- ENTREE de SECOURS -



lundi 3 avril 2017

Crise climatique. CO2 : les mensonges délirants de l’IPCC (6)

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Dans son cinquième « Assessment Report AR5 (2013) l’IPCC a écrit (Chap.12-FAQ 12.3, p. 1107), je cite : « La température globale ne peut pas réagir rapidement aux changements de la concentration des gaz à effet de serre … L’élimination des émissions de gaz carbonique conduirait à une température presque constante pendant de nombreux siècles (effet des émissions passées) … En raison de la grande inertie du climat et du cycle du carbone, la température globale à long terme est largement contrôlée par les émissions totales de  gaz carbonique accumulées au fil du temps, quel que soit le moment où elles ont été émises« . En soi cette affirmation est en conformité avec les observations déduites du changement de climat, c’est-à-dire du réchauffement au cours de la seconde moitié du XXe siècle, qui peut être rapproché directement de l’augmentation du gaz carbonique durant cette période : en gros 100 ppm et 0,8 °C. L’IPCC ajoute que, je cite : « Ceci s’explique par le processus extrêmement long d’élimination du  gaz carbonique atmosphérique d’origine anthropogénique, ce qui signifie que le concept d’une durée de vie caractéristique et unique n’est pas applicable au  gaz carbonique» (AR5-Chap.6-Box-6.1).
Toute la supercherie de l’IPCC à propos du réchauffement climatique d’origine humaine repose essentiellement sur ces deux citations. En d’autres termes plus simples à comprendre pour un non-spécialiste que j’étais mais plus trop maintenant après avoir lu dans leurs moindres détails un nombre important d’articles scientifiques parus dans des revues à comités de lectures irréprochables : puisque la durée de vie du gaz carbonique dans l’atmosphère est très longue – l’IPCC cite 1 voire plusieurs siècles sinon un millénaire – il faut tout faire pour réduire et pourquoi pas cesser toute émission de gaz carbonique aussi rapidement que possible au risque d’être tous grillés comme des toasts (Christine Lagarde, Davos). C’est là le fondement même des accords sur le climat de Paris qui s’inspirent par ailleurs du fumeux principe de précaution.
Or cette estimation de la durée de vie du gaz carbonique est totalement fantaisiste et encore une fois l’IPCC feint d’ignorer toutes informations ou résultats scientifiques qui contredisent cette allégation montée de toute pièce ne s’appuyant sur aucunes des données scientifiques vérifiables et vérifiées de nombreuses fois par diverses techniques. Plusieurs données irréfutables ont été utilisés pour déterminer la durée de vie du gaz carbonique dans l’atmosphère : la teneur en isotope 13 du carbone dans les combustibles fossiles et la disparition rapide de l’isotope 14 du carbone après 1980 (interdiction des essais nucléaires atmosphériques) provenant de ces essais entre les années 1950 et 1980 (illustration ci-dessous,Wikipedia) ainsi que les carottages dans les glaces du Groenland et de l’Antarctique qui ont toujours indiqué que l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique ne précédait jamais un réchauffement du climat et non pas l’inverse comme le prétend l’IPCC.
Radiocarbon_bomb_spike.png
Il apparait sans contestation possible que la durée de vie du gaz carbonique dans l’atmosphère est précisément de 4,1 années soit 49 mois ! De plus l’augmentation de 0,8 °C de la température moyenne à la surface des océans et du sol (notion très discutable) depuis les années 1850 et accentuée au cours de la seconde moitié du XXe siècle lors du « Golden Spike » solaire appelé aussi optimum solaire moderne a provoqué un dégazage des océans conduisant à une augmentation du  gaz carbonique atmosphérique de 100 ppm alors que l’activité humaine (utilisation de combustibles fossiles) n’a contribué qu’à hauteur de 17 ppm sur une augmentation totale d’environ 120 ppm ! L’activité humaine représente donc aujourd’hui environ 4 % de la totalité du gaz carbonique atmosphérique à n’importe quel instant de l’année et tout gaz carbonique émis aujourd’hui par l’activité humaine aura disparu dans 49 mois …
Il est donc évident que nous nous sommes tous fait rouler dans la farine par l’IPCC, y compris et surtout les décideurs politiques, avec des mensonges tous aussi grossiers les uns que les autres. Il reste cependant un point à éclaircir : pourquoi un organisme onusien s’est-il arrogé le droit de tromper l’ensemble des pays du monde ? Par qui a-t-il été mandaté pour organiser une duperie d’une telle ampleur ?
Source et illustration : Article aimablement communiqué par le Dr Hermann Harde, Helmut-Schmidt-University Hamburg, paru dans le périodique Global Planetary Change, qui est vivement remercié ici.
doi : 10.1016/j.gloplacha.2017.02.009. Le prochain et dernier article de cette série concernant le climat sera relatif aux cycles climatiques et il montrera qu’on s’achemine vers des temps de froidure exceptionnelle.

5 commentaires:

  1. Primo, TOUS les gaz se recyclent. TOUS !

    C'est ainsi que même si le volume de gaz carbonique est augmenté il en est de même par évidence avec le volume d'oxygène dans lequel il se transforme. Oxygène qui rerereredeviendra gaze carbonique etc, etc de puis des millions d'années.

    Car, voyez-vous, avant même que l'homme n'apparaisse sur Terre (ainsi que toute sorte d'autres bestioles), existait déjà... les volcans ! Et, les volcans, émettent des millions de fois plus de pollution que toute l'industrie humaine et... pourtant... l'homme (ou la femme ?) est apparu sur Terre ! Çà alors !! Même pas mort !!

    La 'pollution' c'est quoi ? C'est ramasser quelque chose sur terre ou enfoui dedans, regarder la chose, la casser, la mélanger et... la reposer sur Terre ! Tout ce qui est DE LA TERRE retournera DANS LA TERRE.

    Il en est ainsi depuis des millions d'années !

    Nous-mêmes consommons tous les jours des fruits et légumes dont les racines ont absorbé des particules d'humains morts il y a xxx années ou siècles, comme celle de chiens, d'oiseaux, de poissons venues de décompositions comme d'excréments, etc, etc. C'est de TOUT ÇA qu'est composé à 100 % le corps humain !

    C'est 100 % pollution ! (quoi de plus propre qu'une merde bien lavée ?).

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  2. A quoi l'Amérique veut ressembler lorsque les stocks, les prix à la maison et même les voitures d'occasion assurent tout pour moins de 50 pour cent ?

     
    Par Michael Snyder,
    le 2 avril 2017


    Avez-vous déjà pensé à ce qui vient après la bulle ? En 2008, nous avons eu un bref aperçu de ce que serait la vie, mais la plupart des Américains semblent avoir conclu que la dernière crise financière n'était qu'une poussée mineure dans la voie de la prospérité économique sans fin. Mais bien sûr, la vérité est que le niveau de vie ridiculement élevé que nous apprécions maintenant n'est pas durable, et après cette explosion de bulle, ce sera un ajustement extrêmement douloureux pour notre société.

    Depuis la dernière crise financière, la dette nationale des États-Unis a presque doublé, la dette des entreprises a doublé, les valorisations des actions ont atteint des extrêmes extrêmement ridicules, la bulle de la dette des prêts étudiants a dépassé un milliard de dollars, nous sommes confrontés à la plus grande crise de retraite non financée dans l'histoire américaine, Et dans de nombreuses régions du pays (en particulier la côte ouest), nous sommes confrontés à une bulle immobilière qui est encore pire que celle qui a éclaté en 2007 et en 2008.

    Et même avec toutes ces bulles, la croissance du PIB des États-Unis a été absolument anémique. Même si vous croyez que les chiffres grossièrement manipulés que le gouvernement fédéral a mis en place, l'économie des États-Unis a progressé à un taux «faiblement faible» de seulement 1,6 pour cent en 2016 ...

    En termes de PIB, le quatrième trimestre a été légèrement augmenté, mais il y a eu des ajustements pour les trimestres précédents, et la croissance globale du PIB pour l'année 2016 est restée à un taux faible de 1,6%. Nous avons appelé cette «vitesse de décrochage». Il est difficile pour l'économie américaine de rester à une vitesse lente. Alors que le quatrième trimestre éviscissait tout espoir pour une finition forte, la croissance du PIB en 2016 correspondait à la pire année depuis la Grande Récession.

    Et les bénéfices des entreprises, malgré un marché boursier qui a augmenté depuis des années, sont encore pires. Bien pire. Ils ont diminué depuis des années. En fait, ils ont diminué pendant des années au cours des deux bulles boursières précédentes, de la bulle dotcom et de la bulle pré-financière-crise. Les deux ont fini par se bloquer.

    Les choses ont continué à pire encore au début de 2016. À ce stade, on prévoit que le PIB des États-Unis augmentera à un taux annuel de seulement 0,9% au premier trimestre de 2017.

    Donc, quiconque essaie de vous dire que l'économie des États-Unis est en bonne forme n'est tout simplement pas honnête avec vous.

    Mais même si les choses ne semblent pas géniales maintenant, elles vont regarder loin, bien pire après la plus grande bulle de la dette dans les éclats de l'histoire humaine.

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  3. Par exemple, à quoi pensez-vous que l'Amérique ressemblera après la disparition de la moitié de la richesse boursière? Dans une note récente à ses clients, John P. Hussman a déclaré que son équipe prévoit que, à la fin de ce cycle de marché actuel, «environ la moitié de la capitalisation boursière des États-Unis - 17 milliards de dollars en richesse papier - disparaîtra simplement».

    Et bien sûr, cette projection s'intègre parfaitement avec ce que je dis depuis un bon moment. Afin que les mesures clés de l'évaluation boursière (comme CAPE, etc.) pour revenir à leurs moyennes à long terme, les stocks devront tomber au moins de 40 à 50 pour cent de leurs niveaux actuels.

    Au fur et à mesure que cette crise se manifeste, d'autres classes d'actifs connaîtront également des ralentissements étonnants. Cette semaine, Morgan Stanley (une des banques trop importantes pour échouer) a publié un rapport indiquant que les prix des voitures usagées «pourraient chuter jusqu'à 50%» au cours des prochaines années ...

    Pendant des mois, nous avons parlé de la bulle massive de prêt soutenant le marché automobile américain. Maintenant, notant plusieurs des mêmes préoccupations que nous avons soulignées à plusieurs reprises, l'équipe automobile de Morgan Stanley, dirigée par Adam Jonas, vient de publier un rapport détaillant pourquoi ils pensent que les prix des voitures usagées pourraient s'écraser jusqu'à 50% au cours des 4 à 5 prochains années.

    Les prix du logement sont également amorcés. Cela est particulièrement vrai dans la côte ouest, où l'argent de la technologie et les acheteurs étrangers en provenance d'Asie ont poussé à la maison des valeurs jusqu'aux niveaux vertigineux. Un demi-million de dollars aura de la chance de vous faire une «maison de départ» à San Francisco, et on a signalé qu'un seul technicien vivant là-bas payait 1400 $ par mois juste pour vivre dans un placard. Beaucoup croient que certaines villes de la côte ouest seront très chanceuses si les valeurs de la maison ne diminuent que de 50 pour cent au cours du prochain accident.

    Partout où vous regardez, il y a des bulles. Dans une pièce récente, Daniel Lang en a souligné un peu plus ...

    Eric Rosengren, président de la Federal Reserve Bank de Boston, a récemment fait une admiration tacite. Nous pouvons être au milieu d'une autre bulle immobilière. Les principales institutions financières de ce pays sont en possession de plus de 14 billions de dollars de prêts immobiliers résidentiels. C'est bien plus de 40 000 $ pour chaque homme femme et enfant en Amérique.

    Les faibles taux d'intérêt ont alimenté une bulle dans les emprunts automobiles subprime, et cette bulle semble atteindre ses limites. Il y a maintenant plus d'un million de prêts automobiles ordinaires et subprime qui sont défaillants, un nombre qui n'a pas été élevé depuis 2009.

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  4. Il y a maintenant plus d'un trillion de dollars de dettes de prêts étudiants dans ce pays; Une grande partie de la propriété de familles à faible revenu. Et il y a peu d'espoir que ces étudiants verront un retour sur leur investissement. C'est pourquoi au moins 27% des prêts étudiants sont en défaut. Bien que plus d'un étudiant sur quatre soit en défaut maintenant, ce numéro était un sur neuf il y a une décennie. Et si les tendances actuelles se poursuivent, il pourrait y avoir 3,3 milliards de dollars de dettes de prêts aux étudiants d'ici la fin de la prochaine décennie.

    À un certain point, les déséquilibres deviennent trop géniaux et le système s'effondre sur lui-même.

    En d'autres termes, nous nous dirigeons vers une implosion massive.

    Et une fois que l'implosion se produit, les gens vont absolument se figer. La colère et la frustration jaillissent déjà du point d'ébullition dans tout le pays, et il ne faudra pas beaucoup pour pousser des millions d'Américains à bout de frontière.

    Dans une interview récente avec Greg Hunter, l'auteur James Rickards a averti que lorsque les choses se seraient vraiment mal en Amérique, nous pouvions voir ce qu'il appelle les «émeutes de l'argent» ...

    Alors, pourrions-nous faire face à un monde "Mad Max" si le système financier s'arrête totalement? Rickards dit: «Dans« Road to Ruin », je parle de ce que j'appelle les émeutes de l'argent. Il y a beaucoup de raisons d'émeutes. Lorsque vous commencez à fermer les banques et à la bourse et qu'ils disent que vous ne pouvez pas obtenir votre argent, ce n'est que temporaire, faites-nous confiance, les gens vont commencer à brûler les banques. Le gouvernement est prêt pour cela aussi avec la réponse d'urgence et la loi martiale. . . . Les gouvernements ne descendent pas sans se battre. . . . Vous pouvez voir l'arrêt à venir parce qu'ils essaieront d'acheter du temps jusqu'à ce qu'ils proposent une solution, que ce soit en or, des droits de tirage spéciaux (DTS), des garanties ou tout ce qu'il pourrait être. Il n'y a que deux ou trois possibilités ici, mais tous prendront du temps, et ils devront fermer le système. . . . Les gens ne vont pas s'asseoir pour cela. Donc, cela signifie que les gens vont émeutes. Ils vont brûler les banques. Ils vont briser les fenêtres, mais quelle est la réaction à cela ? La réponse est la loi martiale, la police militarisée, les unités militaires réelles et vous obtenez quelque chose qui ressemble assez au fascisme ".

    Je suis tout à fait d'accord avec son évaluation.

    Tout ce qu'il va falloir est une autre crise financière majeure et cette nation va complètement et complètement insensée.

    Malheureusement, tous nos problèmes économiques à long terme ont beaucoup aggravé depuis la dernière fois, et alors, lorsque les choses s'effondreront cette fois-ci, nous envisagerons probablement un scénario absolument sans précédent dans l'histoire américaine.

    Beaucoup de gens sont devenus très complaisants ces jours-ci, mais c'est une énorme erreur.

    Juste parce qu'une crise est retardée, cela ne signifie pas qu'elle est annulée. Et parce que nos dirigeants ont continué à faire de cette bulle économique de plus en plus grande, cela signifie simplement que la crise à venir sera encore plus pénible qu'elle ne l'aurait été autrement.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/what-is-america-going-to-look-like-when-stocks-home-prices-and-even-used-cars-all-crash-by-at-least-50-percent

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    Réponses

    1. Dans une Démocratie, ce sont les habitants qui votent les lois, proposent, discutent et votent des engagements nationaux comme communaux après consultation du cahiers des charges et... l'économie est surveillée au centime près !

      C'est ainsi que, placer son argent en banque DEVRAIT ÊTRE une sûreté pour tous de le retrouver en totalité augmenté des taux d'intérêt. C'est-à-dire aussi qu'au moment de la retraite, l'épargnant puisera dans SES économies et, à sa mort, sa femme en disposera de la totalité du reste.

      La crise ?! Où est la crise ?

      Par contre, si vous confier votre sécurité à des escrocs et assassins...

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