- ENTREE de SECOURS -



vendredi 16 septembre 2016

Capitaux verts : les Français voient rouge !

le 15 septembre 2016


Les énergies renouvelables, inefficace pour assurer la transition énergétique, engloutissent de gigantesques capitaux d’affairistes utilisant à leur profit l’idéologie « verte » au détriment de l’intérêt général, et les Français voient rouge !

Par Michel Gay et Gérard Petit.

Dans un système idéal, les capitaux disponibles s’investissent dans des secteurs utiles à la collectivité et rentables pour l’actionnaire, créant ainsi une spirale vertueuse. Mais avec le boom des énergies renouvelables intermittentes (EnRi), sous caution écologique, ce que nous observons apparaît éloigné de ces canons économiques et civiques.

Une atonie durable de l’économie raréfie les opportunités d’investissements. En conséquence, une abondance de capitaux (toutes sources confondues…) est disponible pour des placements. De plus, les actionnaires, à la recherche d’une rentabilité élevée, accompagnent rarement dans la durée des projets prometteurs mais non immédiatement profitables.

La vague verte opportune

Dans un contexte de demande stagnante où la politique de l’offre peine à dynamiser l’économie, une « vague verte », avec les énormes besoins financiers qu’elle implique, arrive donc opportunément. Les EnRi, notamment les éoliennes et les panneaux photovoltaïques avec leurs tarifs d’achat élevés garantis, assurent une rémunération attractive des capitaux par le biais des subventions prélevées sur les consommateurs et les contribuables.

Nimbées de vertus écologiques, car destinées à remplacer les sources polluantes carbonées (et pour certains aussi nucléaires), ces sources d’énergie n’offrent aux investisseurs que des avantages, et même un supplément de « responsabilité sociale » dont ils pourront se prévaloir. La COP 21 leur confère une nouvelle légitimité en appelant à la maîtrise des évolutions climatiques, déclarée enjeu mondial, et en adoubant les EnRi (et aussi le nucléaire…) comme un levier majeur pour agir. Le mariage de la finance et de l’écologie fournit des placements mirifiques à des investisseurs opportunistes. Les perspectives sont mirobolantes pour qui se situe du bon côté.

Quant à la pérennité du contexte, le soutien des politiques, désireux de s’attirer la bienveillance des mouvements Verts, se traduit en lois et dispositions favorisant le développement des EnRi (productions prioritaires, facilités de créations, gestion de l’intermittence à la charge des opérateurs historiques,…).

L’injection de capitaux dans le secteur est déjà énorme et sa progression soutenue devrait encore augmenter à l’aune des futures promesses électorales. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

Le bilan de ces choix engageant pour des décennies le citoyen-consommateur-contribuable est peu reluisant. Les mâts éoliens et les champs de panneaux solaires occupent déjà des surfaces considérables mais ils contribuent bien peu à la production électrique nationale (quelques pour cents tout au plus). Cependant, leur poids sur la facture d’électricité, via la CSPE ou le tarif de transport, est déjà sensible et va fortement croître.

La pollution des paysages fait regimber les citoyens un peu partout en Europe. Cependant, les communes attirées par les subventions perçues, voire désireuses d’investir, sont fascinées par le mythe de l’indépendance électrique et accueillent souvent volontiers les nouveaux champs éoliens et solaires.

Volonté politique de réduire le nucléaire

Mais, plus fondamentalement, si dans des pays où la structure de la production électrique est largement carbonée, développer les EnRi peut faire sens, la France n’est pas dans cette situation.

Seule la volonté politicienne idéologique de réduire la contribution du nucléaire explique un tel choix. Les EnRi aléatoires ne peuvent prétendre se substituer à des productions programmables. Dire qu’il suffirait de rendre souple et intelligent le réseau électrique actuel, présenté comme pataud, est tout simplement mensonger.

Pour la société leurrée, aucun gain n’est à attendre en retour de la dérive des factures. Au contraire, les vrais besoins d’investissements concernent le parc nucléaire qui demeure indispensable. Il nécessite des mises en conformités à des normes évolutives (dont les dispositions post-Fukushima) et la préservation de son potentiel. Les sommes sont conséquentes, mais doivent être placées en regard des bénéfices attendus (sûreté et performances) en projection sur deux décennies.

Le remplacement à grande échelle de moyens de production électrique programmables par des sources aléatoires (notamment éoliennes et photovoltaïques) obligerait à compenser l’intermittence par des moyens souples à créer si la part du nucléaire venait à diminuer. Seul le gaz importé (moins pollueur en gaz à effet de serre que le charbon, mais pollueur quand même) est adapté. Ces centrales seront chères à opérer, compte tenu d’un mode d’exploitation intermittent (en miroir des EnRi), loin des conditions de rentabilité.

Il faudrait, là aussi, investir des capitaux dont la rémunération devra être garantie par des mécanismes compliqués avec, à la clé, un nouveau renchérissement des tarifs d’électricité.

Les EnRi, inefficaces pour assurer la transition énergétique, engloutissent de gigantesques capitaux d’affairistes utilisant à leur profit l’idéologie « verte » au détriment de l’intérêt général, et les Français voient rouge !

http://www.contrepoints.org/2016/09/15/265830-capitaux-verts-francais-roug

27 commentaires:

  1. Après les réglementations très serrées voire indiscutables sur la préservation du paysage régional imposant des tuiles romanes en Provence comme des ardoises ailleurs, voici venir le bouleversement visuel et sonore des tueuses géantes qui découpent chaque jours des millions d'oiseaux en rondelles et des milliards d'abeilles en chair à pâté !

    Fini le bon temps où les toits n'étaient pas en deuil et refusaient les marquages de la nazional socialiste, aujourd'hui c'est l'effroi, la perte touristique gigantesque et l'arrivée de traînes-savates qui pillent et tuent chaque jour !

    Fini les cloches ou sifflets à roulette de vaches, voici venir les mines-arrêts(de mort ou du cul ?) qui vont désormais retentir dans les villes et campagnes(présidentielles ?) !

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  2. 42% des adultes américains ne veulent pas payer même 12 $ par année pour arrêter le changement climatique

    September 16th, 2016

    Telle est la question dévastatrice que quelques géomètres sont prêts à poser. Les équipes d'enquête utilisent généralement des questions de maternité sans cervelle à la place, comme si nous «pensons» dans le changement climatique. (Qui n'a pas ?) Ou ils demandent si nous voulons l'énergie propre ... (doh, comme je veux que mon énergie sale ?) Mais l'Energy Policy Institute à l'Université de Chicago et le Centre Associated Press-NORC for Public Affairs Research a effectivement fait un sondage national représentatif de 1097 adultes.

    Tout le monde veut un climat agréable, mais presque personne ne veut payer pour cela:

    Lorsqu'on leur a demandé si elles seraient favorables à une redevance mensuelle sur leur facture d'électricité pour lutter contre le changement climatique, 42 % des personnes interrogées ne sont pas disposés à payer même 1 $. 29 % paierait 20 $, un montant à peu près équivalent à ce que le gouvernement fédéral estime les dommages du changement climatique serait sur chaque ménage. Et, 20 % indiquent qu'ils sont prêts à payer 50 $ par mois. L'affiliation au parti est le principal déterminant de la façon dont beaucoup de gens sont prêts à payer, pas d'éducation, le revenu, ou l'emplacement géographique. Démocrates sont toujours prêts à payer plus que les républicains.

    La réponse a des gens flummoxed. Sam Ori dans le Wall Street Journal ne peut pas donner un sens:

    Ceci en dépit du fait que la modique somme de 77% ont déclaré qu'ils pensent que le changement climatique se produit et 65% pensent qu'il est un problème que le gouvernement devrait faire quelque chose.

    Ce résultat est à l'envers. Les meilleures données scientifiques disponibles nous dit que les Américains devraient être prêts à payer beaucoup plus, parce que les dommages causés par le changement climatique sont si grands ...

    Il pense que les gens ne voient pas cela comme une menace pour eux-mêmes personnellement. Mais la réponse est la plupart du temps au sein de l'enquête, à Q20 qui demande essentiellement si les gens sont convaincus que les obligations de gaz à effet de serre seront atteints. Entièrement 31% des gens ne pensent pas les États-Unis de réduire les émissions, et les deux tiers ne pense pas que l'Inde ou la Chine va. Alors, qui veut payer pour quelque chose qui est susceptible d'échouer?

    Ils ne vont pas demander comment beaucoup de gens pensaient que les moulins à vent ou les marchés du carbone refroidissent la planète. La réponse à cette question effraye le pantalon des lobbyistes, et souffle toute la charade. La vraie histoire est que tout le monde veut un climat plus agréable, mais la plupart des gens savent que c'est un gaspillage d'argent. Voilà pourquoi cela est un sujet mort dans l'élection.

    INFO: l'énergie et le changement climatique dans l'élection 2016

    (suite en dessous:)

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  3. Communiqué de presse

    Sondage: La plupart des Américains veulent que le gouvernement lutte contre les changements climatiques, mais les électeurs profondément divisé le long des lignes du Parti sur Payer pour Solutions

    Les principales conclusions de l'enquête sont les suivantes:

    Soixante-cinq pour cent des Américains disent le changement climatique est un problème que le gouvernement américain devrait aborder. Un autre 12 % disent que le changement climatique est une réalité, mais le gouvernement ne devrait pas être impliqué dans la fixation; 1 sur 10 Américains disent le changement climatique ne se produit pas; et 13 % des Américains restent incertains si le changement climatique se produit ou non.

    Lorsqu'on leur a demandé si elles seraient favorables à une redevance mensuelle sur leur facture d'électricité pour lutter contre le changement climatique, 42 % des personnes interrogées ne sont pas disposés à payer même 1 $. Vingt-neuf pour cent paierait 20 $, un montant à peu près équivalent à ce que le gouvernement fédéral estime les dommages du changement climatique serait sur chaque ménage. Et, 20 % indiquent qu'ils sont prêts à payer 50 $ par mois. affiliation au parti est le principal déterminant de la façon dont beaucoup de gens sont prêts à payer, pas d'éducation, le revenu, ou l'emplacement géographique. Démocrates sont toujours prêts à payer plus que les républicains.

    Les questions énergétiques et le changement climatique sont des questions importantes pour environ la moitié des électeurs probables car ils jettent leur bulletin de vote.

    Une majorité d'Américains sous-estiment la quantité de l'approvisionnement en gaz naturel du pays provient de fracking, et beaucoup ne détiennent pas des attitudes fortes sur la pratique. Parmi ceux qui ont une opinion, deux fois plus opposer son utilisation à la soutenir.

    Seul un quart des Américains sont convaincus que le US remplira ses obligations en vertu de l'Accord de Paris pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Les Américains ont encore moins confiance en Chine et en Inde respecter leurs obligations. Mais même si ces pays ne le font pas, 8 à 10 Américains disent aux États-Unis devrait continuer à progresser pour répondre à ses propres obligations

    http://joannenova.com.au/2016/09/42-of-us-adults-dont-want-to-pay-even-12-a-year-to-stop-climate-change/#more-50850

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    1. Le prochain questionnaire sera de porter sur des questions plus intelligentes comme:

      - Voulez-vous et combien de dollars seriez-vous prêt(e) à payer pour que le soleil se lève le matin ?

      - Pensez-vous que nous travaillerions plus et mieux si la Terre tournait plus vite ?

      - Accepteriez-vous un travail sur la lune avec période de formation sur place à votre charge durant les 10 premières années ?

      - Avec la politique-de-merde de non-dragage des fleuves & ruisseaux, combien de mètres d'eau seriez-vous prêt(e) à accueillir chez vous en cas d'orage ?

      - A partir de quelle somme d'argent seriez-vous prêt(e) à vous faire enculer pour sauver le climat ?

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  4. Les experts prédisent une augmentation de l'immigration clandestine vers l'Europe


    16 sept. 2016, 10:40


    Le nombre de migrants entrant clandestinement en Europe devrait fortement augmenter en 2016, malgré le versement, par les nations européennes, de 17 milliards d'euros afin d'endiguer les flux migratoires, selon L'Overseas Development Institute.

    L'«Overseas Development Institute» (ODI), un think tank britannique spécialisé dans l'analyse des flux migratoires, a constaté qu'environ 60% des migrants arrivant en Europe 2016 devraient utiliser des moyens secrets et/ou illégaux, tels que des faux passeports, des dépassements de délais de visas et le transport clandestin à bord de véhicules de transport, contre 35% en 2015.

    Dans un rapport publié avant le sommet des Nations unies pour les réfugiés et les migrants qui débutera le 19 septembre à New York, le think tank britannique a déclaré que 330 000 personnes devraient arriver en Europe en 2016 par la mer, généralement par la Méditerranée, contre 1,1 millions en 2015.

    L'ODI a indiqué que ce chiffre pouvait laisser penser aux décideurs européens que la crise migratoire est en train d'être endiguée. Mais ce serait une idée trompeuse parce que ces chiffres ne tiennent pas compte des migrants entrant clandestinement sur le continent.

    «Alors qu'en surface, le nombre de réfugiés arrivant en Europe a diminué, le nombre de ceux qui prennent des routes cachées à travers l'Europe n'a pas changé et est même susceptible d'augmenter», explique Marta Foresti, auteur du rapport dans un communiqué.

    Lire aussi
    Donald Tusk Réfugiés : les capacités d'accueil de l'UE «proches de leurs limites», selon Donald Tusk

    «Ces routes clandestines peuvent être plus dangereuses et rendre plus difficile pour les gouvernements de surveiller les flux migratoires et d'y apporter une réponse efficace», ajoute-t-elle.

    Depuis 2014 les pays européens se sont engagés à dépenser 1,7 milliard d'euros pour le renforcement des contrôles aux frontières, avec notamment un plan britannique de construction d'un mur le long de la route jouxtant le port français de Calais pour empêcher les migrants de s'introduire clandestinement à bord de camions faisant la liaison entre les deux côtés de la Manche.

    (suite en dessous:)

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  5. Plus de 15 milliards d'euros ont en outre été dépensés dans le cadre d'accords bilatéraux, tels que l'accord UE-Turquie visant à réduire le nombre de migrants voyageant depuis la Turquie vers l'Europe.

    «Le débat public se concentre habituellement sur les coûts de gestion du flux migratoire, mais pas sur sa réduction», a déclaré Marta Foresti à Reuters.

    Alors que les contrôles aux frontières et les accords bilatéraux peuvent être efficaces dans la réduction des flux le long d'un itinéraire spécifique à court terme, ils ne semblent pas, sur le long terme, dissuader les gens d'immigrer : «Ils prennent tout simplement d'autres voies», explique Marta Foresti.

    «Contrairement à ce que nous voyons dans toute l'Europe, l'augmentation des voies légales est le seul moyen de prédire les flux et prendre des décisions pragmatiques sur la façon de mieux gérer les migrations», conclut-elle.

    Lire aussi : Des dirigeants de l’UE reprochent à Angela Merkel ses pressions pour les quotas de migrants

    https://francais.rt.com/international/26436-experts-predisent-augmentation-immigration-clandestine

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    1. Après les milliards dépensés en frais de transport pour faire venir une sélection d'islamistes confirmés s'est installée toute une corruption de passeurs visant à casser les prix jusqu'à faire payer ceux... qui voudraient encore traverser la Méditerranée !

      Or, aujourd'hui, s'il y a plus de 'passeurs' que de candidat(e)s à l'expatriation asiato-africaine

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  6. Crise des «subprimes» : les Etats-Unis demandent 14 milliards de dollars à Deutsche Bank


    16 sept. 2016, 08:20 - Avec AFP


    Deutsche Bank a confirmé que les autorités américaines lui avaient demandé de payer une amende record de 14 milliards de dollars pour solder un litige immobilier remontant à la crise de 2008.

    «Nous confirmons les spéculations des marchés selon lesquelles le DoJ (département de la Justice américain) a ouvert des négociations avec une demande de 14 milliards de dollars. Comme prochaine étape, le DoJ a invité la banque à soumettre une contre-offre», a annoncé la première banque allemande à l'AFP, en précisant qu'elle n'avait pas l'intention de solder les potentielles requêtes civiles au montant proche du chiffre cité.

    «Les négociations ne font que commencer. La banque s’attend à ce qu’elles débouchent sur une issue similaire à ce que d’autres banques ont pu connaître, avec des montants matériellement bien moins élevés», explique aussi la Deutsche Bank.

    Si toutefois cette pénalité financière se confirmait, elle serait la plus importante jamais infligée à une banque étrangère aux Etats-Unis. En 2014, l'établissement français BNP Paribas avait écopé d’une amende de 8,9 milliards pour avoir violé des embargos américains.

    En avril 2016, la banque d'affaires américaine Goldman Sachs avait écopé d'une amende de 5,06 milliards de dollars pour des faits quasi-similaires.

    Lire aussi : Après le Brexit, l’économie britannique s’épanouit, celle de l’Allemagne a le blues

    Deutsche Bank est accusée, comme d'autres grandes banques, d'avoir vendu avant l'éclatement de la crise financière de 2007-2008 des crédits immobiliers convertis en produits financiers complexes baptisés RMBS à des investisseurs, tout en sachant qu'ils étaient toxiques.

    La banque a mis de côté 5,5 milliards d'euros (6,2 milliards de dollars) le 30 juin pour résoudre des litiges en cours, selon des documents boursiers. Elle espérait, selon des sources proches, écoper d'une amende comprise entre 2 et 3 milliards dans le dossier des RMBS.

    https://francais.rt.com/economie/26433-crise-subprimes-etats-unis-deutsche-bank

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    1. Alors que les allemands attendent toujours la restitution de leur or 'placé en sûreté à la FED de N-Y' !!!! (qui serait restituable en 2020 !), voici arrivé la clause du "Donne-moi ta montre, je te donnerai l'heure" !!! ou "Donne-moi ton or je te le rendrai peut-être en 2020" ! HAHAHAHAHAHA !

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  7. Comme l'Union soviétique, l'UE bientôt dans les poubelles de l'histoire ?


    16 sept. 2016


    La récente crise des migrants a fait lumière sur la «crise d'unité» de l'Union européenne. Pour le journaliste irlandais Bryan MacDonald, l'organisme européen souffre des mêmes symptômes que l'URSS dans ses dernières années d'existence.

    Bryan MacDonald est journaliste. Il a travaillé à Dublin durant de nombreuses années, pour le compte de Ireland on Sunday et The Evening Herald. Il écrit également des critiques de pièces de théâtre dans les colonnes du Daily Mail. Il se consacre à présent principalement aux sujets liés à la Russie.

    Mikhaïl Gorbatchev a très bien dit, il y a pas mal de temps : «Le développement le plus énigmatique de la politique moderne, c'est la détermination apparente des dirigeants européens occidentaux à recréer l’Union soviétique en Europe de l’Ouest.»

    Le dernier dirigeant soviétique ne se référait pas à une aspiration de l'UE de s'étendre vers l’est, mais plutôt à la structure de gouvernance mal équilibrée, quand les petits Etats sont de plus en plus dominés par des membres plus grands. Cela est apparu de façon évidente l'année dernière, lorsqu'Angela Merkel a de façon quasiment unilatérale imposé à l'Union une politique d’immigration libérale, qui a entraîné une division très importante de ses membres.

    Il y a dix ans, la Bulgarie et la Roumanie étaient à quelques mois de l’accession à l'UE, la Croatie faisant tout son possible pour les suivre. En effet, l’Union était tellement attirante que même les pays riches comme la Suisse et la Norvège avaient des débats sérieux en vue de la rejoindre. Si quelqu'un avait annoncé que dix ans plus tard, le président de la Commission européenne lancerait des avertissements concernant à la «crise existentielle» de l'UE, vous vous seriez probablement demandé ce qu'il avait bu.

    Mais on est en 2016, et Jean-Claude Juncker a dit cela dans son discours annuel devant les députés. Il a reconnu que le bloc manquait d’unité en indiquant que «l'histoire ne se souviendra pas de nous. Elle se souviendra de nos erreurs et de leurs effet sur la prochaine génération». Alors que le chef de l'exécutif européen a tardivement informé les membres du législatif des réalités actuelles, il est raisonnable de penser que le poisson était déjà ferré. C'est apparemment comme ça que les événements évoluent à pas géant sur le continent.

    L'Union européenne s'est agrandie trop vite. Et l'idéologie l'a emporté sur le pragmatisme pendant trop longtemps
    Une Union divisée

    Cette semaine encore, le ministre des Affaires étrangères du Luxembourg a appelé à ce que la Hongrie soit jetée hors du club pour avoir refusé d’accepter des migrants, alors que l'Autriche semble incapable d’organiser une élection présidentielle. Certains pensent que c’est le cas parce que l'establishment a peur de la victoire des nationalistes, car les sondages démontrent le large soutien du candidat d’extrême-droite Norbert Hofer, mais la raison officielle est une colle défectueuse sur les enveloppes destinées au vote par correspondance.

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  8. Entre temps, à Vienne, le représentant le plus éminent du clergé autrichien, Christoph Schönborn, avertit les catholiques que les musulmans planifient la «conquête islamique de l’Europe». Dans un contexte global, Christoph Schönborn n'est pas une figure obscure, c'est même l'un des favoris à la succession du pape François au poste d'évêque de Rome.

    En même temps, les Balkans reviennent lentement vers cette l'idée. Les Serbes de Bosnie proposent un référendum sur l’indépendance de Sarajevo et la réponse de Zagreb est de menacer d'«agir pour protéger les Croates» en Bosnie, considéré par comme un «Etat qui a failli».

    Comte tenu de tous ces discours présageant une crise, les Britanniques se sont libérés de ce pression en votant pour sortir du bloc. Et leurs voisins en Irlande, à l'époque figure emblématique de l’Union européenne, se sont tout-à-coup mis à remettre en question leur propre participation, au vu des pressions exercées par Bruxelles sur le système de fiscal mis en place par Dublin. Comme si ce n'était pas assez mauvais, des hommes politiques anti-Bruxelles montent dans les sondages en Italie et aux Pays-Bas, alors qu'en France, Marine Le Pen propose d'organiser un référendum sur le «Frexit». Il vaut la peine de garder à l'esprit que ces trois Etats sont les piliers du projet.

    Cherchez l’erreur

    Les eurocrates consacrés, comme notre vieil ami Carl Bildt, sont naturellement consternés. Mais ils semblent incapables d’accepter leur part de responsabilité dans cette lente implosion de l'UE.

    Autrement dit, elle s'est agrandie trop vite. Et l'idéologie l'a emporté sur le pragmatisme pendant trop longtemps. Bruxelles a, par exemple, tendu la main à l’Ukraine en 2013, en lui proposant un accord d'association, au moment où il était clair que la population de l’UE n’avait aucune envie d'accueillir de nouveaux entrants. Quand on se souvient des événements, la présence du commissaire britannique en charge des Affaires étrangères, Catherine Ashton, à Kiev, à Maïdan, était tellement ridicule, considérant la position déjà fragile du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Pourtant, pas un seul commentateur des médias britanniques n'a jamais mentionné cette hypocrisie.

    Les efforts se sont concrétisés en 2015, lors de la crise des migrants, lorsque certaines élites semblaient faire de la politique à la hâte. C’est comme ça qu'Angela Merkel, apparemment sans consulter personne, a unilatéralement ouvert les portes de l'Allemagne à de nouveaux arrivants.

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  9. En fin de compte, 1,1 million de migrants étaient arrivés avant la fin du mois de décembre de la même année. Seuls 54 d'entre eux ont jusqu'à présent obtenu des emplois au sein d'entreprises allemandes, en dépit de la rhétorique de représentants de l'économie, comme le président de Daimler, Dieter Zetsche, qui avait affirmé que la plupart des réfugiés étaient «bien formés et motivés» et que «Mercedes avait besoin d'eux». Son entreprise a tout de même recruté 40 stagiaires.

    Angela Merkel a également échoué à se mettre d’accord sur un plan concerté avec d'autres dirigeants de l'UE. Mais maintenant, elle attend qu’ils aident à soulager le fardeau de l'Allemagne et accueillent plus de migrants. Jusqu'à présent, la Pologne, la Hongrie et la Slovaquie refusent de jouer à ce jeu et certains autres pays offrent une coopération minimale. La Lettonie – où la population a baissé de 15 400 personnes rien qu’en 2014 – en a accepté 47 et la Lituanie, 26.

    Ce qui est valable pour la cane…

    La racine du malaise est simple. L’establishment allemand favorise largement l'immigration à grande échelle, même si, d’après les sondages, les deux tiers des citoyens ne sont actuellement pas d’accord avec le slogan «Bienvenue aux réfugiés» . Cependant, les gouvernements de nombreux autres pays de l'UE ne soutiennent pas cet afflux, notamment en raison du fait que la plupart de ces nouveaux arrivants ne sont pas issus de la tradition chrétienne. Alors que les médias libéraux et eurocrates eux-mêmes semblent être scandalisés par cette position, c’est un point de vue qui était plus ou moins général dans toute l'Europe jusqu'à très récemment.

    Par exemple, les eurocrates peuvent détester le Premier ministre hongrois Viktor Orban, mais faire cela signifie ne pas tenir compte de son électorat. Viktor Orban n’est pas un dictateur et sa position reflète très probablement le point de vue des Hongrois qui l'ont élu. Ainsi, s’il se prosternait devant les exigences de Bruxelles, de telles actions seraient antidémocratiques au niveau national.

    Là est tout le problème. Les libéraux perçoivent l'UE comme un véhicule pour la promotion de la démocratie, mais reculent quand les politiciens élus de façon honnête poursuivent des politiques qui ne sont pas à leur goût. Nous l'avons vu en Ukraine en 2013, lorsque l'ancien président Viktor Ianoukovitch a rejeté un accord d'association avec l'UE qui consituait une très mauvaise opération financière pour son pays. Plutôt que de respecter son mandat, les eurocrates ont activement soutenu son éviction par un coup violent.

    Parallèlement aux avertissements terribles lancés sur l'avenir de l'UE, le discours de Jean-Claude Juncker contenait des références à une contribution incontestable de l'alliance pour la paix et pour le travail des agriculteurs, ainsi que l'intervention de Bruxelles pour réduire les frais d'itinérance de la téléphonie mobile.

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  10. Quant à l'accord sur les migrants passé avec Ankara, qui était censé permettre aux Turcs de voyager sans visa dans l'espace Schengen dès cet automne, il n'en a pas fait mention. Le président de la Commission a également évité de s'exprimer sur les mauvaises relations avec la Russie ou sur la guerre en Ukraine, un sujet qui frémit encore.

    En janvier 2004, l'UE comptait 15 membres, uniformément occidentaux, principalement progressistes et relativement riches. Une décennie plus tard, elle se vantait d’en avoir 28 et la plupart des nouveaux arrivants étaient d'anciens pays de l'Est, qui sont relativement pauvres et socialement plus conservateurs que le reste de l'Union.

    C'est le problème. L'UE a grandi trop vite et récolte maintenant la tempête car ses structures ne s’en sortent pas. Les dirigeants du bloc auraient dû écouter Mikhaïl Gorbatchev. Après tout, personne ne sait mieux que lui ce qui se passe lorsqu’une grande union perd l'adhésion de ses citoyens.

    https://francais.rt.com/opinions/26447-union-sovietique-ue

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    1. Dites-vous bien que, des millions de personnes vont chaque années à Tahiti ou îles tropicales très éloignées de tout pour affirmer à chaque autochtones qu'il habite dans 'le plus beau pays du monde' mais... passée une semaine ou 15 jours plus tard ces mêmes touristes 'enchantés'... se barrent !

      OUI ! Ils se cassent ! Foutent le camps en avion pour retourner dans leurs pays de merde où ils souffrent trop/se font ratisser leur comptes en banques et jugent mêmes qu'ils sont assez adultes pour prendre des décisions !!!

      C'est ainsi que les poissons retournent pondre en leur lieu de naissance comme un 'esprit de clocher' chez certains.

      C'est aussi pourquoi seuls les immigrés acceptant le mode de vie du pays et s'intégrant à 100 % dans leur culture demeurent en harmonie tandis que SEULS les nouveaux immigrés entrés de forces et retenus à grands coups d'allocations astronomiques ne veulent que reproduire ailleurs tout le malheur qu'ils ont accepté de subir chez eux.

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  11. 10 choses que tous les Américains devraient savoir sur le plan de Donald Trump pour sauver l'économie des Etats-Unis
     

    Par Michael Snyder,
    le 15 Septembre 2016


    Donald Trump peut transformer l'économie des Etats-Unis ? Cette semaine Trump a dévoilé les détails de son nouveau plan économique, et les médias traditionnels est d'avoir un jour de champ critiquer. Mais la vérité est que nous ne pouvons tout simplement pas se permettre de rester sur le même chemin que Barack Obama, Hillary Clinton et les démocrates ont de nous en ce moment. Des millions d'emplois sont expédiés hors du pays, la classe moyenne est en train de mourir, la pauvreté est en train d'exploser, des millions d'enfants en Amérique ne disposent pas assez de nourriture, et nos dépenses inconsidérées a créé la plus grosse bulle de la dette dans l'histoire de la planète. Quelque chose doit être fait, ou bien nous allons continuer à steamroll vers l'oubli économique. Ainsi est Donald Trump l'homme de l'heure ?

    Si vous souhaitez lire son plan économique complet, vous pouvez le trouver sur son site web officiel de la campagne. Son plan commence en soulignant que cela a été la plus faible "reprise économique" depuis la Grande Dépression ...

    Le rapport du PIB de la semaine dernière a montré que l'économie a progressé que 1,2% au deuxième trimestre et de 1,2% par rapport à l'année dernière. Il est la reprise la plus faible depuis la Grande Dépression - la conséquence prévisible d'imposition massives, la réglementation, des accords commerciaux d'un côté et les restrictions énergétiques onéreuses.

    Et Trump est tout à fait raison à propos de la faiblesse de cette reprise économique a été.

    Alors, comment pourrait-il arranger les choses ?

    Voici les 10 choses que chaque Américain devrait savoir sur le plan de Donald Trump pour sauver l'économie des Etats-Unis ...

    # 1 Donald Trump ferait baisser les impôts sur la classe moyenne

    Les économies d'impôt en vertu du régime de Trump serait en fait assez important pour les familles de la classe moyenne. Les numéros suivants proviennent d'un récent article Charisma ...

    • Un couple marié gagnant 50 000 $ par année avec deux enfants et 8000 $ en frais de garde d'enfants permettra d'économiser 35% de leur facture fiscale en cours.

    • Un couple marié gagnant 75 000 $ par année avec deux enfants et 10 000 $ en frais de garde d'enfant recevra une réduction de 30% de leur facture d'impôt.

    • Couple marié gagnant plus de 5 millions $ par année avec deux enfants et 12 000 $ en frais de garde d'enfants recevront seulement une réduction de 3% de leur facture d'impôt.

    # 2 Donald Trump ferait baisser les impôts sur les entreprises

    En vertu de son plan, pas d'affaires en Amérique serait imposé plus de 15 %. Alternativement, le plan de Hillary Clinton imposerait certaines petites entreprises à un taux de près de 50 %. Donc, le plan de Trump serait sans doute bon pour les entreprises, et cela encouragerait beaucoup qui ont quitté le pays pour revenir.

    Mais où les recettes fiscales perdues se compose ?

    # 3 Les dépenses de la petite enfance seraient exemptés de l'impôt

    Pour les familles avec enfants qui travaillent ce serait une grande bénédiction. Sans doute est-ce un effort pour gagner plus de femmes qui travaillent, ce qui est un groupe démographique qui Trump a été aux prises avec.

    Il est certainement une idée que je soutiens, mais encore une fois où viendra l'argent de payer pour cela ?

    (suite en dessous:)

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  12. # 4 fabricants américains seront autorisés à immédiatement en charges entièrement nouvelles usines et équipements

    Ce serait sans doute conduire à un boom des investissements en capital, mais il permettrait également de réduire les recettes fiscales. À titre de mesure d'urgence ce serait très bon pour encourager les fabricants à rester en Amérique, mais il serait également susceptible d'augmenter le déficit budgétaire.

    # 5 Un gel temporaire sur les nouvelles réglementations

    Ruban Rouge est l'une de mes grandes marottes, et je félicite grandement Trump pour cette proposition. Je pense que Bob Eschliman a très bien quand il a écrit ce qui suit sur le gel prévu de Trump sur les nouveaux règlements ...

    En 2015 seulement, les organismes fédéraux émis plus de 3300 règles et règlements définitifs, contre 2.400 l'année précédente. Des études montrent que les petits fabricants font face à plus de trois fois la charge de l'entreprise moyenne américaine, et la taxe cachée de la réglementation inefficaces revient à «presque 15,000 $ par ménage américain" chaque année. Une réglementation excessive coûte notre pays autant que $ 2 milliards de dollars par an, et Trump va finir.

    N ° 6 Tous les règlements existants seraient examinés et les règlements inutiles seraient éliminés

    En particulier, le plan de Trump se concentrera sur se débarrasser des réglementations qui inhibent l'embauche. Voici quelques-uns des domaines spécifiques qu'il identifie sur son site web officiel de la campagne ...

    Plan de Clean Power de l'Environmental Protection Agency, ce qui oblige les investissements dans les énergies renouvelables au détriment du charbon et du gaz naturel, l'augmentation des taux de l'électricité;
    Eaux de l'EPA de la règle des États-Unis, ce qui donne à l'EPA la capacité de réguler les plus petits cours d'eau sur des terres privées, ce qui limite l'utilisation des terres; et
    Le ministère de l'Intérieur moratoire sur les permis miniers de charbon, qui a mis des dizaines de milliers de mineurs de charbon de travail.

    # 7 Donald Trump modifierait fondamentalement nos relations commerciales avec le reste du monde

    Donald Trump est le premier candidat majeur du parti dans les décennies à reconnaître que notre déficit commercial est absolument tuer notre économie. Je vous écris à propos de tout le temps, et il est un problème de bouton chaud pour moi. Je salue donc certainement Trump pour proposer ce qui suit ...

    Désigner les négociateurs commerciaux dont le but sera de gagner pour l'Amérique: la réduction de notre déficit commercial, l'augmentation de la production nationale, et d'obtenir un accord équitable pour nos travailleurs.

    - Renégocier l'ALENA.
    - Retirer du TPP.
    - Apportez des cas de secours du commerce à l'organisation mondiale du commerce.
    - Etiqueter la Chine un manipulateur de devises.
    - Appliquer les droits de douane et des droits à des pays qui trichent.
    - Diriger le Département du commerce à utiliser tous les outils juridiques pour répondre aux violations commerciales.

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  13. # 8 Le plan de Donald Trump serait un formidable coup de pouce pour l'industrie de l'énergie des Etats-Unis

    Barack Obama a promis de tuer l'industrie du charbon, et qui est l'un des rares promesses qu'il a effectivement gardé. Obama a également tué le pipeline Keystone, et maintenant l'industrie de l'énergie dans son ensemble est durable leur pire période depuis la dernière récession. Pour changer les choses, Trump serait faire ce qui suit ...

    Abroger toutes les actions Obama exécutif détruisant à un emploi, y compris le plan d'action pour le climat et les eaux de la règle américaine.

    Sauvez l'industrie du charbon et d'autres industries menacées par l'ordre du jour extrémiste de Hillary Clinton.

    Demandez Trans Canada de renouveler sa demande de permis pour le pipeline Keystone.

    Faire des terres dans le plateau continental extérieur disponible pour produire du pétrole et du gaz naturel.

    Annuler l'accord climatique de Paris (limite de réchauffement de la planète à 2 degrés Celsius) et arrêter tous les paiements de l'argent des contribuables américains aux programmes de réchauffement de la planète U.N..

    # 9 Trump abrogerait Obamacare

    Trump affirme que Obamacare coûterait notre économie de deux millions d'emplois au cours des dix prochaines années. Et sans aucun doute, il a déjà coûté à l'économie des Etats-Unis beaucoup d'emplois.

    Non seulement cela, mais Obamacare a également envoyé des primes d'assurance-maladie flambée, ce qui met une énorme quantité de pression financière sur de nombreuses familles.

    Trump dit qu'il serait "remplacer" Obamacare, mais qui est une déclaration assez vague.

    Que serait-il exactement le remplacer ?

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  14. # 10 Trump ne dit rien à propos de la Réserve fédérale

    Ceci est une grande préoccupation, parce que la Réserve fédérale a beaucoup plus de pouvoir sur l'économie que quiconque. Il est au cœur même de notre système basé sur la dette, et à moins que quelque chose soit fait à propos de la Fed notre bulle de la dette continuera à être encore plus grande.

    Depuis la Réserve fédérale a été créée en 1913, la valeur du dollar américain a chuté de plus de 96 pour cent et notre dette nationale a obtenu plus de 5000 fois plus grande. Pour Trump à même pas parler de la Réserve fédérale dans son plan économique est un oubli énorme.

    Nous sommes au milieu d'un déclin économique à long terme, et les choses ont pas mieux obtenu pendant les années Obama. Si vous pouvez le croire, une étude qui vient d'être publié par Harvard reconnaît même ce ...

    La performance économique de l'Amérique a atteint un sommet à la fin des années 1990, et l'érosion des indicateurs économiques cruciaux tels que le taux de croissance économique, la croissance de la productivité, la croissance de l'emploi, et l'investissement a commencé bien avant la Grande Récession.

    La participation de la main-d'œuvre, la proportion d'Américains dans la main-d'œuvre productive, a atteint un sommet en 1997. Avec moins d'hommes et de femmes en âge de travailler dans la population active, le revenu par habitant pour le États-Unis est réduit.

    Le revenu réel des ménages médian a diminué depuis 1999, avec la stagnation des revenus dans pratiquement tous les niveaux de revenu. Malgré un saut de bienvenue en 2015, le revenu médian des ménages reste en deçà du sommet atteint en 1999, il y a 17 ans. En outre, la stagnation des revenus et des perspectives d'emploi limitées ont touché de façon disproportionnée à faible revenu et les Américains les moins qualifiés, ce qui conduit l'inégalité à la hausse.

    Cette même étude a révélé que le pourcentage d'Américains participant à la population active a atteint un sommet en 1997 et a été en baisse constante depuis ce temps ...

    Baisse-travail-force-participation aux taux d'harvard

    Si nous continuons à faire les mêmes choses, nous allons continuer à obtenir les mêmes résultats.

    Donald Trump promet le changement, et beaucoup de ses propositions sonnent bien, mais il y a aussi certaines régions de se préoccuper.

    En fin de compte, il suffit de bricoler avec le code des impôts et la réduction de la réglementation ne va pas être suffisant pour transformer l'économie des Etats-Unis autour. Nous avons besoin d'une refonte fondamentale de nos systèmes économiques et financiers, et le plan de Trump arrêts bien loin de cela. Mais sans aucun doute ce qu'il propose est largement supérieure au plan de Hillary Clinton, et il devrait certainement être applaudi pour au moins aller dans la bonne direction.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/10-things-that-every-american-should-know-about-donald-trumps-plan-to-save-the-u-s-economy

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  15. De la liberté des fichiers

    Qu'est-ce que le FBI dissimule ?


    by Judge Napolitano
    le 15 septembre 2016


    Plus tôt cette semaine, les dirigeants républicains dans les deux chambres du Congrès ont pris le FBI à la tâche pour son incapacité à être transparent. À la Chambre, il était apparemment nécessaire pour servir une citation à comparaître sur un agent du FBI pour obtenir ce que les membres du Congrès veulent voir; et au Sénat, le président de la commission judiciaire a accusé le FBI lui-même de la délinquance.

    Voici l'histoire de retour.

    Depuis le directeur du FBI James Comey a annoncé le 5, il recommandait que le ministère de la Justice cherche pas des accusations contre l'ancien secrétaire d'Etat Hillary Clinton à la suite de son omission de protéger les secrets d'État pendant son temps dans le bureau, Juillet nombreux membres du Congrès ont eu un lancinante sentiment que ce fut une politique, et non juridique, décision. La preuve publiquement connue de l'insouciance et volontaire l'échec de Clinton à protéger les secrets a été écrasante. La preuve de son mensonge sous serment, si elle a renvoyé tous ses e-mails liés au travail qu'elle avait pris du Département d'Etat était profonde et incontestable.

    Et puis nous avons appris que les gens qui ont travaillé pour Clinton ont été chargés de détruire plusieurs de ses appareils mobiles et de supprimer définitivement les e-mails stockés sur un de ses serveurs. Tout cela a été fait après ces articles avaient été cités à comparaître par deux comités de la Chambre des représentants.

    Pourtant, le FBI - qui connaissait la destruction post-assignation des éléments de preuve et qui a reconnu que Clinton n'a pas réussi à revenir des milliers de ses e-mails liés au travail comme elle l'avait été ordonnée par un juge fédéral à faire, malgré au moins trois de ses assertions au contraire sous serment - a choisi d'ignorer la preuve non seulement de l'espionnage, mais aussi entrave à la justice, falsification de preuves, le parjure et trompeur Congrès.

    Comme pour se défendre face à ce comportement les plus un-FBI-like, le FBI puis relâché aux parties sélectionnées publiques de son produit de travail, qui avaient pour but de sauvegarder sa décision de recommander contre l'accusation de Clinton. Normalement, le FBI rassemble des preuves et travaille avec les procureurs fédéraux et les grands jurys fédéraux pour construire des cas contre des cibles en enquêtes criminelles, et ses recommandations aux procureurs sont confidentielles.

    Mais dans le cas de Clinton, la hiérarchie du ministère de la Justice lui-même retiré de la chaîne de commandement en raison de l'irrégularité orchestrée du Procureur général Loretta Lynch et Bill Clinton, qui a rencontré en privé sur le plan du procureur général à un moment où Bill et Hillary Clinton étaient des sujets de FBI enquêtes criminelles. Ce quitté le FBI pour avoir le dernier mot à propos de la poursuite - ou alors le FBI et le ministère de la Justice voudrait nous croyons tous.

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  16. Il est difficile de croire que le FBI était libre de faire son travail, et il est probablement vrai que le FBI a été retenu par la Maison Blanche tôt. Il y avait de nombreuses aberrations dans l'enquête. Il n'y avait pas grand jury; aucun assignations ont été délivrées; aucun des mandats de perquisition ont été servis. Deux personnes ont affirmé avoir reçu l'immunité, mais la condition légale de l'immunité - donnant un témoignage devant un grand jury ou un procès - n'a jamais été présent.

    Parce que de nombreux membres du Congrès ne croient pas que le FBI a agi sans ingérence politique, ils ont demandé à voir les dossiers complets du FBI dans le cas, non seulement les parties sélectionnées des fichiers que le FBI avait libérés. Dans le cas de la Chambre, le FBI a refusé de se rendre à ses fichiers, et l'agent qu'il a envoyé à témoigner à leur sujet a refusé de révéler leur contenu. Cela a conduit à un service dramatique d'une citation à comparaître par le président de la Chambre de contrôle et de la réforme du gouvernement sur cet agent du FBI alors qu'il témoignait - tous capturé à la télévision en direct diffusée à l'échelle nationale.

    Maintenant, le FBI, qui sert habituellement des assignations et exécute des mandats de perquisition, est laissée à l'alternative de se conformer à cette assignation indésirable en produisant l'ensemble de son dossier ou d'argumenter à un juge fédéral pourquoi il ne devrait pas être obligé de le faire.

    Du côté du Sénat, les choses sont encore plus hors de la main. Là, en réponse à une demande de la commission judiciaire du Sénat, le FBI a envoyé les deux matériaux classifiés et non classifiés à la salle sûre Sénat. Le coffre-fort du Sénat est un endroit sûr qui est disponible uniquement aux sénateurs et leurs cadres supérieurs, qui doivent tous rendre leurs appareils mobiles et matériel d'écriture et de jurer par écrit de ne pas révéler ce qu'ils voient alors dans la chambre avant qu'ils ne soient autorisés à entrer.

    Selon le sénateur Chuck Grassley, président de la commission judiciaire du Sénat, le FBI a violé la loi fédérale en commingling matériaux classifiés et non classifiés dans le coffre-fort, ce qui rend illégal pour les sénateurs de discuter publiquement du matériel non classés.

    Imposer un tel fardeau du silence sur les sénateurs américains sur les matériaux non classés est illégale et inconstitutionnelle. Qu'est-ce que le FBI a à cacher ? D'où vient l'autorité du FBI à la barre des sénateurs de commenter sur les matériaux non classés ?

    Qui se soucie de cela ? Quiconque croit que le gouvernement travaille pour nous devrions prendre soin parce que nous avons le droit de savoir ce que le gouvernement - ici le FBI - a fait en notre nom. Le sénateur Grassley a émis l'opinion que s'il pouvait révéler ce qu'il a vu dans les dossiers non classés FBI, il serait d'un profond intérêt pour les électeurs américains.

    Qu'est-ce qui se passe ici ? L'enquête du FBI sur Hillary Clinton n'a pas servi l'État de droit. La primauté du droit - un pilier de la liberté constitutionnelle américaine depuis la fin de la guerre civile - mandats que les lois doivent être appliquées de manière égale. Personne ne se trouve sous leur protection, et personne n'est au-dessus de leurs exigences. Pour faire respecter la primauté du droit, nous avons embauché le FBI.

    Que faisons-nous lorsque le FBI rejette ses responsabilités de base ?

    http://www.judgenap.com/post/what-is-the-fbi-hiding

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  17. Un aubergiste allemand demande à une cliente de retirer son niqab, les réseaux s'enflamment


    16 sept. 2016, 20:58


    Inquiet pour ses clients et leur «confort», le gérant d'un restaurant allemand a expulsé une femme qui refusait d'enlever son voile. Il n'en fallait pas plus pour que l'homme soit qualifié de «successeur de Hitler» et indigner les réseaux sociaux.

    A Bielefeld, ville de l'Ouest de l'Allemagne, la fête bat son plein dans ce restaurant doté d'un grand jardin, en ce samedi 10 septembre. Quelque 1 000 personnes sont venues assister à un spectacle son et lumière, et la bière coule à flot. C'est alors que le gérant du lieu, le «Seekrug», avise une femme vêtue d'un niqab parmi les clients.

    «Elle état complètement vêtue de noir... totalement voilée», se souvient Christian Schulz, le gérant de l'établissement. Ce dernier lui demande alors d'enlever la pièce de vêtement consacrée à dissimuler son visage, estimant que ses clients pourraient en être gênés.

    La femme voilée rétorque alors au gérant : «Vous devez avoir une allergie aux textiles» et refuse de se dévoiler, expliquant que «sa foi le nécessite». «Je lui ai expliqué mes réserves, mais elle n'a pas daigné répondre. Elle était même défiante», raconte Schulz, tentant d'expliquer pourquoi il a fini par demander à la femme voilée de quitter les lieux.

    Selon le quotidien allemand Bild, la femme a accepté de partir, mais quelques heures après, le gérant faisait l'objet d'une violente campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux.

    Christian Schulz a tenté de se défendre, mais a dû se résoudre à supprimer certains de ses posts, l'un d'entre eux s'étant attiré plus de 800 commentaires le mettant en cause. Le gérant s'est, entre autres, vu qualifié de «successeur de Hitler».

    «J'ai été complètement submergé», déplore sur Facebook le gérant qui se dit par ailleurs sous le choc. «Si j'avais su, je ne me serai pas exprimé publiquement», regrette-t-il sur Facebook.

    Christain Schulz se défend de tout racisme, se dit ouvert au monde et rejette les extrémismes, quels qu'ils soient. «Nous employons des gens du monde entier, aussi bien du Ghana, de la Turquie que de l'Ukraine.»

    https://francais.rt.com/international/26464-aubergiste-allemand-niqab

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  18. Amazon rend l’édition de plus en plus superflue


    Arnaud Lefebvre
    16 septembre 2016


    De plus en plus d’auteurs décident d’auto-éditer leurs livres. Le secteur de l’auto-édition est devenu en littérature un marché important, indique un rapport de l’entreprise américaine Bowker, agence responsable de l’attribution des ISBN (International Standard Book Numbers) aux États-Unis.

    L’auto-édition américaine a connu ces dernières années une croissance rapide. Entre 2010 et 2015, le nombre d’ISBSN de livres auto-édités a augmenté de 375%. Rien que de 2014 à 2015, la hausse s’est élevée à 21%.

    Cette situation profite notamment à Create Space, une filiale d’Amazon, qui permet aux auteurs d’imprimer eux-mêmes leurs œuvres. Create Space est aux Etats-Unis la plus grande plate-forme d’édition de publications indépendantes.

    « La domination d’Amazon dans l’auto-édition est probablement encore plus importante que le montre Bowker », explique le magazine Quartz. La plate-forme Kindle Direct Publishing d’Amazon permet en effet aux auteurs de publier un e-book sans ISBN, ce qui signifie qu’un grand nombre de publications ne sont pas reprises dans le rapport.

    Bénéfices

    Selon certaines sources, les auteurs auto-publiés représentent une plus grande part sur le marché du livre en ligne que les 5 grands éditeurs traditionnels.

    L’auto-édition d’e-books est, selon Quartz, une des raisons de la chute des ventes du secteur traditionnel de l’édition. Grâce à une publication indépendante, l’auteur peut en effet garder une part plus significative des bénéfices pour lui. .

    Beat Barblan, un directeur de Bowker, souligne que des publications indépendantes se sont retrouvées ces dernières années à plusieurs reprises sur la liste des bestsellers. Cela signifie, selon Barblan, que le lecteur s’intéresse visiblement à ce secteur.

    https://fr.express.live/2016/09/16/amazon-rend-ledition-de-plus-plus-superflue/

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  19. Une nouvelle étude révèle les contribuables fuient New York, l'Illinois et en Californie


    par Tyler Durden
    16 septembre 2016 21h50


    Une nouvelle étude de la démographie, posté sur newgeography.com, a constaté que plus de déclarants fuient l'Etat de New York que tout autre Etat dans le pays. Franchement, nous sommes des gens choqués ne voulons pas vivre dans un état avec le plus haut coût de la vie les plus élevés des prix de la maison, le plus haut taux d'imposition des revenus de l'État et le plus haut taux de la taxe foncière ... ce que les avantages culturels ? On devine les banquiers et hedgies ont finalement compris qu'ils peuvent mener leur entreprise à partir à peu près tout endroit disposant d'une connexion Internet, puis visiter New York quand / si nécessaire. Par la même étude, l'Illinois a perdu le deuxième plus grand nombre de contribuables et de la Californie était pas loin derrière en troisième position.

    Quelqu'un pense qu'il est purement une coïncidence que les zones les plus sombres des cartes suivantes semblent se chevaucher et représenter les états que les gens fuient les taux les plus élevés ? Si oui, nous supposons que vous pensez sans doute aussi qu'il est une coïncidence que ces mêmes Etats ont été les bastions démocratiques depuis des décennies.

    Coût de la vie

    - voir graphique sur site -

    Source: Institut de politique économique.

    - voir carte sur site -

    État Taux d'imposition

    En fait, le Albany Times Union a pu trouver au moins une personne qui pensait que les gens fuyaient NY pour des raisons autres que les coûts oppressive de vie élevé et les taux d'imposition lourdes. Ironie du sort, cette personne était non autre que Richard Azzopardi, du bureau du Gouverneur Cuomo, qui a dit:

    "Le fait est que sous cette administration, New York a un nombre record d'emplois du secteur privé, un nombre de chômage inférieur à la moyenne nationale, et les réformes passées qui ont conduit à la plus faible des impôts de la classe moyenne en 70 ans, les plus bas taux d'imposition des sociétés depuis 1968 et le taux le plus bas de fabrication d'impôt depuis 1917 et un plafond de l'impôt foncier. "

    Bien que nous apprécions les données de Azzopardi, nous ne sommes pas sûrs que lier les taux d'imposition excessifs de New York à ses propres taux d'imposition plus élevé historiquement excessive est la bonne comparaison. Notre hypothèse est que vos citoyens (ou ex-citoyens) considèrent probablement les taux d'imposition actuels de New York par rapport aux taux d'imposition actuels des autres Etats que la comparaison plus pertinente. Mais c'est juste une intuition.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-16/new-study-finds-taxpayers-are-fleeing-new-york

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  20. 1,2 billion $: Ce que vous ne leur dit pas sur les coûts cachés de l'incarcération de masse


    par Tyler Durden
    16 septembre 2016 15h10
    Soumis par Alice Salles via TheAntiMedia.org,


    Bien que la population des Etats-Unis ne compte que pour seulement 4,4 % de la population mondiale, ses prisons détiennent 22 % des prisonniers du monde à la fin d'Octobre 2013, rendant le taux d'incarcération des États-Unis le plus élevé dans le monde.

    Et alors que le coût des prisons fédérales d'aujourd'hui a dépassé le Bureau fédéral de 6,85 milliards $ du budget de prisons, les prisons d'État ne sont pas loin derrière. Avec "[s] correctionnels tate budgets ... près de [quadruplement] au cours des deux dernières décennies," Vera Institute of Justice notes, chaque détenu en moyenne coûte maintenant plus de 31.000 $ aux contribuables chaque année. Rien qu'en 2010, les Etats ont dépensé plus de 5,4 milliards $ sur le maintien de leurs prisons.

    Mais alors que nous savons tout sur les budgets de la prison du gouvernement, peu de rapports mettent en lumière les coûts cachés des taux d'incarcération élevés.

    Afin d'aider la population des Etats-Unis à comprendre ce que signifie l'incarcération de masse aux petites collectivités, l'Université de Washington à St. Louis a mené une étude intitulée «Le fardeau économique des Incarcération en États-Unis," dirigé par étudiant au doctorat et comptable agréé Michael McLaughlin.

    Selon l'étude, pour "chaque dollar des dépenses des corrections, il y a encore 10 dollars d'autres types de coûts pour les familles, les enfants et les communautés que personne ne voit, car elle ne se termine pas sur un budget de l'Etat."

    Les chercheurs ont conclu le «fardeau économique annuel" résultant du taux élevé d'incarcération en Amérique est d'environ $ 1,2 trillions, soit près de 6 % du PIB. Ce fardeau est également onze fois plus élevé que ce que les gouvernements prennent des contribuables pour soutenir les prisons d'Etat et fédérales.

    De l'étude:

    «Le 80 milliards $ dépensés chaque année sur les corrections a été cité comme le coût de l'incarcération. Cependant, un nombre croissant de recherches suggère le véritable coût de l'incarcération dépasse de loin le montant consacré aux corrections. Ceci est parce que les dépenses des services correctionnels ne tient pas compte des coûts supportés par les personnes incarcérées, les familles, les enfants et les communautés ".

    Selon les chercheurs, les salaires des prisonniers auraient pu gagner en moyenne "23.286 $ (33.066 $ en 2014) en perte de productivité" chaque année, ce qui donne 24,6 milliards $ en salaires perdus à l'échelle nationale.

    Mais d'autres coûts ont également été pris en compte, tels que le coût des blessures non mortelles des détenus qu'ils subissent pendant leur incarcération.

    Au moins 3,2 % des détenus de prison et 4 % des deux détenus provinciaux et fédéraux ont été victimes d'abus sexuels en 2014, ce qui incite, l'état et les gouvernements fédéraux locaux à fournir aux victimes des soins médicaux. Tout au long de l'année, les 86,288 incidents coûtent aux contribuables 324.690 $.

    (suite en dessous:)

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  21. L'étude suggère également que, au fil du temps, l'incarcération de masse conduit à un autre effet indésirable qui est l'ajout du coût élevé du système carcéral: taux de mortalité élevés.

    "Le taux de de mortalité des personnes anciennement incarcérées est 3,5 fois plus élevé que celui des personnes qui ne sont pas incarcérés," l'étude explique. Chaque année, l'étude suggère, environ 7230 décès prématurés peuvent être reliées aux taux élevés de mortalité chez les anciens prisonniers, ce qui conduit à une perte 62,6 milliards $ en salaires à vie.

    Autres coûts pour les membres de la famille sont également cachés, tels que Voyage et frais de déménagement.

    Selon l'étude, 700.000 familles en Amérique ont maintenant au moins un membre de la famille incarcéré. Considérant que au moins un membre visite leur incarcéré un être cher une fois par mois, les chercheurs ont constaté que, chaque année, 0,8 milliard $ est consacré à ces voyages.

    Mais les familles perdent les salaires dus à l'incarcération, deux autres coûts entrent dans l'image: frais de déménagement et d'expulsion.

    En moyenne, les familles dépensent 0,5 milliard $ chaque année pour changer résidence après une arrestation, tandis que d'autres perdent leurs maisons en raison de la perte de revenu. Selon le rapport, les expulsions peuvent se produire lorsque les familles perdent un être cher au système pénitentiaire ou quand un ancien détenu est libéré. Parce que de nombreux anciens détenus ont des difficultés à trouver un emploi, ils sont plus susceptibles de perdre leurs résidences.

    Étant donné que le coût moyen d'une expulsion est 1635 $, «le coût lié d'incarcération totale est de 0,2 milliard $."

    D'autres facteurs qui finissent par coûter les familles et les communautés comprennent le risque accru de divorce, qui coûte 17,7 milliards $, et la perte de revenu et d'éducation pour les enfants dont les parents sont incarcérés, conduisant à une perte totale de 166,6 milliards $.

    Selon McLaughlin, cette étude aide à prouver que «le coût marginal de l'incarcération d'un individu supplémentaire dépasse le bénéfice marginal."

    Considérant les délinquants non violents qui ont rompu l'immigration ou des lois de drogue représentent 60 % de la population carcérale des Etats-Unis, il est sûr de dire que les coûts réels des cassés drogue et d'immigration codes de lois américaines sont beaucoup trop élevés.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-16/12-trillion-what-youre-not-being-told-about-hidden-costs-mass-incarceration

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  22. Chaos n'a jamais été Closer: "Obama peut suspendre l'élection" Si elle est trop malade


    par Tyler Durden
    15 septembre 2016 22h00
    Soumis par Mac Slavo via SHTFPlan.com,


    Les événements sont tous alignés, et le système est adapté pour le chaos. A tout moment, un leader despotique pourrait prendre le contrôle.

    Mais comment pourrait-il se produire en Amérique ?

    Avec l'effondrement économique de nouveau à l'horizon, et un panier de questions qui viennent à une tête, plusieurs factions de la population sont des pourboires vers la révolution. Une grande partie de celui-ci a joué dans le cycle électoral; l'établissement a perdu toute crédibilité, et les gens sont à la recherche des voix anti-establishment. D'autres moyens de maintien d'un contrôle sont mises en œuvre.

    Homeland Security prend le contrôle du processus électoral, ce qui rend une élection juste complètement impossible. Optique et PR prudent est utilisé pour le script de l'élection, et de maintenir un récit favorable - et qui est assez explosive pour produire des résultats radicaux et inattendus qui pourraient conduire la colère sur le bord.

    Des millions de personnes ont été chassées par les médias pour opposer violemment à Trump, et peuvent ainsi déclencher des émeutes à travers le pays s'il gagne l'élection, qui est, si Obama ne cesse pas les premières élections. De même, si Hillary est élu et prendra ses fonctions, il pourrait engendrer une guerre civile, des mots ... ou pire.

    Tout nombre de prétextes pourrait théoriquement entrer en jeu, mais aucun scénario est devenu plus probable que Hillary passant de la course et l'agitation, bien, un shitstorm comme la politique n'a jamais vu auparavant.

    Si Hillary est trop malade, le président Obama pourrait opter pour suspendre l'élection, et il pourrait faire un certain nombre de groupes à libérer, céder la place à des troubles civils.

    L'état de la police est prête à contenir des émeutes économiques / alimentaires, et sont également sur le point d'utiliser la loi martiale pour maintenir l'ordre, en utilisant une poigne de fer.

    Le chaos et l'ordre se répéter dans le cycle, et tout deviendra instable, déclin et rendre la population dépravée et vulnérable.

    L'animateur de radio et politologue Michael Savage est apparu sur le Alex Jones Show et a averti que la nouvelle carte Hillary pourrait être la raison inattendue pour l'un des scénarios les plus dangereux sur les livres.

    Si ces événements arriva, seraient la Constitution et la primauté du droit jamais être restaurés ?

    Michael Savage: Hillary est en chute libre, Obama peut suspendre l'élection

    Steve Quayle a également été regarder pour le type d'événements d'urgence qui pourraient être utilisés pour modifier la réalité et annuler les élections, ou permettre à un scénario de la loi martiale à prendre la main. Lui aussi voit une élection incertaine avant.

    Steve Quayle: Election ne peut avoir lieu

    (suite en dessous:)

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  23. Que pensez-vous qui va se passer dans ce pays au cours des deux prochains mois ?

    Restez vigilant, et se préparer pour littéralement presque rien.

    - voir clip sur site:

    http://www.zerohedge.com/news/2016-09-15/chaos-has-never-been-closer-obama-may-suspend-election-if-she-too-sick

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