- ENTREE de SECOURS -



dimanche 14 mai 2017

MON PIRE CAUCHEMAR – Isabelle Huppert, Benoît Pœlvoorde, Virginie Efira

https://www.youtube.com/watch?v=hn0OSUMAFFo

15 commentaires:

  1. Le Département d’Etat USA finance les fausses informations contre le Venezuela


    Publié le 13 Mai 2017
    par France Révolution


    L’establishment des Etats-Unis finance constamment des médias de presse et des journalistes étrangers en fonction de leurs plans d’intervention dans des pays essentiels pour leur contrôle politique mondial, comme le Venezuela.

    Des organes du gouvernement comme le département d’Etat, le département de la Défense, l’USAID et la NED finançaient le « développement des médias » dans plus de 70 pays en 2008, en particulier des organisations non gouvernementales étrangères (ONG), des associations de journalistes, des médias d’information et des espaces d’enseignement du journalisme.

    Les corporations et leurs gouvernements (ces « corporations » ont-elles plusieurs gouvernements?) ont besoin que l’exercice de la propagande soit secret grâce à des esthétiques et à des langages apparemment neutres avec des éléments de rapidité et de réactivité. Ainsi, celui qui reçoit l’information peut considérer comme raisonnable que le message se répande partout, sans voir l’intention ou les intérêts qui sont derrière les données fournies, laissant leur fibre émotionnelle et sentimentale être le seul intermédiaire entre la « vérité » et sa consommation.

    Des dollars pour un environnement opérationnel provocateur

    La tâche de financer la confusion, en faveur d’une situation de guerre non conventionnelle contre le Venezuela, est dirigée par le département d’Etat. C’est ce que montre la Justification Budgétaire du Congrès (Congressional Budget Justification or CBJ), un rapport annuel fait au Congrès des Etats-Unis par cet organisme sur ses opérations à l’étranger.

    En finançant les médias vénézuéliens, les Etats-Unis renforcent l’une des armes les plus puissantes contre le chavisme. Mark Weisbrot, un économiste du Centre de Recherche Économique et Politique (Center for Economic and Policy Research), un think-tank de Washington, a affirmé que « dans un certain nombre de pays, y compris le Venezuela et la Bolivie, l’USAID agit plus comme une agence impliquée dans des actions secrètes, comme la CIA, que comme une agence d’aide ou de développement. »

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  2. Les noms des organisations étrangères spécifiques qui reçoivent ces fonds sont des secrets d’Etat, exactement comme dans le cas de la CIA. Quand on demande des informations sur les organisations réceptrices, l’USAID répond qu’elle ne peut « confirmer ou nier l’existence d’antécédents ».

    Des réseaux croisés, un financement efficace et direct

    Entre 2007 et 2009, le département d’Etat a destiné au moins 4 millions de dollars à des journalistes en Bolivie, au Nicaragua et au Venezuela, par l’intermédiaire de la fondation Panaméricaine pour le Développement (Fupad, or PADF) qui a son siège à Washington et a été créée par le Département d’Etat en 1962 et « affiliée » à l’OEA.

    Selon le journaliste Jeremy Bigwood, ce montant a été concentré sur le paiement du meilleur des médias d’information du Venezuela et sur le recrutement de jeunes journalistes. Les découvertes de Bigwood ont compris un document du département d’Etat intitulé « conditions » qui est toujours inaccessible en ligne. Là, on appelle les ONG Espace Public et Institut Presse et Société (IPYS).

    Un rapport publié en mai 2014 par le think-tank européen de centre-droite Fride (également retiré du site web peu après sa publication) a révélé le financement par les Etats-Unis du journalisme vénézuélien. Depuis 2002, les Etats-Unis ont investi entre 3 et 6 millions de dollars par an dans « de petits projets avec des partis politiques et des ONG. »

    Selon un rapport encore inachevé de l’USAID, le financement des ONG, des partis et des médias vénézuéliens est passé de 14 millions en 2009 à 5,1 millions de dollars en 2016, 4 de ces derniers étant destinés à la gouvernance et 1 à d’autres. Ce montant représente un peu plus de la moitié de la moyenne de ce qui a été versé pendant ces 15 dernières années (ce montant représente un peu plus de la moitié de ce qui a été versé en moyenne pendant ces 15 dernières années). Ces fonds, qui ont certainement été dilapidés par la classe politique de l’opposition, ont été centrés sur l’attaque médiatique, celle qui a donné le plus de résultats.

    Mensonges renforcés et grossis

    L’un des objectifs, en 2016, selon le CBJ, a été de financer « des médias indépendants, libres et professionnels, renforcés et augmentés. » Pendant cette année et l’année précédente, l’apparition de nouveaux médias digitaux a été aussi importante que le renforcement d’autres déjà existants, dont le développement continue à être important et en augmentation dans les réseaux sociaux, comme El Pitazo, Caraota Digital, Efecto Cocuyo et El Estímulo. Tous, dans un plus ou moins grande mesure, utilisent l’alibi d’être « des médias indépendants. »

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  3. Le département d’Etat affirme que ses activités au Venezuela cherchent « de façon non partisane » à promouvoir les valeurs de la démocratie représentative et les droits de l’homme et à les défendre en améliorant l’accès du public à l’information. Comme nous le verrons plus loin, ces médias produisent de fausses informations (ou fake news).

    Le circuit d’élaboration de la fausse information commence avec la déformation d’un fait, immédiatement reprise par les médias internationaux. La note est effacée en 1 à 4 heures mais l’information continue à tourner sur les réseaux sociaux. Quand on connaît la version réelle, aucun média international ne corrige l’information, tout au moins pas avec la même véhémence. C’est ce qui s’est passé avec plusieurs morts survenues pendant les guarimbas, encore en cours, attribuées à « des collectifs chavistes » (appelés « paramilitaires » par les agents politiques).

    Le département d’Etat a défini la ligne éditoriale des fausses informations : constituer un dossier de terrorisme d’Etat et de crimes contre l’humanité contre le Gouvernement vénézuélien (en faisant usage de la notion de « collectifs paramilitaires ») pour, de cette façon, aiguiser le siège diplomatique et financier contre lui. Comme cela a été fait contre le Nicaragua, Haïti, la Syrie et la Libye.

    Titre : « Des collectifs (chavistes) sont accusés d’être responsables de l’assassinat d’une manifestante à San Cristobal - See more at:

    http://www.investigaction.net/le-departement-detat-usa-finance-les-fausses-informations-contre-le-venezuela/#sthash.hLtju3Ni.dpuf

    Titre : « Des collectifs (chavistes) sont accusés d’être responsables de l’assassinat d’une manifestante à San Cristobal

    Le ministre de l’Intérieur, de la Justice et de la Paix a déclaré que le responsable de cette mort a été un militant de Vente Venezuela, du nom d’Iván Alexis Pernía Pérez. Ce parti politique d’opposition est dirigé par María Corina Machado. La jeune femme ne participait pas aux manifestations comme a tenté de l’affirmer Efecto Cocuyo.

    Le Journal El Pitazo n’a pas été en reste et, dans le cadre de l’opération de propagande, y a ajouté l’intérêt malsain qu’espérait tant son auditoire.


    Titre : Des collectifs (chavistes) ont volé, persécuté et tiré sur Paola Ramirez - See more at:

    http://www.investigaction.net/le-departement-detat-usa-finance-les-fausses-informations-contre-le-venezuela/#sthash.hLtju3Ni.dpuf
    Titre : Des collectifs (chavistes) ont volé, persécuté et tiré sur Paola Ramirez

    De la même façon, des médias comme El Estímulo ont aussi généré des contenus de désinformation sur cette même ligne en assurant (sans plus de preuves que des témoignages non vérifiables et peu clairs) que ces organisations « répriment » les manifestations pacifiques de l’opposition. Dans ce cas, ils jouent sur la corde sensible stimulée par le fait qu’il s’agit d’une femme. Jusqu’à présent, ni El Estímulo ni les « attaqués » en question n’ont présenté de preuves de cela.

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  4. Titre: des collectifs (chavistes) tirent sur des participants aux manifestations menées par Tintori, Capriles et Machado - See more at:

    http://www.investigaction.net/le-departement-detat-usa-finance-les-fausses-informations-contre-le-venezuela/#sthash.hLtju3Ni.dpuf

    Titre: des collectifs (chavistes) tirent sur des participants
    aux manifestations menées par Tintori, Capriles et Machado

    Dans le cas de Roberto Enríquez, tous les médias ont construit la fausse nouvelle de son arrestation alors qu’il est actuellement clandestin et demande l’asile politique à l’ambassade du Chili à Caracas parce qu’il est impliqué dans la préparation d’actes terroristes.

    De même, dans le contexte des protestations violentes qui se sont déroulées à El Valle le 20 avril dernier, après une convocation de la MUD, ces mêmes médias ont cherché à blanchir les groupes violents qui ont provoqué le chaos et surtout ses artisans politiques.

    Un autre aspect tout aussi efficace concerne le traitement et le positionnement d’images d’autres lieux, sites ou dates, dans le but d’annuler la capacité de réflexion des lecteurs. Il s’agit de leur faire peur et de provoquer un lavage de cerveau médiatique. On pourra prendre l’exemple de Caraota Digital qui, afin de rendre compte de la « répression » à Paraíso…

    Attention ! Des collectifs (chavistes) provoquent des dégâts dans la voie rapide Prados del Este - See more at: http://www.investigaction.net/le-departement-detat-usa-finance-les-fausses-informations-contre-le-venezuela/#sthash.hLtju3Ni.dpuf

    Attention ! Des collectifs (chavistes) provoquent des dégâts
    dans la voie rapide Prados del Este

    …a repris la même photo qu’avait utilisée Dollar Today afin d’accuser les « collectifs » d’être responsables des dégâts causés à Prados del Este, où des groupes violents identifiés comme faisant partie de l’opposition étaient présents depuis la veille au soir.

    L’instrumentalisation des fausses informations comme arme d’une guerre psychologique et médiatique leur a servi, entre autres, à provoquer des scénarios d’intervention contre la Lybie et la Syrie. On pourra prendre comme exemple le supposé bombardement de la Place Verte à Tripoli en 2011, ou « l’attaque chimique » du gouvernement syrien la même année. Les mêmes méthodes sont utilisées au Venezuela avec l’obtention des mêmes résultats comme objectif.

    Traduit de l’espagnol par Françoise Lopez pour Bolivar Infos. Relecture par Investig’Action

    Source : Mision Verdad

    http://www.investigaction.net/le-departement-detat-usa-finance-les-fausses-informations-contre-le-venezuela/#sthash.hLtju3Ni.dpuf

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    1. Au Venezuela, la liberté de la presse est appliquée et des journaux d'opposition (qui ont leur siège à l'étranger) impriment leurs journaux au Venezuela !! et les diffusent dans tous les kiosques comme sont également établis des stations de radios étrangères ainsi que des chaînes de télévision !!! Imaginez seulement que des journaux étrangers (+ radios/télés) soient établis et diffusés dans VOTRE pays !!!

      C'est ainsi que n'importe quel pays ennemis peut utiliser de faux manifestants dans les vraies rues de Caracas et les payer pour tuer afin d'être confrontés à la police !

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  5. Paul Craig Roberts Rages "Êtes-vous prêt à mourir ?"


    Par Tyler Durden
    13 mai 2017 10h30
    par Paul Criag Roberts,


    "Il y a cinquante ans, les rues de Leningrad m'ont enseigné une chose: si un combat est inévitable, vous devez frapper d'abord." Vladimir Poutine

    Dans le roman dystopique de George Orwell de 1949, 1984, les informations qui ne concordent plus avec les explications de Big Brother sont rejetées dans le trou mémoire. Dans la véritable dystopie américaine dans laquelle nous vivons actuellement, l'information n'est jamais rapportée.

    Le 26 avril - il y a 16 jours - Le lieutenant général Viktor Poznihir, chef adjoint de la direction des opérations principales des forces armées russes, a déclaré à la Conférence internationale de sécurité de Moscou que le commandement opérationnel de l'état-major général russe a conclu que Washington prépare Une première attaque nucléaire sur la Russie.

    Voir:

    Https://www.rt.com/news/386276-us-missile-shield-russia-strike/

    Http://www.fort-russ.com/2017/04/us-forces-preparing-sudden-nuclear.html

    Https://www.times-gazette.com/ap%20general%20news/2016/10/12/russia-china-to-mull-joint-response-to-us-missile-shield

    Http://themillenniumreport.com/2017/04/us-forces-preparing-sudden-nuclear-strike-on-russia-moscow-security-conference/

    Le Times-Gazett à Ashland, dans l'Ohio, était le seul média imprimé américain à faire apparaître une recherche Google qui rapporte ces annonces les plus alarmantes. Une recherche Google n'a révélé aucun rapport sur la TV américaine et aucune sur les médias canadiens, australiens, européens ou autres que les sites RT et Internet.

    J'ai été incapable de trouver un rapport selon lequel un sénateur ou un représentant des États-Unis ou un politicien européen, canadien ou australien ont suscité une grande inquiétude.

    Personne à Washington n'a parlé au téléphone pour dire à Poutine que c'était une erreur, que les États-Unis ne préparaient pas une première attaque nucléaire sur la Russie ou demandent à Poutine comment cette situation grave pourrait être désamorcée.

    Les Américains ne le savent même pas, à l'exception de nos lecteurs.

    Je m'attendais au moins à ce que la CIA aurait planté l'histoire dans le Washington Post, le New York Times, CNN, MSNBC et NPR que le général Poznihir exprimait son opinion personnelle, rien à prendre au sérieux. Mais apparemment les Américains et leurs vassaux européens ne savent même pas qu'une telle accolade a été faite.

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  6. Paul Craig Roberts Rages "Êtes-vous prêt à mourir ?"


    Par Tyler Durden
    13 mai 2017 10h30
    par Paul Criag Roberts,


    "Il y a cinquante ans, les rues de Leningrad m'ont enseigné une chose: si un combat est inévitable, vous devez frapper d'abord." Vladimir Poutine

    Dans le roman dystopique de George Orwell de 1949, 1984, les informations qui ne concordent plus avec les explications de Big Brother sont rejetées dans le trou mémoire. Dans la véritable dystopie américaine dans laquelle nous vivons actuellement, l'information n'est jamais rapportée.

    Le 26 avril - il y a 16 jours - Le lieutenant général Viktor Poznihir, chef adjoint de la direction des opérations principales des forces armées russes, a déclaré à la Conférence internationale de sécurité de Moscou que le commandement opérationnel de l'état-major général russe a conclu que Washington prépare Une première attaque nucléaire sur la Russie.

    Voir:

    Https://www.rt.com/news/386276-us-missile-shield-russia-strike/

    Http://www.fort-russ.com/2017/04/us-forces-preparing-sudden-nuclear.html

    Https://www.times-gazette.com/ap%20general%20news/2016/10/12/russia-china-to-mull-joint-response-to-us-missile-shield

    Http://themillenniumreport.com/2017/04/us-forces-preparing-sudden-nuclear-strike-on-russia-moscow-security-conference/

    Le Times-Gazett à Ashland, dans l'Ohio, était le seul média imprimé américain à faire apparaître une recherche Google qui rapporte ces annonces les plus alarmantes. Une recherche Google n'a révélé aucun rapport sur la TV américaine et aucune sur les médias canadiens, australiens, européens ou autres que les sites RT et Internet.

    J'ai été incapable de trouver un rapport selon lequel un sénateur ou un représentant des États-Unis ou un politicien européen, canadien ou australien ont suscité une grande inquiétude.

    Personne à Washington n'a parlé au téléphone pour dire à Poutine que c'était une erreur, que les États-Unis ne préparaient pas une première attaque nucléaire sur la Russie ou demandent à Poutine comment cette situation grave pourrait être désamorcée.

    Les Américains ne le savent même pas, à l'exception de nos lecteurs.

    Je m'attendais au moins à ce que la CIA aurait planté l'histoire dans le Washington Post, le New York Times, CNN, MSNBC et NPR que le général Poznihir exprimait son opinion personnelle, rien à prendre au sérieux. Mais apparemment les Américains et leurs vassaux européens ne savent même pas qu'une telle accolade a été faite.

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  7. Si vous convainquez quelqu'un que vous allez les tuer, ils vont vous tuer en premier. Un gouvernement, comme ce qui existe à Washington, qui convainquent les pays puissants auxquels ils sont ciblés, est un gouvernement qui n'a aucun respect pour la vie de son propre peuple ou des peuples du monde ou pour toute vie sur la planète Terre.

    Un tel gouvernement comme Washington est le mal au-delà de toute mesure, de même que les putains de médias et les États vétérinaires européens, canadiens, australiens et japonais qui servent Washington aux dépens de leurs propres citoyens.

    Malgré tous leurs efforts pour croire autrement, les dirigeants russes et chinois sont finalement arrivés, tardivement, à la conscience que Washington est au cœur et est l'agent de Satan.

    Pour la Russie et la Chine, le Mal Satanique qui règne en Occident a réduit le choix de la Russie et de la Chine pour eux ou pour nous.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-13/paul-craig-roberts-rages-are-you-ready-die

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  8. Europol indique quand pourrait commencer une nouvelle vague de cyberattaques


    INTERNATIONAL
    13:57 14.05.2017


    La cyberattaque mondiale qui frappe la planète depuis vendredi a fait 200.000 victimes, essentiellement des entreprises, dans au moins 150 pays. Selon Europol, le nombre de victimes augmentera «quand les gens retourneront à leur travail lundi et allumeront leur ordinateur».

    Coopération antiterroriste, Telegram fait la sourde oreille, selon Europol

    Enquêteurs et experts informatiques internationaux traquaient dimanche les pirates à l'origine de la cyberattaque mondiale qui a fait plus de 200 000 victimes dans au moins 150 pays, selon l'European Police Office (Europol) qui craint une recrudescence du virus lundi.

    Le dernier décompte fait état de plus de 200 000 victimes, essentiellement des entreprises, dans au moins 150 pays. Nous menons des opérations contre environ 200 cyberattaques par an mais nous n'avions encore jamais rien vu de tel », a déclaré le directeur d'Europol, Rob Wainwright, à la chaîne britannique ITV.

    L'attaque a frappé « de manière indiscriminée » et s'est « propagée très rapidement », a ajouté le patron d'Europol. En outre, ce dernier craint que le nombre de victimes continue d'augmenter « lorsque les gens retourneront à leur travail lundi et allumeront leur ordinateur ».

    Cette attaque, qui a débuté vendredi, a affecté les hôpitaux britanniques, le constructeur automobile français Renault, le système bancaire russe, le groupe américain FedEx ou encore des universités en Grèce et en Italie.

    Europol avait annoncé samedi qu'une équipe dédiée au sein de son Centre européen de lutte contre la cybercriminalité (EC3) avait été « spécialement montée pour aider » l'enquête internationale chargée d'identifier les coupables.

    Interpol et Europol espionnés par les services secrets allemands

    « Il est très difficile d'identifier et même de localiser les auteurs de l'attaque. Nous menons un combat compliqué face à des groupes de cybercriminalité de plus en plus sophistiqués qui ont recours à l'encryptage pour dissimuler leur activité. La menace est croissante », a souligné Rob Wainwright.

    « Nous ne connaissons pas encore les motivations des pirates », a-t-il développé, ajoutant que « généralement, elles sont de type criminel ».

    De la Russie à l'Espagne et du Mexique au Vietnam, des centaines de milliers d'ordinateurs, surtout en Europe, ont été infectés par un logiciel de rançon, dit « rançongiciel », exploitant une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l'Agence nationale de la sécurité américaine (NSA).

    Ce logiciel malveillant verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d'argent, en l'occurrence 300 dollars (275 euros), pour en recouvrer l'usage. La rançon est demandée en monnaie virtuelle bitcoin, difficile à tracer.

    https://fr.sputniknews.com/international/201705141031376050-europol-cyberattaques-nouvelle-vague/

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  9. La Réserve fédérale doit s'en aller


    Par Michael Snyder,
    Le 14 mai 2017


    Si vous souhaitez réparer définitivement l'économie américaine, il n'y a vraiment aucun autre choix. Même avant que le cri de ralliement de Ron Paul de "End The Fed" ait secoué l'Amérique au cours du pic du mouvement Tea Party, j'étais un grand défenseur de la fermeture de la Réserve fédérale. Parce que peu importe la difficulté que nous essayons de réparer autrement, la vérité est que notre système financier fondé sur la dette a été fondamentalement imparfait dès le début, et la Réserve fédérale est le cœur même de ce système. Voici un aperçu gratuit d'un livre à venir sur lequel je travaille pour savoir comment transformer ce pays en une direction plus positive ...

    *****

    En tant qu'éditeur de The Economic Collapse Blog, il a eu des moments où j'ai été critiqué pour avoir trop mis l'accent sur nos problèmes économiques et pas assez sur les solutions. Mais je crois que, pour être disposé à accepter les solutions nécessaires, les gens doivent avoir une compréhension complète de la véritable sévérité de nos problèmes. Ce n'est pas par hasard que nous avons fini avec 20 billions de dollars de dettes. En 1913, un projet de loi a été précipité par le Congrès juste avant Noël, fondé sur un plan développé en secret par des banquiers très puissants de Wall Street. G. Edward Griffin a fait un travail incroyable pour documenter le développement de ce plan dans son livre révolutionnaire «La créature de l'île de Jekyll: un deuxième regard sur la Réserve fédérale». À cette époque, la plupart des Américains n'avaient aucune idée de ce qu'est une banque centrale ou de ce que l'on veut dire pour l'économie américaine. Malheureusement, même si plus d'un siècle s'est écoulé depuis cette époque, la plupart des Américains ne comprennent toujours pas la Réserve fédérale.

    La Réserve fédérale a été conçue pour créer une dette et, bien sûr, les banquiers de Wall Street étaient très enthousiasmés par un tel système parce qu'il les rendrait encore plus riches. Depuis que la Fed a été créée en 1913, la dette nationale des États-Unis a augmenté de plus de 5000 fois et la valeur du dollar américain a diminué d'environ 98 pour cent. Donc, la Réserve fédérale fait ce qu'il a été conçu à l'origine. En fait, il a probablement fonctionné mieux que les concepteurs d'origine rêvés éventuellement.

    Il y a souvent beaucoup de confusion au sujet de la Réserve fédérale, parce que beaucoup de gens pensent que c'est simplement une agence du gouvernement fédéral. Mais bien sûr que ce n'est pas vrai du tout. En fait, comme Ron Paul l'a dit, la Réserve fédérale est à peu près aussi «fédérale» que Federal Express.

    La Fed est une banque centrale indépendante qui a même plaidé en justice que ce n'est pas une agence du gouvernement fédéral. Oui, le président nomme le leadership de la Fed, mais la Fed et d'autres banques centrales du monde entier ont toujours gardé leur «indépendance» vigoureusement gardée. Sur le site officiel de la Fed, il est admis que les 12 banques régionales de la Réserve fédérale sont organisées «comme les sociétés privées» et qu'elles fonctionnent très bien comme des entités privées. Ils émettent même des actions de titres aux banques privées qui les possèdent.

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  10. Dans le cas où vous vous demandiez, le gouvernement fédéral n'a pas de parts.

    Les gens américains sont constamment informés que les décisions de la Fed doivent être «au-dessus de la politique» parce qu'elles sont «trop importantes» pour être politisées. Donc, même si tout le reste de notre société est en voie de débat politique, nous sommes devenus convaincus que la Réserve fédérale devrait être hors limites.

    Aujourd'hui, la Réserve fédérale a plus de pouvoir sur la performance de l'économie américaine que quiconque, et cela comprend le président. La Fed est connue sous le nom de «la quatrième branche du gouvernement», et une déclaration unique du président de la Fed peut envoyer les marchés financiers mondiaux en flèche ou en flèche.

    Donc, même si les présidents ont tendance à obtenir la plus grande partie du crédit ou la plus grande responsabilité de la façon dont l'économie américaine fait, la vérité est que la Fed est en fait celle qui tire la plupart des cordes. En conjonction avec le Congrès, les présidents peuvent se contenter de règlements et de taux d'imposition, mais en fin de journée, leur influence sur l'économie évolue par rapport à ce que la Fed peut faire.

    Pour ceux qui n'ont jamais rencontré ce matériel avant, cela peut être difficile à saisir d'abord, alors commençons par quelque chose de très simple.

    Accédez à votre porte-monnaie ou votre sac à main et retirez un billet à un dollar.

    Au sommet, vous remarquerez qu'il dit "Note de la Réserve fédérale" en grandes lettres en caractères gras.

    Si vous demandez à 99% des personnes aux États-Unis d'où proviennent les fonds, ils ne pourront pas vous le dire. Notre argent est réellement créé et émis par la Réserve fédérale, mais ce n'est pas ce que nos fondateurs ont voulu. Conformément à l'article I, section 8 de la Constitution des États-Unis, le Congrès a expressément le pouvoir de «cadrer de l'argent, de réglementer sa valeur et de monnaie étrangère et de fixer la norme de poids et de mesures».

    Alors pourquoi la Réserve fédérale le fait-elle ?

    Beaucoup d'Américains fonctionnent toujours sous l'hypothèse que le gouvernement fédéral a une «imprimerie» et que si jamais nous avons trop de problèmes de dette, le gouvernement pourrait simplement créer et consacrer beaucoup d'argent à la circulation.

    Mais ce n'est pas la façon dont notre système fonctionne actuellement.

    Au lieu de cela, c'est la Réserve fédérale qui crée tous les nouveaux fonds. Une fois que cette nouvelle monnaie est créée, le gouvernement fédéral l'emprunte alors et la dépense.

    Auparavant, j'ai écrit comment cela fonctionne ...

    Lorsque le gouvernement américain décide qu'il veut dépenser un autre milliard de dollars qu'il n'a pas, il n'imprime pas un milliard de dollars.

    Au contraire, le gouvernement des États-Unis crée une foule d'obligations du Trésor américain (dette) et les transmet à la Réserve fédérale.

    La Réserve fédérale crée un milliard de dollars de l'air et les échange pour les bons du Trésor américain.

    (Http://theeconomiccollapseblog.com/archives/why-donald-trump-must-shut-down-the-federal-reserve-and-start-issuing-debt-free-money)

    Cela n'a aucun sens du tout.

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  11. Pourquoi le gouvernement américain doit-il emprunter de l'argent que crée la Réserve fédérale? Pourquoi ne peuvent-ils pas créer l'argent eux-mêmes ?

    C'est le grand secret dont personne n'est censé connaître.

    Théoriquement, le gouvernement fédéral ne doit pas emprunter un penny. Au lieu d'emprunter de l'argent créé par la Réserve fédérale, il pourrait simplement créer de l'argent directement et le mettre en circulation.

    Mais alors, nous ne serions pas une dette de 20 billions de dollars.

    Une fois que la Réserve fédérale a reçu des obligations du Trésor aux États-Unis en échange des «billets de la Réserve fédérale» que le gouvernement fédéral a demandés, la Fédérité dépasse ces obligations auprès du plus offrant. Mais comme je l'ai noté tellement de fois auparavant, ce processus crée toujours plus de dettes que l'argent ...

    Les obligations du Trésor américain que la Réserve fédérale reçoit en échange de l'argent qu'il a créé à partir de rien sont mises aux enchères par le système de la Réserve fédérale.

    Mais attendez.

    Il ya un problème.

    Étant donné que le gouvernement américain doit payer des intérêts sur les obligations du Trésor, le montant de la créance créée par cette transaction est supérieur au montant généré.

    Alors, où le gouvernement américain recevra-t-il l'argent pour payer cette dette ?

    Eh bien, la théorie est que nous pouvons obtenir de l'argent pour circuler dans l'économie vraiment, très vite et l'imposer à un taux suffisamment élevé pour que le gouvernement puisse collecter suffisamment d'impôts pour payer la dette.

    Mais cela ne se produit jamais, n'est-ce pas ?

    Et les créateurs de la Réserve fédérale ont compris cela aussi. Ils ont compris que le gouvernement américain n'aurait pas assez d'argent pour diriger le gouvernement et servir la dette nationale. Ils savaient que le gouvernement américain devrait continuer à emprunter encore plus d'argent pour tenter de suivre le jeu.

    (http://theeconomiccollapseblog.com/archives/why-donald-trump-must-shut-down-the-federal-reserve-and-start-issuing-debt-free-money)

    À partir de 1913, ce processus a créé une spirale de dette sans fin qui a entraîné l'endettement de 20 trillions de dollars américains. C'est la plus grande montagne de dettes dans l'histoire du monde, et cela n'a pas eu à se produire.

    En fait, si nous avions utilisé de l'argent sans dettes tout ce temps, nous pourrions théoriquement être complètement endettés.

    Beaucoup de conservateurs là-bas sont toujours sous l'illusion que si nous pouvions simplement développer l'économie assez rapidement pour pouvoir rembourser toute cette dette un jour, mais comme je l'ai démontré dans un article précédent, cela est mathématiquement impossible. (Http://theeconomiccollapseblog.com/archives/it-is-maticalmatic-impossible-to-pay-off-all-of-our-debt)

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  12. Toute cette dette menace de détruire l'avenir brillant que nos enfants et nos petits-enfants devaient avoir. Il est absolument immoral de transmettre une dette aussi importante aux générations futures, mais nous le faisons de toute façon.

    Bien sûr, les États-Unis sont loin d'être seuls à cet égard. Aujourd'hui, plus de 99,9% de la population du monde vit dans un pays qui possède une banque centrale.

    Il n'y a littéralement rien d'autre que la planète entière soit d'accord presque à l'unanimité, et pourtant, d'une façon ou d'une autre, le globe entier a choisi d'adopter une banque centrale basée sur l'endettement.

    Pensez-vous que ce n'est qu'un hasard ?

    Une poignée de nations extrêmement petites, comme les États fédérés de Micronésie, n'ont toujours pas de banque centrale, mais le seul grand pays à ne pas en avoir une est la Corée du Nord.

    Je ne comprends pas pourquoi plus de gens ne parlent pas de cela. Si nous voulons vraiment réformer la façon dont les choses sont réalisées économiquement, il devrait commencer par la banque centrale.

    La vérité est que nous n'avons pas besoin d'une banque centrale.

    Permettez-moi de le répéter.

    Nous n'avons pas besoin d'une banque centrale.

    La plus grande période de croissance économique dans l'ensemble de l'histoire des États-Unis était quand il n'y avait pas d'impôt sur le revenu ni de banque centrale. (Http://theeconomiccollapseblog.com/archives/during-the-best-period-of-economic-growth-in-u-s-history-there-was-no-comecome-tax-and-no-federal-reserve)

    Un tel système serait inimaginable pour beaucoup de gens aujourd'hui, mais c'est tout à fait possible.

    Au lieu d'une banque centrale créant une monnaie d'endettement pour nous, le gouvernement fédéral pourrait créer directement des fonds sans dette.

    Et au lieu des planificateurs centraux socialistes fixant nos taux d'intérêt pour nous, nous pourrions permettre au marché libre de fixer nos taux d'intérêt.

    Nous sommes supposés être un pays de marché libre avec une économie de marché gratuite, et nous n'avons donc pas besoin de bureaucrates fédéraux pour le gérer.

    Le marché libre fera toujours un meilleur travail à long terme alors que les bureaucrates le feront. Comme je l'ai noté plus tôt, la plus grande période de croissance économique de l'histoire des États-Unis était juste avant que la Réserve fédérale ne soit créée en 1913, mais depuis, il y a eu 18 récessions ou dépressions distinctes: 1918, 1920, 1923, 1926, 1929, 1937, 1945, 1949, 1953, 1958, 1960, 1969, 1973, 1980, 1981, 1990, 2001, 2008.

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  13. Maintenant, nous nous trouvons au bord d'un autre ralentissement majeur, et les gens ne l'obtiennent toujours pas.

    Tant que la Réserve fédérale existe, il y aura des «boum» et des «bustes» comme ça.

    Il est temps pour un changement.

    Pendant les bons moments, les critiques de la Fed tendent à diminuer. Et sans aucun doute, la bulle après la fin de la dernière récession a duré beaucoup plus longtemps que beaucoup de gens l'auraient pensé, mais toutes les bulles créées par la Fed finiraient finalement.

    Nous avons désespérément besoin de nous libérer de ce système, et un grand pas dans cette direction serait un rejet de la monnaie basée sur la dette.

    Si vous ne pensez pas que cela peut arriver, vous devriez considérer ce qui s'est passé en 1963. Le président John F. Kennedy a signé l'ordonnance 11110 qui a autorisé le Trésor américain à émettre des "billets américains" sans dette qui ont été directement créés par le gouvernement fédéral gouvernement.

    Malheureusement, il a été assassiné peu de temps après que cette ordonnance ait été signée.

    Vous pouvez toujours trouver des "billets des États-Unis" en circulation aujourd'hui, et ils sont souvent vendus sur des sites d'enchères tels que eBay parce que les gens aiment les collecter.

    À tout moment, la Maison Blanche pourrait faire quelque chose de semblable aujourd'hui.

    Tout ce qu'il faut, c'est la volonté de le faire.

    L'emprunteur est le serviteur du prêteur, et le système de la Réserve fédérale fondé sur l'endettement nous a tous transformés en esclaves de la dette.

    Si nous ne voulons pas que les générations futures d'Américains soient asservis à la dette, nous devons fermer la Réserve fédérale et commencer à utiliser une monnaie sans dette. Toutes les fonctions essentielles que la Fed effectue actuellement peuvent finalement être reprises par le Trésor américain et, bien sûr, nous pouvons faire la transition progressive afin de ne pas paniquer complètement sur les marchés financiers mondiaux.

    L'élite mondiale utilise la banque centrale et les monnaies basées sur la dette pour dominer la planète. Aujourd'hui, le montant total de la dette dans le monde a tiré plus de 150 billions de dollars, et il continuera seulement à croître jusqu'à ce que l'humanité se réveille et se rend compte de la folie d'utiliser un système financier fondé sur la dette.

    Ici aux États-Unis, nous avons besoin de gens dans le gouvernement qui comprennent ces choses et qui sont disposés à faire quelque chose à ce sujet.

    La Réserve fédérale doit aller, et je ne m'excuserai jamais de le dire.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-federal-reserve-must-go

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    1. (...) Pourquoi le gouvernement américain doit-il emprunter de l'argent que crée la Réserve fédérale? Pourquoi ne peuvent-ils pas créer l'argent eux-mêmes ? (...)

      HAHAHAHA !

      Tant qu'un pays n'a la démocratie que dans ses paroles vaines et qu'elle n'est pas appliquée voire demandée au peuple dans le but d'être appliquée, le pays ne PEUT PAS marcher.

      Pourquoi AUCUN économiste (ou se disant) ne parle du modèle Suisse ou de celui de Kadhafi qui interdisait le crédit ?

      ------------------------------

      Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain

      jeudi 23 octobre 2014

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html

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