- ENTREE de SECOURS -



mardi 27 septembre 2016

Les Vénitiens en ont marre des paquebots de croisière

https://www.youtube.com/watch?v=NyxIO-sCuV8

http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

17 commentaires:

  1. Les Vénitiens en ont marre des paquebots de croisière


    27 septembre 2016
    Audrey Duperron

    A Venise, près de 2.000 personnes ont manifesté contre les arrivées incessantes de navires de croisière faisant escale dans la ville. Elles ont pris leurs embarcations pour se lancer à l’assaut des paquebots de croisière qu’elles encerclent pour exprimer leur mécontentement aux passagers.

    Venise, une ville de 60 000 habitants, reçoit chaque année 25 millions de touristes, ce qui équivaut à 400 touristes par an et par résident. Les manifestants ont placardé des affiches sur les murs avec un message on ne peut plus clair clair: “Touristes, allez vous-en , vous détruisez cet endroit”.

    Les paquebots de croisière sont en effet constamment contre les bâtiments, et l’ONU a menacé de mettre la ville sur sa liste de l’UNESCO des sites du patrimoine en danger si elle ne parvient pas à interdire les paquebots de croisière au centre ville d’ici 2017. Plusieurs études ont montré que ces énormes navires endommagent les piles soutenant les palais et les maisons du voisinage avec les vagues qu’ils génèrent, et le sable qu’ils déplacent.

    1 million de touristes arrivent par bateau de croisière

    En 2015, un décret avait été approuvé pour interdire la présence de navires de croisière au centre de la ville, mais il a été annulé quelques mois plus tard par les autorités italiennes.

    L’attitude docile du gouvernement ne devrait pas surprendre : les 500 navires de croisière qui s’y amarrent chaque année apportent un million de touristes à la ville.

    https://fr.express.live/2016/09/27/venitiens-manifestations-bateaux-croisiere/

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  2. «Les migrants veulent instaurer la charia dans les zones interdites suédoises»


    27 sept. 2016


    Les autorités de l'UE nient depuis des années les problèmes concernant l’immigration musulmane, et désormais, la crise explose, s’aggrave, le nombre de zones «interdites» s'accroît, notamment en Suède, fait remarquer la journaliste Ingrid Carlqvist.

    Selon un récent rapport, la police suédoise ne parvient pas à contrôler les banlieues du pays, suite à l'apparition de 55 «zones interdites». La police aurait fait face à des agressions verbales et à des jets de pierre lors de troubles dans ces zones. On évoque également dans ces zones vandalisme, crimes liés à la drogue et agressions sexuelles.

    Un tireur a blessé au moins quatre personnes dans la ville de Malmö mais est resté libre. La situation est tendue.

    Ingrid Carlqvist, suédoise, est écrivain, éditeur et journaliste. Elle dirige avec Lars Hedegaard le journal en ligne Dispatch International.

    RT : La Hongrie a publié une brochure contenant tous les risques liés à la crise migratoire. Selon le papier, en Europe, et surtout en Suède, il existe des centaines de «zones interdites» où règne une anarchie absolue. Pourtant, l’ambassade de Suède en Hongrie a rejeté les allégations de Budapest, insistant sur le fait que ces zones n’existaient pas. Pensez-vous que ces brochures soient une exagération ?

    Ingrid Carlquist (I. C.) : Non, elles ne le sont pas. Ce n'est que de la sémantique. Les autorités suédoises ne veulent pas les appeler les «zones interdites». Selon eux, les «zones interdites» sont des lieux où personne ne peut entrer. Mais les gens normaux ne le comprennent pas comme ça. Pour eux, cela veut dire que les ambulances ne peuvent pas s’y rendre sans escorte policière. Lorsque la police y arrive, elle fait face à des jets de pierre, les gens essaient de brûler les voitures de police et ainsi de suite. Ce sont des zones sans loi, c'est cela que les gens appellent les «zones interdites». Aucune personne normalement constituée n'y entrerait.

    Lire aussi
    Des migrants dans le camp de réfugiés de Moria sur l'île de Lesbos détruit par le feu, le 20 septembre 2016.

    Lesbos, Greece, September 20, 2016 «Les réfugiés bloqués en Grèce se sentent comme des prisonniers et agissent comme des prisonniers»

    Lorsque les journalistes suédois y viennent, ils leur répondent «dégagez», parce que ce n'est pas la Suède

    RT : Vous croyez donc que les dénonciations hongroises sont justifiées ? Cela reflète vraiment la situation en Europe d'aujourd'hui ?

    (suite en dessous:)

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  3. I. C. : Pas dans toute l'Europe. Mais ce que nous voyons là, c'est que les gens qui vivent dans ces zones-là, qui sont musulmans dans leur majorité, disent la chose suivante. Lorsque les journalistes suédois y viennent, ils leur répondent «dégagez», parce que ce n'est pas la Suède. Ils essaient d’imposer dans ces zones la charia et ils le font bien. La police pourrait faire des choses : y entrer, arrêter tout cela, quand ils brûlent des voitures, quand ils jettent des pierres. Mais plus ils attendent, plus cela devient difficile, parce que maintenant nous avons au moins 55 zones de ce style en Suède.

    Trois policiers quittent leur travail chaque jour

    RT : Les médias évoquent ce chiffre de 55 «zones interdites» dans les banlieues. Cette information, est-elle précise et réaliste ? Après tout, Stockholm l'a niée...

    I. C. : C’est exact, parce que c’est la vérité. Les autorités suédoises et les autorités européennes ont depuis pas mal d'années prétendu qu'il n’y avait aucun problème avec l’immigration musulmane, qu'en une génération ils allaient devenir tous comme nous et il n'y aurait aucun problème. Mais maintenant ce problème est en train d'exploser, cela s'aggrave tous les jours. Prenons l'exemple des forces de l'ordre : trois policiers quittent leur travail chaque jour. La plupart d'entre eux essaient de trouver d’autres emplois, parce que le travail est horrible : ils ne sont pas assez nombreux, ils sont en danger, et le chef de la police ne les laissera pas faire leur travail. S’ils n'agissent pas sérieusement dès maintenant, vous aurez de larges parties de la Suède dans lesquelles la police ne pourra plus rien contrôler. Il faut agir maintenant, tout de suite.

    Lire aussi : Theresa May appelle les chefs d'Etat du monde entier à protéger leurs frontières

    https://francais.rt.com/opinions/26921-migrants-charia-suede

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  4. Suède: fusillade, explosion, alerte attentat


    Sputnik
    lun., 26 sept. 2016 07:00 UTCCarte

    Une fusillade a éclaté dimanche soir à Malmö, en Suède, faisant des blessés. Peu après, une explosion aurait frappé la ville.Une fusillade a éclaté dans une rue du sud de la ville de Malmö, en Suède, faisant plusieurs blessés, ont annoncé les médias locaux. Des hommes dans une Audi ont tiré une vingtaine de coups de feu avant de s'enfuir à grande vitesse.

    Plusieurs blessés lors d'une fusillade à Malmö

    Une importante opération de police est en cours pour tenter de les retrouver. Les forces de l'ordre ont établi un périmètre de sécurité dans le quartier. Nous menons une opération dans ce secteur suite à une fusillade", a indiqué Ewa-Gun Westford, porte-parole de la police locale.

    La fusillade est survenue vers 19h00 heure locale, alors qu'un match entre Malmö FF et Helsingborgs se déroulait dans la ville. De nombreux policiers sont donc mobilisés à Malmö. Selon le journal Aftonbladet, les quatre blessés ont été transportés à l'hôpital universitaire de Malmö protégé par la police.

    D'après le site 24 Malmö, une explosion a été entendue dans la ville deux heures après la fusillade. La déflagration s'est produite dans le même quartier, mais pour l'instant il n'y a pas d'informations sur l'existence d'un lien entre les deux événements. Comme l'indiquent des médias locaux, une personne a été blessée à la tête. L'alerte attentat aurait été déclarée dans la ville, un hélicoptère de police participe à la recherche des suspects.

    https://fr.sott.net/article/29042-Suede-fusillade-explosion-alerte-attentat

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  5. En Suède, 80 % des policiers envisagent de changer de profession en raison de l’escalade de violence


    Mylène Vandecasteele
    26 septembre 2016


    La police suédoise admet désormais qu’il y a 55 “zones interdites” dans le pays où elle rencontre de grosses difficultés pour faire respecter la loi. Selon un nouveau rapport, les taux de criminalité sont en très forte hausse dans ces zones, et la police est incapable de réagir face aux délits.
    Les cas de vols, d’agressions sexuelles, et de faits de violence de gangs organisés sont en forte hausse en Suède, et les autorités de la police suédoise notent que cette forte hausse de la criminalité est apparue conjointement à la forte hausse de la migration au cours de l’année passée.

    Le rapport mentionne même que le nombre d’attaques sur les services de police et sur les travailleurs de services d’urgence a augmenté. D’après Peter Larsson, le porte-parole de la police suédoise, 80 % des policiers suédois envisagent sérieusement de changer de profession en raison de l’escalade de la violence et des craintes pour leur propre sécurité. Désormais, chaque jour, trois policiers des forces de police suédoise décident de donner leur démission. Ceux qui restent sont quotidiennement soumis à des jets de pierre et à des agressions dans certains endroits du pays.

    La Suède, une “zone de guerre” ?

    Ainsi, au début de cette année, près de 70 voitures ont été brûlées sur plusieurs jours. Ces incendies ont été initiés par des gangs de migrants dans la ville de Malmö, à la frontière danoise. Cette ville est devenue la porte d’entrée de milliers de migrants arrivant à pied, en voiture ouun train.

    la Suède est devenue si violente et si instable qu’il y a des zones où même des migrants provenant de pays en guerre comme la Somalie envisagent de retourner dans leur propre pays. “La Suède est une zone de guerre”, analyse un migrant qui a fui la Somalie il y a 20 ans.

    https://fr.express.live/2016/09/26/escalade-de-violence-en-suede-zones-interdites/

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  6. Daesh peut réaliser des attaques chimiques dans l'UE, prévient le chef de l'antiterrorisme européen


    27 sept. 2016, 13:45


    En admettant que la menace terroriste dans l’UE a atteint son paroxysme ces deux dernières décennies, le coordinateur européen pour la lutte contre le terrorisme a mis en garde que l’UE pourrait faire face à des attaques chimiques de Daesh.

    Gilles de Kerchove, coordinateur de l'Union européenne pour la lutte contre le terrorisme, a mis en garde le 26 septembre les membres de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures du Parlement européen que, en raison de «la multitude des origines possibles» des attaques, la menace terroriste dans l’UE restait «très haute». La réunion a été convoquée suite à la vague d’attentats terroristes qui a secoué l’Europe cet été, notamment la France et l’Allemagne.

    Pour Gilles de Kerchove, les inquiétudes actuelles concernant le terrorisme sont suscitées par de nombreux facteurs.

    Risque d'attaques chimiques et de voitures piégées

    D’après cet éminent spécialiste de l'antiterrorisme, les djihadistes devraient aussi adapter leurs capacités de frappe en utilisant tout l’arsenal qu’ils ont à disponibilité.

    «Nous avons peur que Daesh puisse peu à peu commettre des attentats en employant d’autres moyens. Cela peut être des voitures piégées. Nous sommes aussi préoccupés par le fait qu’ils puissent utiliser des armes chimiques», a conclu le chef de l'antiterrorisme.

    Lire aussi : Daesh prépare des attaques chimiques ou nucléaires contre le Royaume-Uni, alertent l’UE et l’OTAN

    Kamikazes formés et loups solitaires

    Un grand nombre de kamikazes qui ont été spécialement formés et des loups solitaires «inspirés» par Daesh sont présents en Europe, selon Gilles de Kerchove. Les rangs des potentiels terroristes s’est élargi à «des personnes ayant des problèmes de santé mentale» ou qui essaient «d’imiter» les terroristes, a prévenu le chef de l’antiterrorisme.

    Plusieurs assaillants, dans la vague d'attentats qui ont frappé l’UE, avaient «un passé criminel», a rappelé Gilles de Kerchove. Il a également confirmé que Daesh «utilis[ait] l’afflux migratoire pour infiltrer des combattants en utilisant des documents falsifiés».

    Les enfants de djihadistes nés dans les zones de combat pourraient venir en Europe

    Le chef de l’antiterrorisme a prévenu que si Daesh connaissait davantage d’échecs, de plus en plus de combattants en provenance d’Europe fuiraient la Syrie et l’Irak vers l’UE.

    «Comment traiterons-nous non pas des centaines, mais des milliers de combattants qui voudront soit aller vers un autre point chaud – la Libye est la destination la plus évidente où ils peuvent se cacher – soit rentrer chez eux ?», interroge Gilles de Kerchove.

    Si cela arrive, l’Europe devrait faire face à des sortes de gens différents : les combattants eux-mêmes ainsi que leurs femmes et enfants. «Nous savons que plus de 500 personnes y sont nées», a révélé le chef de l’antiterrorisme.

    (suite en dessous:)

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  7. Propagande de Daesh

    Des chaînes de propagande en ligne et sur les réseaux sociaux renforcent la menace terroriste en Europe, a déploré Gilles de Kerchove. Selon lui, la dernière tendance montre que moins d’Européens se rendent en Syrie, mais ils sont plus nombreux à être «inspirés» à l'idée de rejoindre les rangs des djihadistes sur le sol européen.

    Lire aussi : La télévision belge diffuse une image de propagande de Daesh en plein match de ping pong des JO

    Camps de réfugiés, terrains de recrutement

    Des réfugiés risqueraient aussi d’être radicalisés, parce que «des organisations salafistes essaient de recruter des gens dans les camps de réfugiés» à travers l’Europe, surtout en Allemagne.

    «Ce n’est pas une coïncidence. Ils veulent compromettre les réfugiés, car cela peut provoquer un cercle vicieux d’islamophobie et de radicalisation», estime Gilles de Kerchove.

    Diversification de moyens d’attaque

    Au lieu d’attaquer des immeubles et institutions symboliques, les terroristes utilisent «des moyens prêts à l’emploi et facilement disponibles, tels que des couteaux ou même des camions», souligne Gilles de Kerchove, en faisant référence au drame du mois de juillet à Nice.

    Lire aussi : Ce que l’on sait sur l’attaque au camion, le pire drame qu'ait jamais connu Nice

    Daesh n’est pas la seule menace terroriste

    Il serait une erreur de négliger la menace qu’Al-Qaïda et ses branches telles que le Front Al-Nosra en Syrie constituent toujours, juge le chef de l’antiterrorisme. «Bien qu’Al-Qaïda soit un ennemi de Daesh, ses structures sont encore une grande menace pour l’Europe et l’Occident», a-t-il mis en garde.

    https://francais.rt.com/international/26911-daesh-peut-frapper-lue-avec

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    1. Notez bien que ce n'est pas en décembre qu'il faudra être surpris pour réagir à la vue d'un faux père noel qui désire poser en photo avec votre enfant mais imaginer plutôt que les terroristes 'parqués' en une concentration en attente d'un changement de pays peuvent être demain comme aujourd'hui disséminés de partout dans le pays !

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  8. UE : Près de 100 millions d’euros gaspillés sur des ports fantômes


    Audrey Duperron
    26 septembre 2016


    L’Union européenne a gaspillé d’énormes budgets pour les investissements dans les infrastructures des ports européens, indique un rapport de la Cour des comptes européenne qui s’est penché sur 37 projets d’investissement dans les ports européens.

    Il montre que 194 millions d’euros ont été dépensés de façon inefficace. Ce montant représente un tiers du total des budgets qui ont été investis dans des projets portuaires.

    Près de la moitié de ce montant, soit 97 millions d’euros, ont été dépensés sur des projets qui n’ont pas été exploités ou ont été fortement sous-utilisés au moins au cours des trois années qui ont fait suite à leur achèvement.

    On espérait que ces investissements pourraient encourager l’activité des ports, mais ces efforts n’ont pas été payants. Selon la Cour des Comptes européenne, ce problème provient souvent de connexions routières ou ferroviaires inappropriées avec l’arrière-pays.

    Une ambition excessive

    Le rapport préconise l’attribution de budgets supplémentaires pour améliorer les infrastructures ferroviaires et routières existantes. En outre, il note que la coordination entre la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Commission européenne n’est pas excellente, et que le partage d’informations et la communication entre ces deux institutions doit être perfectionné.

    Il observe que l’Union européenne a été trop ambitieuse dans la promotion du transport maritime. Au total, la Commission a recensé près d’une centaine (94 exactement) de ports centraux (c’est-à-dire, des ports considérés comme présentant un intérêt stratégique), qui reçoivent en priorité le financement de l’Union européenne. Cependant, une étude indépendante menée précédemment avait proposé de ne sélectionner qu’une cinquante de ports centraux.

    De même, l’utilisation des ports européens serait fortement exagérée. L’Union européenne a d’abord fait valoir que 90 % des ports étaient utilisés, mais selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le chiffre réel serait très au-dessous du niveau mondial de 67 %.

    https://fr.express.live/2016/09/26/ue-gaspillage-100-millions-euros-ports/

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    1. Là encore il serait bon d'expliquer la loi du nombre et mathématiquement démontrer le pourquoi.
      Sachant que NUL au monde ne peut tout faire/tout penser, il est bon de s'adresser aux citoyens pour leur demander leur avis quand on est seul (chef d'Etat). C'est ainsi qu'en démocratie (opposée à la dictature), la discussion prévaut sur la décision personnelle.

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/petit-resume-de-lhistoire-du-monde.html

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  9. Les députés suisses approuvent l'interdiction de la burqa


    27 sept. 2016, 19:43 - Avec AFP


    Les députés suisses ont approuvé à une courte majorité mardi l'interdition de la burqa, dans un pays où de nombreuses touristes du Moyen-Orient s'affichent complètement voilées.

    Après le vote favorable du Conseil national, la chambre basse du parlement, la proposition présentée par le parti majoritaire UDC doit désormais obtenir l'aval de la chambre haute, le Conseil des Etats.

    Parallèlement, l'interdiction de la burqa fait l'objet d'une initiative populaire fédérale, une spécificité du système politique suisse, qui pourrait déboucher sur un référendum si elle obtient les signatures nécessaires.

    Des militants anti-burqa ont créé un comité et une campagne de signatures a été lancée. Le droit suisse prévoit qu'il faut 100 000 signatures pour pouvoir organiser un référendum au niveau fédéral sur un thème donné, en l'occurrence l'interdiction de la burqa.

    Interrogé mardi par l'AFP, le comité d'initiative a indiqué que la campagne de récolte de signatures est toujours en cours. La loi prévoit un délai de 18 mois pour récolter les signatures.

    Après le dépôt des signatures, il faut encore compter deux ans environ jusqu'à ce que le référendum soit organisé.

    L'interdiction de la burqa est un sujet qui préoccupe l'opinion publique en Suisse. Selon un sondage publié en août dernier par le journal Le Matin Dimanche, 71% des Suisses sont en faveur de l'interdiction.

    La burqa est pour l'instant partout autorisée en Suisse, sauf dans le canton du Tessin (sud), l'un des 23 cantons composant le pays.

    Ce canton a organisé il y a trois ans un référendum sur l'interdiction de la burqa, qui a été accepté par la majorité des électeurs. L'interdiction est entrée en vigueur le 1er juillet, et toute violation de cette loi cantonale entraîne une amende de 100 francs suisses (90 euros) minimum.

    Depuis début juillet, seules quelques amendes ont été prononcées au Tessin, où une vaste campagne d'information a été lancée à l'adresse des touristes du Moyen-Orient.

    La Suisse comprend une population de huit millions d'habitants dont 300 000 musulmans.

    La plupart des femmes qui portent la burqa dans les grandes villes de Suisse sont des touristes étrangères, venant principalement du moyen-orient.

    https://francais.rt.com/international/26934-suisse-deputes-approuvent-interdiction-burqa

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  10. Marseille : le projet de la Grande Mosquée ne verra finalement pas le jour


    27 sept. 2016, 18:08


    La mairie de Marseille a décidé de résilier le bail du terrain où devait être construite la grande mosquée de Marseille, mettant un terme à un projet vieux de neuf ans dans la cité phocéenne, qui compte un quart d'habitants musulmans.

    Le lundi 3 octobre, le conseil municipal de Marseille doit notamment se pencher sur le rapport 235 portant sur la «résiliation du bail emphytéotique administratif conclu par la ville de Marseille au bénéfice de l'association "La Grande mosquée de Marseille"».

    La deuxième ville française avait consenti ce bail de 50 ans en 2007 pour un terrain de 8 000 mètres carrés sur le site des anciens abattoirs au nord de la ville, dans le 15e arrondissement.

    Pour la résiliation du bail, les autorités de la ville évoquent plusieurs raisons : «Depuis 2013, nous avons des soucis de recouvrement [des loyers]», a expliqué à l'AFP Marie-Agnès Caradec, l'adjointe à l'urbanisme en charge du dossier. «Aujourd'hui, les dettes cumulées s'élèvent à 62 000 euros», soit trois ans de loyer, a-t-elle poursuivi.

    Par ailleurs, «un permis de construire a été délivré en 2009. Le bail prévoyait 7 ans pour construire la mosquée. Aujourd'hui, rien n'a été entrepris», a ajouté Marie-Agnès Caradec.

    Lire aussi
    Quels sont les pays qui ont participé à la construction des plus grandes mosquées de France ?

    Le projet a été lancé il y a maintenant presque dix ans. Pourtant, il n'a jamais dépassé le stade de la première pierre. En 2010, après avoir réglé des problèmes de parking (le projet initial n'en avait pas prévu) et malgré des recours déposés en justice par des opposants, cette première pierre a été posée.

    En 2013, le chantier était officiellement lancé. Mais, faute de financement et sur fond de dissensions au sein de l'association porteuse du projet aux côtés de la mairie, il n'a jamais réellement commencé.

    La cité phocéenne compte quelque 220 000 musulmans, dont 70 000 pratiquants, sur 850 000 habitants, selon une estimation établie à partir de données du Conseil régional du culte musulman (CRCM) et de la préfecture des Bouches-du-Rhône. Elle abrite également environ 70 mosquées et salles de prière officielles, toujours selon le CRCM.

    Lire aussi : Faute de fidèles, une synagogue de Marseille se transforme en mosquée

    https://francais.rt.com/france/26926-marseille-projet-grande-mosquee-annule

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  11. Accord migratoire version Afrique: qu’ont l’UE, la Tunisie et l’Égypte à gagner ?


    22:55 27.09.2016


    Quand la chancelière fédérale allemande Angela Merkel propose de conclure un accord entre l’Union européenne et les pays d’Afrique du Nord identique à celui déjà existant avec la Turquie, il est temps de réfléchir. Qu’est-ce que l’UE et ses partenaires africains ont à gagner d’un tel accord ? La chancelière fédérale allemande Angela Merkel a proposé de mettre en place un accord européen avec la Tunisie et l'Égypte sur les migrants suivant le modèle du traité déjà existant avec la Turquie. Une telle initiative de sa part en dit long sur sa quête désespérée pour la résolution de la crise migratoire.

    L'accord UE-Turquie ne semble de plus pas être un exemple parfait. Les conventions concernant les relations entre l'Union européenne et la Tunisie dans le domaine de la migration, en particulier, le Partenariat pour la mobilité, ne bénéficient pas de réactions unanimement positives au sein de la société civile, indique le directeur du bureau Maghreb à Euromed Droits Ramy Salhi dans un entretien accordé à Sputnik. « Il n'y a pas de nouveau jusque-là par rapport à cette déclaration de Partenariat pour la mobilité. Aujourd'hui, on discute également de l'ALECA, Accord de libre-échange complet et approfondi, entre la Tunisie et l'Union européenne », explique l'expert.

    Selon l'interlocuteur de Sputnik, l'ordre du jour n'implique pas uniquement les droits des migrants tunisiens ou d'autres migrants allant de la partie sud de la Méditerranée vers l'Europe, mais également les migrants qui viennent en Tunisie. « Et malheureusement en Tunisie aujourd'hui nous n'avons pas un cadre législatif qui permet l'accueil des migrants et des demandeurs d'asile. Il y a un projet de loi qui est en cours de discussion. Nous encourageons fortement les autorités tunisiennes à adopter un projet de loi sur ces questions-là », indique le représentant d'Euromed Droits. Dans le même temps, selon l'interlocuteur de Sputnik, la dynamique actuelle est assez contradictoire.

    Il existe un cadre de dialogue engageant les représentants de la société tunisienne, les autorités tunisiennes et européennes, créé spécialement pour discuter des relations entre l'Union européenne et la Tunisie, en particulier, le Partenariat pour la mobilité. Mais jusqu'à présent, il est impossible de parler d'avancées, conclut l'expert.

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    https://fr.sputniknews.com/international/201609271027948114-migrants-union-europeenne-tunisie-egypte/

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  12. Les avions russes détruisent un convoi de Daech en route vers Deir ez-Zor


    21:04 27.09.2016


    L'aviation russe a fortement intensifié son activité pour soutenir les troupes gouvernementales syriennes participant à des opérations terrestres contre les terroristes. Selon des données récentes, le nombre quotidien moyen de sorties aériennes a déjà dépassé 50. Les bombardiers russes ont frappé les positions de l'Etat islamique à l'est de Homs. Ils ont également détruit plusieurs cibles près de la route qui mène à Deir ez-Zor. Un centre de commandement de Daech a en outre été éliminé à quelques dizaines de kilomètres de Palmyre, rapporte l'agence AMN.

    De plus, les forces aérospatiales russes ont détruit un convoi de véhicules blindés qui se déplaçait en direction de Deir ez-Zor pour consolider les acquis des militants de l'EI après les frappes de la coalition américaine sur les positions de l'armée syrienne dans cette zone.

    En outre, les unités de l'armée gouvernementale syrienne continuent une offensive réussie à Alep. Ainsi, les troupes syriennes ont mené une opération réussie au nord-ouest de la citadelle de la plus grande ville syrienne et ont pris le contrôle de plus de la moitié du quartier d'Al-Farafira. Actuellement, les militaires syriens effectuent des opérations de nettoyage, lors desquelles ils ont retrouvé un grand nombre armes abandonnées. Il s'agit de fusils de sniper, de mitrailleuses lourdes et autres. L'armée syrienne amasse des forces supplémentaires dans la partie libérée du quartier afin de continuer l'offensive.

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  13. L’establishment occidental doit se ressaisir de toute urgence (et cesser de tenter de faire peur aux électeurs)


    Audrey Duperron
    27 septembre 2016


    Dans plusieurs parties du monde, des dizaines d’analystes de renom ont publié des scénarios apocalyptiques pour influencer les électeurs en faveur du maintien de l’establishment. Dans ces scénarios, ils décrivent les horreurs qui nous attendent si Donald Trump gagne l’élection présidentielle américaine, si Marine Le Pen arrive au pouvoir l’année prochaine en France, ou si le Premier ministre italien Matteo Renzi doit remettre sa démission suite à l’échec du référendum sur les réformes qui doit se tenir en décembre.

    La campagne qui a mené au résultat du référendum en faveur du Brexit nous a pourtant appris toute une série de leçons importantes dans ce domaine, écrit le spécialiste de l’Europe, Wolfgang Münchau, dans le Financial Times. Ces leçons sont importantes, parce qu’il semble que les mêmes erreurs qui avaient été commises au Royaume-Uni par les tenants du « stay » sont en train d’être reproduites avec enthousiasme par l’establishment d’autres pays, écrit-il. Ce sont les suivantes :

    1. Il ne faut pas se fier aux sondages

    Des millions de Britanniques qui n’étaient jamais allés voter auparavant, ont décidé de se rendre aux urnes pour se prononcer sur la question du brexit. Comme le taux de participation est le seul facteur décisif, il n’est pas possible de se fier aux sondages, y compris aux meilleurs d’entre eux.

    2. Il ne faut pas aggraver le problème

    L’Occident est confronté à une révolte contre la mondialisation et ses institutions. Les gens se trompent peut-être en associant leur baisse de revenus avec l’immigration et le libre-échange, mais diffuser des études publiées par des think tanks libéraux ne suffira pas pour les en dissuader. Pour cela, il faut mettre en œuvre des politiques crédibles capables de juguler l’érosion des revenus réels. Le gouvernement britannique n’a pas compris cela, et c’est une des raisons essentielles de l’échec de la campagne pro-UE au Royaume-Uni.

    3. Il ne faut pas dénigrer ou offenser les électeurs

    Plus on insulte les électeurs du camp opposé, et plus on mène les indécis à rejoindre leur camp. A cet égard, Hillary Clinton a commis une erreur colossale lorsque elle a dit que l’on pouvait mettre “la moitié des électeurs Trump dans ce qu’elle appelait le panier des lamentables ».

    4. Il ne faut pas tenter d’effrayer les électeurs

    Le terme « Project Fear » (‘le projet de la peur’) a été forgé par les tenants du brexit lorsque des politiciens qui faisaient campagne pour le maintien du Royaume-Uni dans l’UE ont commencé à tenter de susciter la peur des électeurs en leur présentant des scénarios décrivant les conséquences potentielles d’un brexit. On leur expliquait que leur pays allait sombrer dans une crise économique épouvantable, ou que la City perdrait sa suprématie financière.

    Mais une population qui n’a pas eu de réelle augmentation de salaire en dix ans ne redoute plus la menace d’une nouvelle récession. Et pour la classe moyenne britannique, qu’importe ce que la City de Londres pourrait devenir en cas de brexit ? Ces arguments étaient non seulement exagérés et dépourvus de fondement politique ou économique, mais ils n’avaient plus la capacité de toucher les électeurs.

    (suite en dessous:)

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  14. 5. L’improbable peut devenir soudainement inévitable

    “Le Brexit est un exemple frappant des dynamiques qui mènent à des votes de protestation dans les démocraties de l’Atlantique Nord. Il nous rappelle à quelle vitesse des positions fermement enracinées de l’establishment peuvent s’effriter, et comment l’improbable peut soudain devenir inévitable. L’establishment occidental doit se ressaisir.”

    https://fr.express.live/2016/09/27/lecon-establishment-occidental-pour-eviter-arrivee-au-pouvoir-populistes/

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    1. Tout est 'maintenant' une affaire de lobbying (en français: escroquerie), le pétrole comme toutes les autres Matières Premières, le 'bio', les 'OGM', le 'réchauffement climatique', la politique, ne sont plus des affaires (business) où faute d'acheteurs convaincus de leur utilité elles disparaissent, non, désormais cette orientation/suggestion/proposition se transforme aussitôt en obligation ! Dictature, répression avec interdiction de manifester républicainement ses propres opinions !!

      Ainsi, depuis la fausse crise du pétrole (en 1973)

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/11/si-demain-le-petrole-abiotique-devenait.html

      où seuls les intermédiaires ont augmenté leurs marges en faisant croire à la prochaine disparition de l'or noir alors que le pétrole est abiotique et non issu de 'jus de plantes' ! (Hahahaha !), se sont étalé des idioties comme le 'Global Warming' lancé à Kyoto par Al Gore devant un parterre d'invités scientifiques qui n'ont pu avoir la parole !

      Voir la pétition signée:
      http://www.petitionproject.org

      Puis ces Organismes Génétiquement Modifiés qui sont présents sur Terre depuis des milliards d'années et la composent à 100 %, sont tout-à-coup devenus... dangereux ! Voire interdits ! Ces OGM ont été fabriqués par le vent, la pluie et/ou les abeilles qui sortent d'une fleur et rentrent dans une autre sans se nettoyer les pattes ! (labos frankestein) et, ne sont critiqués que les OGM sortis des laboratoires intelligents ! Là où les rendements agricoles sont multipliés par 10 ou 100 ! (et sont les seuls capables de nourrir la planète), puis le 'bio' où l'interdiction de donner des remèdes aux malades serait la nouvelle politique !! et la politique de la dictature (opposée au dialogue démocrate) qui supplante tout ce bouquets de bombes, de morts et d'immigration terroriste acceptée !

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