- ENTREE de SECOURS -



dimanche 5 février 2017

Les fées Trump

L''effet Trump' n'a pas fait que déplaire aux merdias (qui sont allés jusqu'à payer de faux manifestants pour défiler contre la liberté en plus des immigrés et prostitués) qui avaient lancé l'escroquerie du 'Global Warming', maintenant, en plus de vouloir construire un mur à la frontière, voici que - bizarrement - les hologrammes sont libérés ! Oui, vous avez bien lu ! Interdits levés sur la réalité du 11 Septembre 2001 où des avions en aluminium traversaient des tours et coupaient des poutrelles d'acier ! Hahahaha ! Sur le pourquoi que les 'avions' ont dû faire un vaste détour pour se projeter vers le côté ombré des tours afin d'éviter leur absence d'ombre côté ensoleillé ! Sans parler des idioties du réacteur d'avion trouvé dans les décombres qui... n'appartenait à AUCUN modèle d'avion filmé !! et puis celui retrouvé 10 ans après entre deux tours à quelques centaines de mètres de là ! Hahahaha !

C'est vrai que ce jour là, le monde entier avait eut droit sur leurs télés à 'un changement de programmes cause accident d'avions' ! Çà alors ! Plutôt bizarre que de parler de çà à des milliers de kilomètres de New-York, de conserver l'antenne en repassant et repassant en boucle les mêmes images comme pour... attendre... l'arrivée du second avion (prévu au programme)! Hahahaha ! Sauf que, le '3è avion' n'est pas apparu ! et, la tour n°7 s'est effondré toute seule ! Cà alors ! Même pas touchée !

Bien sûr que les hologrammes ne datent pas du '11 Septembre 2001' mais des années 50-60, où déjà apparaissaient les premières 'soucoupes volantes' dans le ciel ! Des martiens ! Des extraterrestres qui ont fait des milliards de milliards de kilomètres à la vitesse de la lumière et qui...viennent juste survoler notre planète et repartent aussitôt après ! Çà alors ! Même pas arrêté pour discuter/prendre un verre/dire bonjour ! Bêh merde alors !!

C'est pourquoi aujourd'hui sont enfin autorisés les personnalités politiques (en dehors des artistes de style Arturo Brachetti et autres 'prestidigitateurs') à se faire représenter sur scène en hologrammes.

Là, on sent bien qu'enfin la révolution est en marche ! En marche contre les politiciens assassins et escrocs financiers, en marche contre les merdias gouvernementaux (dans les mains d'un nano-groupuscule de personnes), en marche vers la liberté de vivre, de profiter de l'eau gratuite, des énergies gratuites et d'obtenir enfin un référendum mondial !

Merci monsieur Trump !

22 commentaires:

  1. Malgré son hologramme, Mélenchon se fait interrompre par Le Pen sur les chaînes d'info


    5 févr. 2017, 18:23


    Entre les meetings de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon, les médias ont fait leur choix

    Il avait voulu faire le buzz : son hologramme n'a pourtant pas suffit à séduire les principales chaînes d’actualité françaises. Le candidat de La France insoumise a vu son discours brusquement interrompu par celui de sa rivale du Front national.

    Un hologramme devant plusieurs milliers de spectateurs : Jean-Luc Mélenchon avait tout mis en place pour que son meeting du 5 février, donné à Lyon et retransmis en direct à Paris, fasse parler de lui.

    Mais ce pari technologique n'est pas parvenu à lui garantir l'intérêt des chaînes d’actualité en continu BFMTV, iTélé, Franceinfo, LCI et LCP.

    Diffusant le début de son discours, 14h30 (heure locale), les cinq médias français ont immédiatement interrompu leur retransmission dès l'entrée en scène de Marine Le Pen vers 15h. La prise de parole de la président du Front national a été retransmise en intégralité au détriment du programme détaillé par le candidat de La France insoumise.

    Les chaînes ont par ailleurs choisi de ne pas revenir, même sporadiquement, sur les images du meeting de Jean-Luc Mélenchon, qui s’est terminé vers 16h.

    La différence de couverture médiatique entre les deux débats n’a d'ailleurs pas échappé aux internautes. Plusieurs se sont plaints, sur les réseaux sociaux, d'un manque de pluralité.

    Lire aussi : Marine Le Pen : la question de cette élection est celle de l'existence de notre civilisation

    Lire aussi : Piques à ses rivaux et propositions politiques : Mélenchon donne le top départ à Lyon et Paris

    https://francais.rt.com/france/33547-chaines-infos-coupent-melenchon-plein-discours-diffuser-le-pen

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    1. Imaginez qu'au lieu des avions-holographique du 11 Septembre 2001 il ait été projeté un bateau ou un sous-marin ! HAHAHAHAHA !

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  2. Daesh paye jusqu’à 2 000 dollars pour le transport d'enfants radicalisés en Europe


    5 févr. 2017, 10:06


    D’après le rapport de la fondation Quilliam, Daesh octroie des sommes énormes aux trafiquants de migrants afin qu’ils persuadent les enfants d’adhérer au groupe terroriste. En contrepartie, ils gagnent l’UE gratuitement et sont nourris.

    La fondation britannique Quilliam tire la sonnette d’alarme en révélant que compte tenu du manque de nouveaux adhérents, les recruteurs de Daesh ont consenti à payer environ 2 000 dollars aux trafiquants d’être humains dans le cas où ils les aident à recruter des enfants depuis les camps de migrants. Les premiers cas ont été déjà répertoriés dans des camps de Jordanie et du Liban.

    Les enfants, qui se trouvent souvent dans les camps sans parents sont les cibles privilégiées des terroristes de Daesh. D’après les révélations de la fondation britannique, les trafiquants leur proposent de la nourriture et de les transporter gratuitement vers l’UE s’ils adhérent à Daesh.

    Pour le moment, au moins 88 000 enfants se trouvent sur le territoire de l’UE sans parents. La police déclare qu’ils pourraient un jour tomber entre les mains des terroristes de Daesh. Au moins 853 d'entre eux ont déjà été arrêtés, soupçonnés d’être liés au groupe terroriste.

    «Les enfants sans parents sont les plus vulnérables à la radicalisation s’ils sont séparés de leurs parents qui restent dans leur pays d’origine. Il est évident que les groupes terroristes visent les enfants lors de leur recrutement», lit-on dans le rapport de Quilliam.

    Lire aussi : Terrorisme : le nombre de mineurs mis en examen a presque quadruplé en un an

    https://francais.rt.com/international/33532-daesh-paye-jusqu-2-000-dollars-transport-enfants-daesh

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    1. Petite explication sur 'le retournement de Donald Trump sur sa directive interdisant l'entrée aux USA à certains pays'; primo, les 'réfugiés' ne fuient pas tous un pays en guerre, ni en état de famine ou d'effet météorologique extrême et, ces islamistes de pays islamistes ne se réfugient pas en pays islamistes ! Çà alors ! Mais pourquoi donc ? Parce qu'en réalité: ils fuient l'islam vers des pays certifiés non-islamistes ! C'est donc pourquoi il était nécessaire de faire la part des choses que ces personnes réfugiées n'étant donc pas toutes des terroristes. Mais bien sûr, cela ne veut pas dire que ces masses déplacées ne comportent pas en elles de terroristes désireux d'évangéliser des peuples en pays avancés.

      Donc, pareillement que les États-Unis continueront de lutter contre les terroristes, il se pourrait que le nouveau président décide de lutter énergiquement pour la première fois dans l'histoire de son pays contre les trafiquants de drogue et ventes d'armes dont les meneurs de jeu sont aussi riche ou dépassent le PIB de certains pays !

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  3. Les dénonciateurs de la NOAA racontent comment ils ont utilisé de mauvaises données pour effacer une "pause" pour Paris

    February 6th, 2017


    L'abominable article de Karl et al sortit à temps pour prétendre que la «pause» ne se produisait pas. Nous savions que le papier était indésirable grâce à une enquête dure, en particulier de Ross McKitrick, maintenant le Dr John Bates, un copain de Judith Curry parle de l'intérieur pour confirmer que le papier a utilisé des ensembles de données mal et non approuvés qu'ils ont déjà été modifié. Les données n'ont pas non plus été archivées, ce qui est obligatoire. Bates a pris sa retraite de la NOAA et a reçu une médaille pour la mise en place des normes «contraignantes» qui ont été ignorées dans le but de générer des titres à temps pour Paris.

    David Rose au DailyMail:

    Exposed - Comment les dirigeants du monde ont été dupés en investissant des milliards au-dessus des données manipulées de réchauffement global:

    Dans un entretien exclusif, le Dr Bates a accusé l'auteur principal de l'article, Thomas Karl, qui était jusqu'à l'année dernière directeur de la section NOAA qui produit des données climatiques - les centres nationaux pour l'information environnementale (NCEI) - d'insister sur les décisions et scientifiques Des choix qui maximisent le réchauffement et minimisent la documentation ... dans un effort de discréditer la notion de pause du réchauffement planétaire, se sont précipités afin qu'il puisse chronométrer la publication pour influencer les délibérations nationales et internationales sur la politique climatique ».

    Dr Bates était l'un des deux scientifiques principaux à NCEI, basé à Asheville, en Caroline du Nord.

    Breitbart: Whistle-Blower: Données sur le «réchauffement planétaire» manipulées avant la conférence de Paris

    Par Thomas D Williams

    Selon les rapports, la NOAA a maintenant décidé de remplacer l'ensemble de données sur la température de la mer juste 18 mois après sa publication, car elle utilisait «des méthodes non fiables qui surestimaient la vitesse du réchauffement».

    Une augmentation signalée des températures de surface de mer était due à des ajustements à la hausse des lectures des bouées fixes et flottantes pour convenir avec la température d'eau mesurée par les bateaux, selon Bates.

    Bates a déclaré que la NOAA avait de bonnes données de bouées, mais «ils l'ont jeté et« corrigé »en utilisant les mauvaises données des navires. Vous ne changez jamais de bonnes données pour accepter les mauvaises, mais c'est ce qu'ils ont fait - afin de faire ressembler à la mer était plus chaude.

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  4. L'ensemble de données sur la température du sol, d'autre part, a été victime de bogues logiciels qui ont rendu ses conclusions "instables", a déclaré M. Bates.

     Le nitty gritty à Judith Curry où Karl et al est désigné comme K15.

    Climatologie et climat

    Par John Bates

    Un regard derrière le rideau du centre de données climatiques de la NOAA.

     J'ai récemment lu avec ironie que les scientifiques «copient frénétiquement les données sur le climat des États-Unis, craignant qu'elle ne disparaisse sous Trump» (p. Ex., Washington Post, 13 décembre 2016). En tant que spécialiste du climat qui était auparavant responsable des archives climatiques de la NOAA, la question la plus critique dans l'archivage des données climatiques est en fait les scientifiques qui ne veulent pas officiellement archiver et documenter leurs données.

    http://joannenova.com.au/2017/02/noaa-whistleblower-tells-how-they-used-bad-data-to-rub-out-pause-for-paris/

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  5. L’oxyde de titane cancérigène ? Encore du « séralinisme » à l’INRA !


    le 5 février 2017


    Ci-dessous j’ai « copié-collé » un article paru le 23 janvier 2017 dans le très respectable quotidien économique Les Echos sous la plume de Joël Cossardeaux dont je ne mets nullement en doute ici les qualités professionnelles bien que ce document m’ait vivement interpellé. Il s’agit de la prétendue toxicité de l’oxyde de titane. Voici l’article (illustration pêchée dans Les Echos) et je ferai quelques commentaires en fin de billet.

    L’INRA en alerte sur l’effet d’un additif alimentaire

    Une étude de l’institut relie absorption de dioxyde de titane et développement de lésions précancéreuses chez les rats.

    C’est une expérience dont 4 des 11 rats mobilisés pendant cent jours par l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) ne sont pas sortis indemnes. Soumis quotidiennement à l’ingestion d’E171, un additif incorporé dans les pâtes de dentifrice, les plats préparés et les confiseries, 40 % de cet échantillon de rongeurs ont développé des lésions précancéreuses sur le colon à l’issue de ce régime alimentaire.

    « Nous avons observé des troubles du système immunitaire dans les intestins et jusqu’au foie » (en caractères gras par mes soins), détaille Eric Houdeau, du Centre de recherche en toxicologie alimentaire, un laboratoire de l’Inra, organisme dont les travaux ont été publiés vendredi. Leurs résultats témoignent d’un rôle « initiateur » et « promoteur », d’un début de cancérogenèse colorectale, selon un communiqué de l’Inra. Plusieurs précisions s’imposent. L’effet lié à l’absorption de dioxyde de titane – le nom savant de l’E171, composé à 45 % de nanoparticules – au travers de cette expérience ne vaut que pour le rat. En outre, « nous nous sommes limités au stade précoce, ce qui empêche d’extrapoler jusqu’au stade tumoral. Entre les deux, il y a beaucoup d’étapes », prend soin d’indiquer Fabrice Pierre, directeur de recherches à l’Inra.

    En d’autres termes, rien ne permet de dire que l’E171 expose l’homme à un risque de cancer. Mais l’étude de l’Inra n’affirme pas non plus le contraire. En tout état de cause, « ses résultats vont justifier une étude de carcinogenèse, selon les lignes directrices de l’OCDE », poursuit Fabrice Pierre. Il s’agira, cette fois, d’observer des groupes de 100 rats sur une échelle de temps de deux ans, comme le prévoient les standards internationaux.

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  6. ONDE DE CHOC

    Sans attendre, les ministères chargés de l’Économie, de la Santé et de l’Agriculture ont fait savoir, vendredi, qu’ils saisissaient conjointement l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Mission : « déterminer si l’additif alimentaire E171 présente un éventuel danger pour les consommateurs ». Le dossier ne peut être pris à la légère. « Les niveaux d’exposition vont de 1 à 10 milligrammes/kilo/jour », indique Eric Houdeau. Une échelle de valeur dont les enfants occupent les plus hauts barreaux. Surtout les plus jeunes, très consommateurs de confiseries et qui ont tendance à avaler le dentifrice lors du lavage des dents. Sans faire l’effet d’une bombe, l’étude de l’Inra a produit une onde de choc sur l’industrie agroalimentaire. L’entreprise Verquin Confiseur, qui produit des bonbons Têtes Brûlées, s’est s’engagée à ne plus utiliser de dioxyde de titane dans la fabrication de l’ensemble de ses sucreries. « Après Lutti, Verquin Confiseur est la seconde entreprise à modifier ses recettes afin d’exclure les dioxydes de titane », s’est félicitée l’ONG Agir pour l’Environnement. La semaine dernière, cette association a établi une liste de 200 produits pouvant contenir des nanoparticules.

    Joël Cossardeaux, Les Echos

    Naturellement je ne me suis pas abaissé à perdre mon temps pour rechercher la source, c’est-à-dire l’article scientifique ( ? ) qui relate ces expérimentations car il me paraît clairement qu’il s’agit d’anti-science : 4 rats sur 11 soumis à quelle quantité d’oxyde de titane pendant 100 jours et ayant développé des problèmes digestifs ? Eric Houdeau est tout simplement un escroc, un de plus, tout comme Séralini, payé par les contribuables français. C’est scandaleux d’oser faire de la publicité avec ce type d’expérience et surtout d’alerter les Ministères concernés par la santé et l’agriculture. Je savais que l’INRA était un nid d’écolos en mal de sensationnel mais cette fois la limite de l’honnêteté scientifique a été largement dépassée et pas seulement dans les domaines de l’alimentation, des plantes génétiquement modifiées, des pesticides et de la santé mais aussi dans le cadre de bien d’autres sciences, je pense en particulier à la science climatique et à l’environnement. Comme le disait si bien Carl Sagan que j’ai cité dans un billet précédent, on s’achemine vers un obscurantisme alimenté par le fameux et fumeux principe de précaution qui a été « inscrit dans le marbre de la Constitution » et chaque fois que des pseudo-scientifiques relatent des expériences bâclées que font les politiciens ? Il taxent, il interdisent, ils modifient les lois pour le supposé bien-être et la sécurité des citoyens gogos qui les croient sur parole. On va certainement taxer le dentifrice à pâte blanche, ben voyons, puisqu’il contient de l’oxyde de titane … Bienvenue dans un monde cent pour cent écologique !


    Source : http://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/0211714108032-linra-en-alerte-sur-leffet-dun-additif-alimentaire-2059102.php#WPOmUjxMbDZMsd8z.99

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/02/05/loxyde-de-titane-cancerigene-encore-du-seralinisme-a-linra/

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  7. Le commerce mondial de denrées alimentaires cause de flux migratoires ?

    5 Février 2017 ,
    par Seppi


    Lundi soir [30 janvier 2017], l'émission de l'ARD « hart aber fair » (rude mais juste) portait sur la politique du nouveau président américain Donald Trump. Le commerce international en a été un thème central. Pour un pays exportateur comme l'Allemagne, c'est un sujet important.

    Pour Oskar Lafontaine, président du groupe Die Linke (La Gauche) au parlement de la Sarre, le commerce international n'a rien de bon (à environ 21:00) :

    « Le "libre-échange"est pour moi un des mots les plus mensongers de notre temps. Il n'y a pas de libre-échange. Les États économiquement puissants imposent leurs conditions à ceux qui sont plus faibles et, par exemple dans le secteur agricole, c'est un processus très malsain que d'imposer aux pays africains qu'ils achètent nos produits agricoles subventionnés, ce qui y détruit l'agriculture. Et puis après, nous nous demandons pourquoi les gens fuient et viennent chez nous. Ce mensonge du libre-échange, nous devons enfin le résoudre. »

    Les représentants de Bündnis 90/Die Grünen (Alliance 90/Les Verts) voient cela de la même façon. À l'occasion du voyage en Afrique de la chancelière Angela Merkel en décembre dernier, Anton Hofreiter et Claudia Roth ont résumé leur point de vue dans un commentaire pour le ZEIT dans la phrase suivante :

    « L'une des principales raisons qui incite les gens des pays africains à fuir et à venir chez nous est l'agriculture en Europe. Elle cause en Afrique des dommages qui ne peuvent être corrigés qu'avec une nouvelle politique agricole. »

    Ce qui est un plafond pour M. Seehofer et sa CSU, constitue pour les idéologues rouge-vert les causes des migrations. Mais un regard sur les statistiques apporte la lumière :

    De loin, les demandeurs d'asile les plus nombreux proviennent des zones de conflit du moyen-orient. Ils fuient les conflits armés comme la guerre civile en Syrie.

    Parmi les dix pays d'origine des demandeurs d'asile les plus nombreux figurent deux pays africains : l'Érythrée et le Nigeria. Au Nigeria, le groupe terroriste islamiste Boko Haram répand la peur et la terreur. Aux affrontements armés suivent les disettes et famines. En Érythrée règne un système répressif. Les Droits de l'Homme y sont bafoués. Celui qui fuit, quitte sa patrie parce qu'il veut vivre dans la liberté.

    Les importations de produits agricoles sont aussi l'incarnation du mal dans le récit rouge-vert. La candidate verte de premier plan Katrin Göring-Eckhardt a été citée ces jours-ci dans le ZEIT :

    « Ceci est contredit par Göring-Eckardt. L'Allemagne a une autre responsabilité qui constitue une justification du droit fondamental d'asile : "De nombreux mouvements de réfugiés ont pour origine le fait que nous vivons comme nous vivons. Les gens fuient aussi parce qu'il n'y a pas d'eau là-bas, parce qu'il y a des sécheresses, parce qu'ils ne peuvent plus cultiver leur propre nourriture, parce qu'ils font pousser le soja pour notre production de viande", dit Göring-Eckardt. »

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  8. Parce que nous importons trop de soja, les gens sont dans le besoin dans les pays producteurs ? Mais où produit-on donc la plupart du soja et quels pays en sont les principaux exportateurs ? Il y a des réponses qui apportent des chiffres, l'Association allemande de l'industrie de transformation des oléagineux (OVID) les mettant à disposition :

    Production, exportations, importations de soja en 2015 (source : OVID)

    Les États-Unis, le Brésil, l'Argentine, la Chine, l'Inde, le Paraguay, le Canada, l'UE, le Mexique et le Japon sont les principaux producteurs ; les exportations se répartissent un peu différemment. Une chose est certaine : les principaux pays d'origine des demandeurs d'asile qui arrivent chez nous n'en font pas partie. Si vous regardez où est exporté le plus de soja, vous vous apercevrez aussi que notre mode de vie est de moins en moins important pour la culture mondiale de soja :

    Importations mondiales de soja (source : OVID)

    Près de 30 pour cent de la récolte mondiale de soja va ou reste en Chine. Les importations de l'UE ont en fait diminué légèrement depuis 2000.

    Selon les estimations du Population Reference Bureau (PRB) à Washington, il y aura près de 2,5 milliards de personnes en Afrique en 2050. L'Afrique est aujourd'hui le continent avec la plus forte croissance démographique. Cela se traduit par des défis croissants qui nous concernent tous et qu'on ne peut pas relever avec des polémiques de campagne électorale dérisoires.

    _________________

    * L'auteure a fait des études de philosophie, est éditrice et a atterri il y a déjà plus de dix ans à la campagne. Sur son blog, elle (d)écrit – miracle ! La traduction peut être fidèle – ce qui la préoccupe, lorsqu'elle n'est pas en train de curer l'écurie des poneys, de chercher des gants de gardien de but, de s'occuper de quantités de denrées alimentaires ou de linge, ou encore de tenter d'arracher les mauvaises herbes plus vite qu'elles ne poussent.

    Source : https://schillipaeppa.net/2017/02/01/internationaler-agrarhandel-als-fluchtursache/

    http://seppi.over-blog.com/2017/02/le-commerce-mondial-de-denrees-alimentaires-cause-de-flux-migratoires.html

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    1. Pareillement que des idiots d''urbanistes' ont construits des millions de logements autour d'un... seul robinet d'eau et qui demandent ensuite d'économiser l'eau et de la faire payer des prix plafond (alors qu'elle sort gratuite des sources !), ces mêmes 'Directeurs' parlent jusqu'à 'la faim dans le monde' alors qu'il y aurait à bouffer pour 10 fois plus !

      Ex: Une truite pond 500 000 oeufs, dont env. 250 000 femelles qui - a leur tour - vont pondre 500 000 oeufs chacune ! etc, etc ! Suffit de retirer/empêcher les prédateur de bouffer les oeufs !

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/01/un-grain-ou-un-oeuf-qui-peut-tout-faire.html

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  9. DÉCLARATION À PARTIR DE LA PLAGE DE WEST PALM, FLA.
    Trump: 'La Californie à bien des égards est hors de contrôle'

    FÉV. 5, 2017, 1:46 P.M.

    C'est notre regard sur l'administration du président Trump et le reste de Washington:

    La Cour d'appel de Californie rejette la demande de Trump de suspendre l'interdiction de voyager

    FÉV. 5, 2017, 1:46 P.M.
     

    Déclarant que la Californie était «hors de contrôle», le président Trump a menacé de retenir les fonds fédéraux à l'État s'il vote pour se déclarer un État sanctuaire.

    Un comité sénatorial d'État a approuvé mardi un projet de loi du président du Sénat de l'Etat, Pro Tem Kevin de León, qui interdit aux agences d'application de la loi étatiques et locales d'utiliser des officiers ou des prisons pour faire respecter les lois fédérales sur l'immigration.

    Dans une interview diffusée lors du Super Bowl de Fox avant le match, Fox News Channel hôte Bill O'Reilly a demandé au président au sujet du plan.

    "Je pense que c'est ridicule", a t-il dit, réitérant son opposition aux villes de sanctuaire, ce qu'il a qualifié de "crime de race". Il a signé un décret dans sa première semaine de mandat qui menaçait de retenir le financement fédéral pour les villes qui ne coopèrent pas. Fonctionnaires fédéraux d'immigration.

    "Si nous devons le faire, nous défundons", a déclaré Trump. "Nous donnons d'énormes sommes d'argent à la Californie. La Californie, à bien des égards, est hors de contrôle, comme vous le savez.

    Trump a dit que ce n'était pas sa préférence pour le faire, et que les États et les villes devraient obtenir de l'argent dont ils ont besoin "pour fonctionner correctement".

    Mais, «s'ils vont avoir des villes de sanctuaire, nous pouvons avoir à faire cela. Ce serait certainement une arme ", a t-il dit.

    http://www.latimes.com/politics/washington/la-na-essential-washington-updates-trump-bill-to-make-california-a-1486330796-htmlstory.html

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    1. Ce sont ces 'sanctuaires fabriqués de toutes pièces par des étrangers' qui nuisent à une nation dès lors où ces immigrants tentent de reproduire les mêmes situations qu'ils ont connu dans le pays dont ils en ont fuient la dictature !
      C'est ainsi que naissent 'des quartiers' de gens venus de tels ou tels pays ou de telle ou telle religion car, ils REFUSENT de s'intégrer dans le pays d'accueil !

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  10. Les Californiens paient des milliards pour le pouvoir dont ils n'ont pas besoin

    Nous consommons moins d'électricité. Certaines centrales ont même arrêté. Alors, pourquoi les autorités publiques continuent-elles d'approuver de nouvelles ?

    Par IVAN PENN et RYAN MENEZES
    *Reportage de Yuba City, Calif.

    FÉV. 5, 2017


    - Voir le graphique interactif sur site -

    Les vergers bucoliques du comté de Sutter, au nord de Sacramento, n'avaient jamais rien vu de tel: un gouverneur visiteur et un essaim de médias - tous pour baptiser la première grande centrale électrique au gaz naturel en Californie en plus d'une décennie.

    Lors de son lancement en 2001, le Centre énergétique Sutter a été salué comme la centrale électrique la plus propre du pays. Il a généré de l'électricité tout en utilisant moins d'eau et de gaz naturel que les anciennes conceptions.

    Il y a un an, cependant, l'usine de 300 millions de dollars a fermé indéfiniment, à seulement 15 ans d'une durée de vie prévue de 30 à 40 ans. La puissance qu'il produit n'est plus nécessaire - en grande partie parce que les régulateurs de l'état ont approuvé la construction d'une usine à seulement 40 miles à Colusa qui a ouvert en 2010.

    «Nous construisons plus de centrales en Californie que jamais. Notre but est de rendre l'énergie de la Californie autosuffisante. "- Gov. Gray Davis à l'ouverture de Sutter Energy Center en 2001. (Carolyn Cole / Los Angeles Times)

    Deux autres centrales électriques importantes et efficaces en Californie sont également confrontés à des décennies de fermeture en avance. Comme Sutter, il y a peu besoin de leur électricité.

    La Californie a une surabondance grandissante et croissante d'électricité, une enquête par le Los Angeles Times a trouvé. Les centrales électriques de l'État sont sur la bonne voie pour produire au moins 21% d'électricité de plus que ce qui est nécessaire d'ici 2020, d'après les estimations officielles. Et cela ne compte même pas la production en flèche de l'électricité par des panneaux solaires sur le toit qui a ajouté à l'excédent.

    Pour couvrir les frais de nouvelles installations dont la puissance n'est pas nécessaire - Colusa, par exemple, a fonctionné en dessous de la capacité depuis l'ouverture - Californiens sont payer une prime plus élevée pour allumer des lumières ou allumer des poêles électriques. Ces dernières années, l'écart entre ce que les Californiens paient par rapport au reste du pays a presque doublé à environ 50%.

    Cela se traduit par un projet de loi stupéfiant. Bien que la Californie utilise 2,6% de moins d'électricité chaque année par rapport au réseau électrique en 2008, les clients résidentiels et d'affaires paient ensemble 6,8 milliards de dollars de plus pour leur pouvoir qu'auparavant. Le coût supplémentaire pour les clients sera de plusieurs milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies, parce que les régulateurs ont approuvé des taux plus élevés pour les années à venir afin que les services publics puissent récupérer les frais de construction et d'entretien des nouvelles usines, des lignes de transmission et des équipements connexes. Puissance n'est pas nécessaire.

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  11. Comment cela est-il arrivé est un conte de ce que les critiques appellent mauvaise et inepte décision des régulateurs d'utilité publique, qui ont ignoré les avertissements répétés remontant à une décennie au sujet d'une surabondance de puissance imminente.

    "En Californie, nous sommes aveuglés aux faits", a déclaré Loretta Lynch, un ancien président de la California Public Utilities Commission, qui, avec des groupes de défense des consommateurs a combattu pour arrêter de construire des usines. "Nous sommes inondés dans l'énergie électrique à un prix élevé."

    Les régulateurs de la Californie ont depuis des années autorisé les compagnies d'électricité à aller sur une fête du bâtiment, en élargissant considérablement l'approvisionnement en électricité potentielle dans l'État. En effet, alors que la demande d'électricité a chuté depuis 2008, les nouvelles usines de Californie ont augmenté sa capacité suffisante pour alimenter toutes les maisons dans une ville de la taille de Los Angeles - six fois plus. D'autres installations approuvées par les organismes de réglementation commenceront à produire plus d'électricité au cours des prochaines années.

     Les faux pas des régulateurs ont été aggravés par l'intérêt personnel des services publics de Californie, Lynch et d'autres critiques soutiennent. Les services publics sont généralement garantis un taux de rendement d'environ 10,5% pour le coût de chaque nouvelle usine, quel que soit le besoin. Cela crée un incitatif majeur pour continuer la construction: les services publics peuvent gagner plus d'argent en construisant de nouvelles usines qu'en achetant et en revendant facilement de l'électricité à partir de centrales existantes exploitées par des concurrents.

    Les régulateurs reconnaissent que l'État a trop de pouvoir, mais disent qu'ils sont prudents. L'investissement, soutiennent-ils, est nécessaire en cas d'urgence - comme une centrale qui tombe inopinément, une vague de chaleur qui recouvre la région ou un incendie qui détruit une partie du réseau de transport.

    «Nous avons trop construit le système parce que c'était la façon dont nous fournissions ce degré de fiabilité», a expliqué Michael Picker, président de la California Public Utilities Commission. "La redondance est importante pour la fiabilité."

    Une partie de la capacité excédentaire, at-il noté, est en préparation pour la retraite des centrales électriques plus anciennes et inefficaces au cours des prochaines années. L'état est en train de construire de nombreuses nouvelles usines pour essayer de répondre aux normes environnementales de la Californie exigeant 50% d'énergie propre d'ici 2030, a t-il dit.

    De plus, a t-il dit, certaines municipalités - comme le département de l'eau et de l'énergie de Los Angeles - veulent maintenir leurs propres systèmes, ce qui entraîne des inefficacités et des licenciements. «Ce sont tous des problèmes que les gens sont prêts à payer», a déclaré M. Picker.

    Les critiques s'entendent pour dire que certaines capacités excédentaires sont nécessaires. Et, en fait, les règlements de l'État exigent un coussin de 15%. Californie surpasse cette marque et est sur le rythme de le dépasser de 6 points de pourcentage au cours des trois prochaines années, selon le Western Electricity Coordinating Council, qui suit la capacité et la fiabilité. Dans le passé, le groupe a estimé que l'excédent serait encore plus élevé.

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  12.  Michael Picker, actuel président de la Commission des services publics de la Californie, a déclaré que l'excédent d'alimentation de l'État est une décision stratégique pour assurer la fiabilité. Loretta Lynch, qui a occupé le même poste de 2002 à 2005, a été une critique de la surconstruction depuis qu'elle a présidé l'agence de réglementation. (Associated Press)

    Même l'objectif de 15% est «assez riche», a déclaré Robert McCullough de l'Oregon basé McCullough Research, qui a étudié l'excès de la capacité électrique de la Californie à la fois pour les services publics et les régulateurs. "Traditionnellement, 10% est très bien. Au-dessous de 7% est le joint blanc. Nous sommes loin du temps des blanches "en Californie.

    Contrairement à l'affirmation de Picker, les critiques disent, les clients ne sont pas conscients que trop de capacité signifie des taux plus élevés. "Les gagnants sont les compagnies d'énergie", a déclaré Lynch. "Les perdants sont des entreprises et des familles."

    La sur-abondance de l'électricité peut être attribuée à une déréglementation mal conçue de l'industrie, qui a ouvert la voie à des pannes pendant la crise énergétique de 2000-2001.

    Les législateurs ont ouvert le secteur de l'électricité à la concurrence en 1998, de sorte que les entreprises de services publics ne jouiraient plus du monopole de la production et de la vente d'électricité. L'objectif était de maintenir les prix plus bas tout en assurant une offre adéquate. Les services publics et leurs clients ont été autorisés à acheter de l'électricité auprès de nouveaux exploitants non réglementés appelés producteurs d'électricité indépendants.

    La loi a créé un nouvel échange où l'électricité pourrait être achetée et vendue, comme d'autres produits comme le pétrole ou le blé.

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    En réalité, au lieu de réduire les coûts de l'électricité et d'encourager l'innovation, la manipulation du marché par Enron Corp. et d'autres négociants en énergie a contribué à faire grimper les prix de l'électricité.

    Cela a mis les services publics dans une obligation, parce qu'ils avaient vendu pratiquement toutes leurs usines de gaz naturel. Plus capables de produire autant de leur propre électricité, ils ont couru des dettes énormes pouvoir d'achat que les clients avaient besoin. Les pannes se répandent dans l'état.

    Les dirigeants de l'État, les autorités de régulation et les compagnies d'électricité ont promis de ne jamais être à nouveau dans cette position, ce qui a incité tous à pousser à construire plus de plantes, appartenant aux services publics et indépendantes.

    "Ils n'allaient pas permettre une autre crise énergétique en raison d'un manque de génération", a déclaré Alex Makler, un vice-président senior de Calpine, le producteur indépendant d'électricité qui possède la centrale Sutter Energy non loin de Sacramento.

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  13. Mais le paysage commençait à changer. Au moment où les nouvelles centrales ont commencé à produire de l'électricité, l'utilisation avait commencé à baisser, en partie à cause du ralentissement économique causé par la récession, mais aussi par une plus grande efficacité énergétique.

    L'État est passé d'avoir trop peu à avoir beaucoup trop de pouvoir.

    «La Californie a cette tradition de décisions étonnamment mauvaises», a déclaré McCullough, le consultant en énergie. «Ils construisent et facturent les contribuables. Il n'y a rien de malhonnête. Il n'y a rien de compliqué. C'est juste une mauvaise planification.

    La Californie a cette tradition de décisions étonnamment mauvaises.
    - Robert McCullough, consultant en énergie

    La saga de deux plantes - Sutter Energy et Colusa - aide à expliquer dans un microcosme comment la Californie est venu à avoir trop d'énergie, et est de payer un prix élevé pour cela.

    Sutter a été construit en 2001 par Calpine basée à Houston, qui possède 81 centrales dans 18 états.

    Le centre d'énergie de Sutter, maintenant fermé, a gagné de l'argent seulement si Calpine Corp. a trouvé des clients pour la puissance de l'usine. D'autres grandes usines de gaz naturel dans l'état font également face à des fermetures précoces. (David Butow / Pour les temps)

    La centrale de Colusa a été inaugurée en 2010. Pacific Gas & Electric facturera aux contribuables plus de 700 millions de dollars sur la durée de vie de l'usine, afin de couvrir ses coûts d'exploitation et le bénéfice garanti aux sociétés de services publics. (Rich Pedroncelli / AP)

    Indépendants comme Calpine n'ont pas un public captif de clients résidentiels comme les services publics réglementés faire. Au lieu de cela, ils vendent leur électricité sous contrat ou sur le marché de l'électricité, et ne font de l'argent que s'ils peuvent trouver des clients pour leur pouvoir.

    Sutter avait la capacité de produire suffisamment d'électricité pour alimenter environ 400 000 foyers. Calpine exploité Sutter à une moyenne de 50% de la capacité dans ses premières années - assez pour faire un profit.

    Mais Pacific Gas & Electric Co., une entreprise réglementée, propriété des investisseurs, est venu avec une proposition pour construire Colusa.

    Ce n'est pas longtemps après une vague de chaleur à l'échelle de l'État, et PG & E a soutenu dans sa demande de 2007 demandant l'approbation PUC qu'il avait besoin de la capacité de générer plus de puissance. Colusa - une usine presque identique en taille et en technologie à Sutter - était le seul projet de grande envergure qui pourrait être terminé rapidement, PG & E a dit.

    Plus d'une demi-douzaine d'opposants, y compris des représentants de centrales indépendantes, un groupe d'utilitaires municipaux et des défenseurs des consommateurs ont déposé des objections en questionnant la compagnie d'électricité. N'y avait-il pas une alternative plus économique ? Est-ce que la Californie a besoin de la plante du tout ?

    Ils ont exprimé la crainte que Colusa pourrait être très coûteux à long terme pour les clients si il s'est avéré que son pouvoir n'était pas nécessaire.

    C'est parce que les services publics tels que PG & E fonctionnent sur un modèle différent.

    L'approvisionnement en énergie de la Californie: des pannes à la surabondance

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  14. Si les ventes d'électricité ne couvrent pas les coûts d'exploitation et de construction d'une centrale électrique indépendante, elle ne peut pas continuer à fonctionner pendant longtemps. Et si l'usine indépendante se ferme, le propriétaire - et non les contribuables - assume la charge du coût.

    En revanche, les services publics comme PG & E fonctionnent selon des règles plus accommodantes. La plupart de leurs revenus proviennent de tarifs électriques approuvés par les régulateurs qui sont fixés à un niveau pour garantir l'utilité récupère tous les coûts pour l'exploitation du système électrique ainsi que le coût de la construction ou l'achat d'une centrale électrique - plus leur bénéfice garanti.

    Les manifestants ont soutenu que Colusa était inutile. L'excédent de capacité de production de l'État d'ici 2010, année de la mise en ligne de Colusa, devrait être de près de 25%, soit 10 points de plus que les exigences réglementaires de l'État.

    Le surstockage imminent, ont affirmé, signifiait que les consommateurs seraient bloqués avec une grande partie de la facture pour Colusa peu importe comment peu de clients ont besoin de son électricité.

    Et le projet de loi serait raide. Colusa coûterait à PG & E 673 millions de dollars à construire. Au cours de sa durée de vie, les autorités de réglementation ont calculé que PG & E sera autorisé à facturer plus de 700 millions de dollars à ses clients pour couvrir non seulement le coût de construction mais ses coûts d'exploitation et son bénéfice.

    La centrale de Colusa de Pacific Gas & Electric a fonctionné à un niveau bien inférieur à sa capacité de production, soit seulement 47% au cours des cinq premières années. (Rich Pedroncelli / AP)
    La pression urgente de PG & E «semble injustifiée et inappropriée, et potentiellement coûteuse pour les contribuables», écrit Daniel Douglass, un avocat pour les groupes de l'industrie qui représentent les producteurs d'électricité indépendants.

    La California Municipal Utilities Assn. - dont les membres achètent le pouvoir des services publics et distribuent ensuite ce pouvoir à leurs clients - se sont également plaints dans un dépôt que la demande de PG & E semblait éviter la question de savoir comment le coût de Colusa serait partagé s'il était finalement inutilisé. «L'application de PG & E est confuse et contredit si PG & E propose ou non de traiter la question du recouvrement des coûts bloqués», écrit Scott Blaising, avocat représentant l'association. («Stranded cost» est le jargon de l'industrie pour l'investissement dans une usine inutile.)

    Les arguments sur Colusa faisaient écho aux avertissements qui avaient été faits depuis des années par Lynch, l'ancien commissaire de la PUC.

    Un avocat pro-consommateur nommé président de la PUC en 2000 par le gouverneur Gray Davis, Lynch a systématiquement soutenu dès 2003 contre la construction de plus de centrales électriques.

    "J'étais comme, 'Qu'est-ce que nous faisons ?'" Se souvient Lynch.

    Elle a souvent renversé des têtes avec d'autres commissaires et des services publics qui ont poussé pour plus de plantes et plus de réserves. À la moitié de son mandat, le gouverneur l'a remplacée comme présidente - avec un ancien dirigeant d'entreprise de services publics.

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  15. Une bataille importante a été menée sur la quantité de réserve nécessaire pour se prémunir contre les pannes d'électricité. Lynch a cherché à limiter la capacité excédentaire à 9% des besoins en électricité de l'État. Mais en janvier 2004, au-dessus de ses objections, la PUC a approuvé une augmentation graduelle à 15% d'ici à 2008.

    «Nous avons créé un système extraordinairement complexe qui vous donne une carotte à chaque tour», a déclaré Lynch. "Je suis un critique sévère parce que c'est intentionnellement complexe de faire de l'argent sur le retour du contribuable."

    Avec Lynch qui n'est plus sur la PUC, les commissaires ont voté 5-0 en juin 2008 pour permettre à PG & E de construire Colusa. Le raisonnement: L'usine était nécessaire, nonobstant les arguments selon lesquels il y avait un excédent d'électricité produite sur le marché.

    PG & E a commencé à produire de la puissance à Colusa en 2010. Pour l'usine Sutter voisine, qui a marqué le début de la fin que ses ventes d'électricité a chuté.

    Dans les années qui ont suivi, la production de Sutter s'est effondrée à approximativement un quart de sa capacité, ou juste la moitié du taux qu'elle avait fonctionné précédemment.

    Calpine, le propriétaire de Sutter, a essayé de créer de nouvelles affaires pour l'usine troublée, en contactant les entreprises publiques appartenant à des actionnaires comme PG & E et d'autres acheteurs potentiels. Calpine a même proposé de dépenser 100 millions de dollars pour accroître l'efficacité et la production de l'usine, selon une lettre envoyée à la Commission en février 2012.

    PG & E a rejeté l'offre, a déclaré Calpine, "malgré que Sutter a pu être en mesure de fournir un coût inférieur."

    "PG & E a demandé à commenter," PG & E est dédié à la réalisation des objectifs de l'état de l'énergie propre de manière rentable pour nos clients. Nous utilisons des appels d'offres et des négociations pour maintenir le coût et le risque pour nos clients aussi bas que possible. »Il a refusé de commenter davantage sa décision de construire Colusa ou ses discussions avec Calpine.

    Sans nouveaux contrats et avec l'utilisation de l'énergie globale sur le déclin, Calpine avait peu d'autre choix que de fermer Sutter.

    Au cours d'une audience de 2012 sur la détresse de Sutter, un commissaire de la PUC, Mike Florio, a reconnu que les ennuis de l'usine étaient «juste la pointe de l'iceberg proverbiale.» Il a ajouté: «Pour l'avenir prévisible, nous avons plus de centrales que nous avoir besoin."

    Colusa, quant à elle, a fonctionné à un niveau bien inférieur à sa capacité de production - seulement 47% au cours de ses cinq premières années - tout comme ses critiques l'ont mis en garde lorsque PG & E a demandé l'approbation de la construire.

    Sutter n'est pas seul. D'autres usines de gaz naturel une fois annoncées comme les sauveurs des troubles énergétiques de la Californie ont été victimes de la surabondance de l'énergie. Des producteurs d'électricité indépendants ont annoncé des plans pour vendre ou fermer la centrale électrique de 14 ans de Moss Landing à Monterey Bay et l'usine de 13 ans La Paloma dans le comté de Kern.

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  16. Autrement dit, dans un avenir prévisible, nous avons plus de centrales électriques que nous n'en avons besoin.
    - Mike Florio, ancien commissaire de la PUC

    Robert Flexon, directeur général du producteur indépendant Dynegy Inc., propriétaire de Moss Landing, a déclaré que la politique énergétique de la Californie rendait difficile la concurrence normale sur le marché. Les usines indépendantes ferment tôt, at-il dit, parce que les régulateurs privilégient les compagnies de services publics par rapport aux autres producteurs d'électricité.

    "Ce n'est pas un jeu que nous pouvons gagner", a déclaré Flexon.

    Depuis 2008 seulement - quand la consommation a commencé à tomber - une trentaine de nouvelles centrales approuvées par les régulateurs de Californie ont commencé à produire de l'électricité. Ces usines représentent la grande majorité de l'augmentation de 17% de l'offre d'électricité potentielle dans l'état pendant cette période.

    Des centaines d'autres petites centrales électriques, dont les capacités de production sont trop faibles pour exiger le même niveau d'examen par les régulateurs étatiques, se sont également ouvertes.

    La plupart des grandes nouvelles centrales que les régulateurs ont approuvées fonctionnent également en dessous de 50% de leur capacité de production.

    Pour que les entreprises de services publics de Californie puissent payer la facture pour ces usines, le montant qu'ils sont autorisés par les régulateurs à facturer les contribuables a augmenté à 40 milliards de dollars par an de 33,5 milliards de dollars, selon les données de l'Administration américaine de l'information sur l'énergie. Cela a ajouté un montant supplémentaire de 60 $ par année à la facture d'électricité résidentielle moyenne, rajustée en fonction de l'inflation.

    Une autre façon de voir l'impact sur les consommateurs: Le coût moyen de l'électricité dans l'État est maintenant 15,42 cents le kilowatt-heure contre 10,41 cents pour les utilisateurs dans le reste des États-Unis. Le taux en Californie, corrigé de l'inflation, a augmenté de 12% depuis 2008, alors que les prix ont baissé de près de 3% ailleurs dans le pays.

    Les services publics de Californie sont «pleurer constamment loup que nous sommes toujours à court de puissance et ont tout ce besoin», a déclaré Bill Powers, San Diego ingénieur et défenseur des consommateurs qui a déposé des objections répétées avec les régulateurs pour essayer d'arrêter l'approbation de nouvelles les plantes. Ils essaient inutilement d'atteindre un niveau de fiabilité qui est le pire des cas "acte de Dieu standard", at-il dit.

    Même avec la surabondance croissante d'électricité, les critiques des consommateurs ont constaté qu'il est difficile d'empêcher la PUC d'en approuver d'autres.

    En 2010, les autorités de régulation ont examiné une demande de PG & E visant à construire une centrale électrique de 1,15 milliard de dollars dans le comté de Contra Costa, à l'est de San Francisco, pour protester contre l'insuffisance de la demande de puissance. Un sceptique était le commissaire de la PUC, Dian Grueneich. Elle a averti que l'usine n'était pas nécessaire et que sa construction conduirait à des tarifs d'électricité plus élevés pour les consommateurs - en plus de la hausse de 28% que la PUC avait autorisée pour PG & E au cours des cinq années précédentes.

    L'approvisionnement en énergie de la Californie: des pannes à la surabondance

    - Voir le graphique interactif sur site -

    La PUC a été prise dans une «chaîne de temps», a-t-elle soutenu, en approuvant de nouvelles usines pendant que l'utilisation de l'électricité était tombée. «Notre obligation est de veiller à ce que nos décisions aient une base factuelle légitime et que l'intérêt des contribuables soit protégé».

    Ses protestations ont été ignorées. Par un vote de 4 contre 1, avec Grueneich le dissident isolé, les commissaires ont approuvé la construction de l'usine.

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  17. Les défenseurs des consommateurs se sont ensuite présentés devant les tribunaux pour mettre un terme au projet, ce qui a entraîné une rare victoire contre la PUC. En février 2014, la Cour d'appel de Californie a renversé la commission, statuant qu'il n'y avait aucune preuve que l'usine était nécessaire.

    Les efforts récents visant à amener les tribunaux à bloquer plusieurs autres usines approuvées par la PUC ont cependant échoué, de sorte que les projets progressent.

    http://www.latimes.com/projects/la-fi-electricity-capacity/

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    1. L'explication vient que ce sont des entreprises privées = donc libres de produire ce qu'elles veulent. Or, plus il y aurait d'entreprises concurrentes, moins cher serait les produits fabriqués... mais, ces 'concurrents', se sont vite rendu compte qu'ils y perdaient tous à se faire la guerre (des prix) et donc: se sont entendus pour fixer un prix très élevés afin de conserver leurs entreprises tournant toutes au ralenti !
      Cela met fin aussi à toute concurrence venue de l'extérieur qui voudrait s'implanter car, chaque entreprise déjà en place à du mal a en vivre ! Et, comme ce ne sont pas les panneaux solaires à la con ou les putains d'éoliennes qui vont faire un prix plus bas que le leur...

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