- ENTREE de SECOURS -



lundi 30 janvier 2017

Donald Trump président

https://www.youtube.com/watch?v=rbI03LRdFWA

7 commentaires:

  1. Décret Trump sur l'immigration : les Casques blancs ne pourront assister aux Oscars


    31 janv. 2017, 06:40


    La productrice du documentaire sur les Casques blancs, qu'elle appelle «les plus courageux des humanitaires», crie au scandale : à cause du décret Trump sur l'immigration, ses protagonistes syriens ne pourront venir à Hollywood.

    Les controversés Casques blancs ne pourront pas tous participer au grand raout annuel des Oscars. Leur documentaire y tient pourtant une place de choix, le jury ayant estimé qu'il avait toute sa place dans la catégorie «court-métrage documentaire».

    Mais le récent décret de Donald Trump, interdisant l'entrée sur le territoire américain aux ressortissants de sept pays musulmans, a mis l'Académie dans l'embarras. Le responsable des Casques blancs, Raed Saleh, et le réalisateur Khaled Khateeb, invités à la cérémonie par leur productrice Joanna Natasegara, Syriens, ne pourront pas entrer sur le territoire américain.

    Joanna Natasegara ne s'en remet pas : «Ils ont été nominés pour le prix de Nobel de la paix !», a t-elle déclaré. «Ces personnes sont les humanitaires les plus courageux de la planète, et l'idée qu'ils ne puissent pas venir partager ce succès avec nous, c'est tout simplement odieux», s'est-elle emportée.

    Mais la productrice aurait peut-être dû sentir que ses héros et protagonistes n'étaient pas sûrs de pouvoir battre le pavé à Hollywood. Ce n'est en effet pas la première fois que Raed Saleh se voit interdit d'entrer aux États-Unis. En avril 2016, il avait dû retourner à Istanbul après avoir découvert que son visa avait été annulé par les États-Unis. Il devait alors recevoir un prix à Washington lors d'une soirée de gala en faveur des Casques blancs, parrainée par l'agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID).

    USAID est un des nombreux sponsors (à hauteur de 23 millions de dollars) des Casques blancs qui touchent également des subventions en provenance du Royaume-Uni (65 millions) et du gouvernement américain (100 millions). La journaliste indépendante Vanessa Beeley, qui s’est rendue en Syrie, assure qu'ils y soutiennent activement les terroristes.

    Lire aussi : Syrie : un documentaire sur les controversés Casques blancs nominé... aux Oscars !

    https://francais.rt.com/international/33251-nomines-pour-meilleur-documentaire-casques-blancs-pourront-pas-assister-oscars

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  2. Dans Mossoul assiégée, 350 000 enfants retenus en otage par l'Etat islamique


    30 janv. 2017, 22:50


    La libération de Mossoul n'est pas encore acquise, et les combattants de Daesh semblent déterminer à utiliser tous les recours pour ralentir la progression de l'armée irakienne

    En proie aux pénuries, les populations civiles de Mossoul-Ouest sont de plus retenues en otage par l'Etat islamique, qui tente ainsi de ralentir l'avancée des troupes irakiennes, qui ont déjà repris la partie orientale de la ville.

    L'ONG Save the children estime que sur les 750 000 personnes retenues captives dans la partie occidentale de Mossoul, contrôlée les troupes de Daesh, la moitié sont des enfants. Ils risquent d'être exécutés s'ils tentent de s'échapper, l'organisation terroriste utilisant la population civile comme autant d'otages pour faire pression sur l'armée irakienne et ralentir sa progression.

    L'association humanitaire, basée à Londres, demande aux troupes irakiennes et à la coalition militaire emmenée par les Etats-Unis de «faire tout le nécessaire pour minimiser l'impact sur les civils» au cours de l'opération pour tenter de reprendre cette partie de la ville. «Pour un enfant, peu importe d'où provient la bombe», rappelle un responsable de Save the children, Maurizio Crivallero.

    La situation à Mossoul est qualifiée de «terrifiante» par les observateurs, qui notent que les trois quarts des habitants n'ont pas accès aux soins d'urgence et commencent à se trouver à court de nourriture et d'eau. Les forces militaires irakiennes, soutenues par leurs alliés chiites, ont repris le contrôle de l'Est de Mossoul le 24 janvier dernier, mais la partie Ouest de la ville demeure sous contrôle des terroristes.

    Lire aussi : Alep-Mossoul : un traitement de l’information à géométrie variable

    https://francais.rt.com/international/33244-dans-mossoul-assiegee-350-000-enfants

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  3. Le F-35, l'avion le plus cher de l'histoire du Pentagone va être audité


    30 janv. 2017, 21:56


    Sous la houlette du secrétaire à la Défense James Mattis, le Pentagone a bien l'intention de stopper l'hémorragie budgétaire que représente le F-35. Fiasco technologique et gouffre financier, le dernier né de Lockheed Martin est sur la sellette.

    Une des premières actions du général James Mattis, le nouveau secrétaire d'Etat à la Défense des Etats-Unis, a été de demander un examen détaillé du dernier avion de chasse de Lockheed Martin, le Joint strike fighter F-35 (JSF), a annoncé le Pentagone vendredi 27 janvier.

    «Le but de cet examen est de prendre des décisions sur le programme [du F-35] et sur son budget en connaissance de cause, tout en reconnaissant son importance cruciale», a déclaré Jeff Davis, le porte-parole du Pentagone. L'audit ordonné par le général Mattis a entre autre pour but de trouver des moyens de réduire le coût du F-35.

    Depuis son investiture, le JSF a été pointé du doigt par Donald Trump, qui estime que son coût est «hors de contrôle», et que «des milliards de dollars» pourraient être économisés.

    Le coup de pression du président américain a déjà porté ses fruits. Il annoncé le 30 janvier avoir reçu une remise de 600 millions de dollars de la part de Lockheed Martin sur la livraison des 90 prochains avions. «J'apprécie que Lockheed Martin soit si réactif», s'est-il réjoui.

    Le F-35 est le programme militaire le plus cher de l'histoire du Pentagone, qui d'ici fin 2018 aura coûté 400 milliards de dollars pour 2 457 avions. Plus encore, sur les 55 ans de durée de vie du programme, le coût total s'élèvera à 1 500 milliards de dollars.

    En dépit de son coût exorbitant, l'avion présente de graves défaillances. Selon un rapport du think tank spécialisé dans l'industrie militaire National Security Network, en combat, le F-35 se trouve «moins manœuvrable que les avions adverses, dispose de moins de munitions, d'une moins grande portée et est visible sur leurs radars».

    Le Premier ministre canadien Justin Trudeau, potentiel acquéreur, avait résumé simplement l'affaire lors d'un débat parlementaire en juin dernier : «le F-35 ne marche pas et est loin de marcher.»

    Alors à quoi aurait pu servir les fonds utilisés à construire un avion qui ne marche pas ? A payer l'Université pendant 20 ans à tous les étudiants américains par exemple, répond un journaliste du Wall Street Journal.

    Il y a bien d'autres moyens de dépenser 1 500 milliards de dollars de deniers publics. Alors que Donald Trump vient d'abroger «Obamacare» – la réforme de santé mis en place par Barack Obama – parce que trop coûteuse, cette somme aurait permis de payer quatre ans d'assurance maladie à tous les américains. Ou encore à renflouer les étudiants qui croulent sous les dettes outre-atlantique (1 300 milliards de dollars). Voire à régler la facture du budget total de la défense américain, pour plus de deux ans (636 milliards par an).

    Ou plus simplement, à faire un don à tous les américains de 4 500 dollars, une mesure qui aurait certainement trouvé ses défenseurs.

    Lire aussi : Les pilotes de l'US Air Force priés de vanter les mérites de leur futur avion de chasse... décrié

    https://francais.rt.com/international/33241-f-35-avion-plus-cher-histoire-pentagone-va-etre-audite

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  4. Il y a vraiment un coup d'état qui couve aux Etats-Unis


    Comité Vamy
    lun., 30 jan. 2017 20:11 UTC


    C'est commencé : le Maidan américain a fait son apparition

    Quand j'ai présenté dans l'info-sphère russe la thèse que les États-Unis se transformeraient en une Ukraine, en plus grand, beaucoup ont d'abord pensé que c'était une bonne plaisanterie politique. Mais ce qui se passe à Washington et dans d'autres villes américaines et certaines européennes montre que ce n'est pas une blague, mais la dure réalité dans laquelle nous vivons. Si nous regardons attentivement et impartialement comment l'administration de Donald Trump est ébranlée, il est facile de voir que les mêmes techniques qui sont utilisées contre lui ont été élaborés sur les places de Kiev, du Caire, de Hong Kong et de Moscou. Si nous entrons dans les détails, nous pouvons dire avec certitude qu'un Maidan américain est préparé non seulement sur le même modèle que les sanglantes révolutions de couleur des autres pays, mais avec les mêmes commanditaires. Analysons ceci.

    Une vague de protestations contre le nouveau président Donald Trump déferle dans les villes américaines. Les manifestations auraient soi-disant lieu pour soutenir les droits des femmes, mais les médias américains et les manifestants eux-mêmes ont clairement dit qu'ils sont venus protester contre la nouvelle administration. Selon diverses estimations, le nombre de manifestants dans cette « action des femmes » à Washington totalise quelque 200 000 personnes, mais les organisateurs ont dit qu'ils ont une « marche d'un million de femmes sur Washington ». « Marche de millions » ... cela ne vous rappelle-t-il rien ? C'est sous le même slogan que les libéraux russes organisent aussi leurs marches. Et les similitudes ne s'arrêtent pas là.

    Le rôle de l'instigateur de la classe créatrice en révolte, lors du rassemblement, a été joué par Madonna qui, en passant, n'a jamais rempli sa promesse de satisfaire oralement tous ceux qui ont voté pour Clinton. En Russie et en Ukraine, le rôle de "meneur de protestation" a aussi été joué par les vedettes du rock : Shevcuk et Vakharchuk. Des manifestations en faveur de la « marche des millions » des Américains ont eu lieu dans de nombreuses villes européennes, ce qui rappelle réellement les manifestations de soutien aux Maidan et Bolotnaya.

    Les premières fenêtres cassées et attaques sur la police sont déjà apparues, ainsi que plusieurs dizaines de personnes arrêtées que la presse anti-Trump s'est dépêchée d'appeler prisonniers politiques, manifestants pacifiques et enfants innocents. Comme la police américaine l'a signalé, des battes de baseball et des piquets de bois aiguisés apportés aux manifestations ont été confisqués à ces « enfants innocents ». Cela ne vous rappelle-t-il pas non plus quelque chose ? Littéralement, ici tous les détails - des médias défendant des « manifestants innocents » aux battes de baseball - sont des éléments que nous avons vus dans les trois Maidans.

    Et maintenant quelques mots sur l'aspect le plus important, l'argent. Un ex-journaliste du Wall Street Journal a mené une enquête sur les ONG qui se sont identifiées comme organisateurs et « partenaires clés » de la « marche de millions ». Parmi ces ONG, on trouve 56 organisations qui reçoivent officiellement de l'argent des agences de George Soros. Ce sont des informations publiques. Et imaginez maintenant ce qui se passe derrière les coulisses.

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  5. Pour l'instant, la nouvelle administration tient le coup. En fait, il y avait des plans pour perturber l'inauguration, mais les partisans de Trump ont organisé une opération cachée pour filmer les « ateliers d'activistes » sur la préparation d'émeutes massives à Washington et ensuite ont fuité cette information sur Internet quelques jours avant l'inauguration. Ceci ne pouvait qu'intéresser les autorités compétentes. Les plans des soi-disant « antifascistes » impliquaient le blocage du métro de la capitale et la création d'embouteillages. Dans l'un des échantillons d'enregistrements d'un tel « atelier » pour les manifestants, vous pouvez entendre comment l'organisateur dit « un coup à la gorge fonctionne ».

    Comme l'ont rapporté des journalistes pro-Trump, cette fuite d'information et l'exposition des plans ont contraint les mercenaires Clintonite à réduire considérablement leurs plans d'émeute. Les protestations se sont avérées plutôt léthargiques. Mais il faut comprendre que la prochaine fois tout peut aller différemment.

    Maintenant, il est clair que les organisateurs du Maidan americain sont littéralement prêts à assiéger Trump et à s'opposer violemment à son administration jusqu'à ce qu'il soit complètement éliminé. Ils recherchent le déclencheur même qui pourrait transformer les protestations en quelque chose de massif, une accusation principale qui permettrait à un maximum de personnes d'être attirées dans les rues. Pour l'instant ils ont essayé de lancer l'opinion que Trump "déteste les femmes." Cela n'a pas très bien fonctionné. Je suis sûr qu'il y aura d'autres tentatives d'organisation de manifestations d'Afro-Américains et d'immigrants mexicains, puis d'essais de les unir tous ensemble. La phase finale inévitable serait d'accuser Trump de trahison et de travailler pour le Kremlin, comme ce fut la façon dont ils ont abattu Yanoukovitch.

    Je ne discuterai pas : c'est un bon plan. Mais là est un "mais". Trump n'est pas Ianoukovitch et, en cas d'urgence, il pourrait vraiment appeler tous ses partisans à Washington. Il y aurait plus que suffisamment d'entre eux heureux de lui prêter leur soutien armé au cas où certaines forces de sécurité refuseraient soudainement d'obéir aux ordres de disperser le Maidan américain. Dans ce cas, le sang - beaucoup de sang - inonderait les rues américaines et les conséquences seraient imprévisibles. C'est mauvais pour le monde entier, car un Maidan dans un pays qui possède des armes nucléaires est une menace pour la planète entière.

    La seule chance d'éviter une "Maidanisation" des États-Unis est que Trump et son administration commencent par priver rapidement et avec précision les principaux organisateurs de la révolution de couleur américaine de toutes leurs ressources financières. Les prochains mois montreront si la nouvelle administration a assez de force et de courage pour prendre une telle mesure.

    Ruslan Ostashko, LiveJournal

    traduit du russe par J. Arnoldski
    traduit de l'Anglais : Comité Valmy

    23 janvier 2017

    https://fr.sott.net/article/29945-Il-y-a-vraiment-un-coup-d-etat-qui-couve-aux-Etats-Unis

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    1. Cette rébellion (contre 'Le rêve americain'') est soutenue par 2 groupes: Les banques et les merdias.

      L'une se charge de payer des gens pour manifester et, l'autre d'en multiplier le nombre par mille en montrant des photos et articles truqués.

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