- ENTREE de SECOURS -



mercredi 1 octobre 2014

Donetsk après le tir 1er Octobre 2014

Aujourd'hui, jour de rentrée des classes dans la République Populaire de Donetsk (RPD), les forces ukrainiennes basées dans le village de Peski, indiquées à l'ouest de l'aéroport de Donetsk sur la carte, ont tiré dans trois secteurs de Donetsk. Des mortiers et une volée de deux roquettes "Smerch" ont atterri près d'une école dans le quartier Kievsky, la zone centrale des trois zones cibles indiquées. Heureusement pas d'enfants parmi les victimes, mais deux parents, un enseignant ainsi qu'un garde seraient décédés, dans la rue, un bus et des passants ont été touchés. Divers organes de presse, les médias sociaux, etc rapportent des chiffres légèrement différents de victimes, mais il semble qu'il y ait au moins huit morts.

Il existe pour l'instant une vidéo disponible du drame, plusieurs autres ont déjà été retirées.

ATTENTION, LES IMAGES SONT EXTRÊMEMENT DURES
LIEN :
http://youtu.be/KoIYcTjsP9I


51 commentaires:

  1. Artillerie ukrainienne a bombardé l'école avec les enfants sur le Jour des connaissances.

    1 octobre 2014 20:00
    Eugene Poddubnyi

    Malgré la trêve, Donetsk a subi le plus puissant dans le dernier mois tiré troupes ukrainiennes. Les agents de sécurité ont utilisé des armes lourdes de lance-roquettes "Grad" et "Hurricane" de mortiers. Un des obus a frappé l'arrêt des transports publics, l'autre - à l'école, où l'année scolaire a commencé.

    http://www.vesti.ru/videos/show/vid/621931/cid/58/

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  2. Â Donetsk, 350 cadavres de civils ont été trouvé dans des fosses communes


    29/09/2014 | Source:
    Pravda.Ru


    Premier Vice-Premier Ministre de la République populaire de Donetsk, Andrey Purgin, a déclaré que près de 400 corps ont été remis à la morgue de Donetsk et les villes voisines qui restent sous le contrôle de la République auto-proclamée populaire de Donetsk, rapporte Interfax. " Quatre cents corps sont dans les morgues, 350 d'entre eux sont des civils. Beaucoup de corps sont impossibles à identifier ", a t-il dit lundi. Selon Purgin, tous les corps ont été retrouvés dans des fosses communes situées dans des endroits différents. Les emplacements ont déjà été contrôlés par les troupes ukrainiennes, at-il dit. L'administration de la république auto-proclamée l'intention de demander l'aide d'experts russes dans le processus pour identifier les corps à l'aide des analyses d'ADN, a déclaré Purgin.

    http://english.pravda.ru/news/hotspots/29-09-2014/128633-donetsk_mass_graves-0/

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  3. Des chars d'assaut américains arrivent dans les pays baltes, la Pologne demande une plus grande présence militaire américaine


    Octobre 02, 2014 00:15



    Le Premier ministre polonais Ewa Kopacz dit qu'elle veut une présence militaire plus grande en Pologne à la lumière des événements en Ukraine. Le commentaire est venu comme les Etats-Unis ont annoncé qu'ils déploie 700 soldats et 20 chars "Ironhorse 'à travers les trois Etats baltes et la Pologne.

    Les observations ont été faites au cours de l'inauguration du discours de Kopacz à la chambre basse du parlement polonais. "Face à ce qui se passe en Ukraine, des relations plus étroites avec les États-Unis deviennent plus importants. C'est pourquoi mon gouvernement fera tout son possible pour veiller à ce que les Etats-Unis accroît sa présence militaire en Pologne ", dit-elle. Pendant ce temps, la soi-disant unité de cavalerie armée "Ironhorse" - composé de 20 M1A1 Abrams chars de combat et environ 700 soldats, ainsi que les véhicules blindés Bradley et Stryker - sont envoyés à partir de sa base au Texas et marque une augmentation considérable de tensions entre l'OTAN et la Russie.

    Les pays baltes et la Pologne ont dit qu'ils sont nerveux au sujet d'une Russie de plus en plus affirmée face à la récente événements en Ukraine. C'est la première fois aux États-Unis a expédié des renforts blindés lourds en Europe depuis la fin de la guerre froide, a rapporté Reuters. «Le but est d'être une manifestation très visible de l'engagement de nos alliés. Nous pouvons prendre un peu plus de temps pour déployer de forces plus légères, mais il n'y a rien comme un réservoir si vous voulez vraiment obtenir un effet ", a déclaré le capitaine John Farmer, officier des affaires publiques pour Ironhorse. Ironhorse, anciennement appelé l'équipe de combat 1ère Brigade de la 1re Division de cavalerie, remplacera un nombre similaire de parachutistes américains légèrement armés, qui ont été déployés après l'adhésion de la Crimée en Mars. tensions entre la Russie et l'OTAN ont augmenté considérablement en raison de la crise en Ukraine, bien que la méfiance et le mécontentement entre les deux ont été mijotent pendant la dernière décennie.

    La Russie a mis en garde à plusieurs reprises contre l'accumulation accrue de l'OTAN et de marcher vers l'est, vers ses frontières, qu'elle considère comme une menace. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré en Juillet que le système de défense prévu antimissile américain en Europe de l'Est n'est pas seulement à des fins défensives, mais est une "arme offensive" qui est un "élément du système offensive américaine déployée en dehors du continent." "En l'état actuel de l'OTAN est manifestement le renforcement de ses forces dans Europe de l'Est, y compris la mer Noire et de la mer Baltique. Ses activités de formation opérationnelles et de combat gagnent en ampleur ", a t-il dit. Avec le bouclier de défense antimissile et l'élargissement de l'alliance militaire dans des pays comme l'Ukraine, l'OTAN a également été l'expansion de ses activités militaires dans la mer Noire et de la Baltique.

    http://rt.com/news/192336-nato-russia-baltics-military/

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  4. « Le scandale des enregistrements de Goldman Sachs par une ancienne salariée de la FED… ! »

    Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

    Avant de commencer avec cette histoire passionnante, je vais vous demander votre aide, oh rassurez-vous pas d’argent, juste un petit clic et un gentil vote pour soutenir le Contrarien Matin aux Golden Blogs Awards. Je ne cherche pas les médailles (sinon je m’y prendrais autrement, par exemple en étant un petit peu plus fayot pour ne pas dire lèche-cul, ce qui serait terriblement vulgaire dans une publication du niveau de celle du Contrarien), non disons que grâce à vos votes l’année dernière nous avons fait découvrir le Contrarien à 800 personnes qui sont devenues 800 nouveaux abonnés, alors si ce n’est rien au niveau mondial, disons que les petits ruisseaux font les grandes rivières. Je compte sur votre gentillesse et votre bienveillance pour aller voter sur ce lien POUR VOTER ET SOUTENIR LE CONTRARIEN c’est ici et j’espère que cette année, grâce à vous, nous ferons connaître le Contrarien à encore plus de nouveaux lecteurs.

    C’est une histoire importante mais pas surprenante. Dans ces colonnes, je dénonce sans relâche la collusion évidente entre des pouvoirs politiques et des régulateurs au pire totalement corrompus (bien qu’en politiquement correct moderne on préfère parler pudiquement de simple conflits d’intérêts) et au mieux fondamentalement incompétents.

    Au cœur de la crise que nous traversons se pose un sujet à la fois complexe et épineux et certainement jamais assez abordé et développé. Celui des contre-pouvoirs et je préfère ce terme et ce concept de contre-pouvoir à celui de « régulation ». La règle, le règlement, la régulation, tout cela n’a en soit aucun sens si aucun moyen cohérent et coercitif existe pour faire appliquer ces lois, règles et règlement. Pire, une loi, une règle ou règlement devrait être intelligible par tous et ne pas nécessiter 150 000 pages de texte. La véritable question est bien celle des contre-pouvoirs.

    De façon générale et quel que soit le sujet, si vous donnez à quelqu’un tous les pouvoirs, il finira par les utiliser de façon malsaine et à son propre avantage. Si les policiers se tiennent convenablement c’est parce qu’il y a une « police des polices ». Il faut donc des contrôles et de la surveillance. Mais pour cela il faut une volonté politique forte allant à l’encontre du « big business » et de l’argent roi. Or, partout dans le monde, depuis la chute du mur de Berlin et la fin d’un contre-pouvoir essentiel en termes idéologiques à savoir le communisme, nous nous sommes remis à adorer le « veau d’or ». Seul compte désormais l’argent, le pognon, le fric, le flouze, le blé, plus, toujours plus, encore plus. Pour quoi faire ? Pour rien, juste pour l’accumulation jouissive de l’argent et accessoirement du pouvoir que ce dernier procure, pouvoir rarement utilisé à des fins humanistes.

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  5. Alors il est évident que cette collusion est devenue incontrôlable. Il est évident que les lois passées, les traités négociés de façon générale le sont à l’encontre des intérêts de tous les peuples. Ils le sont à vocation exclusivement de ces grandes multinationales. Nous sommes rentrés officiellement dans l’ère du totalitarisme marchand.

    Simplement, parfois, le mur du silence et de la lâcheté collective se craquèle et certains sortent de leur silence avec des preuves irréfutables de la dérive scandaleuse que l’on ne veut pas voir du système dans lequel nous vivons.

    Cette femme, par qui ce nouveau scandale a été rendu public, a bien évidemment été licenciée uniquement « en raison de son manque de résultat personnel ». C’est sûr qu’il est difficile d’être en charge du contrôle de Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde, un monstre financier tentaculaire que l’on a laissé se développer sans entrave et dont désormais le pouvoir et la taille menace au-delà du système économique le système démocratique.

    Aujourd’hui, nous parlerons de Goldman Sachs mais cette banque, aussi néfaste soit-elle, n’est qu’une partie de notre problème. D’abord parce qu’il existe d’autres banques, comme la Deutsch Bank en Allemagne dont la taille est telle et l’exposition en produits dérivés tellement hallucinante qu’elle peut à elle seule faire sauter le monde (51 000 milliards de dollars de produits dérivés plus ou moins toxiques à son actif), mais aussi parce qu’il ne faut pas oublier, dans ce sombre tableau, le poids de grandes multinationales particulièrement nocives comme des entreprises du doux nom d’Halliburton (dont le fonds de commerce est la guerre privée) ou Monsanto (dont le fonds de commerce est de tuer ce qui survit aux guerres du premier et de laminer la biodiversité).

    L’ensemble de ce système je l’appelle le « big businness ». Cet ensemble forme le « totalitarisme marchand », et le totalitarisme marchand, comme tout totalitarisme, est une dictature en soi. Une dictature qui avance masquée sous l’étendard de la liberté… de consommer, mais uniquement de consommer. Partout dans le monde dit « libre », les droits civiques et la liberté politique se réduisent comme peau de chagrin. Partout dans le monde dit « libre », les citoyens sont soumis à des doses intensives de propagande visant à fabriquer leur consentement et à façonner leur manière de penser en leur ôtant sciemment et volontairement tout libre arbitre. Partout nous sommes réduits à l’état de loques tout juste bonnes à donner leur « temps de cerveau disponible » aux lobotomisateurs que sont les émissions télé abrutissantes et bêtifiantes destinées à nous faire consommer toujours plus, pour toujours plus cher, et avec toujours moins d’utilité.

    Nous avons, dans tout cela, perdu notre humanité, perdu notre liberté, perdu notre citoyenneté, perdu ce qui faisait de nous des femmes et des hommes libres. Ceux qui dénoncent cette situation sont au mieux traité de « pessimistes » rejetant le prôgrès, et au pire de complotistes dignes de l’internement psychiatrique d’office. Mais c’est l’inverse mes chers amis. Être bien adapté à une société malade n’est justement pas une preuve de bonne santé mentale.

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  6. Alors lorsque les preuves sont incontestables, lorsque les faits sont avérés, nous devons les partager au maximum et au plus grand nombre pour leur faire prendre conscience que nous sommes arrivés au bout de quelque chose et que cette crise ne trouvera une résolution réelle que si nous nous réapproprions le pouvoir et que nous refusons de jouer le jeu de la consommation que nous impose ce système inique.

    Je vous traduis donc ici l’essentiel de cet article de l’agence Bloomberg qui revient sur cette affaire des enregistrements secrets entre la FED et les représentants de Goldman Sachs.

    Traduction par mes soins et adaptation de cette article de l’Agence Bloomberg

    « Il est fort probable que la plupart des gens seront d’accord sur le fait que les gens payés par le gouvernement des États-Unis pour réglementer Wall Street ont eu leurs lots de difficultés.

    La plupart des gens seraient probablement d’accord sur deux raisons qui permettent d’expliquer ces difficultés.
    Face à un système financier de plus en plus complexe, les régulateurs doivent se le faire expliquer par les financiers qui ont crée ce même système ultra-complexe avec pour résultat une pratique délétère et de plus en plus fréquente chez les régulateurs de quitter leur emploi du gouvernement pour un emploi beaucoup mieux rémunéré dans les banques mêmes qu’ils étaient autrefois destinés à réglementer et contrôler.

    Les régulateurs de Wall Street sont des gens qui sont payés par Wall Street, à accepter les explications de Wall Street, et qui ont peu de moyens pour se défendre et pour faire respecter les règlements et les lois en vigueur.

    Notre système de réglementation financière est évidemment dysfonctionnel. Mais parce que le sujet est si pénible, et les détails si compliqués, le public ne lui accorde pas beaucoup d’attention ni d’importance.

    Cela pourrait bien changer aujourd’hui, car – vendredi 26 septembre – le programme de radio » This American Life « a diffusé une histoire à couper le souffle sur la régulation de Wall Street, et le public n’aura aucune difficulté à comprendre.

    Le journaliste, Jake Bernstein, a obtenu 46 heures de bandes magnétiques, faites en secret par une employée de la Réserve fédérale.
    46 heures de conversations au sein de la FED, et entre la FED et Goldman Sachs.

    C’est un document extraordinaire. Le but n’est pas ici d’instruire un procès, mais la conclusion essentielle à retenir est la suivante : la FED n’a pas réussi à réglementer les banques, car elle n’a pas encouragé ses employés à poser des questions, à exprimer leurs opinions ou à signaler des problèmes.

    C’est même tout le contraire : la FED encourage ses employés à garder la tête baissée, à obéir à leurs dirigeants et à apaiser les banques.

    Si les régulateurs bancaires n’ont pas réussi à faire correctement leur travail ce n’est pas parce qu’ils n’avaient pas les outils pour le faire, mais parce qu’ils ont été dissuadés de les utiliser.

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  7. Le rapport cite les employés de la FED disant des choses comme, « vous ne pouvez pas penser quelque chose comme ça » ou encore « personne ne se sent individuellement responsable des erreurs de la crise financière parce que les décisions sont prises par consensus ».
    En plus d’un échec financier, nous sommes face à un échec culturel.

    À la fin de 2011, les régulateurs ont été dotés de pouvoirs réglementaires plus larges par la loi Dodd-Frank, ils ont embauché un tas de nouvelles personnes et l’une d’elle était une femme de forte volonté à l’esprit indépendant nommé Carmen Segarra.

    « This American Life » a interrogé des personnes qui avaient travaillé avec elle, avant son arrivée à la FED, qui la décrive comme intelligente et parfois brutale, mais jamais non professionnelle. Elle est évidemment brillante et curieuse, parle quatre langues, et est diplômée d’Harvard, de Cornell et Columbia. Elle est également bien évidemment informée : avant d’aller travailler à la FED, elle a travaillé directement, et avec succès, pour les services juridiques et de la conformité des grandes banques. Elle a travaillé pour la FED après la crise financière, dit-elle, que parce qu’elle pensait qu’elle avait la capacité d’aider la FED pour réparer le système.

    Au début de 2012, Segarra a été affectée au contrôle et à la surveillance de… Goldman Sachs, et a donc été installée à l’intérieur de Goldman. (Les personnes qui régulent les banques pour la FED sont physiquement stationnées à l’intérieur des banques.) (Note personnelle de votre auteur-serviteur ici présent, faut tout de même être un peu con pour croire que l’on peut réglementer et contrôler un monstre comme Goldman Sachs, tout seul avec ses 10 petits doigts fussent-ils tout boudinés ou pas.)

    Dès le départ, son travail lui a semblé très différent de ce qu’elle avait imaginé (bon il n’y a pas à dire elle est tout de même au mieux très naïve cette brave dame, tout le monde sait bien que ce monde-là est un monde de faux culs pour le vrai fric). Dans les réunions, si l’une des personnes Goldman disait quelque chose de révélateur voire d’alarmant, les autres employés de la FED présents à la réunion les ignoraient ou les minimisaient.

    Par exemple, dans une réunion, un employé de Goldman a estimé que « pour ses clients les plus riches certaines lois ne s’appliquaient pas »…. (Pfff, quelle surprise, quel scoop, dites donc, cette personne que je remercie tout de même d’avoir enregistrer les sbires de Goldman Sachs venait de découvrir l’eau chaude, c’est-à-dire que les riches avaient des passes-droits.)

    Après cette réunion, Segarra se tourna vers son supérieur à la FED pour lui dire qu’elle avait été surprise par cette déclaration – ce à quoi son chef a répondu : «Vous n’avez pas entendu cela… » (Goldman Sachs a toujours raison, c’est l’article 1 et lorsque Goldman Sachs a tort, vous devez évidemment vous reporter immédiatement à l’article 1 à savoir que Goldman à toujours raison. Si elle m’avait demandé, je lui aurais expliqué comment tout cela allait se passer et évidemment… se finir.)

    Bon, en gros, le chef de la fille a fini par lui demander de modifier les comptes rendus de réunion pour biffer tout ce qui ne relevait pas du « domaine public » n’est-ce pas, et comme elle entendait bien ce que ses oreilles entendaient, elle est allée acheter un magnétophone… enfin, maintenant, c’est des enregistreurs numériques vachement tout petits qui se planquent partout à faire pâlir d’envie un agent double du KGB de la guerre froide (hein Vladimir).
    Depuis ce jour-là et jusqu’à ce qu’elle se fasse virer, elle a enregistré ses réunions de Goldman Sachs.

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  8. Alors que retenir de cette histoire ?

    1 Vous saviez que les banques étaient plus ou moins contrôlées par les organismes de réglementation et plutôt moins que plus, maintenant vous en avez la certitude.

    2 La seule raison pour laquelle vous en êtes désormais sur c’est qu’une femme, Carmen Segarra, a eu le courage de lutter contre le système. Elle a payé le prix fort pour nous informer de l’évidence. Elle a perdu son emploi, ruiné sa carrière, et devra sans aucun doute supporter aussi une vie de poursuites et de calomnies.

    Alors qu’allez-vous faire à ce sujet ? En ce moment, la FED nous explique que la crise est en train de passer mais ce n’est pas le cas. »

    Mon point de vue personnel sur cette affaire-là.

    Objectivement Carmen ne nous apprend rien de neuf, chez Goldman c’est des pourris, on le savait depuis bien longtemps. La FED et les autres banques centrales ont des liens de consanguinité avec les grandes banques, rien de nouveau. Il y a de la collusion ? C’est une évidence. Ils se gavent tous sur le dos des peuples ? Mais c’est leur raison d’être. Ils sont juste là pour tondre le mouton, le pigeon. C’est presque dans leur « objet social ».

    Non, ce qu’il faut retenir c’est que cette fois, les enregistrements diffusés sont une preuve formelle de ce que tous les observateurs savent, supputent ou imaginent. Cette fois, nous en avons la certitude.

    Il n’y a, là-dedans, nullement besoin d’invoquer quelque théorie du complot que ce soit car il est un complot qui se forme toujours de façon parfaitement naturelle et depuis la nuit des temps et il s’agit des communautés d’intérêt. Aujourd’hui, le monde est gouverné, dirigé par une poignée de communautés d’intérêts. En réalité, vous en avez 4. Les banques, les fabricants d’armes, les « pétroliers » au sens large et enfin le reste des grandes multinationales et je peux vous assurer que leurs intérêts propres ne sont pas, mais alors pas du tout ceux des peuples et c’est précisément la raison pour laquelle ces 4 grandes communautés d’intérêts nous ont fait basculer dans le « totalitarisme marchand ». Elles ont réussi, pour la simple et bonne raison que les peuples ont abdiqué tout pouvoir politique et que progressivement tous les contre-pouvoirs se sont effacés.

    Oubliez le village global ou la mondialisation heureuse. Bienvenue dans la dictature mondiale 2.0. Vous allez adorer.

    Préparez-vous et restez à l’écoute.
    À demain… si vous le voulez bien !!
    Charles SANNAT

    http://www.lecontrarien.com/le-scandale-des-enregistrements-de-goldman-sachs-par-une-ancienne-salariee-de-la-fed-02-10-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=6f7f22658b-daily_newsletter_2014_10_02&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-6f7f22658b-45320805

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    Réponses

    1. "Il arrive un moment où de la dette on s'en fout !" Choquant ? Pas du tout ! Dès lors que la dette est décrite comme inremboursable même en travaillant jour & nuit pour le roi de Prusse, que son chiffre passe à x millions de milliards ou à x milliards de milliards: on s'en fout !

      Et là, autant surprenant que puisse être, on ne se décrit plus 'dans la panade' mais en dehors de toutes ces idées à la con que des chefs d'Etats ont lancé.

      Le fait qu'une personne (élue) profite de son siège pour s'en remplir plein les poches est condamnable. Soit. Mais, l'est plus encore cette dite personne qui empêche les autres d'en faire autant !

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  9. La zone euro n'a pas d'avenir, mais un graphique montre que cela a peu à voir avec notre montagne de dettes

    par Audrey Duperron
    01 oct. 2014

    Cette semaine, un groupe d’économistes de renommée mondiale a publié le 16ème Genova report pour le compte du Centre international d'études monétaires et bancaires. Il conclut que la «combinaison toxique» d'un montant record de dette et du ralentissement de la croissance signifie que l'économie mondiale se dirige vers une autre crise.

    Contrairement à ce que l'on croit généralement, le monde n’a toujours pas commencé à se désendetter et le ratio de la dette mondiale comparée au PIB continue d’augmenter, brisant en permanence de nouveaux records ».

    Le rapport souligne que certains pays, qui se caractérisent par un endettement élevé et une croissance molle, sont particulièrement vulnérables, et la zone euro est particulièrement visée par ce scenario pessimiste. Nous savions déjà que l’endettement des pays de l'UE est plus élevé aujourd'hui qu'il ne l’était avant le début de la crise et qu’il continue d’augmenter. Hier, on a ainsi appris que la dette de la France avait doublé sur les 10 dernières années, et qu’elle avait dépassé les 2 000 milliards d’euros au mois de juin de cette année (2 023,7 milliards d’euros à fin juin, exactement).

    Mais un graphique élaboré par la Banque Mondiale, et assez facile à comprendre, montre clairement pourquoi les Européens (à gauche), et encore moins les jeunes (au centre et à droite), ne seront plus en mesure de rembourser cette dette dans quelques années.

    - voir graphique sur site :

    http://www.express.be/business/fr/economy/la-zone-euro-na-pas-davenir-mais-un-graphique-montre-que-cela-a-peu-a-voir-avec-notre-montagne-de-dettes/208213.htm

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  10. Des femmes musulmanes traitent comme citoyens de seconde zone "règles de la burqa parlementaires

    Visiteurs portant revêtements visage seront forcés de s'asseoir dans une zone séparée de la galerie du public protégé par des panneaux de verre



    Daniel Hurst , Michael Safi et Helen Davidson
    theguardian.com ,Jeudi 2 Octobre 2014 10.00 BST


    Le parlement australien est de forcer des visiteurs portant des revêtements visage de s'asseoir dans une zone séparée de la galerie du public protégée par des panneaux de verre.


    Les critiques font valoir les nouvelles règles de sécurité envoient un signal d'intolérance au public australien.

    La "décision provisoire", qui suit les appels lancés par plusieurs membres du gouvernement pour une interdiction générale de porter la burqa dans le Parlement, arrive à un moment de l'amplification des tensions communautaires en Australie - attribuable en partie à une augmentation du niveau d'alerte terroriste de moyen à élevé.

    Les règles de sécurité ne vont pas jusqu'à une interdiction totale sur le port de la burqa, mais "les personnes qui entrent dans les revêtements du visage galeries de la Chambre des représentants et le Sénat seront placés dans les galeries fermées" derrière des panneaux de verre. Ces zones, blindés élevés sont ceux où les groupes scolaires sont souvent assis.

    "Cela permettra d'assurer que les personnes ayant des revêtements du visage peuvent continuer à entrer dans les galeries de la chambre, sans avoir besoin d'être identifiable,« le ministère des Services du Parlement a déclaré dans une circulaire d'information envoyé aux parlementaires et du personnel le jeudi.

    Le Président de la maison, Bronwyn Bishop, et le président du Sénat, Stephen Parry, a approuvé les changements immédiats "à la lumière de l'environnement de menace accrue".

    L'Australien Verts a exprimé son indignation, arguant "parlement du peuple" avait décidé de transformer les femmes musulmanes en «citoyens de seconde classe» à un moment où ils recevaient déjà des niveaux accrus d'abus par les autres membres du public.

    «Nous sommes à risque de créer une certaine forme d'apartheid musulman en ce moment", a déclaré un sénateur des Verts, Richard Di Natale.

    Le chef de file des Verts, Christine Milne, a déclaré que les nouvelles règles parlementaires n'étaient pas nécessaires car tous les visiteurs avaient déjà de passer le contrôle de sécurité à l'entrée du bâtiment.

    (suite en dessous:

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  11. Milne ledit prévenu des risques de la «tissu social» de l'Australie, exhortant les gens à considérer les tensions raciales qui ont conduit aux émeutes de Cronulla à Sydney en 2005 «Cette décision donne un signal à l'ensemble du pays que c'est OK pour traiter les femmes musulmanes citoyens de seconde classe, et il n'est pas. Il est faux ", dit-elle.

    La décision a été prise un jour après que le Premier ministre, Tony Abbott, a dit qu'il trouvait la burqa comme «une forme assez face de la tenue" et il a souhaité qu'il n'a pas été porté, bien que l'Australie était un pays libre et qu'il était "aux citoyens de l'Australie de décider ce qu'ils doivent porter ".

    Le chef de l'opposition travailliste, le projet de loi Raccourcir, appelé Abbott de se lever à "quelques bruyants" membres du gouvernement qui ont été "attisent les flammes de ce préjudice".

    "Un vrai leader a la responsabilité de construire l'unité et la cohésion et non de division et d'exclusion», a déclaré Raccourcir dans un discours au Parlement le jeudi. "La diminution du débat réel et important pour la sécurité d'une conversation sur un vêtement nous diminue tous et il rend les femmes musulmanes une cible pour l'intimidation et de l'intimidation."

    Raccourcir dit des nouvelles règles parlementaires: «Je ne sais pas pourquoi une personne doit être maintenu derrière une vitre une fois qu'ils ont été identifiés et enquête de sécurité."

    Le commissaire aux droits de l'homme, Tim Wilson, a déclaré qu'il n'y avait «aucune justification pour porter atteinte à la liberté religieuse" quand les gens avaient déjà franchi les contrôles de sécurité du parlement.

    Tim Soutphommasane, le commissaire de la discrimination raciale, d'accord. «Personne ne devrait être traité comme un citoyen de seconde classe, pas moins dans leur propre parlement", at-il dit.

    Le chef de l'exécutif du Conseil arabe de l'Australie, Randa Kattan, dit que la mesure "absolument scandaleux" reflète "messages contradictoires en provenance de Canberra".

    "Le Premier ministre dit d'une part qu'il veut tout le monde sur 'Team Australia', mais en même temps, nous voyons quelque chose comme la décision d'aujourd'hui," dit-elle. "Il isole toujours plus loin les femmes. C'est un message clair que les femmes dans la société sont visés, et les femmes musulmanes plus encore ".

    Kattan a dit que la peur était "fouetté" et avait laissé quelques membres de son personnel qui portaient le hijab inquiet au sujet des voyages autour de Sydney. "Nous sommes tous pour la sécurité nationale, nous voulons tous de se sentir protégés, mais il s'en vient au détriment de personnes innocentes», dit-elle.

    Maha Abdo, le président de l'Association Royaume-femmes musulmanes, a déclaré que le changement de règle était une "blague" et a envoyé un message que "ce morceau de tissu, ou des vêtements de femmes musulmanes, est associé à la terreur et la menace de sécurité".

    "Sont-ils répondent à une véritable menace ici ?" Dit-elle. «Pourquoi donnons-nous ce tout le temps ?"

    Abdo a dit qu'il était profonde frustration chez les femmes de la communauté musulmane à être ciblés par les hauts responsables du gouvernement, mais il y avait aussi "un sentiment de sympathie parce que notre gouvernement est tellement pathétique".

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  12. Tony Burke parole devant le parlement

    Le porte-parole des finances de travail, Tony Burke, a déclaré au parlement le jeudi tous les députés doivent jouer un rôle de leadership dans la promotion de la cohésion sociale, notant que les membres de la communauté islamiques avaient reçu des menaces de violence et de mort.

    "Nous devons faire en sorte que les personnes qui reçoivent la haine ... savent absolument que l'Australie dit qu'ils font partie de ce pays et nous sommes sans équivoque ensemble", at-il dit.

    Le ministère des Services du Parlement a déclaré dans un communiqué qu'il n'y avait pas de changement à la politique actuelle de ne pas obliger les gens à prouver leur identité dans les parties communes de l'immeuble.

    Mais il a déclaré que les galeries de la chambre avaient "toujours été traités comme une partie spéciale de l'immeuble" et il y avait des "conditions spécifiques de longue date d'entrée relative aux normes de la robe, le comportement et les articles autorisés dans les galeries de la chambre".

    La déclaration dit qu'il y avait d'autres modifications à des dispositions de sécurité. Les visiteurs qui entrent l'un des domaines privés de l'immeuble devront être "identifié positivement par" le personnel de sécurité du Parlement sur l'entrée à l'espace privé ".

    "Si le visiteur souhaite entrer, ils devront retirer temporairement un article qui a obscurci leurs traits du visage pour permettre à un agent de sécurité pour vérifier leur identité", a indiqué le communiqué.

    "Si, pour une raison quelconque, une personne est mal à l'aise ou incapable de se découvrir le visage, le personnel de sécurité va traiter cette question sensible, dans un espace privé et d'une manière culturellement appropriée."

    Le ministère a refusé de préciser ce qui constitue revêtements visage.

    Le chef Sénat Travail, Penny Wong, a demandé au président de la chambre haute pour expliquer les motifs de la décision "et pourquoi il n'y a pas eu de consultation dans le cadre de ces changements avec les sénateurs".

    Parry a répondu que c'était une décision provisoire qui s'appliquerait "jusqu'à ce que nous obtenons un ensemble solide de conseils de certains organismes clés», y compris la police fédérale australienne et l'agence de renseignement Asio.

    «Si les gens ne veulent pas être facilement identifiés dans les galeries de chaque chambre, ils peuvent utiliser les galeries qui sont entièrement vitrés," a t-il dit.

    "Une des principales raisons à cela est que s'il ya un incident ou si quelqu'un est intervenez de la galerie, qui, comme les sénateurs ne connaîtraient arrive de temps en temps, ils doivent être identifiés rapidement et facilement afin qu'ils puissent être enlevés de cette interjection. Ou si on leur demande d'être retiré de la galerie, nous devons savoir qui est cette personne si ils ne peuvent pas revenir à la galerie, déguisée ou autrement ».


    http://www.theguardian.com/australia-news/2014/oct/02/parliamentary-burqa-rules-send-signal-of-intolerance-to-australian-public

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  13. «Des milliers» de visas américains délivrés à des résidents dans les pays frappés par le virus Ebola


    Octobre 02, 2014 03:33


    Inquiet du nombre exceptionnel de visas américains détenus par des personnes dans les pays frappés par le virus Ebola, un groupe controversé des études d'immigrants pense que l'administration Obama devrait restreindre les voyages aux États-Unis.

    Le Center for Immigration Studies (CIS) dit, il y a eu 13 500 visas délivrés à des personnes dans les trois pays principalement touchés par le virus Ebola - Guinée, le Libéria et la Sierra Leone - et les inquiétudes que les résidents contagieuses pourraient utiliser ces visas à demander de l'aide médicale aux États-Unis et peut-être déclencher de nouvelles flambées. Le groupe non-partisan controversé, qui vise la réduction de l'immigration aux Etats-Unis, a déclaré mercredi qu'il a utilisé les statistiques du gouvernement de tirer des conclusions sur le nombre de visas en suspens. " Utilisation de 2,013 statistiques de délivrance de visas de non-immigrants et des informations sur les périodes de validité des visas, j'estime qu'il y a environ 5000 personnes en provenance de Sierra Leone, 5000 personnes de la Guinée, et 3500 du Libéria qui ont des visas de non-immigrants valide pour entrer aux Etats-Unis", a déclaré Jessica Vaughan, directeur de la politique à la CEI. Ces statistiques, cependant, ne peut être vérifiée sur le ministère de l'État propre US Visas site, ce qui montre que, en 2013 seulement 552 visas de voyage ont été délivrés à des personnes en Guinée, 2332 pour les personnes au Libéria, et 1369 pour les personnes en Sierra Leone - faire pour un total de 5252 visas. Les données ne montrent pas combien sont encore valables en 2014, que les visas peuvent expirer après un ou deux ans.

    Pourtant, la CEI Vaughan maintient que le président Obama et "ses agences d'immigration ont l'autorité et la responsabilité de refuser l'admission à tout étranger qui a une maladie transmissible."

    Alarme sur Ebola a augmenté dans certains milieux depuis les US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a confirmé mardi que l'homme a été testé positif pour le virus aux États-Unis. "C'est le premier patient diagnostiqué en dehors de l'Afrique, à notre connaissance à ce souche particulière du virus Ebola", a déclaré le directeur des CDC Thomas Frieden. Depuis l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest a commencé, le nombre de morts a augmenté à 3338 de 7178 cas enregistrés, selon les derniers chiffres de l'Organisation mondiale de la Santé.

    http://rt.com/usa/192380-ebola-residents-us-visas/

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    1. Houlala ! S'ils commencent à demander des certificats de naissances aux africains...

      Les familles italiennes peuvent recevoir jusqu'à 20 € par jour si elles hébergent un réfugiés africain.

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  14. Amérique Ebola Nouvelles Wrap: Jusqu'à 100 cas potentiels Au Texas, un à Hawaï

    Soumis par Tyler Durden sur 10.02.2014 08:20 -0400
    MISE À JOUR: TEXAS SANTÉ DES FONCTIONNAIRES augmenter le nombre de contacts possibles du virus Ebola victime à 100

    Malgré les promesses de tout sépare que toute épidémie d'Ebola en Amérique sera "contenue" les nouvelles terrible ce matin semble confirmer ce n'est pas le cas. D'un patient, Eric Duncan, il y a seulement 2 jours, 4 écoles et 18 personnes hier (selon le gouverneur du Texas Rick Perry) à aujourd'hui où NBC Nouvelles a confirmé à la santé du comté de Dallas et services à la personne que 80 personnes ont été en contact avec le Dallas Ebola malade ou de sa famille ( y compris 12-18 directe ). Les ambulanciers sont également sous étroite surveillance après Duncan a vomi sur le sol à l'extérieur d'un complexe d'appartements, comme il a été embarqué de force dans une ambulance. En outre, CBS rapporte un possible patients Ebola dans l'isolement à Hawaï. Contenu ? Peut-être qu'il est temps de repenser l'éthique de la lutte contre la maladie une fois de plus.

    Après avoir été envoyé par un hôpital de Dallas,

    Le patient à Dallas avait initialement demandé un traitement à l'hôpital presbytérien de santé Texas jeudi soir dernier et a été renvoyé à la maison avec des antibiotiques plutôt que d'être observé plus tard, même si il a dit à une infirmière qu'il venait de rentrer de l'Afrique de l'Ouest. Le dimanche, il avait besoin d'une ambulance pour revenir dans le même hôpital, où il a été admis.

    Une infirmière a demandé sur le voyage dans le cadre d'une liste de contrôle de triage et a été dit à ce sujet. " Malheureusement, cette information n'a pas été entièrement communiquée à l'ensemble des équipes complètes. Ainsi, toute la portée de cette information n'a pas été prise en compte dans la prise de décision complète », a déclaré responsable de l'hôpital du Texas Mark Lester.

    Duncan est tombé rapidement malade ...

    Deux jours après, il a été renvoyé à la maison d'un hôpital de Dallas, l'homme qui est la première personne à être diagnostiqué avec le virus Ebola aux Etats-Unis a été vu vomir sur le sol à l'extérieur d'un complexe d'appartements, comme il a été embarqué de force dans une ambulance.

    "Toute sa famille hurlait. Il a obtenu à l'extérieur et il vomissait partout, «résident Mesud Osmanovic, 21, a déclaré mercredi, décrivant la scène chaotique avant que l'homme a été admis à l'hôpital du Texas Health Presbyterian le dimanche où il est dans un état grave.

    La famille de Duncan a pris des mesures ...

    (suite en dessous:)

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  15. Ce jour-là "J'ai appelé CDC pour obtenir des mesures prises, parce que j'étais inquiète pour sa vie et il ne recevais pas les soins appropriés», le neveu de Duncan, Josèphe Weeks, a déclaré à NBC Nouvelles mercredi soir. «Je craignais que d'autres personnes pourraient également être infecté s'il n'a pas été pris en charge, et si je les ai appelés pour leur demander pourquoi est-ce un patient qui pourrait être soupçonné de cette maladie a été de ne pas obtenir les soins appropriés ?"

    Weeks a ajouté qu'il espérait que "personne d'autre n'ait été infecté à cause d'une erreur qui a été faite."

    Qui a conduit à ...

    NBC a confirmé à la santé du comté de Dallas et services à la personne que 80 personnes ont été en contact avec le patient Dallas Ebola ou de sa famille.

    Directeur Zachary Thompson a déclaré que ces 80 personnes ne sont pas en contact étroit, mais il y avait une sorte de contact ou l'exposition au patient.

    Par ailleurs, les autorités sanitaires du Texas ont commandé quatre membres de la famille qui ont été en contact avec le patient Dallas Ebola à rester à la maison et ne pas avoir de visiteurs pour prévenir la propagation éventuelle de la maladie.

    L'ordre, remis en mains propres à la famille de Thomas Eric Duncan mercredi soir par Texas fonctionnaires du ministère des Services de santé, nécessite juridiquement la famille de se conformer au moins jusqu'au 19 octobre, lorsque la période d'incubation est passée et que la famille est plus à risque d'avoir la maladie.

    Et puis il y a ce ....

    * * *
    Comme nous l'avons noté précédemment, il est peut-être temps de discuter de l'éthique de la lutte contre la maladie un peu plus large avant que le poids de gouvernement totalitaire vient en appui.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-02/american-ebola-news-wrap-80-potential-cases-texas-1-hawaii

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    1. La gestion de l'hôpital de Dallas a été confiée à TEPCO ?

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  16. Doctor conseils Atlanta Vol dans matières dangereuses costume pour protester contre "Mentir CDC"

    Soumis par Tyler Durden sur 10.02.2014 11:04 -0400

    "Si ils ne mentent pas, ils sont gravement incompétent," a déclaré le Dr Gil Mobley, un microbiologiste et d'urgence traumatisme médecin de Springfield, dans le Missouri comme il a vérifié dans et effacée sécurité de l'aéroport d'Atlanta de porter un masque, lunettes, gants, bottes et une combinaison blanche à capuche décoré sur le dos avec les mots, "CDC est couché!" Comme rapporte The Atlanta Journal-Constitution, Mobley dit le CDC est "d'enrobage de sucre" le risque de propagation du virus aux États-Unis .
    Comme le rapporte The Atlanta Journal Constitution,

    Un médecin du Missouri a jeudi matin pris l'avion à Hartsfield-Jackson l'aéroport international de Atlanta en tenue de protection complète pour protester contre ce qu'il a appelé la mauvaise gestion de la crise par les Centres fédéraux de contrôle des maladies et la prévention.

    Dr Gil Mobley vérifié dans et effacée sécurité de l'aéroport de porter un masque, des lunettes, des gants, des bottes et une combinaison blanche à capuche arborant sur le dos avec les mots, "CDC est couché!"
    "Si ils ne mentent pas, ils sont gravement incompétent", a déclaré Mobley, un microbiologiste et d'urgence traumatisme médecin de Springfield, dans le Missouri

    Mobley a déclaré que le CDC est "d'enrobage de sucre" le risque de propagation du virus aux États-Unis.
    "Pour eux, disent la semaine dernière que la probabilité de l'importation d'un cas d'Ebola était extrêmement petite, était un véritable appel mauvais," a t-il dit.
    "Une fois que cette maladie consomme tous les pays du tiers monde, comme ça sera sûrement, parce qu'ils n'ont pas la même infrastructure de base comme la Sierra Leone et le Libéria, à ce moment-là, nous serons importation grappes d'Ebola sur une base quotidienne», a prédit Mobley. "Cela va dépasser la capacité d'un pays de pointe pour contenir les grappes dans l'isolement et la quarantaine. Que les sorts de mauvaises nouvelles. "
    ...
    Mobley, un Medical College of Georgia diplômé qui avait une escale de nuit après un vol à Atlanta du Guatemala mercredi ...
    "Hier, je suis venu à la douane à l'aéroport international d'Atlanta," le médecin a dit à The Atlanta Journal-Constitution. "La seule question qu'ils ont posée passagers à l'arrivée est de savoir si elles avaient le tabac ou l'alcool."
    * *
    Il semble CDC Directeur Frieden accepte ...

    - voir clip sur site:

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-02/doctor-boards-atlanta-flight-hazmat-suit-protest-lying-cdc

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  17. Les conséquences économiques d'un potentiel pandémique à virus Ebola aux Etats-Unis

    Par Michael Snyder,
    le 1er Octobre 2014

    Pour le moment, nos hauts fonctionnaires de la santé publique sont très catégorique qu'il n'y aura pas absolument une importante épidémie d'Ebola aux États-Unis. Mais que faire si ils ont tort ? Ou ce qui se passerait si des terroristes libérés d'une forme de arsenalisé Ebola ou la variole comme arme dans l'un de nos grandes villes ? Que serait un tel événement faire pour notre économie ? Je pense que nous pouvons obtenir quelques indices en regardant les effondrements économiques qui se déroulent au Libéria, en Guinée et en Sierra Leone en ce moment. Quand un virus extrêmement mortel comme Ebola commence à se propager comme une traînée, la peur qu'il crée peut être encore pire pour une société de la maladie. Tout d'un coup, les gens ne veulent pas aller au travail, les gens ne veulent pas aller à l'école et les gens ne veulent absolument pas aller faire du shopping. Il ya très peu de choses qui peuvent arrêter l'économie d'une nation plus rapide. Compte tenu du fait que nos grandes banques sont de plus téméraire que jamais , nous avons mieux espérons que nous ne voyons pas un «événement de cygne noir», comme une épidémie majeure Ebola venir et chambouler. Parce que si cela arrive, notre chaîne de Ponzi de l'économie pourrait imploser vraiment rapide.

    En ce moment, il y a juste un cas confirmé du virus Ebola dans le Texas. Si on lui isolées avant il infecté quelqu'un d'autre, nous pourrions être d'accord pour le moment. Mais déjà, on nous dit qu'il peut y avoir "un possible second patient Ebola" à Dallas ...

    Les autorités sanitaires surveillent de près un possible second patient Ebola qui a été en contact étroit avec la première personne à être diagnostiqués aux Etats-Unis, le directeur du département de santé du comté de Dallas, a déclaré mercredi.

    Tous ceux qui ont été en contact étroit avec l'homme officiellement diagnostiqué sont surveillées par mesure de précaution, Zachary Thompson, directeur du Dallas County Health and Human Services, a déclaré dans une entrevue du matin avec l'ARE-TV, de Dallas-Fort Worth.

    "Permettez-moi d'être franc réel pour les résidents du comté de Dallas: Le fait que nous avons un cas confirmé, il peut y avoir une autre affaire qui est un proche associé avec ce patient particulier," a t-il dit. «Alors, c'est vrai. Il devrait y avoir un problème, mais il est contenu aux membres de la famille et les amis proches spécifiques en ce moment."

    Nous avons appris le nom de l'homme qui est confirmé avoir Ebola. Son nom est Thomas Eric Duncan et quand il est allé à l'hôpital presbytérien Texas Health vendredi dernier, il leur a dit qu'il se sentait très malade et qu'il était du Libéria. Vous auriez pensée qui aurait déclenché les grandes cloches d'alarme. Mais au lieu, il a été renvoyé chez lui ...

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  18. Le premier patient Ebola diagnostiqué aux États-Unis est d'abord allé à la salle d'urgence de Dallas la semaine dernière mais a été renvoyé à la maison, en dépit de raconter une infirmière qu'il avait été dans la maladie ravagé Afrique de l'Ouest, l'hôpital a reconnu mercredi.

    La décision prise par l'hôpital presbytérien de santé Texas de le libérer aurait pu ajouter beaucoup d'autres au risque d'exposition à la maladie avant de retourner à la salle d'urgence deux jours plus tard, après son état s'est aggravé.

    Thomas Eric Duncan a expliqué à une infirmière vendredi qu'il était en visite aux États-Unis en provenance du Libéria, mais cette information n'a pas été largement partagée, a déclaré le Dr Mark Lester, qui travaille pour la société mère de l'hôpital.

    Ainsi, un Duncan entièrement contagieuse eu l'occasion de propager le virus autour pendant 48 heures avant il a finalement été admis à l'hôpital pour traitement.

    Et ce n'était pas seulement les adultes qu'il est potentiellement exposé à la maladie. Il est rapporté qu'il avait «contact étroit» avec cinq étudiants qui fréquentent quatre écoles différentes Dallas. Les médias locaux rapportent que les noms de ces écoles sont Tasby Middle School, Hotchkiss Elementary School, Dan D. Rogers primaire et Conrad High School.

    On pouvait s'y attendre, de nombreux parents sont déjà retirent leurs enfants de l'école dans la région de Dallas.

    Il sera très intéressant de voir combien d'enfants montrent effectivement pour l'école demain matin.

    Mais c'est ce qui arrive à une société où la peur du virus Ebola se tenir. Les gens commencent presque immédiatement arrêter leurs activités et rester à la maison.

    Au cours en Afrique de l'Ouest, mois d'Ebola peur commence à prendre un péage majeur sur l'économie. Par exemple, le président de la Guinée affirme que son économie est sur le point de l'effondrement complet ...

    La Guinée a eu plus de succès dans l'épidémie d'Ebola contenant que ses voisins immédiats en Afrique de l'Ouest, mais la perte de recettes due à la crise a laissé le pays dans une situation financière désespérée, le Président Alpha Condé a déclaré après la conclusion d'un cycle de réunions à l'ONU Assemblée générale.

    M. Condé a déclaré Guinée aurait besoin d'environ 100 millions de dollars jusqu'en Décembre pour couvrir son déficit budgétaire, qui va croître si Ebola n'est pas abordé ici la fin de l'année.

    "Le ralentissement de nos économies dues à Ebola exige que la plupart de nos pays reçoivent un appui budgétaire ... ça va être crucial que nous obtenons que le soutien que nos économies ne s'effondrent pas complètement", a t-il dit.

    Et les choses sont encore pires au Libéria. Washington Post affirme que le Libéria est en descente "aux enfers économique" ...

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  19. Libéria, la nation ouest-africaine la plus difficile par le virus Ebola, a commencé une descente aux enfers effrayant économique.

    C'est l'importation de trois récents rapports d'organisations internationales qui semblent supporter les pires scénarios de mois il y a: que les gens abandonnent les champs et les usines, que la nourriture et le carburant seraient devenus rares et hors de prix, et que déjà faible capacité du gouvernement pour aider, avec les perspectives de la nation pour un avenir meilleur, serait gravement compromise.

    Si des milliers de personnes commencent à devenir Ebola dans les grandes villes à travers l'Amérique, la même chose va se passer ici aussi.

    Une pandémie majeure Ebola en Amérique signifierait un arrêt quasi total et économique de première nécessité commencerait disparaître du marché presque immédiatement. Il suffit de vérifier ce qui se passe au Libéria même où vous lisez ceci ...

    Les nécessités de base de la survie au Libéria - la nourriture, le transport, le travail, l'argent, l'aide du gouvernement - sont rapidement épuisés, selon de récents rapports de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.

    Même si la demande économique passerait à travers le plancher pour la plupart des choses, les prix de la nourriture et d'autres fournitures essentielles ont tendance à monter en flèche au cours d'une situation d'urgence majeure. Le FMI indique que le taux d'inflation atteindra environ 13 pour cent au Libéria à la fin de l'année, même si l'activité économique a diminué de façon spectaculaire. Il va devenir très difficile pour la plupart des familles là-bas pour se nourrir.

    Et comme garrot de l'activité économique, les recettes fiscales se dessèchent également en hausse. Libéria, la Guinée et la Sierra Leone sont tous face à des pénuries massives de revenus, et ils demandent de l'aide internationale.

    Mais si la même chose s'est produite aux États-Unis, pensez-vous que le reste du monde de nous envoyer beaucoup d'argent pour nous aider à payer nos factures?

    Je ne pense pas.

    Inutile de dire que, une épidémie d'Ebola n'est pas bon pour les marchés financiers soit. Nouvelles du cas confirmé de fièvre Ebola dans le Texas contribué à faire baisser l'indice Dow Jones de plus de 238 points mercredi, et actions des compagnies aériennes, en particulier, a fortement diminué .

    S'il n'y a pas plusieurs cas confirmés d'Ebola au Texas, les choses vont probablement revenir à la normale pour les marchés américains.

    (suite en dessous:)

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  20. Mais si le virus Ebola ne démarre la diffusion et les cas commencer à apparaître dans tout le pays, qui pourrait être juste la chose à éclater notre bulle massif des marchés boursiers .

    Espérons que ce n'est qu'une fausse alerte.

    Espérons que nos autorités de santé publique ont tout sous contrôle.

    Personne ne devrait vous voulez voir des milliers (voire des millions) de potentiellement compatriote Américains tombent malades et meurent.

    Malheureusement, les scientifiques nous disent que ce n'est qu'une question de temps avant qu'une autre pandémie majeure de certains ravages de tri ce de la nation.

    Lorsque cela se produit, sera notre économie fragile être capable de gérer le choc ?

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-economic-implications-of-a-potential-ebola-pandemic-in-the-united-states

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  21. Ne vous inquiétez pas ? 10 Cours d'experts de la santé en promettant que le virus Ebola ne sera pas un problème en Amérique

    Par Michael Snyder,
    le 1er Octobre 2014


    Les experts en santé partout aux États-Unis nous promettent que nous n'avons pas besoin d'être inquiet sur le virus Ebola que ce soit. Même si un cas a déjà été confirmé à Dallas, au Texas et un autre cas potentiel est surveillé, les autorités sanitaires nous assurer que nous avons le plus grand système de santé dans l'histoire de la planète et que nous serons en mesure de traiter des cas isolés très facilement. Et partout dans les médias grand public le mercredi, il y avait des journaux déclarant que l'arrivée du virus Ebola en Amérique est un non-événement. Un exemple en est ce titre de Bloomberg : "Ebola en Amérique ? Ne pas s'en inquiéter". Ainsi ont-ils raison ? Si le reste d'entre nous juste décompresser et se détendre, car une bande de mecs vraiment intelligents sont nous assure que notre système de santé peut facilement faire face à tout ce qui Ebola peut jeter à nous ? Voici 10 citations de spécialistes éminents nous promettant que le virus Ebola ne sera pas un problème dans ce pays ...

    # 1 Dr. Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses: «Nous sommes confiants qu'il n'y aura pas une épidémie."

    # 2 Université de Chicago professeur Michael Z. David : «Bien que tout cela semble très effrayant, il n'y a pas besoin de s'inquiéter à ce point sur le virus Ebola répandre largement ici."

    # 3 Gerardo Chowell-Puente, professeur associé de l'épidémiologie mathématique à l'Ecole de l'évolution humaine et le changement social à l'Université d'Etat d'Arizona: "Math et l'histoire nous montrent que des efforts décisifs pour isoler ceux qui sont infectés par le virus Ebola et de suivre rapidement avec les contacts potentiels des personnes infectées peuvent aider à obtenir une épidémie sous contrôle. Nous avons de la chance que nous avons de telles capacités aux États-Unis; même avec le cas d'Ebola à Dallas, l'épidémie ne devrait pas obtenir beaucoup d'un pied ici. "

    # 4 Texas directeur de la santé David Lakey : "C'est une ville très sophistiqué, un hôpital très sophistiqué, ... et les chances d'être la propagation sont très, très rares."

    # 5 Zachary Thompson , directeur du Dallas County Health & Human Services: "Ce n'est pas l'Afrique. Nous avons une grande infrastructure pour faire face à une épidémie ".

    # 6 Dr William Shaffner, un spécialiste des maladies infectieuses à la Vanderbilt University Medical Center: «Nous sommes très bien préparés: les gens lutte contre l'infection dans les hôpitaux au cours des deux derniers mois ont passé en revue toutes les procédures de contrôle des infections, car nous nous attendions à tout ce genre de chose happening- une personne venant d'Afrique de l'Ouest, ils étaient en bonne santé au moment où ils se sont rendus, mais est tombé malade ici ".

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  22. # 7 Thomas Frieden, le directeur de la CDC: «Il est certainement possible que quelqu'un qui a été en contact avec ce patient pourrait développer Ebola, mais il n'y a aucun doute dans mon esprit que nous allons arrêter ici."

    # 8 Dr. William Shaffner : "Même Médecins sans frontières en Afrique de l'Ouest se déplacent le taux de 50 pour cent de mortalité jusqu'à 30 pour cent, je parie que nous pouvons en faire beaucoup mieux que ça ici."

    # 9 Peter Hotez , doyen de l'Ecole Nationale de Médecine Tropicale et professeur au Baylor College of Medicine à Houston: "Le virus Ebola n'est pas facilement transmissible de personne à personne, et nous avons une excellente infrastructure en place à la fois pour contenir le virus et des contacts de trace. Il n'y aura pas une épidémie d'Ebola dans les Etats-Unis ".

    # 10 Thomas Frieden : ". L'essentiel ici est que je n'ai aucun doute que nous allons contrôler cette importation ou ce cas d'Ebola afin qu'il ne se propage pas largement dans tout le pays"

    Ainsi ont-ils raison ?

    Je ne sais pas.

    J'espère qu'ils sont.

    Mais considérant à quel point de contrôle de la pandémie à virus Ebola en Afrique de l'Ouest, je ne serais pas aussi dogmatique que ces experts sont en cours.

    Pendant ce temps, Barack Obama continue d'agir comme si rien n'a changé non plus. Même si un certain nombre d'autres pays ont fermé tout le trafic aérien au Libéria, en Guinée et en Sierra Leone, Obama refuse toujours de restreindre Voyage aérien à destination et en provenance des pays ...

    Après responsables américains divulgués autre cas potentiel du virus Ebola à Dallas, au Texas, ce matin, la question demeure de savoir si l'administration Obama va enfin cesser de vols en provenance de pays frappés par le virus Ebola comme plusieurs pays l'ont fait il y a plus d'un mois.

    À la mi-Août, Korean Air et Kenya Airways ont annoncé qu'ils Enrayer vols pour les pays ouest-africains ravagés par le virus Ebola, et British Airways et Air France ont également décidé de suspendre le service à la zone chaude Ebola quelques semaines plus tard.

    "La France recommande à ses citoyens quittent la Sierra Leone et le Libéria, deux des pays les plus touchés par la pire épidémie jamais de la maladie," Jessica Plautz signalé pour Mashable. "Le gouvernement a déclaré la propagation croissante de la maladie a incité sa demande que la compagnie aérienne de suspendre les vols."

    Pourtant, l'administration Obama n'a fait aucune demande pour les compagnies aériennes américaines et des vols gouvernementaux, malgré le Centre de contrôle des maladies de conseiller les Américains à éviter "voyage non essentiel" au Libéria, en Sierra Leone et la Guinée, il y a quelques semaines.

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  23. Obama dit qu'il a une énorme quantité de confiance dans la «recherche exhaustive» dans nos aéroports.

    Serait-ce le même "vérifications approfondies" que certains employés de CNN a récemment connu ? ...

    Correspondant de CNN médical principal Elizabeth Cohen a dit quand elle et deux collègues récemment rentré de signaler au Libéria, ils ont obtenu un sac mélangé des réponses agents des douanes et de protection des frontières.

    "Nous avons tous dit que nous étions des journalistes qui venait d'être au Libéria couvrant Ebola", a déclaré Cohen. "Un de mes collègues a été dit, 'Oh, OK, bienvenue à la maison, monsieur» - et (était) il suffit de laisser en - c'est tout. "

    Cohen se obtenu une réponse différente.

    «On m'a dit," Attendez une minute, je pense que j'ai reçu un courriel à ce sujet, »et l'agent de la patrouille frontalière allé consulté ses collègues», a déclaré Cohen.

    Cet officier lui a dit plus tard, elle doit vérifier son système pendant 21 jours.

    "J'ai dit, 'Que dois-je être vérifié ? Et il n'était pas sûr ", a déclaré Cohen.
    Et même si elle a déjà été démontré que quelqu'un de l'Afrique de l'Ouest peut apporter Ebola plus aux États-Unis sur un avion, les autorités dans tout le pays semblent se contenter de procéder à des affaires comme d'habitude.

    Par exemple, selon Fox Nouvelles, les étudiants de l'Afrique de l'Ouest » peuvent être soumis à des contrôles supplémentaires pour la santé ".

    Ou ils ne pourraient pas.

    Pas grand-chose, non ?

    Après tout, si un ou deux cas d'Ebola ne surgissent, nos autorités de santé peuvent facilement prendre soin de la situation comme disent les experts.

    Droite ?

    La vérité est que nous ne parlons pas de la rougeole ou la grippe ici. Nous parlons de l'une des maladies les plus meurtrières jamais connues de l'humanité.

    Je pense que John Little résumé ce que nous sommes potentiellement confrontés très bien ...

    Quand vous regardez de près ce virus, il est difficile de voir une raison d'être optimiste. Il est vraiment l'un des virus les plus horribles connues de l'homme. Il est massivement contagieux. Il possède un taux de survie très bas. Ceux qui survivent meurent souvent plus tard - de l'échec organe, en raison des dommages internes massifs ce virus provoque de même ceux qui survivent.
    Donc, ces experts de mieux-être raison.

    Il faut qu'ils soient en mesure d'arrêter ce virus comme ils disent.

    Parce que sinon, ils vont devoir faire face à des millions d'Américains qui sont très en colère qu'ils se sont menti.

    http://endoftheamericandream.com/archives/dont-worry-10-quotes-from-health-experts-promising-that-ebola-will-not-be-a-problem-in-america

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  24. Des corps dépourvus d’organes découverts en Ukraine

    Rédaction en ligne Natalia Kovalenko
    Par La Voix de la Russie

    Des extractions d’organes ont été illégalement effectuées dans l'Est de l'Ukraine. Des corps dépourvus organes ont été découverts dans les charniers du Donbass. L'information a été confirmée par des observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) en Ukraine. Une commission spéciale avec la participation d'experts internationaux doit être créée pour enquêter sur les causes et les circonstances du prélèvement d'organes.
    Les fouilles actuellement menées dans le Donbass, autrefois région houillère de l'Ukraine, n'ont rien à voir avec le charbon. En quelques semaines, depuis la conclusion d'une trêve entre Kiev et les miliciens dans l'Est de l'Ukraine, plusieurs fosses communes ont été découvertes dans la zone occupée par les unités de la Garde nationale. Des corps d'hommes et de femmes, habillés et nus, ligotés et avec des traces de balles, ont été jetés dans des fosses et légèrement recouverts de terre. Pour l'heure, on en a recensé plus de 400.
    Quand les autorités des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk ont procédé à l'exhumation, des détails encore plus horribles des crimes perpétrés par les militaires ukrainiens ont été découverts. Des cadavres ont été retrouvés dans lesquels il n'y avait pas d'organes à l’intérieur.
    Madina Djarboussynova, déléguée de l'OSCE pour la lutte contre le trafic d'êtres humains, a confirmé cette information à la télévision ukrainienne. Elle a déclaré que la situation demandait une enquête soigneuse avec la participation d'experts internationaux. Selon l'expert de l'Institut du slavisme de l'Académie des sciences de Russie Alexandre Karassev, les représentants de l'organisation occidentale réputée n'excluent pas une activité de « transplantations au noir » en Ukraine :
    « La même chose a eu lieu pendant le conflit entre les Serbes et les Albanais en ex-Yougoslavie. Des Albanais ont effectué des «transplantations au noir», prélevant des organes des prisonniers serbes pour les vendre en Europe. Il y a eu un scandale international retentissant. Mais l'affaire a été pratiquement étouffée. Parce que le trafic a été dirigé par Hashim Thaci, devenu Premier ministre de la République du Kosovo partiellement reconnue ».
    L'Ukraine approvisionne depuis longtemps le marché noir des organes humains d'Europe et d'Amérique. Il suffit de lire les annonces sur des sites locaux. Les donneurs sont recherchés parmi les Ukrainiens les plus démunis. Et on en trouve. Mais il faut les payer. Ainsi on propose actuellement 200 000 euros pour un rein. Un conflit militaire offre la possibilité de rendre le trafic plus lucratif.

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  25. En Ukraine ce n'est pas le premier scandale lié au trafic d’organes humains. En été, alors que l'opération punitive battait son plein, des corps sans organes ont été découverts pendant l’enterrement de soldats ukrainiens tués dans l'Est. Ensuite la correspondance entre Sergueï Vlassenko, avocat de Ioulia Timochenko, et la doctoresse allemande Olga Wieber a été mise en ligne. Elle portait sur la vente d’organes de conscrits ukrainiens dans des cliniques d'Allemagne. Il y avait même une commande concrète de 17 coeurs, de 50 reins et de cinq poumons. Il a été demandé de prélever les organes sur des hommes vivants, et non morts. Sinon, « la marchandise était de mauvaise qualité ».

    L'Ukraine s’est mise en colère. Kiev a nié la possibilité même de tels crimes sur la ligne du front et a promis d'ouvrir une enquête pour calmer la population, rappelle l'expert de l'Institut international d'études politico-humanitaires Vladimir Broutter :

    « Dès le début, quand les premières informations ont paru, la société a exigé de créer une commission spéciale près le ministère de la Défense d'Ukraine. L'instruction devait être menée d'abord à l'intérieur du pays. Mais cela n'a pas été fait étant donné la situation politique. L'instruction a été confiée à ceux qui dirigeaient directement l'opération militaire ».

    Et voilà le résultat. Les militaires remettaient les habitants des territoires occupés du Donbass qu'ils avaient faits prisonniers dans les mains de chirurgiens-bouchers. Ceux-ci exécutaient des commandes. Les gens mutilés mais vivants ont été abattus d'une balle dans la tête. Et ce n'est pas l'unique confirmation du fait que le marché noir de la transplantation tournait à plein dans l'Est de l'Ukraine. Les miliciens prenaient souvent comme butin de guerre des hôpitaux mobiles dotés d'instruments chirurgicaux et d'outils médicaux spécifiques. Etrange coïncidence, mais on constatait dans les alentours un grand nombre d'habitants disparus dont on ne sait rien jusqu'à présent. /N

    http://french.ruvr.ru/2014_10_01/La-transplantologie-noire-en-Ukraine-5611/

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  26. Clapper sous le bus

    Par Andrew P. Napolitano
    2 octobre 2014

    Lorsque le président Obama a attribué la hausse de l'Irak de l'Etat islamique, ou ISIS, les échecs de la communauté du renseignement des États-Unis plus tôt cette semaine, le nommage et de blâmer directement le directeur national du renseignement James Clapper général, il tentait de détourner les critiques de sa propre incompétence. Il a discuté du fait que ISIS, juste sous sa propre et le nez du général, a pris le contrôle de près de la moitié de la masse terrestre de l'Irak. C'est la même chose en Irak que les Etats-Unis soi-disant libéré de l'emprise d'un dictateur, renforcées en tant que puissance militaire régionale et fortifiés comme la plus jeune démocratie du Moyen-Orient à la suite de notre invasion en 2003 et notre occupation subséquente de 10 ans.

    Beaucoup de ceux qui a soutenu la guerre réaliser alors maintenant que nous avons été dupés par une administration trompeuse et à courte Bush qui cherchait à rejeter le blâme pour ses échecs du renseignement de 9/11, pour qui, contrairement à l'invasion japonaise de Pearl Harbor, pas un seul humainêtre dans le gouvernement fédéral a été accusé de rien. Mais c'est un sujet pour un autre jour.

    ISIS capturé Falloujah et Ramadi, deux grandes villes de l'Irak, il ya huit mois. Certes, le président savait que quand c'est arrivé. Il reçoit une intelligence informer tous les jours; le plus souvent, il préfère un briefing écrit plutôt que celui où lui et ses briefers peut concentrer sur les zones à problèmes dans une conversation en face-à-face. Pourtant, depuis la prise de contrôle Février de l'équivalent irakien de Chicago et Los Angeles, le président a dit au peuple américain que ISIS est Junior Varsity et il n'avait pas de plans pour y faire face, et il ne semblait pas s'en soucier jusqu'à ISIS a sur sa tête , pour ainsi dire, et décapité deux innocentes jeunes Américains et posté des vidéos macabres de leurs meurtres horribles sur Internet.

    Si le président estime maintenant nous devons nous battre ISIS parce qu'il a tué deux Américains et vanté, il se méprend malheureusement son travail, qui est de préserver, protéger et défendre la Constitution, pas tous les Américains partout sur la planète. S'il est convaincu ISIS constitue une menace imminente pour la liberté des Américains et la sécurité de notre pays, il est difficile de croire que ces deux meurtres seul l'ont amené à cette conclusion. Croit-il vraiment que 25.000 mal équipés fanatiques 10,000 miles d'ici,sans marine ou armée de l'air, pourrait éventuellement être un danger clair et présent aux États-Unis ? Et s'il le fait, quand et comment est-il revenu à cette croyance si son équipe de l'intelligence lui manquait ?

    Ces questions sont d'une importance profonde pour le peuple américain, car avec chaque jour qui passe, il semble que le président est plus indifférent aux faits autour de lui et moins compétents à tirer les leviers du gouvernement. Pourtant, il envoie des troupes américaines en danger pour une mission à long terme mal défini, sans l'autorisation du Congrès comme la Constitution l'exige.

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  27. C'est là que sa condamnation de Clapper intervient. Clapper est l'officier supérieur du renseignement au sein du gouvernement fédéral. Tous nos espions civils, nationaux et étrangers, rapportent indirectement à lui. Son travail consiste à voler et garder des secrets dans les limites de la Constitution, qui lui, comme le président, a juré de défendre.

    Pourtant Clapper et ses espions sont plus l'intention de l'espionnage sur le peuple américain que sur les étrangers qui ont publiquement vantés - mais irréalistes leurs vante peut-être - qu'ils vont nous causer du tort. C'est, après tout, la même Clapper qui ont commis des crimes afin d'isoler ses espions domestiques de l'enquête du Congrès légitime quand il a nié sous serment que le gouvernement américain a été l'acquisition des quantités massives de données privées de centaines de millions d'Américains.

    Il a fait que refuser à un comité du Sénat, alors qu'il savait que ses espions à la NSA faisaient. Lorsque ses mensonges sont devenus apparents, le comité du Sénat devant lequel il s'est parjuré - et dont les membres savait qu'il mentait au moment de ses mensonges - lui a donné l'occasion de se corriger, et il a refusé de le faire. Pour avoir menti sous serment et en refusant de corriger ses déclarations, Obama aurait dû lui tiré.

    Mais le président laissé passer des mensonges publics de son maître espion et est allé sur le programme plus regardée de la télévision cette semaine et accusé publiquement de ne pas Clapper privé d'informer le président de quelque chose que le président devait être au courant: l'avance ISIS sur les centres de population irakienne.

    Cette guerre nous entrons est illégale parce que nous avons envahi la Syrie sans une déclaration du Congrès de la guerre et sans base légale ou morale pour le faire. Il est moralement inacceptable parce ISIS est une menace imminente pour les Etats-Unis que dans l'esprit des membres du Congrès qui aiment la guerre, pas dans la réalité. Et il est aveugle à l'histoire récente, car il deviendra un outil de recrutement plus supérieure à ISIS que notre première invasion de l'Irak était pour al-Qaida. La seule raison pour laquelle al-Qaida et ISIS existent en Irak est que la résistance à l'invasion américaine et l'occupation, une invasion qui a considérablement nui à la liberté et à la sécurité des États-Unis et la stabilité de la région.

    Pourtant, si Clapper et ses espions si lamentablement échoué à éduquer le président de la menace qu'il prétend maintenant est réel, pourquoi ont-ils encore leur emploi? Ils ont leurs emplois parce que si le président les feux, ils pourraient parler librement la vérité, et la vérité est l'ennemi du président. Ils ont leurs emplois parce que le président est si mal à effectuer son.

    Reproduit avec la permission de l'auteur.

    http://www.lewrockwell.com/2014/10/andrew-p-napolitano/tossing-intelligence-under-the-bus/

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  28. Obama a inventé la «menace» Faux pour lancer la guerre contre la Syrie

    Par Daniel McAdams
    1 octobre 2014

    Il est devenu très clair, notamment grâce à l'excellent reporting et d'analyse par Glenn Greenwald et Justin Raimondo, que la menace "Khorasan groupe" utilisé comme prétexte pour le bombardement de la Syrie a été totalement fabriqué par le gouvernement américain. L'objectif était une tentative de légitimer ce qui serait autrement une attaque illégale des États-Unis.

    Dans la période précédant immédiatement le bombardement américain de la Syrie, des sources anonymes au sein du gouvernement des États-Unis ont commencé à fuir vers le obéissant corps de presse des États-Unis contes toujours plus fantastiques sur un nouveau groupe de terroristes qui étaient bien plus terrifiant que ISIS (que nous avions juste été dit était beaucoup plus terrifiante que al-Qaïda). Ce nouveau groupe, baptisé "Groupe Khorasan" par le gouvernement américain, a été déclaré par les autorités américaines d'afficher une «menace directe et imminente pour les Etats-Unis."

    Les grèves des États-Unis sur la Syrie contrecarrés une " attaque imminente "sur le territoire américain par le Groupe de Khorasan, l'administration américaine revendiquée, tel que rapporté par CNN.

    Pour le moment, comme les Etats-Unis attaqués Syrie, nous avons entendu presque rien sur ISIS, la raison à l'origine indiqué pour les grèves des États-Unis en premier lieu. L'administration américaine a dû frapper ISIS immédiatement ", avant que nous faire tuer ici à la maison», comme le sénateur Lindsey Graham a dit à l'époque.

    Pourtant, tout à coup la véritable menace était Khorasan, pas ISIS. Pourquoi donc ?

    Il est clair que les avocats de la Maison Blanche brûlaient l'huile de minuit à la recherche d'une certaine façon d'appliquer une feuille de vigne juridique à ce qui serait illégal en vertu du droit américain et international. Le président des États-Unis n'est pas autorisé à lancer une attaque militaire sans action du Congrès, sauf pour se défendre contre une attaque "imminente" aux Etats-Unis. Ce ne serait pas inclure ISIS, qui était occupé à prendre sur le territoire 6,000 miles de Washington, DC

    Ce qu'il faut faire? Inventer une attaque. Et c'est ce que l'administration a fait. Mais dès que les bombes sont tombées, l'histoire a dû changer très rapidement une fois de plus. Et il l'a fait.

    Écrit Greenwald:

    Mais une fois qu'il a atteint son but de justifier le début de la campagne de bombardement en Syrie, le récit Khorasan tout simplement évaporé aussi rapidement qu'il matérialise. Littéralement ... dans quelques jours, nous sommes passés de «peut-être dans sa phase finale de la planification de son attaque" (CNN) pour «complot comme« ambitieux »et« il ne semble pas encore y avoir un plan concret dans les œuvres »(NYT ). ... Encore plus remarquable, il s'avère l'existence même d'un véritable «groupe Khorasan» était dans une certaine mesure une invention du gouvernement américain. [Richard] Engel de NBC, le lendemain de son rapport sur ??les allégations du gouvernement américain sur le groupe pour les Nouvelles Nocturnes , semblait avoir des doutes sérieux quant à l'existence du groupe, gazouille que «les militants syriens qu'ils n'ont jamais entendu parler de Khorasan ou son chef. »

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  29. Le président Obama et son administration ont menti aux États-Unis dans une guerre contre la Syrie, tout autant que l'administration Bush a menti en nous une guerre contre l'Irak. Étaient les médias américains ne encore tout aussi compatible avec le gouvernement américain comme ils l'avaient été en 2002, ils seraient tous sur cette histoire.

    Combien de personnes ont été dupé une fois de plus en soutenant l'action militaire des États-Unis sur la base gouvernement américain se trouve médiatisé par les grands médias US ? Cette fois, on nous a dit, nous avons eu à croire l'administration américaine. Nous devions agir ! Et encore une fois, ils ont menti.

    L'idée que nous avons un média américain indépendant agissant comme un chien de garde pour le bien commun est l'un des plus grands mythes de notre temps.

    http://www.lewrockwell.com/2014/10/daniel-mcadams/using-a-fake-threat-to-justify-aggression/

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  30. Les scientifiques australiens prennent Gréement nombre climatique au faux réchauffement planétaire

    Par Martin Armstrong
    1 octobre 2014

    En Australie, les scientifiques ont été pris en flagrant délit en ajustant le nombre de prétendre le climat a été de se réchauffer. Soyons réalistes ici. Il y a des cycles naturels dans le climat. Comment l'Age de glace s'est-elle terminée avant sans voitures ? Devinez il doit avoir été beaucoup de vaches péter que l'Europe a déclarer vaches posé la deuxième plus grande menace pour l'environnement à côté des voitures. Garder une chose à l'esprit. Création d'une crise climatique signifie qu'ils obtiennent un financement. L'argent coule à eux pour enquêter sur ce qui n'existe pas.

    http://www.lewrockwell.com/2014/10/martin-armstrong/scientists-caught-red-handed/

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  31. Dallas Ebola malade vomit en dehors de son appartement sur le chemin de l'hôpital

    Par Lisa Maria Garza
    DALLAS Jeu 2 octobre 2014 07h02 HAE

    DALLAS (Reuters) - Deux jours après, il a été renvoyé à la maison d'un hôpital de Dallas, l'homme qui est la première personne à être diagnostiqué avec le virus Ebola aux Etats-Unis a été vu vomir sur le sol à l'extérieur d'un complexe d'appartements, comme il a été embarqué de force dans une ambulance.

    Le cas Dallas Ebola, impliquant un homme qui a volé de nouveau aux États-Unis le mois dernier en provenance du Libéria, a suscité l'intérêt national sur la possibilité d'une propagation plus large du virus mortel de l'Afrique de l'Ouest, où au moins 3.338 personnes sont mortes dans la pire épidémie sur dossier.

    Responsables de la santé des États-Unis ont dit du système de santé du pays est bien préparé pour contenir toute propagation du virus Ebola grâce à un suivi attentif des personnes qui ont été en contact avec le patient et les soins appropriés pour les personnes admises à l'hôpital.

    "Toute sa famille hurlait. Il a obtenu à l'extérieur et il vomissait partout,« résident Mesud Osmanovic, 21, a déclaré mercredi, décrivant la scène chaotique avant que l'homme a été admis à l'hôpital du Texas Health Presbyterian le dimanche où il est dans un état grave.

    L'hôpital a cité la vie privée de l'homme en détresse que la raison pour ne pas l'identifier. Cependant, Gee Melish, qui a dit qu'il était un ami de la famille, a identifié l'homme comme Thomas Eric Duncan.

    Le New York Times a dit que Duncan, dans son milieu de 40 ans, a aidé à transporter une femme enceinte souffrant d'Ebola dans un hôpital au Libéria, où elle a été refusé pour des raisons d'espace. Duncan a aidé mettre la femme à la maison de sa famille et la porta dans la maison, où elle est décédée plus tard, a rapporté le journal.

    Quatre jours plus tard, Duncan est parti pour les Etats-Unis, le Times, citant les parents et les voisins de la femme.

    Responsables de la santé du Texas dit que jusqu'à 18 personnes, dont cinq enfants, ont été en contact avec le patient Ebola depuis son retour aux États-Unis à la fin Septembre. Les enfants étaient allés à l'école au début de cette semaine, mais ont depuis été renvoyés chez eux et soient suivis pour des symptômes.

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  32. Ebola se transmet par contact avec les fluides corporels tels que le sang ou la salive, que les experts de la santé disent limite son potentiel à infecter d'autres personnes, à la différence des maladies aéroportées.

    Pourtant, la longue fenêtre de temps avant que les signes patients présentent d'infection, tels que de la fièvre, des vomissements et de la diarrhée, signifie une personne infectée peut voyager sans détection.

    Compagnies aériennes et hôtels actions de la société ont fortement baissé sur les marchés américains mercredi sur les préoccupations que la propagation de virus Ebola en dehors de l'Afrique pourrait restreindre Voyage.

    Drugmakers avec des traitements expérimentaux Ebola dans le pipeline ont vu leur part augmenter.

    ACCUEIL ENVOYÉ

    Le patient Dallas avait initialement demandé un traitement à l'hôpital presbytérien de santé Texas jeudi soir dernier et a été renvoyé à la maison avec des antibiotiques plutôt que d'être observé plus loin, même si il a dit à une infirmière qu'il venait de rentrer de l'Afrique de l'Ouest. Le dimanche, il avait besoin d'une ambulance pour revenir dans le même hôpital, où il a été admis.

    Une infirmière a demandé sur le Voyage dans le cadre d'une liste de contrôle de triage et a été dit à ce sujet. "Malheureusement, cette information n'a pas été entièrement communiquée à l'ensemble des équipes complètes. En conséquence, toute l'importance de cette information n'a pas été pris en compte dans la prise de décision complet ", a déclaré responsable de l'hôpital du Texas Mark Lester.

    Experts des maladies infectieuses a déclaré que intervalle de temps représenté une occasion manquée critique qui peut avoir conduit les autres à être exposés au virus.

    Au complexe d'appartements, Osmanovic a dit qu'il a rencontré l'homme trois fois au cours des années où il rendait visite à sa famille. La plupart du quartier est du Libéria, de la Somalie ou le Soudan. Osmanovic est de la Bosnie.

    Le seul signe mercredi de la présence de la famille était quelqu'un de temps en temps tirant les rideaux blancs de jeter un regard sur dans le stationnement. Un agent de sécurité a bloqué l'entrée du complexe, avec des instructions que de laisser les résidents dans et hors.

    Dr Christopher Perkins, le comté de Dallas Santé et des Services directeur médical humain, a déclaré que sur les 18 personnes qui avaient été en contact, dont beaucoup étaient des «membres de la famille proche".

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  33. Les enfants entre eux "ne présentent pas de symptômes et donc les chances de les passer sur toute sorte de virus est très faible", a déclaré Mike Miles, Dallas Independent School District surintendant.

    Miles a déclaré que les quatre écoles différentes auxquelles ils ont assisté serait composé de professionnels et des groupes de santé supplémentaires resteraient en session.

    Autorités du Texas déclaré que les travailleurs de la santé qui ont pris soin du patient avaient jusqu'ici testé négatif pour le virus et il n'y avait pas d'autres cas suspects dans l'état. Le gouverneur du Texas Rick Perry lors d'une conférence de nouvelles, il était convaincu que le virus serait contenue, comme d'autres fonctionnaires.

    Bien que des cas d'Ebola dernières tués autant que 90 pour cent des victimes, le taux de mortalité de l'épidémie actuelle a été en moyenne d'environ 50 pour cent en Afrique de l'Ouest.

    Le patient est arrivé au Texas le 20 septembre, et a d'abord cherché un traitement six jours plus tard, selon les Centers for Disease Control américains. Le gouvernement libérien a déclaré que l'homme n'a montré aucun signe de fièvre ou d'autres symptômes d'Ebola quand il a quitté le pays le 19 septembre.

    Un officiel libérien dit l'homme a voyagé à travers Bruxelles aux États-Unis. United Airlines a déclaré dans un communiqué que l'homme prit un de ses vols au départ de Bruxelles à destination de l'aéroport de Dulles de Washington, où il a changé avions pour se rendre à Dallas-Fort Worth.

    Un porte-parole de Brussels Airlines, la seule compagnie à voler des services réguliers directs entre Bruxelles et Monrovia, a dit qu'il ne pouvait pas confirmer que le passager avait volé avec la compagnie.

    "Nous n'avons pas non plus été contactés par personne pour nous dire de prendre des mesures ou contactez passagers en raison d'un passager infecté voyager avec nous", a déclaré le porte-parole Geert Sciot.

    Séparément le mercredi, citant un "sentiment accru de sensibilisation du virus Ebola", le centre médical Queens à Honolulu, Hawaii, a déclaré qu'il traitait un patient en isolement.

    "A cette époque, l'histoire et la présentation clinique du patient ne semble pas être compatible avec le virus Ebola et le patient peut être diagnostiqué avec un certain nombre de conditions autres que le virus Ebola," a indiqué le communiqué.


    (Reportage additionnel par Jon Herskovitz à Austin, au Texas, Jeffrey Dastin à New York, Susan Heavey et Alphonse Toweh à Washington, David Lewis à Dakar et Robert-Jan Bartunek; Écrit par Grant McCool , édité par Michele Gershberg et Dominic Evans )

    http://www.reuters.com/article/2014/10/02/us-health-ebola-usa-idUSKCN0HP2F720141002

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  34. Données récemment publiées montrent que la Floride a été frappé avec plus haut niveau de matières radioactives de Fukushima à n'importe quel point dans le monde en dehors du Japon - n ° 1 sur plus de 1500 résultats d'essais - l'iode radioactif total a augmenté de 500% des montants déclarés

    Publié: Le 26 Septembre 2014, au 17h27 HE
    Par ENENews

    L'analyse des données provenant des stations de surveillance sensibles américains pour la Fukushima Dai-ichi accident de réacteur nucléaire, Journal of Environmental Radioactivity : [A] accident nucléaire majeur à Fukushima Dai-ichi nucléaire gare ... entraîné une violation de l'intégrité du combustible nucléaire et la libération des produits de fission radioactifs dans l'environnement.

    Les produits de fission ont commencé à arriver aux Etats-Unis par transport atmosphérique le 15 Mars 2011 ... des concentrations d'activité de l'atmosphère de l'iode 131 ont atteint des niveaux de 3 x 10 ^ - 2 Bq / m ³ [30592 microBq / m³] à Melbourne, Floride. Le noble gaz 133Xe atteint des concentrations d'activité atmosphériques à Ashland, KS de 17 Bq / m³ ... [Ces niveaux] étaient bien au-dessus de la capacité de détection des systèmes de surveillance des radionucléides dans le Système de surveillance international [IMS] du traité nucléaires interdiction complète des essais [OTICE] ... il est à noter que les stations non-IMS situés à Richland, WA détecté l'événement un jour plus tôt que tous les autres systèmes dans le réseau américain IMS ...

    Les détections d'iode présentés dans ce manuscrit sont uniquement représentatifs de l'iode activité atmosphérique particulaire concentration. Il est reconnu que l'iode en phase gazeuse n'a pas été recueilli par filtration aérosol [qui] serait utile d'évaluer l'événement et pour quantifier la concentration de l'activité totale de l'iode radioactif atmosphérique.

    Selon remarques incluses avec les données de l'OTICE a récemment publié par le Comité scientifique des Nations Unies sur les effets des rayonnements ionisants , le total de l'iode 131 dans l'air était de 500% du montant indiqué.

    OTICE particules données de surveillance de l'air (fichier xls), Juillet 2014: Le PTS [Secrétariat technique provisoire] se émis un certain nombre de commentaires et de mises en garde sur les données: ... «Depuis les stations du SSI utilisent des filtres en papier pour recueillir les radionucléides de particules dans l'air , une partie de l'iode sous forme gazeuse traverse le filtre facilement. Il est estimé que seulement 20 à 50% de l'iode total (toutes formes) a été recueilli dans les échantillons ".

    Sur les plus de 1500 mesures dans les données de l'OTICE prises depuis Fukushima ont commencé, l'iode-131 niveaux détectés en Floride était le plus élevé de n'importe où dans le monde en dehors du Japon. Floride a également enregistré 4 des 10 plus grandes mesures quotidiennes.

    Avant de l'ONU a fait ce public de données, un rapport ENENews d'Avril 2011 a noté que pour la date précise du 22 Mars, la Floride a enregistré la plus I-131 niveau d'une station de surveillance de l'OTICE dans le monde. Voir: Melbourne, Floride avait valeur la plus élevée de l'iode-131 d'une station de surveillance de l'OTICE dans le monde de Mars 22-23 (CHART)


    http://enenews.com/newly-released-data-shows-florida-hit-highest-level-radioactive-material-fukushima-anywhere-world-japan-1-list-1500-measurements-actual-amount-air-500-amount-reported

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    1. Le vent porteur (Jet Stream) qui vient de l'Est de la Russie/Mer du Japon/Japon/océan Pacifique arrive en Amérique du Nord (Canada/USA/Nord Mexique et traverse l'Atlantique. Donc, la Floride est bien sur la trajectoire des particules radioactives qui se déposent et s'accumulent au fil des jours depuis le 11 Mars 2011.

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  35. Déconstruire le Nouvel Ordre Mondial



    Luis Miranda le vrai programme
    le 2 octobre 2014


    Par Michel Chossudovsky


    En ces temps économiques sans précédent, le monde connaît dans son ensemble ce que la plupart du monde non industrialisé a connu au cours des dernières décennies.

    Pour comprendre le rôle de ces organisations internationales jouent aujourd'hui, poussée à la ligne de front et donné le pouvoir et la portée sans précédent que jamais à gérer la crise économique mondiale, il faut comprendre à partir de quand ils sont venus.

    A onze heures, le matin du 11 Septembre, l'administration Bush avait déjà annoncé que Al-Qaïda était responsable des attentats du World Trade Center (WTC) et le Pentagone. Cette affirmation a été faite avant la tenue d'une enquête approfondie dans la police.

    Le même soir, à 21h30, un "cabinet de guerre" a été formé intégré par un certain nombre de haut intelligence et de conseillers militaires. Et à 23h00, à la fin de cette rencontre historique à la Maison Blanche, la "guerre contre le terrorisme» a été officiellement lancé.

    La décision a été annoncée à la guerre contre les talibans et Al-Qaïda en représailles pour les attaques 9/11. Le lendemain matin, le 12 Septembre, les titres de l'actualité de manière indélébile souligné "le parrainage de l'Etat" des attaques 9/11. En chœur, les médias américains ont appelé à une intervention militaire contre l'Afghanistan. À peine quatre semaines plus tard, le 7 Octobre, l'Afghanistan a été bombardé et envahi par des États-Unis troops.Americans ont été amenés à croire que la décision d'entrer en guerre avait été prise sous l'impulsion du moment, dans la soirée du 11 Septembre, dans réponse aux attaques et leurs conséquences tragiques.

    Peu le public ne réalise qu'une grande guerre de théâtre de l'échelle n'est jamais planifié et exécuté dans une affaire de semaines. La décision de lancer une guerre et envoyer des troupes en Afghanistan a été bien pris en avance de 9/11. Le «terroriste massive, cas de dommages-production», comme il a été décrit plus tard par le commandant du CENTCOM, le général Tommy Franks, a servi à galvaniser l'opinion publique en faveur d'un programme de guerre qui était déjà dans sa phase finale de planification.

    Les événements tragiques du 9/11 à condition que la justification requise pour mener une guerre pour des «raisons humanitaires», avec le plein appui de l'opinion publique mondiale et l'approbation de la «communauté internationale».

    Plusieurs éminents intellectuels «progressistes» ont fait un cas de "représailles contre le terrorisme", pour des raisons morales et éthiques. La doctrine militaire «juste cause» (jus ad bellum) a été acceptée et confirmée à la valeur nominale comme une réponse légitime à 9/11, sans examiner le fait que Washington avait non seulement soutenu le «réseau de la terreur islamique", il a également contribué à l'installation du gouvernement taliban en 1996.

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  36. Dans le sillage de 9/11, le mouvement anti-guerre était complètement isolé. Les syndicats et les organisations de la société civile avaient avalé les mensonges des médias et de la propagande du gouvernement. Ils avaient accepté une guerre de représailles contre l'Afghanistan, un pays pauvre de 30 millions de personnes.

    J'ai commencé à écrire sur la soirée du 11 Septembre, tard dans la nuit, en passant par des tas de notes de recherche, que j'avais déjà recueillies sur l'histoire d'Al-Qaïda. Mon premier texte intitulé «Qui est Oussama Ben Laden?", Qui a été achevé et d'abord publié en Septembre le 12. (Voir le chapitre II.)

    Dès le début, j'ai interrogé l'histoire officielle, qui décrit dix-neuf pirates de l'air d'Al-Qaïda sponsorisés impliqués dans une opération très sophistiquée et organisée. Mon premier objectif était de révéler la vraie nature de cette «ennemi de l'Amérique» illusoire, qui a été «une menace pour la patrie».

    Le mythe de «l'ennemi extérieur» et la menace de «terroristes islamiques» était la pierre angulaire de la doctrine militaire de l'administration Bush, utilisée comme un prétexte pour envahir l'Afghanistan et l'Irak, pas à XII "guerre contre le terrorisme» de l'Amérique mentionner l'abrogation de la fonction libertés et l'État de droit en Amérique.

    Sans un «ennemi extérieur», il ne pouvait être «guerre contre le terrorisme". L'ordre du jour de la sécurité nationale entier s'effondrerait "comme un jeu de cartes". Les criminels de guerre haut n'auraient aucun argument valable.

    Il était donc crucial pour le développement d'un mouvement des droits anti-guerre et civils cohérente, de révéler la nature d'Al-Qaïda et évolution de sa relation aux administrations américaines successives.

    Amplement documenté mais rarement mentionné par les médias grand public, Al-Qaïda était une création de la CIA datant de la guerre soviéto-afghane. C'était un fait connu, corroborés par de nombreuses sources, y compris les documents officiels du Congrès américain. La communauté du renseignement a maintes et maintes fois reconnu qu'ils avaient effectivement pris en charge Oussama ben Laden, mais que, dans le sillage de la guerre froide: "il se tourna contre nous".

    Après 9/11, la campagne de désinformation des médias n'a pas seulement servi à noyer la vérité, mais aussi de tuer beaucoup de la preuve historique sur la façon dont cette illusoire «ennemi extérieur» a été fabriqué et transformé en "ennemi numéro un".

    La connexion Balkans

    Mes recherches sur les Balkans menée depuis le milieu des années 1990 m'ont permis de documenter de nombreux liens et les connexions entre Al-Qaïda et l'administration américaine. L'armée américaine, la CIA et l'OTAN avait soutenu Al-Qaïda dans les Balkans. L'objectif de Washington était de déclencher un conflit ethnique et de déstabiliser la fédération yougoslave, d'abord en Bosnie, puis au Kosovo.

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  37. En 1997, le Comité du Parti républicain (RPC) du Sénat américain a publié un rapport détaillé qui a accusé le président Clinton de collaborer avec le «Réseau militant islamique" en Bosnie et en travaillant main dans la main avec une organisation liée à Oussama ben Laden. (Voir le chapitre III.) Le rapport, toutefois, n'a pas été largement diffusé. Au lieu de cela, les républicains ont choisi de discréditer Clinton pour sa liaison avec la Maison Blanche stagiaire Monica Lewinsky.

    L'administration Clinton avait également fourni un soutien clandestin à l'armée de libération du Kosovo (UCK), un groupe paramilitaire soutenu par Al-Qaïda, qui a été impliqué dans de nombreuses attaques terroristes. La Defense Intelligence Agency (DIA) et Intelligence Service de Grande-Bretagne, plus communément connu comme le MI6, avec d'anciens membres du 22e Régiment Air Services spéciaux de la Grande-Bretagne (SAS), assuraient la formation de l'UCK, en dépit de ses nombreux liens avec le crime organisé et la drogue commerce. Pendant ce temps, connu et documenté, plusieurs agents d'Al-Qaïda avaient intégré les rangs de l'UCK.

    Dans les mois qui ont précédé 9/11, j'ai été activement impliqué dans la recherche sur les attaques terroristes en Macédoine, menées par l'armée autoproclamée de libération nationale (ALN) de Macédoine, une armée paramilitaire intégré par les commandants de l'UCK. Al-Qaïda Mujahideen avait intégré la NLA.Meanwhile, les officiers supérieurs militaires américains d'une société privée de mercenaires sous contrat pour le Pentagone conseillaient les terroristes.

    A peine quelques mois avant 9/11, des conseillers militaires américains ont été vus se mêlant à des agents d'Al-Qaïda dans la même armée paramilitaire. À la fin de Juin 2001, les dix-sept "instructeurs" américains ont été identifiés parmi les rebelles se retirent. Pour éviter l'humiliation et les médias diplomatique embarras de militaires supérieurs américains capturés avec des «terroristes islamiques» par les forces armées macédoniennes, les États-Unis et de l'OTAN fait pression sur le gouvernement macédonien pour permettre aux terroristes de l'ALN et de leurs conseillers militaires américains à évacuer.

    La preuve, y compris les déclarations du Premier ministre macédonien et les rapports de presse sur la Macédoine, a sans équivoque des États-Unis a continué soutien clandestin aux «brigades islamiques» dans l'ex-Yougoslavie. Ce n'était pas le cas à l'époque révolue de la guerre froide, mais en Juin 2001 à peine quelques mois avant 9/11. Ces développements, que je suivais sur une base quotidienne, immédiatement mis en doute dans mon esprit sur le site officiel 9/11 récit qui a présenté Al Qaïda comme le cerveau derrière les attaques sur le World Trade Center et le Pentagone. (Chapitre IV). Xiv "guerre contre le terrorisme» de l'Amérique

    Le mystérieux pakistanais général

    Le 12 Septembre, un mystérieux lieutenant-général, chef du renseignement militaire du Pakistan (ISI), qui, selon les rapports de presse des États-Unis "se trouvait à Washington au moment des attaques", a été appelé dans le bureau du sous-secrétaire d' Etat Richard Armitrage.

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  38. La «guerre contre le terrorisme» a été officiellement lancé à la fin dans la nuit du 11 Septembre, et Dick Armitage a été le Général Mahmoud Ahmad demandant d'aider l'Amérique "en allant après les terroristes». Le président pakistanais Pervez Musharraf était au téléphone avec le secrétaire d'Etat Colin Powell et le lendemain matin, le 13 Septembre, un accord global a été conclu entre les deux gouvernements.

    Bien que les rapports de presse ont confirmé que le Pakistan de soutenir l'administration Bush dans la «guerre contre le terrorisme», ce qu'ils ont omis de mentionner est le fait que l'intelligence militaire Pakistan`s (ISI), dirigée par le général Ahmad avait une relation de longue date pour le réseau terroriste islamique . Documenté par de nombreuses sources, l'ISI a été connu pour avoir soutenu un certain nombre d'organisations islamiques dont Al-Qaïda et les talibans. (Voir le chapitre IV.)

    Ma première réaction à la lecture de titres de l'actualité sur le 13 Septembre a été de se demander: si l'administration Bush était réellement engagé à éliminant les terroristes, pourquoi serait-il appel à Pakistan`s ISI, qui est connu pour avoir soutenu et financé ces organisations terroristes ?

    Deux semaines plus tard, un rapport du FBI, qui a été brièvement mentionné sur ABC Nouvelles, a souligné un «lien pakistanais" dans le financement des présumés terroristes 9/11. Le rapport ABC fait référence à un «argentier» pakistanais et «cerveau» derrière les 9/11 pirates de l'air.

    Les rapports ultérieurs en effet suggéré que le chef du renseignement militaire du Pakistan, le général Mahmoud Ahmad, qui avait rencontré Colin Powell le 13 Septembre 2001 avait prétendument ordonné le transfert de 100 000 dollars à la 9/11 meneur Mohammed Atta. Qu'est-ce que ces rapports ont suggéré, c'est que le chef du renseignement militaire du Pakistan n'était pas seulement en contact étroit avec de hauts responsables du gouvernement des États-Unis, il était aussi en assurant la liaison avec les pirates présumés.

    Mes écrits sur les Balkans et les connexions pakistanaises, publié en début Octobre 2001 ont été intégrés plus tard dans la première édition de ce livre. Dans ma recherche, j'ai tourné mon attention vers l'agenda stratégique et économique plus large des États-Unis en Asie centrale et au Moyen-Orient.

    Il existe une relation complexe entre guerre et la mondialisation. La «guerre contre le terrorisme» a été utilisée comme un prétexte pour conquérir de nouvelles frontières économiques et finalement établir le contrôle de l'entreprise sur de vastes réserves de pétrole de l'Irak.

    La campagne de désinformation

    Dans les mois qui ont précédé l'invasion de l'Irak en Mars 2003, la campagne de désinformation a en pleine vitesse.

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  39. Connu et documenté avant l'invasion, la Grande-Bretagne et les États-Unis fait un large usage de faux renseignements pour justifier l'invasion et l'occupation de l'Irak. Al-Qaïda a été présenté comme un allié du régime de Bagdad. "Oussama Ben Laden" et "armes de destruction massive" déclarations soient distribuées à profusion dans la chaîne de nouvelles. (Chapitre XI).

    Pendant ce temps, un nouveau cerveau terroriste avait émergé: Abou Moussab Al-Zarqaoui. Adresse historique de Colin Powell au Conseil de sécurité des Nations Unies, la «documentation» et détaillée sur une relation sinistre entre Saddam Hussein et Abou Moussab Al-Zarqaoui a été présenté, en mettant l'accent sur sa capacité à produire des armes biologiques et radiologiques produit chimique mortel, avec le plein appui et l'approbation du régime baasiste laïque.

    Une alerte terroriste Code orange a suivi dans les deux jours du discours de Powell au Conseil de sécurité des Nations Unies, où il avait été poliment repoussé par l'inspecteur de l'ONU sur les armes Dr Hans Blix.

    Realty a ainsi été tournée à l'envers. Les États-Unis n'était plus considéré comme la préparation à la guerre contre l'Irak. Irak se préparait à attaquer l'Amérique avec le soutien de «terroristes islamiques». Cerveau terroriste Al-Zarqaoui a été identifié comme le suspect numéro un. Les déclarations officielles ont souligné les dangers d'une attaque à la bombe radioactive sale aux États-Unis.

    L'objectif principal de la campagne de désinformation a continué dans le sillage de l'invasion américaine de 2003 Mars de l'Irak. Il a consisté à présenter le mouvement de la résistance irakienne comme «terroristes». L'image de «terroristes opposés à la démocratie" de défense des États-Unis "casques bleus" est apparu sur les écrans de télévision et les nouvelles tabloïds du monde entier.

    Pendant ce temps, les alertes terroristes code orange ont été utilisés par l'administration Bush de créer une atmosphère de peur et d'intimidation à travers l'Amérique. (Voir le chapitre XX.) La terreur des alertes ont également servi à détourner l'opinion publique des innombrables atrocités commises par les forces américaines dans les théâtres de guerre afghans et irakiens, sans parler de la torture systématique de soi-disant «combattants ennemis».

    Après l'invasion de l'Afghanistan, la torture des prisonniers de guerre et la mise en place de camps de concentration sont devenus une partie intégrante de la post 9/11 programme de l'administration Bush.

    Ensemble le cadre juridique avait été renversé. Selon le Département américain de la Justice, la torture était maintenant autorisée dans certaines circonstances. La torture dirigée contre des «terroristes» a été confirmée comme un moyen légitime de préserver les droits de l'homme et la démocratie. (Voir les chapitres XIV et XV). Dans une logique complètement tordue, le commandant en chef peut maintenant autoriser légitimement l'utilisation de la torture, parce que les victimes de torture dans ce cas sont dits «terroristes», que l'on dit d'appliquer systématiquement les mêmes méthodes contre les Américains.

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  40. Les ordres à la torture des prisonniers de guerre dans le camp de concentration de Guantanamo et en Irak dans le sillage de l'invasion de 2003 émanaient de plus hauts niveaux du gouvernement américain. Les gardiens de prison, les interrogateurs de l'armée américaine et la CIA ont réagi à des directives précises.

    Un système inquisitoire avait été installé. Aux États-Unis et la Grande-Bretagne la «guerre contre le terrorisme» est confirmé comme étant dans l'intérêt public. Quiconque remet en question ses pratiques-qui comprennent maintenant arrestations et détentions arbitraires, la torture d'hommes, de femmes et d'enfants, les assassinats politiques et les camps de concentration est susceptible d'être arrêté en vertu de la législation anti-terroriste.

    Le Londres 7/7 attentat à la bombe

    Un nouveau seuil dans la "guerre contre le terrorisme" a été atteint en Juillet 2005, avec les attentats à la bombe sur le métro de Londres, qui ont abouti tragiquement dans 56 décès et plusieurs centaines de blessés.

    Sur les deux côtés de l'Atlantique, le London 7 // 7 attaques ont été utilisés pour ouvrir la voie à de profondes mesures de l'Etat de police. La Chambre des représentants américaine a renouvelé la USA PATRIOT Act "de faire des pouvoirs sans précédent de la étatiques permanentes à enquêter sur les terroristes présumés». Républicains ont affirmé que les attentats de Londres ont montré "l'urgence et il était important de renouveler la loi."

    Une semaine à peine avant les attentats de Londres, Washington avait annoncé la formation d'un "service d'espionnage domestique», sous les auspices du FBI. Le nouveau département-à-dire essentiellement une "police secrète d'État" Big Brother -Est reçu le mandat de manière significative, ce "espionner les gens en Amérique soupçonnées de terrorisme ou ayant des informations d'intelligence critique, même si elles ne sont pas soupçonnées d'avoir commis un crime." nouveau service FBI n'est pas responsable devant le ministère de la Justice. Elle est contrôlée par la Direction du renseignement national dirigé par John Negroponte, qui a le pouvoir d'ordonner l'arrestation de "suspects de terrorisme".

    Pendant ce temps, dans le sillage des attentats de Londres 7/7, Home Office du Royaume-Uni, a été appelant à un système de cartes d'identité, comme une «réponse au terrorisme». Chaque citoyen britannique et résident seront tenus d'enregistrer des renseignements personnels, qui ira dans une base de données nationale géant, avec leurs données biométriques personnelles: "motif de l'iris de l'oeil", des empreintes digitales et des «traits du visage numériquement reconnaissables". Des procédures similaires ont été menées dans l'Union européenne.

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  41. Les criminels de guerre haut

    La législation anti-terroriste et la mise en place d'un État de police servent surtout les intérêts de ceux qui ont commis de nombreuses crimes de guerre et qui, autrement, ont été inculpées en vertu du droit national et international.

    Dans le sillage des attentats du 7/7 à Londres, les criminels de guerre continuent d'occuper des postes d'autorité légitime, qui leur permettent d'xviii "guerre contre le terrorisme» de l'Amérique redéfinir les contours du système judiciaire et le processus d'application de la loi. Ce processus leur a donné un mandat pour décider «qui sont les criminels», alors qu'en fait ils sont les criminels. (Chapitre XVI).

    De New York et Washington le 11 Septembre à Madrid en Mars 2004 et à Londres en Juillet 2005, les attaques terroristes ont été utilisés comme un prétexte pour suspendre l'ordonnance d'habeas corpus. Les gens peuvent être arbitrairement arrêtés en vertu de la législation anti-terroriste et placés en détention pour une durée indéterminée period.More généralement, dans tout le monde occidental, les citoyens sont marqués et étiquetés, leurs e-mails, conversations téléphoniques et les télécopies sont surveillés et archivés. Des milliers de caméras de télévision en circuit fermé, déployés dans les zones urbaines, sont chargés de contrôler leurs mouvements. Données personnelles détaillée est entré dans Big Brother géants des banques de données. Une fois que ce catalogue a été complété, les gens seront enfermés dans des compartiments étanches.

    La chasse aux sorcières n'est pas seulement dirigée contre présumés «terroristes» par le profilage ethnique, les différents droits de l'homme, l'action positive et les cohortes anti-guerre sont également l'objet de la législation anti-terroriste.

    La doctrine de la sécurité nationale

    En 2005, le Pentagone a publié un document important intitulé La Stratégie de défense nationale des États-Unis d'Amérique (NDS), qui esquisse les grandes lignes l'ordre du jour de Washington pour la domination militaire mondiale. Alors que la NDS suit les traces de la doctrine de guerre «préventive» de l'Administration, comme indiqué dans le Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC), il va beaucoup plus loin dans la définition des contours de l'agenda militaire mondiale de Washington. (Voir le chapitre XIX.)

    Considérant que la doctrine de la guerre préventive prévoit une action militaire comme un moyen de «légitime défense» contre les pays classés comme «hostile» aux États-Unis, la NDS 2005 va encore plus loin. Il prévoit la possibilité d'une intervention militaire contre les «pays instables» ou «pays en faillite», qui ne constituent pas visiblement une menace pour la sécurité des États-Unis.

    Pendant ce temps, le Pentagone avait déclenché une propagande importante et une campagne de relations publiques en vue de faire respecter l'utilisation des armes nucléaires pour la «défense de la patrie américaine" contre les terroristes et les ennemis voyous. Le fait que la bombe nucléaire est classé par le Pentagone comme "sûr pour les civils" à être utilisé dans les activités de lutte contre le terrorisme grandes frontières de l'absurde.

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  42. En 2005, l'US Strategic Command (STRATCOM) a établi "un plan d'urgence pour être utilisés en réponse à un autre 9/11 de type attaque terroriste". Le plan comprend des raids aériens sur l'Iran utilisant à la fois classique ainsi que des armes nucléaires tactiques.

    "Guerre contre le terrorisme» de l'Amérique

    Les dix premiers chapitres, avec quelques modifications et mises à jour, correspondent à la première édition de l'ouvrage publié en 2002 sous le titre Guerre et mondialisation: La vérité derrière Septembre 11 La présente édition étendu contient douze nouveaux chapitres, qui sont le résultat de la recherche entrepris à la fois avant ainsi que dans le sillage de l'invasion de l'Irak. (Parties III et IV.) Le séquençage de la matière dans les parties III et IV correspond à l'évolution historique de l'armée américaine après 9/11 et les programmes de sécurité nationale. Mon objectif principal a été de réfuter la version officielle et de révéler utilisant des preuves détaillées et la documentation-la vraie nature de la «guerre contre le terrorisme» de l'Amérique.

    La première partie comprend quatre chapitres le 11 Septembre, en se concentrant sur l'histoire d'Al-Qaïda et ses liens avec l'appareil de renseignement américain. Ces chapitres montrent comment les administrations successives ont soutenu et durable des organisations terroristes en vue de déstabiliser les sociétés nationales et créant de l'instabilité politique.

    Partie II des centres de guerre et la mondialisation intitulé sur les intérêts stratégiques et économiques sous-jacents de la «guerre contre le terrorisme».

    La partie III contient une analyse détaillée de la propagande de guerre et la campagne de désinformation, à la fois avant et à la suite de l'invasion de l'Irak.

    Partie IV intitulé Le Nouvel Ordre Mondial comprend un examen de préemption doctrine de guerre de l'administration Bush (chapitre XIX), une analyse détaillée de l'après-talibans stupéfiants commerce protégé par le renseignement américain, et un examen de la Commission 9/11 Rapport en se concentrant spécifiquement sur "Qu'est-il arrivé sur les avions dans la matinée du 9/11".

    Chapitre XX concentre sur le système d'alertes terroristes et leurs implications. Chapitre XXI suit avec un examen des procédures d'urgence qui pourraient être utilisés pour ouvrir la voie à la loi martiale qui conduit à la suspension du gouvernement constitutionnel. À cet égard, le Congrès américain a déjà adopté des procédures, qui permettent à l'armée d'intervenir directement dans la police civile et des fonctions judiciaires. Dans le cas d'une urgence nationale, par exemple, en réponse à une terreur prétendue attaque il ya clairement des dispositions définies, ce qui pourrait conduire à la formation d'un gouvernement militaire en Amérique.

    Enfin, le chapitre XXII se concentre sur les grandes implications des 7/7 Londres attaques de bombes, qui ont été suivies par l'adoption de mesures étatiques de police radicaux en Grande-Bretagne, l'Union européenne et l'Amérique du Nord.

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  43. La rédaction de ce livre n'a pas été une tâche facile. Le matériau est très sensible. Les résultats de cette analyse, qui creuse sous la surface dorée de la politique étrangère des États-Unis, sont à la fois gênant et inquiétant. Les conclusions sont difficiles à accepter parce qu'ils font à la criminalisation des échelons supérieurs de l'État. Ils confirment également la complicité des médias corporatifs en confirmant la légitimité de l'ordre du jour de la guerre de l'administration et des États-Unis de camoufler les crimes de guerre parrainés.

    Le monde est à un carrefour historique. Les États-Unis se sont embarqués dans une aventure militaire qui menace l'avenir de l'humanité. Comme nous mettons sous presse, l'administration Bush a laissé entendre dans des termes sans équivoque que l'Iran est la prochaine cible de la "guerre contre le terrorisme".

    L'action militaire contre l'Iran impliquerait directement la participation d'Israël, qui à son tour est susceptible de déclencher une guerre plus large au Moyen-Orient, sans parler d'une implosion dans les territoires palestiniens occupés.

    J'ai essayé au mieux de mes capacités à fournir des preuves et la documentation détaillée d'un processus politique extrêmement complexe.

    Les moyens de subsistance de millions de personnes dans le monde qui est en jeu. C'est mon espoir sincère que la vérité prévaudra et que la compréhension fourni dans cette étude détaillée servira la cause de la paix mondiale. Cet objectif, cependant, ne peut être atteint en révélant les mensonges derrière l'Amérique "guerre contre le terrorisme» et remettre en question la légitimité des principaux acteurs politiques et militaires responsables de vastes crimes de guerre.

    Pour un examen nuancé de la complexité du paysage politico-économique mondiale et les acteurs du pouvoir en son sein, ramasser votre copie de:

    Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d'économie (émérite) à l'Université d'Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), de Montréal et de l'éditeur du site de globalresearch.ca. Il est l'auteur de La Mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial (2003) et "guerre contre le terrorisme» de l'Amérique (2005). Son plus récent livre est intitulé Vers un scénario Troisième Guerre Mondiale: Les dangers de la guerre nucléaire (2011). Il est également un contributeur à l'Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues.

    La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial

    par Michel Chossudovsky

    http://www.thedailysheeple.com/deconstructing-the-new-world-order_102014

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  44. «Affaire interne»: Pékin met en garde les pays étrangers de ne pas se mêler à Hong Kong


    Octobre 02, 2014 12:34


    Le Ministre des Affaires étrangères de la Chine a clairement signifié que Pékin ne serait pas de permettre à d'autres pays de s'immiscer dans ses affaires intérieures »», répondant ainsi à l'appel du Secrétaire d'Etat américain pour Pékin d'accorder Hong Kong le "plus haut degré possible d'autonomie."

    Les chefs des bureaux américains et étrangers de la Chine ont échangé leurs points de vue sur les manifestations massives à Hong Kong avant leurs entretiens au Département d'État des États-Unis mercredi. " affaires de Hong Kong sont les affaires intérieures de la Chine ", a déclaré le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi." Tous les pays doit respecter la souveraineté de la Chine. Et c'est aussi un principe de base régissant les relations internationales. je crois que pour n'importe quel pays, pour n'importe quelle société, on ne permettra à ces actes illégaux qui violent l'ordre public . "

    Wang a ajouté qu'il croyait que les dirigeants actuels de Hong Kong a été en mesure pour gérer la grande échelle des sit-in par lui-même. Cette remarque a été faite après que le secrétaire d'Etat américain John Kerry a réitéré le soutien de Washington pour " suffrage universel "à Hong Kong, la demande principale avancée par les manifestants dans le centre financier de l'Asie. " Nous soutenons le suffrage universel à Hong Kong concordants avec la Loi fondamentale, et nous croyons en une société ouverte avec le plus haut degré possible d'autonomie et régie par la règle de droit est essentiel pour la stabilité et la prospérité de Hong Kong ", a déclaré Kerry. Wang Yi a reçu le même message de Barack Obama, qu'il a rencontré plus tard le même jour, selon un communiqué de la Maison Blanche à propos de la réunion. "

    Les Etats-Unis ont toujours soutenu le système ouvert qui est indispensable à la stabilité et à la prospérité de Hong Kong, le suffrage universel, et l'aspiration de la habitants de Hong Kong , "la déclaration. manifestants à Hong Kong ont été exigent la réforme électorale. Ils sont contre Août la décision du gouvernement central d'autoriser uniquement les candidats de Pékin approuvés courir pour le poste de chef de la ville à la prochaine élection en 2017.

    Massif de dimanche répression sur des milliers de manifestants, quand la police a utilisé des gaz lacrymogènes, spray au poivre et charges bâton n'a pas conduit à une dispersion de la foule. Ce qu'il n'a inspirer plus la colère avec le leader actuel de Hong Kong, Leung Chun-ying, des manifestants commencent à exiger sa démission. Mercredi, un des leaders des manifestations en faveur de réformes mis en garde les manifestants étaient prêts à occuper les bâtiments du gouvernement, si le chef de la ville ne pas démissionner avant la fin de jeudi.

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  45. Une source gouvernementale anonyme proche Leung dit le directeur général de Hong Kong est prêt à attendre des semaines pour les protestations se calment. " Sauf qu'il ya une situation chaotique, nous ne vous enverrons pas dans la police antiémeute ... Nous espérons que cela ne se produise pas , "a dit la source à Reuters. " Nous devons faire face à pacifiquement, même si elle dure des semaines ou des mois."


    Pékin a soutenu les autorités de Hong Kong et accusé les manifestants de faire glisser la ville dans le «chaos», comme peut être saisi d'un commentaire publié jeudi dans le Quotidien du Peuple, un porte-parole du gouvernement chinois. Elle a déclaré que l'état de droit doit être protégés " en vue de réaliser le développement sain de la démocratie et de la politique à Hong Kong, "tel que cité par AP. " Manipulation affaires sans suivre les lois, la société de Hong Kong sera dans le chaos. "


    La tension a éclaté dans les rues de Hong Kong jeudi après que la police a commencé transportant des boîtes et barils de munitions de bâtiments entourés par des manifestants.

    Les participants au rallye, irrités par les actions de la police, ont tenté de bloquer leur chemin. Les autorités de la ville ont publié une déclaration, exhortant les manifestants à se disperser rapidement. " Le gouvernement et l'appel de la police pour ceux qui se rassemblent devant le siège de la police, CGO [bureaux du gouvernement central] et chef de la direction [bureau du chef de la direction] de ne pas bloquer l'accès là-bas et à disperser dans le calme le plus tôt possible, "a indiqué le communiqué, cité par l'AFP.


    Les étudiants ont commencé leur sit-in sur 22 Septembre Dans quelques jours, ils ont été pris en charge par les dirigeants du mouvement Occupy centrale civile au sens large, tournant la protestation dans un des plus grands rassemblements de la ville depuis des décennies. hashtag #OccupyCentral a finalement allé virale en ligne avec parapluies, utilisées par les participants du rallye de se couvrir de gaz lacrymogène et spray au poivre devenir des symboles de la manifestation.

    http://rt.com/news/192404-china-us-internal-affairs/

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  46. Un mois pour arrêter le virus Ebola avant qu'il ne soit «totalement hors de contrôle» dit ONG de l'aide internationale


    Octobre 02, 2014 15:22


    L'International Rescue Committee (IRC), au nom de 34 ONG qui luttent contre le virus Ebola en Afrique de l'Ouest, a averti que le nombre de cas a doublé la plus ou moins toutes les trois semaines et le monde n'a que quatre semaines pour arrêter la crise d'échapper à tout contrôle.

    Les organisations humanitaires ont appelé à un plan en six points pour lutter contre le virus lors d'un sommet international organisé à Londres pour lutter contre l'épidémie.

    La charité Save the Children a mis en garde que cinq personnes sont infectées par le virus toutes les heures.

    L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé plus tôt cette semaine que plus de 3000 personnes sont mortes du virus Ebola si lointain en Afrique de l'Ouest. 6500 cas ont été officiellement enregistrés, mais le nombre réel devrait être beaucoup plus élevé, car de nombreuses victimes meurent pas signalés.

    Le «Vaincre Ebola conférence a débuté jeudi à Londres. Il mettra l'accent sur l'ampleur de la crise, juste après le Dr David Nabarro, dirige la réponse Ebola des Nations Unies, a déclaré que l'épidémie ne lui fait peur plus que soit les premières années du virus VIH et le SRAS.

    Sanjayan Srikanthan de l'IRC, s'exprimant au nom des organisations d'aide et des ONG comme Christian Aid et Oxfam, a déclaré aux délégués que le monde a une petite «fenêtre d'opportunité» à gauche pour arrêter la propagation de l'épidémie.

    «Chaque jour, nous tardons à décaisser des fonds aux pays touchés, plus il devient impossible de contenir la maladie. La communauté internationale a une fenêtre d'opportunité au cours des quatre prochaines semaines pour arrêter la crise de s'étendre complètement hors de contrôle. Pour ce faire, nous devons briser les taux de transmission et de stopper l'augmentation exponentielle des cas ", dit-il dans un communiqué préparé pour le sommet.

    Un porte-parole de l'OMS a déclaré que la transmission est encore très répandue en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone avec le nombre de nouveaux cas en forte augmentation dans plusieurs districts.

    Des trois, la situation en Sierra Leone est le plus "critique". Save the Children a déclaré que 765 nouveaux cas ont été signalés dans le pays la semaine dernière, mais il n'y avait que 327 lits disponibles "avec cinq personnes infectées chaque heure."

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  47. "Il nous faut une réponse internationale coordonnée qui assure centres de traitement sont construits et dotés immédiatement", a déclaré Justin Forsyth, Save chef de la direction de l'enfance, cité par les médias britanniques.

    Le plan en six points de l'IRC pour combattre l'épidémie d'Ebola est énoncé dans la déclaration préparé pour la conférence.

    Premier sur la liste est - sans surprise, étant donné que le virus Ebola a frappé dans certains des pays les plus pauvres du monde - plus d'aide financière. Le CEI a dit que seul un quart de la somme nécessaire a été commis jusqu'à présent et a exhorté les donateurs internationaux à accroître les dons et les remettre à l'appel de l'ONU dans les deux semaines.

    Deuxièmement, le personnel médical et de l'équipement. Beaucoup de centres de santé manquent de ressources pour diagnostiquer, isoler et traiter les patients par le virus Ebola, et de protéger les travailleurs de la santé.

    Srikanthan demande aussi plus de soutien militaire et civile que les agences d'aide n'ont pas assez de personnel pour faire face à la crise.

    «En tant que mesure de dernier ressort, nous appelons les gouvernements à libérer la capacité militaire de mettre en place les installations et les aider à gérer leur, afin d'accélérer le déploiement de bénévoles de services et organismes de santé», dit-il.

    Il a également appelé à l'aide pour mobiliser les communautés locales et pour les médias locaux dans les pays touchés par le virus Ebola aider "à réduire la transmission et dissiper les rumeurs et les malentendus sur le virus Ebola."

    Srikanthan demandé à la communauté internationale de venir avec un plan d'urgence et que 1 milliard de dollars que l'on estime est nécessaire pour répondre adéquatement à la crise de l'Ébola, est juste la somme qui couvrira le coût de la réponse dans trois des pays avec cas confirmés.

    Enfin, il a averti que les coûts indirects cachés d'Ebola sont plus encore et que "les ressources nationales sont détournés de répondre à l'épidémie, les systèmes de santé se sont effondrés. Maladies facilement curables et évitables réclament des centaines de vies ".

    http://rt.com/news/192628-ebola-scare-london-conference/

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