre d’exposés écrits au sujet des émigrés nazis. Il est paru en 1979 un livre dont le titre était « Wanted » [9], qui racontait nombre d’histoires sur ces gens qu’on avait fait venir aux États-Unis, y compris l’histoire de Trifa. Christopher Simpson a écrit un livre intitulé « Blowback » [10] qui traitait des décisions politiques ; c’est un livre incroyable. Il est professeur à l’American University, et il a fait des recherches pendant des années en profitant du Freedom of Information Act [11] et des archives. Il a eu accès aux documents politiques par lesquels furent prises les décisions de rassembler ces gens et ce, non seulement aux États-Unis, mais pour les déployer dans le monde entier.
Tout comme mon livre, il n’a pas eu l’attention qu’il méritait. La critique des livres du New York Times a émis un avis négatif sur le livre. Il y a vraiment des gens qui ne veulent pas que l’on touche à ces choses. Il a y beaucoup de gens qui ne veulent pas que l’on y touche. Je pense qu’il est véritablement important, pour ceux qui croient en l’ouverture, en la transparence et aux valeurs démocratiques, qui ne veulent pas que des groupements porteurs de haine reviennent au pouvoir dans d’autres parties du monde, de savoir ce qui s’est passé.
Il y a très peu d’Américains qui savent que la Waffen SS était une force multinationale. Ce fait a été exclu de l’histoire conventionnelle. Autrement, les gens sauraient qu’il y a eu des Nazis ukrainiens, hongrois, lituaniens, et qu’ils ont tous été impliqués dans le meurtre de masse de leurs concitoyens, si ceux-ci étaient Juifs, bien sûr, mais même s’ils étaient seulement des compatriotes qui se trouvaient dans l’autre camp. Ils furent simplement des meurtriers de masse, dans toute l’Europe de l’est. Et cette histoire, ces faits, ne sont pas très connus. Beaucoup de gens ne savent même pas que ce phénomène a existé.
Je pense que tous les Américains ont la responsabilité de savoir ce que leur gouvernement fait en matière de politique extérieure en Europe, ainsi que partout dans le monde, en Amérique Latine comme en Afrique. Lorsque notre politique était de soutenir le régime d’apartheid en Afrique du Sud, pourquoi les Américains ne l’ont ils pas d’avantage contestée ? Ils ont commencé à le faire dans les années 80, mais le régime d’apartheid était dirigé par un parti nazi. Ils étaient alliés à l’Allemagne durant la seconde guerre mondiale. Ils étaient un parti nationaliste, et ils ont pris le pouvoir en 1948, et les États-Unis les ont soutenus durant des décennies. Nous avons soutenu les escadrons de la mort en Amérique Latine et ce, bien qu’ils aient massacrés des dizaines de milliers de personnes, 200.000 victimes pour le seul Guatemala. Les Américains ne prêtent pas assez attention à ce que leur gouvernement fait à l’étranger, bien que ces choses soient faites avec l’argent de leurs impôts et en leur nom. Je pense que nous avons à cet égard une responsabilité générale.
Je suis allé à ces rassemblements, je me suis rendu à ces conférences, durant des années. Je les ai rencontrés directement. J’ai rencontré la majorité de ceux au sujet desquels j’ai écrit, soit personnellement soit en groupe. Les gens ne peuvent pas se permettre de faire cela eux-mêmes, par manque de temps, mais il existe sur le sujet pas mal de littérature qu’ils peuvent lire. Ils pourront disposer d’assez d’information pour se faire une idée de la réalité et comprendre ce qu’il en est, et exiger des changements. Je ne suis pas complètement partisan, en ce domaine. Je pense que le Parti républicain a été trop loin dans cette affaire, mais dans le même temps, les Démocrates se sont couchés et n’ont rien remis en question alors qu’ils savaient ce qui se passait.
Un ancien poète romain a dit un jour que vérité et sagesse ne pouvaient tenir des discours opposés. Je crois en cela. Dites la vérité et la sagesse suivra.
Original : Seven Decades of Nazi Collaboration: America’s Dirty Little Ukraine Secret (thenation.com, anglais, 28-03-2014) Traduit par Lionel et Jean-Claude pour vineyardsaker.fr
Notes de traduction [1] : nous utilisons volontairement le sigle « OUN » pour éviter toute confusion avec l’ONU actuelle. [2] : « loup » en français [3] : Anti-Bolshevik Bloc of Nations ; le Bloc des nations anti-bolchéviques était un centre de coordination des associations d’émigrés politiques anti-communistes en provenance d’Union Soviétique et des autres pays socialistes, remontant à une conférence de représentants des peuples non-russes qui eut lieu en novembre 1943, près de Jitomir, à l’initiative de l’Organisation des nationalistes ukrainiens. Lors de la conférence, une plate-forme de lutte révolutionnaire commune contre ce que les participants appelaient le communisme russe fut formulée. L’objectif de l’ABN était de chasser les communistes du pouvoir, d’abolir l’Union soviétique et de la diviser en Etats nationaux. En 1946, l’organisation s’était vu attribuer une structure organisationnelle basée à Munich, d’où elle avait étendu sa gamme d’activités. Les groupes les plus actifs du Bloc étaient les organisations nationales ukrainiennes. L’ABN fut dirigé par Yaroslav Stetsko (de sa fondation jusqu’en 1986, année de sa mort), puis par la veuve de celui-ci, Slava Stetsko. Le Bloc des nations anti-bolchéviques a été dissout en 1996 après l’effondrement de l’URSS. [4] : organisme politique américain chargé de diriger le Parti républicain au niveau national. Il est responsable du développement et de la promotion des idées républicaines, ainsi que de la coordination des collectes de fond et des stratégies électorales. [5] : la Semaine juive de Washington [6] : le National Republican Heritage Groups Council, « Conseil républicain national des groupes patrimoniaux (d’ascendance) », est une des organisations du parti républicain. [7] : une émission de télévision étatsunienne. [8] : fondation privée à but non lucratif des États-Unis dont l’objectif déclaré est le renforcement et le progrès des institutions démocratiques à travers le monde. La NED a été fondée en 1983 et la plus grande part de ses fonds provient du département d’État des États-Unis, avec approbation du Congrès. Le sénateur John McCain est depuis janvier 1993 président de l’IRI (International Republican Institute, l’Institut républicain international), la branche républicaine de la NED. La NED agit dans le monde comme sous-traitant de la partie « légale » des opérations illégales de la CIA. [9] : « Recherché ». [10] : « Retour de flamme ». [11] : Loi sur la liberté de l’information.
Au moins 11 tués, 40 blessés dans des bombardements à Donetsk, Ukraine E., succès scolaire
Octobre 01, 2014 08:26
Au moins 11 personnes ont été tuées et 40 autres ont été blessées à Donetsk, où une école et un arrêt de bus ont essuyé des tirs - aurait des positions de l'armée ukrainienne.
Deux personnes seraient mortes à l'école, et neuf à l'arrêt de bus, selon Dépité Premier ministre Andrey Purgin de Donetsk République populaire.
Pas d'enfants ont été tués dans le bombardement de l'école ?57, de République ministère de l'Intérieur populaire Donetsk a déclaré, cité par l'agence TASS. Le service de presse du ministère a ajouté que les parents et les enseignants ont été victimes du bombardement.
Le conseil de la ville a déclaré que les 70 enfants qui étudient à l'école étaient dans le bâtiment au moment de la grève. Ils ont été évacués à la hâte. Le bâtiment de l'école a été endommagé dans l'attaque.
Encore de RT vidéo
Le ministère russe des Affaires étrangères décrit l'attaque est une violation cynique et flagrante du droit international.
"Le cynisme particulier de ce bombardement est le fait que c'était aujourd'hui la première journée des enfants à l'école. Et ce jour-là, l'artillerie les vise directement. Ceux-ci sont flagrantes, des choses intolérables, "droits de l'homme de l'ombudsman du ministère Konstantin Dolgov dit.
Aucune source ukrainiennes ont encore confirmé l'information.
" L'artillerie lourde feu est entendu à Donetsk. Le quartier Kievsky a été sous le feu - de nombreuses zones résidentielles et d'autres bâtiments ont été endommagés, des civils ont été tués et blessés ", le conseil de la ville a déclaré dans un communiqué.
Les transports en commun a changé routes en raison des bombardements.
Cent quarante-six écoles de la République Donetsk autoproclamée du peuple avaient commencé des classes sur 150, ministre de l'Éducation de Donetsk République Igor Kostenok populaire dit.
Un cessez-le feu entre le gouvernement ukrainien et le Donetsk et les autorités des républiques de Lugansk personnes a été signé à Minsk, en Biélorussie, le 5 Septembre.
La taxe sur le gazole augmente de deux centimes par litre
Le Monde.fr avec AFP | 01.10.2014 à 10h59
Le gouvernement a confirmé mercredi 1er octobre l'augmentation de deux centimes par litre de la taxe sur le gazole. Cette hausse, qui s'inscrit dans le projet de loi de finances (PLF) pour 2015, soit le budget de l'Etat, a été annoncée dans la matinée en conférence de presse par Michel Sapin, ministre des finances, et Christian Eckert, secrétaire d'Etat au budget.
Selon ce dernier, cette augmentation devrait rapporter quelque 800 millions d'euros et ne s'appliquerait pas aux transporteurs, qui ne sont pas soumis à la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques).
Michel Sapin relativise cette hausse, précisant qu'elle fait suite à un recul des prix à la pompe. Selon Carbeo, le prix du litre du gazole se situe au 1er octobre à 1,299 euro contre 1,305 euro au 1er septembre.
FINANCER LES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT
Cette augmentation ne vise pas à « aider l'Etat à terminer ses fins de mois », insiste Michel Sapin, mais à financer « des travaux » dans les infrastructures de transport. Ces deux centimes par litre participeront aux « dépenses de mobilités des contrats de plan Etat-région », c'est-à-dire au financement de projets régionaux importants, d'après le dossier de presse relatif au projet de budget :
« L'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) bénéficiera du péage de transit et du produit d'une augmentation de 2 centimes par litre de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) sur le diesel. »
Cette hausse du prix du gazole compense le manque à gagner de l'écotaxe, abandonnée en juillet.
La Chine nous accuse de fomenter des troubles à Hong Kong
Posté le 30 Septembre, 2014 par WashingtonsBlog
Les États-Unis incite sur les manifestations ?
Les manifestations de masse à Hong Kong sont dramatiques, en effet. Et étant donné que Hong Kong a longtemps joui d'une existence plus libérale sous domination britannique, les protestations contre le gouvernement chinois plus autoritaire ( au moins il sert à être plus autoritaire ) ne sont pas tout à fait surprenant.
Mais les responsables chinois accusent les Etats-Unis d'inciter les protestations. Comme la Chine Temps réel du blog du Wall Street Journal rapports :
Le jeudi, Wen Wei Po a publié un "exposer" dans ce qu'il décrit comme les connexions américaines de Joshua Wong, 17 ans, chef du groupe d'étudiants Scholarism.
L'histoire affirme que "les forces américaines" identifiés il ya potentiels de trois ans M. Wong, et ont travaillé depuis lors pour lui de cultiver comme une "superstar politique."
Preuves pour les liens étroits de M. Wong aux États-Unis que le papier cité inclus ce que le rapport décrit réunions fréquentes avec les États-Unis personnel du consulat à Hong Kong et des dons secrets des Américains à M. Wong. Pour preuve, le document cité photographies fuite par "les internautes." L'histoire a également dit à la famille de M. Wong a visité Macao en 2011, à l'invitation de la Chambre de commerce, où ils sont restés à la «propriété américaine" Venetian Macao, qui est américain propriété de Las Vegas Sands Corp
***
Ce n'est pas la première fois que les médias Beijing-amicales ont accusé les pays étrangers d'ingérence secrète dans l'ancienne colonie britannique. Le gouvernement chinois a longtemps été préoccupé par les services de renseignement occidentaux pourraient tenter d'exploiter l'environnement politique relativement plus ouvert de la ville de pousser la démocratie dans le reste du pays. Les diverses «révolutions colorées» qui ont ouvert la voie à des gouvernements démocratiques à travers l'ex-Union soviétique au début des années 2000, et qui ont été en partie organisées par les ONG étrangères, accru ces préoccupations.
Les allégations de l'intervention étrangère à Hong Kong sont devenus particulièrement intense dans la perspective de 2017, le plus tôt que Pékin a dit résidents de Hong Kong peuvent commencer à élire directement leurs dirigeants. Wen Wei Po et un autre Beijing-penchant journal Hong Kong Ta Kung Pao, par exemple, ont accusé le Royaume-Uni de stationnement espions britanniques à travers les institutions de Hong Kong. Publications pro-Pékin ont également accusé Hong Kong magnat des médias et fervent critique de Pékin Jimmy Lai d'avoir des liens avec la CIA. M. Lai est le fondateur de Next Media Ltd, qui détient les journaux Apple Daily de Taiwan et de Hong Kong, et est un des principaux donateurs à des groupes pro-démocratie à Hong Kong.
Dans son rapport sur M. Wang, Wen Wei Po a dit que la Central Intelligence Agency des États-Unis fait un effort pointu pour infiltrer les écoles de Hong Kong, par exemple à travers le Centre de Hong Kong Amérique , un groupe dirigé par l'ancien diplomate américain Morton Holbrook qui favorise HK-américains liens. Il a également allégué que la CIA est s'entraîne activement une nouvelle génération de leaders de la contestation à Hong Kong en parrainant les élèves à étudier aux États-Unis, dans le but d'alimenter les futures «révolutions de couleur» dans la ville.
Tony Cartalucci écrit :
Derrière les protestations soi-disant «Occupy Central" ... est un réseau profond et insidieuse de soutien financier, politique et des médias étrangers. Parmi les plus marquantes est le Département d'Etat américain et son National Endowment for Democracy (NED), ainsi que la filiale de NED, le National Democratic Institute (NDI).
Maintenant, les États-Unis a adopté une position beaucoup plus manifeste dans le soutien du chaos de leurs propres réseaux de manipulation ont préparé et sont désormais orchestrer. La Maison Blanche a officiellement soutenu ". Occupy centrale" Reuters dans son article, " la Maison Blanche apporte son soutien aux aspirations des gens de Hong Kong , "réclamerait:
La Maison Blanche regarde protestations démocratie à Hong Kong de près et soutient les «aspirations du peuple de Hong Kong», a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Josh Earnest lundi. "
Les États-Unis soutiennent le suffrage universel à Hong Kong en conformité avec la Loi fondamentale, et nous appuyons les aspirations de la population de Hong Kong ", a déclaré Earnest, qui a également exhorté la retenue des deux côtés.
Département d'Etat américain a mis en place et dirige "Occupy Central"
Les commentaires de sérieux sont textuellement les exigences de "Occupy centrale" leaders de la contestation, mais plus important encore, mot pour mot le long mis conçoit NDI du département d'État des États-Unis s'articule sur sa propre page web dédiée à son ingérence en cours à Hong Kong. Le terme «suffrage universel» et la référence à «loi fondamentale» et son «interprétation» au sens de «démocratie véritable» est clairement indiqué sur le site Web du NDI qui affirme:
La Loi fondamentale de mettre en place un cadre de gouvernance, où des groupes d'intérêts spéciaux, ou "circonscriptions fonctionnelles," maintenir la moitié des sièges au Conseil législatif (LegCo). À l'heure actuelle, le directeur général de Hong Kong est également choisi par un comité non démocratique sélectionné. Selon la langue de la Loi fondamentale, cependant, «suffrage universel» est le «but ultime». Alors que «suffrage universel» n'est toujours pas défini dans la loi, les citoyens de Hong Kong ont interprété pour signifier une véritable démocratie.
Pour faire avancer ce dossier - qui consiste essentiellement à empêcher Pékin de vetting candidats en lice pour un bureau à Hong Kong, ouvrant ainsi la porte à des politiciens ouvertement soutenus, financés et dirigés par le Département d'Etat américain - NDI présente un tableau de l'ingérence continue il est porteur sur l'île. Il déclare:
Depuis 1997, le NDI a organisé une série de missions à Hong Kong d'envisager l'élaboration de "post-retour" élection cadre de Hong Kong, le statut d'autonomie, l'État de droit et les libertés civiles en vertu de la souveraineté chinoise, et les perspectives d', et les défis à la démocratisation.
Il affirme également:
En 2005, le NDI a lancé un programme pour les jeunes de six mois des dirigeants politiques mis l'accent sur la formation d'un groupe de partie montante et les membres des groupes politiques en politiques compétences de communication.
Et:
NDI a également travaillé pour amener les partis politiques, les chefs de gouvernement et les acteurs de la société civile ainsi que dans des forums publics pour discuter du développement des partis politiques, le rôle des partis à Hong Kong et la réforme politique. En 2012, par exemple, une conférence de Hong Kong de réflexion SynergyNet soutenu par NDI présenté les panélistes de l'ensemble des partis idéologique et exploré comment l'adoption d'un système de gouvernement de coalition pourrait conduire à un processus législatif plus réactif.
NDI admet aussi qu'il a créé, financé et soutenu par d'autres organisations opérant à Hong Kong en vue d'atteindre les objectifs du Département d'État des États-Unis de renverser le contrôle de Pékin sur l'île:
En 2007, l'Institut a lancé le programme politique de la participation des femmes qui a travaillé avec Participation politique du Réseau des femmes (WPPN) et la Fédération de Hong Kong de centres (HKFWC) des femmes pour améliorer la participation des femmes dans l'élaboration des politiques, d'encourager une participation accrue à la vie politique et veiller à ce que Les problèmes des femmes sont pris en compte dans le processus d'élaboration des politiques.
Et sur une page séparée, le NDI décrit les programmes qu'elle mène avec l'Université de Hong Kong pour atteindre son ordre du jour:
Le Centre de droit comparé et publique (CCPL) à l'Université de Hong Kong, avec l'appui du NDI, travaille à amplifier la voix des citoyens dans ce processus de consultation en créant conception de la démocratie à Hong Kong (www.designdemocracy.hk), un unique et site neutre qui donne aux citoyens un endroit pour discuter de l'avenir du système électoral de Hong Kong.
Il ne devrait pas être une surprise pour les lecteurs, puis, à savoir tous les dirigeants "Occupy Central" est directement liée au Département d'État des États-Unis, NED, NDI et, ou impliqué dans l'un des nombreux programmes de NDI.
"Occupy de centrale" leader auto-proclamé, Benny Tai, est un professeur de droit à l'Université susmentionnée de Hong Kong et un collaborateur régulier avec la CCPL NDI-financé. En 2006-2007 (rapport annuel, pdf ), il a été nommé en tant que membre du conseil d'administration - un poste qu'il a occupé jusqu'à au moins aussi récemment que l'année dernière. Dans de CCPL 2011-2013 rapport annuel (pdf ), le NDI est répertorié comme ayant fourni des fonds pour l'organisation de «concevoir et mettre en œuvre une ligne de modèles suffrage universel portail où le grand public peut discuter et fournir des commentaires et des idées sur la méthode de universelle suffrage est le plus approprié pour Hong Kong ".
Curieusement, dans le rapport annuel le plus récent de CCPL pour 2013-2014 (pdf ), Tai n'est pas répertorié comme un membre du conseil d'administration. Cependant, il est inscrit comme participant à au moins 3 conférences organisées par CCPL, et que la position d'au moins un des projets de CCPL. Au moins une conférence a lui parlant côte à côté une autre figure de premier plan "Occupy Central", Audrey Eu. Le rapport annuel 2013-2014 indique également que le financement NDI «Design démocratie à Hong Kong" le site de CCPL.
Présidente du Parti civique Audrey Eu Yuet-mee, en plus de parler à des fonctions CCPL-NDI côte-à-côte avec Benny Tai, est entrelacée avec le Département d'Etat américain et son NDI ailleurs. Elle participe régulièrement à des forums parrainés par NED et sa filiale NDI. En 2009, elle était un conférencier invité à un NDI parrainé Forum des politiques publiques organisé par "SynergyNet," également financé par le NDI . En 2012, elle a été conférencier invité au Centre événement NDI financé par des femmes "Journée internationale des femmes" , organisé par le Conseil de Hong Kong de la femme (HKCW) qui est aussi chaque année financé par le NDI .
Il y a aussi Martin Lee, président fondateur du Parti démocrate de Hong Kong et une autre figure de premier plan qui a pris position en faveur de "Occupy centrale." Juste cette année, Lee était à Washington réunion directement avec le vice-président américain Joseph Biden, membre du Congrès américain Nancy Pelosi , et a même pris part à une conversation NED organisé spécialement pour lui et son ordre du jour de la «démocratie» à Hong Kong. Lee a même une page qui lui est dédiée NED après , il a reçu en 1997 NED «Democracy Award . "Avec lui à Washington était Anson Chan, un autre personnage important qui soutiennent actuellement la poursuite des troubles dans les rues de Hong Kong.
Les États-Unis certainement favorisé un changement de régime dans le monde entier, souvent à l'aide d'organisations non gouvernementales que des groupes avant de passer de l'argent aux dissidents qui renverseront le gouvernement.
Par exemple, l'USAID a été appelé la «nouvelle CIA" , et le FBI dénonciateur Sibel Edmonds dit le Blog de ??Washington que le Département d'Etat américain est impliqué dans de nombreuses opérations de «pouvoir dur», la coordination souvent par le biais bien connu "organisations non gouvernementales" (ONG ). Plus précisément, Edmonds a expliqué que de nombreuses ONG bien connues - qui prétendent se concentrer sur le développement, le contrôle des naissances, les droits des femmes, la lutte contre l'oppression et à d'autres usages "magnifique de sondage" ou les questions en apparence bénignes - agissent comme des couvertures pour les opérations du département d'Etat. Elle a dit que le Département d'Etat place directement des agents à l'intérieur des ONG.
Edmonds nous a dit aussi - à la fin des années 90 et au début des années 2000 - peut-être 30-40% des personnes travaillant pour des ONG exploités par George Soros ont été effectivement travaille pour le Département d'Etat américain.
Si tout cela semble trop noisette, rappelez-vous que les historiens disent que la baisse des empires ont tendance à attaquer leurs rivaux hausse ... de sorte que le risque d'une guerre mondiale est à la hausse parce que les États-Unis se sent menacé par l'empire croissante de la Chine .
Le gouvernement américain considère la rivalité économique pour servir de base à la guerre. Et les États-Unis systématiquement recours à l'armée pour contenir l'influence économique croissante de la Chine .
Et les sanctions américaines contre la Russie sont pas l'effet désiré ... en grande partie parce que la Chine est ainsi combler le vide par la négociation avec la Russie et même le prêter de l'argent .
En effet, la Chine, la Russie, l'Inde et le Brésil ont formé ce que certains économistes top disent est une alternative aux institutions financières occidentales, la Banque mondiale et le FMI. Et la Chine est difficile pétrodollar .
Ce n'est donc pas au-delà du domaine du possible que les États-Unis (et l'ancien propriétaire de Hong Kong, la Grande-Bretagne) egged sur les manifestants la démocratie à Hong Kong pour tenter de secouer le régime chinois.
0,01% crient, «Plus la guerre !" comme un million d'enfants meurent de pauvreté chaque mois; vous exigez arrestations MAINTENANT ?
Posté le 1 Octobre, 2014 par Carl Herman
Les États-Unis a commencé 201 attaques armées étrangères depuis WW2, provoquant les peuples du monde à conclure dans les sondages que les États-Unis est en effet # 1 comme la nation la plus menaçante pour la paix mondiale . Ces attaques armées des États-Unis ouvertes ont tué ~ 30 millions et comptage; 90% de ces décès sont innocents enfants, les personnes âgées et de travail ordinaire femmes civiles et les hommes. Ces attaques armées américaines ont -guerre assassiné plus de nazis d'Hitler .
Surtout, les rapports officiels américains confirment maintenant tous les «raisons» de la guerre aux États-Unis, 01% déclarent étaient connus pour être faux comme ils ont dit .
Plus important encore, ce mensonge a commencé guerres américaines ne sommes même pas près de légitime, et continuons une longue histoire de mensonge a commencé guerres d'agression américaines. Le général des Marines américain le plus décoré en son temps a averti tous les Américains de ce fait des guerres de fauteuils-commencé pour 1% pillage, et conseiller principal de W. Bush et le chef adjoint d'état-major, Karl Rove, a reproché journaliste lauréate du prix Pulitzer, Ron Suskind, qui gouvernement poursuivra ces actions de «créer notre propre réalité», peu importe ce que quelqu'un d'autre pourrait-on dire.
Comme nous le constatons, les États-Unis / Royaume-Uni / Israël .01% hurlent en permanence pour encore plus de guerre en Syrie, l'Irak, l'Iran, la bande de Gaza, l'Ukraine, la Russie, où ISIS ou Khorasans pourraient être, et partout ailleurs. Toutes ces attaques armées sont évidemment habits neufs de l'empereur -unlawful des deux traités gagnés par tous les sacrifices de nos familles de deux guerres mondiales. Ces meurtres de guerre sont pris en charge par d'autres anciens gouvernements impérial puissance-fous et de l'organe créé après la dernière guerre mondiale: l'ONU .
La rhétorique américaine d'être "le coeur brisé" pour 276 filles africaines , ou de soin des 426 morts les enfants syriens sont psychopathe prétexte, car les États-Unis revient sur chaque promesse de mettre fin à la pauvreté qui permettrait de sauver un million d'enfants de décès horriblement lents et douloureux chaque mois (20.000 - 30.000 tous les jours). J'ai été témoin de "les dirigeants" des deux parties seulement et toujours mentir et déshonorent leurs promesses de mettre fin à la pauvreté en tant que lobbyiste RÉSULTATS sur deux Sommets mondiaux des chefs d'État.
Depuis 9/11, US renié les promesses de mettre fin à la pauvreté ont tué plus de 100 millions d'enfants, deux fois le nombre d'enfants inscrits à la prématernelle à la 12e année aux États-Unis .
Depuis le .01 s '% promesses manqué de peu 1998, le total des décès dus à la pauvreté évitable est conservatrice supérieure de toutes les guerres, les révolutions, les meurtres, les accidents et les suicides dans les 20e et 21e siècles. *
Depuis les années 1990, du Sommet mondial pour les enfants où la promesse de mettre fin à la pauvreté était (encore une fois) sincèrement remise en garantie, nombre total de décès de la pauvreté éclipsent toutes les catégories ci-dessus de décès dans toute l'histoire humaine connue.
Le point d'enlever le 01% de l'effet de levier est pour ceux d'entre nous parmi les 99,99% de pouvoir d'arrestation à l'exercer pour les crimes et les meurtres de soldats américains qui ont été menti-en guerres criminelles de guerre en cours. Ceux d'entre nous avec des serments à "défendre la Constitution contre tous les ennemis, étrangers et nationaux" sont tenus par l'honneur d'exposer et de mettre fin à ces crimes Orwell.
Nous invitons tous les intéressés à demander des arrestations comme réponse légitime à restaurer ces limites explicites au pouvoir du gouvernement , arrêter les crimes de guerre, et de prévenir d'autres meurtres de guerre.
Vous pouvez tous nous engager votre voix, le cœur et l'esprit, oui?
* En supposant que 15 ans de décès de la pauvreté totalisant 225 millions et 23 ans à 400 millions (décès de pauvreté ont diminué au cours des 20 dernières années) par rapport aux estimations de 160 millions de morts de la guerre de Scaruffi, P., Les guerres et les pertes de la 20e et 21e siècles , et 230 millions de Leitenberg, M, Décès de guerres et les conflits du 20e siècle , (ainsi que relativement petit nombre de meurtres, accidents et les suicides). Nombre de décès dans le monde dans l'histoire enregistrée est probablement une estimation sûre donné une population mondiale d'environ 1,6 milliard en 1900 Ma mission pour les élèves du secondaire sur la fin de la pauvreté avec toute la documentation: L'économie de la fin à la pauvreté. Malgré l'investissement pour sauver un million la vie des enfants chaque mois à partir de la pauvreté évitable étant seulement 0,7% de notre revenu national brut, malgré que chaque cas historique de la pauvreté se terminant réduit le taux de croissance de la population, et en dépit des États-Unis promet de faire cet investissement lors des sommets mondiaux, le «leadership» de 1% au sein du gouvernement et médias corporatifs renient et ignorent toutes les promesses de mettre fin à cette torture broyage, ces décès atroce et prolongée des enfants .
Un cas grave a été faite à plusieurs reprises par des chercheurs inconnus et célébré dans le monde des génies pour plus d'un siècle qu'une étape vers l'abolition de la guerre probable serait institue une forme de gouvernement mondial. Pourtant, le mouvement pour la paix mentionne à peine l'idée, et ses partisans aussi souvent que semble pas un peu naïf sur l'impérialisme occidental; ils sont certainement pas central ou bien intégrée dans le mouvement de la paix ou même, autant que je peux dire, en études sur la paix du monde universitaire. (Voici un lien à l'un des principaux groupes de défense des droits de gouvernance mondiale la promotion d'une guerre américaine contre l'ISIS.)
Trop souvent le cas pour un gouvernement mondial est même fait de cette manière: gouvernement mondial serait de garantir la paix, alors que son absence garantit guerre. La bêtise de ces affirmations, je pense, ce que les dommages peut être une cause absolument essentiel. Personne ne sait ce que le gouvernement mondial garantit, car il n'a jamais été essayé. Et si les gouvernements nationaux et locaux et toutes les autres grandes institutions humaines sont un guide, un gouvernement mondial pourrait apporter un million de choses différentes en fonction de la façon dont c'est fait. La grave question devrait être de savoir si il ya une façon de le faire qui rendrait la paix plus probable, sans risque sérieux de se retourner contre eux, et si la poursuite d'un tel cours est un chemin plus susceptibles de paix que d'autres.
Est-ce que l'absence de gouvernement mondial garantir la guerre? Je n'ai pas vu la moindre preuve. De 200 pays, 199 investissent beaucoup moins dans la guerre que les États-Unis. Certains ont éliminé leurs armées entièrement. Costa Rica n'est pas attaqué parce qu'il manque un militaire. Les États-Unis est attaqué en raison de ce que son armée fait. Certains pays vont siècles sans guerre, tandis que d'autres peuvent apparemment pas aller plus d'une demi-cycle électoral. Dans leur livre une démocratie mondiale, Jerry Tetalman et Byron Belitsos écrire que les nations ne vont pas à la guerre parce qu'ils sont armés ou inclinée vers la violence, mais parce que «ils sont désespérément frustrés par le fait qu'ils n'ont pas de forum législatif ou judiciaire dans laquelle leurs griefs peut être examinée et tranchée ".
Pouvez-vous, cher lecteur, souvenir d'une époque où le public américain a eu un grief avec un pays étranger, a déploré l'absence d'un tribunal mondial pour statuer, et a demandé que le Congrès et le Pentagone déclare mener une guerre? Combien de marches pro-guerre avez-vous été, vous amant de la justice ? Lorsque les talibans ont offert de laisser un pays tiers mis Ben Laden en justice, est-ce que le public américain a répondu: «Pas du tout, nous voulons une guerre", ou était-ce le président ? Lorsque le vice-président américain a rencontré les dirigeants de la compagnie pétrolière de planifier l'occupation de l'Irak, pensez-vous que l'un d'eux ont mentionné leur frustration à la faiblesse du droit international et de l'arbitrage ? Lorsque le Président des États-Unis en 2013 n'a pas pu amener le Congrès ou le public d'accepter une nouvelle guerre contre la Syrie et a finalement accepté de négocier le retrait des armes chimiques sans guerre, pourquoi la guerre était le premier choix plutôt que la seconde ? Quand les défenseurs de la revendication de gouvernement mondial que les démocraties ne font pas la guerre, ou des nations lourdement armés ne sont pas plus susceptibles de faire la guerre, ou les nations avec des cultures qui célèbrent la guerre ne sont pas plus susceptibles de faire la guerre, je pense qu'ils font mal leur cause.
Lorsque vous démarrez une campagne pour abolir l'institution de la guerre, vous entendez de toutes sortes de gens qui ont la solution pour vous. Et la quasi-totalité d'entre eux ont de grandes idées, mais la quasi-totalité d'entre eux pensent tout autre idée, mais leur est inutile. Donc, la solution est un gouvernement mondial et rien d'autre, ou une culture de la paix et rien d'autre, ou le désarmement et rien d'autre, ou le racisme fin et rien d'autre, ou le capitalisme détruire et rien d'autre, ou contre-recrutement et rien d'autre, ou la réforme des médias et rien d'autre, ou de la campagne électorale de la réforme du financement et rien d'autre, ou de créer la paix dans nos cœurs et rayonnant vers l'extérieur et rien d'autre, etc Donc, ceux d'entre nous qui trouvent valeur dans l'ensemble de ce qui précède, doivent encourager les gens à choisir leur favori et se mettre au travail sur elle. Mais nous devons aussi essayer de donner la priorité. Donc, encore une fois, la grave question est de savoir si un gouvernement mondial devrait être poursuivi et si elle doit être une priorité absolue ou quelque chose qui attend au bas de la liste.
Il y a, bien sûr, des arguments sérieux que le gouvernement mondial ferait qu'empirer les choses, ce grand gouvernement est forcément dysfonctionnelle et un gouvernement absolument grand serait dysfonctionnel absolument. Sérieux, si vague, arguments ont été avancés en faveur de faire de notre objectif "anarcracy" plutôt que la démocratie mondiale. Ces arguments sont dépassés en volume de déclarations paranoïaques comme celles de cet e-mail type que j'ai reçu:
«La guerre est un crime, oui d'accord tout à fait, mais fait de l'homme Global Warming est une arnaque complète. Je sais que cela est un fait. Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome, m'a offert un emploi comme l'un de ses adjoints (mon oncle, Sir Harry, plus tard Lord Pilkington est allé à la première Conférence de Bilderberg en 1954, un an avant son arrivée un directeur de la Banque d'Angleterre et a été un membre loyal de l'élite mondiale des entreprises) et il m'a dit que c'était tout un programme pour aider effrayer le monde en acceptant la gouvernance mondiale à leurs conditions. Soyez très prudent, vous êtes sans le savoir, jouez leur jeu. Meilleurs voeux Justin "
Un des avantages énormes de gouvernement mondial ne semble être que cela pourrait résoudre le réchauffement climatique à l'échelle mondiale. Pourtant, l'horreur de gouvernement mondial est si grand que les gens pensent que les sécheresses et les tornades qui détruisent la terre tout autour d'eux sont en quelque sorte un complot secret pour nous inciter à la mise en place d'un gouvernement mondial.
Il y a un demi-siècle, l'idée d'un gouvernement mondial était acceptable et populaire. Maintenant, quand nous entendons parler de ces jours, il est souvent dans des tons sinistres ont porté sur les pires motivations des pires joueurs à la fois. Moins fréquents sont les comptes qui nous rappellent d'un projet d'espoir, bien intentionnée, mais inachevé.
Je pense que les défenseurs de la fédération mondiale et état de droit mondial sont sur une idée importante qui doit être poursuivi immédiatement. Réchauffement de la planète nous laisse peu de temps pour prendre sur d'autres projets, mais il s'agit d'un projet essentiel pour aborder cette crise. Et c'est un projet que je pense peut coexister avec le déplacement de plus de puissance pour les provinces, les localités et les particuliers.
Le plus grand Léviathan, affirme Ian Morris, la guerre moins il y aura, aussi longtemps que le Léviathan est des États-Unis et il ne s'arrête jamais engagement de conflits. Les partisans de gouvernement du monde ont tendance à se mettre d'accord avec la première partie de cela, et je pense qu'ils sont en partie raison. La règle de droit contribue à réguler les comportements. Mais si faire d'autres facteurs. Je pense que l'Ecosse pourrait quitter le Royaume-Uni ou la Catalogne quittent l'Espagne, laissez Québec Canada, Vermont quitter les Etats-Unis sans la possibilité de la guerre de plus en plus. Au contraire, je pense que certains de ces nouveaux pays serait avocats de la paix. Ont été au Texas de faire sécession, qui pourrait être une autre histoire. C'est-à-dire, les habitudes de la paix et des cultures de la paix nécessaires pour permettre à une fédération mondiale pourrait rendre une telle fédération moins nécessaire - peut-être encore nécessaire, mais moins. Si le public américain a demandé la paix et la coopération et la participation à la Cour pénale internationale, il serait prêt à demander la participation à une fédération mondiale, mais la paix peut-être déjà - au moins en grande partie - à l'arrivée.
Exceptionnalisme national extrême, qui n'est pas tenu par le nationalisme, est clairement un pilote de guerre, l'hostilité et l'exploitation. Le président Obama a récemment déclaré qu'il ne se réveille le matin, parce que les Etats-Unis est la seule nation indispensable (ne demandez pas ce que fait les autres). Le thème de son discours a été la nécessité de commencer une autre guerre. Le candidat présidentiel républicain Ron Paul a été une fois hué lors d'un débat primaire, pas pour s'opposer à la guerre, mais pour ce qui suggère que la règle d'or appliquée aux relations avec les pays étrangers. Il est clair que nous devons devenir des citoyens du monde dans nos esprits ainsi que dans le droit écrit.
Rudolf Gelsey m'a récemment envoyé son livre, réparant notre monde brisé: Un chemin vers la paix perpétuelle , ce qui m'a amené sur le livre de Tetalman et Belitsos. Je pense que ces auteurs bénéficier de la sagesse des années 1920 hors la loi le mouvement, mais je pense qu'ils font un excellent travail de reconnaître les réussites et les échecs de l'Organisation des Nations Unies, et de proposer des réformes ou de remplacement. Faut-il avoir peur d'une règle de droit international? Tetalman et Belitsos réponse:
"En vérité, vivre dans un système de guerre et d'anarchie avec ADM facilement disponibles pour une utilisation sur le champ de bataille - qui est le choix vraiment effrayant quand on la compare à la tyrannie. "
C'est la clé, je pense. Poursuivant avec le système de guerre et de destruction de l'environnement menacent le monde. Il vaut bien mieux d'essayer un monde avec un gouvernement que de perdre le monde. Il vaut bien mieux un système qui cherche à punir les responsables de guerre individuels d'un que les bombes nations entières.
Comment pouvons-nous y arriver ? Tetalman et Belitsos recommandent l'abolition du droit de veto à l'ONU, l'expansion de la composition du Conseil de sécurité, la création d'une base d'imposition pour une ONU qui reçoit actuellement environ 0,5 pour cent ce que le monde investit dans la guerre, et d'abandonner les pouvoirs de guerre en faveur de la police des Nations Unies. Ils proposent également des coups de pied de l'Organisation des Nations Unies des pays pas tenue d'élections libres, ou en violant les lois internationales. Il est clair que faudrait une exigence pour l'avenir et ne sont pas appliquées de façon rétroactive ou vous perdriez trop de grands membres et gâcher l'ensemble du plan.
Les auteurs envisagent une période de transition dans laquelle l'ONU utilise guerre pour empêcher la guerre, avant d'arriver à l'âge d'or de n'utiliser que la police. Je suis enclin à croire que l'étape imaginé devrait être sauté sur pour que cela fonctionne. Les États-Unis / OTAN / ONU ont eu recours à la guerre pour débarrasser le monde de la guerre pendant trois quarts de siècle avec un triste record de l'échec. Je soupçonne que les auteurs ont également tort de proposer élargissement de l'Union européenne comme un moyen pour arriver à une fédération mondiale. L'Union européenne est le deuxième plus grand pourvoyeur de violence sur la terre en ce moment. Peut-être les BRICS et autres pays non-alignés pourraient commencer ce processus mieux, ce qui après tout va exiger des États-Unis, soit la hausse ou de sombrer à l'humilité inimaginable aujourd'hui.
Peut-être une fédération peut être établie que sur la question de la guerre, ou seulement sur la question du désarmement nucléaire, ou la préservation du climat. Le problème, bien sûr, est que la volonté des tyrans dominants de s'engager dans l'une est aussi improbable que, et intimement liée à chacun des autres. Qu'est-ce qui tout cela serait plus probablement si nous avons commencé à en parler, penser, planifier en conséquence, rêver, ou même juste entendre les paroles quand nous chantons des chansons de John Lennon. Le mouvement de la paix des États-Unis est actuellement inondée de nationalisme, utilise le «nous» de dire l'armée américaine, et pense de "citoyen du monde" comme un peu d'enfantillage ridicule. Cela doit changer. Et rapidement.
Comment Bad pourrait-il faire ? Arrêté du Gouvernement des États-Unis de 160.000 costumes de matières dangereuses donne un indice
Soumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 11:17 -0400
Maintenant que le virus Ebola est officiellement aux États-Unis sur une base non contrôlée, les deux questions sur toutes les lèvres sont i) qui deviendra malade prochaine et ii) à quel point pourrait-il obtenir ? Nous ne connaissons pas la réponse à la question n ° 1 pour l'instant, mais quand il s'agit de la seconde, un communiqué de presse il y a trois semaines de Lakeland Industries, un fabricant et vendeur d'une "gamme complète de vêtements et d'accessoires de sécurité pour le secteur industriel marché des vêtements de protection "peut donner une idée de à quel point la Département d'État des États-Unis pense qu'il peut obtenir. Parce que quand le gouvernement américain achète 160 000 combinaisons de matières dangereuses spécialement conçus contre le virus Ebola, juste devant la pire épidémie d'Ebola dans l'histoire des États-Unis faisant touché terre, on se demande: que savent-ils que nous faisons le pas ?
De Lakeland Industries :
Lakeland Industries, Inc. (LAC), un des principaux fabricants mondiaux de vêtements de protection industrielle pour l'industrie, les municipalités, la santé et les premiers intervenants sur les niveaux fédéral, étatique et local, a annoncé aujourd'hui la disponibilité mondiale de ses vêtements de protection pour une utilisation dans la manipulation du Ebola virus. En réponse à la demande croissante de vêtements de protection spéciaux soient ver par les travailleurs de la santé et d'autres étant exposées au virus, Lakeland augmente sa capacité de fabrication de ces vêtements et comprend procédés exclusifs pour une étanchéité de couture spécialisée, une technologie bien supérieure pour la protection contre les risques viraux que les produits non scellées.
" Lakeland est prête à se joindre à la lutte contre la propagation du virus Ebola ", a déclaré Christopher J. Ryan, président et chef de la direction de Lakeland Industries. «Nous comprenons la difficulté d'obtenir des produits appropriés grâce à un système d'approvisionnement qui en temps de crise favorise la disponibilité sur les spécifications, et nous espérons que notre capacité supplémentaire permettra d'atténuer ce problème. Avec le Département d'État des États-Unis seulement mettre une enchère pour 160 000 costumes, nous encourager toutes les entreprises de protection de vêtements pour augmenter leur capacité de production de vêtements de couture scellés afin que notre industrie peut faire sa part dans la lutte contre cette menace pour la santé mondiale .
Bien sûr, les achats effectués par le gouvernement américain sont achetés et payés par les contribuables. Pour tout le monde il y a $ 1200 la livraison de vente par correspondance :
Cela dit ... 160000 hazmats pour une maladie qui est soi-disant pas l'air ? Mmmk.
Le gouverneur du Texas Rick Perry pour expliquer comment (Malgré 2ème cas) Ebola est "contenu" - Live Feed
Soumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 12:54 -0400
Avec les rumeurs d'étalement (et apparemment confirmé) d'un cas 2ème Ebola à Dallas; Le gouverneur du Texas Rick Perry est mis à expliquer à l'opinion publique américaine que tout est sous contrôle (en dépit de l'hôpital évacuer la victime Ebola il ya 2 jours) et le virus est contenu (en dépit de sa propagation potentielle de 12-18 personnes et plus) ... Reuters d'autres rapports que l'homme qui est traité pour Ebola au Texas ont voyagé à travers Bruxelles en route vers des États-Unis selon le ministère libérien de l'information. Rassurez-Américains, danse mamans seront bientôt sur ??... Comme le rapporte KRJH, Une deuxième personne dans le Texas est surveillé pour Ebola après l'entrée en contact étroit avec la première personne aux États-Unis diagnostiqué, selon les responsables de la santé. Le gouverneur Rick Perry a prévu une conférence de nouvelles à l'hôpital de Dallas où un homme avec le premier cas d'Ebola diagnostiqués aux États-Unis reste en isolement.
Poutine: la Russie «ne considére pas « l'accès à Internet en le limitant
Octobre 01, 2014 14:19
Lors d'une réunion avec le Conseil de sécurité de Russie, le président Vladimir Poutine a déclaré que le problème de «l'espace d'information» de la sécurité du pays est de première priorité, mais a assuré l'état n'a pas l'intention de limiter l'accès au Web.
" Nous n'avons pas l'intention de limiter l'accès à l'Internet, le mettre sous le contrôle total, rendre l'Internet plus governmentalized. Nous n'allons pas limiter intérêts juridiques et les possibilités des personnes, des organisations non-gouvernementales et les entreprises dans le domaine d'information ", a déclaré M. Poutine lors d' la réunion de mercredi.
Il a ajouté que de telles " déraisonnables "et" totales "restrictions contradiction avec les principes fondamentaux de la démocratie, y compris la liberté de la presse et les droits civils d'accès et de diffusion de l'information. Il a déclaré l'état a été " pas même envisage "de telles mesures.
Discuter des questions de sécurité de "la Russie espace d'information »sous« menaces contemporaines , "Poutine a indiqué que le réseau mondial contient des sources qui favorisent le terrorisme, la xénophobie et la haine religieuse, ainsi que de pornographie infantile, la drogue et le suicide.
Ces sites ne seront pas tolérés et seront toujours fermées, selon les lois qui existent vers un contenu illicite dans le monde entier, a déclaré M. Poutine.
Abordant la question de la coopération internationale pour assurer la sécurité informationnelle mondiale, M. Poutine a déclaré que la Russie, avec ses BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) partenaires avait fermement condamné la surveillance électronique de masse et de la collecte des renseignements personnels, menée par " certains services à la pointe de renseignement . "
" Nous pouvons voir que certains pays tentent d'utiliser leur position dominante dans l'espace informationnel mondial pour atteindre non seulement économique, mais aussi des objectifs militaires et politiques ", a déclaré le président du Conseil de sécurité.
M. Poutine a également mentionné que le segment russe de la toile mondiale est souvent attaqué, avec l'ampleur de ces cyber-attaques en fonction de la situation politique actuelle dans le monde.
La Russie va protéger sa souveraineté dans le domaine, M. Poutine a ajouté, disant que les produits et les technologies russes pour assurer la sécurité dans le domaine sont en cours d'élaboration.
Le gouverneur de Californie interdit les drones paparazzi, jours après avoir approuvé les drones de la police
Octobre 01, 2014 11:37
Un projet de loi empêchant les paparazzi de cibler les célébrités avec des drones de caméra équipée a été signé par le gouverneur de Californie Jerry Brown, quelques jours après il a été critiqué pour avoir abattu un projet de loi exigeant la police d'obtenir un mandat d'utiliser un drone.
La loi, approuvée mardi, interdit l'utilisation d'un drone de capturer des images et enregistrer les voix de personnes qui n'ont pas donné leur autorisation pour cela. L'auteur du projet de loi, Ed Chau, a salué le gouverneur de maintien de la législation de l'Etat au courant de la technologie moderne. " Comme la technologie continue de progresser et de nouveaux dispositifs robotisés comme devenus plus abordables pour le grand public, la possibilité de la vie privée d'un individu envahi augmente sensiblement , "a t-il dit, cité par l'AFP. tôt , Sean Burke, fondateur de l'Initiative de réforme Paparazzi, campagne pour des lois plus strictes de confidentialité, a déclaré drones étaient un " énorme problème de la vie privée.
" Le Press Photographers Association nationale s'est toutefois opposée à ce projet de loi, en faisant valoir qu'il pourrait restreindre la capacité de recueillir de nouvelles." Nous croyons qu'il y a des lois appropriées pour faire face à ce genre de questions, qu'il s'agisse de l'intrusion, le harcèlement ou de harcèlement ", a déclaré l'avocat général Mickey Osterreicher de l'association, tel que cité par le Orange County Register." Pour distinguer ce qui est apparemment une activité Premier Amendement protégé devient problématique. Il y a une distinction claire entre avoir une attente raisonnable de vie privée dans votre propre maison et d'être en public. Il y a suffisamment de mesures sur les livres pour faire face à cela sans avoir à rédiger une de ces lois. " Quelques jours avant de restreindre l'utilisation de drones pour paparazzi, Brown a accordé plus de liberté d'utilisation de drones pour la police de l'État. Le dimanche, le gouverneur a opposé son veto sur la responsabilisation Drone loi, ce qui aurait nécessité des services de police d'obtenir un mandat avant d'utiliser un véhicule aérien sans pilote, ou drones, pour la surveillance. L'un des auteurs de cet acte, membre de l'Assemblée républicaine Jeff Gorell, a commenté sur le droit de veto en disant qu'il montre « l'ère de gouvernement surveillance continue . "
Gaffe "de Fat-doigts»: 617bn $ accidentellement négociés sur la Bourse de Tokyo
Octobre 01, 2014 13:43
Un accident sur la Bourse de Tokyo a donné lieu à une erreur de négociation qui a failli causer $ 617 000 000 000 dans les métiers non intentionnelles dans certaines des plus grandes entreprises du Japon.
Une fois que l'erreur a été découverte les ordres d'achat d'actions ont été annulées.
Des dizaines de milliers de milliards de yens dans les ordres d'achat d'actions ont été placées, puis annulés à 09h25 heure de Tokyo, selon un responsable de l'Association canadienne des courtiers Japan Securities (JDSA).
Les actions de 42 entreprises, y compris les constructeurs automobiles Toyota et Honda, la plus grande banque Mitsubishi UFJ du Japon, et la société d'imagerie Canon ont été presque affectés par le pépin.
Près de 57 % des actions de Toyota, 1960000000 parts, a été accidentellement placé. Le Trade 116 milliards a été annulée avant d'être terminée, selon un responsable de l'association.
«Je n'ai jamais entendu parler de ce gros ordres étant annulé avant, même si nous n'avons pas mis rapports spécifiques ainsi sur les commandes précédemment annulées», a déclaré le responsable JSDA. L'erreur a été remarqué au début des heures de négociation lorsque le régulateur de l'industrie a déclaré avoir reçu un rapport d'une erreur.
L'incident anodin
«C'est pas sorcier qu'il y avait un gros doigt ici, mais il rouvre la question de la responsabilité," Gavin Parry, directeur général de courtage basée à Hong Kong Parry International Trading, a déclaré à Bloomberg Nouvelles. «Fat finger» est un terme d'argot pour une erreur de négociation qui se produit lorsque les transactions incorrectes sont placés en raison d'une erreur typographique.
"Il y a une probabilité d'un courtier confondu le nombre d'actions pour la valeur des actions. On devine que c'est la raison pour laquelle le marché de gré à gré voit grandes croix - il est plus facile d'annuler les erreurs ", a déclaré Parry. Fat-doigté n'est pas rare. En 2005, lors de l'offre publique initiale de J-COM, un commerçant accidentellement tapé un ordre de vente 600000 parts à ¥ 1 quand il veut vendre 1 action au ¥ 600,000. La société du trader n'a pas pris la faute de frappe dans le temps qui a entraîné une perte $ 347 000 000, divisé entre le central et l'entreprise de l'opérateur, Mizuho.
Stupéfait Japon depuis le plus grand, $ 617 milliards "Fat Finger" erreur de négociation stocks Chelem
Soumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 10:25 -0400
Il y a quelques jours, Bloomberg avait un profil fascinant de la personne, le pardon dégénéré Pachinko joueur, qui va sous le nom de SIC, et qui est le « homme mystère qui se déplace sur le marché japonais. " En un mot, la CEI, un commerçant de jour de l'élan et la preuve vivante de biais de survie dans la finance (parce que pour tous les CIS qui a, paraît-il, faites il quelque 999.999 ont échoué) a amassé une fortune qu'il dit dépasse maintenant ¥ 16000000000 après avoir échangé ¥ 1700000000000 dans sa carrière, générant un bénéfice après impôts de 6 milliards de yens en 2013 seul. Bien sûr, les chiffres sont susceptibles sauvagement fabriqués à des fins de consultations de page dommage parce que Bloomberg admet lui-même, «la CEI n'a pas offert une comptabilité complète de ses déclarations d'investissement et de sa richesse de cette histoire, et certaines de ses demandes ne peuvent pas être vérifiées."
Cela dit, il est en effet le cas que le Japon a de plus en plus un marché de dessin animé dans lequel tandis que les jours peuvent passer sans un seul commerce qui aura lieu dans son marché obligataire truqué, où la Banque du Japon a absorbé toute la liquidité, quand il s'agit de titres de participation , il est devenu gratuit pour tous pour "M. Watanabes" qui n'ont jamais pris la finance, de la comptabilité ou de l'économie, mais qui tout savoir sur heatmaps et de l'élan à courir, et, par conséquent, dans un environnement marché / marée montante, ont tous grandi ridiculement riche.
Le problème, bien sûr, est que ce que certains peuvent appeler un marché est loin d'être, et est devenu un terrain de jeu fragile de quelques techniciens qui se déplacent des sommes énormes d'argent d'un point A à un point B, dans l'espoir de déjouer les quelques autres encore, tout en dans le processus de gagner les loyers que la Banque du Japon est vivement remise en injectant des liquidités à un rythme qui éclipse ce que la Fed a fait pour les 2 dernières années. L'autre problème, c'est qu'il est un simple de temps avant que tout se bloque dans un tas de décombres fumants grâce à la fragilité sans précédent qui est maintenant intégré dans tous les marchés, bien que le plus probable au Japon en premier.
Ce qui nous amène à ce qui vient de se passer au Japon quand comme le rapporte Bloomberg, les ordres d'achat d'actions pour un montant modique somme de $ 617 000 000 000 (oui bilion avec un B) ou plus de la taille de l'économie de la Suède, ont été annulées au Japon plus tôt aujourd'hui, pour des raisons inconnues, bien que le coupable au début, c'est que ce fut l'une des plus grandes erreurs de négociation de tous les temps.
Bien sûr, puisque ce commerce a été noté, et DKed, on peut supposer qu'une baleine majeur était du côté des perdants du commerce: rappeler que c'est précisément ce qui est arrivé à temps Goldman et encore, quand certains algo errant causé à l'entreprise de perdre millions à plusieurs reprises en 2012 et 2013.
Il y a une petite différence: cette fois, il n'était pas Goldman, et le montant total n'était pas un peu dérisoire millions mais plus d'un demi billion de dollars!
De Bloomberg:
A 09h25 heure de Tokyo, les commandes pour les actions dans 42 entreprises totalisant ¥ 67780000000000 (617 milliards) ont été annulés, selon les données compilées par Bloomberg de la Japan Securities Dealers Association. Un représentant de l'organisation n'était pas immédiatement disponible pour commenter.
La commande la plus importante était de 1,96 milliards parts de Toyota Motor Corp, ou 57 pour cent des actions en circulation au plus grand constructeur automobile du monde, pour ¥ 12680000000000 moyen d'une transaction hors bourse. Toyota a refusé de commenter. D'autres stocks transactions hors d'usage inclus Honda Motor Co. (7267), Canon Inc., Sony Corp et Nomura Holdings Inc.
"Gros doigt" erreurs de négociation se produisent périodiquement. En 2009, UBS AG a ordonné à tort ¥ 3000000000000 de Capcom Co. obligations convertibles. Pourtant, les métiers mis au rebut d'aujourd'hui sont d'une autre ampleur.
«Je n'ai jamais entendu parler de ce gros ordres étant annulé avant", a déclaré Ayako Sera, stratège de marché basé à Tokyo à Sumitomo Mitsui Trust Bank Ltd, qui supervise environ 474 milliards de dollars en actifs. " Il doit y avoir une erreur. "
Alors pas de mal a été fait parce que les commandes ont été annulées, il devrait y avoir une explication à apaiser les inquiétudes, Sera déclaré.
«C'est pas sorcier qu'il y avait un doigt de graisse, mais il rouvre la question de la responsabilité," a déclaré Gavin Parry, directeur général de courtage basée à Hong Kong Parry International Trading Ltd
Il ne peut pas être sorcier, mais on peut se demander: qui a juste le potentiel pour le commerce plus d'un demi billion de dollars en bons de marché, et encore moins le visser en place ? Est-ce le Pachinko joueur ... ou de la banque centrale elle-même en plissant ses ordres au marché ? Et combien de temps avant que ces incidents récurrents, soit au Japon ou aux États-Unis ou en Europe, forcer tout le monde pour finalement se rendre compte que le marché est un HFT gréé, banque centrale, manipulé et, maintenant, casino complètement cassé.
En fait, à en juger par la participation des particuliers dans le récent «marché haussier» ...
Les quatre cavaliers [de l'Apocalypse]« Que Dieu bénisse nos troupes, que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique » : c’est sur ces mots (que nous invitons le Pape François à commenter) que se conclut la solennelle « Déclaration sur l’ISIS » [l’État islamique, alias EIIL], par laquelle le président Barack Obama, en habit de « Commandant en chef », s’est adressé hier soir [12 septembre 2014] non seulement à ses concitoyens, mais au monde entier. L’Amérique, explique le Président, est « bénie », parce qu’elle assume les devoirs les plus pénibles, à commencer par la « responsabilité d’exercer le leadership ». Dans « un monde incertain » comme le nôtre, « le leadership américain est la seule constante ». De fait, c’est l’Amérique qui peut « contenir et combattre l’épidémie d’Ébola ». Avec ces accents, qui rappellent ceux d’un prédicateur médiéval à l’époque de la Peste Noire (« l’agression russe » mise sur le même plan que l’épidémie d’Ébola), le président lance la nouvelle croisade contre l’« État islamique d’Irak et de Syrie », avertissant qu’« il faudra du temps pour éradiquer un cancer comme celui de l’ISIS ». Malgré tout ce qu’a fait jusqu’ici l’Amérique pour combattre le terrorisme, souligne-t-il, « nous avons encore en face de nous une menace terroriste ». En effet, « nous ne pouvons pas effacer toute trace du mal dans le monde ».
Même si ça prévient l’EIIL, je n’enverrai pas de troupes… MMPH… Avec cette prémisse, qui rappelle les croisades du républicain Reagan contre l’« Empire du mal » (l’URSS) et du républicain Bush contre « l’ennemi obscur qui se cache dans les coins sombres du monde » (Al-Qaïda), le démocratique Obama énonce « la stratégie des États-Unis pour vaincre l’ISIS », articulée en quatre points :
1 « Une campagne systématique d’attaques aériennes contre l’ISIS », en Syrie comme en Irak.
2 « Un appui accru aux forces qui combattent l’ISIS sur le terrain » : avec la différence qu’en Irak et Afghanistan, les États-Unis n’enverront pas officiellement de forces terrestres, mais des conseillers et instructeurs (475 autres arriveront en Irak), finançant et armant, par une loi spéciale du Congrès, des forces irakiennes et kurdes, et, en Syrie, celles qui combattent aussi bien contre « le régime d’Assad, qui terrorise le peuple », que contre « les terroristes de l’ISIS ».
3 Atteindre nos capacités substantielles de contre-terrorisme pour prévenir les attaques de l’ISIS : cela se fera en travaillant en contact étroit avec leurs partenaires (y compris Israël, qui s’est déjà dit disponible pour partager les informations venant de ses propres services secrets).
4 « Fournir une assistance humanitaire aux civils innocents que l’ISIS chasse de leurs maisons ». Les États-Unis ont déjà constitué « une ample coalition de partenaires », qui fournissent « des milliards de dollars d’assistance humanitaire, des armes, et un soutien aux forces de sécurité irakiennes et à l’opposition syrienne ». Dans les prochains jours, Le secrétaire d’État Kerry visitera le Moyen-Orient et l’Europe pour « recruter d’autres partenaires pour cette bataille ».
La stratégie lancée par l’administration Obama n’est pas une stratégie que le président serait obligé d’autoriser après avoir sous-évalué la menace de l’ISIS (selon une vulgate répandue), mais une stratégie construite au cours de nombreuses années. Comme cela a déjà été amplement démontré, les premiers noyaux de la future ISIS se forment quand, pour renverser Kadhafi en Libye en 2011, l’Otan, sous commandement des USA, finance et arme des groupes islamiques, qu’on définissait encore peu avant comme terroristes. Après avoir contribué à renverser Kadhafi, ils passent en Syrie pour renverser Assad.
C’est là que naît, en 2013, l’ISIS, qui reçoit des armes, des financements et des voies de passage de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweït, de la Turquie et la Jordanie, dans le cadre d’un plan coordonné par la CIA. En mai 2013, un mois après avoir fondé l’ISIS, Ibrahim al-Badri (le calife, connu aujourd’hui sous le nom de guerre d’Abu Bakr al-Baghdadi), rencontre en Syrie le sénateur John McCain, chargé par Obama d’effectuer des opérations secrètes pour le compte du gouvernement (cf. photo sur le manifeste du 10 septembre). L’ISIS lance ensuite l’offensive en Irak, au moment où le gouvernement al-Maliki prend ses distances avec Washington, se rapprochant de la Chine et de la Russie. L’objectif réel de la stratégie lancée par Obama est de détruire la Syrie et de réoccuper l’Irak. En outre, en engageant leurs alliés européens (parmi lesquels l’Italie) sur le nouveau front moyen-oriental et, en même temps, sur le front oriental contre la Russie, les États-Unis renforcent leur influence sur l’Union européenne, qu’ils veulent unie, mais seulement sous leadership américain.
Manlio Dinucci Traduit par Rosa Llorens pour vineyardsaker.fr
Source : La santa crociata di Obama (globalresearch.ca, italien, 13-09-2014)
Manlio Dinucci est géographe et journaliste. Il a une chronique hebdomadaire » L’art de la guerre » au quotidien italien Il manifesto. Il est l’auteur de Geocommunity (en trois tomes) Ed. Zanichelli 2013 ; Geografia del ventunesimo secolo, Zanichelli 2010 ; Escalation. Anatomia della guerra infinita, Ed. DeriveApprodi 2005.
Un Maïdan à Hong Kong fomenté par les USA ? Ce bruit court avec insistance, notamment dans les réseaux de blogueurs russes, qui font le parallèle immédiat avec l’Ukraine, et est repris dans un article de Zero Hedge de ce jour [1]. Nous ne pouvons précisément vérifier sa véracité, compte tenu de nos moyens d’information limités. Il n’est pas interdit cependant de lui donner écho, pour suivre plus attentivement la suite des événements. Mais de quoi s’agit-il ?
Rappelons que, par le terme de révolution de la place Maïdan, l’opinion occidentale désigne les manifestations s’étant produites à Kiev il y a quelques mois, qui ont entrainé la chute du président prorusse de l’époque, remplacé par un président pro-occidental, dit aussi « Roi du chocolat », compte tenu de ses intérêts personnels dans ce domaine. Or, cette révolution, présentée sur le moment, par des forcenés du type de Bernard Henri Lévy, comme une explosion de la démocratie enfin revenue à Kiev, s’est révélée rapidement comme le résultat de manœuvres en sous-main, à la limite du terrorisme, conduites par des groupes de mercenaires financés par la CIA, afin d’affaiblir l’influence russe dans ce pays, et de compromettre l’image de Poutine.
L’opération se poursuit actuellement dans le cadre des combats sanglants qui se mènent entre pro-russes et troupes gouvernementales dans le Donbass et en Ukraine russophone. Poutine en est effectivement affaibli, car il est pris en deux maux : intervenir militairement au-delà des frontières de la Fédération de Russie, ou laisser les répressions gouvernementales se poursuivre.
Dans Le double jeu américain avec le Calife [2], nous indiquions récemment que, selon diverses informations, Washington se préparait à mener contre la Chine, devenue, en second rang après la Russie, son nouvel ennemi héréditaire, une opération du même type que celle qui lui avait si bien réussi à Kiev : susciter dans certaines provinces des manifestations populaires qui permettraient d’ébranler le régime. Nous évoquions le soutien donné à des indépendantistes musulmans ouïghours. Mais en fait il paraît très probable que Washington ait décidé de s’en prendre à une autre des faiblesses du régime, le statut du Territoire de Hong Kong. Ne revenons pas ici sur l’historique de ce que certains avaient appelé l’annexion de l’ex-colonie britannique. Elle avait suscité de nombreuses opposions, venues de différents milieux. Mais finalement l’actuel système, dit des deux Chines, un seul système, auquel est soumis le territoire paraissait satisfaire l’ensemble des parties.
Or les médias du monde entier ont pu constater que depuis quelques jours, des foules nombreuses, composées principalement de manifestants se disant en lutte pour la démocratie, avaient occupé divers lieux sensibles, notamment Central et Admiralty, centres financiers situés non loin du siège du gouvernement. Les manifestations se veulent pacifiques. Cependant, des échauffourées ont déjà eu lieu avec les forces de police. Aujourd’hui 1er octobre, les manifestants pro-démocratie sont toujours fortement mobilisés, à la veille de la fête nationale chinoise, refusant de répondre aux appels à la dispersion lancés par le chef de l’exécutif, présenté comme aux ordres de Pékin par les plus activistes d’entre eux.
Nous n’examinerons pas ici la légitimité de ces manifestations, ni le contenu des réformes politiques qu’elles demandent, promises après la rétrocession à la Chine de la colonie en 1997. Il est difficile par ailleurs d’évaluer le soutien populaire qu’apporte le reste de la population à ces revendications. Il est certain cependant que la confrontation des manifestants avec les forces de police est localement très électrique, et pourrait rapidement dégénérer en batailles rangées, dont l’issue, comme toujours en de telles situations, serait incertain.
Ce qui est certain par contre c’est que les États-Unis n’avaient pas manqué, depuis longtemps, de mener à Hong Kong, et dans d’autres régions proches, des actions du même type que celles ayant provoqué, ces dernières années, le succès des révolutions dites orange aux frontières de la Russie. Il s’agit de ce que l’on peut qualifier de diplomatie du dollar et des services secrets. Les officiels chinois ont dénoncé ces manœuvres et appellent à la résistance. Le Département d’État américain n’hésite plus dorénavant à se confronter directement avec eux sur le plan diplomatique. Quelle que soit la sympathie que l’on puisse éprouver en faveur du concept de démocratie, à Hong Kong comme ailleurs, on ne peut s’empêcher de constater que ce concept est devenu la plus performante des armes utilisées par les bellicistes américains pour étendre leur domination systémique à certaines parties de l’Asie jusque-là préservées.
Affaire donc à suivre attentivement, notamment au regard de ce qu’il pourrait en résulter sur l’avenir du BRICS et des offensives anti-dollar envisagées par ce dernier, ainsi que sur la façon dont réagira l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).
Jean-Paul Baquiast Notes [1] Is the U.S. Secretly Egging On Hong Kong Protesters? (zerohedge.com, 01-10-2014) [2] Le double jeu américain avec le Calife (vineyardsaker, français, 27-09-2014)
Face à la montée de la Chine en Afrique, la France et les USA ont décidé de reconquérir militairement l'Afrique : le cas du Niger, du Liberia, du Tchad, du Centrafrique et du Soudan
SLT lun., 29 sept. 2014 18:25 CEST
"Le ministre de la Défense français a déclaré mardi que la France allait augmenter sa présence militaire dans la région turbulente du Sahel par la constitution d'avant-postes destinés à mieux lutter contre la menace terroriste des groupes extrémistes comme Al-Qaïda." (La France va accroître sa présence militaire en Afrique)
Tandis que la France et les Etats-Unis utilisent tous les prétextes (terrorisme, épidémie d'Ebola) pour envoyer des contingents militaires en Afrique (Mali, Niger et récemment le Nigeria pour le terrorisme [1-5] ; Liberia, Sierra Leone et Guinée pour l'épidémie d'Ebola [6-8]) les déboires de la Chine en Françafrique s'accumulent écrit la Lettre du Continent [9], cette bonne vieille feuille de chou françafricaine, tout en précisant que ces déboires pourraient profiter aux "acteurs occidentaux".
"Prise d'otages au Cameroun (victime de la secte islamique de Boko Haram,ndlr), expulsion brutale du Tchad, remise à plat de contrats au Gabon, conflits avec des communautés locales, etc. : les déboires de la Chine en Afrique s'accumulent. Bien que ces déconvenues ne soient pas de nature à ternir le volume des investissements que Pékin - première puissance commerciale mondiale - réserve à ce continent, elles mettent néanmoins en lumière les limites et les failles de sa politique africaine, dont les acteurs occidentaux pourraient tirer profit. (...)" [9]
Mais ces déboires ne seraient-ils pas souhaités par l'alliance atlantiste ? Un certain nombre de situations semblent montrer que face à la montée de la concurrence chinoise, la Françafrique [10, 11] et l'Américafrique ont décidé d'employer les grands moyens coloniaux et de reconquérir militairement des zones entières de l'Afrique ou d'y semer le chaos afin de mettre à mal la montée des BRICS notamment de la Chine en Afrique.
On peut à ce titre rappeler la manière dont les Chinois ont vu Bozizé se faire renverser par un coup d'Etat en Centrafrique par une alliance militaire franco-tchadienne [12]- ayant fait ses preuves au Mali - peu après avoir signé un contrat pour l'attribution du bloc pétrolier A aux Chinois. L'un des enjeux, en Centrafrique était le partage du pétrole du bloc A découvert à la frontière avec le Tchad, convoité par les Français et les Tchadiens, mais promis aux Chinois par Bozizé [12, 13, 14]. Cette guerre du pétrole cachée par les médias français [13] semblent tourner à l'avantage des Français de Total depuis le renversement de Bozizé et cela malgré les protestations d'une opposition démocratique et panafricaine exilée en Afrique du sud :
"Total après avoir rencontré la présidente lors des différents séjours en Europe, mais surtout le ministre des mines qui a été au mai invité avec sa famille aux frais de Total, pour un séjour idyllique à Paris, a pu conclure un gentleman agreement soit un accord de principe avec les autorités centrafricaines.Les dits accords prévoient de céder à Total l'exclusivité de l'exploitation du bloc A octroyant à la RCA 10% et 90% à la société française. De même Total rentre dans le capital de l'accord liant la Centrafrique à la Chine en s'octroyant 40% des parts revenant à la RCA ce qui donne lieu à lune répartition défavorisant la RCA 10%, et 50% à la Chine. "[14]
Les barbares occidentaux utilisent les méthodes militaires et guerrières pour contrer l'influence des pays des BRICS dans leur pré-carré africain tout en étant capable d'instrumentaliser militairement le terrorisme et les pires épidémies pour parvenir à leur fin.
Soudan et guerre du pétrole
Au Soudan, une guerre secrète sino-étatsunienne s'est déroulée et qui a été remportée (mais à quel prix) par les USA. Au prix de la partition du pays et des pires massacres qui se poursuivent dans cette entité du Soudan du Sud crée ex-nihilo par l'alliance étatsuno-sioniste. Cette guerre secrète au Soudan va se matérialiser par le soutien de la Chine au régime de Khartoum, d'une part, et par la scission du pays et la création du Sud Soudan, orchestrée par la Etats-Unis, d'autre part.
"Les attentats du 11 Septembre 2001 aux Etats-Unis, la diminution des réserves nationales de pétrole et la dépendance qu'elle génère vis-à-vis des fournisseurs étrangers, combinés à la nationalisation du pétrole par Hugo Chavez, défunt-président de la République bolivarienne du Venezuela, ont poussé l'ensemble de la classe politique américaine à redéfinir de nouvelles zones d'intérêt stratégique pour ses approvisionnements en énergie. C'est dire que pareillement aux autres puissances industrielles, les ressources africaines, soudanaises notamment, intéressent grandement les Etats-Unis (Fogue Tedom : 2010). En effet, le soutien des États-Unis au gouvernement du Sud-Soudan vise, depuis la proclamation de l'indépendance du Sud le 9 juillet 2011, à priver la Chine d'accès aux champs pétroliers appartenant désormais au 193e État de la planète : quelque 80 % des réserves de l'ex-Soudan (Raphael Rossignol : 2011). Pour s'octroyer ces importantes ressources pétrolières, endiguer la pénétration chinoise dans le pays et neutraliser le régime islamiste de Khartoum, les Etats-Unis mettent à contribution l'ensemble de leur dispositif de puissance." [15]
Le gouvernement US apporte, tout d'abord, un soutien multiforme au SPLA de John Garang. A cet effet, le colonel américain Richard Orth joua un rôle clé dans l'approvisionnement en armes du SPLA. Dans cette bataille stratégique, Washington associe, dans une logique néoréaliste, sa société civile. C'est dans ce cadre que des actions des personnages tels que Roger Winter ont grandement contribué à l'affaiblissement, voire à la dislocation du Soudan. "En effet, pour ce dernier, la meilleure solution pour arrêter la guerre entre le Nord et le Sud du Soudan est que : « le Sud auquel s'adjoindraient peut-être quelques petites zones de conflit, soit dissocié du Nord-Soudan et constitue, en fait, un pays indépendant et souverain » (Pierre Péan ; 2011 : 436). Il a assisté à toutes les réunions du bureau politique du SPLA. Lors d'une conférence de presse donnée à l'Institut de la paix (US Institute for Peace) à Washington le 17 septembre 1997, Roger Winter demande « le soutien total du gouvernement américain à une guerre destinée à abattre le gouvernement de Khartoum, même si (il sait) qu'elle entrainera une catastrophe humanitaire (...). Ce serait une guerre par proxies interposés, utilisant les troupes ougandaises et érythréennes, avec les armes, la logistique et l'entrainement américains » (Pierre Péan ; 2011 : 443). " [15]
Cette posture a permis à Washington d'affaiblir le Soudan, un des plus importants partenaires africains de la Chine, en suscitant sa dislocation. La Chine est entrée dans une certaine dépendance à l'égard des forces atlantistes qui ont participé à la création du Sud Soudan qui détient 75% du pétrole. J'écrivais en octobre 2013 : "La déstabilisation du Soudan organisée dans les coulisses par les grandes puissances n'est sans doute pas terminée tant les enjeux énergétiques et géopolitiques sont majeurs." [16]
On connaît la suite, éclatement du Soudan et guerre civile terrible dans l'Etat du Soudan du Sud, un Etat créé de toute pièce par l'entité étatsuno-sioniste. A ce sujet lire un extrait de l'article de Black Agenda Report [17] ci-dessous :
"Pendant des décennies, les Etats-Unis et Israël ont cherché à provoquer la partition du Soudan, pays qui avait été, sur le plan géographique, la plus grande nation d'Afrique. La sécession du Sud était un projet spécial d'Israël, dont la politique étrangère la plus durable et fondamentale est de semer le chaos et la discorde dans les mondes musulmans et arabes. Le Soudan, sous le contrôle politique du Nord à majorité musulmane, a rejoint la Ligue arabe dès l'indépendance, en 1956. Depuis, Israël a cherché à déstabiliser le Soudan, à la fois pour porter un coup aux Africains "arabisés" et afin de s'attirer les faveurs des chrétiens sur le continent." [17]
On reviendra plus tard sur le cas de la Libye. Mais comme l'écrivait très bien Peter Van Buren[18] : "Encore une "stabilisation" US (et française) de plus et l'Afrique va s'effondrer." Lire également : Reprise de la guerre en RDC. Israël et les USA arment les deux camps et participent à la balkanisation du pays. [19]
Notes : (liens)
1. - Les Etats-Unis se mêlent de la politique intérieure du Nigeria et font pression sur le Président Goodluck Jonathan 2. - FRANCE/NIGERIA. Les services français à la rescousse d'Abuja 3. - Le financement de Boko Haram proviendrait de Fonds islamiques en Arabie Saoudite et en Grande-Bretagne 4. - Le Canard Enchaîné confirme le soutien indirect de la France à Boko Haram - 5. - Boko Haram : Le Canard Enchaîné confirme que François Hollande ménage toujours les financiers du djihad 6. - Ebola. La mission militaro-humanitaire comprenant 3000 soldats US sera basée au ministère de la défense du Libéria (Global Post) 7. - Ebola. Les officiels du gouvernement Obama en grande difficulté pour justifier la mission militaire US au Libéria (WND) 8. - Ebola. Intervention militaro-humanitaire française et allemande en Afrique de l'Ouest à partir du Sénégal 9. LDC Retour de flammes africaines pour Pékin 10.Exclusif. Voici le rapport Védrine sur les stratégies de reconquête de l'Afrique par la France (Sphinx Hebdo) 11. François Hollande ou le triomphe du néocolonialisme et de la reconquête coloniale de l'Afrique 12. Exclusif : comment la France a soutenu la Séléka en Centrafrique 13. Centrafrique : ce que les médias français ne vous diront pas 14. Centrafrique:Total fait main basse sur le pétrole centrafricain (Kangbi-Ndara) 15. Soudan : la guerre secrète américano-chinoise (diploweb) ) 16. Course pour le pétrole au Soudan 17. BAR Soudan du Sud : Quand l'Empire est votre libérateur, vous n'êtes pas vraiment indépendant 18. Sud-Soudan. Encore une "stabilisation" US (et française) de plus et l'Afrique va s'effondrer. 19. Reprise de la guerre en RDC. Israël et les USA arment les deux camps et participent à la balkanisation du pays.
C’est cette question que posent les deux initiatives récentes en Suisse, «Monnaie pleine», et «Sauver l’or de la Suisse». Certes, toutes deux ont le travers majeur de supposer que la Suisse, sa monnaie et son système bancaire peuvent se concevoir isolément du reste du monde. Elles posent un risque d’appréciation inquantifiable du franc suisse relativement aux autres monnaies.
Mais le message qu’elles font passer, en s’élançant simultanément dans l’arène citoyenne, est fort: le peuple se met à vouloir réformer de ses mains le système monétaire, car il n’a plus confiance dans l’actuel. Les deux projets veulent restaurer une forme de souveraineté sur le franc suisse, en rebasant (redonnant une valeur de référence à) la monnaie nationale qui, du fait d’une longue dérive du système monétaire international, n’a plus d’étalon de référence. Toutes deux visent, in fine, le retour à une probité monétaire que le débasage des planches à billets et la création monétaire incontrôlée ont compromis.
Les bonnes pistes de réflexion
L’initiative citoyenne «Monnaie pleine» - qui n’a recueilli pour l’heure que 14 000 sur les 100 000 signatures requises - vise à confier le monopole de la création monétaire à la Banque nationale suisse (BNS). A mettre, en somme, sous tutelle publique l’émission de monnaie. Son but: empêcher les banques commerciales de créer de l’argent exnihilo pour le prêter, et enrayer le détournement de liquidités à des fins spéculatives, cause de krachs récurrents du système.
Les crédits octroyés par les banques seraient émis par la BNS et équivaudraient exactement aux dépôts des épargnants. Si les restrictions que pose cette initiative à la création monétaire posent des risques sérieux d’envolée des taux d’intérêt et de limitations au financement de l’activité économique, c’est l’occasion d’une réflexion de fond sur les moyens d’endiguer les futures crises financières.
L’initiative «Sauver l’or de la Suisse», lancée par l’UDC, vise quant à elle à restaurer le gage de valeur que seul le métal jaune peut offrir à une monnaie-papier, à l’heure où le discours dominant de la BNS devient que l’or est à considérer comme un placement ordinaire, à égalité avec le papier. Pour rappel, les stocks d’or de la BNS ne pèsent plus que 8% de son bilan, contre 27% pour la Banque centrale européenne.
Les opposants à cette initiative jugent inapplicable la règle des 20% d’or au bilan alors que les prix du métal jaune varient fortement (-25% en 2013). Ils ajoutent que la BNS ne pourrait plus acheter massivement des euros comme elle l’a fait depuis 2011 pour lutter contre la hausse du franc, qui deviendrait alors incontrôlable.
Mais ces détracteurs ne sont qu’à moitié convaincants, car empiler des centaines de milliards d’euros et de dollars sur le bilan de la BNS est plus risqué que l’or. Les devises, plus volatiles que le métal jaune, représentent 86% du bilan de l’institut, et une variation de plus de 5% de leurs cours provoquerait déjà des pertes supérieures à celles de l’or.
Enfin, si l’euro devait chuter fortement, la BNS ne parviendrait pas aujourd’hui, ou alors au prix d’un risque démesuré, à peser seule contre tous sur la parité euro-franc.
Les détracteurs ont aussi tort de reprendre à leur compte le discours anti-or des banques centrales. Popularisé par la Fed, sa motivation est de défendre le statut de référence du dollar, qui a perdu 98% de sa valeur depuis 1917.
La Fed est soupçonnée, y compris par des traders de Goldman Sachs, de manipuler à la baisse les cours de l’or, car sa hausse menace directement les politiques de planche à billets. Avec un marché de l’or manipulé, toute tentative de la Suisse d’en faire, seule, son principal actif de réserve sera vouée à l’échec.
La Suisse ne peut donc agir isolément. Pour que l’or redevienne le garant des monnaies-papiers, ou encore pour donner l’exclusivité de la création monétaire à la BNS, il faudrait une réforme majeure du système monétaire international, sous l’égide du FMI. Faute de quoi, la Suisse ne pourra envisager seule ces mesures sans risquer de paralyser son économie.
L’implication de la Garde nationale dans les meurtres près de Donetsk est irréfutable (Comité d’enquête)
01 octobre, 2014 Par La Voix de la Russie
Le Comité d’enquête possède des preuves de l’implication de la Garde nationale d’Ukraine et du groupe Pravy Sektor (Secteur droit) dans la création des fosses communes près de Donetsk, a indiqué ce mercredi le porte-parole du comité Vladimir Markine.
Les membres de la milice populaire ont découvert le 23 septembre plusieurs lieux d’enterrement, où selon les habitants locaux, se trouvent des corps des civils tués par les forces de l’ordre. Lundi, la représentante spéciale de l'OSCE chargée de la lutte contre la vente des êtres humains Madina Dzharbusynova a parlé de la probabilité de la vente des organes intérieurs enlevés depuis les corps, qui ont été retrouvés dans les fosses communes.
5 grandes banques américaines détiennent chacune plus de 40 000 milliards de dollars en produits dérivés
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
29 sept. 2014
« Grandes banques et produits dérivés : pourquoi une autre crise financière est inévitable », titre Forbes. Le magazine rappelle que la crise financière de 2007-2008 s’explique largement par les prises de risques inconsidérées sur des produits opaques, notamment sur le marché des produits dérivés.
Depuis, les banques ont fait des efforts pour assainir leurs bilans, tandis que des réglementations ont été mises en place pour restaurer la confiance dans les institutions financières. Mais dans le fond, peu de choses ont changé : les banques sont toujours aussi opaques, et surtout, elles continuent d’investir dans les produits dérivés de la même manière qu’elles le faisaient avant la crise de 2008, mais sur une échelle encore plus importante.
Les nouvelles réglementations sont trop complexes pour être réellement appliquées, et les banquiers rusés, aidés de leurs services juridiques, se font un devoir de trouver les failles qui permettent de les contourner tout en restant dans la légalité.
Selon Forbes, le montant notionnel négocié en produits dérivés dépasse désormais plus de 700.000 milliards de dollars, soit plus de 10 fois la taille de l’économie du monde entier. D’après le New York Times, les banques américaines en détiendraient 280.000 milliards de dollars. Et ce marché continue de se développer…
5 banques américaines enregistrent chacune plus de 40.000 milliards de dollars de positions sur des produits dérivés. Ainsi, ensemble, elles totalisent plus de 200.000 milliards de dollars. En comparaison, le total de la dette américaine s'élève actuellement à 17 500 milliards de dollars. Des montagnes de créances risquées qui pourraient s’écrouler comme des châteaux de cartes à la moindre alerte sur les marchés…
Voici un aperçu des banques concernées et leurs positions ouvertes:
JP Morgan Chase
Total de l'actif: environ 2.477 milliards de dollars
Exposition totale aux produits dérivés: 67.951 milliards de dollars
Citibank
Total de l'actif: 1.895 milliards de dollars
Exposition totale aux produits dérivés: 59.944 milliards de dollars
Goldman Sachs
Total de l'actif: 916 milliards de dollars
Exposition totale aux produits dérivés : 54.565 milliards de dollars
Bank Of America
Total de l'actif: 2.153 milliards de dollars
Exposition totale aux produits dérivés: 54.458 milliards de dollars
Morgan Stanley
Total de l'actif: 831 milliards de dollars
Exposition totale aux produits dérivés: 44.946 milliards de dollars.
http://www.express.be/business/fr/economy/5-grandes-banques-americaines-detiennent-chacune-plus-de-40-000-milliards-de-dollars-en-produits-drivs/208137.htm
« Vous allez couiner… mais alors couiner, comme vous n’avez pas idée… ! »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Ce n’est pas faute de dire, re-dire et répéter qu’il n’y a plus aucune façon facile de sortir de la crise depuis plusieurs années. Il n’y a aucune bonne solution. Aucune. On peut relancer l’économie en imprimant des billets qui finiront tôt ou tard par ne plus rien valoir du tout. C’est l’hyperinflation (à ne pas confondre avec le concept d’hyperfellation de Rachida Dati, experte elle aussi… en nouveaux concepts).
On peut aussi réduire les dépenses, réduire les aides sociales, réduire la dette, réduire le nombre de fonctionnaires, etc. Mais il ne faut pas se leurrer. Dans un pays où la dépense publique représente plus de 57 % de PIB, réduire ce qui permet de faire presque 60 % de notre PIB c’est évidemment courir vers une catastrophe économique. Un tel programme d’austérité ne peut que déboucher sur la contraction de notre économie comme l’a parfaitement montré et démontré l’exemple grec ou, dans une moindre mesure, l’exemple portugais ou italien. C’est la déflation.
Dans tous les cas, vos économies finiront par s’envoler, vos boulots par être perdus, vos pensions de retraite ne seront plus versées (déflation/insolvabilité) ou ne vaudront plus rien en pouvoir d’achat (hyperinflation). Vous serez ruinés, nous serons tous ruinés (sauf ceux qui détiennent un peu d’or, d’argent métal, un plan épargne boîtes de conserve et évidemment leur lopin de terre avec potager et poulailler qui, eux, s’en sortiront un peu moins mal).
Alors avec un tel discours, évidemment, on me prend pour un « fou », un « imbécile », « un malade mental » ou encore, insulte suprême, « un pessimiste ».
Lorsqu’un homme politique me donne un peu raison dans ses propos, vous comprendrez donc qu’en tant que grand incompris évidemment il m’est difficile de ne pas y faire allusion. Mais là, aujourd’hui, cette fois, oui mes braves amis contrariens de la première heure, nous tenons presque notre revanche. Nous pourrons avec une telle phrase parader dans nos dîners de famille la tête haute… ce qui fait longtemps, trop longtemps. N’y voyez aucune joie malsaine. Honnêtement, et vu ce qui va nous débouler dessus, j’aurais vraiment avoir tort. Mais nous n’avons pas tort. Nous avons raison. Nous sommes juste un peu en avance sur la compréhension des conséquences à terme que nous aurons à affronter par rapport à une masse de nos concitoyens qui préfèrent le « mensonge qui rassure » à la « vérité qui dérange ». C’est vrai que c’est plus apaisant.
(suite en dessous:)
Alors le gros lot d’aujourd’hui nous est offert (d’ailleurs pour une fois qu’il nous offre un truc celui-là, profitons-en parce qu’il va vite nous prendre) par le président de la République lui-même ! Oui ! En personne. Et il commence enfin à nous expliquer que nous allons tous couiner. Bon, il le dit de façon un peu plus élégante certes, mais en langage cru de contrarien de la France d’en bas, cela se traduit parfaitement bien avec le terme « couiner ». Ça va couiner dans les chaumières et pas qu’un peu mes braves, mes courageux lecteurs.
RépondreSupprimerHollande : il n’y a « pas de plan d’économie qui soit indolore »
Le grand mamamouchi de la quéquette remettait donc aujourd’hui les grands prix de « l’audace créatrice » devant une foule de grands mamamouchis du grand patronat (qui ne crée aucun emploi mais c’est une autre histoire). Et il a eu cette phrase remarquable que nous devons remarquer :
« Si vous n’entendez pas crier c’est que nous ne faisons pas d’économie. Donc vous voyez, vous entendez. »
Comprenez : les hurlements que vous entendez sont des couinements destinés à augmenter en intensité dans les mois qui viennent. Il a aussi rajouté :
« Il n’y a pas de plan d’économie qui soit indolore. »
Comprenez par-là que ça va vraiment couiner très très fort, parce que si Valls, notre Manu national, est allé dire bonjour à la grosse Bertha d’outre-Rhin, il a tout de même reçu une belle fessée de la part d’Angie qui s’est dite « impressionnée par son programme de réforme et qu’elle lui souhaitait… bonne chance ». En d’autres termes, c’est le coup de pied de l’âne.
Les Zallemands ne veulent rien entendre…
« Ya… grosse réforme d’abord après on ferra… » Pas sympa avec Manu la Bertha. Bon, cela dit, on a tué les Grecs et les Espagnols à petit feu depuis 2007 alors si c’est pour ouvrir les vannes maintenant de la création monétaire, on aurait vraiment dû le faire il y a… 7 ans. Conclusion : les Zallemands seront inflexibles et vraisemblablement jusqu’au bout.
«Il n’y a pas de plan d’économie qui soit indolore. Sinon ça aurait déjà été fait. Les économies forcément sont douloureuses, il n’y a aucun secteur qui peut accepter de voir un certain nombre de ses habitudes, parfois de ses financements être remis en cause… » Oh que oui que ça va couiner. J’en reviens à Mamamouchi 1er là.
Mais, il se veut « optimiste ». Important d’afficher de l’optimisme, même si je considère que, par les temps qui courent, les « zoptimistes béats » sont au mieux des naïfs et au pire des crétins jouant à l’autruche pour ne pas avoir à affronter la dure réalité des faits. Mais bon, en ce bas monde et jusqu’à notre effondrement total qui se rapproche à grand pas au fur et à mesure où notre dette augmente (plus de 2 000 milliards d’euros au dernier pointage).
(suite en dessous:)
Bref, le roi Zizi (d’ailleurs j’espère que Julie va bien) a « insisté sur la nécessité de faire ces économies de manière juste, de manière efficace, de manière innovante ».
RépondreSupprimerHahahahahahaha petite traduction contrarienne, des couinements à venir suite à cette simple phrase :
Économies justes = classes moyennes laminées et prestations familiales dans l’arrière-train.
Manière efficace = on baisse le montant des chèques versés et on augmente celui des prélèvements. Simple. Efficace.
De manière innovante = on va vous créer tout plein de taxes nouvelles pour vous faire les poches mais elles seront justes, comme par exemple pour vous protéger des accidents de la route ou encore pour sauvegarder l’environnement. Important l’environnement. Pas le droit d’être contre. Pareil avec les accidents de la route. Difficile de dire « ben heu, moi, je suis pour qu’on soit plus nombreux à mourir en bagnole… » (Essayez pour voir en dîner en famille, je pense que vous allez être bien reçus.)
Voilà mes amis, nous entrons, après deux ans et demi de fausse croyance, dans une fausse reprise dans le pire de la crise qui est bien toujours devant nous et pas derrière…
Ça va donc couiner, et très fort, et en France quand ça couine trop fort, ça se termine mal… en général !
Préparez-vous et restez à l’écoute.
À demain… si vous le voulez bien !!
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/vous-allez-couinermais-alors-couiner-comme-vous-navez-pas-idee-01-10-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=3baf5f66cd-daily_newsletter_2014_10_01&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-3baf5f66cd-45320805
SupprimerL'insolvabilité d'un pays ne tient pas du Q.I. de ses habitants mais de ses Dirigeants qui se disent de les représenter mais qui n'en font qu'à leur tête.
'La 'combinaison toxique' d'une dette record et du ralentissement de la croissance est en train de mettre l'économie mondiale sur la voie d'une nouvelle crise'
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
29 sept. 2014
La «combinaison toxique» d'un montant record de dette et du ralentissement de la croissance signifie que l'économie mondiale se dirige vers une autre crise, affirme le 16ème Genova report, un rapport annuel écrit par un panel d'économistes pour le compte du Centre international d'études monétaires et bancaires, et qui est publié ce lundi.
Les auteurs, parmi lesquels on trouve trois ex-patrons de banque centrale, expliquent que les taux d'intérêt devront rester faibles à l'échelle mondiale pendant « très très longtemps », pour permettre aux différents agents économiques de continuer à payer leurs intérêts et éviter une nouvelle crise grave. L'avertissement intervient alors qu’aux Etats-Unis, la patronne de la Fed, Janet Yellen, vient d’annoncer une remontée progressive des taux d’intérêt.
Le rapport indique que l’endettement global, privé et public confondu, est passé de 160% du PIB en 2001 à près de 200% en 2009 et de 215% en 2013 :
Contrairement à ce que l'on croit généralement, le monde n’a toujours pas commencé à se désendetter et le ratio de la dette mondiale comparée au PIB continue d’augmenter, brisant en permanence de nouveaux records ».
Luigi Buttiglione, l'un des co-auteurs, a exprimé ses inquiétudes au Financial Times :
Dans ma carrière, j'ai vu tant de soi-disant «miracles économiques» -l’Italie dans les années 1960, le Japon, les tigres asiatiques, l'Irlande, l'Espagne et maintenant peut-être la Chine - et tous se sont achevés sur une montagne de dettes. »
Selon Buttiglione, le schéma est toujours le même : la croissance de ces économies les incite à emprunter, ce qui maintient leur croissance alors que les facteurs sous-jacents qui en avaient été à l’origine au départ ont épuisé leurs effets.
Le rapport souligne que certains pays, qui se caractérisent par un endettement élevé et une croissance molle, sont particulièrement vulnérables : l’Europe du Sud, la zone euro et la Chine.
Dans un e-mail à la rédaction Steen Jakobsen, économiste en chef de Saxo Bank, cite un proverbe yiddish : «L'intérêt sur la dette grossit sans nécessiter de pluie ». Il confirme les grandes lignes du rapport de Genève :
Ce proverbe indique l’essentiel de ce qui se passe dans les cercles politiques aujourd'hui. Nous assistons maintenant à l’épisode IV du « Faisons perdurer et faisons semblant » : Promesses d'amélioration, alors que les dettes continuent de s’accumuler. (…) Faire semblant d’avoir un plan crédible, mais ne jamais tenter de régler les problèmes structurels et continuer d’acheter encore plus de temps. (…)
Il est évident qu’acheter plus de temps (faire perdurer) est toujours la priorité numéro un, suivie de la projection (faire semblant) qu’une croissance très attendue atteindra une trajectoire encore plus élevée pour faire rentrer le budget dans les contraintes supposées. Ou, comme dans le cas de la France, l’abandon récent du respect des objectifs budgétaires pour les deux prochaines années est déjà un fait accompli. (…)
(suite en dessous:)
Dans le secteur privé, un tel comportement pourrait vous coûter votre emploi, mais dans le modèle économique de l'année 2014 qui évoque davantage l'Union soviétique qu'une économie de marché – c’est devenu la chose la plus normale du monde. Mais beaucoup pourront protester que cela serait encore pire si nous n’en avions pas tant fait pour « sauver le système », non ?
RépondreSupprimerEh bien, peut-être, sauf que ces pays où la foi en un capitalisme d’Etat est la plus forte : la Russie, la Chine et la France, sont tous en fin de course. (…) La productivité est négative, on constate des fuites de capitaux, et le système construit pour protéger une élite est en échec. »
Jakobsen, qui rentre d’Asie, affirme que ce qu’il a constaté à Singapour témoigne parfaitement de ce phénomène :
Pour moi, Singapour incarnait l'exemple de business model le plus rationnel de la planète. Son fondateur Lee Kuan Yew a été l'un des plus grands hommes d'État de l'histoire. Mais aujourd’hui, la productivité s’effondre à Singapour. Comme nous, ils sont en train de devenir le Monaco du monde, une économie basée sur la consommation, et non sur la productivité et la croissance.
Les économies développées sont en train de vieillir sur le plan démographique, mais nous ne sommes pas encore assez raisonnables pour comprendre que notre modèle actuel est une chaîne de Ponzi et que nous nous dirigeons vers son inévitable moment de Minsky (lorsque l'argent généré par des actifs ne suffit plus pour assurer le service de la dette contractée pour payer ces actifs).
Aucun politicien ou banquier central ne dit la vérité telle qu’elle ressort des simples chiffres et tous espèrent que tout va bien se passer. Mais l'espoir n’est pas une bonne politique, et il ne faut le réserver qu’à l'église, pas à l'économie réelle. »
http://www.express.be/business/fr/economy/la-combinaison-toxique-dune-dette-record-et-du-ralentissement-de-la-croissance-est-en-train-de-mettre-leconomie-mondiale-sur-la-voie-dune-nouvelle-crise/208155.htm
Ebola En Amérique: Le Cas confirmé à Dallas, au Texas pourrait tout changer
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 30 Septembre 2014
Le jour que beaucoup d'entre nous espéraient ne serait jamais arriver ici. Ebola est venu en Amérique. Voyage en avion entre les États-Unis et les pays du Libéria, de la Guinée et de la Sierra Leone aurait été totalement fermé sauf pour le personnel absolument essentiels, mais il n'était pas. Et maintenant, notre pays peut finir par payer un prix en conséquence. Mardi, le CDC a annoncé qu'il ya un cas confirmé du virus Ebola à Dallas, Texas. Nous savons que cette personne est un homme et qu'il a voyagé par avion en provenance du Libéria au Texas le 19 Septembre. A cette époque, il ne montrait aucun symptôme. Il est rapporté qu'il a commencé à développer des symptômes le 24 Septembre et qu'il avait sollicité un traitement deux jours plus tard. Incroyablement, il a été détourné et envoyé à la maison. Puis le 28 Septembre, il est allé à l'hôpital et cette fois il a été admis pour traitement. Cela signifie qu'il pourrait potentiellement avoir propagé le virus Ebola aux autres pendant au moins quatre jours complets avant de finalement se faire traiter à l'hôpital. Maintenant, il est en soins intensifs à l'hôpital presbytérien de santé Texas à Dallas. Le CDC affirme qu '«il ne fait aucun doute que nous nous arrêterons ici" et promet que "ce ne sera pas largement répandu dans ce pays". La CDC mieux avoir raison sur les deux points.
À ce stade, la CDC est d'admettre que nous ne savons pas si d'autres ont été infectées par cette personne. La CDC dit aussi qu'il est de traquer tout le monde qu'il a été en contact avec. Mais pendant quatre jours dans une grande ville américaine, vous pouvez être «en contact» avec un tas de gens. Et que dire de tous les gens que ces gens étaient en contact avec ?
Si j'étais en charge de cette crise, je dois admettre que nous ne savons pas encore l'étendue du problème, mais que nous avons affaire avec elle le meilleur que nous pouvons.
Au lieu de cela, le directeur des US Centers for Disease Control and Prevention prend une approche totalement différente. Dr Thomas Frieden insiste que nous n'avons absolument rien à craindre ...
"Je n'ai aucun doute que nous allons contrôler ce cas d'Ebola, de sorte qu'il ne se propage pas largement dans ce pays. Il est certainement possible que quelqu'un qui a été en contact avec ce patient pourrait développer Ebola. Mais il n'y a aucun doute dans mon esprit que nous allons arrêter ici ".
Frieden mieux être raison sur ce point.
D'autres «experts» sont étant encore plus dogmatiques ...
"Il n'y a pas lieu de s'inquiéter», dit Peter Hotez, doyen de l'Ecole Nationale de Médecine Tropicale et professeur au Baylor College of Medicine à Houston. "Le virus Ebola n'est pas facilement transmissible de personne à personne, et nous avons une excellente infrastructure en place à la fois pour contenir le virus et oligo-contacts. N'y aura pas une épidémie d'Ebola aux Etats-Unis."
Je n'ai aucune idée comment ils peuvent dire ces choses lorsque l'épidémie sur l'Afrique est complètement et totalement hors de contrôle. Malgré les précautions extrêmes, des centaines de travailleurs de la santé ont eu le virus , et les fonctionnaires jusqu'ici de santé mondiaux n'ont même pas été en mesure de ralentir la croissance exponentielle de la pandémie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest.
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Et nos responsables de la santé ne devraient pas être dogmatique sur la façon dont ce virus se propage soit.
RépondreSupprimerDans un article précédent , j'ai parlé d'une étude qui a été reconduit en 2012 qui a démontré que le virus Ebola peut se transmettre par l'air entre les porcs et les singes qui n'a pas eu de contact physique avec l'autre ...
Lorsque les nouvelles éclaté que le virus Ebola avait refait surface en Ouganda, les chercheurs au Canada à faire les manchettes de leur propre avec la recherche indiquant le virus mortel peut se propager entre les espèces, dans l'air.
L'équipe, composée de chercheurs du Centre national des maladies animales exotiques, l'Université du Manitoba, et l'Agence de santé publique du Canada, a observé la transmission du virus Ebola chez les porcs à des singes. Ils ont d'abord inoculé un certain nombre de porcelets avec la souche Zaïre du virus Ebola. Ebola-Zaïre est la souche la plus mortelle, avec des taux de mortalité allant jusqu'à 90 pour cent. Les porcelets ont été ensuite placés dans une chambre à quatre macaques cynomolgus, une espèce de singe couramment utilisés dans les laboratoires. Les animaux ont été séparés par des cages en fil métallique pour éviter un contact direct entre les espèces.
Dans quelques jours, les porcelets inoculés présentaient des signes cliniques de l'infection révélatrices d'une infection à virus Ebola. Chez le porc, le virus Ebola provoque généralement une maladie respiratoire et augmentation de la température. Neuf jours après l'infection, tous les porcelets semblent avoir récupéré de la maladie.
Dans les huit jours de l'exposition, deux des quatre singes ont montré des signes d'infection à virus Ebola. Quatre jours plus tard, les deux singes restants étaient malades aussi. Il est possible que les deux premiers des singes infectés par les deux autres, mais la transmission entre les primates non humains a jamais été observés dans un environnement de laboratoire.
Il y a beaucoup que nous ne comprenons pas cette maladie.
Je peux comprendre la nécessité de maintenir le calme publique, mais pourquoi ne pas ces fonctionnaires nous dire la vérité ?
En même temps qu'ils nous disent qu'il n'y a aucune chance qu'il y aura une épidémie d'Ebola aux États-Unis, ils envoient également des lignes directrices pour les salons funéraires sur la façon de traiter avec les morts victimes d'Ebola ...
CBS46 Nouvelles a confirmé les Centers for Disease Control a publié des lignes directrices à US salons funéraires sur la façon de traiter les restes de patients Ebola. Si l'épidémie du virus potentiellement mortel est en Afrique de l'Ouest, pourquoi les maisons funéraires en Amérique étant directives données ?
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RépondreSupprimerLa liste de trois pages de recommandations comprennent des instructions travailleurs funéraires à porter un équipement de protection lorsque vous utilisez les restes depuis Ebola peut se transmettre dans les soins post-mortem. Il charge également d'éviter les autopsies et l'embaumement.
Pourquoi font-ils cela si il n'y a "pas de chance" que la maladie se propage largement ?
Espérons qu'ils isolés ce patient Ebola à Dallas dans le temps.
Espérons qu'il n'a pas infecter quelqu'un d'autre.
Mais nous devons être honnêtes à propos de la situation que nous sommes potentiellement confrontés. Jusqu'à présent, il ya eu plus de 6000 cas d'Ebola en Afrique et plus de 3000 personnes ont trouvé la mort. Malheureusement, même les fonctionnaires de l'OMS reconnaissent que ces chiffres officiels "grande sous-estimation" de la portée de cette épidémie. Le nombre de cas officiels a doublé environ toutes les trois semaines, et le CDC affirme que, dans un «scénario du pire», nous pourrions envisager à 1,4 millions de cas d'ici la fin de Janvier 2015.
En ce moment, toutes les installations de traitement au Libéria et en Sierra Leone sont complètement plein et plus de 80 pour cent des patients Ebola ont été refoulés et renvoyés chez eux sans être traités. C'est un véritable cauchemar, et maintenant il est venu en Amérique.
Et que le virus continue de se propager, il est inévitable que plusieurs porteurs de la maladie auront sur les avions dirigés pour l'Amérique.
Malheureusement pour nous, selon un récent Défense Un article du dépistage fait dans les aéroports ne fait que très peu pour arrêter la propagation du virus Ebola ...
Les mauvaises nouvelles sont que des projections thermiques de la population de vols internationaux dans les aéroports ne sont pas susceptibles de produire beaucoup par le biais de l'amélioration de la sécurité.
Voici pourquoi: la fièvre peut être un signe d'un grand nombre de différentes maladies, pas seulement Ebola. Et balayage thermique s'est avéré être une mauvaise méthode de capture des transporteurs de la grippe aviaire en 2009 ainsi. Donc, présentant une température élevée à un point de contrôle de l'aéroport n'indique pas assez clairement que la personne fiévreuse est porteur du virus mortel. Plus important encore, la période d'incubation du virus Ebola est de deux jours. Autant que 20 jours peuvent s'écouler avant que les symptômes apparaissent. Cela signifie qu'une personne peut être porteuse du virus pendant deux semaines ou plus et sans même le savoir, et encore moins de les voir apparaître par balayage thermique. Alors à quoi servent ces scanners ?
Quand j'ai commencé à écrire sur le virus Ebola, quelques personnes m'ont accusé de "répandre la peur".
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Eh bien, maintenant que le virus Ebola est arrivé aux États-Unis, peut-être qu'ils vont prendre un second regard sur certains de mes articles récents ...
RépondreSupprimer- " L'enfer pur Au Coeur De La Ebola en cas de pandémie en Afrique pourrait bientôt à l'Amérique "
- " Les modèles informatiques nous disent que cette pandémie à virus Ebola pourrait bientôt tuer des millions "
- " 16 Apocalyptic Citations de responsables de la santé mondiale À propos de cette épidémie d'Ebola horrible "
- " Ebola chez les travailleurs de la santé: plus de 240 malades, plus de 120 morts "
- " Il devient clair - nous ne sommes pas préparés à une pandémie à virus Ebola "
Prions pour que ce n'est qu'un cas isolé et qu'il n'y aura pas une épidémie majeure dans ce pays.
Parce que si les cas ne commencent à apparaître à travers le pays, la peur se propage comme une traînée de poudre et on pourrait être en face de la plus grande crise de santé que chacun de nous ont jamais vu.
L'une des personnes qui ont survécu avec succès cette maladie est le Dr Kent Brantly. Je pense que la citation suivante de lui fait vraiment un excellent travail de synthèse de ce que nous sommes potentiellement face à ...
"Beaucoup ont utilisé l'analogie d'un feu brûlant de contrôle pour décrire cette épidémie d'Ebola sans précédent", a déclaré Brantly. "En effet, il est un feu-c'est un feu directement à partir de la fosse de l'enfer. Nous ne pouvons pas nous tromper en pensant que la grande douve de l'océan Atlantique nous protéger contre les flammes de ce feu. Au lieu de cela, nous devons mobiliser les ressources. .. de garder des nations entières d'être réduit en cendres ".
Un virus comme cela pourrait changer tout si elle commence alors à circuler largement.
Comme je l'ai dit tant de fois auparavant, nous espérons pour le mieux, mais nous préparons aussi pour le pire.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/ebola-in-america-the-confirmed-case-in-dallas-texas-could-change-everything
«Reprenez nos tanks»: la police ne peut pas se débarrasser des engins militaires à Ferguson suite
RépondreSupprimerOctobre 01, 2014 02:26
Les services de police qui ont été fustigée pour la militarisation accrue à travers le programme en surplus d'équipement du ministère de la Défense ont maintenant un nouveau dilemme. Certains d'entre eux ont découvert qu'ils ne peuvent pas donner leur matériel de guerre inutilisés dans le Pentagone.
Programme des biens excès du DoD - également connu sous le nom de programme 1033 - fournit les services de police à travers le pays avec des armes excédentaires, des véhicules et des fournitures de bureau, sans frais pour la juridiction. Mais ce qui a été critiqué comme la militarisation croissante de la police est devenu un sujet chaud pendant l'été après des émeutes ont éclaté dans Ferguson, Missouri et de l'application de la loi ont répondu à ce que beaucoup ont vu la force excessive et des armes inutiles.
Le programme 1033 a fait l'objet de nombreux rapports et études, ainsi que des enquêtes parlementaires. Plusieurs villes, dont Davis, en Californie, ont dit à leurs services de police pour se débarrasser des stocks militaires, y compris véhicules qui résistent aux mines (MRAP). Toutefois, certaines juridictions ont constaté que de se débarrasser de leur surplus militaire est plus facile à dire qu'à faire.
Un officier avec le ministère de la Chelan County Sheriff dans le centre de Washington, dit qu'il aimerait que quelqu'un prenne trois chars amphibies de ses mains.
«Nous voulons vraiment vous débarrasser de ceux-ci," a déclaré John Undersheriff Wisemore Mother Jones . «Nous avons essayé d'obtenir l'armée de les reprendre depuis 2004"
Le programme a commencé en 1991, lorsque la guerre contre la drogue était à son comble. Fournitures militaires excédentaires ont été transférés aux organismes d'application de la loi locaux, avec une préférence pour ceux qui utiliseraient l'équipement pour les activités de lutte contre la drogue et lutte contre le terrorisme, le Washington Post a rapporté.
Au cours des huit dernières années, le programme de subvention du Pentagone a prêté application de la loi locale quelque 200.000 chargeurs de munitions, 94 000 mitrailleuses, et des milliers de véhicules blindés, des avions, des détecteurs de mines terrestres, silencieux, lance-grenades - tous à la demande des organismes locaux eux-mêmes, Mother Jones rapporté, citant un porte-parole pour le sénateur Claire McCaskill (D-Mo.), qui a mené une enquête du Sénat dans le programme.
Même avant l'arrivée 1033 en plus l'attention des médias au cours de l'été, certaines forces se rendaient compte qu'ils n'avaient pas besoin - ou veulent - les armes de guerre, ils avaient acquis auprès du Pentagone. Dans le cas du comté de Chelan, ils avaient demandé un véhicule blindé qui puissent résister à des balles, et a reçu trois tanks à la place.
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RépondreSupprimerLes agences comme Wisemore de constatent qu'ils ne peuvent pas retourner ou échanger grosses pièces d'équipement tactique sans l'approbation du département de la Défense - et depuis le Pentagone possède techniquement toujours que l'équipement, ils ne peuvent pas vendre, selon Mother Jones.
Pendant ce temps, près de 200 étatiques et locaux des services de police aux États-Unis ont été suspendues pour perdre du matériel prêté leur titre du programme 1033.
Derek Citty, directeur de l'Aledo Independent School District au Texas, a été en mesure de retourner les fusils école de police ont reçu du programme.
"Lorsque nous avons reçu ces armes - en particulier les M16 - notre quartier, à bon escient, je crois, pris la décision qu'ils n'entraient pas dans le système philosophique de ce que nous avons essayé de faire pour protéger nos enfants et nos employés», a déclaré Citty Here & «Maintenant, Robin Jeune s
La plupart du temps, le DoD ne veut pas l'ensemble du matériel.
«C'est une méthode de stockage à faible coût pour eux», Robb Davis, le maire pro tempore de Davis, en Californie., dit Mother Jones. «Ils le dumping de ces véhicules sur nous et dire:« Hé, ce sont encore les nôtres, mais vous devez les conserver pour nous ».
Mais le programme ne fait pas que remplir les arsenaux de services de police, selon Kathryn Blake, secrétaire du bureau de l'Iowa prévôt des incendies.
"Tout le monde ne voit que les armes", a dit Blake KCRG . "Ce qu'ils ne voyant pas dire, dans l'état de l'Iowa, nous avons un couple de bateaux pour des urgences de l'eau. Nous avons VTT, matériel de bureau. Ils ont reçu des ordinateurs, des classeurs, et j'en passe ".
Les forces de police qui souhaitent rendre leurs équipements doivent passer par leurs bureaux de l'Etat, comme Blake dans l'Iowa, et ne peuvent pas communiquer directement avec le Pentagone. Cependant, les bureaux de l'État ne peuvent pas aider parce que le ministère de la Défense avait fermé la partie de son site web qui permet aux services de police pour demander des rendements jusqu'à Octobre 1 Blake dit qu'elle est accablé par la responsabilité, qui n'est qu'une partie de sa description de tâches.
«Pour un droit additionnel, cela m'a causé beaucoup de cheveux gris», dit-elle. «L'année dernière cette fois, je vais juste essayer de garder mon programme de déplacement. Tout d'un coup, je défends ce programme ".
Ursula Kroener - un porte-parole de la police pour le district scolaire département de police de San Diego qui essaie de renvoyer un MRAP de 18 tonnes - a dit que le Pentagone a arrêté la distribution en partie parce que de nombreux organismes d'application de la loi sont de réclamer de retourner leur équipement, Mother Jones a rapporté.
http://rt.com/usa/192040-police-return-excess-equipment-pentagon/
A «Aucune Social Media List 'Pour extrémistes et des terroristes potentiels ?
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 30 Septembre 2014
Vous avez entendu parler de la "No Fly List", non ? Eh bien, maintenant que les conservateurs sont en promettant que s'ils remportent les prochaines élections au Royaume-Uni, ils établiront une liste des «extrémistes» qui devront avoir leurs messages de médias sociaux », approuvés à l'avance par la police" avant de les publier. Il est également prévu d'interdire les «extrémistes» de la radiodiffusion et de parler lors d'événements publics. L'objectif déclaré de ces propositions est de sévir contre le terrorisme, mais dans le processus, les libertés civiles du peuple britannique vont être jeté dans les toilettes. Et le peuple américain ont besoin de prêter attention à ce qui se passe au Royaume-Uni, parce que tout état policier mesures sont mises en œuvre là-bas aussi généralement faire mis en œuvre ici par la suite. Pour ceux qui croient que nous devons faire "tout ce qu'il faut" pour lutter contre le terrorisme, il est une question très importante que vous devez vous poser. Que faire si le gouvernement décide que vous êtes un «extrémiste» en raison de ce que vous croyez ? Que ferez-vous alors ?
Quand j'ai vu un reportage dans le Telegraph aujourd'hui intitulé « Les extrémistes d'avoir Facebook et Twitter examinées par la police anti-terroriste ", je pouvais à peine le croire.
Les Britanniques ne veulent en fait pas "de liste de médias sociaux» qui sera essentiellement d'interdire les gens d'utiliser Facebook et Twitter, même si elles n'ont pas été effectivement condamné de faire quelque chose de mal ?
Ce qui suit est un bref extrait de cet article ...
Les extrémistes devront obtenir messages sur Facebook et Twitter approuvées à l'avance par la police en vertu des règles radicales envisagées par les conservateurs.
Ils seront également interdits de parler lors d'événements publics si elles représentent une menace pour «le fonctionnement de la démocratie», en vertu des nouvelles commandes extrémiste de turbulences.
Theresa May, la ministre de l'Intérieur, exposera les plans pour permettre aux juges d' interdire les gens de la radiodiffusion ou de protester à certains endroits, ainsi que l'association avec des personnes spécifiques .
Les plans - à apporter si les conservateurs gagnent l'élection en mai - font partie d'un vaste ensemble de règles pour renforcer la lutte contre le terrorisme de la stratégie du gouvernement.
Cela ressemble à un cauchemar orwellien pour le peuple britannique.
Et qui est un «extrémiste» de toute façon ?
On nous dit que ceux qui appartiennent à ISIS sont des extrémistes, et personne ne dirions que.
Mais l'article du Telegraph fait sonner comme un groupe "qui se propage ou encourage la haine" serait considéré comme extrémiste. Et dans ces nouvelles propositions, même appartenant à un tel groupe pourrait vous jeter en prison jusqu'à 10 ans ...
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Le ministre de l'Intérieur présentera également "des ordonnances interdisant" pour les groupes extrémistes, ce qui est une infraction pénale d'être membre ou de recueillir des fonds pour un groupe qui se propage ou encourage la haine. La peine maximale peut aller jusqu'à 10 ans de prison.
RépondreSupprimerAlors, que signifie tout cela signifie exactement ?
Est-ce que les groupes anti-avortement soient considérés comme «extrémiste» ?
Voulez-groupes faisant la promotion des valeurs traditionnelles soient considérés comme «extrémiste»?
Est-ce que les groupes qui protestent contre les abus du gouvernement britannique soient considérés comme «extrémiste» ?
Est-ce que les églises chrétiennes finalement être considérés comme «extrémiste» parce qu'ils ne sont pas d'accord avec le programme libéral radical du gouvernement central ?
Essentiellement, ce que les conservateurs proposent de faire, c'est de réglementer étroitement tous les discours. Et il n'y a pas moyen de le faire sans mettre l'ensemble du Royaume-Uni dans un enfer totalitaire.
Pendant ce temps, les États-Unis continuent de marcher sur une route similaire.
Par exemple, nous vivons maintenant dans un environnement où un enfant de 16 ans peut être suspendu de l'école et arrêté par la police pour avoir écrit une histoire "sur l'utilisation d'une arme pour tuer un dinosaure" ...
Dans un autre cas de responsables de l'école a une politique de ridicules politiques de tolérance zéro, un étudiant de Caroline du Sud a été suspendu et arrêté par la police après avoir écrit récemment une histoire d'imagination quant à l'aide d'un fusil pour tirer un dinosaure.
Le délinquant, 16 ans, Alex Pierre de Summerville lycée dans une banlieue de Charleston était en cours de terminer une mission où on a demandé aux élèves d'écrire quelque chose de bref sur eux-mêmes, tout comme les mises à jour de statut Facebook.
Pierre a dit aux journalistes qu'il se trouvait dans l'eau chaude avec des enseignants d'être plus imaginatif et mentionner le mot «arme».
C'est de la folie totale, et elle s'aggrave de jour en jour.
Et ce n'est pas seulement les enfants qui doivent faire face à ce genre de chose. Un frère de police grille Big contrôle de l'Etat est construit lentement tout autour de nous. Et les autorités se préparent pour le jour où ils auront à utiliser la force létale pour maintenir la population en ligne. Il suffit de consulter l'extrait suivant d'un récent rapport Infowars ...
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Un document publié par l'armée américaine détails préparatifs concernant les "émeutes de la pleine échelle" aux États-Unis au cours de laquelle les troupes peuvent être contraints à se livrer à une "réponse mortelle" pour faire face à des foules de manifestants indisciplinés.
RépondreSupprimerL'apparition du document au milieu de l'agitation croissante dans Ferguson, Missouri, avec la Garde nationale maintenant être appelé à faire face à la maladie, est une coïncidence de mauvais augure.
Le document de 132 pages, intitulé armée américaine Techniques Publication de 3 à 39,33: troubles civils ( PDF ), a été écrit en Avril 2014 et a récemment obtenu par Intelligence publique .
Le document précise que les techniques qui y sont détaillées doivent être appliquées tant à l'extérieur et l'intérieur de la "zone continentale des États-Unis (CONUS)" en cas de "foules indisciplinées et violentes" où il est "nécessaire pour réprimer les émeutes et rétablir l'ordre public. "
Le manuel de formation décrit les principaux scénarios en vertu de laquelle, «l'agitation civile peut aller de simples protestations non-violentes, qui traitent de questions spécifiques, à des événements qui se transforment en émeutes à grande échelle."
Alors précisément qui est le gouvernement si préoccupé de toute façon ?
Si ISIS et d'autres groupes terroristes islamiques sont le problème, pourquoi le train de lutter contre les Américains ?
Malheureusement, la vérité est que beaucoup de l'accent mis dans la «guerre contre le terrorisme» a été tourné vers l'intérieur lors de l'administration Obama. De nombreux fonctionnaires du gouvernement fédéral insistent maintenant que "la terreur de chez nous" est la plus grande menace que nous devons faire face.
Et vous pouvez être très surpris d'apprendre qui le gouvernement considère «terroristes potentiels» de l'être. Ce qui suit est un extrait étendu de mon précédent article intitulé « 72 types d'Américains qui sont considérés comme «terroristes potentiels» Dans Documents officiels du gouvernement »...
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Voici une liste de 72 types d'Américains qui sont considérés comme des «extrémistes» et des «terroristes potentiels» dans les documents officiels du gouvernement américain. Pour voir le document original pour chaque point, il suffit de cliquer sur le lien. Comme vous pouvez le voir, cette liste couvre la plupart des pays ...
1. Ceux qui parlent de "libertés individuelles"
2. Ceux qui prônent pour les droits des Etats
3. Ceux qui veulent "faire du monde un meilleur endroit"
4. "Les colons qui cherchaient à se libérer de la domination britannique"
5. Ceux qui sont intéressés à "vaincre les communistes"
6. Ceux qui croient " que les intérêts de sa propre nation sont séparés des intérêts des autres nations ou à l'intérêt commun de toutes les nations »
7. Toute personne qui détient une « idéologie politique qui considère l'état d'être inutile, néfaste, ou indésirable »
8. Toute personne qui possède une " intolérance envers les autres religions »
9. ceux qui « prennent des mesures pour lutter contre l'exploitation de l'environnement et / ou des animaux "
10. "anti-gay"
11. "anti-immigrant"
12. "anti-musulman"
13. «Le mouvement patriote"
14. "L'opposition à l'égalité des droits pour les gays et les lesbiennes"
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15. membres du Family Research Council
RépondreSupprimer16. membres de l'American Family Association
17. Ceux qui croient que le Mexique, le Canada et les Etats-Unis "sont secrètement l'intention de fusionner en une seule entité l'Union européenne comme qui sera connu sous le nom« Union nord-américaine "
18. membres de l'American Border Patrol / American Patrol
19. membres de la Fédération pour American Immigration Reform
20. membres de la Coalition Liberté Tennessee
21. membres du Réseau Action des Chrétiens
22. Toute personne qui est «opposé à l'Ordre du Nouveau Monde"
23. Toute personne qui est engagée dans "théorie du complot"
24. Toute personne qui s'oppose à l'ordre du jour 21
25. Toute personne qui se préoccupe de camps de la FEMA
26. Toute personne qui "craintes imminentes confiscations de contrôle des armes à feu ou des armes"
27. Le mouvement de milice
28. Le mouvement citoyen souverain
29. ceux qui «ne pense pas qu'ils devraient avoir à payer des impôts"
30. Toute personne qui "se plaint de partialité»
31. Toute personne qui "croit à un complot du gouvernement au point de la paranoïa"
32. Toute personne qui "est frustré par les idéologies traditionnelles"
33. Toute personne qui "sites de visites extrémistes / blogs"
34. Toute personne qui "établit site / blog pour afficher des vues extrémistes"
35. Toute personne qui "assiste à des rassemblements pour des causes extrémistes"
36. Toute personne qui "présente l'intolérance religieuse extrême»
37. Toute personne qui «est personnellement lié à un grief"
38. Toute personne qui "acquiert soudain armes"
39. Toute personne qui "organise des manifestations inspirées par l'idéologie extrémiste"
40. "Milice ou la milice non organisé»
41. «général d'extrême-droite"
42. citoyens qui ont "autocollants pour voiture" qui sont patriotes ou anti-ONU
43. Ceux qui se réfèrent à une "Armée de Dieu"
44. Ceux qui sont «farouchement nationaliste (par opposition à l'universel et international en orientation)"
45. Ceux qui sont «anti-global"
46. Ceux qui sont «suspect de l'autorité fédérale centralisée"
47. Ceux qui sont «respectueux de la liberté individuelle"
48. ceux qui «croient aux théories du complot"
49. Ceux qui ont "la conviction que son« mode de vie »personnels et / ou national est attaqué"
50. Ceux qui possèdent «une croyance dans la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant à des préparations paramilitaires et de la formation ou survivalism"
51. Ceux qui «imposer principes et les lois religieuses strictes sur la société (fondamentalistes)"
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52. Ceux qui seraient "insérer la religion dans la sphère politique"
RépondreSupprimer53. Toute personne qui «visent à politiser la religion"
54. Ceux qui ont "soutenu les mouvements politiques d'autonomie"
55. Toute personne qui est "anti-avortement"
56. Toute personne qui est «anti-catholique»
57. Toute personne qui est "anti-nucléaire"
58. "extrémistes de droite"
59. «anciens combattants de retour"
60. Ceux qui s'inquiètent "immigration illégale"
61. ceux qui «croient en droit de porter les armes"
62. Toute personne qui est engagée dans «stockage de munitions"
63. Toute personne qui présente «la peur des régimes communistes"
64. "activistes anti-avortement"
65. Ceux qui sont contre l'immigration clandestine
66. Ceux qui parlent de "Nouvel Ordre Mondial" de manière "dérogatoire"
67. Ceux qui ont une vision négative de l'Organisation des Nations Unies
68. Ceux qui sont opposés "à la perception des impôts fédéraux sur le revenu"
69. Ceux qui ont soutenu les anciens candidats à la présidentielle Ron Paul, Chuck Baldwin et Bob Barr
70. Ceux qui affichent le drapeau de Gadsden ("Ne marchez pas sur moi»)
71. Ceux qui croient en «fin des temps» de prophéties
72. chrétiens évangéliques
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Commencez-vous à comprendre ?
Lorsque les fonctionnaires du gouvernement parlent de la nécessité de sévir contre les «extrémistes» et des «terroristes potentiels», c'est une chose très dangereuse.
La vérité est qu'ils pourraient parler de vous.
http://endoftheamericandream.com/archives/a-no-social-media-list-for-extremists-and-potential-terrorists
Marque comme du bétail: Rapport montre des hordes de victimes, incl. enfants, victimes de la traite en Royaume-Uni
RépondreSupprimer30 Septembre 2014 15:12
Près de 3.000 personnes ont été victimes de la traite pour l'esclavage et de l'exploitation au Royaume-Uni, selon un nouveau rapport publié par l'Agence nationale de la criminalité (NCA), avec l'Internet étant l'un des plus grands pilotes de la prolifération des abus.
Selon la NCA, l'esclavage du Royaume-Uni a fait un bond de 22 pour cent depuis 2013, que les trafiquants utilisent de rencontres en ligne, les médias sociaux et les sites de recrutement d'emplois pour attirer leurs victimes.
Dans certains cas, les victimes ont été attirés dans des réseaux de trafic sous le prétexte de rencontrer quelqu'un se faisant passer pour une histoire d'amour en ligne.
Le rapport, publié mardi, a identifié 2 744 personnes, dont plus de 600 enfants, victimes du trafic. Plus de 40 pour cent des victimes étaient impliquées dans le commerce du sexe, alors que beaucoup ont fini par être utilisé pour le travail manuel forcé.
Environ 19 % des victimes de la traite ont été impliqués dans d'autres formes d'exploitation criminelle.
Le rapport montre que la plupart des victimes étant victimes de la traite dans le Royaume-Uni sont d'Europe de l'Est, à savoir la Roumanie, tandis que ceux qui sont forcés dans le travail manuel en grande partie venue de Pologne. Cependant, les victimes identifiées par l'ANC avaient aussi des origines en Albanie, la Slovaquie et la Lituanie.
L'ANC a également dit qu'il avait vu des preuves des victimes potentielles de la traite étant marqué avec des tatouages et des insignes qui peuvent avoir été utilisés pour «marque».
Liam Vernon, chef de l'équipe de traite des êtres humains de l'ANC, a appelé l'acte marque comme un moyen de marchandiser victimes pour «acheter et vendre» «comme du bétail."
"Traite des êtres humains aux fins d'exploitation est un crime insidieux et complexe et une grande partie de l'exploitation est caché de la vue», a t-il ajouté.
Karen Bradley, l'esclavage moderne au Royaume-Uni et le ministre de la criminalité organisée, a décrit l'esclavage moderne comme un crime effroyable qui avait "pas de place dans la société d'aujourd'hui."
"Pourtant, ces chiffres montrent qu'elle se déroule ici - souvent hors de vue - dans les magasins, les champs, les chantiers de construction et derrière les rideaux de rues ordinaires" a t-elle ajouté.
L'ANC a dit que les gens avaient été portés à la Grande-Bretagne dans des opérations de trafic, après avoir été acheté pour des sommes allant de 200-6,000 livres (US $ 324- $ 9720). Dans certains cas, les victimes ont été contraints de remettre la trésorerie du travail du sexe à leurs «souteneurs» pour des sommes allant jusqu'à 50.000 livres ($ 81,000) pour couvrir les coûts des vols et des documents de voyage.
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Le rapport s'inscrit dans le sillage de l'esclavage moderne projet de loi de la Grande-Bretagne, qui est actuellement en cours de révision au Parlement. Le projet de loi, conçu par britannique de l'Intérieur, Theresa May, et publié plus tôt cette année, a été conçu pour protéger les victimes de la traite vers et depuis le Royaume-Uni, et de fournir plus de sécurité aux personnes qui avaient fait l'objet de trafic sexuel.
RépondreSupprimerhttp://rt.com/uk/191864-human-trafficking-uk-report/
'Une famille italienne peut obtenir 30 euros par jour si elle accepte d'héberger un migrant'
RépondreSupprimerpar Mylène Vandecasteele
30 sept. 2014
Le maire de Rome, Ignazio Marino, vient de soutenir le projet de verser 30 euros à des familles italiennes qui acceptent d’accueillir chez elles temporairement un demandeur d’asile à titre d'indemnités journalières. C’est le sous-secrétaire du ministre italien de l’Intérieur, Domenico Manzione, qui a eu l’idée de cette initiative pour soulager la pression sur les centres d’accueil d’immigrants débordés par le flux incessant des nouveaux arrivants. Marino espère qu’elle permettra d’offrir une « plus grande disponibilité pour la réception et l’intégration sociale » de ces derniers.
Entre le début de l’année et la mi-août, 100 000 migrants sont arrivés en Italie. En outre, selon les estimations de l'Organisation des Nations Unies, près de 2 000 personnes candidates à la migration n’ont pas survécu au voyage.
Le projet consisterait à remettre l’équivalent de la somme que le gouvernement dépense quotidiennement pour chaque migrant, soit 30 euros, à la famille qui accepterait de l’héberger.
Mais cette idée a été critiquée par le parti nationaliste de la Ligue du Nord, qui y voit une « insulte pour les Italiens » : « C’est vraiment une plaisanterie. J’adopterais un Italien en difficulté. Je pense à ceux qui sont au chômage, ceux qui sont forcés de prendre leur retraite précocement ou les pensionnés qui sont forcés de vivre avec le minimum, tous invisibles pour le gouvernement des immigrés », a déclaré le dirigeant du parti au Sénat, Gian Marco Centinaio.
Pour des dizaines de milliers de candidats à la migration provenant de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, l’Italie est la première porte de l’Europe. Ces derniers temps, on a constaté une forte hausse du nombre de Syriens qui fuient les violences de la guerre civile dans leur pays. La majorité des migrants souhaiterait gagner d’autres pays d’Europe, mais les lois européennes le leur interdisent.
Depuis des mois, le gouvernement italien réclame une aide aux institutions européennes pour qu’elles le soutiennent pour accueillir toutes ces personnes. A la fin du mois d’août, la Commission européenne a annoncé le lancement de l’opération « Frontex », pour remplacer l’opération « Mare Nostrum » afin de porter secours aux migrants qui arrivent sur des embarcations précaires au bord du chavirement.
http://www.express.be/business/fr/economy/une-famille-italienne-peut-obtenir-30-euros-par-jour-si-elle-accepte-dheberger-un-migrant/208166.htm
Irak: l'armée livre par erreur de l'aide humanitaire à l'EI
RépondreSupprimerMOSCOU, 1er octobre - RIA Novosti/La Voix de la Russie
Les forces aériennes irakiennes ont pas erreur parachuté de l'aide humanitaire dans les zones contrôlées par les combattants de l'Etat islamique, rapporte mercredi le Washington Times.
Selon le journal, la cargaison composée de produits alimentaires, d'eau potable et de munitions était destinée aux militaires irakiens participant à l'opération contre les djihadistes de l'EI. Cependant, l'aide a été parachutée sur la province d'Al-Anbar (ouest) contrôlée par les islamistes.
"Nos militaires avaient un grand besoin de cette aide, mais en raison d'une erreur commise par le commandement et du manque d'expérience des pilotes, nous avons de facto aidé l'EI à tuer nos soldats", a déclaré le député irakien Hakim al-Zamili dans une interview à la chaîne NBC News.
Ces informations ont été confirmées par une source au sein du ministère irakien de la Sécurité qui s'exprimait sous couvert d'anonymat.
L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires.
Fin juillet l'EI a proclamé un califat islamique sur les territoires irakiens et syriens sous son contrôle. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.
http://french.ruvr.ru/news/2014_10_01/Irak-larmee-livre-par-erreur-de-laide-humanitaire-a-lEI-6271/
Lecteur question sur une société de crédit-base: Pouvez-vous avoir des intérêts jamais d'être remboursés ?
RépondreSupprimerTuesday, 30 Septembre, 2014 24:35
Lecteur Mike se demande comment intérêt ne peut jamais être remboursé en une économie basée sur le crédit.
Salut Mish, je me demande si vous seriez en mesure de commenter ce projet de loi de brut dans Pour les mordus seulement : " Une économie financière basée sur le crédit (par opposition à la trésorerie pur) dépend d'un niveau exceptionnel en pleine expansion de crédit pour sa survie. Sans crédit supplémentaire, intérêts sur les dettes émises précédemment ne peut être payé absent de la vente des actifs existants, qui à son tour conduire à un cercle vicieux de la déflation de la dette, la récession et la dépression en fin de compte. Dit simplement, si le crédit doit élargir à 4,5% par an , les secteurs privé et public en combinaison doivent créer environ 2,5 billions de dollars la dette supplémentaire par année pour payer les intérêts échus. " Cela semble en corrélation avec la réalité à 100%, mais les implications sont superbes. Cela signifie que les actifs doivent augmenter en valeur au taux de l'emprunt initial ainsi que tous les paiements d'intérêts jamais fait. Cela signifie aussi qu'il n'y aura un renversement très important à un moment donné qu'il y aura un moment où le dernier prêt que quelqu'un aura à payer qui est rédigé le système ne sera pas en mesure de se développer. J'ai toujours pensé que le niveau d'endettement serait tout simplement atteindre un plateau très élevé et d'y rester, mais brut est de dire que ce n'est pas possible. Si le système que nous avons besoin de l'intérêt à créer chaque année (sous la forme de nouveaux prêts) pour survivre qui semble comme la définition même d'une chaîne de Ponzi. Connaissez-vous la raison mécanique pour laquelle les paiements d'intérêts doivent être créés par l'émission d'une nouvelle dette ?
Il est possible, bien sûr, que vous n'êtes pas d'accord avec Bill Gross, mais il sait probablement plus sur le fonctionnement de la dette que tout homme vivant si mon hypothèse est que vous êtes d'accord avec son point de vue. je suis sûr que vous obtenez des demandes sans fin pour les articles, mais ce n'est une telle question fondamentale que je serais extrêmement reconnaissant (comme je suis sûr que feriez beaucoup d'autres personnes) si vous êtes capable d'écrire une réponse dans un article. Mike
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Exponentielle Math
RépondreSupprimerNous sommes dans ce pétrin précisément en raison de prêts fraction de réserve et de la politique de l'inflation par les banques centrales qui ne semblent pas comprendre les conséquences à long terme de mathématiques exponentielle sans fin. J'ai couvert l'aspect exponentielle de mathématiques avant. Pour plus de détails, s'il vous plaît voir l'argent comme la communication: Un Volontairement "-éducatif non" fallacieuse vidéo par la Fed d'Atlanta. crédit dans un or-Backed mondiale Il n'ya rien de mal avec l'expansion de crédit utilisée à des fins productives. Si nous avions un dollar d'or adossés à 100% sans FDIC, les créances douteuses seraient éteints automatiquement. taux d'intérêt seraient faibles pour les entreprises à faible risque et haute pour les entreprises à haut risque, avec des prêteurs (déposants prêts à prêter de l'argent) en prenant le risque. sur les entreprises à haut risque, certains projets perdraient et certains victoire, comme il se doit. Surtout, pas d'argent a eu lieu en lieu sûr (dépôts de vérification), ne jamais être à risque dans le système d'or adossés à 100%.
Il n'y aurait pas non nécessité mathématique de crédit pour développer de façon exponentielle pour toujours et à jamais sans fin. hypothèques de 30 ans pourraient même ne pas exister, mais cela ne pose aucun problème. déflation (un état naturel des choses en raison de la hausse de la productivité) permettrait prix les banquiers centraux de stabilité affirment maintenant qu'ils veulent. Mais ce n'est pas le monde dans lequel nous vivons. Fiat mondiale Math Malheureusement, nous vivons dans un monde de fiat, pas un monde 100% garantie par l'or du dollar. Nous avons fractionnée prêts de réserve, et un décalage énorme dans la durée. Les banques empruntent à court et à long prêtent. C'est une recette pour le désastre. Merci à l'encouragement de la banque centrale et les taux anormalement bas d'un régime de fiat, le crédit est de la main. Les prêts qui ont été faites ne peuvent éventuellement être remboursés.
Entreprises de zombies improductifs ne survivent que parce qu'ils peuvent rouler sur la dette tout en le développant. dette de Pacte-lite représente désormais 50% des nouvelles émissions de dette. Pire encore, les salaires réels sont en baisse à cause de la banque des politiques inflationnistes centrales dans un monde axé sur la productivité de plus en plus dépendantes de robots, pas le travail humain. lois sur le salaire minimum, Obamacare, l'exercice du Congrès politiques, la Fed politiques de taux d'intérêt, les syndicats publics et les politiques inflationnistes dans toutes les phases de gouvernement il était plus probable que les entreprises utilisent des robots à un rythme beaucoup plus rapide que la normale. Quelque chose a à donner et il le fera. Debtberg malinvestissements et la borne du zéro problème , j'ai demandé à mon ami Pater Tenebrarum au Man intérim blog pour carillon sur cette situation. Pater écrit ...
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L'intérêt est essentiellement rien d'autre que la remise de biens futurs par rapport aux biens présents. À la base, l'intérêt est en fait un phénomène non-monétaire. Dans le fractionnement réservés système de monnaie fiduciaire moderne-jour, il est devenu possible d'élargir l'argent et de crédit à des taux d'immenses. La raison pour laquelle la debtberg a pu atteindre de telles proportions immenses est que les taux d'intérêt ont chuté de plus de 30 ans. Mais maintenant, nous sommes arrivés à un moment critique, parce que les taux d'intérêt ne peuvent plus aller plus bas. La possibilité de refinancer la dette existante encore et encore pour réduire le coût en est venu à une fin. La taille d'une dette est sans importance si la dette a été utilisée à des fins productives et est pour ainsi dire «auto-liquidation». Imaginez que vous êtes une entreprise qui emprunte $ 200 000 000 à 3%.
RépondreSupprimerSi vous employez cet argent pour produire des biens qui ont une marge bénéficiaire nette de 6%, le remboursement de la dette plus les intérêts ne pose pas de problème. Mais beaucoup de dettes dans le système aujourd'hui est un "poids mort" qui ne produisent rien. Tous dette publique existante n'est que le reflet de dépenses passées, et les fonds ont été de 100% consommé. La même chose est évidemment de la dette à la consommation, mais les consommateurs au moins avoir un revenu basé sur la production (leur travail créera de la valeur à l'avenir).
Le revenu du gouvernement repose sur la production d'autres produits, qui est coercitive approprié. Dans le domaine de la dette des entreprises, ce qui peut être considéré comme productif, en principe, il ya le problème que la plupart des investissements qui ont été prises sont vraiment malinvestissements, que le calcul économique a été falsifiée par pompage monétaire. La dette qui a financé de mauvais investissements en capital est un poids mort ainsi, bien que cela ne peut devenir évidente à un stade ultérieur. Ainsi, la situation est maintenant à ceci: le service de la dette augmentera désormais à chaque nouvel ajout à la dette existante, les taux d'intérêt sont arrivés à leurs plus bas absolus.
Compte tenu de la dette totale du marché du crédit de $ 60000000000000 États-Unis seulement, il deviendra de plus en plus difficile de produire effectivement la valeur ajoutée requis pour traiter cette dette. Il est en effet une incitation pour beaucoup à jouer une sorte de chaîne de Ponzi qui est très similaire à la Ponzi de la dette publique. De nombreuses entreprises, en particulier les crédits d'ordure, ne peuvent survivre qu'en roulant sur leur dette à son échéance. Néanmoins, le calcul brut peut être un peu trop simpliste. Après tout, si vous êtes un créancier et d'être payé intérêts et le capital, l'argent se déplace seulement de A à B. Il est toujours là, que sa propriété a changé de mains. Le problème est que les banques centrales croient à gonfler la dette loin et le maintien des prix "stables".
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Dans une économie de marché, les prix ne sont pas stables, ils le feraient en effet déclin. Ainsi, l'intérêt serait très faible pour commencer, et chaque dollar serait faire plus de travail au fil du temps (c.-à-, pourrait être échangé pour plus réelle richesse / produits / services comme le temps passe). Ainsi, nous avons un biais systémique à l'égard de plus en plus d'expansion de la dette. Évidemment, les coûts de service de la dette de ce système sont prévus pour augmenter, tandis que la création d'une compensation de la richesse n'est plus garantie. Vous pouvez le voir dans le fait que de plus en plus la nouvelle dette est ajoutée par dollar de croissance du PIB. Alors brut est tout à fait raison de dire qu'il s'agit d'un problème - le problème est la bulle en cours. Une telle bulle ne nécessite en effet une accélération constante de la dette et l'offre de monnaie pour continuer. Il me semble que c'est un système qui est à venir toujours plus près de la falaise.
RépondreSupprimerSur le bord d'une falaise
• Le Japon est sur le bord d'une falaise
• L'Europe est sur le bord d'une falaise.
• Chine se rapproche de la falaise, s'il n'est pas déjà sur le bord.
• États-Unis se rapproche de la falaise.
Personne ne peut être sûr que quand un pays va tomber de la falaise, mais finance exponentielle, les systèmes de financement de Ponzi, et les limitations d'intérêt zéro liés suggérer le résultat est plutôt tôt que tard. Comme je l'ai déjà dit, une crise monétaire mondiale attend. Mike "Mish" Shedlock
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com
Ô ironie… Les Américains ont aidé les Russes à découvrir l'un des plus grands gisements de pétrole de l'histoire
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
29 sept. 2014
Bien qu’il semble que l’on assiste à une accalmie dans la crise ukrainienne, il ne semble pas probable qu'une solution puisse être rapidement trouvée pour régler définitivement ce problème. L'Occident marche sur des œufs, notamment parce que la Russie contrôle la fourniture de gaz naturel pour de nombreux pays européens qui en dépendent.
La Russie est riche en ressources, et elle dispose de réserves importantes de pétrole et de gaz sur son territoire. L'Occident peut difficilement boycotter cette source d’énergie. Par-dessus le marché, la position de Moscou s’est récemment renforcée sur le marché mondial de l'énergie. En effet, la Russie vient de découvrir un très vaste gisement de pétrole dans le Grand Nord, qui promet d’être l’un des plus grands gisements du monde.
Le président russe Vladimir Poutine peut se frotter les mains, car la découverte a été réalisée par la compagnie pétrolière d’Etat OAO Rosneft en collaboration avec la firme américaine ExxonMobil. Le gisement de pétrole est situé dans la mer de Kara, dans l’Océan Arctique. Le champ nouvellement découvert pourrait être plus grand que ceux du Golfe du Mexique, de l’Alaska ou du Canada, et selon les premiers forages, le puits pourrait fournir environ 1 milliard de barils de pétrole brut.
« Il a dépassé nos attentes. Cette découverte est exceptionnellement révélatrice de la présence d’hydrocarbures dans l’Arctique », a déclaré Igor Sechin, le CEO de Rosneft.
Mais ironie du sort, la coopération entre les deux compagnies pétrolières a été suspendue le 12 Septembre à la suite de sanctions occidentales contre la Russie pour son ingérence en Ukraine. Mais ExxonMobil dispose d’un délai qui court jusqu’au 10 octobre prochain avant de mettre les sanctions à exécution et suspendre cette collaboration. Après cette date, Rosneft et ExxonMobil ne pourront plus faire d’autres forages ensemble, et l’exploration de la zone sera donc reportée à une date ultérieure, en dépit de la découverte que les deux compagnies viennent de faire.
Selon le vice-ministre russe de l’énergie, Kirill Molotsov, les forages se poursuivront au cours de l’année prochaine, même sans la participation d’ExxonMobil.
L'impact sur le marché du pétrole ne doit pas être sous-estimé. La pression à la baisse sur les prix du pétrole pourrait encore se poursuivre sur les prochains mois. C’est une mauvaise nouvelle pour la Russie, parce que le gouvernement russe a besoin d’un cours du baril de pétrole compris entre 110 et 117 dollars pour couvrir les dépenses de l'Etat. Lorsque le cours tombe en deçà de 100 dollars, il peut gagner du temps grâce à quelques astuces fiscales. Mais il ne faut pas que cette situation perdure.
http://www.express.be/business/fr/economy/o-ironie-les-americains-ont-aide-les-russes-a-dcouvrir-lun-des-plus-grands-gisements-de-ptrole-de-lhistoire/208164.htm
Des écolières de 14-16 ans congé France, Royaume-Uni, l'Allemagne pour la Syrie à Rejoignez ISIS Jihad
RépondreSupprimerAutant que 63 adolescentes très mal orientés en provenance de France, 40 en Allemagne et 50 au Royaume-Uni ont quitté leur pays pour rejoindre ISIS en Syrie. The Guardian a un rapport fascinant sur ??djihadistes écolière: les islamistes femmes quitter la maison pour rejoindre les combattants Isis.
Des centaines de jeunes femmes et les filles quittent leurs foyers dans les pays occidentaux à rejoindre les combattants islamiques au Moyen-Orient, suscitent une préoccupation croissante chez les enquêteurs antiterroristes. filles dès l'âge de 14 ou 15 voyagent principalement en Syrie pour se marier djihadistes, supporter leurs enfants et rejoindre des communautés de chasseurs, avec un petit nombre de prendre les armes. Beaucoup sont recrutés par l'intermédiaire des médias sociaux. femmes et les filles semblent représenter environ 10% de ceux qui quittent l'Europe, l'Amérique du Nord et en Australie pour établir des liens avec des groupes djihadistes, y compris l'Etat islamique (Isis).
La France a le plus grand nombre de recrues djihadistes femmes, avec 63 dans la région - environ 25% du total -. Et au moins un autre 60 croit être compte tenu de la décision Dans la plupart des cas, les femmes et les filles semblent avoir quitté la maison pour se marier djihadistes , établi à l'idée de soutenir leurs «combattants de frère" et d'avoir "des enfants djihadistes de continuer la propagation de l'islam", a déclaré Louis Caprioli, ancien chef de l'agence française de sécurité Direction de la Surveillance du Territoire. "Si leur mari meurt, ils seront donnés adulation que la femme d'un martyr."
Cinq personnes, dont une sœur et frère, ont été arrêtés en France au début du mois soupçonnés d'appartenir à un anneau en centre de la France qui se spécialise dans le recrutement de jeunes français femmes, selon Bernard Cazeneuve, le ministre de l'Intérieur. Au moins 40 femmes ont quitté l'Allemagne pour rejoindre Isis en Syrie et en Irak dans ce qui semble être une tendance de plus en plus d'adolescents deviennent radicalisé et les voyages au Moyen-Orient sans la permission de leurs parents. " Le plus jeune avait 13 ans-vieux », Hans-Georg Maassen, président de l'Office fédéral pour la protection de la Constitution, a déclaré à la Rheinische Post.
"Quatre femmes mineures sont repartis avec une idée romantique de mariage de jihad et de jeunes combattants mariés de sexe masculin qui avaient appris à connaître par l'intermédiaire de l'Internet." Karim Pakzad, de l'Institut français des relations internationales et stratégiques, a déclaré certaines jeunes femmes avaient "un presque romantique idée de la guerre et des guerriers. "Il ya une certaine fascination, même avec la tête et la gorge de coupe. C'est une aventure. "
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Certaines femmes et filles britanniques ont posté des photos d'eux portant des AK-47, des grenades et dans un cas, une tête coupée, comme ils s'engagent allégeance à Isis. Mais ils sont aussi tweetent des photos de la nourriture, des restaurants et des couchers de soleil à présenter une image positive de la vie en attente de jeunes femmes dans une tentative pour attirer plus du Royaume-Uni. femmes vivant au milieu des combattants Isis déjà utilisé les médias sociaux habilement dépeindre la Syrie comme une utopie et pour attirer les femmes étrangères à se joindre à leur «sororité dans le califat", dit-elle.
RépondreSupprimer«L'idée de vivre dans le califat est très positif et puissant que ces femmes sont chères à leur cœur." Mais la réalité était très différente, dit-elle. Les deux Bloom et Rolf Tophoven, directeur de l'Institut allemand pour la politique de sécurité contre le terrorisme et la recherche, a déclaré rapports ont indiqué que les femmes avaient été violées, abusé, vendu en esclavage ou forcé de se marier. "[Isis] est un mouvement brutal strictement islamiste ... le pouvoir, la structure de direction, sont de toute évidence un domaine réservé aux hommes», a déclaré Tophoven
Rencontrez djihadiste Samra Kesinovic
Samra Kesinovic est de 16 ans son école, dit-elle avait parlé à de «guerre sainte», écrit «I love al-Qaida» autour du bâtiment. Photo: Interpol C'est une histoire incroyable par le Guardian, avec huit photos et de nombreuses histoires de ce membres de la famille essaient de faire pour leurs enfants de retour. Mike "Mish" Shedlock
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com
Sept décennies de collaboration avec les Nazis : les petits secrets ukrainiens inavouables des États-Unis
RépondreSupprimer1 octobre 2014
The French Saker
Tous ceux qui ont des yeux ont pu les voir lors des événements d’Ukraine : ces porteurs d’insignes et de drapeaux, de symboles nazis, exacts ou imités, de runes étranges, d’emblèmes et d’armoiries SS, qu’il s’agisse du Wolfsangel ou de la croix gammée. Comment ces groupes sont-ils apparus ? D’où viennent ces organisations ? A-t-on simplement voulu, là-bas, en Ukraine, ressusciter le souvenir d’une histoire passée, vieille de sept décennies ? Ou a-t-on au contraire, depuis toutes ces années, entretenu ce qui avait existé alors ? Où, et à quelle fin ? Avec quelles protections ?
Indiscutablement, un article important, dans lequel Russ Bellant, l’auteur de « Les vieux Nazis, la nouvelle droite et le Parti républicain » nous dévoile une réalité depuis longtemps dissimulée derrière la façade d’un des deux grands partis politiques étatsuniens.
The French Saker
Sept décennies de collaboration avec les Nazis : les petits secrets ukrainiens inavouables des États-Unis
Paul H. Rosenberg et Foreign Policy In Focus
Le 28 mars 2014
Cet article est une publication conjointe du The Nation et de Foreign Policy In Focus.
Alors que la crise ukrainienne s’aggrave ces dernières semaines, il est difficile pour les américains de ne pas considérer Vladimir Poutine comme le grand méchant. Mais l’histoire de cette région est celle de méchants en compétition les uns contre les autres, et une certaine école de méchants – les Nazis – a une longue histoire de coopération avec les États-Unis ; une histoire généralement secrète, mais qui parfois pourtant a été exposée, comme dans l’ouvrage de Russ Bellant, « Les vieux Nazis, la Nouvelle Droite et le Parti Républicain » (South End Press, 1991). Les révélations faites par Bellant à propos des dirigeants nazis émigrés d’Allemagne à la fin de la seconde guerre mondiale, et ralliés en 1988 à la campagne présidentielle de George Bush, ont été la cause principale de l’annonce de la démission de neuf personnes, dont deux originaires d’Ukraine. C’est la raison logique qui nous a fait choisir cet auteur pour nous éclairer au sujet des diverses mentions de la présence de nazis et d’éléments fascistes parmi les nationalistes Ukrainiens, présence qui d’ailleurs semble n’avoir jamais réellement donné lieu à des commentaires ou à des explications. Bien sur, la majorité des Ukrainiens ne sont ni nazis ni fascistes, ce qui est une raison de plus pour mettre en lumière ceux qui voudraient dissimuler leur vraie nature dans l’ombre, ou se cacher en retrait de la lumière momentanée des projecteurs.
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Votre livre, « Les vieux Nazis, la nouvelle droite et le Parti républicain », met en lumière l’implication profonde au sein du Parti républicain, d’éléments nazis issus d’Europe centrale et de l’est, parmi lesquels des Ukrainiens, ce depuis la deuxième guerre mondiale et même avant. Alors que la crise Ukrainienne se développe depuis ces dernières semaines, il a été plusieurs fois fait mention de la présence d’éléments fascistes ou néo-fascistes, mais il semble que l’on n’ait jamais considéré que cela justifiât des commentaires ou des explications plus approfondies. Je ne vois personne qui soit plus qualifié que vous pour éclairer tout ce qui n’est pas dit à ce sujet. Le danger d’une belligérance russe est de plus en plus évident, mais ces éléments fascistes mal connus représentent déjà en eux mêmes un danger. Que pouvez-vous nous dire au sujet de ces personnes et de leur dangerosité ?
RépondreSupprimerCette faction a une longue histoire et un long dossier a été constitué à son sujet, dossier maintenant connu et qui parle de lui même. L’organisation clé du coup d’état qui a eu lieu récemment est l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) [1] ou plutôt une branche spéciale de celle-ci, connue sous le nom de Banderistes (OUN-B). C’est elle le groupe qui se trouve derrière le parti Svoboda, lequel a obtenu nombre de postes importants dans le nouveau gouvernement intérimaire. L’existence de l’OUN remonte aux années 1920, lorsqu’elle s’est séparée d’autres partis, et surtout aux années 1930, pendant lesquelles elle a initié une campagne d’assassinats et de terrorisme à l’encontre de tous ceux qui n’étaient pas d’accord avec elle.
Alors que la deuxième guerre mondiale approchait, elle a fait alliance avec les forces nazies. Elle a formé différentes organisations militaires et ainsi, lorsque l’Allemagne a envahi l’Union Soviétique en juin 1941, elle avait constitué plusieurs bataillons qui se sont déplacés vers la ville la plus importante à cette époque, ville où se situait leur base : Lvov ou Lwow, on peut l’écrire de plusieurs manières [aujourd'hui, c’est Lviv]
[2]. Ils y sont entrés, et nous disposons d’une histoire documentée sur leur participation à l’identification et au regroupement des juifs dans cette ville, ainsi que, presque immédiatement, à l’exécution de plusieurs milliers de citoyens. Ils furent aussi impliqués dans la liquidation de populations polonaises dans d’autres parties de l’Ukraine tout au long de la guerre.
Sans s’être profondément impliquée dans l’ensemble de cette histoire, l’Organisation des nationalistes ukrainiens défend, encore aujourd’hui, le rôle qu’elle a joué lors de la guerre. C’est elle qui a fourni les effectifs pour la formation de la 14e division des Waffen SS, unité entièrement composée d’Ukrainiens et qui est devenue une troupe armée combattant pour les Allemands et entièrement placée sous leur contrôle. Ceux-ci ont aidé et encouragé sa formation et après la guerre, en fait juste à la fin de la guerre, elle fut dénommée « Première division ukrainienne ». L’OUN continue à glorifier l’histoire de cette division SS, et elle a créé une organisation de vétérans qui, bien sur, n’a plus beaucoup de membres, mais qui constitue néanmoins une division de vétérans de cette époque.
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Si vous regardez les insignes qui sont arborés lors des manifestations et des marches organisées à Kiev, vous verrez que ceux de la division SS sont toujours portés. En fait, je regardais des photographies de cela la nuit dernière, et l’on y voyait une formation entière marcher, non pas avec l’insigne de la 14e Division, mais avec celui de la Seconde division. C’était une division étoffée, qui a participé à d’importantes batailles dans toute l’Ukraine, et ceux que l’on voit défiler arborent son insigne sur leurs brassards.
RépondreSupprimerIl s’agit donc de documents très clairs, et l’OUN, même dans ses publications d’après guerre, a appelé à la création d’un territoire ukrainien ethnologiquement et génétiquement pur, ce qui bien sûr est simplement un appel à purger ce qu’ils considèrent comme le territoire ukrainien des juifs, des Polonais et des Russes. De plus, les dirigeants actuels de Svoboda ont prononcé des remarques ouvertement antisémites, appelant à se débarrasser des juifs moscovites et de tout le reste. Ils utilisent ce langage, très vulgaire et agressif, qui fait frémir quiconque connaît l’histoire de la deuxième guerre mondiale. S’ils vivaient ici, il me semble que ceux qui l’entendent devraient commencer à s’en inquiéter.
De toute évidence, ces gens n’ont pas le monopole du pouvoir en Ukraine mais ils ont progressé, et les États-Unis étaient derrière le parti Svoboda et derrière ces nationalistes Ukrainiens. En fait, les connections avec les États-Unis remontent à la seconde guerre mondiale, et c’est de longue date que les États-Unis ont maintenu un lien avec l’OUN, par l’intermédiaire des agences de renseignement ; initialement les renseignements militaires, puis plus tard la CIA.
Votre livre parle d’un personnage central au sein de l’OUN, Yaroslav Stetsko, qui fut politiquement actif aux États-Unis durant des décennies. Que pouvez-vous nous dire au sujet de son histoire ?
Yaroslav Stetsko était le numéro deux de l’OUN durant la seconde guerre mondiale, et même par la suite. En 1959, Stepan Bandera, qui dirigeait l’OUN, fut tué, et ce fut alors que Stetkso en assuma la direction. Stetsko fut celui qui marcha sur Lvov avec l’armée allemande le 30 juin 1941. L’OUN publia à l’époque une proclamation, signée par Stesko, qui louait et appelait à glorifier le dirigeant allemand Adolf Hitler, et qui expliquait comment ils marcheraient ensemble main dans la main avec lui pour l’Ukraine, et ainsi de suite. Après la guerre, Stesko fit partie de la direction clé qui fut choisie par les Américains.
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J’ai lu plusieurs récits, dont au moins trois rapports crédibles, sur la façon dont ils furent envoyés dans les camps de personnes déplacées : les forces alliées avaient mis en place des camps de personnes déplacées, et elles sélectionnèrent des dizaines de milliers de ces anciens alliés d’Hitler provenant de pays de toute l’Europe de l’est, Hongrie, Lituanie, Lettonie. Il n’y eut pas de collaborateurs polonais ; je pense que la majorité des gens savent que les Allemands ont affreusement persécuté et assassiné des millions de résidents polonais. Mais en revanche il y eut des Bulgares, des Roumains, des Croates, et même des Biélorusses. Les alliés les maintenaient dans ces camps qu’ils avaient construits et organisés et où les Ukrainiens assassinaient leurs rivaux nationalistes de façon à rester les dirigeant incontestés du mouvement nationaliste ukrainien, afin d’obtenir le soutien des États-Unis pour poursuivre leurs opérations politiques, et en cela, ils ont réussi. Ainsi, une fois Bandera éliminé, Stetsko devient le dirigeant indiscuté des nationalistes ukrainiens.
RépondreSupprimerEn 1943, l’Organisation des nationalistes ukrainiens organisa, avec le soutien de l’Allemagne, une force multinationale pour combattre au côté de l’armée allemande en retraite. Après la bataille de Stalingrad en 1943, les Allemands ressentirent le besoin urgent d’accroître le nombre de leurs alliés, et ils utilisèrent la Garde de fer roumaine, la Croix en flèche hongroise, l’Organisation des nationalistes ukrainiens, ainsi que d’autres groupes dotés d’une formation militaire, pour leur prêter assistance et former un front uni appelé le Comité des nations conquises, lequel travailla aux côtés de l’armée allemande. En 1946, on le renomma le Bloc des nations antibolchéviques, ou BNA [3]. Stetsko en fut le chef jusqu’à sa mort, en 1986.
Je mentionne ce fait en partie parce que l’OUN essaie de prétendre : à vrai dire, durant la guerre nous avons combattu les Allemands et les communistes. Le fait est qu’ils assumèrent la direction de l’ensemble de cette alliance internationale au profit des Allemands durant les deux dernières années de la guerre, et pendant l’après guerre. Tous les dirigeants des forces alliées aux Nazis et non repenties se trouvaient, après la guerre, sous la direction de Yaroslav Stetsko.
Que s’est-il passé lorsque Stetsko, et d’autres qui étaient comme lui issus des diverses forces alliées aux Allemands, sont arrivés aux États-Unis ?
Lorsqu’ils arrivèrent aux États-Unis, ces groupes organisèrent des comités de « nations captives ». On aurait pu supposer qu’ils deviendraient les représentants des peuples opprimés par l’Union Soviétique en Europe de l’est et dans les pays baltes. En fait, on leur a accordé sans discernement un chèque en blanc pour représenter les voix de toutes ces nations qui faisaient partie du Pacte de Varsovie, alors qu’en fait, ils représentaient les éléments les plus extrémistes de chacune des communautés nationales en question.
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Le Comité des nations captives à Washington DC était, par exemple, dirigé par la personne qui avait assuré la direction de l’OUN, et c’était le cas dans de nombreuses villes. Dans ma ville d’origine, proche de Detroit, ils jouèrent un rôle prépondérant. Au début des années 1950, lorsqu’on les réinstalla aux États-Unis, il y eu au moins 10.000 d’entre eux à être relogés là-bas, en comptant toutes les nationalités. Ils devinrent politiquement actifs par l’intermédiaire du Comité national républicain [4], parce que c’était véritablement l’administration d’Eisenhower qui avait opté pour cette politique au début des années 1950 et qui les avait fait venir. Ils mirent en place ces organisations de campagne électorale et tous les quatre ans, ils se mobilisèrent pour soutenir les candidats républicains, quels qu’ils soient; certains politiciens, comme Richard Nixon en 1960, avaient en fait des liens directs avec plusieurs de leurs dirigeants, comme ceux de la Garde de fer roumaine et d’autres groupes.
RépondreSupprimerLorsque Nixon se présenta à la présidentielle en 1968, il fit une promesse à ces dirigeants : s’il gagnait la présidence, il ferait d’eux, à titre permanent, une sorte de bras ethnique au sein des sections locales du Comité national républicain, de sorte qu’ils n’auraient plus seulement une présence quadriennale, mais une présence continue au sein du Parti républicain. Il leur fit cette promesse par l’intermédiaire d’un homme appelé Laszlo Pasztor, qui avait fait cinq ans de prison après la guerre pour crimes contre l’humanité. Il avait été condamné en 1946 par le gouvernement non communiste qui dirigeait alors la Hongrie (il y a eu une période, de 1945 à 1948, où le Parti Communiste Hongrois ne gouvernait pas le pays). Ce sont eux qui l’avaient condamné. Il avait servi d’agent de liaison entre le parti nazi de Hongrie et Berlin ; il avait travaillé à l’ambassade à Berlin du mouvement de la Croix en flèche hongroise. Voilà donc le gars qu’ils choisirent pour organiser tous les groupes ethniques, et les seules personnes qu’on y fit entrer étaient des collaborateurs nazis.
Ces groupes n’avaient pas d’affiliés russes parce qu’ils haïssaient tous les Russes, quelle que fût leur couleur politique. Ils n’avaient pas non plus de membres afro-américains ni juifs. Ils n’étaient composés que de ces éléments nazis ; pendant un moment, ils ont eu un affilié allemand, mais la révélation publique de l’appartenance nazie de cette personne fit qu’il dut être discrètement renvoyé, alors que d’autres éléments nazis furent, eux, conservés.
Votre livre a été écrit et publié dans les années 1980. Que se passa-t-il à cette période, après que ces groupes aient été établis depuis plus d’une décennie ?
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Je suis allé à leurs rassemblements dans les années 1980, et ils produisaient des documents qui révélaient clairement qui ils étaient. Une de leurs brochures de 1984 faisait l’éloge du régime oustachi pro-nazi de Croatie ; ces même Oustachis avaient tués 750.000 personnes, c’est le chiffre qui ressort des estimations, et les avaient brûlées vivantes dans leur propre camp en Croatie. Et voilà qu’ici, ils célébraient la fondation de ce régime, reconnaissant qu’il avait été associé aux Nazis, et le tout était signé par le directeur du Comité national républicain. Des trucs pareils, ça ne s’invente pas! C’était simplement dingue.
RépondreSupprimerJ’ai interrogé un Cosaque; il m’a montré la pension qu’il percevait pour son service dans les SS durant la deuxième guerre mondiale, et il m’a expliqué comment il s’était affilié aux groupes nazis libres aux États-Unis ; et il n’avait pas le moins du monde l’air d’un repenti. Tous ces gens étaient les paravents qui avaient été dénommés « Comités des nations captives » par ces personnes aux ordres de Stetsko, et dont il faisait lui aussi partie. Sous Reagan, la Maison Blanche l’accueillit, le promut dirigeant principal et donna à cette occasion un grand souper. Jeane Kirkpatrick (ambassadrice aux Nations Unies durant l’administration Reagan) y prit part, tout comme George H.W. Bush, alors vice-président, et bien entendu Reagan. Stetsko fut présenté comme un grand dirigeant, et des proclamations furent faites à en sa faveur.
Lorsque Bush senior fut candidat à la présidence en 1988, il leur rendit visite ; il vint dans l’un des principaux emplacements des nationalistes Ukrainiens en Amérique du Nord, situé juste à la sortie de Détroit, dans une banlieue, à ce qui est leur centre culturel ; et d’ailleurs un de leurs principaux dirigeants au niveau mondial a son quartier général dans ce lieu. A cette époque, ils firent venir Bush et protestèrent contre l’OSI, et Bush se contenta de secouer la tête. Il ne voulait rien dire du tout à ce sujet.
L’OSI était l’acronyme du Bureau des enquêtes spéciales. Il enquêtait sur la présence de criminels de guerre nazis aux États-Unis, et expulsait ceux dont on découvrait qu’ils avaient menti sur leur passé pour pouvoir émigrer aux États-Unis après la guerre. Ils avaient expulsé bon nombre de personnes à travers tous les États-Unis. Il y avait beaucoup d’enquêtes en cours et tous ces émigrés nazis, y compris les nationalistes ukrainiens, essayaient de recourir à toutes les pressions politiques possibles pour arrêter ces enquêtes.
Donc ils étaient en train de dénoncer cela, les enquêtes de l’OSI, devant Bush. Bush a hoché la tête, mais n’a rien voulu dire car il ne tenait pas à apparaître comme un sympathisant des criminels de guerre nazis ; mais en même temps, il ne voulait pas non plus offenser ses hôtes en contestant à ce sujet avec eux. Ainsi, l’issue de la deuxième guerre mondiale était toujours un enjeu, plus de quatre décennies plus tard, au cœur de la politique présidentielle, et malheureusement Bush et Reagan continuaient à être du côté de ceux que nous avions vaincus lors de ce conflit.
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Comment votre livre, qui contenait toutes ces informations, fut-il accueilli à sa sortie ? Comment cette information fut-elle reçue et quelle fut la réaction politique ?
RépondreSupprimerAvant la publication du livre, le Washington Jewish Week [5] avait écrit un article au sujet de certains des dirigeants ethniques de la campagne de Bush et de leur passé, de leur négation de l’Holocauste, de l’implication avec ces groupes d’émigrés nazis. Ils avaient donné les noms de quelques uns d’entre eux qui ne faisaient pas partie de l’Heritage Groups Council [6] mais qui participaient néanmoins à la campagne de Bush.
Ensuite, lorsque j’ai publié mon livre, davantage encore de noms sont ressortis et le Philadephia Inquirer ainsi que le Boston Globe ont fait des articles à leur sujet. On en arriva au point où à chaque fois qu’un journaliste du Philadelphia Inquirer appelait au sujet des dirigeants ethniques de la campagne de Bush, la réponse standard était qu’il ne faisait plus partie de la campagne, et c’est là ce qui était dit pratiquement dès qu’on entendait le nom de la personne. Alors les journalistes appelaient cette personne. Je vais prendre l’exemple de Florian Galdau, qui représentait et dirigeait le bureau de New York City de la Garde de fer roumaine. On avait un dossier sur lui pour la période de la guerre. L’archevêque roumain Valerian Trifa lui même avait été impliqué dans le meurtre en masse de juifs à Bucarest, en 1941, je crois. Le dossier de Galdau est clair, car lorsque Trifa fut jugé – il a été l’une des personnes ciblées par l’OSI et il a été expulsé de force dans les années 1980 – dans un des dossiers de la procédure, l’OSI avait identifié Florian Galdau comme étant un de ses agents, de sorte que son histoire était bien connue, sauf par l’équipe de campagne de Bush, apparemment.
Ainsi, lorsque Galdau fut identifié par le Philadelphia Inquirer, on leur répondit immédiatement qu’il ne faisait pas partie de la campagne ; mais ensuite, l’Inquirer appela Florian Galdau et celui-ci répondit : « Non, j’en fais partie. Ils ne m’ont jamais rien dit. Pour autant que je sache, je fais toujours partie de la campagne. » C’était ça, le schéma type.
Le Comité national républicain déclara, après les élections, qu’ils allaient rassembler un comité du ruban bleu et faire une enquête au sujet des accusations portées dans mon livre. Je n’ai jamais été contacté, ni aucune des personnes ayant participé au projet du livre, ni la maison d’édition. Aucune des sources avec lesquelles j’avais travaillé ne fut contactée. À peu près un an plus tard, alors que personne n’avait soulevé la moindre discussion ou posé la moindre question à ce sujet, ils refermèrent simplement le dossier en disant : « Bon, nous n’avons pas disposé des moyens pour enquêter sur ce dossier. »
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J’ai publié une chronique et des commentaires dans le New York Times environ deux semaines après les élections et je pense que c’est la dernière fois que quelqu’un a publiquement déclaré quelque chose à ce sujet qui ait eu quelque écho sur les forums. Je pense qu’on leur a simplement permis de mourir et de sombrer dans l’oubli – je veux parler de ces dirigeants. L’idée des Républicains était probablement de faire entrer en jeu une autre génération de gens qui seraient nés aux États-Unis tandis que ces émigrés mouraient et disparaissaient, mais à propos de cette histoire que Nixon leur avait léguée, ils s’abstinrent de faire quoi que ce soit. Sous Reagan, la Maison Blanche s’était vraiment profondément compromise et alliée avec eux. Ils ne voulaient pas avoir l’air de leur tourner le dos, et comme Bush les voulait pour sa campagne de réélection, il n’allait pas non plus leur tourner le dos.
RépondreSupprimerSi vous voulez une anecdote, je sais que 60 Minutes [7] travaillait sur un sujet, que l’équipe de Bradley travaillait dessus. Nancy Reagan elle même a appelé le producteur exécutif et lui a dit : Nous apprécierions beaucoup que vous ne réalisiez pas cette émission. Et ils l’ont enterrée. Parce que, au fond, il ne s’agit pas seulement des Nazis et du Comité national républicain et de la Maison Blanche. Cela soulève inévitablement la question de savoir qui ils sont, comment ils sont arrivés là et qui les a soutenus ? Et à ce stade, cela renvoie aux agences de renseignement. Certaines personnes n’aiment pas marcher sur ce genre de platebandes. Si c’est lié à une agence de renseignement, ils préfèrent rester à l’écart du sujet. Ainsi, certaines personnes à 60 Minutes furent frustrées par cette histoire, mais c’est pourtant ce qui s’est passé. Je crois qu’ils ont été réellement capables d’enterrer l’histoire lorsque certains ont essayé de la couvrir. Ils ont été capables de persuader les responsables de l’information de ne pas trop creuser cette affaire.
Que s’est-il passé depuis que vous avez écrit votre livre et que la plupart des personnes de la génération qui avait vécu la deuxième guerre mondiale sont mortes ? Qu’ont fait l’OUN et ses alliés depuis lors, que nous devrions savoir ?
Une fois que l’OUN a été soutenue par les agences de renseignement des institutions de sécurité américaines, on l’a introduite également en Europe, de diverses façons, comme dans Radio Free Europe, dont le quartier général est à Munich. Beaucoup de ces groupes du BNA avaient leur quartier général à Munich, où ils profitaient du soutien de Radio Free Europe. De là, ils menèrent différents types d’opérations pour essayer de travailler à l’intérieur des pays du Pacte de Varsovie. Lorsque l’Union Soviétique s’effondra en 1991, un certain nombre d’entre eux retournèrent en Ukraine, et les autres dans leurs pays respectifs. Là, ils commencèrent à monter des opérations et à organiser des partis politiques, en alliance avec les États-Unis. Ils prirent part à ce que l’on a appelé la Révolution Orange de 2004, lorsqu’ils gagnèrent les élections là-bas.
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Le premier ministre (référence à Victor Yushchenko, président de l’Ukraine de 2005 à 2010) était très proche de ces groupes. Ils travaillaient avec le nouveau gouvernement afin d’obtenir des aides financières pour les vétérans des divisions SS ukrainiennes et ils ont commencé à mettre en place des statues, des lieux de mémoire, des musées en l’honneur de Stépan Bandera, qui fut le dirigeant de l’OUN et qui, je dois le dire, était détesté des autres nationalistes ukrainiens à cause de ses méthodes, qui étaient extrémistes et violentes envers les groupes nationalistes ukrainiens rivaux. Donc, Bandera n’était pas un héros universel, mais, en partie à cause de ses connections avec les États-Unis, ce groupe fut si influent que si vous allez sur Internet et que vous cherchez « Lviv » ou le mot « Bandera » sur Google, vous verrez des monuments et des statues, ainsi que de grandes affiches et bannières à l’effigie de Bandera, et puis de grands monuments – des monuments construits pour durer – dédiés à Bandera. C’est ainsi qu’ils ont fait de ce type le George Washington de l’Ukraine.
RépondreSupprimerCe gouvernement est resté au pouvoir jusqu’en 2010. Il y eut alors de nouvelles élections et un nouveau régime fut élu, qui bénéficiait de nombreux soutiens dans l’est du pays. Les nationalistes Ukrainiens regroupés autour de la révolution orange étaient âprement divisés, luttant les uns contre les autres, tandis qu’une corruption rampante sévissait en leur sein ; finalement, les gens votèrent contre eux. Les États-Unis se montrèrent très agressifs dans leur volonté d’essayer de garder les nationalistes au pouvoir, mais ils perdirent les élections. Les États-Unis dépensaient beaucoup d’argent par l’intermédiaire de la « National Endowment for Democracy » (Fondation nationale pour la démocratie) [8], laquelle déversait des flots de dollars dans les caisses de diverses organisations ukrainiennes. Ils faisaient la même chose en Russie, tout comme ils le font dans d’autres pays, un peu partout dans le monde. Nous parlons là d’un grand nombre de millions de dollars par an, destinés à influencer la politique de ces pays.
Lorsque les occupations se sont produites place de l’Indépendance à Kiev, à la fin de l’année dernière, vous avez pu voir les supporters de Svoboda et vous avez pu entendre leurs dirigeants au Parlement faire des remarques ouvertement antisémites. Le dirigeant du parti Svoboda s’est déplacé en Allemagne pour protester contre les poursuites engagées à l’encontre de John Demjanuk, cet Ukrainien qui s’était installé aux États-Unis et qui était impliqué, en tant que gardien de camp de concentration, dans le meurtre de gens innocents. Les tribunaux allemands l’ont reconnu coupable et la direction de Svoboda est allée en Allemagne pour se plaindre du fait que ce type avait été condamné. La raison de cela ? Ils ont dit qu’ils ne voulaient voir aucun Ukrainien sali par ces histoires, parce qu’ils vivent dans le mensonge ; le mensonge qui prétend qu’aucun Ukrainien n’a jamais eu rien à voir avec le régime nazi, même si l’histoire les trahit, et même si leurs propres affiliations les trahissent. Ils n’aiment pas que l’on parle publiquement de tout cela, c’est pourquoi ils protestent toujours de l’innocence de tout Ukrainien accusé de quoi que se soit, quitte à nier même des preuves évidentes.
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Votre livre a constitué une révélation importante, mais il n’a pas été le seul. Votre livre fait remarquer que Jack Anderson avait traité des soutiens pro-nazis de certains conseillers ethniques depuis 1971, et pourtant, lorsque votre rapport est sorti, presque deux décennies plus tard, tout le monde a régi en se montrant choqué ; ce fut la surprise, et même le déni. Quelles leçons tirer de cette affaire d’histoire enterrée ? Et quelle influence cela doit-il avoir sur notre façon de voir la crise qui se développe en Ukraine ?
RépondreSupprimerJe ne crois pas qu’il soit jamais trop tard pour se familiariser avec l’histoire de ce phénomène et se cultiver à ce sujet, tant pour ce qui est de l’histoire de cette période de la guerre que de l’histoire de la collaboration avec ces gens, après la guerre. Il y a eu un grand nombre d’exposés écrits au sujet des émigrés nazis. Il est paru en 1979 un livre dont le titre était « Wanted » [9], qui racontait nombre d’histoires sur ces gens qu’on avait fait venir aux États-Unis, y compris l’histoire de Trifa. Christopher Simpson a écrit un livre intitulé « Blowback » [10] qui traitait des décisions politiques ; c’est un livre incroyable. Il est professeur à l’American University, et il a fait des recherches pendant des années en profitant du Freedom of Information Act [11] et des archives. Il a eu accès aux documents politiques par lesquels furent prises les décisions de rassembler ces gens et ce, non seulement aux États-Unis, mais pour les déployer dans le monde entier.
Tout comme mon livre, il n’a pas eu l’attention qu’il méritait. La critique des livres du New York Times a émis un avis négatif sur le livre. Il y a vraiment des gens qui ne veulent pas que l’on touche à ces choses. Il a y beaucoup de gens qui ne veulent pas que l’on y touche. Je pense qu’il est véritablement important, pour ceux qui croient en l’ouverture, en la transparence et aux valeurs démocratiques, qui ne veulent pas que des groupements porteurs de haine reviennent au pouvoir dans d’autres parties du monde, de savoir ce qui s’est passé.
Il y a très peu d’Américains qui savent que la Waffen SS était une force multinationale. Ce fait a été exclu de l’histoire conventionnelle. Autrement, les gens sauraient qu’il y a eu des Nazis ukrainiens, hongrois, lituaniens, et qu’ils ont tous été impliqués dans le meurtre de masse de leurs concitoyens, si ceux-ci étaient Juifs, bien sûr, mais même s’ils étaient seulement des compatriotes qui se trouvaient dans l’autre camp. Ils furent simplement des meurtriers de masse, dans toute l’Europe de l’est. Et cette histoire, ces faits, ne sont pas très connus. Beaucoup de gens ne savent même pas que ce phénomène a existé.
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Je pense que tous les Américains ont la responsabilité de savoir ce que leur gouvernement fait en matière de politique extérieure en Europe, ainsi que partout dans le monde, en Amérique Latine comme en Afrique. Lorsque notre politique était de soutenir le régime d’apartheid en Afrique du Sud, pourquoi les Américains ne l’ont ils pas d’avantage contestée ? Ils ont commencé à le faire dans les années 80, mais le régime d’apartheid était dirigé par un parti nazi. Ils étaient alliés à l’Allemagne durant la seconde guerre mondiale. Ils étaient un parti nationaliste, et ils ont pris le pouvoir en 1948, et les États-Unis les ont soutenus durant des décennies. Nous avons soutenu les escadrons de la mort en Amérique Latine et ce, bien qu’ils aient massacrés des dizaines de milliers de personnes, 200.000 victimes pour le seul Guatemala. Les Américains ne prêtent pas assez attention à ce que leur gouvernement fait à l’étranger, bien que ces choses soient faites avec l’argent de leurs impôts et en leur nom. Je pense que nous avons à cet égard une responsabilité générale.
RépondreSupprimerJe suis allé à ces rassemblements, je me suis rendu à ces conférences, durant des années. Je les ai rencontrés directement. J’ai rencontré la majorité de ceux au sujet desquels j’ai écrit, soit personnellement soit en groupe. Les gens ne peuvent pas se permettre de faire cela eux-mêmes, par manque de temps, mais il existe sur le sujet pas mal de littérature qu’ils peuvent lire. Ils pourront disposer d’assez d’information pour se faire une idée de la réalité et comprendre ce qu’il en est, et exiger des changements. Je ne suis pas complètement partisan, en ce domaine. Je pense que le Parti républicain a été trop loin dans cette affaire, mais dans le même temps, les Démocrates se sont couchés et n’ont rien remis en question alors qu’ils savaient ce qui se passait.
Un ancien poète romain a dit un jour que vérité et sagesse ne pouvaient tenir des discours opposés. Je crois en cela. Dites la vérité et la sagesse suivra.
Original : Seven Decades of Nazi Collaboration: America’s Dirty Little Ukraine Secret (thenation.com, anglais, 28-03-2014)
Traduit par Lionel et Jean-Claude pour vineyardsaker.fr
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Notes de traduction
RépondreSupprimer[1] : nous utilisons volontairement le sigle « OUN » pour éviter toute confusion avec l’ONU actuelle.
[2] : « loup » en français
[3] : Anti-Bolshevik Bloc of Nations ; le Bloc des nations anti-bolchéviques était un centre de coordination des associations d’émigrés politiques anti-communistes en provenance d’Union Soviétique et des autres pays socialistes, remontant à une conférence de représentants des peuples non-russes qui eut lieu en novembre 1943, près de Jitomir, à l’initiative de l’Organisation des nationalistes ukrainiens. Lors de la conférence, une plate-forme de lutte révolutionnaire commune contre ce que les participants appelaient le communisme russe fut formulée. L’objectif de l’ABN était de chasser les communistes du pouvoir, d’abolir l’Union soviétique et de la diviser en Etats nationaux. En 1946, l’organisation s’était vu attribuer une structure organisationnelle basée à Munich, d’où elle avait étendu sa gamme d’activités. Les groupes les plus actifs du Bloc étaient les organisations nationales ukrainiennes. L’ABN fut dirigé par Yaroslav Stetsko (de sa fondation jusqu’en 1986, année de sa mort), puis par la veuve de celui-ci, Slava Stetsko. Le Bloc des nations anti-bolchéviques a été dissout en 1996 après l’effondrement de l’URSS.
[4] : organisme politique américain chargé de diriger le Parti républicain au niveau national. Il est responsable du développement et de la promotion des idées républicaines, ainsi que de la coordination des collectes de fond et des stratégies électorales.
[5] : la Semaine juive de Washington
[6] : le National Republican Heritage Groups Council, « Conseil républicain national des groupes patrimoniaux (d’ascendance) », est une des organisations du parti républicain.
[7] : une émission de télévision étatsunienne.
[8] : fondation privée à but non lucratif des États-Unis dont l’objectif déclaré est le renforcement et le progrès des institutions démocratiques à travers le monde. La NED a été fondée en 1983 et la plus grande part de ses fonds provient du département d’État des États-Unis, avec approbation du Congrès. Le sénateur John McCain est depuis janvier 1993 président de l’IRI (International Republican Institute, l’Institut républicain international), la branche républicaine de la NED. La NED agit dans le monde comme sous-traitant de la partie « légale » des opérations illégales de la CIA.
[9] : « Recherché ».
[10] : « Retour de flamme ».
[11] : Loi sur la liberté de l’information.
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/01/sept-decennies-collaboration-les-nazis-les-petits-secrets-ukrainiens-inavouables-etats-unis/
Au moins 11 tués, 40 blessés dans des bombardements à Donetsk, Ukraine E., succès scolaire
RépondreSupprimerOctobre 01, 2014 08:26
Au moins 11 personnes ont été tuées et 40 autres ont été blessées à Donetsk, où une école et un arrêt de bus ont essuyé des tirs - aurait des positions de l'armée ukrainienne.
Deux personnes seraient mortes à l'école, et neuf à l'arrêt de bus, selon Dépité Premier ministre Andrey Purgin de Donetsk République populaire.
Pas d'enfants ont été tués dans le bombardement de l'école ?57, de République ministère de l'Intérieur populaire Donetsk a déclaré, cité par l'agence TASS. Le service de presse du ministère a ajouté que les parents et les enseignants ont été victimes du bombardement.
Le conseil de la ville a déclaré que les 70 enfants qui étudient à l'école étaient dans le bâtiment au moment de la grève. Ils ont été évacués à la hâte. Le bâtiment de l'école a été endommagé dans l'attaque.
Encore de RT vidéo
Le ministère russe des Affaires étrangères décrit l'attaque est une violation cynique et flagrante du droit international.
"Le cynisme particulier de ce bombardement est le fait que c'était aujourd'hui la première journée des enfants à l'école. Et ce jour-là, l'artillerie les vise directement. Ceux-ci sont flagrantes, des choses intolérables, "droits de l'homme de l'ombudsman du ministère Konstantin Dolgov dit.
Aucune source ukrainiennes ont encore confirmé l'information.
" L'artillerie lourde feu est entendu à Donetsk. Le quartier Kievsky a été sous le feu - de nombreuses zones résidentielles et d'autres bâtiments ont été endommagés, des civils ont été tués et blessés ", le conseil de la ville a déclaré dans un communiqué.
Les transports en commun a changé routes en raison des bombardements.
Cent quarante-six écoles de la République Donetsk autoproclamée du peuple avaient commencé des classes sur 150, ministre de l'Éducation de Donetsk République Igor Kostenok populaire dit.
Un cessez-le feu entre le gouvernement ukrainien et le Donetsk et les autorités des républiques de Lugansk personnes a été signé à Minsk, en Biélorussie, le 5 Septembre.
http://rt.com/news/192140-ukraine-school-shelled-donetsk/
La taxe sur le gazole augmente de deux centimes par litre
RépondreSupprimerLe Monde.fr avec AFP | 01.10.2014 à 10h59
Le gouvernement a confirmé mercredi 1er octobre l'augmentation de deux centimes par litre de la taxe sur le gazole. Cette hausse, qui s'inscrit dans le projet de loi de finances (PLF) pour 2015, soit le budget de l'Etat, a été annoncée dans la matinée en conférence de presse par Michel Sapin, ministre des finances, et Christian Eckert, secrétaire d'Etat au budget.
Selon ce dernier, cette augmentation devrait rapporter quelque 800 millions d'euros et ne s'appliquerait pas aux transporteurs, qui ne sont pas soumis à la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques).
Michel Sapin relativise cette hausse, précisant qu'elle fait suite à un recul des prix à la pompe. Selon Carbeo, le prix du litre du gazole se situe au 1er octobre à 1,299 euro contre 1,305 euro au 1er septembre.
FINANCER LES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT
Cette augmentation ne vise pas à « aider l'Etat à terminer ses fins de mois », insiste Michel Sapin, mais à financer « des travaux » dans les infrastructures de transport. Ces deux centimes par litre participeront aux « dépenses de mobilités des contrats de plan Etat-région », c'est-à-dire au financement de projets régionaux importants, d'après le dossier de presse relatif au projet de budget :
« L'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) bénéficiera du péage de transit et du produit d'une augmentation de 2 centimes par litre de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) sur le diesel. »
Cette hausse du prix du gazole compense le manque à gagner de l'écotaxe, abandonnée en juillet.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2014/10/01/la-taxe-sur-le-gazole-augmente-de-deux-centimes-par-litre_4498254_3234.html
La Chine nous accuse de fomenter des troubles à Hong Kong
RépondreSupprimerPosté le 30 Septembre, 2014
par WashingtonsBlog
Les États-Unis incite sur les manifestations ?
Les manifestations de masse à Hong Kong sont dramatiques, en effet. Et étant donné que Hong Kong a longtemps joui d'une existence plus libérale sous domination britannique, les protestations contre le gouvernement chinois plus autoritaire ( au moins il sert à être plus autoritaire ) ne sont pas tout à fait surprenant.
Mais les responsables chinois accusent les Etats-Unis d'inciter les protestations. Comme la Chine Temps réel du blog du Wall Street Journal rapports :
Le jeudi, Wen Wei Po a publié un "exposer" dans ce qu'il décrit comme les connexions américaines de Joshua Wong, 17 ans, chef du groupe d'étudiants Scholarism.
L'histoire affirme que "les forces américaines" identifiés il ya potentiels de trois ans M. Wong, et ont travaillé depuis lors pour lui de cultiver comme une "superstar politique."
Preuves pour les liens étroits de M. Wong aux États-Unis que le papier cité inclus ce que le rapport décrit réunions fréquentes avec les États-Unis personnel du consulat à Hong Kong et des dons secrets des Américains à M. Wong. Pour preuve, le document cité photographies fuite par "les internautes." L'histoire a également dit à la famille de M. Wong a visité Macao en 2011, à l'invitation de la Chambre de commerce, où ils sont restés à la «propriété américaine" Venetian Macao, qui est américain propriété de Las Vegas Sands Corp
***
Ce n'est pas la première fois que les médias Beijing-amicales ont accusé les pays étrangers d'ingérence secrète dans l'ancienne colonie britannique. Le gouvernement chinois a longtemps été préoccupé par les services de renseignement occidentaux pourraient tenter d'exploiter l'environnement politique relativement plus ouvert de la ville de pousser la démocratie dans le reste du pays. Les diverses «révolutions colorées» qui ont ouvert la voie à des gouvernements démocratiques à travers l'ex-Union soviétique au début des années 2000, et qui ont été en partie organisées par les ONG étrangères, accru ces préoccupations.
Les allégations de l'intervention étrangère à Hong Kong sont devenus particulièrement intense dans la perspective de 2017, le plus tôt que Pékin a dit résidents de Hong Kong peuvent commencer à élire directement leurs dirigeants. Wen Wei Po et un autre Beijing-penchant journal Hong Kong Ta Kung Pao, par exemple, ont accusé le Royaume-Uni de stationnement espions britanniques à travers les institutions de Hong Kong. Publications pro-Pékin ont également accusé Hong Kong magnat des médias et fervent critique de Pékin Jimmy Lai d'avoir des liens avec la CIA. M. Lai est le fondateur de Next Media Ltd, qui détient les journaux Apple Daily de Taiwan et de Hong Kong, et est un des principaux donateurs à des groupes pro-démocratie à Hong Kong.
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Dans son rapport sur M. Wang, Wen Wei Po a dit que la Central Intelligence Agency des États-Unis fait un effort pointu pour infiltrer les écoles de Hong Kong, par exemple à travers le Centre de Hong Kong Amérique , un groupe dirigé par l'ancien diplomate américain Morton Holbrook qui favorise HK-américains liens. Il a également allégué que la CIA est s'entraîne activement une nouvelle génération de leaders de la contestation à Hong Kong en parrainant les élèves à étudier aux États-Unis, dans le but d'alimenter les futures «révolutions de couleur» dans la ville.
RépondreSupprimerTony Cartalucci écrit :
Derrière les protestations soi-disant «Occupy Central" ... est un réseau profond et insidieuse de soutien financier, politique et des médias étrangers. Parmi les plus marquantes est le Département d'Etat américain et son National Endowment for Democracy (NED), ainsi que la filiale de NED, le National Democratic Institute (NDI).
Maintenant, les États-Unis a adopté une position beaucoup plus manifeste dans le soutien du chaos de leurs propres réseaux de manipulation ont préparé et sont désormais orchestrer. La Maison Blanche a officiellement soutenu ". Occupy centrale" Reuters dans son article, " la Maison Blanche apporte son soutien aux aspirations des gens de Hong Kong , "réclamerait:
La Maison Blanche regarde protestations démocratie à Hong Kong de près et soutient les «aspirations du peuple de Hong Kong», a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche Josh Earnest lundi. "
Les États-Unis soutiennent le suffrage universel à Hong Kong en conformité avec la Loi fondamentale, et nous appuyons les aspirations de la population de Hong Kong ", a déclaré Earnest, qui a également exhorté la retenue des deux côtés.
Département d'Etat américain a mis en place et dirige "Occupy Central"
Les commentaires de sérieux sont textuellement les exigences de "Occupy centrale" leaders de la contestation, mais plus important encore, mot pour mot le long mis conçoit NDI du département d'État des États-Unis s'articule sur sa propre page web dédiée à son ingérence en cours à Hong Kong. Le terme «suffrage universel» et la référence à «loi fondamentale» et son «interprétation» au sens de «démocratie véritable» est clairement indiqué sur le site Web du NDI qui affirme:
La Loi fondamentale de mettre en place un cadre de gouvernance, où des groupes d'intérêts spéciaux, ou "circonscriptions fonctionnelles," maintenir la moitié des sièges au Conseil législatif (LegCo). À l'heure actuelle, le directeur général de Hong Kong est également choisi par un comité non démocratique sélectionné. Selon la langue de la Loi fondamentale, cependant, «suffrage universel» est le «but ultime». Alors que «suffrage universel» n'est toujours pas défini dans la loi, les citoyens de Hong Kong ont interprété pour signifier une véritable démocratie.
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Pour faire avancer ce dossier - qui consiste essentiellement à empêcher Pékin de vetting candidats en lice pour un bureau à Hong Kong, ouvrant ainsi la porte à des politiciens ouvertement soutenus, financés et dirigés par le Département d'Etat américain - NDI présente un tableau de l'ingérence continue il est porteur sur l'île. Il déclare:
RépondreSupprimerDepuis 1997, le NDI a organisé une série de missions à Hong Kong d'envisager l'élaboration de "post-retour" élection cadre de Hong Kong, le statut d'autonomie, l'État de droit et les libertés civiles en vertu de la souveraineté chinoise, et les perspectives d', et les défis à la démocratisation.
Il affirme également:
En 2005, le NDI a lancé un programme pour les jeunes de six mois des dirigeants politiques mis l'accent sur la formation d'un groupe de partie montante et les membres des groupes politiques en politiques compétences de communication.
Et:
NDI a également travaillé pour amener les partis politiques, les chefs de gouvernement et les acteurs de la société civile ainsi que dans des forums publics pour discuter du développement des partis politiques, le rôle des partis à Hong Kong et la réforme politique. En 2012, par exemple, une conférence de Hong Kong de réflexion SynergyNet soutenu par NDI présenté les panélistes de l'ensemble des partis idéologique et exploré comment l'adoption d'un système de gouvernement de coalition pourrait conduire à un processus législatif plus réactif.
NDI admet aussi qu'il a créé, financé et soutenu par d'autres organisations opérant à Hong Kong en vue d'atteindre les objectifs du Département d'État des États-Unis de renverser le contrôle de Pékin sur l'île:
En 2007, l'Institut a lancé le programme politique de la participation des femmes qui a travaillé avec Participation politique du Réseau des femmes (WPPN) et la Fédération de Hong Kong de centres (HKFWC) des femmes pour améliorer la participation des femmes dans l'élaboration des politiques, d'encourager une participation accrue à la vie politique et veiller à ce que Les problèmes des femmes sont pris en compte dans le processus d'élaboration des politiques.
Et sur une page séparée, le NDI décrit les programmes qu'elle mène avec l'Université de Hong Kong pour atteindre son ordre du jour:
Le Centre de droit comparé et publique (CCPL) à l'Université de Hong Kong, avec l'appui du NDI, travaille à amplifier la voix des citoyens dans ce processus de consultation en créant conception de la démocratie à Hong Kong (www.designdemocracy.hk), un unique et site neutre qui donne aux citoyens un endroit pour discuter de l'avenir du système électoral de Hong Kong.
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Il ne devrait pas être une surprise pour les lecteurs, puis, à savoir tous les dirigeants "Occupy Central" est directement liée au Département d'État des États-Unis, NED, NDI et, ou impliqué dans l'un des nombreux programmes de NDI.
RépondreSupprimer"Occupy de centrale" leader auto-proclamé, Benny Tai, est un professeur de droit à l'Université susmentionnée de Hong Kong et un collaborateur régulier avec la CCPL NDI-financé. En 2006-2007 (rapport annuel, pdf ), il a été nommé en tant que membre du conseil d'administration - un poste qu'il a occupé jusqu'à au moins aussi récemment que l'année dernière. Dans de CCPL 2011-2013 rapport annuel (pdf ), le NDI est répertorié comme ayant fourni des fonds pour l'organisation de «concevoir et mettre en œuvre une ligne de modèles suffrage universel portail où le grand public peut discuter et fournir des commentaires et des idées sur la méthode de universelle suffrage est le plus approprié pour Hong Kong ".
Curieusement, dans le rapport annuel le plus récent de CCPL pour 2013-2014 (pdf ), Tai n'est pas répertorié comme un membre du conseil d'administration. Cependant, il est inscrit comme participant à au moins 3 conférences organisées par CCPL, et que la position d'au moins un des projets de CCPL. Au moins une conférence a lui parlant côte à côté une autre figure de premier plan "Occupy Central", Audrey Eu. Le rapport annuel 2013-2014 indique également que le financement NDI «Design démocratie à Hong Kong" le site de CCPL.
Présidente du Parti civique Audrey Eu Yuet-mee, en plus de parler à des fonctions CCPL-NDI côte-à-côte avec Benny Tai, est entrelacée avec le Département d'Etat américain et son NDI ailleurs. Elle participe régulièrement à des forums parrainés par NED et sa filiale NDI. En 2009, elle était un conférencier invité à un NDI parrainé Forum des politiques publiques organisé par "SynergyNet," également financé par le NDI . En 2012, elle a été conférencier invité au Centre événement NDI financé par des femmes "Journée internationale des femmes" , organisé par le Conseil de Hong Kong de la femme (HKCW) qui est aussi chaque année financé par le NDI .
Il y a aussi Martin Lee, président fondateur du Parti démocrate de Hong Kong et une autre figure de premier plan qui a pris position en faveur de "Occupy centrale." Juste cette année, Lee était à Washington réunion directement avec le vice-président américain Joseph Biden, membre du Congrès américain Nancy Pelosi , et a même pris part à une conversation NED organisé spécialement pour lui et son ordre du jour de la «démocratie» à Hong Kong. Lee a même une page qui lui est dédiée NED après , il a reçu en 1997 NED «Democracy Award . "Avec lui à Washington était Anson Chan, un autre personnage important qui soutiennent actuellement la poursuite des troubles dans les rues de Hong Kong.
Les États-Unis certainement favorisé un changement de régime dans le monde entier, souvent à l'aide d'organisations non gouvernementales que des groupes avant de passer de l'argent aux dissidents qui renverseront le gouvernement.
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Par exemple, l'USAID a été appelé la «nouvelle CIA" , et le FBI dénonciateur Sibel Edmonds dit le Blog de ??Washington que le Département d'Etat américain est impliqué dans de nombreuses opérations de «pouvoir dur», la coordination souvent par le biais bien connu "organisations non gouvernementales" (ONG ). Plus précisément, Edmonds a expliqué que de nombreuses ONG bien connues - qui prétendent se concentrer sur le développement, le contrôle des naissances, les droits des femmes, la lutte contre l'oppression et à d'autres usages "magnifique de sondage" ou les questions en apparence bénignes - agissent comme des couvertures pour les opérations du département d'Etat. Elle a dit que le Département d'Etat place directement des agents à l'intérieur des ONG.
RépondreSupprimerEdmonds nous a dit aussi - à la fin des années 90 et au début des années 2000 - peut-être 30-40% des personnes travaillant pour des ONG exploités par George Soros ont été effectivement travaille pour le Département d'Etat américain.
Si tout cela semble trop noisette, rappelez-vous que les historiens disent que la baisse des empires ont tendance à attaquer leurs rivaux hausse ... de sorte que le risque d'une guerre mondiale est à la hausse parce que les États-Unis se sent menacé par l'empire croissante de la Chine .
Le gouvernement américain considère la rivalité économique pour servir de base à la guerre. Et les États-Unis systématiquement recours à l'armée pour contenir l'influence économique croissante de la Chine .
Et les sanctions américaines contre la Russie sont pas l'effet désiré ... en grande partie parce que la Chine est ainsi combler le vide par la négociation avec la Russie et même le prêter de l'argent .
En effet, la Chine, la Russie, l'Inde et le Brésil ont formé ce que certains économistes top disent est une alternative aux institutions financières occidentales, la Banque mondiale et le FMI. Et la Chine est difficile pétrodollar .
Ce n'est donc pas au-delà du domaine du possible que les États-Unis (et l'ancien propriétaire de Hong Kong, la Grande-Bretagne) egged sur les manifestants la démocratie à Hong Kong pour tenter de secouer le régime chinois.
http://www.washingtonsblog.com/2014/09/hong-kong-protests-mixed-blessing.html
0,01% crient, «Plus la guerre !" comme un million d'enfants meurent de pauvreté chaque mois; vous exigez arrestations MAINTENANT ?
RépondreSupprimerPosté le 1 Octobre, 2014
par Carl Herman
Les États-Unis a commencé 201 attaques armées étrangères depuis WW2, provoquant les peuples du monde à conclure dans les sondages que les États-Unis est en effet # 1 comme la nation la plus menaçante pour la paix mondiale . Ces attaques armées des États-Unis ouvertes ont tué ~ 30 millions et comptage; 90% de ces décès sont innocents enfants, les personnes âgées et de travail ordinaire femmes civiles et les hommes. Ces attaques armées américaines ont -guerre assassiné plus de nazis d'Hitler .
Surtout, les rapports officiels américains confirment maintenant tous les «raisons» de la guerre aux États-Unis, 01% déclarent étaient connus pour être faux comme ils ont dit .
Plus important encore, ce mensonge a commencé guerres américaines ne sommes même pas près de légitime, et continuons une longue histoire de mensonge a commencé guerres d'agression américaines. Le général des Marines américain le plus décoré en son temps a averti tous les Américains de ce fait des guerres de fauteuils-commencé pour 1% pillage, et conseiller principal de W. Bush et le chef adjoint d'état-major, Karl Rove, a reproché journaliste lauréate du prix Pulitzer, Ron Suskind, qui gouvernement poursuivra ces actions de «créer notre propre réalité», peu importe ce que quelqu'un d'autre pourrait-on dire.
Comme nous le constatons, les États-Unis / Royaume-Uni / Israël .01% hurlent en permanence pour encore plus de guerre en Syrie, l'Irak, l'Iran, la bande de Gaza, l'Ukraine, la Russie, où ISIS ou Khorasans pourraient être, et partout ailleurs. Toutes ces attaques armées sont évidemment habits neufs de l'empereur -unlawful des deux traités gagnés par tous les sacrifices de nos familles de deux guerres mondiales. Ces meurtres de guerre sont pris en charge par d'autres anciens gouvernements impérial puissance-fous et de l'organe créé après la dernière guerre mondiale: l'ONU .
La rhétorique américaine d'être "le coeur brisé" pour 276 filles africaines , ou de soin des 426 morts les enfants syriens sont psychopathe prétexte, car les États-Unis revient sur chaque promesse de mettre fin à la pauvreté qui permettrait de sauver un million d'enfants de décès horriblement lents et douloureux chaque mois (20.000 - 30.000 tous les jours). J'ai été témoin de "les dirigeants" des deux parties seulement et toujours mentir et déshonorent leurs promesses de mettre fin à la pauvreté en tant que lobbyiste RÉSULTATS sur deux Sommets mondiaux des chefs d'État.
Depuis 9/11, US renié les promesses de mettre fin à la pauvreté ont tué plus de 100 millions d'enfants, deux fois le nombre d'enfants inscrits à la prématernelle à la 12e année aux États-Unis .
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Depuis le .01 s '% promesses manqué de peu 1998, le total des décès dus à la pauvreté évitable est conservatrice supérieure de toutes les guerres, les révolutions, les meurtres, les accidents et les suicides dans les 20e et 21e siècles. *
RépondreSupprimerDepuis les années 1990, du Sommet mondial pour les enfants où la promesse de mettre fin à la pauvreté était (encore une fois) sincèrement remise en garantie, nombre total de décès de la pauvreté éclipsent toutes les catégories ci-dessus de décès dans toute l'histoire humaine connue.
Le point d'enlever le 01% de l'effet de levier est pour ceux d'entre nous parmi les 99,99% de pouvoir d'arrestation à l'exercer pour les crimes et les meurtres de soldats américains qui ont été menti-en guerres criminelles de guerre en cours. Ceux d'entre nous avec des serments à "défendre la Constitution contre tous les ennemis, étrangers et nationaux" sont tenus par l'honneur d'exposer et de mettre fin à ces crimes Orwell.
Nous invitons tous les intéressés à demander des arrestations comme réponse légitime à restaurer ces limites explicites au pouvoir du gouvernement , arrêter les crimes de guerre, et de prévenir d'autres meurtres de guerre.
Vous pouvez tous nous engager votre voix, le cœur et l'esprit, oui?
* En supposant que 15 ans de décès de la pauvreté totalisant 225 millions et 23 ans à 400 millions (décès de pauvreté ont diminué au cours des 20 dernières années) par rapport aux estimations de 160 millions de morts de la guerre de Scaruffi, P., Les guerres et les pertes de la 20e et 21e siècles , et 230 millions de Leitenberg, M, Décès de guerres et les conflits du 20e siècle , (ainsi que relativement petit nombre de meurtres, accidents et les suicides). Nombre de décès dans le monde dans l'histoire enregistrée est probablement une estimation sûre donné une population mondiale d'environ 1,6 milliard en 1900 Ma mission pour les élèves du secondaire sur la fin de la pauvreté avec toute la documentation: L'économie de la fin à la pauvreté. Malgré l'investissement pour sauver un million la vie des enfants chaque mois à partir de la pauvreté évitable étant seulement 0,7% de notre revenu national brut, malgré que chaque cas historique de la pauvreté se terminant réduit le taux de croissance de la population, et en dépit des États-Unis promet de faire cet investissement lors des sommets mondiaux, le «leadership» de 1% au sein du gouvernement et médias corporatifs renient et ignorent toutes les promesses de mettre fin à cette torture broyage, ces décès atroce et prolongée des enfants .
http://www.washingtonsblog.com/2014/10/01-scream-war-million-children-die-poverty-every-month-demanding-arrests-now.html
Imaginez Toujours sans pays
RépondreSupprimerPosté le 30 Septembre, 2014
par DavidSwanson
Un cas grave a été faite à plusieurs reprises par des chercheurs inconnus et célébré dans le monde des génies pour plus d'un siècle qu'une étape vers l'abolition de la guerre probable serait institue une forme de gouvernement mondial. Pourtant, le mouvement pour la paix mentionne à peine l'idée, et ses partisans aussi souvent que semble pas un peu naïf sur l'impérialisme occidental; ils sont certainement pas central ou bien intégrée dans le mouvement de la paix ou même, autant que je peux dire, en études sur la paix du monde universitaire. (Voici un lien à l'un des principaux groupes de défense des droits de gouvernance mondiale la promotion d'une guerre américaine contre l'ISIS.)
Trop souvent le cas pour un gouvernement mondial est même fait de cette manière: gouvernement mondial serait de garantir la paix, alors que son absence garantit guerre. La bêtise de ces affirmations, je pense, ce que les dommages peut être une cause absolument essentiel. Personne ne sait ce que le gouvernement mondial garantit, car il n'a jamais été essayé. Et si les gouvernements nationaux et locaux et toutes les autres grandes institutions humaines sont un guide, un gouvernement mondial pourrait apporter un million de choses différentes en fonction de la façon dont c'est fait. La grave question devrait être de savoir si il ya une façon de le faire qui rendrait la paix plus probable, sans risque sérieux de se retourner contre eux, et si la poursuite d'un tel cours est un chemin plus susceptibles de paix que d'autres.
Est-ce que l'absence de gouvernement mondial garantir la guerre? Je n'ai pas vu la moindre preuve. De 200 pays, 199 investissent beaucoup moins dans la guerre que les États-Unis. Certains ont éliminé leurs armées entièrement. Costa Rica n'est pas attaqué parce qu'il manque un militaire. Les États-Unis est attaqué en raison de ce que son armée fait. Certains pays vont siècles sans guerre, tandis que d'autres peuvent apparemment pas aller plus d'une demi-cycle électoral. Dans leur livre une démocratie mondiale, Jerry Tetalman et Byron Belitsos écrire que les nations ne vont pas à la guerre parce qu'ils sont armés ou inclinée vers la violence, mais parce que «ils sont désespérément frustrés par le fait qu'ils n'ont pas de forum législatif ou judiciaire dans laquelle leurs griefs peut être examinée et tranchée ".
Pouvez-vous, cher lecteur, souvenir d'une époque où le public américain a eu un grief avec un pays étranger, a déploré l'absence d'un tribunal mondial pour statuer, et a demandé que le Congrès et le Pentagone déclare mener une guerre? Combien de marches pro-guerre avez-vous été, vous amant de la justice ? Lorsque les talibans ont offert de laisser un pays tiers mis Ben Laden en justice, est-ce que le public américain a répondu: «Pas du tout, nous voulons une guerre", ou était-ce le président ? Lorsque le vice-président américain a rencontré les dirigeants de la compagnie pétrolière de planifier l'occupation de l'Irak, pensez-vous que l'un d'eux ont mentionné leur frustration à la faiblesse du droit international et de l'arbitrage ? Lorsque le Président des États-Unis en 2013 n'a pas pu amener le Congrès ou le public d'accepter une nouvelle guerre contre la Syrie et a finalement accepté de négocier le retrait des armes chimiques sans guerre, pourquoi la guerre était le premier choix plutôt que la seconde ? Quand les défenseurs de la revendication de gouvernement mondial que les démocraties ne font pas la guerre, ou des nations lourdement armés ne sont pas plus susceptibles de faire la guerre, ou les nations avec des cultures qui célèbrent la guerre ne sont pas plus susceptibles de faire la guerre, je pense qu'ils font mal leur cause.
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Lorsque vous démarrez une campagne pour abolir l'institution de la guerre, vous entendez de toutes sortes de gens qui ont la solution pour vous. Et la quasi-totalité d'entre eux ont de grandes idées, mais la quasi-totalité d'entre eux pensent tout autre idée, mais leur est inutile. Donc, la solution est un gouvernement mondial et rien d'autre, ou une culture de la paix et rien d'autre, ou le désarmement et rien d'autre, ou le racisme fin et rien d'autre, ou le capitalisme détruire et rien d'autre, ou contre-recrutement et rien d'autre, ou la réforme des médias et rien d'autre, ou de la campagne électorale de la réforme du financement et rien d'autre, ou de créer la paix dans nos cœurs et rayonnant vers l'extérieur et rien d'autre, etc Donc, ceux d'entre nous qui trouvent valeur dans l'ensemble de ce qui précède, doivent encourager les gens à choisir leur favori et se mettre au travail sur elle. Mais nous devons aussi essayer de donner la priorité. Donc, encore une fois, la grave question est de savoir si un gouvernement mondial devrait être poursuivi et si elle doit être une priorité absolue ou quelque chose qui attend au bas de la liste.
RépondreSupprimerIl y a, bien sûr, des arguments sérieux que le gouvernement mondial ferait qu'empirer les choses, ce grand gouvernement est forcément dysfonctionnelle et un gouvernement absolument grand serait dysfonctionnel absolument. Sérieux, si vague, arguments ont été avancés en faveur de faire de notre objectif "anarcracy" plutôt que la démocratie mondiale. Ces arguments sont dépassés en volume de déclarations paranoïaques comme celles de cet e-mail type que j'ai reçu:
«La guerre est un crime, oui d'accord tout à fait, mais fait de l'homme Global Warming est une arnaque complète. Je sais que cela est un fait. Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome, m'a offert un emploi comme l'un de ses adjoints (mon oncle, Sir Harry, plus tard Lord Pilkington est allé à la première Conférence de Bilderberg en 1954, un an avant son arrivée un directeur de la Banque d'Angleterre et a été un membre loyal de l'élite mondiale des entreprises) et il m'a dit que c'était tout un programme pour aider effrayer le monde en acceptant la gouvernance mondiale à leurs conditions. Soyez très prudent, vous êtes sans le savoir, jouez leur jeu.
Meilleurs voeux
Justin "
Un des avantages énormes de gouvernement mondial ne semble être que cela pourrait résoudre le réchauffement climatique à l'échelle mondiale. Pourtant, l'horreur de gouvernement mondial est si grand que les gens pensent que les sécheresses et les tornades qui détruisent la terre tout autour d'eux sont en quelque sorte un complot secret pour nous inciter à la mise en place d'un gouvernement mondial.
Il y a un demi-siècle, l'idée d'un gouvernement mondial était acceptable et populaire. Maintenant, quand nous entendons parler de ces jours, il est souvent dans des tons sinistres ont porté sur les pires motivations des pires joueurs à la fois. Moins fréquents sont les comptes qui nous rappellent d'un projet d'espoir, bien intentionnée, mais inachevé.
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Je pense que les défenseurs de la fédération mondiale et état de droit mondial sont sur une idée importante qui doit être poursuivi immédiatement. Réchauffement de la planète nous laisse peu de temps pour prendre sur d'autres projets, mais il s'agit d'un projet essentiel pour aborder cette crise. Et c'est un projet que je pense peut coexister avec le déplacement de plus de puissance pour les provinces, les localités et les particuliers.
RépondreSupprimerLe plus grand Léviathan, affirme Ian Morris, la guerre moins il y aura, aussi longtemps que le Léviathan est des États-Unis et il ne s'arrête jamais engagement de conflits. Les partisans de gouvernement du monde ont tendance à se mettre d'accord avec la première partie de cela, et je pense qu'ils sont en partie raison. La règle de droit contribue à réguler les comportements. Mais si faire d'autres facteurs. Je pense que l'Ecosse pourrait quitter le Royaume-Uni ou la Catalogne quittent l'Espagne, laissez Québec Canada, Vermont quitter les Etats-Unis sans la possibilité de la guerre de plus en plus. Au contraire, je pense que certains de ces nouveaux pays serait avocats de la paix. Ont été au Texas de faire sécession, qui pourrait être une autre histoire. C'est-à-dire, les habitudes de la paix et des cultures de la paix nécessaires pour permettre à une fédération mondiale pourrait rendre une telle fédération moins nécessaire - peut-être encore nécessaire, mais moins. Si le public américain a demandé la paix et la coopération et la participation à la Cour pénale internationale, il serait prêt à demander la participation à une fédération mondiale, mais la paix peut-être déjà - au moins en grande partie - à l'arrivée.
Exceptionnalisme national extrême, qui n'est pas tenu par le nationalisme, est clairement un pilote de guerre, l'hostilité et l'exploitation. Le président Obama a récemment déclaré qu'il ne se réveille le matin, parce que les Etats-Unis est la seule nation indispensable (ne demandez pas ce que fait les autres). Le thème de son discours a été la nécessité de commencer une autre guerre. Le candidat présidentiel républicain Ron Paul a été une fois hué lors d'un débat primaire, pas pour s'opposer à la guerre, mais pour ce qui suggère que la règle d'or appliquée aux relations avec les pays étrangers. Il est clair que nous devons devenir des citoyens du monde dans nos esprits ainsi que dans le droit écrit.
Rudolf Gelsey m'a récemment envoyé son livre, réparant notre monde brisé: Un chemin vers la paix perpétuelle , ce qui m'a amené sur le livre de Tetalman et Belitsos. Je pense que ces auteurs bénéficier de la sagesse des années 1920 hors la loi le mouvement, mais je pense qu'ils font un excellent travail de reconnaître les réussites et les échecs de l'Organisation des Nations Unies, et de proposer des réformes ou de remplacement. Faut-il avoir peur d'une règle de droit international? Tetalman et Belitsos réponse:
"En vérité, vivre dans un système de guerre et d'anarchie avec ADM facilement disponibles pour une utilisation sur le champ de bataille - qui est le choix vraiment effrayant quand on la compare à la tyrannie. "
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C'est la clé, je pense. Poursuivant avec le système de guerre et de destruction de l'environnement menacent le monde. Il vaut bien mieux d'essayer un monde avec un gouvernement que de perdre le monde. Il vaut bien mieux un système qui cherche à punir les responsables de guerre individuels d'un que les bombes nations entières.
RépondreSupprimerComment pouvons-nous y arriver ? Tetalman et Belitsos recommandent l'abolition du droit de veto à l'ONU, l'expansion de la composition du Conseil de sécurité, la création d'une base d'imposition pour une ONU qui reçoit actuellement environ 0,5 pour cent ce que le monde investit dans la guerre, et d'abandonner les pouvoirs de guerre en faveur de la police des Nations Unies. Ils proposent également des coups de pied de l'Organisation des Nations Unies des pays pas tenue d'élections libres, ou en violant les lois internationales. Il est clair que faudrait une exigence pour l'avenir et ne sont pas appliquées de façon rétroactive ou vous perdriez trop de grands membres et gâcher l'ensemble du plan.
Les auteurs envisagent une période de transition dans laquelle l'ONU utilise guerre pour empêcher la guerre, avant d'arriver à l'âge d'or de n'utiliser que la police. Je suis enclin à croire que l'étape imaginé devrait être sauté sur pour que cela fonctionne. Les États-Unis / OTAN / ONU ont eu recours à la guerre pour débarrasser le monde de la guerre pendant trois quarts de siècle avec un triste record de l'échec. Je soupçonne que les auteurs ont également tort de proposer élargissement de l'Union européenne comme un moyen pour arriver à une fédération mondiale. L'Union européenne est le deuxième plus grand pourvoyeur de violence sur la terre en ce moment. Peut-être les BRICS et autres pays non-alignés pourraient commencer ce processus mieux, ce qui après tout va exiger des États-Unis, soit la hausse ou de sombrer à l'humilité inimaginable aujourd'hui.
Peut-être une fédération peut être établie que sur la question de la guerre, ou seulement sur la question du désarmement nucléaire, ou la préservation du climat. Le problème, bien sûr, est que la volonté des tyrans dominants de s'engager dans l'une est aussi improbable que, et intimement liée à chacun des autres. Qu'est-ce qui tout cela serait plus probablement si nous avons commencé à en parler, penser, planifier en conséquence, rêver, ou même juste entendre les paroles quand nous chantons des chansons de John Lennon. Le mouvement de la paix des États-Unis est actuellement inondée de nationalisme, utilise le «nous» de dire l'armée américaine, et pense de "citoyen du monde" comme un peu d'enfantillage ridicule. Cela doit changer. Et rapidement.
http://www.washingtonsblog.com/2014/09/imagine-therere-countries.html
Comment Bad pourrait-il faire ? Arrêté du Gouvernement des États-Unis de 160.000 costumes de matières dangereuses donne un indice
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 11:17 -0400
Maintenant que le virus Ebola est officiellement aux États-Unis sur une base non contrôlée, les deux questions sur toutes les lèvres sont i) qui deviendra malade prochaine et ii) à quel point pourrait-il obtenir ?
Nous ne connaissons pas la réponse à la question n ° 1 pour l'instant, mais quand il s'agit de la seconde, un communiqué de presse il y a trois semaines de Lakeland Industries, un fabricant et vendeur d'une "gamme complète de vêtements et d'accessoires de sécurité pour le secteur industriel marché des vêtements de protection "peut donner une idée de à quel point la Département d'État des États-Unis pense qu'il peut obtenir. Parce que quand le gouvernement américain achète 160 000 combinaisons de matières dangereuses spécialement conçus contre le virus Ebola, juste devant la pire épidémie d'Ebola dans l'histoire des États-Unis faisant touché terre, on se demande: que savent-ils que nous faisons le pas ?
De Lakeland Industries :
Lakeland Industries, Inc. (LAC), un des principaux fabricants mondiaux de vêtements de protection industrielle pour l'industrie, les municipalités, la santé et les premiers intervenants sur les niveaux fédéral, étatique et local, a annoncé aujourd'hui la disponibilité mondiale de ses vêtements de protection pour une utilisation dans la manipulation du Ebola virus. En réponse à la demande croissante de vêtements de protection spéciaux soient ver par les travailleurs de la santé et d'autres étant exposées au virus, Lakeland augmente sa capacité de fabrication de ces vêtements et comprend procédés exclusifs pour une étanchéité de couture spécialisée, une technologie bien supérieure pour la protection contre les risques viraux que les produits non scellées.
" Lakeland est prête à se joindre à la lutte contre la propagation du virus Ebola ", a déclaré Christopher J. Ryan, président et chef de la direction de Lakeland Industries. «Nous comprenons la difficulté d'obtenir des produits appropriés grâce à un système d'approvisionnement qui en temps de crise favorise la disponibilité sur les spécifications, et nous espérons que notre capacité supplémentaire permettra d'atténuer ce problème. Avec le Département d'État des États-Unis seulement mettre une enchère pour 160 000 costumes, nous encourager toutes les entreprises de protection de vêtements pour augmenter leur capacité de production de vêtements de couture scellés afin que notre industrie peut faire sa part dans la lutte contre cette menace pour la santé mondiale .
Bien sûr, les achats effectués par le gouvernement américain sont achetés et payés par les contribuables. Pour tout le monde il y a $ 1200 la livraison de vente par correspondance :
Cela dit ... 160000 hazmats pour une maladie qui est soi-disant pas l'air ? Mmmk.
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-01/how-bad-could-it-get-us-government-order-160000-hazmat-suits-gives-clue
Supprimer160 000 ce n'est pas 310 000 000 ! Hahahaha ! Devinez pour qui elles sont !
Le gouverneur du Texas Rick Perry pour expliquer comment (Malgré 2ème cas) Ebola est "contenu" - Live Feed
SupprimerSoumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 12:54 -0400
Avec les rumeurs d'étalement (et apparemment confirmé) d'un cas 2ème Ebola à Dallas; Le gouverneur du Texas Rick Perry est mis à expliquer à l'opinion publique américaine que tout est sous contrôle (en dépit de l'hôpital évacuer la victime Ebola il ya 2 jours) et le virus est contenu (en dépit de sa propagation potentielle de 12-18 personnes et plus) ... Reuters d'autres rapports que l'homme qui est traité pour Ebola au Texas ont voyagé à travers Bruxelles en route vers des États-Unis selon le ministère libérien de l'information. Rassurez-Américains, danse mamans seront bientôt sur ??...
Comme le rapporte KRJH,
Une deuxième personne dans le Texas est surveillé pour Ebola après l'entrée en contact étroit avec la première personne aux États-Unis diagnostiqué, selon les responsables de la santé.
Le gouverneur Rick Perry a prévu une conférence de nouvelles à l'hôpital de Dallas où un homme avec le premier cas d'Ebola diagnostiqués aux États-Unis reste en isolement.
- voir clips sur sites:
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-01/texas-governor-rick-perry-explain-how-despite-2nd-case-ebola-contained-live-feed
Poutine: la Russie «ne considére pas « l'accès à Internet en le limitant
RépondreSupprimerOctobre 01, 2014 14:19
Lors d'une réunion avec le Conseil de sécurité de Russie, le président Vladimir Poutine a déclaré que le problème de «l'espace d'information» de la sécurité du pays est de première priorité, mais a assuré l'état n'a pas l'intention de limiter l'accès au Web.
" Nous n'avons pas l'intention de limiter l'accès à l'Internet, le mettre sous le contrôle total, rendre l'Internet plus governmentalized. Nous n'allons pas limiter intérêts juridiques et les possibilités des personnes, des organisations non-gouvernementales et les entreprises dans le domaine d'information ", a déclaré M. Poutine lors d' la réunion de mercredi.
Il a ajouté que de telles " déraisonnables "et" totales "restrictions contradiction avec les principes fondamentaux de la démocratie, y compris la liberté de la presse et les droits civils d'accès et de diffusion de l'information. Il a déclaré l'état a été " pas même envisage "de telles mesures.
Discuter des questions de sécurité de "la Russie espace d'information »sous« menaces contemporaines , "Poutine a indiqué que le réseau mondial contient des sources qui favorisent le terrorisme, la xénophobie et la haine religieuse, ainsi que de pornographie infantile, la drogue et le suicide.
Ces sites ne seront pas tolérés et seront toujours fermées, selon les lois qui existent vers un contenu illicite dans le monde entier, a déclaré M. Poutine.
Abordant la question de la coopération internationale pour assurer la sécurité informationnelle mondiale, M. Poutine a déclaré que la Russie, avec ses BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) partenaires avait fermement condamné la surveillance électronique de masse et de la collecte des renseignements personnels, menée par " certains services à la pointe de renseignement . "
" Nous pouvons voir que certains pays tentent d'utiliser leur position dominante dans l'espace informationnel mondial pour atteindre non seulement économique, mais aussi des objectifs militaires et politiques ", a déclaré le président du Conseil de sécurité.
M. Poutine a également mentionné que le segment russe de la toile mondiale est souvent attaqué, avec l'ampleur de ces cyber-attaques en fonction de la situation politique actuelle dans le monde.
La Russie va protéger sa souveraineté dans le domaine, M. Poutine a ajouté, disant que les produits et les technologies russes pour assurer la sécurité dans le domaine sont en cours d'élaboration.
http://rt.com/news/192216-access-internet-russia-putin/
Le gouverneur de Californie interdit les drones paparazzi, jours après avoir approuvé les drones de la police
RépondreSupprimerOctobre 01, 2014 11:37
Un projet de loi empêchant les paparazzi de cibler les célébrités avec des drones de caméra équipée a été signé par le gouverneur de Californie Jerry Brown, quelques jours après il a été critiqué pour avoir abattu un projet de loi exigeant la police d'obtenir un mandat d'utiliser un drone.
La loi, approuvée mardi, interdit l'utilisation d'un drone de capturer des images et enregistrer les voix de personnes qui n'ont pas donné leur autorisation pour cela. L'auteur du projet de loi, Ed Chau, a salué le gouverneur de maintien de la législation de l'Etat au courant de la technologie moderne. " Comme la technologie continue de progresser et de nouveaux dispositifs robotisés comme devenus plus abordables pour le grand public, la possibilité de la vie privée d'un individu envahi augmente sensiblement , "a t-il dit, cité par l'AFP. tôt , Sean Burke, fondateur de l'Initiative de réforme Paparazzi, campagne pour des lois plus strictes de confidentialité, a déclaré drones étaient un " énorme problème de la vie privée.
" Le Press Photographers Association nationale s'est toutefois opposée à ce projet de loi, en faisant valoir qu'il pourrait restreindre la capacité de recueillir de nouvelles." Nous croyons qu'il y a des lois appropriées pour faire face à ce genre de questions, qu'il s'agisse de l'intrusion, le harcèlement ou de harcèlement ", a déclaré l'avocat général Mickey Osterreicher de l'association, tel que cité par le Orange County Register." Pour distinguer ce qui est apparemment une activité Premier Amendement protégé devient problématique. Il y a une distinction claire entre avoir une attente raisonnable de vie privée dans votre propre maison et d'être en public. Il y a suffisamment de mesures sur les livres pour faire face à cela sans avoir à rédiger une de ces lois. "
Quelques jours avant de restreindre l'utilisation de drones pour paparazzi, Brown a accordé plus de liberté d'utilisation de drones pour la police de l'État. Le dimanche, le gouverneur a opposé son veto sur la responsabilisation Drone loi, ce qui aurait nécessité des services de police d'obtenir un mandat avant d'utiliser un véhicule aérien sans pilote, ou drones, pour la surveillance. L'un des auteurs de cet acte, membre de l'Assemblée républicaine Jeff Gorell, a commenté sur le droit de veto en disant qu'il montre « l'ère de gouvernement surveillance continue . "
http://rt.com/usa/192120-california-bans-paparazzi-drones/
Gaffe "de Fat-doigts»: 617bn $ accidentellement négociés sur la Bourse de Tokyo
RépondreSupprimerOctobre 01, 2014 13:43
Un accident sur la Bourse de Tokyo a donné lieu à une erreur de négociation qui a failli causer $ 617 000 000 000 dans les métiers non intentionnelles dans certaines des plus grandes entreprises du Japon.
Une fois que l'erreur a été découverte les ordres d'achat d'actions ont été annulées.
Des dizaines de milliers de milliards de yens dans les ordres d'achat d'actions ont été placées, puis annulés à 09h25 heure de Tokyo, selon un responsable de l'Association canadienne des courtiers Japan Securities (JDSA).
Les actions de 42 entreprises, y compris les constructeurs automobiles Toyota et Honda, la plus grande banque Mitsubishi UFJ du Japon, et la société d'imagerie Canon ont été presque affectés par le pépin.
Près de 57 % des actions de Toyota, 1960000000 parts, a été accidentellement placé. Le Trade 116 milliards a été annulée avant d'être terminée, selon un responsable de l'association.
«Je n'ai jamais entendu parler de ce gros ordres étant annulé avant, même si nous n'avons pas mis rapports spécifiques ainsi sur les commandes précédemment annulées», a déclaré le responsable JSDA.
L'erreur a été remarqué au début des heures de négociation lorsque le régulateur de l'industrie a déclaré avoir reçu un rapport d'une erreur.
L'incident anodin
«C'est pas sorcier qu'il y avait un gros doigt ici, mais il rouvre la question de la responsabilité," Gavin Parry, directeur général de courtage basée à Hong Kong Parry International Trading, a déclaré à Bloomberg Nouvelles.
«Fat finger» est un terme d'argot pour une erreur de négociation qui se produit lorsque les transactions incorrectes sont placés en raison d'une erreur typographique.
"Il y a une probabilité d'un courtier confondu le nombre d'actions pour la valeur des actions. On devine que c'est la raison pour laquelle le marché de gré à gré voit grandes croix - il est plus facile d'annuler les erreurs ", a déclaré Parry.
Fat-doigté n'est pas rare. En 2005, lors de l'offre publique initiale de J-COM, un commerçant accidentellement tapé un ordre de vente 600000 parts à ¥ 1 quand il veut vendre 1 action au ¥ 600,000. La société du trader n'a pas pris la faute de frappe dans le temps qui a entraîné une perte $ 347 000 000, divisé entre le central et l'entreprise de l'opérateur, Mizuho.
http://rt.com/business/192232-fat-finger-japan-stock-error/
Stupéfait Japon depuis le plus grand, $ 617 milliards "Fat Finger" erreur de négociation stocks Chelem
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 10/01/2014 10:25 -0400
Il y a quelques jours, Bloomberg avait un profil fascinant de la personne, le pardon dégénéré Pachinko joueur, qui va sous le nom de SIC, et qui est le « homme mystère qui se déplace sur le marché japonais. " En un mot, la CEI, un commerçant de jour de l'élan et la preuve vivante de biais de survie dans la finance (parce que pour tous les CIS qui a, paraît-il, faites il quelque 999.999 ont échoué) a amassé une fortune qu'il dit dépasse maintenant ¥ 16000000000 après avoir échangé ¥ 1700000000000 dans sa carrière, générant un bénéfice après impôts de 6 milliards de yens en 2013 seul. Bien sûr, les chiffres sont susceptibles sauvagement fabriqués à des fins de consultations de page dommage parce que Bloomberg admet lui-même, «la CEI n'a pas offert une comptabilité complète de ses déclarations d'investissement et de sa richesse de cette histoire, et certaines de ses demandes ne peuvent pas être vérifiées."
Cela dit, il est en effet le cas que le Japon a de plus en plus un marché de dessin animé dans lequel tandis que les jours peuvent passer sans un seul commerce qui aura lieu dans son marché obligataire truqué, où la Banque du Japon a absorbé toute la liquidité, quand il s'agit de titres de participation , il est devenu gratuit pour tous pour "M. Watanabes" qui n'ont jamais pris la finance, de la comptabilité ou de l'économie, mais qui tout savoir sur heatmaps et de l'élan à courir, et, par conséquent, dans un environnement marché / marée montante, ont tous grandi ridiculement riche.
Le problème, bien sûr, est que ce que certains peuvent appeler un marché est loin d'être, et est devenu un terrain de jeu fragile de quelques techniciens qui se déplacent des sommes énormes d'argent d'un point A à un point B, dans l'espoir de déjouer les quelques autres encore, tout en dans le processus de gagner les loyers que la Banque du Japon est vivement remise en injectant des liquidités à un rythme qui éclipse ce que la Fed a fait pour les 2 dernières années. L'autre problème, c'est qu'il est un simple de temps avant que tout se bloque dans un tas de décombres fumants grâce à la fragilité sans précédent qui est maintenant intégré dans tous les marchés, bien que le plus probable au Japon en premier.
Ce qui nous amène à ce qui vient de se passer au Japon quand comme le rapporte Bloomberg, les ordres d'achat d'actions pour un montant modique somme de $ 617 000 000 000 (oui bilion avec un B) ou plus de la taille de l'économie de la Suède, ont été annulées au Japon plus tôt aujourd'hui, pour des raisons inconnues, bien que le coupable au début, c'est que ce fut l'une des plus grandes erreurs de négociation de tous les temps.
(suite en dessous:)
Bien sûr, puisque ce commerce a été noté, et DKed, on peut supposer qu'une baleine majeur était du côté des perdants du commerce: rappeler que c'est précisément ce qui est arrivé à temps Goldman et encore, quand certains algo errant causé à l'entreprise de perdre millions à plusieurs reprises en 2012 et 2013.
RépondreSupprimerIl y a une petite différence: cette fois, il n'était pas Goldman, et le montant total n'était pas un peu dérisoire millions mais plus d'un demi billion de dollars!
De Bloomberg:
A 09h25 heure de Tokyo, les commandes pour les actions dans 42 entreprises totalisant ¥ 67780000000000 (617 milliards) ont été annulés, selon les données compilées par Bloomberg de la Japan Securities Dealers Association. Un représentant de l'organisation n'était pas immédiatement disponible pour commenter.
La commande la plus importante était de 1,96 milliards parts de Toyota Motor Corp, ou 57 pour cent des actions en circulation au plus grand constructeur automobile du monde, pour ¥ 12680000000000 moyen d'une transaction hors bourse. Toyota a refusé de commenter. D'autres stocks transactions hors d'usage inclus Honda Motor Co. (7267), Canon Inc., Sony Corp et Nomura Holdings Inc.
"Gros doigt" erreurs de négociation se produisent périodiquement. En 2009, UBS AG a ordonné à tort ¥ 3000000000000 de Capcom Co. obligations convertibles. Pourtant, les métiers mis au rebut d'aujourd'hui sont d'une autre ampleur.
«Je n'ai jamais entendu parler de ce gros ordres étant annulé avant", a déclaré Ayako Sera, stratège de marché basé à Tokyo à Sumitomo Mitsui Trust Bank Ltd, qui supervise environ 474 milliards de dollars en actifs. " Il doit y avoir une erreur. "
Alors pas de mal a été fait parce que les commandes ont été annulées, il devrait y avoir une explication à apaiser les inquiétudes, Sera déclaré.
«C'est pas sorcier qu'il y avait un doigt de graisse, mais il rouvre la question de la responsabilité," a déclaré Gavin Parry, directeur général de courtage basée à Hong Kong Parry International Trading Ltd
Il ne peut pas être sorcier, mais on peut se demander: qui a juste le potentiel pour le commerce plus d'un demi billion de dollars en bons de marché, et encore moins le visser en place ? Est-ce le Pachinko joueur ... ou de la banque centrale elle-même en plissant ses ordres au marché ? Et combien de temps avant que ces incidents récurrents, soit au Japon ou aux États-Unis ou en Europe, forcer tout le monde pour finalement se rendre compte que le marché est un HFT gréé, banque centrale, manipulé et, maintenant, casino complètement cassé.
En fait, à en juger par la participation des particuliers dans le récent «marché haussier» ...
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-01/japan-stunned-after-massive-617-billion-fat-finger-trading-error-slams-stocks
La sainte croisade d’Obama
RépondreSupprimer1 octobre 2014
The French Saker
Les quatre cavaliers [de l'Apocalypse]« Que Dieu bénisse nos troupes, que Dieu bénisse les États-Unis d’Amérique » : c’est sur ces mots (que nous invitons le Pape François à commenter) que se conclut la solennelle « Déclaration sur l’ISIS » [l’État islamique, alias EIIL], par laquelle le président Barack Obama, en habit de « Commandant en chef », s’est adressé hier soir [12 septembre 2014] non seulement à ses concitoyens, mais au monde entier. L’Amérique, explique le Président, est « bénie », parce qu’elle assume les devoirs les plus pénibles, à commencer par la « responsabilité d’exercer le leadership ». Dans « un monde incertain » comme le nôtre, « le leadership américain est la seule constante ». De fait, c’est l’Amérique qui peut « contenir et combattre l’épidémie d’Ébola ». Avec ces accents, qui rappellent ceux d’un prédicateur médiéval à l’époque de la Peste Noire (« l’agression russe » mise sur le même plan que l’épidémie d’Ébola), le président lance la nouvelle croisade contre l’« État islamique d’Irak et de Syrie », avertissant qu’« il faudra du temps pour éradiquer un cancer comme celui de l’ISIS ». Malgré tout ce qu’a fait jusqu’ici l’Amérique pour combattre le terrorisme, souligne-t-il, « nous avons encore en face de nous une menace terroriste ». En effet, « nous ne pouvons pas effacer toute trace du mal dans le monde ».
Même si ça prévient l’EIIL, je n’enverrai pas de troupes… MMPH…
Avec cette prémisse, qui rappelle les croisades du républicain Reagan contre l’« Empire du mal » (l’URSS) et du républicain Bush contre « l’ennemi obscur qui se cache dans les coins sombres du monde » (Al-Qaïda), le démocratique Obama énonce « la stratégie des États-Unis pour vaincre l’ISIS », articulée en quatre points :
1 « Une campagne systématique d’attaques aériennes contre l’ISIS », en Syrie comme en Irak.
2 « Un appui accru aux forces qui combattent l’ISIS sur le terrain » : avec la différence qu’en Irak et Afghanistan, les États-Unis n’enverront pas officiellement de forces terrestres, mais des conseillers et instructeurs (475 autres arriveront en Irak), finançant et armant, par une loi spéciale du Congrès, des forces irakiennes et kurdes, et, en Syrie, celles qui combattent aussi bien contre « le régime d’Assad, qui terrorise le peuple », que contre « les terroristes de l’ISIS ».
3 Atteindre nos capacités substantielles de contre-terrorisme pour prévenir les attaques de l’ISIS : cela se fera en travaillant en contact étroit avec leurs partenaires (y compris Israël, qui s’est déjà dit disponible pour partager les informations venant de ses propres services secrets).
(suite en dessous:)
4 « Fournir une assistance humanitaire aux civils innocents que l’ISIS chasse de leurs maisons ». Les États-Unis ont déjà constitué « une ample coalition de partenaires », qui fournissent « des milliards de dollars d’assistance humanitaire, des armes, et un soutien aux forces de sécurité irakiennes et à l’opposition syrienne ». Dans les prochains jours, Le secrétaire d’État Kerry visitera le Moyen-Orient et l’Europe pour « recruter d’autres partenaires pour cette bataille ».
RépondreSupprimerLa stratégie lancée par l’administration Obama n’est pas une stratégie que le président serait obligé d’autoriser après avoir sous-évalué la menace de l’ISIS (selon une vulgate répandue), mais une stratégie construite au cours de nombreuses années. Comme cela a déjà été amplement démontré, les premiers noyaux de la future ISIS se forment quand, pour renverser Kadhafi en Libye en 2011, l’Otan, sous commandement des USA, finance et arme des groupes islamiques, qu’on définissait encore peu avant comme terroristes. Après avoir contribué à renverser Kadhafi, ils passent en Syrie pour renverser Assad.
C’est là que naît, en 2013, l’ISIS, qui reçoit des armes, des financements et des voies de passage de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweït, de la Turquie et la Jordanie, dans le cadre d’un plan coordonné par la CIA. En mai 2013, un mois après avoir fondé l’ISIS, Ibrahim al-Badri (le calife, connu aujourd’hui sous le nom de guerre d’Abu Bakr al-Baghdadi), rencontre en Syrie le sénateur John McCain, chargé par Obama d’effectuer des opérations secrètes pour le compte du gouvernement (cf. photo sur le manifeste du 10 septembre). L’ISIS lance ensuite l’offensive en Irak, au moment où le gouvernement al-Maliki prend ses distances avec Washington, se rapprochant de la Chine et de la Russie. L’objectif réel de la stratégie lancée par Obama est de détruire la Syrie et de réoccuper l’Irak. En outre, en engageant leurs alliés européens (parmi lesquels l’Italie) sur le nouveau front moyen-oriental et, en même temps, sur le front oriental contre la Russie, les États-Unis renforcent leur influence sur l’Union européenne, qu’ils veulent unie, mais seulement sous leadership américain.
Manlio Dinucci
Traduit par Rosa Llorens pour vineyardsaker.fr
Source : La santa crociata di Obama (globalresearch.ca, italien, 13-09-2014)
Manlio Dinucci est géographe et journaliste. Il a une chronique hebdomadaire » L’art de la guerre » au quotidien italien Il manifesto. Il est l’auteur de Geocommunity (en trois tomes) Ed. Zanichelli 2013 ; Geografia del ventunesimo secolo, Zanichelli 2010 ; Escalation. Anatomia della guerra infinita, Ed. DeriveApprodi 2005.
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/01/sainte-croisade-dobama/
Un nouveau Maïdan… à Hong Kong ?
RépondreSupprimer1 octobre 2014
The French Saker
Un Maïdan à Hong Kong fomenté par les USA ? Ce bruit court avec insistance, notamment dans les réseaux de blogueurs russes, qui font le parallèle immédiat avec l’Ukraine, et est repris dans un article de Zero Hedge de ce jour [1]. Nous ne pouvons précisément vérifier sa véracité, compte tenu de nos moyens d’information limités. Il n’est pas interdit cependant de lui donner écho, pour suivre plus attentivement la suite des événements. Mais de quoi s’agit-il ?
Rappelons que, par le terme de révolution de la place Maïdan, l’opinion occidentale désigne les manifestations s’étant produites à Kiev il y a quelques mois, qui ont entrainé la chute du président prorusse de l’époque, remplacé par un président pro-occidental, dit aussi « Roi du chocolat », compte tenu de ses intérêts personnels dans ce domaine. Or, cette révolution, présentée sur le moment, par des forcenés du type de Bernard Henri Lévy, comme une explosion de la démocratie enfin revenue à Kiev, s’est révélée rapidement comme le résultat de manœuvres en sous-main, à la limite du terrorisme, conduites par des groupes de mercenaires financés par la CIA, afin d’affaiblir l’influence russe dans ce pays, et de compromettre l’image de Poutine.
L’opération se poursuit actuellement dans le cadre des combats sanglants qui se mènent entre pro-russes et troupes gouvernementales dans le Donbass et en Ukraine russophone. Poutine en est effectivement affaibli, car il est pris en deux maux : intervenir militairement au-delà des frontières de la Fédération de Russie, ou laisser les répressions gouvernementales se poursuivre.
Dans Le double jeu américain avec le Calife [2], nous indiquions récemment que, selon diverses informations, Washington se préparait à mener contre la Chine, devenue, en second rang après la Russie, son nouvel ennemi héréditaire, une opération du même type que celle qui lui avait si bien réussi à Kiev : susciter dans certaines provinces des manifestations populaires qui permettraient d’ébranler le régime. Nous évoquions le soutien donné à des indépendantistes musulmans ouïghours. Mais en fait il paraît très probable que Washington ait décidé de s’en prendre à une autre des faiblesses du régime, le statut du Territoire de Hong Kong. Ne revenons pas ici sur l’historique de ce que certains avaient appelé l’annexion de l’ex-colonie britannique. Elle avait suscité de nombreuses opposions, venues de différents milieux. Mais finalement l’actuel système, dit des deux Chines, un seul système, auquel est soumis le territoire paraissait satisfaire l’ensemble des parties.
Or les médias du monde entier ont pu constater que depuis quelques jours, des foules nombreuses, composées principalement de manifestants se disant en lutte pour la démocratie, avaient occupé divers lieux sensibles, notamment Central et Admiralty, centres financiers situés non loin du siège du gouvernement. Les manifestations se veulent pacifiques. Cependant, des échauffourées ont déjà eu lieu avec les forces de police. Aujourd’hui 1er octobre, les manifestants pro-démocratie sont toujours fortement mobilisés, à la veille de la fête nationale chinoise, refusant de répondre aux appels à la dispersion lancés par le chef de l’exécutif, présenté comme aux ordres de Pékin par les plus activistes d’entre eux.
(suite en dessous:)
Nous n’examinerons pas ici la légitimité de ces manifestations, ni le contenu des réformes politiques qu’elles demandent, promises après la rétrocession à la Chine de la colonie en 1997. Il est difficile par ailleurs d’évaluer le soutien populaire qu’apporte le reste de la population à ces revendications. Il est certain cependant que la confrontation des manifestants avec les forces de police est localement très électrique, et pourrait rapidement dégénérer en batailles rangées, dont l’issue, comme toujours en de telles situations, serait incertain.
RépondreSupprimerCe qui est certain par contre c’est que les États-Unis n’avaient pas manqué, depuis longtemps, de mener à Hong Kong, et dans d’autres régions proches, des actions du même type que celles ayant provoqué, ces dernières années, le succès des révolutions dites orange aux frontières de la Russie. Il s’agit de ce que l’on peut qualifier de diplomatie du dollar et des services secrets. Les officiels chinois ont dénoncé ces manœuvres et appellent à la résistance. Le Département d’État américain n’hésite plus dorénavant à se confronter directement avec eux sur le plan diplomatique. Quelle que soit la sympathie que l’on puisse éprouver en faveur du concept de démocratie, à Hong Kong comme ailleurs, on ne peut s’empêcher de constater que ce concept est devenu la plus performante des armes utilisées par les bellicistes américains pour étendre leur domination systémique à certaines parties de l’Asie jusque-là préservées.
Affaire donc à suivre attentivement, notamment au regard de ce qu’il pourrait en résulter sur l’avenir du BRICS et des offensives anti-dollar envisagées par ce dernier, ainsi que sur la façon dont réagira l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).
Jean-Paul Baquiast
Notes
[1] Is the U.S. Secretly Egging On Hong Kong Protesters? (zerohedge.com, 01-10-2014)
[2] Le double jeu américain avec le Calife (vineyardsaker, français, 27-09-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/01/nouveau-maidan-hong-kong/
Face à la montée de la Chine en Afrique, la France et les USA ont décidé de reconquérir militairement l'Afrique : le cas du Niger, du Liberia, du Tchad, du Centrafrique et du Soudan
RépondreSupprimerSLT
lun., 29 sept. 2014 18:25 CEST
"Le ministre de la Défense français a déclaré mardi que la France allait augmenter sa présence militaire dans la région turbulente du Sahel par la constitution d'avant-postes destinés à mieux lutter contre la menace terroriste des groupes extrémistes comme Al-Qaïda." (La France va accroître sa présence militaire en Afrique)
Tandis que la France et les Etats-Unis utilisent tous les prétextes (terrorisme, épidémie d'Ebola) pour envoyer des contingents militaires en Afrique (Mali, Niger et récemment le Nigeria pour le terrorisme [1-5] ; Liberia, Sierra Leone et Guinée pour l'épidémie d'Ebola [6-8]) les déboires de la Chine en Françafrique s'accumulent écrit la Lettre du Continent [9], cette bonne vieille feuille de chou françafricaine, tout en précisant que ces déboires pourraient profiter aux "acteurs occidentaux".
"Prise d'otages au Cameroun (victime de la secte islamique de Boko Haram,ndlr), expulsion brutale du Tchad, remise à plat de contrats au Gabon, conflits avec des communautés locales, etc. : les déboires de la Chine en Afrique s'accumulent. Bien que ces déconvenues ne soient pas de nature à ternir le volume des investissements que Pékin - première puissance commerciale mondiale - réserve à ce continent, elles mettent néanmoins en lumière les limites et les failles de sa politique africaine, dont les acteurs occidentaux pourraient tirer profit. (...)" [9]
Mais ces déboires ne seraient-ils pas souhaités par l'alliance atlantiste ? Un certain nombre de situations semblent montrer que face à la montée de la concurrence chinoise, la Françafrique [10, 11] et l'Américafrique ont décidé d'employer les grands moyens coloniaux et de reconquérir militairement des zones entières de l'Afrique ou d'y semer le chaos afin de mettre à mal la montée des BRICS notamment de la Chine en Afrique.
(suite en dessous:)
Centrafrique et Tchad : une guerre du pétrole
RépondreSupprimerOn peut à ce titre rappeler la manière dont les Chinois ont vu Bozizé se faire renverser par un coup d'Etat en Centrafrique par une alliance militaire franco-tchadienne [12]- ayant fait ses preuves au Mali - peu après avoir signé un contrat pour l'attribution du bloc pétrolier A aux Chinois. L'un des enjeux, en Centrafrique était le partage du pétrole du bloc A découvert à la frontière avec le Tchad, convoité par les Français et les Tchadiens, mais promis aux Chinois par Bozizé [12, 13, 14]. Cette guerre du pétrole cachée par les médias français [13] semblent tourner à l'avantage des Français de Total depuis le renversement de Bozizé et cela malgré les protestations d'une opposition démocratique et panafricaine exilée en Afrique du sud :
"Total après avoir rencontré la présidente lors des différents séjours en Europe, mais surtout le ministre des mines qui a été au mai invité avec sa famille aux frais de Total, pour un séjour idyllique à Paris, a pu conclure un gentleman agreement soit un accord de principe avec les autorités centrafricaines.Les dits accords prévoient de céder à Total l'exclusivité de l'exploitation du bloc A octroyant à la RCA 10% et 90% à la société française. De même Total rentre dans le capital de l'accord liant la Centrafrique à la Chine en s'octroyant 40% des parts revenant à la RCA ce qui donne lieu à lune répartition défavorisant la RCA 10%, et 50% à la Chine. "[14]
Les barbares occidentaux utilisent les méthodes militaires et guerrières pour contrer l'influence des pays des BRICS dans leur pré-carré africain tout en étant capable d'instrumentaliser militairement le terrorisme et les pires épidémies pour parvenir à leur fin.
Soudan et guerre du pétrole
Au Soudan, une guerre secrète sino-étatsunienne s'est déroulée et qui a été remportée (mais à quel prix) par les USA. Au prix de la partition du pays et des pires massacres qui se poursuivent dans cette entité du Soudan du Sud crée ex-nihilo par l'alliance étatsuno-sioniste. Cette guerre secrète au Soudan va se matérialiser par le soutien de la Chine au régime de Khartoum, d'une part, et par la scission du pays et la création du Sud Soudan, orchestrée par la Etats-Unis, d'autre part.
(suite en dessous:)
"Les attentats du 11 Septembre 2001 aux Etats-Unis, la diminution des réserves nationales de pétrole et la dépendance qu'elle génère vis-à-vis des fournisseurs étrangers, combinés à la nationalisation du pétrole par Hugo Chavez, défunt-président de la République bolivarienne du Venezuela, ont poussé l'ensemble de la classe politique américaine à redéfinir de nouvelles zones d'intérêt stratégique pour ses approvisionnements en énergie. C'est dire que pareillement aux autres puissances industrielles, les ressources africaines, soudanaises notamment, intéressent grandement les Etats-Unis (Fogue Tedom : 2010). En effet, le soutien des États-Unis au gouvernement du Sud-Soudan vise, depuis la proclamation de l'indépendance du Sud le 9 juillet 2011, à priver la Chine d'accès aux champs pétroliers appartenant désormais au 193e État de la planète : quelque 80 % des réserves de l'ex-Soudan (Raphael Rossignol : 2011). Pour s'octroyer ces importantes ressources pétrolières, endiguer la pénétration chinoise dans le pays et neutraliser le régime islamiste de Khartoum, les Etats-Unis mettent à contribution l'ensemble de leur dispositif de puissance." [15]
RépondreSupprimerLe gouvernement US apporte, tout d'abord, un soutien multiforme au SPLA de John Garang. A cet effet, le colonel américain Richard Orth joua un rôle clé dans l'approvisionnement en armes du SPLA. Dans cette bataille stratégique, Washington associe, dans une logique néoréaliste, sa société civile. C'est dans ce cadre que des actions des personnages tels que Roger Winter ont grandement contribué à l'affaiblissement, voire à la dislocation du Soudan. "En effet, pour ce dernier, la meilleure solution pour arrêter la guerre entre le Nord et le Sud du Soudan est que : « le Sud auquel s'adjoindraient peut-être quelques petites zones de conflit, soit dissocié du Nord-Soudan et constitue, en fait, un pays indépendant et souverain » (Pierre Péan ; 2011 : 436). Il a assisté à toutes les réunions du bureau politique du SPLA. Lors d'une conférence de presse donnée à l'Institut de la paix (US Institute for Peace) à Washington le 17 septembre 1997, Roger Winter demande « le soutien total du gouvernement américain à une guerre destinée à abattre le gouvernement de Khartoum, même si (il sait) qu'elle entrainera une catastrophe humanitaire (...). Ce serait une guerre par proxies interposés, utilisant les troupes ougandaises et érythréennes, avec les armes, la logistique et l'entrainement américains » (Pierre Péan ; 2011 : 443). " [15]
Cette posture a permis à Washington d'affaiblir le Soudan, un des plus importants partenaires africains de la Chine, en suscitant sa dislocation. La Chine est entrée dans une certaine dépendance à l'égard des forces atlantistes qui ont participé à la création du Sud Soudan qui détient 75% du pétrole. J'écrivais en octobre 2013 : "La déstabilisation du Soudan organisée dans les coulisses par les grandes puissances n'est sans doute pas terminée tant les enjeux énergétiques et géopolitiques sont majeurs." [16]
(suite en dessous:)
On connaît la suite, éclatement du Soudan et guerre civile terrible dans l'Etat du Soudan du Sud, un Etat créé de toute pièce par l'entité étatsuno-sioniste. A ce sujet lire un extrait de l'article de Black Agenda Report [17] ci-dessous :
RépondreSupprimer"Pendant des décennies, les Etats-Unis et Israël ont cherché à provoquer la partition du Soudan, pays qui avait été, sur le plan géographique, la plus grande nation d'Afrique. La sécession du Sud était un projet spécial d'Israël, dont la politique étrangère la plus durable et fondamentale est de semer le chaos et la discorde dans les mondes musulmans et arabes. Le Soudan, sous le contrôle politique du Nord à majorité musulmane, a rejoint la Ligue arabe dès l'indépendance, en 1956. Depuis, Israël a cherché à déstabiliser le Soudan, à la fois pour porter un coup aux Africains "arabisés" et afin de s'attirer les faveurs des chrétiens sur le continent." [17]
On reviendra plus tard sur le cas de la Libye. Mais comme l'écrivait très bien Peter Van Buren[18] : "Encore une "stabilisation" US (et française) de plus et l'Afrique va s'effondrer." Lire également : Reprise de la guerre en RDC. Israël et les USA arment les deux camps et participent à la balkanisation du pays. [19]
Notes : (liens)
1. - Les Etats-Unis se mêlent de la politique intérieure du Nigeria et font pression sur le Président Goodluck Jonathan
2. - FRANCE/NIGERIA. Les services français à la rescousse d'Abuja
3. - Le financement de Boko Haram proviendrait de Fonds islamiques en Arabie Saoudite et en Grande-Bretagne
4. - Le Canard Enchaîné confirme le soutien indirect de la France à Boko Haram -
5. - Boko Haram : Le Canard Enchaîné confirme que François Hollande ménage toujours les financiers du djihad
6. - Ebola. La mission militaro-humanitaire comprenant 3000 soldats US sera basée au ministère de la défense du Libéria (Global Post)
7. - Ebola. Les officiels du gouvernement Obama en grande difficulté pour justifier la mission militaire US au Libéria (WND)
8. - Ebola. Intervention militaro-humanitaire française et allemande en Afrique de l'Ouest à partir du Sénégal
9. LDC Retour de flammes africaines pour Pékin
10.Exclusif. Voici le rapport Védrine sur les stratégies de reconquête de l'Afrique par la France (Sphinx Hebdo)
11. François Hollande ou le triomphe du néocolonialisme et de la reconquête coloniale de l'Afrique
12. Exclusif : comment la France a soutenu la Séléka en Centrafrique
13. Centrafrique : ce que les médias français ne vous diront pas
14. Centrafrique:Total fait main basse sur le pétrole centrafricain (Kangbi-Ndara)
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http://fr.sott.net/article/23340-Face-a-la-montee-de-la-Chine-en-Afrique-la-France-et-les-USA-ont-decide-de-reconquerir-militairement-l-Afrique-le-cas-du-Niger-du-Liberia-du-Tchad-du-Centrafrique-et-du-Soudan
Les Suisses peuvent-ils contrôler leur monnaie
RépondreSupprimerMyret Zaki
Publié le 1 Octobre 2014 à 12:04
C’est cette question que posent les deux initiatives récentes en Suisse, «Monnaie pleine», et «Sauver l’or de la Suisse». Certes, toutes deux ont le travers majeur de supposer que la Suisse, sa monnaie et son système bancaire peuvent se concevoir isolément du reste du monde. Elles posent un risque d’appréciation inquantifiable du franc suisse relativement aux autres monnaies.
Mais le message qu’elles font passer, en s’élançant simultanément dans l’arène citoyenne, est fort: le peuple se met à vouloir réformer de ses mains le système monétaire, car il n’a plus confiance dans l’actuel. Les deux projets veulent restaurer une forme de souveraineté sur le franc suisse, en rebasant (redonnant une valeur de référence à) la monnaie nationale qui, du fait d’une longue dérive du système monétaire international, n’a plus d’étalon de référence. Toutes deux visent, in fine, le retour à une probité monétaire que le débasage des planches à billets et la création monétaire incontrôlée ont compromis.
Les bonnes pistes de réflexion
L’initiative citoyenne «Monnaie pleine» - qui n’a recueilli pour l’heure que 14 000 sur les 100 000 signatures requises - vise à confier le monopole de la création monétaire à la Banque nationale suisse (BNS). A mettre, en somme, sous tutelle publique l’émission de monnaie. Son but: empêcher les banques commerciales de créer de l’argent exnihilo pour le prêter, et enrayer le détournement de liquidités à des fins spéculatives, cause de krachs récurrents du système.
Les crédits octroyés par les banques seraient émis par la BNS et équivaudraient exactement aux dépôts des épargnants. Si les restrictions que pose cette initiative à la création monétaire posent des risques sérieux d’envolée des taux d’intérêt et de limitations au financement de l’activité économique, c’est l’occasion d’une réflexion de fond sur les moyens d’endiguer les futures crises financières.
L’initiative «Sauver l’or de la Suisse», lancée par l’UDC, vise quant à elle à restaurer le gage de valeur que seul le métal jaune peut offrir à une monnaie-papier, à l’heure où le discours dominant de la BNS devient que l’or est à considérer comme un placement ordinaire, à égalité avec le papier. Pour rappel, les stocks d’or de la BNS ne pèsent plus que 8% de son bilan, contre 27% pour la Banque centrale européenne.
(suite en dessous:)
Les opposants à cette initiative jugent inapplicable la règle des 20% d’or au bilan alors que les prix du métal jaune varient fortement (-25% en 2013). Ils ajoutent que la BNS ne pourrait plus acheter massivement des euros comme elle l’a fait depuis 2011 pour lutter contre la hausse du franc, qui deviendrait alors incontrôlable.
RépondreSupprimerMais ces détracteurs ne sont qu’à moitié convaincants, car empiler des centaines de milliards d’euros et de dollars sur le bilan de la BNS est plus risqué que l’or. Les devises, plus volatiles que le métal jaune, représentent 86% du bilan de l’institut, et une variation de plus de 5% de leurs cours provoquerait déjà des pertes supérieures à celles de l’or.
Enfin, si l’euro devait chuter fortement, la BNS ne parviendrait pas aujourd’hui, ou alors au prix d’un risque démesuré, à peser seule contre tous sur la parité euro-franc.
Les détracteurs ont aussi tort de reprendre à leur compte le discours anti-or des banques centrales. Popularisé par la Fed, sa motivation est de défendre le statut de référence du dollar, qui a perdu 98% de sa valeur depuis 1917.
La Fed est soupçonnée, y compris par des traders de Goldman Sachs, de manipuler à la baisse les cours de l’or, car sa hausse menace directement les politiques de planche à billets. Avec un marché de l’or manipulé, toute tentative de la Suisse d’en faire, seule, son principal actif de réserve sera vouée à l’échec.
La Suisse ne peut donc agir isolément. Pour que l’or redevienne le garant des monnaies-papiers, ou encore pour donner l’exclusivité de la création monétaire à la BNS, il faudrait une réforme majeure du système monétaire international, sous l’égide du FMI. Faute de quoi, la Suisse ne pourra envisager seule ces mesures sans risquer de paralyser son économie.
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/suisses-peuvent-controler-monnaie
L’implication de la Garde nationale dans les meurtres près de Donetsk est irréfutable (Comité d’enquête)
RépondreSupprimer01 octobre, 2014
Par La Voix de la Russie
Le Comité d’enquête possède des preuves de l’implication de la Garde nationale d’Ukraine et du groupe Pravy Sektor (Secteur droit) dans la création des fosses communes près de Donetsk, a indiqué ce mercredi le porte-parole du comité Vladimir Markine.
Les membres de la milice populaire ont découvert le 23 septembre plusieurs lieux d’enterrement, où selon les habitants locaux, se trouvent des corps des civils tués par les forces de l’ordre. Lundi, la représentante spéciale de l'OSCE chargée de la lutte contre la vente des êtres humains Madina Dzharbusynova a parlé de la probabilité de la vente des organes intérieurs enlevés depuis les corps, qui ont été retrouvés dans les fosses communes.
http://french.ruvr.ru/news/2014_10_01/L-implication-de-la-Garde-nationale-dans-les-meurtres-pres-de-Donetsk-est-irrefutable-Comite-d-enquete-1936/