- ENTREE de SECOURS -



samedi 10 septembre 2016

Pollution: 48.000 morts par an en France

Par  figaro 
Pauline Fréour - le 21/06/2016


Meurtriers invisibles, les polluants atmosphériques n'en sont pas moins redoutables. Une étude publiée ce mardi par l'agence Santé publique France évalue à au moins 48.000 le nombre de leurs victimes annuelles, soit 9% de la mortalité nationale. «Cela correspond à une réduction de l'espérance de vie de 2 ans chez les personnes âgées de 30 ans», traduit François Bourdillon, directeur général de la nouvelle agence sanitaire.

L'étude se base sur la concentration en particules fines dites «PM2,5», les plus petites répertoriées. Elles sont particulièrement néfastes car elles peuvent atteindre tous les organes du corps en rejoignant la circulation sanguine via les alvéoles pulmonaires, causant une inflammation chronique faisant le lit de maladies cardio-vasculaires, de cancers…

L'épidémiologiste Mathilde Pascal et son équipe ont mis au point un modèle théorique permettant de disposer de données locales même dans les régions où il n'existe pas de station de mesure de la qualité de l'air. Ils en ont tiré une carte de France de l'impact sanitaire de la pollution aux particules fines détaillée à 2 km près. Sans surprise, les villes les plus grandes (plus de 100.000 habitants) écopent du plus lourd fardeau: 15 mois d'espérance de vie perdue pour ces personnes, contre 10 mois pour les communes de moins de 100.000 habitants et 9 mois pour les zones rurales. L'activité humaine est la source principale de cette pollution: industrie, agriculture, transports, chauffage.

Quoique ces estimations soient légèrement supérieures aux précédentes (42.000 morts par an, selon l'étude européenne CAFE en 2005), «on reste dans le même ordre de grandeur», estiment les experts, qui ne voient pas d'évolution notable, en mieux ou en pire, ces dernières années.

Réduire les énergies fossiles

Étudier les seules particules fines pour en déduire l'impact de la pollution de l'air pourrait surprendre quand on sait que l'atmosphère comprend des milliers de composés chimiques et biologiques qui interagissent de façon complexe, mais la méthode est assumée. «Si l'on avait donné un chiffre pour plusieurs polluants, il aurait été tentant de les additionner, alors qu'on ignore dans quelle mesure ils se recoupent, explique Sylvia Medina, coordinatrice du programme Air et santé. Ce qui conduit à cette précision de Mathilde Pascal: «L'impact de la pollution est au moins de 48.000 morts par an, et probablement plus.»

Les experts espèrent que leur travail mobilisera les volontés politiques. Ils rappellent que la médiatisation des pics de pollution ne doit pas masquer que la très grande majorité (85 à 100%) des décès est le fait de la pollution quotidienne, même lorsqu'elle ne dépasse pas les seuils réglementaires. Les niveaux d'alerte diffèrent d'ailleurs selon les prescripteurs: la directive européenne 2020 le fixe à 20 microgrammes de PM2,5 par mètre cube, le Grenelle de l'environnement à 15, et l'Organisation mondiale de la santé à 10.

Pour Sylvia Medina, les actions collectives seront les plus efficaces. «Il faudrait réduire notre dépendance aux énergies fossiles», pointe-t-elle. Mais pour réduire le taux de certains polluants dans l'air, notamment des particules fines, il faut parfois agir sur les sources indirectes, rappelle Christian Seigneur, directeur du laboratoire Cerea sur la qualité de l'air, qui n'a pas participé à ces recherches. «En hiver, les PM2,5 émanent du chauffage et du trafic routier. Mais au printemps, elles sont le résultat de réactions entre des gaz précurseurs. C'est sur ces composés-là, les composés volatiles et les oxydes d'azote, qu'il faut agir. C'est un processus complexe mais que l'on connaît.»

Et si l'on parvenait à abaisser le niveau de PM2,5, que se passerait-il ? Si tout le territoire atteignait les performances des 5 % de villes françaises les moins polluées, les experts ont calculé que 34.500 décès seraient évités. Si l'on se contente de respecter les normes du Grenelle de l'environnement, 3000 personnes seront sauvées, contre 17 .700 si l'on retient les critères de l'OMS. Le moins efficace, car le moins contraignant, restant le cadre européen qui ne permet de gagner que 10 vies.

- voir clip sur site:

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/06/21/25114-pollution-48000-morts-par-an-france

19 commentaires:

  1. Alors qu'au Japon le diesel est interdit (camions à essence) et que comme de partout le gasoil revient plus cher à décanter du pétrole que l'essence, il est vendu moins cher !!! Moins cher pourquoi ? C'est là une vaste campagne visant à la dépopulation mondiale (la pollution est sans frontières !) comme celui du choix de remplacer des centrales électrique qui ne rejettent que de l'eau par des centrales électrique au charbon bien noir qui tue... tout le monde ! Car, comme il a été prouvé (même avant leur lancement !) que ni les éoliennes ni les panneaux solaires ne pouvait apporter de l'énergie continuelle, des centrales électrique aux sources polluantes (charbon, pétrole, gaz) ont été construites !!

    Notez tout de même que ce nombre de morts n'entre pas du tout dans les thèmes de campagne des candidats à la présidence !!! Parce qu'ils en ont pas plus à foutre que des chemtrails et les fleuves et ruisseaux qui débordent (et qui tuent !) à la moindre pluie faute de dragage des cours d'eau !

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  2. Par conséquent Dobrindt est interdit soudainement

    À ce jour, le ministre des Transports Alexander Dobrindt a violemment résisté à l'interdiction de la conduite de véhicules à moteur diesel. Toutefois, selon les informations SPIEGEL il conseille les municipalités maintenant cela - une proposition plus radicale.

    De Mikhail Hengstenberg et Gerald Traufetter
    10/09/2016 10h28

    Dans la ville allemande l'emporte air épais, pour les années montrent les stations sur l'Autostadt Stuttgart niveaux extrêmement élevés de l'oxyde d'azote toxiques des polluants. Blame comprennent les véhicules diesel, et au moins depuis le scandale VW devrait être connue de tous les politiciens pourquoi: Parce que le diesel, la dernière génération, sont principalement conçus de sorte qu'ils ne sont que dans le laboratoire de respecter les valeurs limites - et la vie de la rue dix et d'émettre plus.

    Par conséquent, les gouvernements fédéral et de l'Etat soutiennent sur ce qu'il faut faire au sujet du danger pour la santé aiguë. Avec une plaque dite bleue, la demande du ministre fédéral de l'Environnement et de leurs collègues des pays, seuls les véhicules diesel devrait prendre ses preuves faibles émissions d'oxydes d'azote dans les villes. mais le contraste verrouillé le ministre des Transports Alexander Dobrindt (CSU). Mais selon les informations obtenues par SPIEGEL, il propose désormais une alternative.

    A des concentrations élevées d'oxyde nitrique dans les municipalités de l'air expiré d'imposer une interdiction sur les véhicules diesel. Les ensembles Dobrindt villes touchées dans une réponse à une question écrite de la clôture du Parti vert du Bundestag Matthias Gastel. Le raisonnement de Dobrindt: Aujourd'hui nous allons la Loi fédérale de lutte contre la pollution dans de telles situations à une interdiction générale.

    Le détournement juridique

    Les exemptés de l'interdiction, de sorte que l'argument Dobrindt, on pourrait "moteur à allumage commandé" - à savoir les moteurs à essence. Ce serait implicitement une interdiction d'entrée des véhicules diesel est égale. Exceptions, par exemple, pour les ambulances ou les véhicules à moteur diesel, les responsables de ces mesures ne seraient pas debout explicitement dans la loi, mais devrait être «possible».

    Pourquoi le ministre des Transports maintenant, mais tout à coup attiré par l'idée, le verrouillage des voitures diesel hors de la ville ? Il est simple: Le Volte juridique Dobrindt pourrait être responsable de la redoutée dans l'industrie et les automobilistes de conduire des interdictions sur le déchargement de pays.

    Le fait que les gouvernements provinciaux impliqués dans le différend sur l'air diesel épais dans les villes sur la proposition du Dobrindt, cependant, est de ne pas accepter. proposition Dobrindts va au-delà de la restriction possible de conduire une plaque bleue va bien et aborderait probablement toutes les voitures diesel. Des pays comme le règne du Vert Winfried Kretschmann Baden-Württemberg, se battre, mais jusqu'à présent farouchement opposés à imposer des interdictions.

    (suite en dessous:)

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  3. "Dobrindt vole hors de la responsabilité"

    La politique est dans les gouvernements fédéraux et d'État avec leurs dos au mur: L'UE dispose d'une procédure d'infraction en raison des niveaux élevés d'oxyde nitrique contre le gouvernement fédéral initié et un ensemble d'ultimatum pour les arrangements qui permettent de résoudre le problème toxique dans les villes. Les organisations environnementales telles que l'aide allemande pour l'environnement couvrent de nombreuses villes avec des actions devant les juridictions administratives en raison de leur incapacité à agir pour éliminer le problème.

    Une ville après l'autre perd ces processus. Certains, tels que Munich, essayez maintenant de reporter utilisant des astuces légalistes de l'exécution des arrêts. "Dobrindt vole par cette initiative de leur propre responsabilité pour la santé des gens», dit Gastel. Chaque année dans la seule Allemagne, selon les études, plus de 10.000 personnes meurent des effets de Stickoxidaustoßes excessifs.

    http://www.spiegel.de/auto/aktuell/dieselskandal-darum-ist-alexander-dobrindt-ploetzlich-fuer-fahrverbote-a-1111628.html

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    1. Seulement 10 000 morts est certainement loin de la vérité vu qu'en France les 48 000 sont dépassés ! Sans compter ceux qui meurent suite à la pollution des centrales électriques allemandes au charbon dans et hors frontières !!

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  4. Du rififi à Washington


    le 10 septembre 2016


    J’ai été interpellé par un article du Washington Post de ce vendredi (hier). Alors que dimanche les USA célèbreront le quinzième anniversaire de la destruction des Twin towers du WTC de New-York par des équipes de terroristes suicidaires financés par l’Arabie Saoudite (?), le Sénat américain a envoyé ce vendredi 9 septembre une note à la Maison-Blanche l’informant que les familles des victimes peuvent poursuivre le Royaume saoudien afin que justice soit faite sur ce crime. Le souci est qu’une telle décision risque de ternir les « bonnes » relations entre Washington et Riyad et mettre à mal les échanges commerciaux entre les deux pays, entendez l’Arabie achète avec des « pétro-dollars » des armements en tous genres au complexe militaro-industriel américain.

    Les avocats, prêts à organiser une class-action spectaculaire (car il y a gros à gagner avec plus de 2500 plaignants) considèrent que la politique de la Maison-Blanche est une politique de faux-culs. Pourquoi les USA poursuivent des Etats qui sont pour le moins innocents sous prétexte qu’ils hébergent des terroristes comme Julian Assange ou qu’ils rançonnent des banques qui ont commercé en dollars alors que cette monnaie est utilisée partout dans le monde pour les règlement commerciaux, à commencer pour le pétrole saoudien.

    Le Sénat a voté à l’unanimité cette décision et la Chambre des Représentants, à l’heure où j’ai écrit ce billet, devrait faire de même. Il y a donc toutes les chances pour qu’un veto de la Maison-Blanche soit rejeté par les deux chambres qui sont toutes deux à majorité républicaine. Ça fait désordre en ces temps d’intense campagne électorale américaine. La candidate Hitlery Clinton, dont la campagne électorale est largement financée par des intérêts financiers moyen-orientaux via la Fondation Clinton dont le niveau de corruption n’a pas d’égal dans le monde, se trouve appartenir au camp démocrate. Un veto d’Obama risque bien de brouiller les cartes au profit du candidat républicain. Et pendant ce temps-là resurgit la théorie du complot relative au 9/11, vraiment les USA, du moins le monde politique de ce pays, est devenu un nid de corruption jamais atteint auparavant, même Noriega était un enfant de choeur en regard de ce qui se passe à Washington. Mais ce n’est pas tout, les valets serviles de la Maison-Blanche comme le Président Hollande, capitaine de pédalo de son état au large de la Promenade des Anglais à Nice, a tout simplement interdit que soient diffusées les prises de vue des caméras de surveillance lors de l’attaque au camion le 14 juillet dernier. N’y aurait-il pas quelques similitudes dans ces évènements ? Affaire à suivre …

    Source : Washington Post, 9 septembre 2016, 11h45 et inspiré d’un article de Paul Craig Roberts sur son blog

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/09/10/du-rififi-a-washington/

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  5. Hillary Clinton et le FBI


    Juge analyste Andrew P. Napolitano
    le 8 septembre 2016


    Le 2 septembre, le FBI a publié une longue explication de son enquête sur Hillary Clinton et un résumé de la preuve accumulée contre elle. Il a également publié un résumé de Juillet FBI l'interrogatoire de Clinton.

    L'interrogatoire était à certains égards, standard et dans d'autres très troublantes. Il était standard en ce sens qu'elle a été confrontée à des courriels qu'elle avait envoyés ou reçus et a demandé si elle les rappelle, et son jugement à leur sujet a été contestée. Le FBI cherchait une négligence grave dans son comportement sur la sécurisation des secrets d'Etat.

    L'incapacité à sécuriser des secrets d'Etat qui ont été confiées à l'un pour la garde est connu comme l'espionnage, et de l'espionnage est le crime fédéral rare qui ne nécessite pas les procureurs à prouver l'intention de l'accusé. Ils doivent seulement prouver une négligence grave de la partie défenderesse.

    À un moment donné au cours de l'interrogatoire, les agents du FBI ont essayé de la tromper, que la loi leur permet de faire. Avant le début de l'interrogatoire, les agents ont pris la copie papier d'un courriel anodin Clinton avait envoyé un aide et marqué ce «secret». Puis, à son interrogatoire, ils ont demandé à Clinton si elle a reconnu l'email et de son contenu. Elle a dit qu'elle ne reconnaissait pas, mais elle interroge la dénomination «secret» et a fait remarquer aux agents que rien à distance secret était dans le courriel.

    En examinant le contenu de l'e-mail pour voir si elle contenait des secrets d'Etat, ce qu'il a fait clairement pas, Clinton a démontré une prise de conscience de la loi - à savoir qu'il est le contenu d'un document ou d'e-mail qui font qu'il soit protégé par les autorités fédérales lois sur le secret, pas la dénomination mis sur elle par l'expéditeur.

    Ceci ajouté à l'affaire contre elle parce qu'elle a dit plus tard le FBI qu'elle avait jamais prêté attention à savoir si un document contient des secrets d'État ou non. Dans le monde étrange de l'espionnage des poursuites, ce refus d'intention est un aveu de culpabilité, car elle est profondément le travail du secrétaire d'Etat à reconnaître des secrets d'Etat et de les garder dans leurs lieux publics protégé sécurisés, et l'échec grossièrement négligente de le faire est criminel.

    Les notes du FBI du dépouillement de l'interrogatoire que Clinton professait des trous de mémoire graves 39 fois. Elle a également professé l'ignorance sur ce que «C» signifie dans la marge d'un document du gouvernement. "C" dans la marge signifie «confidentiel», qui est l'un des trois niveaux de secrets de l'Etat fédéral. Les deux autres niveaux sont «secret» et «top secret». Selon la loi fédérale, Clinton devait tenir dans des lieux publics sûrs tous les documents dans ces trois catégories. Le FBI a constaté qu'elle avait omis de le faire des centaines de fois.

    En niant qu'elle avait prêté attention à des notes dans les marges désignant la présence de secrets en niant qu'elle reconnaissait un secret quand elle a vu un et en niant que l'emplacement des frappes de drones prévus est secret (un secret évident avec lequel les agents du FBI l'a confrontée), elle a réussi à éviter de s'incriminer.

    Mais en se sauvant de l'acte d'accusation, elle peut avoir condamné sa campagne pour le président. Dans ce monde dangereux, comment une personne qui cherche la présidence si stupide ou ignorant ou indifférent ou imprudente ou trompeuse à propos de ce qui est un secret et ce qui est pas ?

    (suite en dessous:)

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  6. Les documents publiés la semaine dernière révèlent également que le FBI doit avoir été retenu dès le départ de mener une enquête agressive. Il n'a présenté aucune preuve à un grand jury. Il n'a pas demandé à un grand jury pour toutes les assignations, et donc il ne servait aucun. Il n'a pas demandé à un juge pour toutes les mandats de perquisition, et donc il ne servait aucun. Les données et le matériel qu'ils ont recueillie dans le cas ont été donnés en réponse à des demandes simples qu'il a fait.

    Je comptais cinq fois dans le rapport où le FBI a déploré qu'il n'a pas eu ce qu'il fallait. Ceci est la faute du FBI. Ce comportement est tiède FBI roman dans l'application moderne de la loi fédérale. Il est contraire à la sécurité publique et la primauté du droit. Il est proche de faute professionnelle par des hauts fonctionnaires du FBI.

    Quelqu'un a retenu le FBI.

    Le FBI n'a pas demandé des questions agressives de suivi Clinton. Ses interrogateurs ont juste allègrement accepté ses réponses. Ils ont échoué à lui présenter des documents qu'elle avait signé qui aurait contredit ce qu'elle leur disait - en particulier, un serment qu'elle a signé son premier jour dans le bureau promettant de reconnaître des secrets d'Etat quand elle est venue sur eux et de les garder dans des lieux sécurisés. Et des agents ont violé le Département de la politique de justice en ne l'enregistrement de son interrogatoire quand ses avocats leur ont dit qu'elle ne voulait pas répondre à des questions si ses réponses ont été enregistrées.

    Maintenant, le FBI lui-même est intervenu dans la campagne présidentielle en libérant ces documents. Malgré la montagne de preuves montrant la culpabilité de Clinton, il est très mauvais et très injuste pour libérer la preuve recueillie contre une personne qui ne sera pas poursuivi. De plus, il est tendancieux de libérer une partie seulement de la preuve - que ce que les agents veulent que le public de voir - plutôt que le dossier complet. Pourtant, tous ces éléments de preuve est secret en vertu des règlements du MJ. Tout cela avait été prévu pour ou présenté à un grand jury, la libération de celui-ci aurait été criminel.

    Que s'est-il passé ici ? Le FBI a sérieusement laissé tomber la boule, et Clinton était plus préoccupé par être inculpé qu'elle était sur le point de perdre la course à la présidence.

    Il est évident que certains dans la gestion du FBI ont aveuglément suivi ce qu'ils ont dit de faire - exonérer Hillary Clinton. Il n'y a pas d'autre explication à l'échec du FBI dès le début d'utiliser des outils d'application de la loi ordinaires dont elle dispose. Pourtant, certains dans le FBI ne sont pas professionnellement satisfaits par ce résultat. Ils savent qu'un dossier solide pour la poursuite et la culpabilité est ignorée pour des raisons politiques.

    Que savent-ils ?

    http://www.judgenap.com/post/hillary-clinton-and-the-fbi

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    1. Là, c'est vrai qu'il faut être juge pour savoir tout çà et non journaliste à la télé !

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  7. "Les hackers russes", une astuce pour détourner l'attention des problèmes réels


    21:22 10.09.2016


    Quoiqu'aucune preuve réelle de "cyberattaques russes" contre les Etats-Unis ne soit fournie à ce jour, les médias continuent à savourer le thème de la "menace russe" en prévision de la présidentielle américaine. Au lieu de soulever la question de la fiabilité du système de vote électronique aux Etats-Unis, les médias préfèrent effrayer les électeurs avec les "hackers russes", rapporte le Nation.

    Les médias américains, le Washington Post en tête, mènent une "croisade non justifiée contre la Russie", accusant ses hackers d'attaquer "sur ordre du Kremlin" ses systèmes en prévision du scrutin. Or, si vous voulez définir les coupables, vous devez avoir plus de preuves tangibles, note James Carden dans son article. Selon l'auteur de l'article, au lieu de soulever le problème de la fiabilité des systèmes américains de stockage des données et du système du vote électronique dans son ensemble, la presse préfère attirer l'attention des lecteurs à l'aide de la Russie.

    Les démocrates le prennent au sérieux Ainsi, d'après lui, au cours de ces derniers moins, le journal Washington Post a publié toute une série d'articles dans lesquelles l'édition cherchait à montrer que "les hackers du gouvernement russe sont engagés dans un travail hors norme pour créer un impact sur les résultats de l'élection présidentielle prévue en novembre" aux Etats-Unis. Ainsi, dans le journal daté du 14 juin, on pouvait lire que "des pirates informatiques liés au gouvernement russe avaient pénétré pendant près d'un an dans les ordinateurs du Parti démocrate à Washington" et que parmi les données volées figuraient les volumineux dossiers de recherches sur le passé de Donald Trump.

    Le 20 juin, le même journal écrivait que les chercheurs dans le domaine de la cybersécurité confirmaient que les "hackers du gouvernement russe" étaient à l'origine de l'attaque. Un mois plus tard, le 29 juillet, le Washington Post écrivait déjà que le FBI permettait de dire qu'une autre organisation du Parti démocrate "avait été piratée par des hackers russes".

    Des hackers du Kremlin s'attaquent aux données US... mais existent-ils vraiment ?

    Malgré des titres criants, dignes de tabloïdes, le journal n'a toujours pas fourni de preuves de l'implication de la partie russe, souligne-t-on dans le Nation. Toutefois, dans une des dernières publications consacrées au thème de la "cyberguerre russe", on évoque "un éventuel projet secret russe de torpiller le scrutin de novembre". Des officiels et de hauts responsables anonymes préviennent dans les pages du journal que la Russie mènerait une "campagne globale" ayant pour objectif d'influencer l'opinion publique américaine.

    "Nous examinons avec beaucoup d'attention cette question", a annoncé aux journalistes "une source renseignée". Or, on oublie d'évoquer le problème principal – le niveau de sécurité du système de vote électronique et sa fiabilité. Au lieu de le faire, on continue à publier des articles sensationnels sur la "menace des hackers russes". "Il ne faut même pas douter que tout sera fait pour passer sous silence les problèmes réels. Au lieu de ceci, le journal présentera aux lecteurs son kit universel – cherchera à attirer l'attention à l'aide de la Russie et s'attaquer à Poutine", conclut l'auteur de l'article.

    https://fr.sputniknews.com/international/201609101027700236-hackers-russes-usa/

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    1. La démarche d'avouer que des hackers auraient été localisés et de ne pas dire où laisse quelque peu songeur ! Son côté hilarant vient qu'une voix aurait été entendue sans pouvoir dire exactement d'où elle venait !!!

      Relevez que l'énigme est à tomber par terre !

      Ainsi, comme ils (la NSA) ne peuvent pas situer exactement d'où cela vient, laisse à penser que cela peut venir de l'Est comme de l'Ouest (comme du Nord ou du Sud !) comme... de chez eux !!!! HAHAHAHA !

      C'est ce qui s'appelle 'accuser les autres SANS preuve' d'où le terme-même de 'hacker' !!

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/06/touchez-pas-cest-collector.html

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  8. Qui provoque vraiment quand Washington crie à la provocation ?


    INTERNATIONAL 15:19 10.09.2016

    Les Etats-Unis accusent régulièrement les autres pays de provocations, alors que c'est leur propre comportement qui se prête le mieux à une telle définition, constate un journal américain. La façon dont les forces armées américaines agissent dans le monde est contradictoire, estime le journal The National Interest. Tout en opérant très loin de leur territoire, elles accusent sans cesse de provocation d'autres pays, bien que ces derniers soient eux situés à proximité des frontières des zones en question. A titre d'exemple, le journal cite plusieurs divergences entre l'armée américaine et la Russie en Syrie, avec l'Iran dans le golfe Persique et avec la Chine en mer de Chine méridionale.

    Washington accuse Moscou d’ingérence dans le conflit syrien, mais considère sa propre participation comme normale voire inévitable. La même situation prévaut dans la région de la mer Baltique, où Washington opère tout près des frontières russes. En mer de Chine méridionale, à plusieurs milliers kilomètres de leur territoire, les Etats-Unis agissent de la même manière. Ils qualifient de dangereuses toutes les opérations des forces navales chinoises, bien que ce territoire soit beaucoup plus proche de la Chine que des Etats-Unis.

    Des incidents semblables se sont produits récemment entre les Etats-Unis et l'Iran lorsqu'un bateau patrouilleur de l'Iran s'est approché d'un torpilleur américain. La Maison Blanche a considéré cet incident comme une "provocation épouvantable" malgré le fait que l'Iran fasse partie de cette région, à la différence des Etats-Unis. De telles démarches des Etats-Unis sont généralement considérées par les autres pays comme des actes inamicaux. C'est une stratégie irrationnelle et dangereuse, conclut le journal.

    https://fr.sputniknews.com/international/201609101027696896-washington-provocation-accusation/

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  9. Comment est née la règle des 3% de déficit de Maastricht


    le 11 septembre 2016 dans Économie générale
    Une règle imaginée sur un coin de table par trois hauts fonctionnaires.

    Par Sylvain Fontan.

    Comment est née la règle des 3% de déficit ?
    Un seuil fatidique des 3% de déficit

    Depuis la crise de 2008, la France n’a jamais connu un déficit public inférieur à 3%, ce qui lui vaut les remontrances de la Commission européenne. Ce seuil fatidique des 3% sert notamment de référence pour les prévisions macroéconomiques et tous les calculs de réduction de la dépense publique. Il fait partie des critères dits de Maastricht, devenus les « critères de convergence », qui doivent être respectés à la fois par les pays membres de l’Union européenne candidats à l’entrée dans la zone euro, et par les pays membres (sous peine d’avertissements, puis de sanctions).

    Un déficit défini sur un coin de table

    Très étonnamment, il n’est pas né d’une réflexion économique théorique poussée, mais il a été imaginé par trois hauts fonctionnaires français (Guy Abeille, Pierre Bilger et Roland de Villepin) sur un coin de table afin de fournir au président Mitterrand une règle facile qu’il puisse opposer aux ministres qui lui demandent des fonds. Il est devenu par la suite un des cinq critères de convergence de Maastricht à cause de phénomènes de change (augmentation des écarts de taux) qui ont requis une convergence économique des pays candidats à l’adoption de la monnaie unique.

    Un seuil cohérent

    En 1990, un groupe de travail européen animé par Jean-Claude Trichet (futur président de la BCE) le reprend ainsi en constatant qu’il correspond à la fois au niveau d’investissement public par rapport au PIB et à la moyenne des déficits publics de l’époque. Mais ce seuil symbolique des 3% possède aussi une explication technique relativement simple qui lui confère une cohérence économique. En effet, combiné au critère de convergence de dette publique (ratio dette/PIB de 60% maximum) et avec comme objectif que le déficit équivaille à l’intérêt de la dette1 (à un taux estimé à 5%), alors le déficit doit être égal à 0,6 x 0,05 = 0,03 c’est-à-dire 3% du PIB.

    C’est-à-dire que les services de l’État sont intégralement financés par l’impôt, l’intérêt de la dette par le déficit. ?

    http://www.contrepoints.org/2016/09/11/265452-nee-regle-3-de-deficit-de-maastricht

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  10. Police saisie plus de 5.000 onces d'argent De Man Home


    par Tyler Durden
    10 septembre 2016 15h25
    Soumis par Simon Noire via SovereignMan.com,

    La semaine dernière dans l'État australien du Queensland, la police fédérale ont confisqué un énorme 5465 onces d'argent (valeur d'environ 106,000 $) de la maison d'un homme.

    Cela faisait partie d'une plus grande série de descentes de police lancées par l'Australian Tax Office contre des individus soupçonnés d'évasion fiscale.

    Deux leçons évidentes viennent à l'esprit qui portent le répéter:

    1) Comme nous l'avons dit hier, seul un idiot commet une fraude fiscale ou l'évasion fiscale. Cela va sans dire.
     
    Il y a beaucoup trop de façons complètement légitimes pour réduire ou même éliminer ce que vous devez ... ce qui signifie qu'il n'y a absolument raison de zéro à prendre le moindre risque en brisant volontairement la loi.
     
    Je sais que cela ne vaut pas pour la grande majorité des gens qui lisent, mais si vous êtes l'un des quelques personnes là-bas qui a été non conforme avec les taxes, certainement tenir compte de vos options pour le faire réparer.
     
    Ils trouveront éventuellement.
     
    Ce sera un bien meilleur résultat que vous avancez et admettre une erreur que d'attendre que les agents fédéraux inévitables pour lancer votre porte au milieu de la nuit.
     
    2) Ne pas garder la majorité de vos actifs à la maison
     
    Je suis sûr qu'au moins quelques-unes des personnes qui faisaient l'objet des raids de l'administration fiscale australienne a probablement fait commettre la fraude fiscale.
     
    Mais il y a probablement beaucoup de ceux qui ne l'a pas ... les gens qui se trouvaient juste pour se retrouver sur la liste de l'agence par l'intermédiaire un malentendu honnête.
     
    Néanmoins, ils avaient encore la police fédérale pillant leurs maisons, la confiscation de tout ce qui avait l'air de valeur, y compris la trésorerie et les métaux précieux.
     
    Cela peut arriver à tout le monde. Chacun d'entre nous pourrait finir par erreur sur le mauvais côté de la liste de certains organismes gouvernementaux. Il arrive à des gens innocents chaque jour.
     
    Le vrai point négatif est qu'une fois que des agents armés de saisir votre propriété ou geler votre compte bancaire, il est à vous de prouver votre innocence ... même si ils vous ont privés de vos ressources financières pour le faire.
    Vous ne voulez jamais vous retrouver dans cette position. Et simplement en espérant que cela ne s'est pas exactement une grande police d'assurance.

    Avoir un plan de sauvegarde.

    Oui, il fait beaucoup de sens pour tenir un peu d'argent physique et métaux précieux dans un coffre-fort à votre domicile ou au bureau.

    Ce sont les deux grandes couvertures contre les risques dans le système bancaire et le système monétaire, dont aucune ne doit être sous-estimée.

    (suite en dessous:)

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  11. Rappelez-vous ce qui est arrivé à Chypre retour en 2013? Le système bancaire a fait faillite, ce qui incite le gouvernement à geler le compte bancaire de tout le monde et verrouiller toute une nation sur ses économies.

    Tout est arrivé du jour au lendemain. Vendredi après-midi tout allait bien. Samedi matin était le chaos.

    Imaginez être gelé sur les économies de votre vie sans avertissement. Il doit avoir été débilitante.

    Mais tous ceux qui avaient pensé avant et maintenu une petite cachette de métaux précieux ou de l'argent physique à la maison était très bien.

    Ceci est un, non-tête facile, presque la stratégie à coût zéro pour mettre en œuvre.

    Mais rappelez-vous que tous les avoirs intérieurs, si un compte bancaire local ou même les liquidités détenues dans un coffre-fort à la maison, sont toujours de la compétence des organismes gouvernementaux de votre pays d'origine.

    Cela signifie que tout ce que vous possédez est à risque si vous arrive d'être la prochaine personne innocente pour mettre fin à tort, sur le mauvais côté de leur liste.

    Ne gardez pas trop dans la maison en toute sécurité. Je dirais que 1-2 mois de frais de subsistance seraient aller un long chemin à atténuer les financiers, bancaires, et les risques monétaires.

    Et ne gardez pas le reste dans votre compte bancaire local; encore une fois, les comptes bancaires sont particulièrement facile pour les autorités nationales pour geler et confisquer.

    envisager Certainement garder au moins certains actifs dans une juridiction différente à l'étranger où votre gouvernement d'origine n'a pas d'autorité directe.

    Cela pourrait inclure des actifs comme un compte d'épargne à une banque étrangère, de métaux précieux dans une installation de stockage sécurisé à l'étranger, ou même comme Bitcoin crypto-monnaie.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-10/police-seize-over-5000-ounces-silver-mans-home

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  12. The Great 9/11 Coverup


    par Tyler Durden
    10 septembre 2016 21h50
    Rédigé par Eric Zuesse, initialement posté à Off-Guardian.org,


    Avez-vous remarqué que, après plus d'une décennie des «nouvelles» des médias exigeant la publication des "disparus 28 pages" (qui se révéla en fait avoir été 29 pages) à partir de l'enquête du Congrès américain en 9/11, appuyez sur ce document - Couverture, enfin, le 15 Juillet 2016, se révèle avoir été peu à rien ? Et avez-vous remarqué que la petite, il y avait, a dit qu'il contenait rien d'important ? Peut-être que vous n'avez pas même de savoir autant au sujet de la presse la couverture de celui-ci, parce que le Congrès américain, qui avait été caché le document depuis 2003, déversé sur un vendredi soir, afin qu'il reçoive aussi peu presse - Couverture que possible.

    Eh bien, ce que ce document effectivement montré et prouvé (et a cité les enquêteurs du FBI qui pourraient alors avoir témoigné en public, sur demande), était à l'opposé de peu d'importance: que l'ambassadeur saoudien aux États-Unis, le prince Bandar bin Sultan al-Saud ( qui était connu à Washington comme «Bandar Bush», à cause de sa proximité avec la famille Bush), avait été secrètement payer les gestionnaires saoudiens d'au moins deux des 15 Saoudiens parmi les 19 9/11 pirates de l'air, et que la femme de Bandar et d'autres parents ont également payer les pirates de l'air-à-être, et de leurs familles - permettant ainsi aux futurs pirates de l'air pour obtenir le pilote-formation nécessaire, etc., pour les attaques de 9/11.

    Comment nouvelles-couverture beaucoup de c'était là dans le U.S.'democracy 'qui est censé être informer le public sur de telles choses, au lieu de continuer les dissimulations d'entre eux?

    Pourquoi les médias "nouvelles de US cachent - après avoir demandé pendant plus de dix ans que les« 28 pages manquantes »deviennent publiées ?

    Mais pas tout ce qu'il ya à la dissimulation: Comme je l'ai mentionné et documenté dans mon Juillet 20e nouvelles-rapport sur "9/11: la culpabilité de Bush et le '28 Pages", "le président américain George W. Bush a également participé à l'opération 9/11: Il avait demandé à son conseiller à la sécurité nationale, Condoleezza Rice, pour bloquer son obtention à partir de sources du gouvernement américain des informations spécifiques sur ce que les attaques entraîneraient, ou au sujet de la date à laquelle elles se produiraient. (Vraisemblablement, il savait déjà, par l'intermédiaire de ses communications privées avec le prince Bandar ou quelqu'un d'autre qui était sur la planification de l'événement, tout ce qu'il avait voulu savoir sur l'événement à venir.)

    Lorsque directeur de la CIA George Tenet, le 10 Juillet 2001, a été pratiquement crier Rice pour lui permettre d'entrer dans le bureau ovale, de rencontrer en privé avec le Président pour l'informer de l'urgence de la situation était devenue à prendre des mesures à ce sujet, elle a dit: " Nous ne sommes pas tout à fait prêt à examiner cette question. Nous ne voulons pas l'horloge pour commencer à retardement. "Tenet a été choqué et consterné. Cette rencontre avec Mme Rice était destinée à exhorter le président à établir un hit-équipe de prendre Ben Laden, de manière à éviter l'opération - quelle qu'elle soit, ou qui se révèlent être. La façon dont Chris Whipple a mis cela, dans son rapport excellent dans le magazine Politico, le 12 Novembre 2015, intitulé "Les attaques sera spectaculaire", était que, «ils ne voulaient pas une piste de papier pour montrer qu'ils avaient été avertis. "

    (suite en dessous:)

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  13. Apparemment, «Bandar Bush» connaissait les détails, mais son ami George W. Bush n'a pas - Bush avait besoin "deniability" - il est pas pour rien qu'il a pu dire, après l'événement, comme Condoleezza Rice était de le mettre quand parle aux journalistes le 16 mai 2002, «le gouvernement a fait tout ce qu'il pouvait dans une période où l'information était très généralisée, où il n'y avait rien de particulier à réagir à ... a ce président connu quelque chose de plus spécifique, ou connu qu'un avion allait être utilisé comme un missile, il aurait agi sur elle. "

    Comment fait-elle carré maintenant cette déclaration avec l'avoir dit Tenet, le 10 Juillet 2001 "Nous ne sommes pas tout à fait prêt à examiner cette question. Nous ne voulons pas l'horloge pour commencer à retardement. "? Qu'est-ce que «horloge»? Pourquoi pas? Personne ne lui demande - surtout pas sous serment.

    Est-ce que la façon dont les choses se passent dans une démocratie, même 15 ans après l'événement?

    Le 10 Septembre 2012, Kurt Eichenwald, qui avait rapporté pour le New York Times, a ensuite été publie son nouveau livre sur la suite des attaques de 9/11, 500 Jours: Secrets et mensonges dans les guerres terroristes, et il titrait une option ed puis dans son ancien journal (qui pourrait donc difficilement avoir refusé de l'accepter), "le Surdité avant la tempête", décrivant l'aspect le plus déroutant de la tête-à 9/11:

    Il était peut-être le plus célèbre briefing présidentiel dans l'histoire.

    Le 6 août 2001, le président George W. Bush a reçu un avis classé des menaces posées par Oussama ben Laden et son réseau terroriste, Al-Qaïda. "Présidentielle quotidienne brève" de ce matin - le document top-secret préparé par les services de renseignement de l'Amérique - en vedette la rubrique désormais célèbre: «Ben Laden déterminé à frapper aux Etats-Unis" Quelques semaines plus tard, le 9/11, Al-Qaïda accompli cet objectif .

    Le 10 Avril 2004, la Maison Blanche de Bush déclassifié ce bref quotidien - et seulement ce bref quotidien - en réponse à la pression de la Commission 9/11, qui enquêtait sur les événements qui ont conduit à l'attaque. responsables de l'administration a rejeté l'importance du document, en disant que, malgré le titre jaw-dropping, il était seulement une évaluation de l'histoire d'Al-Qaïda, pas un avertissement de l'attaque imminente. Alors que certains critiques ont estimé que prétendent absurde, une lecture attentive du mémoire a montré que l'argument avait une certaine validité.

    Autrement dit, à moins qu'il soit lu en parallèle avec les mémoires quotidiennes précédentes 6 août, ceux de l'administration Bush ne serait pas libérer. Bien que ces documents ne sont pas encore public, j'ai lu des extraits de beaucoup d'entre eux, ainsi que d'autres dossiers récemment déclassifiés, et arriver à une conclusion inévitable: la réaction de l'administration à ce que M. Bush a été dit dans les semaines précédant cet infâme briefing reflète de manière significative plus de négligence que ce qui a été divulgué. En d'autres termes, le document 6 août, pour l'ensemble de la controverse qu'elle a provoqué, est loin d'être aussi choquant que les mémoires qui l'ont précédé.

    (suite en dessous:)

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  14. Ces "mémoires" ne sont pas encore publiés. Et maintenant, après la révélation, par Chris Whipple, que Condoleezza Rice était sous l'instruction de son patron de ne pas lui permettre d'être informé trop tôt pour "l'horloge pour commencer à retardement," nous pouvons comprendre pourquoi il y a encore tellement que hasn ' t encore été rendu public, dans notre «démocratie», pour savoir qui était vraiment derrière 9/11.

    Le 17 Avril 2016, Paul Sperry dans le New York Post intitulé "Comment US couvert rôle saoudien en 9/11", et il a indiqué que son enquête a montré: «En fait, la participation du royaume a été délibérément couvert au plus haut niveau de notre gouvernement. Et la dissimulation va au-delà de verrouillage jusqu'à 28 pages du rapport Arabie dans un coffre-fort dans le sous-sol US Capitol. Des enquêtes ont été étranglées. Co-conspirateurs ont été laissé hors du crochet "Mais est-il pas temps, maintenant, d'exiger que le rôle de Bush aussi être exploré -. Non seulement que (en particulier de Bandar) le rôle qu'elle soit poursuivie de la famille Saoud? Après tout, Bush a été celui qui a pris le serment présidentiel.

    Ou: Est aux États-Unis ne suffit pas d'une démocratie, pour que cela se produise - pour que la Constitution soit appliquée, par le Président des Etats-Unis après Bush (le président qui ne sera pas poursuivre son successeur prévu)? Comment total, la non-responsabilité au sommet doit être, avant que nous appelons le pays une «dictature» - seulement une «démocratie» faux?

    En ce qui concerne les actions qui ont fait tomber les trois bâtiments du World Trade Center, WTC1, WTC2 et WTC7, il y a aussi de bonnes raisons de se méfier de «l'histoire» officielle. Les témoignages à la fois par les pompiers et par le grand public ont été filmés au moment de dire qu'ils ont entendu plusieurs explosions, ce qui indiquait les démolitions contrôlées après les deux platanes percute WTC1 et WTC2. D'autres témoins de l'effondrement WTC7 ont également entendu des explosions. En ce qui concerne le WTC7, il y avait le témoignage du propriétaire du WTC, Larry Silverstein, en disant qu'il a chargé le service d'incendie de ne pas aller dans le WTC7 mais simplement de «tirer». (Et sa déclaration subséquente en disant qu'il n'a pas vraiment dire que et il voulait dire que pour «tirer» les pompiers de ce bâtiment, qui avait en fait aucune, a été démystifié.)

    Même «Rapport final sur l'effondrement du World Trade Center Building 7» du gouvernement a reconnu (p. 48) qu'il y avait eu "(2) une descente en chute libre sur environ huit étages d'accélération gravitationnelle pour environ 2,25 s [econds]" sens que ce segment de 8 étages avait été soufflé de telle sorte que, tout au long de ces 8 histoires, il y avait une résistance nulle à la partie effondrée tombant à travers elle d'en haut.

    Ceci constitue la seule preuve physique solide et concluante du mensonge officiel, bien que lui-même publié dans la source officielle. Et pourtant, sur la page suivante dans ce document officiel est déclaré, "les événements Blast ne jouent pas un rôle dans l'effondrement du WTC 7. ... Il n'y avait pas de rapports de témoins d'un tel bruit."

    (suite en dessous:)

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  15. Mais il y avait de tels rapports de témoins; et, de toute façon, l'aveu même (sur la page précédente) qu'il y avait en chute libre sur un segment de 8 étages de l'immeuble, constitue une reconnaissance de la preuve physique qu'il y avait eu démolition contrôlée sur WTC7. En outre, il a même été un témoignage d'expert que la nano-thermite a été utilisé pour faire baisser chacun de ces bâtiments. Mais de toute évidence, quelle que soit la vérité de la question est, le gouvernement des Etats-Unis a été étendu, et continue à mentir, à propos de 9/11. Pour au moins les 16 dernières années, nous vivons dans une dictature. Et les preuves suggèrent que cela a été le cas depuis au moins 1981.

    * * *

    historien d'investigation Eric Zuesse est l'auteur, plus récemment, des Ils sont même pas proche: Le démocrate vs républicains Dossiers économiques, 1910-2010, et du Christ ventriloques: L'événement qui a créé le christianisme.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-10/great-911-coverup

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    1. ÇÀ Y EST ! Le nom du mémorial à N-Y à propos du 9/11 s'appellera... "TOUR N°7" ! HAHAHAHA ! (à la place de "Les dégourdis de la onzième" !).

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