- ENTREE de SECOURS -



dimanche 19 mars 2017

CASINO - Robert de Niro

https://www.youtube.com/watch?v=uA9UQfDh9NE

27 commentaires:

  1. Les Etats-Unis questionnent libre-échange et accord de Paris au G20 de Baden-Baden


    19 mars 2017, 06:36 - Avec AFP


    Washington a commencé à remettre en cause la doctrine mondiale en faveur du libre-échange et du multilatéralisme, ainsi que la lutte contre le changement climatique, lors d'une réunion du G20 finances en Allemagne.

    La réunion du G20 de Baden-Baden était la première pour l'administration du nouveau président américain Donald Trump, qui affiche des positions hostiles au libre-échange et climato-sceptiques, à rebrousse-poil de celles du groupe. Les Etats-Unis sont parvenus à faire retirer du communiqué final le mot «protectionnisme» et évoquer une renégociation de l'OMC.

    Selon plusieurs sources, le nouveau secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin a très peu parlé pendant les débats, et à l'issue de deux jours de réunion, si Washington n'a pas rompu avec le G20, d'importantes divergences ont été confirmées.

    Depuis des années, le G20 reprenait comme une antienne une phrase condamnant le protectionnisme. Steven Mnuchin a bloqué cette référence, et les membres de sont échinés en vain à trouver une formulation satisfaisante pour tout le monde sur le commerce mondial.

    Face au blocage, les ministres ont choisi une phrase sans grande signification : «nous travaillons à renforcer la contribution du commerce à nos économies».

    «Il faut comprendre : nous ne sommes pas d'accord avec les Etats-Unis, et faute d'accord, le communiqué assure le service minimum», a décrypté le ministre français des Finances Michel Sapin, pour qui ce choix ne traduit pas un recul, mais un blocage de la situation.

    Steven Mnuchin a lui estimé en conférence de presse que «la formulation historique des précédents G20 n'était pas pertinente».

    Au delà des mots

    Mais au-delà de la querelle sémantique, cette réunion de Baden-Baden signale aussi une volonté américaine de remise en cause du multilatéralisme (organisation des relations entre un pays et tous les autres plutôt que de pays à pays) dans la marche de l'économie mondiale, ce multilatéralisme n'était pas jugé efficace pour protéger les citoyens américains des effets néfastes de la mondialisation.

    Steven Mnuchin a ainsi déclaré que les Etats-Unis n'excluaient pas de renégocier les accords de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), socle de la libéralisation des échanges depuis 1995, qui a connu plusieurs revers et se voit concurrencé par de plus en plus d'accord commerciaux régionaux que l'administration Trump entend aussi remettre en cause d'ailleurs.

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  2. «Nous pensons que certaines parties de l'OMC ne sont pas appliquées, et nous allons tenter avec pugnacité de les faire appliquer dans l'intérêt des travailleurs américains», a déclaré Steven Mnuchin lors d'une conférence de presse, ajoutant : «ces accords sont de vieux accords et s'ils ont besoin d'être renégociés, nous envisagerons cela également».

    Michel Sapin a d'ailleurs pointé que pendant les négociations, «le texte américain ne comprenait plus les processus multilatéraux», signe de la défiance américaine.

    Pour autant, plusieurs ministres, dont l'Allemand Wolfgang Schäuble ont insisté sur certaines avancées validées par le G20, que ce soit sur les questions de taux de change, de fiscalité, de lutte contre le financement du terrorisme, où ce fut un G20 de continuité par rapport aux précédents.

    «Les Américains n'ont pas été isolés. C'est le rôle de la présidence du G20 de réunir, pas d'isoler», a déclaré lors de la conférence de presse finale Wolfgang Schäuble, alors que l’Allemagne a tout fait pour éviter une esclandre en place publique.

    Michel Sapin a lui parlé d'un «désaccord entre un pays et tous les autres», faisant part de ses regrets tandis que la directrice générale du Fonds monétaire internationale Christine Lagarde estimait que l'administration américaine était encore en phase d'adaptation.

    Impasse sur le climat

    Sur le climat également le G20 a fait un impasse, en ne mentionnant pas l'accord de Paris de 2015 qui figuraient dans les précédents communiqués.

    Sur ce point, Steven Mnuchin a évoqué un problème de périmètre plutôt qu'une volonté politique : «Ce n'est pas mon domaine. L'administration américaine aura son opinion sur le sujet».

    Au final, Wolfgang Schäuble a prétendu que «le G20 était plutôt renforcé qu'affaibli».

    Le Commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici était plus modéré, parlant d'une «réunion compliquée avec une conclusion temporaire qui aurait pu être meilleure». «Temporaire» car les impasses des ministres des Finances sur le commerce et le climat impliquent que ce sera aux chefs d'Etat et de gouvernement de trancher en juillet à Hambourg lors du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement du G20, auquel participera Donald Trump.

    https://francais.rt.com/economie/35440-etats-unis-questionnent-libre-echange

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    1. Trump a bien compris qu'il vaut mieux avoir 320 millions d'americains de son côté qu'un nano-groupuscule de dictateurs.

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  3. Arrêtons d’armer des terroristes

    Le projet de loi de la Représentante au Congrès Tulsi Gabbard arrive devant le Sénat des USA

    Par Tulsi Gabbard
    Le 10 Mars 2017
    Gabbard.house.gov via entelekheia.fr


    Washington, DC— Le projet de loi « Arrêtons d’armer des terroristes » de la Représentante au Congrès Tulsi Gabbard a été présenté au Sénat par le Sénateur Rand Paul. La législation bipartisane (H.R.608 et S.532) interdirait à toutes les agences fédérales des USA d’utiliser l’argent des contribuables pour fournir des armes, des fonds, des renseignements ou tout autre soutien à al-Qaïda, Daech et autres groupes terroristes, et il interdira au gouvernement d’acheminer des fonds et des armes à travers des pays tiers qui soutiennent directement ou indirectement des terroristes.

    Le projet de loi est actuellement coparrainé par les Représentants John Conyers (Dém-MI), Scott Perry (Rép-PA), Peter Welch (Dém-VT), Tom Garrett (Rép-VA), Thomas Massie (Rép-KY), Barbara Lee (Dém-CA), Walter Jones (Rép-NC), Ted Yoho (Rép-FL) et Paul Gosar (Rép-AZ), et soutenu par les Démocrates Progressistes d’Amérique (PDA), les Vétérans pour la Paix, et l’US Peace Council.

    « Pendant des années, le gouvernement a soutenu des groupes militants armés qui travaillaient directement pour, et étaient souvent sous le commandement de groupes terroristes comme Daech et Al-Qaïda, dans leur combat pour abattre le gouvernement syrien. Plutôt que dépenser des milliards de dollars dans des guerres de changement de régime au Moyen-Orient, nous devrions nous concentrer sur l’éradication de terroristes comme Daech et al-Qaïda, et utiliser nos ressources pour investir dans la reconstruction de nos communautés ici, chez nous », a dit la Représentante au Congrès Tulsi Gabbard. « Le fait que des dollars du contribuable soient utilisés pour renforcer les groupes terroristes mêmes que nous devrions être occupés à combattre devrait alarmer chaque membre du Congrès et chaque Américain. Nous en appelons à nos collègues et à l’Administration présidentielle pour qu’ils se joignent à nos efforts pour faire adopter ce projet de loi. »

    « Une des conséquences indésirables des interventions illimitées est que des fonds et des armes américains bénéficient à ceux qui nous haïssent », a dit le Sénateur Rand Paul. « Ce projet de loi renforcera notre politique étrangère, améliorera notre sécurité, et sauvegardera nos ressources. »

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  4. Contexte : Le projet de loi « Arrêtons d’armer des terroristes » vise à interdire que des fonds gouvernementaux soient utilisés pour soutenir Al-Qaïda, Daech ou d’autres groupes terroristes. De la même façon que l’amendement Boland a été voté pour interdire le financement et l’assistance aux Contras du Nicaragua soutenus par la CIA au cours des années 80, ce projet de loi interdira la CIA ou d’autres activités gouvernementales fédérales dans des lieux comme la Syrie, en s’assurant que des fonds américains ne pourront pas être utilisés pour soutenir al-Qaïda, le Front al-Nosra, Daech ou d’autres groupes terroristes travaillant avec les précités. Il interdira également au gouvernement fédéral de financer une assistance à des pays qui soutiennent directement ou indirectement ces groupes terroristes. Dans ce but, ce projet de loi se propose de :

    Rendre illégale toute utilisation de fonds fédéraux gouvernementaux à des fins d’assistance à des groupes terroristes couverts par ce projet de loi. Cette assistance comprend les armes, les munitions, les plate-formes d’armes, les renseignements, la logistique, l’entraînement et les financements.

    Rendre illégal pour le gouvernement des USA d’apporter toute assistance couverte par le projet de loi à tout pays qui a accordé ou qui continue d’accorder cette assistance à des terroristes.

    Demander au Directeur des renseignements nationaux (DNI) 1. de déterminer les groupes et individus qui doivent être considérés comme terroristes, pour servir le dessein de ce projet de loi, en déterminant (a) les individus et groupes associés avec, affiliés à, adhérents de, ou coopérant avec al-Qaïda, le Front al-Nosra, ou Daech ; (b) les pays qui apportent toute assistance couverte par ce projet de loi à ces individus et groupes.

    Demander au DNI d’examiner et de mettre à jour la liste des pays et des groupes interdits d’assistance tous les six mois, en consultation avec le Comité des Affaires étrangères et les Comités des forces armées, ainsi que de la Commission de la Chambre des représentants sur le renseignement.
    Demander au DNI de rapporter ses conclusions au Congrès.
    Note du Traducteur

    Après être allée en Syrie pour évaluer elle-même la situation sur place et avoir écrit son rapport « Le peuple de Syrie veut désespérément la paix » avec la plus grande honnêteté, la politicienne démocrate, membre du Congrès et vétéran de l’armée des USA anti-guerre Tulsi Gabbard voit l’arrivée de son projet de loi antiterroriste devant le Sénat – un projet de loi dont le texte implique clairement l’existence de financements de groupes terroristes islamistes par les USA. Que dire de plus sinon bravo, Madame !
    Note du Saker Francophone

    Cela veut dire que la France serait sur la liste des pays avec l'Arabie Saoudite ou encore Israël ...
    Traduction entelekheia.fr

    Liens

    1 - NdT, Le DNI, Director of national intelligence, est le bureau directeur qui supervise les 17 agences de renseignements américaines. Il a été créé après les attentats du 11 septembre 2001

    http://lesakerfrancophone.fr/arretons-darmer-des-terroristes

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  5. Surproduction de pétrole : c’est la demande, idiot !


    Le 5 mars 2017 –
    Source doomsteaddiner.net


    J’ai trouvé ce graphique sur Bloomberg, qui est peut-être la meilleure démonstration à ce jour que l’économie pétrolière est en mode d’effondrement avancé maintenant. Le graphique est celui de l’inventaire du stockage du pétrole, et il couvre les 35 dernières années depuis 1982, avec les données de la FSoA.

    - voir graphique sur site -

    Avec-vous noté la forme en crosse de hockey de ce graphique ? Pendant 35 ans jusqu’en 2014, les stocks de pétrole ont été maintenus dans une fourchette très étroite [autour de 300 millions de barils, NdT]. L’offre et la demande ont été maintenues en équilibre par les gens chargés du contrôle de l’extraction du pétrole et de la production d’argent. Un taux de croissance plus ou moins régulier de l’ensemble du système a été maintenu, à mesure que la production de pétrole et la population augmentaient, que la masse monétaire augmentait parallèlement, quelques points de pourcentage devant assurer le retour sur investissement des responsables de la création monétaire en premier lieu. Pour monsieur tout le monde, c’est apparu sous forme d’un peu d’inflation sur le coût du logement, de la nourriture et d’à peu près tout le reste, en plus des gizmos technologiques maintenus en spirale ascendante.

    Cependant, même pendant toutes les récessions des années 1980 à nos jours, les stocks de pétrole sont toujours restés à l’intérieur de cette fourchette étroite. Cela inclut la Grande Récession, suite à la crise financière de 2008. Cependant, quelque chose a changé en 2014 et mon bon ami Steve Ludlum de Economic Undertow l’a rattaché à une période précise il y a un peu plus de 2 ans, en avance, avec son « triangle de malheur ». Ce qui a changé à cette époque, c’est que le coût de l’extraction du pétrole est passé au dessus du prix que les clients pouvaient se permettre de payer. Le prix s’est effondré, de plus de 100 $ / baril à 40 $ / baril.

    Graphiques de Steve Ludlum de Economic Undertow

    - voir graphique sur site -
    Août 2012 : Prévision

    - voir graphique sur site -
    Avril 2015 : Réalité

    À ce prix, pratiquement personne dans le domaine de l’extraction du pétrole ne fait plus de profit. Quelques personnes, comme les Saoudiens, ont encore des champs historiques d’où ils peuvent extraire du pétrole avec un profit de 20 $ / baril, mais si on prend la Saudi ARAMCO dans sa globalité, leurs coûts sont beaucoup plus élevés que cela. Ici, en Amérique, les entreprises qui utilisent la technologie de fracturation hydraulique ont peut-être réduit leurs coûts d’extraction à 60 $ / baril dans certains de leurs meilleurs champs, mais ils ne font toujours pas de bénéfice à 50 $ / baril. Elles ne se vident pas de leurs liquidités tout à fait aussi rapidement, et si elles sont too big to fail, alors Wall Street continue de rouler leurs prêts pour les garder à flot un jour de plus. C’est mieux, à court terme, que d’avoir à écrire des milliards de dollars de pertes sur leurs comptes, ce qui rendrait les banques elles-même insolvables.

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  6. Alors, qu’est-ce qui s’est passé ici, sur le marché du commerce du pétrole, depuis 2014 ? Eh bien, les vendeurs de pétrole continuent de retenir leur ventes jusqu’à ce qu’ils puissent faire un profit. Mais dans la gamme de 50 $ / baril, ils ne le peuvent généralement pas, de sorte que le pétrole reste dans un réservoir quelque part, pendant qu’ils attendent que le prix remonte. Mais cela n’arrive pas. Pendant ce temps, les extracteurs de pétrole partout dans le monde continuent à extraire, parce qu’ils doivent le faire pour payer leurs factures. Le brut continue de s’accumuler, parce que les consommateurs refusent de brûler cette merde assez vite, parce qu’ils ne peuvent pas se permettre financièrement d’en brûler plus vite!

    Jusqu’à ce que les prix baissent très fortement, la surabondance va continuer de s’accumuler. Finalement, ils vont finir par être à court de réservoirs pour stocker cette merde, et il en coûte de l’argent tous les jours, pour garder le pétrole que vous avez acheté à un certain prix, stocké dans un réservoir quelque part, pour le vendre à une date ultérieure à un prix plus élevé, comme vous l’espérez. Personne ne veut « acheter haut, vendre bas » ! C’est une recette pour la faillite, bien sûr. Donc ils gardent le pétrole dans les réservoirs, et ils continuent à en remplir de plus en plus.

    - voir graphique sur site -
    Pétroliers en stationnement autour de Singapour

    Inévitablement, une VENTE POUR LIQUIDATION finira par advenir. Il n’y a pas d’espace sans fin pour le stockage physique, et en outre, stocker toute ce pétrole revient cher. Celui qui en est le propriétaire est saigné à l’encre rouge, aussi longtemps qu’il le garde.

    https://i.ytimg.com/vi/Jl31yVfJqW8/maxresdefault.jpg

    Maintenant, chaque fois que vous lisez un des experts du pétrole, il vous dira que la raison de la surabondance vient des membres de l’OPEP, qui trichent sur leurs quotas, des Iraniens mettant plus de pétrole en ligne ou des producteurs de pétrole de roche mère qui forent plus de puits. Mais la production mondiale totale est-elle réellement supérieure à tout cela ? Non, en fait, elle est en baisse, depuis qu’elle a culminé en août 2015. Donc, si ce n’est pas la hausse de la production, pourquoi cette surabondance ?

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  7. C’EST LA DEMANDE, idiot !

    Parce qu’ils truquent les chiffres, partout ailleurs dans l’économie, pour montrer la « croissance » et parce que personne ne veut admettre être en récession, l’inventaire des stocks de pétrole continue de croître. Ce chiffre, vous ne pouvez pas le masquer (pas assez bien), parce que la substance est une quantité physique qui doit être stockée dans… quelque chose. Ils doivent donc savoir où ils vont le mettre.

    Le pétrole est un produit mondial, dans lequel le FSoA est parmi les plus grands consommateurs, mais ce n’est pas le seul consommateur. L’Europe dans son ensemble consomme beaucoup, la Chine consomme beaucoup aussi. Toute la consommation ne concerne pas les moteurs à combustion. Une grande partie concerne la consommation industrielle. Globalement, comme agrégat, si l’économie était vraiment en croissance, nous devrions consommer plus de pétrole, pas moins.

    Parfois, quand j’avance l’argument de la demande en ce qui concerne à la fois le prix et la surabondance, les critiques me disent : « Mais RE, le trafic n’est pas plus mauvais qu’avant et tout le monde dans mon quartier en est encore à conduire des SUV ultra-consommateurs ! » Eh bien, cela peut être vrai dans votre quartier, mais dans le quartier de quelqu’un, ce n’est certainement pas vrai.

    Ma meilleure estimation est que la majeure partie de la réduction de la demande provient du sud de l’Europe, en forte récession depuis des années. C’est probablement aussi le cas dans le secteur manufacturier chinois, avec la baisse de la demande pour leurs jouets. Alors, ils utilisent moins de pétrole dans le processus de fabrication.

    - voir graphique sur site -
    http://1.bp.blogspot.com/-

    Avec une baisse de la production totale, avec un graphique en forme de crosse de hockey de l’inventaire en forte hausse, la seule réponse ne peut être que la baisse de la demande mondiale de pétrole. Afin d’obtenir une demande en hausse, ils vont devoir faire baisser les prix. Mais ils en sont déjà à perdre de l’argent, au prix actuel dans la gamme de 50 $. Donc, les vendeurs vont s’accrocher à leur stock pour le jour où la demande rebondira magiquement et que les consommateurs reviendront à la pompe et payeront les prix dont ils ont besoin pour faire un profit. Il n’y a cependant aucune raison pour le moment, de croire que les consommateurs auront magiquement plus d’argent pour payer plus pour le pétrole ; ils ont déjà du mal à le payer au prix auquel il est vendu pour l’instant.

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  8. - voir graphique sur site -
    http://www.artberman.com/wp-

    Contrairement au monde magique de l’argent, où vous pouvez conjurer autant de chiffres que vous voulez, créés de nulle part et qui ne prennent pratiquement aucune place à stocker à l’intérieur d’un ordinateur portable, le pétrole est une marchandise physique qui doit être brûlée pour avoir de la valeur. Si ce n’est pas brûlé aussi vite qu’il est pompé, le pétrole perdra de la valeur. Les vendeurs ne veulent pas reconnaître la perte de valeur, cependant, parce qu’ils prendraient un gros bouillon financier, un bain de sang même. Ils n’ont pas à prendre leur perte comptable tant qu’ils ne vendent pas leur stock. Donc ils ne vendent pas, ils le gardent stocké, sur un pétrolier quelque part, et payent des frais de stockage quotidiens avec plus d’argent emprunté. Les banques continuent de le leur prêter, parce qu’elles touchent aussi leur commissions sur l’argent prêté. Peu importe combien d’argent ils empruntent pour garder ce stockage de pétrole parce que finalement, ils vont manquer de place. Alors TOUT le monde devra cesser de pomper le pétrole, jusqu’à ce que l’on en finisse avec cette surabondance. Étant donné qu’il y a le double de l’inventaire normal, cela pourrait prendre un peu de temps. Est-ce qu’un seul pays producteur de pétrole peut survivre une semaine sans les revenus de son pétrole?

    Cette condition d’extrême surabondance doit finir et la seule façon de vider le stock est une réduction importante du prix. Quand cela se produira, il y aura un carnage dans l’ensemble des secteurs de l’énergie et de la banque. Je ne sais pas dans combien de temps le dernier réservoir de stockage et le dernier tanker sera plein, mais je ne peux pas imaginer que ce jour soit si éloigné. On approche de la fin du jeu.

    Note du Saker Francophone

    A noter que 200 millions de barils de stock, à 95 millions de barils produits par jour, ça ne fait que 2 à 3 jours, mais l'effet sur les prix est massif. On peut même imaginer que les achats ralentissent encore plus, fortement pour forcer une baisse de prix maximale. Spéculation, spéculation...

    Traduit par Hervé, vérifié par Julie, relu par Nadine pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.fr/surproduction-de-petrole-cest-la-demande-idiot

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    1. Il y a pétrole et pétrole. Pétrole terrestre (disponible à faible ou très grande profondeur) et, le pétrole océanique qui lui, demande à grand frais la mise en place de plateforme de forage mais qui, et c'est là la 'nouveauté', est disponible pour presque tous les pays du monde qui veut s'en donner les moyens.

      Deuxièmement il y a l'utilisation. Le pétrole pour les véhicules et le pétrole pour les chaudières des particuliers ou les industrie. Pour ces deux derniers cas, la consommation peut être de 24/24 h !

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  9. Crise climatique : c’est le délire total (3)


    le 19 mars 2017


    Le Président américain Donald Trump a nommé directeur de l’EPA – on dirait en France ministre de la protection de l’environnement – le dénommé Scott Pruitt. Ses commentaires ont fait le tour du monde après avoir été repris et déformés par la presstitute à la solde des grands groupes financiers tant aux Etats-Unis qu’en Europe.

    Voici ce qu’a déclaré Pruitt mot pour mot lors d’une interview sur le plateau de la ch aine de télévison CNBC. Il s’agit des propos les plus importants relatifs au changement climatique d’origine humaine qui ont été repris et déformés à outrance par la presse. La traduction est de mon cru et aussi fidèle que possible :

    » Je pense que mesurer avec précision (l’effet de) l’activité humaine sur le climat est quelque chose de très difficile à réaliser et il y a d’énormes désaccords au sujet du degré d’impact, donc non, je ne peux (en l’état des connaissances) accepter qu’il s’agit de la contribution première au réchauffement global que nous constatons. Pour l’instant on n’en sait rien. Nous devons poursuivre le débat et poursuivre l’examen et l’analyse. «

    J’ai inséré (effet de) et (en l’état des connaissances) pour plus de clarté, l’anglais américain étant parfois trop concis pour être clairement traduit en français.

    La phrase qui a alimenté la controverse délirante parmi les presstitutes est la suivante :

    je ne peux accepter qu’il s’agit de la contribution première au réchauffement global que nous constatons.

    Elle peut être interprétée de deux manières :

    1 Pruitt nie que le gaz carbonique est la principale cause du réchauffement global récent.

    2 Pruitt ne peut pas accepter comme un fait avéré que le gaz carbonique est la principale cause du réchauffement parce que nous n’en savons rien.

    L’interprétation n°2 semble aux yeux du Docteur Judith Curry la plus sensée (http://judithcurry.com) : Pruitt dit qu’il n’est pas convaincu que l’on sache avec certitude que l’activité humaine a provoqué 100 % du réchauffement que l’on a observé récemment, selon certaines modélisations, ou encore qu’il a provoqué 50 % de ce réchauffement comme l’affirme le dernier rapport de l’IPCC AR5. Il est donc sain de persévérer dans l’étude du climat qui est un domaine d’investigation extrêmement vaste et complexe.

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  10. La contribution de l’atmosphère au climat est encore très mal connue car elle obéit à des phénomènes dits chaotiques qui n’arrivent toujours pas à décrire et donc prévoir le mouvements des masses d’air. Même des super-ordinateurs sont incapables de prédire l’évolution de la météorologie au delà de 10 jours et a fortiori tenter des prévisions sur 20 ou 50 ans relève de la fausse science dans l’état actuel des connaissances.

    Quant à l’effet du gaz carbonique atmosphérique d’origine humaine sur l’évolution du climat, production d’électricité à l’aide de combustibles carbonés fossiles, cimenteries, véhicules automobiles et activités industrielles comme la production d’engrais azotés, il faut – et Pruitt a raison d’en douter – émettre de véritables objections à ce sujet. Je me permets ci-dessous de présenter les arguments du Professeur François Gervais parus en 2014 dans l’International Journal of Modern Physics (doi : 10.1142/S0217979214500957) sous le titre « Tiny warming of residual anthropogenic gaz carbonique » (en français : tout petit réchauffement dû au gaz carbonique anthropogénique) et dont voici dans l’essentiel la traduction du passage relatif à la controverse du gaz carbonique s’appuyant sur des données scientifiques incontestables. J’en ai déjà dit un mot sur ce blog.

    Pour estimer avec précision la contribution d’origine humaine au gaz carbonique atmosphérique il faut prendre en considération la teneur en isotope 13 du carbone dans ce gaz. Dans les combustibles fossiles (pétrole, charbon et gaz naturel, le méthane) la différence (ou delta) 13C/12C est de -2,1 %. Par contre ce delta pour le gaz carbonique d’origine naturelle, respiration, végétaux, combustion du bois, etc … , est de -0,7 %. Le rapport 13gaz carbonique*/12gaz carbonique* a évolué de -0,78 % en 1990 à -0,82 % en 2014. Ceci indique qu’environ 5 %, soit 20 ppm, du gaz carbonique atmosphérique provient de l’activité humaine, le reste des émissions ayant été capturé par le puits de carbone c’est-à-dire la végétation, le plancton et surtout les océans. Il faut noter que ces 20 ppm (parties par million) correspondent à 5,7 années d’émission de carbone d’origine anthropogénique de 3,5 ppm par an et est en accord avec la durée de vie du gaz carbonique dans l’atmosphère qui est d’environ 5 ans. La fraction résiduelle de l’accumulation de gaz carbonique atmosphérique d’origine humaine, 0,4 ppm, correspond à seulement 11 % de ces émissions totales de gaz carbonique. Ces 0,4 ppm sont également en accord avec les 0,43 ppm d’augmentation mesurée quelques mois après une année relativement froide comme en 1991. Toutes ce données se confortent l’une l’autre. Le reste de l’augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique globale est attribuée au dégazage des océans et des eaux terrestres en raison du réchauffement qui a sévi, si l’on peut dire, depuis la fin des années 1940, selon la reconstruction de l’activité solaire (qui a dramatiquement chuté depuis l’année 2000) combinée au cycle de 60 ans de variabilité du climat de la planète, très bien documenté, qui a culminé durant la même période. Ces deux contributions sont la conséquence directe de l’activité solaire, ne laissant au gaz carbonique qu’une contribution marginale dans le cadre de son rôle supposé d’effet de serre.

    Tout est dit et ce qu’en pensent les adversaires de Pruitt n’est que la peur suscitée par ses propos qui pourraient conduire à une réduction des crédits de recherche alloués aux multitudes de projets de recherche relatifs à l’étude du climat ainsi qu’à l’abandon ou la réduction des subventions aux énergies dites renouvelables. Les scientifiques (ou supposés comme tels) n’avaient qu’à pas confondre science et idéologie politique écologiste …

    Adapté d’un billet paru sur le blog de Judith Curry.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/03/19/crise-climatique-cest-le-delire-total-3/

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    1. *Exposant et indice ne sont pas traduisible ici sur Blogger.

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/le-co2-nest-pas-un-poison.html

      https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2016/03/01/deluge-orwellien/

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html

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  11. Le Danemark est-il sur le bord ?


    Par Tyler Durden
    18 mars 2017 21h37
    Auteur de Erico Matias Tavares via Sinclair & Co.,


    Iben Thranholm examine les événements politiques et sociaux en mettant l'accent sur leurs aspects religieux, leur importance et leurs implications morales. Elle est l'une des chroniqueuses les plus lues du Danemark sur ces questions. Thranholm est une ancienne rédactrice en chef et animatrice radio à la Danish Broadcasting Corporation (DR), à laquelle elle a créé un programme d'actualités religieuses qui établissait une nouvelle norme pour l'analyse religieuse dans la salle de rédaction. Elle a beaucoup voyagé au moyen-orient, en Italie, aux États-Unis et en Russie pour mener des recherches et des entrevues. Elle a été récompensée pour ses recherches sur la couverture médiatique danoise des questions religieuses.

    E Tavares: Iben, merci d'être parmi nous aujourd'hui. Il y a plus d'un an, nous avons parlé au Dr Tino Sanandaji, professeur d'économie dans une importante université suédoise, sur les incohérences des politiques d'immigration suédoises. Le post résultant a été touché, révélant un intérêt significatif pour ce sujet.

    En un sens, la Suède est le canari dans la mine de charbon de l'avenir démographique de l'Europe, puisqu'ils ont été à l'avant-garde de cette transformation et l'embrassent ouvertement. En tant que voisin proche, nous aimerions connaître votre point de vue sur ce qui se passe là-bas, ainsi qu'au Danemark. Comment les Danois regardent-ils la Suède avec espoir ou appréhension ?

    I Tranholm: Avec une horreur absolue !

    Les médias suédois, qui est tout à fait pro-gouvernemental et ses politiques de gauche, ne font pas toujours état de l'ampleur des problèmes dans leur société. Il est donc difficile d'avoir une image très exacte de ce qui se passe. Mais nous, au Danemark, avons un bon sens. Nous sommes très conscients des meurtres, des viols, des émeutes, de la violence et des grenades à main qui s'y déroulent. Cela ne fait pas souvent les nouvelles, mais nous savons qu'il se passe. Et nous ne voulons pas emprunter la même voie.

    C'est le résultat de décennies de politiques visant à promouvoir le multiculturalisme en Suède. Et ce qui reste, c'est cette maison creuse. Vous savez, dans la Bible, on dit que si une maison est laissée balayée, rangée et inoccupée, elle finira par être prise en charge par le mal. Et je crains que c'est ce qui se passe en Suède. Loin d'être un paradis multiculturel, les problèmes ne peuvent plus rester cachés.

    ET: En effet, même le président Trump a fait quelques commentaires controversés sur la Suède lors d'un rassemblement récent aux États-Unis, provoquant un tollé international, avec de nombreux débats sur s'il avait raison ou tort. Est-ce que cela a suscité des discussions au Danemark ?

    IT: Ce n'était pas une grande discussion car nous savons au Danemark ce qui se passe en Suède. Malmo est très proche donc nous avons seulement besoin d'aller là pour le voir de nos propres yeux.

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  12. Il y avait une annonce télévisée partiellement payée par le gouvernement suédois recommandant que tous les Suédois s'intégrent dans cette nouvelle société multiculturelle qu'ils créent. Pensez-y. Même les vieux Suédois doivent maintenant s'adapter à cette nouvelle réalité, au lieu d'adapter les immigrants à la société suédoise. Ils l'appellent "Det nya landet", qui signifie le nouveau pays. La Suède traditionnelle est partie.

    ET: Les Suédois et les Danois partagent de nombreux traits culturels. Qu'est-ce qui explique cette divergence d'opinions ? Est-ce parce que vous ne rencontrez pas les mêmes problèmes sociétaux ?

    IT: Nous ne sommes pas aussi politiquement corrects que les Suédois. Il y a donc beaucoup de discussions ici. (...) En tant que tels, nous avons une meilleure connaissance de notre patrimoine et tendons à le protéger davantage.

    Ce qui ne veut pas dire que nous n'avons pas de problèmes. Nous faisons. Nous sommes confrontés aux mêmes problèmes d'identité et nos traditions - en particulier notre héritage chrétien - disparaissent rapidement de notre société. Ce même vide est devenu courant au Danemark. Et cela élimine beaucoup des arguments pour nous défendre contre l'importation de valeurs et de coutumes étrangères, dont beaucoup sont en contradiction avec les nôtres. Simplement interdire les choses ne changera pas cette réalité.

    ET: Et comment l'intégration a-t-elle été ? Semble aller mieux que d'autres pays européens, car nous n'entendons pas grand-chose sur les zones "sans permis" et les émeutes dans votre pays, contrairement à la France et la Suède, par exemple.

    IT: Nous avons aussi ces problèmes, mais parce que le Danemark est un petit pays que vous n'entendrez pas trop parler d'eux.

    Nous croyons ici que le bien-être est la solution pour tout. Peu importe qui vient ici de n'importe quelle partie du monde obtiendra logement, travail, divertissement et soins de santé. Le gouvernement vous les donnera avec l'espoir que si vous avez toutes ces choses, vous serez heureux d'assimiler dans la société danoise, d'apprendre le danois et de s'adapter à notre culture. En conséquence, nous deviendrons une société multiculturelle dynamique.

    La réalité est tout à fait différente. Le relativisme engendré par ce multiculturalisme finit par opposer des côtés différents de la société, spécialement

    La réalité est tout à fait différente. Le relativisme engendré par ce multiculturalisme finit par opposer des côtés différents de la société, surtout lorsque leurs valeurs et leurs croyances sont très différentes d'abord.

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  13. Quand les immigrants viennent au Danemark, ils peuvent être pris en charge, mais ils n'ont pas de culture dominante qu'ils peuvent assimiler, certainement pas au sens religieux. Nous sommes complètement dépourvus de Dieu. En conséquence, ils mettent fin aux éléments de leur culture et de leur religion qui créent souvent des frictions, des malentendus et aussi des crimes. La société danoise se divise donc de plus en plus.

    ET: Les politiciens semblent recevoir le message. Votre parlement a récemment adopté une loi pour faire en sorte que l'immigration n'atteigne jamais un niveau qui menace l'identité nationale danoise. Qu'est-ce que vous en pensez ?

    IT: Nous avons ici une société très divisée, même sans tenir compte des vagues d'immigration qui se sont récemment installées ici.

    La moitié de la population veut des frontières ouvertes, une immigration de masse et un bien-être pour tous. Ils rejettent les valeurs traditionnelles et sont très favorables au mondialisme et au multiculturalisme. L'autre moitié est très opposée à cela, mais ils n'ont pas d'arguments convaincants à l'appui de cette position. Tout ce qu'ils peuvent faire est d'interdire l'immigration, d'interdire aux femmes de porter un chiffon de tête et ainsi de suite.

    Nous n'avons plus de boussole morale. Auparavant, le christianisme a assuré ce rôle, nous conservant unis au fil des siècles. Maintenant, nous ne pouvons plus distinguer entre le bien et le mal, et finalement c'est ce que cette lutte se résume à. Sans cela, aucune mesure préventive comme celle-ci ne sont que des solutions rapides qui ne résoudront rien à plus long terme. Ce qui est nécessaire est une alternative positive au sens moral.

    ET: Existe-t-il des données ou des études indépendantes sur les avantages et les coûts de l'immigration au Danemark ? En Suède, par exemple, ce sujet est presque tabou, mais il existe de nombreuses inquiétudes en ce qui concerne la recherche de bonnes opportunités d'emploi pour les immigrants, venant en fait des immigrants eux-mêmes.

    IT: Avec cette nouvelle culture que nous avons adoptée en Occident, nous avons cessé d'avoir assez d'enfants pour soutenir notre État-providence. Donc oui, un argument est que nous avons besoin de plus de gens pour le soutenir.

    Dans notre propre société très laïque, l'État est Dieu. Il est censé fournir et prendre soin de tout le monde. Les arguments économiques deviennent donc moins pertinents. Bien sûr, ils sont la considération puisque les gens paient pour ces politiques, mais dans un sens, ils sont secondaires.

    ET: Nous sommes à la pointe d'une vague d'automatisation qui menace de déplacer des millions de travailleurs à travers le monde développé. Cela soulèvera encore plus de préoccupations au sujet de l'immigration de masse, qui se compose traditionnellement de travailleurs moins qualifiés. Y a-t-il une discussion au Danemark à ce sujet ?

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  14. IT: Non. La seule discussion porte sur l'aspect culturel, à savoir l'impact sur nos valeurs et nos traditions.

    Et en un sens, cela montre simplement combien nous sommes faibles. Par exemple, il n'y a que 250 000 musulmans au Danemark, donc une minuscule minorité. Et pourtant, la majorité de nos débats politiques axés sur la culture au cours des dix dernières années ont largement tourné autour de l'islam. C'est ainsi que notre culture est devenue fragile.

    Alors, en tant que société ouverte, il y a une résistance aux femmes qui doivent se couvrir, avoir des piscines séparées pour les hommes et les femmes, et ainsi de suite, nous avons perdu l'argument pour combattre ces traditions importées en grande partie parce que nous avons perdu nos racines et nos valeurs chrétiennes. Ainsi, au fil du temps, ils deviendront plus répandus dans notre société. Nous le voyons déjà.

    ET: Les musulmans séculiers peuvent aussi perdre un résultat. Beaucoup chérissent les valeurs occidentales mais trouveront de plus en plus une société indigène qui est en désaccord avec eux, comme leurs propres communautés deviennent plus extrémistes. Beaucoup se plaignent que l'Islam au Danemark et dans d'autres pays européens soit plus hardcore ou même radical que dans leur pays d'origine.

    C'est vrai. Et encore une fois c'est en grande partie le résultat de cette hésitation culturelle dans les sociétés qui les accueillent. En conséquence, ces formes plus agressives gagnent plus de terrain au détriment de chacun, particulièrement des femmes.

    ET: La plupart des pays en développement sont confrontés à une situation difficile et, sans aucun doute, les pays qui peuvent l'aider devraient le faire. Faisons-le face, les politiques étrangères occidentales défectueuses ont fait de mauvaises situations encore pire dans une grande partie du Moyen-Orient, bien que d'autres conflits très importants sectaristes et ethniques jouent également un grand rôle.

    Certains suggèrent qu'au lieu d'ouvrir les frontières, cette aide devrait être fournie à l'origine, ce qui serait moins coûteux et pourrait donc aider beaucoup plus de personnes, placerait les réfugiés plus près de chez eux et éviterait beaucoup des problèmes sociaux que nous voyons malheureusement À travers l'Europe - causée par une minorité pour être sûr, mais toujours très problématique. Que pensent les hommes politiques danois à ce sujet ?

    IT: Cela serait logique à bien des égards, mais encore une fois le débat n'est pas économique. Les gens veulent être perçus comme faisant le bien, c'est-à-dire ouvrir leurs communautés, accueillir et prendre soin des autres.

    Je serais en faveur de cela si nous parlions des femmes et de leurs enfants, même des familles. Mais la réalité est différente. La majorité des gens que nous avons accueillis ces dernières années, en particulier après la crise des migrants, sont des jeunes gens en forme. Ils apportent leurs conflits et leurs frustrations avec eux, créant un environnement difficile pour tout le monde.

    Donc oui, il serait sans doute plus efficace de fournir des soins à la source, mais ce n'est pas la façon dont le débat est encadré.

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  15. ET: Le Danemark est censé être le pays le plus heureux de la planète. Mais vous avez peu de raisons d'être heureux ces jours-ci car vous vous retrouvez à la fin de la censure gouvernementale, non seulement pour exprimer vos inquiétudes sur l'avenir de votre pays, mais aussi pour travailler pour un point de presse russe. Que s'est-il passé ici ? Vous avez récemment écrit une pièce puissante à ce sujet, exprimant vos sentiments non seulement comme une femme qui ne toe pas la ligne du parti, mais surtout comme un chrétien.

    IT: En 2015, j'ai écrit un article critiquant nos politiciens qui, pour la plupart, haïssent le christianisme mais utilisent néanmoins les valeurs chrétiennes, en particulier la charité et la compassion, pour promouvoir leurs propres agendas, en particulier l'immigration de masse. Alors je les ai appelés sur cela.

    Quelques mois plus tard, j'ai reçu un appel d'un homme politique qui m'a dit que j'étais sur une liste noire du gouvernement, censément agissant comme agent de propagande pro-russe, bien qu'aucun élément de preuve n'ait été fourni à cet effet. Je travaille occasionnellement pour un point de presse russe, mais c'est tout simplement mon travail en tant que journaliste.

    Aujourd'hui, dans une société où il est supposé qu'il y a liberté d'expression, si les politiciens veulent faire taire leurs critiques, ils les accusent simplement de travailler pour le Kremlin ou d'avoir des liens inexpliqués avec la Russie. C'est ce qui m'est arrivé, et cela arrive aussi aux politiciens et journalistes de haut niveau aux États-Unis, en France et en Allemagne. Si vous n'êtes pas d'accord avec les politiques multiculturelles de l'Europe alors vous êtes étiqueté comme un agent russe. Ce qui est vraiment une forme d'assassinat politique ou de caractère.

    Ils ont tellement peur de la montée de ce que les politiciens de gauche en Europe appellent le «populisme», qui menacent l'existence de leur Union européenne bien-aimée. Et cette année, les enjeux sont très élevés avec les élections en France et en Allemagne. Ils recourent donc à ce genre de tactiques pour annuler toute dissidence.

    Je me trouve donc dans une liste noire dans un pays supposé libre comme le Danemark, mais si un conflit avec la Russie émerge, je peux me retrouver en prison sous prétexte d'être un agent étranger. Encore une fois, sans preuve et sans procédure judiciaire. C'est ainsi que fonctionnent les sociétés totalitaires. D'abord, ils vous mettent sur une liste, puis quand il y a un problème ou une raison inventée, ils viendront pour vous.

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  16. ET: Vous exprimez seulement des points de vue qui sont compatibles avec ceux de nombreux conservateurs des deux côtés de l'Atlantique. Il y a certainement beaucoup de gens préoccupés par l'avenir des sociétés occidentales. À bien des égards, cela évoque des souvenirs de l'Union soviétique et de la grande nouvelle société qu'ils ont essayé de créer, avec les conséquences désastreuses que nous connaissons tous.

    C'est en fait une comparaison très réelle et intéressante. Après tout, le communisme était une idée occidentale et elle a été imposée à la Russie, elle ne l'a pas créée. Et il n'a pas mourir avec l'effondrement de l'Union soviétique. Au contraire, il est encore très vivant et en itinérance autour de notre continent. Bien qu'il fonctionne différemment, les objectifs ne sont pas trop dissemblables. La version que nous avons répandue à travers l'Occident est le marxisme culturel.

    Nous n'avons plus de familles, de religion, même de sexe. En Suède, ils ont maintenant inventé un terme neutre du point de vue du genre pour aborder les petits garçons et les filles à la maternelle. Il s'agit d'un changement total par rapport aux valeurs traditionnelles occidentales qui ont préservé l'Europe de l'invasion extérieure pendant des siècles. Et cela est maintenant disparu.

    Tout ce discours de multiculturalisme et de frontières ouvertes semble très agréable, mais dans la pratique il a conduit à une transformation progressive de nos sociétés, et comme la Suède ne montre pas pour le mieux. Moins de libertés, moins de sécurité, moins de cohésion; Plus de criminalité, plus de fragmentation, plus de problèmes sociaux. C'est vraiment une lutte du bien contre le mal, et nous, en Occident, ne pouvons plus distinguer les deux. Je l'appellerais même désorientation diabolique.

    ET: Alors, combien de temps pensez-vous avant que la croix chrétienne ne soit retirée de votre drapeau ? Et comment la monarchie danoise, qui est juré de protéger la culture et la religion danoises, ressent-elle tout cela ?

    IT: Aucun politicien européen ne défendra le christianisme. Personne. Attendez-vous peut-être du Premier ministre hongrois, Victor Orbán.

    Il y a cette alliance impie entre l'islam gauche et l'islam radical. Beaucoup d'Européens ont un tel mépris pour leurs propres traditions qu'ils préféreraient voir le christianisme être éradiqué même si cela pourrait coûter leur mode de vie et même des libertés personnelles à la fin.

    Nous avons cette situation bizarre où les féministes occidentales soutiennent les femmes qui doivent porter un casque de tête, en plus de renoncer à bon nombre des droits qu'elles devraient pouvoir jouir dans nos pays. Et ces femmes sont souvent pénalisées par leurs propres communautés quand elles essaient d'assimiler dans notre société, tandis que les féministes restent silencieuses. Tout est très multiculturel et bon.

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  17. IT: Oui, le Danemark est sur le bord. Et l'Europe est sur le bord. Nous avons complètement perdu notre culture, nos valeurs et notre boussole morale. Ce qui était autrefois bon, c'est maintenant le mal et vice-versa.

    Vous avez mentionné que le Danemark est le pays le plus heureux du monde, mais je ne suis pas sûr que ce soit vrai. Nous avons une forte consommation d'alcool et environ un demi-million de personnes sur des pilules heureuses pour une raison.

    Channel 1, notre principale chaîne de télévision ici, a récemment diffusé un documentaire sur trois filles danoises qui se sont convertis à l'islam par leur propre volonté, non pas parce qu'ils se sont mariés ou quelque chose comme ça. Ils avaient tous les mêmes antécédents, venant de foyers brisés, de l'alcoolisme, etc., qui faisaient partie de l'héritage de la révolution de 1968 que nous avions à travers l'Europe. Ce que ces filles manquaient, c'était la structure, et ils l'ont trouvé dans l'Islam parce qu'il réglemente tous les aspects de votre vie: comment vous habillez, ce que vous mangez, avec qui vous pouvez socialiser avec, comment prier, comment interagir comme une épouse et ainsi de suite.

    C'est ce que les partis de droite en Europe ne comprennent pas. C'est une bataille spirituelle. Il n'y a pas de liberté politique sans liberté spirituelle. Si vous allez autour d'interdire les choses, comme ne pas porter le tissu de tête et ainsi de suite, il ne fonctionnera pas. Notre civilisation disparaîtra peu à peu.

    La seule chose qui peut sauver l'Europe en ce moment est un vrai réveil spirituel, j'ose dire chrétien, à travers le continent. Cela a joué un rôle important dans la disparition du communisme en Union Soviétique et en Allemagne de l'Est. Les églises ont fourni des lieux cachés pour que les gens se rassemblent, expriment leurs idées et partagent leur foi et leurs épreuves.

    Depuis sa création, le christianisme était toujours sur la lutte contre le mal avec amour, la prière et la foi parce que ces trois sont la clé de la liberté. Et ce sont là les valeurs que la gauche radicale et l'islam radical ne tolèrent pas, parce que, bien sûr, elles exigent l'obéissance totale à l'État et à leur conception de Dieu, respectivement.

    ET: Merci beaucoup de partager vos pensées et votre courage. Vous méritez d'être dans la couverture d'un magazine, pas sur une liste noire du gouvernement. Je vous souhaite le meilleur.

    Je vous remercie.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-03-18/denmark-brink

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    1. Les religions comme les partis politique dit 'd'opposition' et plus tard les merdias, ont été créés par les Dirigeants pour les Dirigeants. Ils se nomment eux-mêmes 'Roi, Président, Empereur, Pape ou Directeur'. 'Diviser pour régner'. Toutes les guerres ont été des guerres de religion.

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  18. L’habit de la reine des Pays-Bas scandalise les Allemands

    INTERNATIONAL
    11:19 16.04.2016


    Des motifs de croix gammée décorent la veste de la reine Maxima des Pays-Bas, qui s'est rendue en visite en Allemagne.

    Les habitants de Nuremberg (ville du sud de l'Allemagne) ont été désagréablement surpris en accueillant la reine Maxima des Pays-Bas. En effet, les motifs de son habit, selon des observateurs, ressemblent à des… croix gammées! De quoi bouleverser l'imagination des Allemands.

    Les médias allemands s'efforcent désormais de persuader les internautes, extrêmement surpris, que cette veste n'a rien à voir avec les allusions au passé nazi du pays.

    On dit notamment que cet ornement est plutôt proche du symbole bouddhiste du mouvement perpétuel, représenté par le soleil marchant.

    Le designer de cette veste Claes Iversen, quant à lui, affirme ne pas avoir fait d'allusion à la croix gammée nazie. "Cela n'a jamais été mon intention de faire cette référence", écrit-il sur Facebook.

    Le créateur d'origine danoise a expliqué avoir choisi des boulons, des vis et des clés, au lieu des pierres précieuses et des paillettes, en vue de transformer des matériaux de tous les jours en décorations.

    https://fr.sputniknews.com/international/201604161024291420-allemagne-paybas-reine-scandale/

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    1. L'origine de la 'croix gammées est juive et fait partie intégrante de l'étoile a six branches dont elle en représente le cœur. C'est donc cette partie centrale qui a été choisie par le juif a.h. pour partir en guerre contre les juifs qui sont favorables à l'excision.

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  19. La famine mondiale commence: l'ONU annonce que la pire crise alimentaire depuis la Seconde Guerre mondiale se produit en ce moment


     Par Michael Snyder,
    le 19 mars 2017


    Nous savions toujours que cela allait commencer. Plus tôt ce mois-ci, j'ai écrit sur les graves problèmes économiques qui sévissent en Amérique du Sud, mais jusqu'à présent, j'ai négligé de parler des famines épouvantables qui se répandent dans toute l'Afrique. À l'heure actuelle, il y a un besoin urgent de nourriture au Sud-Soudan, en Somalie, au nord-est du Nigéria, en Érythrée et au Kenya. Et le Yémen, même si ce n'est pas techniquement une partie de l'Afrique, est affecté par beaucoup des mêmes facteurs qui sont des nations paralysantes partout dans l'Afrique orientale. Les Nations Unies disent que plus de 20 millions de personnes pourraient mourir de famine et de maladie si rien n'est fait. Quand j'écris sur l'effondrement économique, c'est le genre de chose dont je parle, et nous commençons à voir des conditions alarmantes se répandre à travers le monde. Beaucoup pensent que nous ne pourrions jamais faire face à ce genre de crise alimentaire dans le monde occidental, mais malheureusement, les vœux pieux ne vous mènera jusqu'à présent.

    L'ONU a été créée en 1945 et l'ONU vient d'annoncer que nous sommes confrontés cette année à «la plus grande crise humanitaire depuis la création de l'ONU». Ce qui suit provient d'un article de CNN intitulé «20 millions de personnes à risque de famine dans la plus grande crise mondiale depuis 1945», déclare l'ONU.

    «Nous sommes à un moment critique de l'histoire. Déjà au début de l'année, nous sommes confrontés à la plus grande crise humanitaire depuis la création de l'ONU ", a déclaré vendredi le chef humanitaire de l'ONU, Stephen O'Brien.

    "Maintenant, plus de 20 millions de personnes dans quatre pays souffrent de famine et de famine. Sans efforts collectifs et coordonnés à l'échelle mondiale, les gens mourront de faim. Beaucoup plus souffriront et mourront de la maladie. "

    Il serait difficile d'exagérer le niveau de souffrance humaine que nous assistons dans de nombreuses régions d'Afrique en ce moment. En Somalie, l'ONU estime que plus de 6 millions de personnes ont un besoin urgent d'aide alimentaire ...

    Alors que la Somalie se rapproche d'une famine calamiteuse, la perspective d'une dévastation totale et d'une perte colossale de la vie humaine redevient une réalité imminente. La situation humanitaire en Somalie se détériore de jour en jour avec jusqu'à 6,2 millions de personnes ayant besoin d'une aide d'urgence. Les habitants de la Somalie ont été forcés de marcher des centaines de kilomètres à la recherche de nourriture, d'eau et d'abris - avec des femmes et des enfants affectés de manière disproportionnée. Plus de 300 000 enfants de moins de cinq ans souffrent de malnutrition sévère, et plus de 200 000 autres enfants risquent de souffrir de malnutrition aiguë.

    Au Soudan du Sud, près de la moitié de la population a grand besoin d'aide, et les choses se sont passées si mal que les gens vont littéralement manger de l'herbe, s'ils le trouvent ...

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  20. Dans l'ensemble du Sud-Soudan, plus d'un million d'enfants souffrent de malnutrition aiguë et l'UNICEF a déclaré que si une aide d'urgence ne leur parvenait pas, nombre d'entre eux mourraient. "Il n'y a pas de nourriture, nous mangeons tout ce que nous pouvons trouver", a déclaré une mère sud-soudanaise à ITV. «Nous trouverons de l'herbe, nous la mangerons. C'est comme ça pour nous maintenant. "

    Au Yémen, environ sept millions de personnes ont besoin d'aide alimentaire, et les autorités ont averti que si rien n'est fait, des millions d'enfants pourraient mourir de faim ...

    "Les chiffres touchés sont absolument extraordinaires", a déclaré Mark Kaye, porte-parole du Save the Children Yémen.

    "Nous continuons à parler d'un pays qui est au bord de la famine, mais pour moi ces chiffres soulignent que nous sommes au point de non retour. Si les choses ne se font pas maintenant, nous allons y réfléchir et des millions d'enfants seront morts de faim, et nous en serons tous conscients depuis un certain temps. Cela nous fera honte en tant que communauté internationale pour les années à venir.

    L'Erythrée n'a pas été spécifiquement incluse dans la récente alerte de l'ONU, mais elle aurait dû l'être. Une grande partie du pays a été touchée par une sécheresse paralysante, et environ la moitié de tous les enfants en Érythrée sont rabougris ...

    Mais nous ne pouvons pas comprendre pourquoi l'Érythrée n'est pas incluse dans l'appel. Unicef a confirmé ce que nous savons de nos amis et familles à l'intérieur du pays. Dans un rapport en janvier, l'agence a indiqué que la sécheresse d'El Niño a frappé la moitié de toutes les régions d'Eritrea. La malnutrition aiguë est très répandue. Comme le disait l'Unicef: «Les taux de malnutrition dépassent déjà les niveaux d'urgence, avec 22 700 enfants de moins de cinq ans qui souffrent de malnutrition aiguë grave en 2017 ... La moitié des enfants en Érythrée sont rabougris et sont donc encore plus vulnérables à la malnutrition Et des épidémies. "

    Nous avons été prévenus qu'il y aurait des famines dans divers endroits en ces temps. Mais ici dans le monde occidental, nous avons tendance à être bercés par un faux sentiment de sécurité par nos vies confortables, ne réalisant pas que le niveau de vie massivement gonflé que nous avons apprécié a été alimenté par la plus grande montagne de la dette dans l'histoire de la planète.

    Au Kenya, une urgence nationale a été déclarée en raison de la sécheresse et de la famine. Pour ceux d'entre vous qui sont parents, que feriez-vous si vos enfants criaient pour la nourriture mais vous n'aviez rien à leur donner ? L'histoire suivante du Kenya est au-delà de déchirante ...

    Emmanuel Ayapar a trois ans et ne peut plus marcher. La chair sur ses jambes, qui pendent de la hanche de sa mère comme elle le porte autour, se perde.

    Il semble apathique et triste, la langue à plusieurs reprises dans et hors de sa bouche.

    «Nous n'avons pas assez de nourriture», a déclaré Veronica, sa mère de 28 ans. Nous ne mangeons qu'une fois par jour.

    Le petit garçon souffre de malnutrition sévère et court le risque de mourir de faim. Il pèse seulement 15lb - la moitié du poids typique pour un garçon de son âge.

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  21. Je ne sais même pas quoi dire après ça.

    Dans le monde occidental, nous pouvons être si incroyablement absorbés que nous ne réalisons même pas que les enfants sont littéralement affamés à mort de l'autre côté de la planète.

    Nous espérons que ceux d'entre nous qui vivent dans des pays occidentaux «riches» se porteront à l'assaut et aideront ceux qui en ont besoin, et j'espère que cette crise nous aidera également à comprendre que nous devons nous préparer à la journée où les choses deviendront difficiles dans nos propres nations aussi.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-global-famine-begins-un-announces-that-the-worst-food-crisis-since-world-war-ii-is-happening-right-now

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    1. Les paysans français vendent leurs salades à 0,10 €/pièce et 0,07 €/pièce un œuf ! A quel prix figurent-ils en supermarchés ?

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