tag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post6459535228285024446..comments2024-03-28T12:29:25.314-07:00Comments on Le vert bavoir: Le désastre programmé des Départements Français d’Outre-Merhuemaurice5http://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comBlogger76125tag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-48081242101228331342017-02-21T23:50:23.602-08:002017-02-21T23:50:23.602-08:00Personnellement, je ne partage pas tout-à-fait cet...Personnellement, je ne partage pas tout-à-fait cet avis.<br /><br />'Trump tué/destitué' !! Imaginons aujourd'hui de nouvelles élections présidentielles: Trump obtiendrait les 80 % facile sinon plus (car ce ne sont pas les votes des politiciens ou des curés-journalistes qui vont faire du poids).<br /><br />Donc, (dans le cas le plus critique) il serait remplacé par... sa fille (qui a autant d'argent que son père). Élue haut la main.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-4364845318729231672017-02-21T23:49:54.645-08:002017-02-21T23:49:54.645-08:00Il reste que naturellement et évidemment la situat...Il reste que naturellement et évidemment la situation US constitue toujours, et plus que jamais désormais avec l'évolution de la Russie, le point central et le cœur de la crise. Il s'agit d'une véritable situation de convulsions, qui correspond bien à la crise du Système en l'opérationnalisant parfaitement. Les autres ne peuvent que s'y adapter à mesure de l'évolution des événements ; c'est ce que font les Russes, tout en grommelant avec juste raison contre l'irrationalisme et l'affectivisme triomphant chez les psychopathes de Washington qui tentent de faire tomber Trump. Si la situation se renversait à leur avantage avec un Trump retrouvant sa liberté de manœuvre, bien entendu ils suivraient ; quoi qu'il en soit, notre conviction reste bien que la crise du système de l'américanisme est quelque chose qui nous dépasse tous et dépasse toutes les habituelles occurrences de la politique générale.<br /><br />https://fr.sott.net/article/30075-Poutine-ne-sourit-plus-du-touthuemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-41477245834999771662017-02-21T23:49:38.178-08:002017-02-21T23:49:38.178-08:00Dans les conditions présentes et compte tenu des r...Dans les conditions présentes et compte tenu des récents développements, il y a des actes éventuels que les Russes n'accepteront pas ; comme par exemple, la livraison d'armements avancés et sophistiqués à l'Ukraine, notamment des missiles, comme cela semble être dans les projets du sénateur Graham (« 2017 is going to be "the year of kicking Russia in the ass" ») et dans ceux du sénateur McCain (vous pouvez avoir confirmation par téléphone en vous présentant à lui comme le nouveau président du Limpopo). Dans de tels cas, une action violente et expéditive de la Russie n'est nullement à écarter. Parmi les autres points de tension explosive, il faut noter les sites de missiles antimissiles en Roumanie et en Pologne. Nous en revenons aux scénarios potentiels du printemps-été 2014, avec l'élément très aggravant de la situation hautement volatile du bloc-BAO, - avec d'une part, la situation intérieure explosive des USA, avec d'autre part des élections également explosives en France, en Hollande et en Allemagne, avec la mise en cause de la politique d'accueil des réfugiés, et dans certains cas, des fondements de l'Europe intégrée elle-même.<br /><br />On voit que nous ne sommes pas vraiment dans une situation de confrontation où les choses sont assez simples mais dans une situation d'une sorte de "parallélisme crisique multiple", où plusieurs crises peuvent arriver parallèlement à une situation potentiellement explosive et incontrôlable. La Russie tend à retrouver son rôle de "défensive-offensive" qu'elle a si bien tenu entre 2013 et la mi-2016, mais beaucoup plus marqué dans le déploiement général que suscite la mécanique générale de l'effondrement du Système.<br /><br />(La Russie n'est pas là pour nous offrir une alternative au Système, même si elle tient un rôle antiSystème. Ce rôle antiSystème n'est que la conséquence de sa volonté de limiter les effets catastrophiques des évènements en cours sur sa situation, et aussi des facteurs principiels de tradition sur lesquels elle assoit sa politique. Pour le reste, elle ne peut faire que suivre les événements et observer l'effondrement en s'en protégeant le mieux possible, parce qu'elle n'a pas assez de puissance pour en modifier fondamentalement le cours. Mais c'est un fait objectif que cette attitude de raison, - sa résistance offensive, sa politique principielle, etc., - constitue, du point de vue du Système en cours d'effondrement, des causes objectives d'accroissement du désordre du Système : en ce sens objectivement antiSystème, la Russie, même si le but plus ou moins proclamé de l'un ou l'autre [Poutine] serait plutôt une régulation-stabilisation de la situation, c'est-à-dire, malgré tout, une re-stabilisation du Système laissant la Russie dans sa pleine souveraineté et dans sa complète indépendance.) huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-737578010413980632017-02-21T23:49:11.928-08:002017-02-21T23:49:11.928-08:00Du coup, les Russes et Trump, qui étaient sur la m...Du coup, les Russes et Trump, qui étaient sur la même ligne d'une recherche d'accommodement en novembre-décembre de USA-2016, se retrouvent séparés sans avoir démérité ni s'être chamaillés en aucune façon, par la seule dynamique des événements, avec des centres d'intérêt divergents. Les Russes ne veulent pas se trouver plus longtemps paralysés dans l'attente d'une maturation de l'administration Trump qui se heurte à de plus en plus d'obstacles. D'autre part, et par voie de conséquence de l'évolution que l'on a décrite plus haut, ils retrouvent dans les instances internationales des émissaires US porteurs sans imagination du message de verrouillage, de cette désormais classique non-politique absurde que l'on a connue depuis 2014 et le "coup de Kiev", construite sur les fantasmes antirusses développées sous l'empire de l'équipe Obama ; et, bien entendu, non-politique relayée avec un empressement nihiliste par des Européens plus que jamais en Panic Mode et repliés sur leur propre antirussisme ossifié (et, bien entendu, sans oublier l'OTAN, qui est de toutes les fêtes, justifiant ainsi son ontologie de l'inversion). Après Munich, les échotiers de la presseSystème nous ont rabâché que les dirigeants européens sont si stupidement soulagés de revoir des interlocuteurs US aussi stupides qu'eux-mêmes. Nul ne se doute que l'on ne fait là que touiller dans la même marmite qui continue à faire bouillir ses paroxysmes de vide et de néant.<br /><br />Ce qui est à envisager avec un haut degré de possibilité dans de telles circonstances, c'est sans aucun doute un durcissement des Russes, à l'image de Lavrov à Munich, qui ne s'est pas attardé à détailler les attraits du vide et du néant. Après les manœuvres qu'ils ont fait depuis que Trump est apparu, et avec l'exacerbation pathologique de l'antirussisme partout dans le bloc-BAO, de Washington D.C. à Bruxelles UE, on devrait trouver des Russes beaucoup moins conciliants qu'ils ne l'ont été jusqu'en 2015-2016, - car ils furent conciliants, en effet... Dans ces conditions, un redémarrage sérieux de la crise ukrainienne, comme cela est évoqué ces temps-ci, avec un basculement du paroxysme crisique du Moyen-Orient vers l'Europe centrale et de l'Est, pourrait effectivement être cette occasion du durcissement russe.<br /><br />La mesure annoncée dimanche concernant les citoyens des deux républiques du Donbass montre que lorsqu'on leur parle de "restituer" la Crimée, - idée absolument folle pour le côté russe, du président au dernier des citoyens, - la riposte se fait par un approfondissement des liens de la Russie avec les républiques du Donbass. (Sans parler de la Crimée, dont il n'y a plus rien à dire aujourd'hui puisqu'elle est russe et bien russe, - ainsi le voient les citoyens russes.) Dans ces conditions, une aggravation brutale de la crise ukrainienne, avec pression sur le Donbass, devrait voir la Russie se montrer beaucoup plus présente dans le Donbass qu'elle n'y est actuellement ; le risque est d'ailleurs assez minime pour elle, puisque, pour le bloc-BAO unanime, les Russes ont d'ores et déjà envahi le Donbass. Simplement, une invasion réelle, effectuée dans les règles de la guerre asymétrique que les Russes maîtrisent fort bien, pourrait réserver des surprises et susciter bien des poussées déstabilisatrices dans ce qu'il reste d' Ukraine et en Europe même. huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-77241155393657104172017-02-21T23:48:23.830-08:002017-02-21T23:48:23.830-08:00Mercouris : « Russia's recognition of document...Mercouris : « Russia's recognition of documents issued to their citizens by the Donetsk and Lugansk People's Republics stops well short of diplomatic recognition, but as well as having humanitarian considerations it appears intended as a warning to Merkel and the Europeans to take the settlement process of the Ukrainian conflict more seriously. The Russian authorities have taken another step towards granting de facto recognition to the authorities of the Donetsk and Lugansk People's Republics in eastern Ukraine by formally recognising the legal validity of the documents they issue to their citizens... [...] <br /><br />» At the same time recognition of the documents of the two People's Republics highlights a point the Russians have long been making, which is that the longer Kiev delays reaching a political settlement of the conflict, the further from Kiev's orbit the two People's Republics will go. In other words it is Kiev not Moscow that is driving the two People's Republics and their people away from Ukraine. <br /><br />» That was almost certainly a point Russian President Putin made during his furious call with German Chancellor Merkel ten days ago, and the timing of the Executive Order is obviously intended to emphasise the point. Since Putin and Merkel spoke to each other the fighting in eastern Ukraine has died down, though it has not stopped completely (it never does). There is currently a pick-up in diplomatic activity concerning Ukraine, including in the Merkel sponsored Normandy Four format, which Putin particularly criticised during his call to Merkel ten days ago. <br /><br />» The timing of the Executive Order appears intended to remind Merkel of that call, and to emphasise the fact that Moscow is perfectly capable of acting unilaterally if the diplomatic process continues to go nowhere. » <br /><br />Symptômes de "parallélisme crisique multiple" <br /><br />Rien n'est joué à Washington D.C. et rien ne le sera avant longtemps, si même le jeu se termine selon les règles et non pas, plus abruptement, par un retrait brutal des joueurs qui se détestent et qui ne voudraient plus respecter ces règles qui les tiennent et les contraignent dans un ensemble commun. Il faut noter que, pour son premier discours public depuis sa prise de fonction, à Melbourne, en Floride, Trump est resté cantonné sur l'aéroport de Melbourne, - où il y eut tout de même 9.000 personnes, - par mesure de sécurité, sur recommandation des services chargés de sa protection. Parallèlement, à Atlanta où se tenait un meeting pro-Trump, est apparue pour la première fois dans une telle occasion une nouvelle milice au statut incertain et à dimension nationale, III%SF ("Three-per-cent Security Forces", - dotée d'un site, et jusqu'ici sans que nous ne sachions rien de la signification de cette dénomination), qui avait dépêché un détachement d'une trentaine d'hommes armés de fusils d'assaut, pour la protection des partisans de Trump dans les règles constitutionnelles pour cette sorte d'organisation (voir ZeroHedge.com). Ces diverses précisions mesurent l'alourdissement constant du climat aux USA, où l'expression de "guerre civile" n'est plus tout à fait d'un emploi dérisoire. C'est pour cette raison, en mettant l'accent sur l'aspect fondamental pour lui (Trump) de sa situation intérieure, que nous jugeons que la situation extérieure, et par conséquent sa politique extérieure, sont par la force d'une logique contradictoire, tout à fait secondaires. huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-5389660316599748142017-02-21T23:48:02.602-08:002017-02-21T23:48:02.602-08:00» Lavrov is a career diplomat and a true gentleman...» Lavrov is a career diplomat and a true gentleman. But we've noticed a subtle change in his approach to U.S. bullshittery over the last two years. He rarely dances around issues anymore. Sure, he still refers to Washington as "our western friends" or "our American colleagues". But he doesn't hold back after that. <br /><br />» The crisis in Ukraine made it clear that Washington wanted blood. But the U.S.-led crimes against the people of Syria is what made Russia realize that they are not dealing with normal, reasonable people. Washington is a cabal of psychopaths. The war in Syria has also ushered in a new era: We are witnessing a seismic shift in how international relations are conducted. Russia and Iran just proved that fighting the bully works. And other countries have taken notice. » <br /><br />- Le deuxième événement du "19 courant", ce fut l'annonce de la reconnaissance par la Russie de la validité des documents officiels diffusés par les républiques autonomes du Donbass (passeports, actes de naissance, etc.). Officiellement, il s'agit d'une "reconnaissance humanitaire", pour favoriser et contrôler le flot de réfugiés de ces régions vers la Russie, justement à cause des attaques des forces de Kiev-la-folle. Le président ukrainien Porochenko apprit la nouvelle à la conférence de Munich, où il était invité parce que c'est un personnage stratégique de grande utilité, et il faillit s'étrangler avec la barre de chocolat-Porochenko qu'il était en train de siroter. Il apparut aussitôt pour une courte déclaration, où il dit qu'il s'agissait d'une épouvantable provocation de la part de Poutine, - encore lui, toujours lui... Ce en quoi, pour une demie-fois, Porochenko avait en partie raison : ce n'est pas par hasard si Moscou annonce la nouvelle au moment même où se tient la conférence de Munich, c'est au contraire pour qu'elle fasse le bruit qu'elle y fit. <br /><br />Pour Alexander Mercouris, il s'agit d'un avertissement direct que Poutine adresse à Merkel, à la suite d'un coup de téléphone furieux de Poutine à Merkel, il y a une dizaine de jours, au sujet du non-respect des accords de Minsk par Kiev-la-folle. (Aucun coup de fil à Hollande, bien trop préoccupé par la situation des droits de l'homme dans les banlieues attrayantes de la République.) Notre appréciation est qu'il s'agit d'un avertissement "pour tout le monde" ou "pour qui de droit", soit effectivement Merkel mais aussi les autres, et notamment, et même surtout de notre point de vue, les USA. (On n'apprécie guère à Moscou les déclarations US actuelles sur la Crimée, qui constituent un sujet sur lequel la Russie n'entend pas revenir une seule seconde.) huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-55461220597054547242017-02-21T23:47:38.123-08:002017-02-21T23:47:38.123-08:00- Dans ce domaine syrien, la réaffirmation par Tru...- Dans ce domaine syrien, la réaffirmation par Trump, lors d'un discours public le 18 février en Floride, de son projet de mettre en place des "zones de sauvegarde" en Syrie pour interrompre le flot des réfugiés, n'aide pas beaucoup à stopper cette dégradation des rapports. Pendant un temps, les Russes ont appuyé cette initiative qu'ils voyaient comme une des dispositions essentielles de l'accord informel avec les USA, mais ils devraient désormais être beaucoup plus prudents et plus fermes dans d'éventuelles conditions si malgré tout quelque chose se faisait. <br /><br />« The new president also voiced support for the creation of what he calls "safe zones" in Syria and the wider Middle East in general. "We are going to have the Gulf States pay for those safe zones," Trump told supporters at the event dubbed, "a campaign rally for America," by the White House. "Instead of peace, we see wars that never end and conflicts that never seem to go away. We don't fight to win; we fight politically correct wars," he noted. The US leader did not elaborate on the details of the proposed "safe zones", but noted that people should be able to "stay there and live safely in their cities" until their country is stabilized. "We've allowed thousands and thousands of people into our country and there was no way to vet those people, there was no documentation there was no nothing. So, we're going to keep our country safe," Trump promised. <br /><br />» The idea of creating so-called safe zones in Syria has previously been endorsed by Saudi Arabia, the United Arab Emirates, and Turkey.Moscow and Damascus oppose the initiative. »<br /><br />- Le premier événement du 19 février a donc été le discours de Lavrov à la conférence sur la sécurité de Munich (ex-Wehrkunde), qui se tient chaque année à cette époque. A côté d'un vice-président Pence et d'un secrétaire à la défense Mattis qui répétèrent l'habituel catéchisme antirusse et pro-OTAN du bloc-BAO, Lavrov s'est montré extrêmement offensif et tranchant, disant pratiquement à ses interlocuteurs du bloc-BAO : "Vous rêvez, tout ça c'est terminé"... Lavrov a précisé qu'il ne fallait plus envisager des relations internationales gérées par le bloc-BAO en complet chaos, que nous étions désormais entrés dans la période d'"un ordre mondial démocratique post-Occidental, où chaque pays se définira par sa souveraineté". En rapportant l'intervention du ministre russe, Rudy Panko, de Russia Insider note qu'il a parlé "en termes simples, de façon à ce que ses vis-à-vis américains puissent comprendre" ... <br /><br />« Sergei Lavrov phrased his comments in a very simple manner, so that his American counterparts could understand: Lavrov said that the time when the West called the shots was over and, dismissing NATO as a relic of the Cold War, added: "I hope that (the world) will choose a democratic world order - a post-West one - in which each country is defined by its sovereignty." Lavrov said Moscow wanted to build relations with Washington which would be "pragmatic with mutual respect and acknowledgement of our responsibility for global stability." huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-6755130611176633102017-02-21T23:47:10.052-08:002017-02-21T23:47:10.052-08:00Depuis, divers signes, - déclarations, commentaire...Depuis, divers signes, - déclarations, commentaires, décisions, — ont renforcé le sentiment qu'effectivement les Russes se trouvaient contraints de modifier leur attitude de "paralysie bienveillante" ; nous insistons sur le terme "contraints" car nous ne croyons pas que ce soit de gaieté de cœur que Poutine ait insufflé cette nouvelle orientation ; il est certainement, dans la direction russe, celui qui espérait le plus de l'arrivée de Trump en termes de changement de politique, essentiellement en termes de stabilisation et de contrôle de la situation internationale. D'autre part, les Russes veulent bien admettre que la position de Trump est elle-même "contrainte" par les événements intérieurs et qu'il n'existe aucune intention d'activer d'une façon élaborée, avec un nouvel élan, la même politique déstabilisatrice. Les Russes ont même recueilli, avec la rencontre entre les deux chefs suprêmes des armées, Gerasimov et Dunford à Bakou, le 17 février, l'indication, avec l'assurance qu'il n'y aura pas de "forces terrestres US en Syrie", que les militaires US ont une attitude plutôt modérée malgré le langage assez martial de Mattis. <br /><br />(Cette rencontre, inédite depuis la crise ukrainienne de 2014, était bloquée depuis plusieurs mois par le secrétaire à la défense Ashton Carter, alors que le Général Dunford la réclamait sans cesse. Mattis a aussitôt donné son feu vert à son ancien compagnon d'armes [les deux hommes sont des généraux du Marine Corps] pour rencontrer le Général Gerasimov le même jour où le nouveau secrétaire d'État Tillerson rencontrait Lavrov à Berlin, en marge d'une réunion G20. Le journal Kommersant a assuré que la rencontre s'était passée dans une excellente atmosphère, notamment avec l'assurance de Dunford que, contrairement à des bruits qui avaient couru quelques jours plus tôt, il n'était pas question de forces terrestres régulières US en Syrie.) <br /><br />Une fois de plus s'impose le constat immanquable que les événements commandent. Alors que la politique étrangère de Trump tarde à se dessiner, que la confusion intérieure règne, que la présence US à l'extérieur est assurée par le rabâchage du mantra habituel, notamment antirusse, l'immobilisme russe commence à menacer d'éroder les positions stratégiques de cette puissance (la Russie), notamment en terme d'influence. D'où les deux actes du 19 février, qui ont à cette lumière une réelle signification. Des commentaires significatifs les ont accompagnés, sinon précédés. <br /><br />- On notera, le 17 février, un texte de DEBKAFiles, qui se demande si Trump parviendra à sauver ce qui, pour le site israélien proche des services de sécurité, est un accord informel élaboré entre les USA-Trump et la Russie dès le courant novembre, pour régler en coopération et en coordination la crise syrienne. Depuis, de nombreux événements sont venus entraver cette politique russe de Trump, y compris bien entendu l'affrontement internes avec la coalition d'une fraction de l'Intelligence Community, de la presseSystème, des radicaux progressistes-sociétaux, etc., et également le fait de la démission de Flynn. DEBKAFiles présente cette situation selon une tournure qui fait porter toute la responsabilité de cette dégradation sur le côté US, et laisse déjà entendre que les Russes commencent à s'impatienter de cette évolution : « The Russians began unsheathing their claws when they began to suspect that the US president was being forced back from their understanding. The SSV 175 Viktor Leonov spy ship was ordered to move into position opposite Delaware on the East Coast of America; Su-24 warplanes buzzed the USS Porter destroyer in the Black Sea. » huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-83286663450317131992017-02-21T23:46:46.349-08:002017-02-21T23:46:46.349-08:00Poutine ne sourit plus du tout
dedefensa.org
lun...Poutine ne sourit plus du tout<br /><br /><br />dedefensa.org<br />lun., 20 fév. 2017 20:26 UTC <br /><br /><br /><br />Le problème abordé ici concerne la situation politique russe essentiellement, et nullement la pseudo-"politique russe" de Trump, qui n'est aujourd'hui qu'un faux-semblant accessoire. (Comme nous l'écrivons dans notre chapeau/abstract :"Le problème de Trump, plus que jamais en posture d'affrontement avec l'establishment [le Système] est que son front principal est intérieur et que sa "politique extérieure" est devenue un instrument tactique pour cette bataille intérieure".) <br /><br />Le problème russe, plus précisément abordé, est que non seulement la patience russe dans l'attente de Trump s'érode devant le désordre US, mais surtout que la Russie ne peut plus assumer la position de "paralysie stratégique" qu'elle avait accepté de supporter pour soutenir Trump depuis son élection, et l'aider à définir une nouvelle "politique russe". Le 16 février, dans son Journal-dde.crisis, PhG citait un article de Foreign Policy du 13 février analysant la position russe en fonction de la position de la nouvelle administration US, où il était dit clairement que les Russes commençaient à s'inquiéter de ce qui, dans le chaos de Washington, semblait être la "politique russe", ou une pseudo-"politique russe" de Trump en net durcissement par rapport à ce qu'on en attendait (à ce que les Russes en attendaient). On cite ce passage, avec en souligné de gras ce que nous jugeons être le constat principal : <br /><br />« Ce que les Russes craignent le plus aujourd'hui, c'est que Trump soit chassé ou même tué. Son départ, disent des sources internes du Kremlin, amènerait une campagne bipartisane antirusse virulente à Washington. Par conséquent et étrangement, Poutine est devenu l'otage de la survie et du succès de Trump. Cela restreint sérieusement les options géopolitiques de la Russie. Les Russes savent parfaitement que les démocrates veulent utiliser l'épouvantail-russe pour discréditer et destituer Trump alors que les républicains veulent utiliser l'épouvantail-russe pour réduire et discipliner Trump. Le gouvernement russe craint non seulement la chute de Trump, bien entendu, mais aussi la possibilité qu'il puisse par opportunisme adopter une ligne antirusse dure de façon à faire la paix avec les dirigeants républicains ultra-faucons du Congrès. » <br /><br />.. Plutôt qu'"otage" pur et simple "de la survie de Trump", nous préférons dire la paralysie diplomatique que Poutine avait accepté de manifester pour donner le temps à Trump d'organiser sa "politique russe" (ne rien faire qui puisse aggraver les difficultés de la mise en place de cette politique en donnant des arguments contre cette politique par une interprétation hystérique de l'antirussisme qui règne à Washington). Poutine n'est en rien un "otage" et Trump ne lutte pas moins pour "sa survie" que l'establishment en place : les deux, Trump et l'establishment, luttent chacun pour leur survie puisque c'est une bataille à mort. Simplement, il semble bien que Poutine ne puisse ni ne veuille attendre plus longtemps ; 1) d'une part parce que sa fonction n'est pas de défendre les intérêts du nouveau président des USA, même s'il paraît par période d'un réel intérêt de le faire (l'actuelle période est close, mais cela n'empêche que d'autres du même ordre peuvent survenir) ; 2) d'autre part parce que sa fonction est de défendre les intérêts de la Russie et que ces intérêts commencent à être compromis par la politique de "paralysie volontaire", ou "paralysie bienveillante" faite pour aider Trump. huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-66421910742207614892017-02-21T23:46:10.654-08:002017-02-21T23:46:10.654-08:00Or, en l’espace de quelques semaines, le taux fran...Or, en l’espace de quelques semaines, le taux français est passé à 1,36 %, un différentiel considérable (on l’appelle spread) avec nos voisins. Aucun doute : les prêteurs se défilent, et exigent des taux de plus en plus élevés pour s’engager. Nous n’atteignons pas les 3,5 % de la Grèce (bientôt 4), mais la charge de la dette devient maintenant intolérable.<br /><br />Incertitude politique<br /><br />Les financiers sont sensibles aux conjonctures politiques, et c’est la perspective d’une victoire soit de la gauche, soit du Front National qui inquiète les prêteurs. Ces candidats ne parlent-ils pas d’effacer purement et simplement la dette (Hamon) ou de la convertir d’euros en francs (Marine Le Pen) ? Quelle serait la politique budgétaire de Macron ? On n’en sait rien présentement. Le seul candidat rassurant, François Fillon, a été mis en difficulté. Les marchés financiers s’émeuvent de nos perspectives 2017.<br /><br />Certes l’État français n’est pas le plus endetté du monde : les Japonais sont à 200 %, les Américains à 160 %, et nous sommes dans la bonne moyenne, c’est-à-dire dans la bonne médiocrité. Mais l’évolution de nos finances publiques commence à devenir dramatique et semble s’accélérer : c’est cela qui explique la hausse des taux. «<br /><br />https://www.contrepoints.org/2017/02/22/281734-dette-de-letat-francais-a-100huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-53859974151269863552017-02-21T23:45:51.717-08:002017-02-21T23:45:51.717-08:00La dette de l’État français à 100 %
le 22 févrie...La dette de l’État français à 100 %<br /><br /><br />le 22 février 2017<br /><br /><br />Les contribuables français risquent de payer une addition de plus en plus lourde. Mais qui s’en soucie parmi les candidats ?<br /><br />Par Jacques Garello.<br /><br /><br />Ce que l’État français doit à ses créanciers va atteindre bientôt 100% de notre PIB. C’est en soi inquiétant : 20 % en 1980 ! Mais depuis le début de l’année, la charge de cette dette ne cesse d’augmenter : c’est encore plus inquiétant. Ceux qui nous prêtent de quoi combler nos déficits sont de plus en plus exigeants ; ils commencent à douter de la solvabilité de l’État français. Les contribuables français risquent de payer une addition de plus en plus lourde. Mais qui s’en soucie parmi les candidats ? Un seul d’entre eux prévoit le retour à la rigueur budgétaire.<br /><br />Du déficit à la dette<br /><br />C’est bien connu : le budget de l’État français est en déficit permanent et croissant depuis 1974. Bien que les impôts n’aient cessé d’augmenter, il a fallu emprunter pour couvrir des dépenses explosives. Voilà qui entraîne un double coût : celui de lever de nouveaux emprunts, celui de payer les intérêts des emprunts en cours (« charge de la dette »). On focalise l’attention des Français sur les intérêts, parce que cette charge est devenue l’un des plus lourds postes budgétaires (approximativement 10% du budget, et même le premier poste en 2014, avant l’Éducation nationale).<br /><br />Mais le coût de lever des fonds et de les gérer n’est pas léger. L’Agence France Trésor (département de Bercy) place les emprunts, joue avec les échéances, que l’on veut plus lointaines possibles pour retarder le remboursement du principal de la dette : les emprunts sont à 10 ans, voire à 50 ans (on envisage 100 ans !).<br /><br />Voici ce que nous apprend l’AFT elle-même (15 décembre 2016) : En 2017, l’État doit financer un déficit budgétaire prévisionnel de 69,3 Md€, assurer le remboursement de 115,2 Md€ de dette à moyen et long terme venant à échéance […] Le besoin de financement de l’État s’établit donc à 185,4 Md€ en 2017. Ce besoin sera couvert par les émissions à moyen et long terme (OAT) pour 185,0 Md€ nettes de rachats.<br /><br />Attirer les créanciers<br /><br />À la différence du Japon, pays où les créanciers sont les Japonais eux-mêmes, la France compte pour les deux tiers sur des financements étrangers (20 % sur les assureurs français et 10 % sur les banques françaises). L’attrait des prêteurs vient de la confiance qu’ils accordent à l’emprunteur, ils savent qu’un État finit toujours par rembourser puisqu’il y aura toujours des contribuables pour payer, même dans 10 ou 50 ans. De plus, les titres d’emprunt s’échangent facilement sur les marchés mondiaux, et le prêteur peut récupérer sa mise sans trop de difficulté ni de coût.<br /><br />Cependant la confiance est plus ou moins grande, le risque d’impayé existe, même s’il est minime. Voilà pourquoi certains États, réputés payer rubis sur l’ongle, empruntent « gratuitement » (le taux d’intérêt qui leur est accordé sera très faible). La France est longtemps passée, comme l’Allemagne, pour un débiteur de qualité, de sorte que les taux qui leur étaient consentis étaient très faibles, de l’ordre de 0,30 % l’an pour les emprunts à 10 ans.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-78276943222763265672017-02-21T23:45:10.804-08:002017-02-21T23:45:10.804-08:00"J'ai été frappé avec beaucoup de coups d..."J'ai été frappé avec beaucoup de coups de poing et de coups à la fois à mon corps et ma tête. J'ai passé la nuit à l'hôpital », a déclaré le photographe, qui n'a pas été nommé. "Il ressemble à une zone de guerre", at-il ajouté.<br /><br />Les émeutes ont pris fin juste après minuit.<br /><br />Aucune arrestation n'a été faite; Cependant, des rapports ont été déposés sur trois actes de violence, la violence contre un policier, deux agressions, des actes de vandalisme et des vols aggravés, ont indiqué les autorités.<br /><br />Les pompiers enquêter la scène dans la banlieue de Rinkeby où les émeutes ont éclaté lundi soir.<br /><br />Comme nous l'avons annoncé la nuit dernière, Rinkeby est la même région où un Australien "60 Minutes" équipage a été attaqué par un groupe d'hommes en avril 2016. L'équipe de cinéma a tenté d'entrer dans une soi-disant "zone interdite", que les autorités nient Ils utilisent comme une étiquette. Rinkeby, cependant, a été officiellement classé parmi l'une des 15 zones «particulièrement vulnérables» en Suède.<br /><br />Le Premier ministre du pays, Stefan Lofven, a déclaré lundi: "Oui, nous avons des défis comme tous les autres pays." Il n'y a aucun doute, nous avons une situation dans le monde où 65 millions de personnes ont dû fuir leurs pays l'an dernier. 65 millions. C'est donc une guerre pour nous tous ensemble. Il a également indiqué que la Suède investissait davantage dans le logement, la technologie et son système de protection sociale.<br /><br />Les rapports de viols en Suède ont bondi de 13% en 2016 par rapport à l'année précédente et les rapports d'agressions sexuelles ont augmenté de 20%, selon des données préliminaires du Conseil national suédois pour la prévention du crime. La migration récente vers la Suède a atteint son sommet en 2015 avec plus de 160 000 demandes d'asile. Il a chuté à près de 30 000 en 2016.<br /><br />Les médias traditionnels, si impatients de se moquer de l'erreur de Trump, samedi, ont été bizarrement retardés en rapportant la violence suédoise de la nuit dernière.<br /><br /><br />http://www.zerohedge.com/news/2017-02-21/it-looks-war-zone-trump-vindicated-after-violent-riot-erupts-swedish-suburbhuemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-31247136331425350132017-02-21T23:44:45.105-08:002017-02-21T23:44:45.105-08:00"Cela ressemble à une zone de guerre": T..."Cela ressemble à une zone de guerre": Trump Vindicated après des émeutes violentes éruption en banlieue suédoise<br /><br /><br />Par Tyler Durden<br />21 février 2017 21h11<br /><br /><br />Comme nous l'avons annoncé hier soir, à peine quelques jours après que les médias se sont moqués de Trump pour ses allégations de problèmes majeurs avec les politiques migratoires suédoises, le président a été revendiqué après une violente émeute éclatée dans l'arrondissement de Rinkeby, également connu sous le nom de "petit Mogadiscio". Les autorités suédoises confirment que des émeutes ont éclaté lundi dans la «banlieue de Stockholm», lundi soir, alors que des pillards masqués ont incendié des voitures et jeté des pierres contre des policiers, blessant un policier, des responsables suédois m'a dit.<br /><br />La violence a éclaté juste quelques jours après que le président Trump ait été ridiculisé lors d'un rassemblement de campagne samedi pour avoir mentionné la Suède aux côtés d'une liste de cibles européennes de terreur. Trump a déclaré plus tard son "Vous regardez ce qui se passe la nuit dernière en Suède" remarque était en réponse à un rapport Fox Nouvelles sur la crise du pays du crime de réfugiés qui a été diffusé vendredi soir.<br /><br />"Suède, ils ont pris en grand nombre [de réfugiés]", a t-il ajouté au rallye de Floride. "Ils ont des problèmes comme ils ne pensaient jamais possible."<br /><br />Le compte Twitter officiel de la Suède - qui est géré par un utilisateur différent chaque semaine - a tweeté à Trump le lundi matin: "Hey Don, c'est parler @Sweden! C'est gentil de ta part de m'inquiéter, vraiment, mais ne tombe pas pour le battage. Faits: Nous sommes OK! "<br /><br />Des événements, quelques heures plus tard, ont réfuté cette évaluation optimiste.<br /><br />La violence à Rinkeby a commencé vers 8 heures du matin, lorsque des policiers ont arrêté un suspect dans une station souterraine pour des accusations de drogue, a rapporté The Local. Un groupe s'est rapidement réuni, lançant des pierres et d'autres objets sur les officiers et incitant un flic à tirer son arme "dans une situation qui exigeait qu'il utilise son arme à feu", a déclaré le porte-parole de la police Lars Bystrom.<br /><br />Quelques heures plus tard, les émeutes de Rinkeby ont commencé, avec une deuxième vague commençant autour de 10:30 p.m. Sept ou huit voitures ont été mises en feu et de nombreux magasins ont vu le pillage, The Local signalé. Un photographe de la presse Dagens Nyheter a déclaré un groupe de 15 personnes le battre alors qu'il essayait de documenter le chaos. La police suédoise a été forcée de tirer des coups de feu au groupe non identifié de manifestants, qui ont mis le feu à des voitures, jeté des pierres à la police et pillé des magasins locaux.<br /><br />Un policier a été blessé lors des affrontements, obligeant les forces de l'ordre à tirer plusieurs coups d'avertissement à la foule, a rapporté le service public suédois SVT, citant un porte-parole de la police locale.<br /><br />Un policier enquête sur une voiture brûlée à Rinkeby, Suède 21 février 2017<br /><br />L'argent est que "personne n'a été trouvé blessé sur les lieux et nous avons vérifié les hôpitaux et il n'y a eu personne avec ce qui pourrait être des blessures par balle", a ajouté Bystrom.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-22616513559455500312017-02-21T23:43:59.110-08:002017-02-21T23:43:59.110-08:00Ne tournons pas autour du pot 150 ans ! Il y a bie...Ne tournons pas autour du pot 150 ans ! Il y a bien un État dans l'État pour chacun des pays du monde et cela depuis l'Antiquité. Ainsi, depuis que l'homme est apparu sur Terre il y a eu l'esclavage. Esclavage du faible face au plus fort. L'homme face à sa femme et à ses gosses. Les enfants ont toujours été conçus pour aider leurs parents les jours de vieillesse (ce qui n'est plus guère le cas aujourd'hui qu'il y a la 'retraite').<br /><br />http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/petit-resume-de-lhistoire-du-monde.htmlhuemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-73101438290964391112017-02-21T23:43:12.624-08:002017-02-21T23:43:12.624-08:00La liberté exige que nous traitions les autres com...La liberté exige que nous traitions les autres comme nous voudrions qu'ils nous traitent. C'est la loi de la réciprocité, aussi appelée la Règle d'Or, et elle se retrouve dans presque toutes les religions du monde, y compris le judaïsme et le christianisme.<br /><br />En d'autres termes, si vous ne voulez pas être enfermé dans une cellule de prison ou dans un camp de détention - si vous ne voulez pas être discriminé à cause de la couleur de votre race, de votre religion, de votre politique ou de toute autre chose qui vous met À part le reste, si vous ne voulez pas que vos proches soient abattus, fouillés, tachés, battus et traités comme des esclaves, si vous ne voulez pas être constamment en garde contre les yeux du gouvernement qui regardent ce que vous faites, où Vous allez et ce que vous dites - si vous ne voulez pas être torturé, planté à l'eau ou forcé d'accomplir des actes dégradants - si vous ne voulez pas que vos enfants grandissent dans un monde sans liberté - alors ne laissez pas ces maux Être infligée à quiconque, peu importe la tentation de la raison ou combien vous croyez fermement dans votre cause.<br /><br />Comme le disait le théologien allemand et dissident anti-nazi, Dietrich Bonhoeffer: «Nous ne devons pas simplement bander les blessures des victimes sous les roues de l'injustice, nous devons conduire un rayon dans la roue elle-même.<br /><br />http://www.zerohedge.com/news/2017-02-21/illusion-freedom-police-state-alive-and-wellhuemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-73236647239908545472017-02-21T23:42:51.417-08:002017-02-21T23:42:51.417-08:00Dans l'état policier américain qui nous entour...Dans l'état policier américain qui nous entoure maintenant, il n'y a plus d'innocence, de procès équitable ou de justice, du moins pas comme nous les connaissions autrefois. Nous sommes tous potentiellement coupables, tous les criminels potentiels, tous les suspects attendent d'être accusés d'un crime.<br /><br />Ainsi, vous pouvez essayer de vous persuader que vous êtes libre, que vous vivez encore dans un pays qui valorise la liberté et qu'il n'est pas trop tard pour redonner de l'Amérique, mais à tous ceux qui ont prêté attention au déclin de l'Amérique au cours du passé 50 ans, ce sera juste un autre mensonge.<br /><br />Le peuple allemand a choisi d'ignorer la vérité et de croire au mensonge.<br /><br />Ils n'étaient pas inconscients des horreurs qui se produisaient autour d'eux. Comme le souligne l'historien Robert Gellately: «Ailleurs, dans l'Allemagne nazie, qui voulait connaître la Gestapo, les camps de concentration et les campagnes de discrimination et de persécutions, il suffit de lire les journaux.<br /><br />Les panneaux d'avertissement étaient là, clignotant sans cesse comme de grands panneaux de néon.<br /><br />«Pourtant, écrit Gellately, la grande majorité a voté en faveur du nazisme et malgré ce qu'ils pouvaient lire dans la presse et entendre de bouche à oreille la police secrète, les camps de concentration, l'antisémitisme officiel, et donc sur. . . . On ne s'éloigne pas du fait que, à ce moment-là, «la grande majorité du peuple allemand l'a soutenu».<br /><br />Un demi-siècle plus tard, la femme d'un éminent historien allemand, qui ne faisait pas partie du parti nazi, écrivit: «Dans l'ensemble, tout le monde se sentait bien. . . . Et il y avait certainement quatre-vingt pour cent qui ont vécu productivement et positivement tout au long du temps. . . . Nous avons aussi eu de bonnes années. Nous avons eu des années merveilleuses.<br /><br />En d'autres termes, tant que leurs conforts ne sont pas diminués, tant que leurs comptes bancaires resteront vides, tant qu'ils ne seront pas discriminés, persécutés, affamés, battus, tirés, dépouillés, emprisonnés et transformés en esclavage, La vie était bonne.<br /><br />C'est ainsi que la tyrannie s'élève et la liberté tombe.<br /><br />Comme Primo Levi, un survivant de l'Holocauste a observé, "Les monstres existent, mais ils sont trop peu nombreux pour être vraiment dangereux. Plus dangereux sont les hommes ordinaires, les fonctionnaires prêts à croire et à agir sans poser de questions.<br /><br />La liberté exige la responsabilité.<br /><br />La liberté exige que les gens cessent de dormir en marchant dans la vie, cessent de s'amuser dans des fantasmes politiques et cessent de se distraire avec un divertissement évasif.<br /><br />La liberté exige que nous cessions de penser comme démocrates et républicains et commencer à penser comme des êtres humains, ou à tout le moins, les Américains.<br /><br />La liberté exige que nous ne restons pas silencieux face au mal ou aux méfaits, mais nous nous opposons activement à l'injustice.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-5444757939294743902017-02-21T23:42:29.961-08:002017-02-21T23:42:29.961-08:00Le complexe industriel militaire n'a pas cessé...Le complexe industriel militaire n'a pas cessé de profiter de guerres sans fin à l'étranger. L'expansion de l'empire militaire américain continue de saigner le pays à un taux de plus de 15 milliards de dollars par mois (ou 20 millions de dollars l'heure). Le Pentagone dépense davantage sur la guerre que tous les 50 États combinés dépensent pour la santé, l'éducation, le bien-être et la sécurité. Pourtant, ce que la plupart des Américains ne parviennent pas à reconnaître, c'est que ces guerres en cours ont peu à voir avec la sécurité du pays et tout ce qui a trait à l'enrichissement du complexe industriel militaire aux frais des contribuables.<br /><br />Le gouvernement omniprésent de l'État profond n'a pas cessé d'appeler les coups de feu dans les coulisses. Composé de bureaucrates gouvernementaux non élus, d'entreprises, de sous-traitants, de paper-pushers et de pousseurs de boutons qui réclament les coups de feu dans les coulisses, ce gouvernement au sein d'un gouvernement continue d'être la vraie raison «nous, le peuple», Soi-disant représentants. Ce sont toutes les facettes d'un gouvernement qui n'est plus amical à la liberté et qui fait des heures supplémentaires pour piétiner la Constitution et rendre les citoyens impuissants devant les prises de pouvoir du gouvernement, la corruption et les tactiques abusives.<br /><br />Et le peuple américain n'a pas cessé d'agir comme des moutons crédules. En fait, de nombreux Américains ont été tellement emportés par leur dévouement aveugle et partisan envers leurs dieux politiques respectifs qu'ils ont perdu de vue ce qui est resté constant ces dernières années: nos libertés ne cessent de diminuer.<br /><br />Voici le problème tel que je le vois: «nous, les gens» sommes devenus si confiants, si crédules, si facilement distrait, si hors de contact et si sûr que notre gouvernement fera toujours la bonne chose par nous que nous avons ignoré la Signes d'avertissement autour de nous.<br /><br />Ce faisant, nous n'avons pas reconnu ces signes avant-coureurs comme étant des drapeaux rouges potentiels à utiliser comme occasions de poser des questions, de demander des réponses et de tenir nos fonctionnaires responsables de respecter nos droits et de respecter l'état de droit.<br /><br />Malheureusement, une fois qu'un peuple libre permet au gouvernement de faire des incursions dans leurs libertés, ou utilise ces mêmes libertés que des puces de négociation pour la sécurité, il devient rapidement une pente glissante à la tyrannie pure et simple. Et il n'a pas vraiment d'importance si c'est un démocrate ou un républicain à la barre, parce que la mentalité bureaucratique des deux côtés de l'allée semble maintenant incarner la même philosophie du gouvernement autoritaire.<br /><br />Comme je le montre clairement dans mon livre Battlefield America: La guerre sur le peuple américain, c'est ce qui arrive quand vous ignorez les signes avant-coureurs.<br /><br />C'est ce qui se produit quand vous ne prenez pas d'alarme à la première expérience sur vos libertés.<br /><br />C'est ce qui se produit quand vous ne parvenez pas à contester l'injustice et l'excès de gouvernement jusqu'à ce que les portes de la prison clang fermé derrière vous.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-45427160407321380272017-02-21T23:42:05.624-08:002017-02-21T23:42:05.624-08:00Les bureaucrates du gouvernement n'ont pas ces...Les bureaucrates du gouvernement n'ont pas cessé de transformer les citoyens américains en criminels. L'Américain moyen commet aujourd'hui trois délits par jour, grâce à une surabondance de lois vagues qui rendent illégale une activité autrement innocente, tout en renforçant le pouvoir de l'État policier et de ses alliés corporatifs.<br /><br /><br />L'état de surveillance n'a pas cessé d'espionner les communications, les transactions ou les mouvements des Américains. Chaque jour, que vous soyez en train de marcher dans un magasin, de conduire votre voiture, de vérifier vos courriels ou de parler à vos amis et à votre famille au téléphone, vous pouvez être sûr que certains organismes gouvernementaux, que ce soit votre police locale, L'Agence de sécurité nationale ou l'un des nombreux partenaires du gouvernement, vous surveille et vous suit.<br /><br />La TSA n'a pas cessé de tâtonner ou d'omettre les voyageurs. Sous le prétexte de protéger les infrastructures nationales (routes, réseaux de transport collectif, approvisionnement en eau et électricité, systèmes de télécommunications, etc.) contre des attaques criminelles ou terroristes, des groupes de travail TSA (formés de commissaires de l'air, d'inspecteurs de la sécurité des transports en surface, , Des agents de détection des comportements et des équipes de chiens de détection d'explosifs) continuent de faire des balayages aléatoires de la sécurité des transports, y compris les ports, les gares ferroviaires et routières, les aéroports, les ferries et les métros, ainsi que les conventions politiques, les matchs de baseball et les concerts de musique. Les tactiques de balayage incluent l'utilisation de la technologie des rayons X, les pat-downs et les chiens renifleurs de drogues, entre autres choses.<br /><br />Le Congrès n'a pas cessé de promulguer des lois draconiennes comme la USA Patriot Act et la NDAA. Ces lois, qui contournent complètement l'état de droit et les droits constitutionnels des citoyens américains, continuent à réorienter notre paysage juridique de manière à faire en sorte que la loi martiale, plutôt que la règle de droit, notre Constitution américaine, Carte par laquelle nous naviguons la vie aux États-Unis.<br /><br />Le ministère de la Sécurité intérieure n'a pas cessé d'être une «bête dévastateur, croissante et craintive». Le DHS est-il capable de planifier et de planifier la transformation de la garde nationale en une force de police fédérale et fédérale? Aucun doute là dessus. Rappelez-vous, c'est l'agence qui est notoire pour militariser la police et les équipes SWAT; Espionnage d'activistes, de dissidents et d'anciens combattants; Stockage de munitions; Distribution de lecteurs de plaques d'immatriculation; Contracter pour construire des camps de détention; Suivi de téléphones cellulaires avec des dispositifs Stingray; La réalisation de exercices militaires et de lockdowns dans les villes américaines; Utiliser la TSA comme garde d'avance; Effectuer des recherches virtuelles sur bande avec des scanneurs complets; Réalisation de points de contrôle de cible doux; Diriger les travailleurs du gouvernement pour espionner les Américains; Réalisation de réseaux d'espionnage répandus utilisant des centres de fusion; Effectuer des recherches sur les contrôles aux frontières sans constitution; Le financement de caméras de surveillance à l'échelle de la ville; Et en utilisant des drones et autres spybots.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-71125733191661549912017-02-21T23:41:38.616-08:002017-02-21T23:41:38.616-08:00Les équipes SWAT n'ont pas cessé de s'écra...Les équipes SWAT n'ont pas cessé de s'écraser à travers les portes et de terroriser les familles. À l'échelle nationale, les équipes SWAT continuent d'être employées pour aborder une série étonnamment banal d'activités criminelles ou de simples nuisances communautaires, y compris des chiens en colère, des disputes domestiques, des documents incorrects déposés par un agriculteur d'orchidées et une possession de marijuana déloyale. Avec plus de 80 000 raids de l'équipe SWAT effectués chaque année sur les américains sans méfiance pour les questions de police relativement de routine et les agences fédérales revendiquant leurs propres divisions d'application de la loi, l'incidence des raids bâclés et des victimes connexes continuent à augmenter.<br /><br />Le Pentagone et le Département de la Sécurité intérieure n'ont pas cessé de militariser et de fédérer la police locale. Les forces policières continuent d'être transformées en extensions militaires lourdement armées, avec des bottes, des casques, des boucliers, des matraques, du poivre-jet, des fusils d'assaut, des fusils d'assaut, des blindés, des réservoirs miniatures et des drones armés. En formant la police à regarder et à agir comme les militaires et à utiliser les armes et la tactique de la guerre contre les citoyens américains, le gouvernement continue à transformer les États-Unis en un champ de bataille.<br /><br />Les écoles n'ont pas cessé de traiter les jeunes comme des prisonniers forcés. Les districts scolaires continuent de collaborer avec les services de police pour créer une «école à la piste de la prison» en imposant une «double dose» de punition pour infractions infantiles: suspension ou expulsion de l'école accompagnée d'une arrestation par la police et d'un voyage au tribunal pour enfants . De cette façon, le paradigme de la conformité abjecte à l'état continue à être enseigné par l'exemple dans les écoles, par lockdowns scolaires où la police et les chiens renifleurs de drogue entrer dans la classe, et des politiques de tolérance zéro qui sanctionnent toutes les infractions égales et entraîner des jeunes Être expulsé pour comportement enfantin.<br /><br />Les prisons privées à but lucratif n'ont pas cessé de bloquer les Américains et les immigrants aux dépens des contribuables. Les États continuent d'impartir la gestion des prisons à des sociétés privées afin de faire des profits aux contribuables. Et comment faites-vous un profit dans l'industrie pénitentiaire? Ont les législatures adopter des lois qui imposent des sanctions sévères pour la moindre non-conformité afin de garder les cellules de la prison plein et les investisseurs d'entreprises heureux.<br /><br />La censure n'a pas cessé. Les activités du Premier amendement continuent d'être frappées, frappées, frappées, étouffées, enchaînées et généralement bâillonnées à travers le pays. Les raisons de cette censure varient grandement de l'exactitude politique, des préoccupations en matière de sécurité et de l'intimidation à la sécurité nationale et aux crimes motivés par la haine, mais le résultat final est resté le même: l'éradication complète de ce que Benjamin Franklin appelait le «principal pilier d'un gouvernement libre».<br /><br />Les tribunaux n'ont pas cessé de marcher à la porte de l'État policier. Les tribunaux continuent d'être dominés par des techniciens et des statisticiens qui sont déférents à l'autorité, que ce soit le gouvernement ou les entreprises. En effet, les décisions de la Cour suprême ces dernières années se sont le plus souvent caractérisées par une déférence abjecte envers l'autorité gouvernementale, les intérêts militaires et les intérêts des entreprises. Ils vont de la suppression des activités de liberté d'expression et justifient des fouilles sans soupçon à des invasions de domicile sans mandat et confèrent des droits constitutionnels aux sociétés, tout en les privant aux citoyens.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-8647566116593397322017-02-21T23:41:11.757-08:002017-02-21T23:41:11.757-08:00Pourtant, aucune évasion ne peut nous éloigner de ...Pourtant, aucune évasion ne peut nous éloigner de la dure réalité que représente le danger que représente une bureaucratie gouvernementale enracinée qui n'a aucun rapport avec la Constitution, le Congrès, les tribunaux ou la population.<br /><br />Si les couleurs de l'équipe ont changé du bleu au rouge, c'est juste cosmétique.<br /><br />Le playbook reste le même. Le léopard n'a pas changé ses taches.<br /><br />Grattez les couches de surface et vous verrez que l'état de police américain est vivant et bien et continuer à faire des ravages sur les droits du peuple américain.<br /><br />«Nous, les gens» ne vivons plus le rêve américain.<br /><br />Nous vivons le mensonge américain.<br /><br />En effet, on a menti aux Américains si sincèrement, si sans cesse, et depuis si longtemps, par des politiciens de toutes sortes, qui sont obligés et sans aucun remords apparents, qu'ils viennent presque de préférer les mensonges trottés par ceux du gouvernement sur moins de - vérités palatables.<br /><br />Le peuple américain est devenu croyant compulsif.<br /><br />Comme Nick Cohen écrit pour The Guardian, «Les menteurs compulsifs ne devraient pas vous effrayer. Ils ne peuvent nuire à personne, si personne ne les écoute. Croyants compulsifs, d'autre part: ils devraient vous terrifier. Les croyants sont les facilitateurs des menteurs. Leurs voix donnent au démagogue son pouvoir. Leur confiance fait du charlatan le président. Leur crédulité fait en sorte que la propagande des fanatiques à demi calculés et à demi-fous a le pouvoir de changer le monde.<br /><br />En disant la vérité «en un temps de tromperie universelle», comme conclut George Orwell, «un acte révolutionnaire», croire la vérité - être capable de distinguer la vérité d'un mensonge - est aussi un acte révolutionnaire.<br /><br />Voici une vérité que peu d'Américains veulent reconnaître: rien n'a changé (du moins pas pour le mieux) depuis que Barack Obama a passé les rênes de l'état policier à Donald Trump.<br /><br />L'état de police est toujours gagnant. Nous les gens perdons encore.<br /><br />En fait, l'État policier américain a continué à progresser au même rythme impitoyable, coûteux, intimidant, déconcentrant la Constitution, sous le président Trump, comme il l'a fait sous le président Obama.<br /><br />La police n'a pas cessé de faire abstraction des droits des citoyens. Ayant reçu le feu vert pour sonder, piquer, pincer, taser, rechercher, saisir, arracher, tirer et généralement malmener ceux qu'ils jugent bon dans presque toutes les circonstances, tous avec la bénédiction générale des tribunaux, les responsables de l'application de la loi de l'Amérique ne sont plus Simples serviteurs du peuple chargé de garder la paix. En effet, ils continuent à garder les masses encerclées, sous contrôle, et traitées comme des suspects et des ennemis plutôt que des citoyens.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-61610502154260157382017-02-21T23:40:50.375-08:002017-02-21T23:40:50.375-08:00L'illusion de la liberté: l'État de police...L'illusion de la liberté: l'État de police est vivant et bien<br /><br /><br />Par Tyler Durden<br />21 févr. 2017 22h15<br />Présenté par John Whitehead via The Rutherford Institute,<br /><br /><br />«Ce qui s'est passé ici, c'est l'accoutumance progressive du peuple, peu à peu, à être gouverné par surprise; À recevoir des décisions délibérées en secret; À croire que la situation était si compliquée que le gouvernement devait agir sur des informations que le peuple ne pouvait pas comprendre, ou si dangereuses que même si le peuple pouvait le comprendre, il ne pouvait pas être libéré à cause de la sécurité nationale ... Cette séparation Du gouvernement par rapport aux gens, cet élargissement de l'écart se produisit de façon si progressive et si insensible, chaque pas dissimulé (peut-être même intentionnellement) comme une mesure d'urgence temporaire ou associé à une véritable allégeance patriotique ou à des fins sociales réelles. Et toutes les crises et les réformes (réformes réelles aussi) ont tellement occupé les gens qu'ils n'ont pas vu le ralenti en dessous, de tout le processus de gouvernement de plus en plus éloigné et plus éloigné. "- L'historien Milton Mayer, ils pensaient qu'ils étaient libres: Allemands, 1933-1945<br />Préparez vous.<br /><br />Il y a quelque chose qui est concocté dans les tanières du pouvoir, bien au-delà de l'œil du public, et il n'est pas bon pour l'avenir de ce pays.<br /><br />Chaque fois que vous avez une nation entière si hypnotisé par les singeries de la classe dirigeante politique qu'ils sont inconscients de tout le reste, vous feriez mieux de vous méfier. Chaque fois que vous avez un gouvernement qui opère dans l'ombre, parle dans un langage de force, et les règles de fiat, vous feriez mieux de vous méfier. Et chaque fois que vous avez un gouvernement si éloigné de son peuple que pour s'assurer qu'ils ne sont jamais vu, entendu ou entendu par ceux élus pour les représenter, vous feriez mieux de vous méfier.<br /><br />Le monde a déjà été dans cette voie.<br /><br /><br />Comme l'historien Milton Mayer raconte dans son livre séminal sur la montée au pouvoir de Hitler, ils pensaient qu'ils étaient libres, «La plupart d'entre nous ne voulaient pas penser à des choses fondamentales et n'ont jamais eu. Il n'était pas nécessaire. Le nazisme nous a donné des choses épouvantables et fondamentales à penser - nous étions des gens dignes ? - et nous tenait si occupés par des changements et des «crises» continus et tellement fascinés, oui, fascinés, par les machinations des «ennemis nationaux», sans et À l'intérieur, que nous n'avions pas le temps de penser à ces choses terribles qui grandissaient peu à peu autour de nous.<br /><br />Nous sommes à notre plus vulnérables en ce moment.<br /><br />La menace la plus grave qui se présente à nous en tant que nation n'est pas l'extrémisme - livré par des citoyens souverains ou des musulmans radicalisés - mais le despotisme exercé par une classe dirigeante dont la seule allégeance est au pouvoir et à l'argent.<br /><br />Néron jouait du violon pendant que Rome brûlait.<br /><br />L'Amérique brûle, et la plupart des Américains peuvent faire est de changer de canal, de régler ce qu'ils ne veulent pas entendre, et de syntoniser leurs propres chambres d'écho personnelles.<br /><br />Nous sommes dans un état national de déni.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-82420930465439989632017-02-21T23:40:26.212-08:002017-02-21T23:40:26.212-08:00Le résultat final est que Trump a la capacité et l...<br />Le résultat final est que Trump a la capacité et la volonté d'être résistant aux pressions de l'état profond, en se concentrant sur les besoins du citoyen américain moyen, plutôt que ciller dans les intérêts de l'état profond comme les agences de renseignement, les néocons , Le lobby israélien, le lobby saoudien, le complexe militaro-industriel, et bien d'autres encore. Ce n'est que dans les prochains mois que nous arriverons à comprendre si Trump sera prêt à continuer la lutte contre la guerre ou de plier le genou et de payer le prix.<br /><br />http://www.zerohedge.com/news/2017-02-21/conflictual-relationship-between-donald-trump-and-us-deep-state-part-1huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-51450528283523247052017-02-21T23:40:09.781-08:002017-02-21T23:40:09.781-08:00En général, l'administration Trump a l'int...En général, l'administration Trump a l'intention de mettre fin à la politique de changement de régime, l'ingérence dans les gouvernements étrangers, les ressorts arabes et les révolutions de couleur. Ils ne fonctionnent pas. Ils coûtent trop cher en termes de crédibilité politique, en Ukraine, les États-Unis sont alliés avec des partisans de Bandera (personnage historique qui a collaboré avec les nazis) et au moyen-orient, ils financent ou indirectement soutenir al-Qaida et al Nusra avant ».<br /><br />La récente rencontre à Washington avec Theresa May, la première rencontre officielle avec un allié éminent des États-Unis, a révélé, entre autres, un changement possible de la politique américaine. Le Premier Ministre du Royaume-Uni a exprimé son désir de suivre une nouvelle politique de non-intervention, conformément à la stratégie isolationniste dont Trump a parlé depuis son arrivée au pouvoir. Dans une conférence de presse conjointe avec le président américain, May a déclaré: «L'ère de l'intervention militaire est terminée. Londres et Washington ne reviendront pas sur la politique défaillante du passé qui a mené à une intervention en Irak, en Afghanistan et en Libye ».<br /><br />Au cours de la campagne électorale, Trump a rendu ses intentions claires dans des contextes différents, mais toujours du point de vue du non-interventionnisme inspiré par le concept d'isolationnisme. Il devient évident que ces intentions sont mises en action, même si la rhétorique concernant l'Iran est devenue alarmante. Dans la mode typique de Trump (qui contraste avec la question de l'Iran), la situation en Syrie se normalise et les premières menaces dirigées contre la Chine semblent avoir été mises de côté. Le cas de l'Iran est une histoire différente et complexe, nécessitant une analyse plus approfondie qui mérite un article distinct. Ce qui sera graduellement important, à mesure que la Présidence progresse, est de comprendre la nécessité de distinguer entre les mots et les actions, en séparant les provocations et les intentions.<br /><br />Conclusions et questions futures<br /><br />Il existe toute une liste de déclarations Trump qui sont perçues comme des menaces pour d'autres pays, principalement l'Iran. L'article suivant expliquera plus en détail la stratégie possible à employer par Donald Trump pour combattre ces tentatives de sabotage de son administration, une stratégie qui semble être basée sur les silences, les bluffs et les admissions pour contrer les tentatives perpétuelles d'influencer sa présidence. Si l'on veut mettre le poids sur ses mots pendant la campagne électorale, il devrait être pris en considération que Trump a remporté l'élection grâce aux objectifs clairs de vouloir éviter une nouvelle frénésie de dépenses sur les guerres destructrices. Cette priorité a été clarifiée et exprimée de toutes les manières possibles avec l'adoption d'une politique de l'Amérique d'abord, en particulier en ce qui concerne la politique intérieure.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-10759424383097847922017-02-21T23:39:45.924-08:002017-02-21T23:39:45.924-08:00Enfin, la tentative la plus évidente de sabotage d...Enfin, la tentative la plus évidente de sabotage de l'administration peut être vu dans les événements en Ukraine. Sans surprise, les sénateurs Graham et McCain, deux des principaux émissaires de l'état profond, se sont rendus en Ukraine au début de l'année, incitant les troupes ukrainiennes à reprendre leur offensive destructrice contre le Donbass. Les intentions sont claires et variées. Tout d'abord est la tentative constante de saboter tout rapprochement entre Moscou et Washington, dans l'espoir d'engloutir Trump dans une escalade américaine / OTAN des événements en Ukraine. Deuxièmement, compte tenu de la situation critique en Europe, est l'effort pour pousser Berlin à assumer le fardeau de soutenir économiquement l'administration défaillante à Kiev. Troisièmement, la pression croissante exercée sur la Russie et Poutine, comme on l'a déjà vu en 2014, dans le but d'impliquer activement la Fédération de Russie dans le conflit ukrainien afin de justifier la participation directe de l'OTAN, voire celle des États-Unis. Cette dernière situation serait le rêve des néoconservateurs, mettant Trump et Poutine sur un chemin de collision directe.<br /><br />La nouvelle administration américaine a jusqu'ici subi au moins trois tentatives de sabotage, et c'est l'attitude que Trump a l'intention d'avoir avec le reste du monde qui les a stimulés. Dans une interview avec Bill O'Reilly sur Fox News, Trump a réitéré que son objectif principal n'est pas régi par la doctrine de l'exceptionnalisme américain, un concept qu'il ne souscrit pas de toute façon. La religion qui anime l'évangélisation démocratique semble plus susceptible d'être remplacée par une attitude géopolitique pragmatique et réaliste.<br /><br />Voilà comment on pourrait résumer les paroles de Trump à Bill O'Reilly:<br /><br />«Il y a beaucoup de tueurs. Nous avons beaucoup de tueurs », a déclaré Trump. «Eh bien, vous pensez que notre pays est si innocent ?»<br /><br />Ce que l'État profond refuse d'accepter, c'est qu'ils ont perdu le rôle de chef de file dans l'éducation du reste du monde sur les questions humanitaires liées au concept de démocratie. Les principaux acteurs de l'état profond comprennent clairement les implications négatives pour eux personnellement en termes économiques et financiers associés à l'abandon de la poursuite de l'hégémonie mondiale. Pendant plus de cent ans, aucun président américain n'a jamais placé son pays au même niveau que les autres, a abandonné le concept de nation (les États-Unis) «choisi par Dieu».<br /><br />Dans un article publié il ya quelques semaines, j'ai essayé de jeter les bases d'une future administration américaine, en mettant fortement l'accent sur la politique étrangère et en révélant un changement possible dans les relations étrangères historiques américaines. Dans un passage que j'ai écrit:<br /><br />«Donald Trump a émergé avec une stratégie de politique étrangère précise, forgée par divers penseurs politiques du monde réaliste tel que Waltz et Mearsheimer, trashing toutes les récentes politiques néo-conservatrices et néolibérales d'intervention étrangère (R2P - Droit de protéger) et les campagnes de soft power En faveur des droits de l'homme. Plus de résolutions de l'ONU, subtilement utilisées pour bombarder des nations (Libye). Trump ne croit pas au rôle central de l'ONU et le réaffirme à plusieurs reprises.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-752477774098989423.post-8879389094286158032017-02-21T23:39:23.296-08:002017-02-21T23:39:23.296-08:00Les médias qui avaient été silencieux au cours de ...Les médias qui avaient été silencieux au cours de l'administration Obama ont légitimement condamné rapidement le meurtre de personnes innocentes et des critiques sévères ont été adressées à l'administration pour cette opération. Il est tout à fait possible que l'opération soit mise en échec, destinée à délégitimer les capacités opérationnelles de la nouvelle équipe Trump. Etant donné les liens entre al-Qaïda, les Saoudiens et les néoconservateurs, quelque chose d'historiquement prouvé, il n'est pas impensable que l'échec de l'opération soit une conséquence d'une tentative initiale de saboter Trump sur un aspect clé de sa présidence, Contre-terroristes contre le terrorisme islamiste.<br /><br />Une autre composante structurelle dans les tentatives de miner l'administration Trump concerne le déploiement des troupes de l'OTAN et des États-Unis sur la frontière occidentale de la Fédération de Russie. Cette tentative est évidente et est l'une des stratégies visant à empêcher un rapprochement entre Washington et Moscou. L'UE persiste dans sa politique défaite, en focalisant son attention sur la politique étrangère au lieu de gagner l'indépendance stratégique grâce à la nouvelle présidence. Il est maintenant plus clair que les dirigeants de l'Union européenne, et en particulier les représentants politiques actuels en Allemagne et en France, ont toujours l'intention de continuer dans la direction fixée par la présidence Obama, cherchant une confrontation futile avec la Fédération de Russie au lieu d'un rapprochement sensible .<br /><br />L'Europe continue d'insister sur des politiques économiques et sociales défaillantes qui mèneront à la faillite, en utilisant les questions de politique étrangère comme diversions et excuses. Les conséquences de ces efforts faussés favoriseront inévitablement l'élection de partis nationalistes et populistes, comme on le voit aux États-Unis et dans d'autres pays, ce qui finira par la destruction de l'UE. Pour l'état profond des États-Unis et leurs objectifs à long terme, cette tactique a un double effet: elle empêche le bon fonctionnement de l'UE et arrête de manière significative tout rapprochement entre l'UE et la Fédération de Russie. Cette dernière stratégie est de plus en plus irréversible compte tenu des élites actuelles de l'Union européenne. En ce sens, le Royaume-Uni, grâce à Brexit, semble avoir rompu et a commencé à restructurer lentement ses priorités en matière de politique étrangère, en harmonie avec l'isolationnisme de Trump.huemaurice5https://www.blogger.com/profile/15573528055092106161noreply@blogger.com