- ENTREE de SECOURS -



vendredi 6 mai 2016

Nouvelles du Soleil (suite)



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À la fin du mois de mars de cette année 2016 les nouvelles du Soleil confirment ce que les astrophysiciens avaient prédit il y a quelques années, le présent cycle solaire (# 24) sera le plus faible en termes d’activité magnétique depuis le cycle # 5 (1789-1810) initiant la période dite « minimum de Dalton » qui vit entre 1790 et 1830 un refroidissement généralisé du climat. C’est ce qui attend la planète Terre et il y a de moins en moins de doutes à ce sujet quoiqu’en pensent les spécialistes de l’IPCC ainsi que les politiciens comme Al Gore ou encore James Hansen.
Capture d’écran 2016-04-27 à 11.11.08.png
La figure ci-dessus indique l’évolution du dernier cycle solaire (en rouge) en comparaison de la moyenne (en bleu) de tous les cycles depuis 1750 et en trait noir ce cycle # 5 en termes de nombres de taches (SSN, sun spot number) qui réflètent l’activité magnétique du Soleil. Une autre représentation du nombre de taches solaires depuis le cycle # 1 est encore plus parlante :
Capture d’écran 2016-04-27 à 11.11.32.png
Il s’agit de l’anomalie en plus ou en moins par rapport à la moyenne de tous les cycles solaires (en bleu dans la précédente illustration) pour chaque cycle solaire. On remarque très clairement le minimum de Dalton lors des cycles 5 à 7 inclus, puis ce qui est appelé le « petit âge glaciaire » durant les cycles 12 à 16 inclus c’est-à-dire entre 1850 et 1910 et enfin l’optimum moderne en deux phases avec les cycles 17 à 19 et 21 à 23. Le cycle # 20 qui provoqua un refroidissement passager du climat sert d’ailleurs de référence pour évoquer graphiquement le « réchauffement contemporain » qui vit le recul spectaculaire des glaciers alpins qui avaient tout aussi spectaculairement avancé au cours du « petit âge glaciaire ». On se trouve donc à l’aube d’un refroidissement généralisé qui, selon les prévisions mathématiques de l’activité magnétique du Soleil, devrait commencer à se ressentir sérieusement dès le début des années 2020 et durer jusqu’aux alentours de 2100.
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Illustration : nuages d’altitude au dessus de la ville de Tokyo
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Source : http://www.kaltesonne.de/die-sonne-im-marz-2016-ein-versiegender-elnino-und-die-beruchtigten-„tipping-points/
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https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/05/06/nouvelles-du-soleil-suite/

17 commentaires:

  1. La prochaine crise de l'emploi est ici : Des suppressions d'emplois dans les entreprises américaines sautent 35 % au mois d'avril


    Par Michael Snyder,
    le 5 mai 2016


    Ne serions-nous pas alarmés que le nombre de suppressions d'emplois annoncées par les grandes entreprises américaines était de 35 % plus élevé en avril qu'en mars ? C'est certainement un cas où la tendance n'est pas notre ami. Selon Challenger, Gray & Christmas, des entreprises américaines ont annoncé 65 141 suppressions d'emplois en avril, ce qui représentait une massive hausse de 35 % par rapport au mois précédent. Et jusqu'à présent cette année dans l'ensemble, emploi couper annonces fonctionnent 24 pour cent plus élevé que pour la même période exacte en 2015. Pendant ce temps, le jeudi, nous avons appris que les demandes initiales de prestations de chômage a grimpé considérablement la semaine dernière. En fait, le saut de 17 000 a été la plus forte hausse que nous avons vu dans plus d'un an. Bien sûr l'économie américaine a été ralentit pendant un bon moment maintenant, et beaucoup ont demandé quand nous commencerions à voir ce ralentissement reflète dans le nombre d'emplois. Eh bien, ce jour est maintenant arrivé.

    À ce stade, les sociétés américaines sont licencier personnes au taux que nous n'avons pas vu depuis la dernière crise financière. Voici ce que Zero Hedge avait à dire sur ces chiffres les plus récents...

    Alors que l'on peut débattre de la véracité des données corrigées des variations saisonnières de la BLS, une chose est certaine : quand une société annonce il sera mise à pied des milliers, il sera. Donc pour tous ceux qui donnent à penser que tout bien avec l'image d'emplois américains repose sur rapports de demandes initiales, Voici le dernier rapport du Challenger , selon lesquelles le rythme de réduction des effectifs a augmenté en avril a bondi de 35 % à 65 141 au cours du mois d'avril, des 48 207 annonces de mise à pied en mars.

    Regarder plus loin, dans les quatre premiers mois de 2016, les employeurs ont annoncé un total de 250 061 suppressions d'emplois prévues, soit 24 % de plus les licenciements 201 796 suivis durant la même période un an auparavant. Cela représente le plus haut total de janvier à avril depuis 2009, lors de l'ouverture quatre mois de l'année a vu 695 100 suppressions d'emploi à la suite de la plus grande crise financière de l'histoire moderne.
    Donc ce qui est la cause ?

    Pourquoi sont les entreprises licenciant tant de gens tout d'un coup ?

    Mes lecteurs connaissent très bien la douleur que connaît l'industrie de l'énergie pour le moment, mais étonnamment, il n'était pas l'industrie de l'énergie qui a annoncé que des baisses de l'emploi la plupart au mois d'avril...

    Sociétés informatiques ont annoncé 16 923 suppressions d'emplois au cours du mois ; le total le plus élevé parmi toutes les industries. Ce total comprend 12 000 du fabricant de puces Intel, qui se déplace loin du marché traditionnel de bureau et portables et vers le marché du mobile. A ce jour, sociétés informatiques ont annoncé des suppressions d'emplois 33 925, 262 pour cent il ya un an, pour emploi des coupes dans le secteur ont totalisé seulement 9 368 à travers les quatre premiers mois de l'année.

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  2. Oui, l'industrie de l'énergie américain a perdu bien plus 100 000 emplois bien rémunérés depuis le début de l'année dernière, mais le ralentissement est beaucoup plus large que celle. Bénéfices des entreprises sont en baisse partout en Amérique, et lorsque les revenus baissent, il est inévitable que les licenciements suivront.

    Comme j'ai écrit précédemment, les revenus pour les sociétés cotées sur le S & P 500 sont tombés au total 18,5 % depuis leur pic en fin 2014, et il était projetée que les bénéfices des entreprises globales serait en baisse de 8,5 % pour le premier trimestre de 2016 par rapport à la même période un an auparavant.

    Et dans le tableau que j'ai posté ci-dessous, vous pouvez voir que les bénéfices des entreprises après impôts sont en baisse vertigineuse depuis le sommet atteint en mi-2015...

    - voir graphique sur site -

    Comme ce nouveau ralentissement économique s'intensifie, les licenciements s'accélérera.

    En langage clair, cela signifie que beaucoup plus de personnes vont perdre leur emploi.

    Malheureusement, un très grand pourcentage des américains n'a pas apprendre quelque chose de la dernière crise et vivent à la limite financière. En fait, la réserve fédérale indique que 47 % de tous les Américains ne peuvent même pas payer une facture de salle d'urgence inattendue 400 $ sans emprunter de l'argent ou vendre quelque chose.

    Ainsi, tout comme le dos en 2008, nous allons voir un nombre considérable de personnes incapables de payer leurs factures quand ils perdent leur emploi. Forclusions vont monter en flèche, et beaucoup, beaucoup de familles vont être mis dans la rue.

    C'est pourquoi j'ai prêché l'importance d'avoir un fonds d'urgence pour des années. Il est absolument impératif d'avoir un fonds d'urgence pouvant couvrir vos factures pendant au moins six mois dans le cas où il y a une perte d'emploi ou d'une autre sorte de catastrophe majeure.

    Si vous n'avez pas déjà fait ceci, vous êtes sans doute déjà trop tard.

    Le froid, la dure réalité de la matière est qu'il faudrait la plupart des familles depuis un certain temps pour mettre en place un fonds d'urgence de six mois s'ils sont à partir de zéro.

    Donc si vous êtes dans cette position et vous perdez votre emploi, vous devrez peut-être déplacer dedans avec la famille ou des amis quand votre argent s'épuise.

    Je ne veux pas être froide, mais c'est la situation dans laquelle nous sommes confrontés. La prochaine crise de l'emploi est déjà là, et il va devenir bien pire. Peu importe qui devient "le prochain président", des suppressions d'emplois vont accélérer et bons emplois vont devenir extrêmement difficiles à trouver.

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  3. J'ai certainement défends pas que n'importe qui abandonnent. Si vous avez encore un bon travail pour l'instant, serrer votre ceinture et utiliser ce temps pour préparer fébrilement le meilleur que vous pouvez.

    Malheureusement, des dizaines de millions d'américains croyaient que cette bulle de fausse prospérité serait continuez à rouler, et donc ils ont gaspillé immenses quantités de ressources et un temps précieux. Le jour du jugement est maintenant ici, et un grand nombre de nos concitoyens vont découvrir l'horreur d'être mal préparé.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-next-employment-crisis-is-here-job-cuts-at-u-s-companies-jump-35-percent-in-april

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  4. Pas étonnant que nous sommes plus pauvres : la part des salaires du PIB a diminué en 46 ans


    Soumis par Tyler Durden le 06/05/2016 13:24 -0400
    Soumis par Charles Hugh-Smith du blog OfTwoMinds,


    Le problème est que limiter la financiarisation va imploser le système.

    La majorité des ménages américains se sentent plus pauvres parce qu'ils sont pauvres. Réel (c'est-à-dire tenir compte de l'inflation) revenu médian des ménages a diminué depuis des décennies, et les gains de revenu sont concentrés dans le top 5 % :


    - voir graphique sur site -


    Encore plus dévastateur, part des salaires du PIB a diminué (avec brèves interruptions au cours de bulles) depuis 46 ans. Cela signifie que comme le produit intérieur brut (PIB) a augmenté, les gains ont coulé en entreprise et les profits des propriétaires et à l'État, qui se réjouit de percevoir des impôts plus élevés à tous les niveaux du gouvernement, des taxes foncières aux impôts.


    - voir graphique sur site -


    Voici un coup d'oeil au PIB par habitant (par personne) et le revenu médian des ménages. En règle générale, si le PIB par habitant est en hausse, de ça coule aux revenus des ménages. Le boom des années 1990, les deux PIB / habitant et ménage revenu est passé ensemble.

    Depuis lors, PIB par habitant a marcha plus haut tandis que le revenu des ménages a diminué. Revenu du ménage a vu une légère hausse dans la bulle immobilière, mais s'est effondré depuis lors dans la « reprise » depuis 2009.

    - voir graphique sur site -

    Voici les tendances non-triviales. Ce que ces graphiques représentent la part du PIB va aux salaires est un déclin à long terme : les gains du PIB sont fluides pas aux salariés mais aux actionnaires et propriétaires et par le biais de leurs impôts plus élevés, pour le gouvernement.

    Le top 5 % des salariés a remporté pratiquement tous les gains en revenus.

    Des sommes non négligeables ainsi. Amérique du PIB en 2015 était environ $ 18 billions. Part des salaires--sur 42.5%--is $ 7,65 billions.

    Si la part de salaire était de 50 %, comme c'était le début des années 1970, sa part serait $ 9 billions. C'est $ 1,35 billions plus qui serait être coulant pour salariés.

    Cela équivaut à 13 500 $ par ménage pour 100 millions de ménages.

    Il est facile de bec des promesses politiques de « corriger » cette tendance laïque, il n'est pas aussi simple que ça. Technologie et la concurrence mondiale a soulevé la prime sur la technologie et de gestionnaires travailleurs et réduit la prime sur les emplois plus classiques.

    Financiarisation a augmenté la part des bénéfices et le PIB qui se jettent aux financiers et au secteur financier.

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  5. Capitalisme de copinage-État a imposé des rentiers monopoles et des cartels sur les salariés, effectivement transférer plus de revenu et de richesse pour la nation politiquement puissant enraciné intérêts et cartels.

    Le problème est que limiter la financiarisation va imploser le système, comme je l'explique dans mon nouveau livre est au-delà de la réforme et pourquoi notre échec de statu Quo. Le statu quo dépend désormais de la financiarisation pour ses bénéfices et les taxes, et tellement déchirant le cœur financier effleure et escroqueries va déchirer aussi le cœur sur l'ensemble du statu quo.

    Et 95 % d'entre nous continuerons donc de s'appauvrissent, peu importe qui est au bureau.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-05-06/no-wonder-were-poorer-wages-share-gdp-has-fallen-46-years

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    1. Le progrès (créé PAR le Peuple) a toujours été là pour en améliorer l'effort physique ou intellectuel, mais, l'Etat a toujours été là pour empêcher ce progrès de rapporter quoi que ce soit au Peuple ! C'est pourquoi voyons nous de nouvelles taxes naître chaque jour !

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  6. Depuis 2014 aux États-Unis a ajouté 450 000 serveurs et barmen et aucun travailleur de fabrication

    Soumis par Tyler Durden le 06/05/2016 12:24 -0400


    Avec Obama, encore une fois à la télévision, prendre crédit pour la relance de la Fed du marché boursier comme en quelque sorte indicative d'une "reprise" économique ("fiction colporteurs" ne pas autorisés dans la foule), voici une autre façon de montrer la transformation sans précédent aux Etats-Unis labor pool : depuis décembre 2014, les États-Unis a ajouté un peu moins 450 000 serveurs et barmen et aucun ouvriers de fabrication.

    - voir graphique sur site -

    Et voici la photo à plus long terme, qui remonte au début de la crise en décembre 2007 : s'il vous plaît ne pas « colporter fiction » en voyant ce tableau.

    - voir graphique sur site -

    http://www.zerohedge.com/news/2016-05-06/2014-us-has-added-450000-waiters-and-bartenders-and-no-manufacturing-workers

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  7. l'UE met «le fusil sur la tempe» des Etats membres avec l’amende de 250 000 euros par réfugié refusé

    6 mai 2016

    Quand un pays ne veut ou ne peut pas accueillir des migrants, l’intégration ne se passera pas bien, estime le secrétaire général adjoint de Debout la France et secrétaire départemental des Vosges Laurent Jacobelli.

    RT France : Vous avez réagi sur Twitter à la nouvelle proposition de la Commission européenne d’infliger aux pays membres de l’UE une amende de 250 000 euros par réfugié refusé. Pourquoi est-ce «une folie migratoire imposée par Bruxelles» ?

    Dernière folie de Bruxelles est de vouloir nous imposer l’accueil des migrants

    Laurent Jacobelli (L.J.) : Bruxelles se mêle de la vie de nations souveraines et la dernière folie de Bruxelles est de vouloir nous imposer l’accueil des migrants. Ils auront tout essayé : la contrainte morale, le chantage aux frontières et maintenant la menace financière. De quel droit des bureaucrates que personne n’a élus ont-ils décidé du nombre de migrants qui doit arriver en France ? Chaque pays doit être libre de choisir combien de personnes viennent sur son territoire, dans quelles conditions et selon quelles règles. Ce n’est pas ni à Bruxelles, ni - on peut le dire, en l’occurrence - à Berlin, de décider. Imaginez, 250 000 euros par personne, imaginez ce qu’on pourrait faire avec cette somme en France, par exemple pour aider les gens qui dorment dans la rue. L’ordre des priorités de Bruxelles est devenu fou. Il y a une inversion totale des valeurs. Il faut maintenant que les bureaucrates de Bruxelles laissent les pays décider librement de leur sort.

    Quand un pays ne veut ou ne peut pas accueillir des migrants, l’intégration ne se passera pas bien

    RT France : Les pays de l'Europe de l’Est ont qualifié cette proposition de chantage. Peuvent-ils s’opposer à cette proposition et empêcher qu’elle soit votée ?

    L.J. : Bien sûr que non puisque, comme à chaque fois, tout est décidé d’avance. Vous savez sûrement que l’Union européenne décide à quelques-uns, en général Monsieur Juncker, Madame Merkel, et qu’après ils imposent leurs vues. Les pays de l’Est auxquels vous faites référence n’ont évidemment pas les moyens de payer ces amendes. C’est donc une manière de leur mettre le fusil sur la tempe et de leurs dire «vous n’avez pas le choix, vous voulez protéger vos frontières mais nous à Bruxelles on ne le veut pas, et nous allons vous imposer des migrants». C’est une folie parce que, quand un pays ne veut ou ne peut pas accueillir des migrants, l’intégration ne se passera pas bien. Quand il n’y a pas d’emploi, quand il n’y a pas les ressources économiques, quand il n’y a pas l’envie de la population de recevoir des migrants, c’est un contre-sens de croire que l’on peut forcer le pays à accueillir des migrants.

    Il y a un moment où il va y avoir un réveil des peuples, on le voit en Angleterre avec le Brexit

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  8. RT France : A quoi cette mesure peut aboutir ?

    L.J. : Les dictateurs et les dictatures vont de loi en loi, de décision en décision, toujours plus loin, pour tester leur pouvoir et puis un jour le peuple se révolte. On l’a vu à peu près partout dans le monde. Il y a quelques jours, l’Union européenne nous obligeait à faire surveiller nos frontières par la Turquie. La Turquie dont la complicité, ou en tout cas la duplicité, vis-à-vis de Daesh est connue. La Turquie qui n’a pas les moyens de surveiller ses frontières. La Turquie qui ne respecte pas les droits de l’homme. Et c’est à la Turquie que nous avons livré le contrôle de nos frontières face aux flux migratoires.

    L’Union européenne, dans la mesure où elle n’est pas démocratique, est rejetée par les nations démocratiques

    On nous a annoncé qu’on allait échanger un migrant contre un migrant, c’est-à-dire qu’un clandestin qui arrivait avant sur le sol européen choisissait sa destination, en général l’Allemagne. Cela a énervé Madame Merkel. Donc aujourd’hui quand un migrant viendra par la Turquie, il sera imposé à un pays, la France, la Pologne, etc. Il n’y aura même plus le choix. Comme tout cela est passé comme une lettre à la poste, l’Union européenne va encore plus loin dans le cynisme, et je dirais même dans la volonté dictatoriale d’imposer ses vues. C’est l’histoire de l’amende de 250 000 euros par migrant. Mais il y a un jour où les peuples vont réagir. Nous, à Debout la France, nous avons lancé une pétition contre cet accord avec la Turquie. En deux semaines, plus de 50 000 personnes l’ont déjà signée pour dire «non, on ne veut pas que l’Union européenne choisisse pour nous, on ne veut pas de ce chantage fait aux migrants avec la Turquie». Il y a un moment où il va y avoir un réveil des peuples, on le voit en Angleterre avec le Brexit, on le voit référendum après référendum... L’Union européenne, dans la mesure où elle n’est pas démocratique, est rejetée par les nations démocratiques.

    La Turquie ne peut pas être par son histoire, par son comportement actuel vis-à-vis de Daesh et de l’islamisme, un partenaire fiable

    RT France : La crise des réfugiés ne fait que s’aggraver. Comment donc gérer cette crise si la Turquie n’est pas un partenaire fiable ?

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  9. L.J. : La Turquie ne peut pas être par son histoire, par son comportement actuel vis-à-vis de Daesh et de l’islamisme, un partenaire fiable. Mais l’Union européenne ne peut pas reconnaître son erreur fondatrice qui est qu’ôter le contrôle aux frontières des pays revient au chaos économique et au chaos migratoire. La seule solution aujourd’hui est que chaque pays rétablisse le contrôle aux frontières et décide de qui peut rentrer chez lui. C’est la seule solution. En France, quand quelqu’un vient sur le territoire français même clandestinement, il n’a pratiquement aucune chance d’être renvoyé chez lui. Donc il faut le contrôle aux frontières par les nations et le respect des lois par les nations. Il faut, dans un deuxième temps, à l’extérieur, faire une chasse implacable à Daesh. Comme l’a d’ailleurs fait la Russie. Mais il faut l’accompagner et détruire le mouvement Daesh. Il faut aider les pays à se développer chez eux, pas chez nous. Ce sont des solutions de bon sens, mais quand on voit les milliards qui sont déversés, six milliards à la Turquie - et cela ne prend d’ailleurs même pas en compte les dix milliards que l’Europe a donné pour l’adhésion de la Turquie - quand on regarde ces sommes colossales qui sont déversées, on se dit qu’elles seraient quand même mieux utilisées en aidant ces pays à se développer. On pourrait investir dans l’armée – on fait le contraire en France – pour exterminer Daesh. Tout est fait à l’envers en fait. On est faible à l’extérieur donc on laisse les migrants fuir de situations souvent terribles, et on est faible à l’intérieur de l’Union européenne puisqu’on laisse des bureaucrates de Bruxelles, qui vivent dans une bulle et qui n’ont pas du tout conscience des répercussions de ce chaos migratoire sur les populations, décider pour nous.

    Il faut faire le tri entre les vrais et les faux réfugiés

    RT France : Que faire avec les réfugiés qui sont déjà sur le territoire européen ?

    L.J. : D’abord, il faut faire le tri entre les vrais et les faux réfugiés. Les médias, à longueur d’interviews et de reportages, nous font croire que tous les migrants fuient la guerre et la persécution. C’est faux. Selon les pays et les études, on remarque que c’est entre 10% et 20% des migrants qui arrivent sur le sol européen. D’abord pour les 80% qui reste, il faut les faire respecter la loi et leur demander de quitter le sol européen. Deuxièmement, il faut faire attention pour comprendre si ceux avec des papiers syriens sont vraiment syriens. L’Allemagne elle-même a reconnu qu’un tiers des Syriens qui sont arrivés sur son territoire n’étaient pas syriens.

    Sous couvert d’un faux humanisme, nous accueillons tout le monde, ouvrons nos portes, et, finalement, on n’améliore pas le sort de ceux qui ont vraiment le droit au titre de réfugié

    Il faut voir qui est réellement réfugié et qui ne l’est pas. Tous ceux qui n’ont aucun droit au droit d’asile doivent être renvoyés chez eux, c’est la loi dans de nombreux pays et c’est la loi en France. Il ne faut pas créer de nouvelle loi, il suffit juste de respecter la loi. Quand on ne respecte pas la loi, être clandestin et entrer par effraction dans un pays c’est violer la loi, il faut appliquer la loi et renvoyer les gens chez eux. Pour les gens qui sont vraiment persécutés et qui ont le dispose du droit d’asile, il faut bien évidemment et dans la stricte limite du droit d’asile, les accueillir et leur permettre de s’intégrer dans la population. Mais paradoxalement, le chaos migratoire dans lequel nous sommes fait que ceux qui ont fui Daesh prennent souvent la même route que des infiltrés de Daesh et se retrouvent dans des pays eux aussi victimes. Sous couvert d’un faux humanisme, nous accueillons tout le monde, ouvrons nos portes, et, finalement, on n’améliore pas le sort de ceux qui ont vraiment le droit au titre de réfugié.

    https://francais.rt.com/opinions/20176-ue-fusil-sur-tempe-amende-refugie-refuse

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    1. Effectivement, c'est une honte ! Une honte de DEVOIR laisser la porte OUVERTE de sa maison aux cambrioleurs et criminels ou... de devoir payer 250 000 euros par terroriste refusé !!!

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  10. Armer les réfugiés et les renvoyer chez eux, une initiative qui vient de Pologne

    20:08 06.05.2016

    Pour que les migrants puissent lutter pour la liberté de leur patrie, il faut les armer, puis les renvoyer chez eux, considère Wladyslaw Kosiniak-Kamysz, leader du Parti paysan polonais.

    "Du point de vue humain, nous devons accueillir les femmes et les enfants si besoin, d'ailleurs sa Sainteté (le Pape François, ndlr) l'appelle également. Quant aux hommes, ils doivent être armés et renvoyés pour lutter pour la liberté de leur pays", a déclaré l'homme politique qui a occupé de 2011 à 2015 le poste de ministre du Travail du pays sur les ondes de la chaîne TVP Info.

    Et d'ajouter que la répartition automatique des réfugiés était absolument "inadmissible". "La Pologne ne l'admettra jamais", a-t-il pointé.

    Débordée, la Suède exige la répartition des réfugiés dans les pays de l'UELa presse polonaise avait plus tôt fait savoir, se référant à une source au sein de l'Intérieur, que 150.000 migrants proche-orientaux et africains pouvaient être attribués à la Pologne dans le cadre du plan de répartition des réfugiés.

    Selon Frontex, l'agence chargée de gérer la coopération opérationnelle aux frontières de l'UE, 1,8 million de migrants sont arrivés dans l'Union européenne en 2015. La plupart d'entre eux arrivent en Turquie, puis en Grèce, pour continuer leur voyage au nord en cherchant un eldorado européen. L'agence reconnaît que le chiffre présenté est considérablement sous-estimé, car il est impossible d'enregistrer tous les cas de franchissements de frontière. L'Onu a déjà qualifié la crise migratoire que le Vieux continent traverse depuis 2015 de plus importante depuis la Seconde Guerre mondiale.

    https://fr.sputniknews.com/international/201605061024797798-refugies-armes-pologne/

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  11. L'Union européenne, une gigantesque « usine à gaz » néfaste pour « presque » tous ses pays membres !

    Gérard Luçon
    Réseau International
    ven., 06 mai 2016 15:34 UTC

    -- Commentaire : Rappelons que le terme « usine à gaz » - expression très en vogue et récurrente chez les hommes et femmes politiques - est un système dont la complexité et le manque de cohérence réduisent son efficacité... et que, selon Le Figaro, « cette formule métaphorique caractérise aujourd'hui des dispositifs incompréhensibles pour le commun des mortels, dont la mise en oeuvre a pour seul mérite de complexifier un sujet qui l'est déjà suffisamment... ». Voilà qui est dit. --


    Pour ceux de ma génération, donc nés peu après la Seconde Guerre mondiale, certains souvenirs et engagements sont restés en mémoire, par exemple celui-ci : quand le gouvernement a décidé que les salaires ne pouvaient plus être versés en liquide, il s'est engagé à ce que tout citoyen puisse disposer d'un compte bancaire totalement gratuit ; jusqu'alors les gens « simples » avaient leur ardoise au Familistère, au bistrot, chez le boucher, et lorsque la paye ou les acomptes venaient les ardoises se réglaient. Aucun commerçant n'osait demander des intérêts, tout le monde savait que chacun pouvait avoir des problèmes de liquidités, c'était dans « l'ordre des choses ». Une forme de crédit (gratuit) avant la lettre ! J'ai bien connu, ma mère m'envoyait faire les courses avec une liste et pas de blé, d'une part cela l'arrangeait, et d'autre part je n'en profitais pas pour m'acheter des Malabars !
    Le temps a passé, les gouvernants ont été remplacés par eux-mêmes, leurs disciples ou leurs proches, et tout le monde a, bizarrement, perdu la mémoire de cet engagement « dur comme fer » ! Maintenant ouvrir un compte, c'est passer des étapes humiliantes devant un guignol prétentieux qui n'a eu son poste dans la banque que parce qu'il s'appelle « machin », qu'il est recommandé par « truc », et que même s'il est aussi éveillé qu'un bigorneau trop cuit il sera gardé, éventuellement dans une autre agence si par hasard il a fauté avec un des « dignitaires » locaux ! Et ce guignol va vous cuisiner pour vérifier si vous méritez d'être client dans « sa » banque ! Le client est roi, sauf à la banque, là le roi est nu...

    Pour notre pays un autre exemple me parait intéressant, le fameux millefeuille administratif. Il y a quelques décennies nous avions trois échelons administratifs, la commune, le département, et l'État, et déjà le millefeuille existait, il fallait donc simplifier la vie des citoyens ! Nous avons désormais trois échelons de plus, l'intercommunalité, la région et l'Union Européenne, cette dernière ayant trois composantes, un parlement européen essentiellement consultatif, un gouvernement européen nommé sauf aucune représentativité électorale et des fonctionnaires européens chargés d'harmoniser les pratiques des différents membres, et le résultat est éloquent ! Nous avons atteint le stade du deux millefeuilles avec, en prime et rien que pour notre pays, 600 000 élus locaux... nous avons aussi, désormais, beaucoup plus de fonctionnaires choisis ou nommés par ces élus locaux, et destinés à gérer des paperasses, et moins de service public au niveau des bases d'une société évoluée à savoir l'éducation, la santé, la justice, l'impôt... sans parler des effectifs de police et de militaires en baisse constante ! Louis IX, qui a créé la composition administrative de l'État français pour en faire une puissance organisée et reconnue a été effacé de notre histoire.

    Prenons cette usine à gaz européenne par secteurs, avec un ou deux exemples pour chacun :

    (suite en dessous:)

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  12. 1 - Politique internationale

    L'UE parle d'une seule voix, ou presque... faute d'armée propre, elle accepte que la Slovénie et la Croatie fassent sécession, et ensuite que l'OTAN bombarde la Yougoslavie et notamment Belgrade, mais quand il s'agit de reconnaitre les nouveaux pays c'est la cacophonie ! Les premiers engagés dans ce foutoir ont été les Allemands en reconnaissant unilatéralement la Croatie et la Slovénie. Personne alors ne s'est posé la question de l'intangibilité des frontières ou de la déstabilisation d'autres pays d'Europe comme la Roumanie et sa minorité hongroise, l'Espagne et ses Catalans, et encore moins le statut de la Crimée ! Le Kosovo... manipulation teutonne et erreur historique prouvant l'absence totale de politique internationale de l'UE, et le rôle toujours aussi pervers des Allemands dans la construction européenne puisque désormais ils sont le fer de lance dans le rapprochement avec la Turquie et que leur chancelière a suggéré que l'entrée du Japon dans l'OTAN serait une bonne chose ! L'axe Berlin - Ankara - Tokyo, que de bons souvenirs...

    -- Commentaire : L'auteur fait référence à l'axe Berlin - Rome - Tokyo qui regroupait les nations en guerre contre les Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, la Turquie fait partie intégrante de cet axe mené par les USA. --


    2 - Politique économique

    Là, c'est le bonheur ! On embauche en Occident des travailleurs d'Europe de l'est, sous payés, via des contrats passés avec des sociétés d'intérim basées en Pologne et en Tchéquie. Plus largement, les accords de libre-échange ne parlent pas des droits syndicaux, des salaires minimaux, ils sont strictement commerciaux, ce sont les entreprises multinationales qui dirigent le bal... et comme elles sont insatiables, leurs bénéfices ne vont même pas dans les pays d'où proviennent les travailleurs ni dans ceux où elles se sont délocalisées pour produire, ce serait trop simple à suivre comme parcours financiers... l'argent passe par des pays membres de cette UE et utilisés comme des paradis fiscaux de transit comme le Luxembourg, Chypre... via des sociétés de conseil et autres entourloupes !

    3 - Politique sociale

    Zéro pointé ! Circulez, y-a rien à voir... Encore que... tout le système de protection sociale et de retraite des pays de l'est a été démantelé, tout est en voie de privatisation, il ne restera plus ensuite qu'à harmoniser, c'est-à-dire à flinguer les systèmes de protection occidentaux et notamment le système français. Et longue vie aux SMIC roumain et bulgare (150 euros nets mensuels) !

    Il suffit de rappeler Jean Jaurès il y a déjà bien longtemps, sur ce sujet :
    « Ce que nous ne voulons pas, c'est que le capital international aille chercher la main-d'œuvre sur les marchés où elle est le plus avilie, humiliée, dépréciée, pour la jeter sans contrôle et sans réglementation sur le marché français, et pour amener partout dans le monde les salaires au niveau des pays où ils sont le plus bas. C'est en ce sens, et en ce sens seulement, que nous voulons protéger la main-d'œuvre française contre la main-d'œuvre étrangère, non pas je le répète, par un exclusivisme chauvin, mais pour substituer l'internationale du bien-être à l'internationale de la misère. »

    ~ Jean Jaurès, « discours pour un socialisme douanier », 17 février 1894.

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  13. 4 - Normes et harmonisation

    Dans ce domaine nous naviguons entre les mesures sociétales et celles économico-administratives, et je dois reconnaître que les propositions ahurissantes ne manquent pas... selon que nous sommes « d'en-deçà ou d'au-delà des Pyrénées », « de l'Europe catholique ou de celle orthodoxe », « balkaniques ou latins », « de langue slave ou latine ou finno-ougrienne », chacun réagira et ne se reconnaîtra que dans et parmi les siens, et cela est valable notamment dans deux cas, quand l'identité religieuse est forte (les chrétiens orthodoxes par exemple) et quand l'identité « ethnique » ne s'est pas diluée (les tziganes par exemple). Entre le mariage pour tous et celui des jeunes filles tziganes pubères, on n'est pas sortis des contradictions.

    5 - Quelques exemples concrets du désordre ambiant

    Plaques d'immatriculation : pour le moment trois pays ont le même système d'immatriculation, l'Italie, la France et la Slovaquie, pour les différencier ce sont les « une ou deux » lettres écrites en tout petit sous le cercle étoilé de l'UE, sur la gauche de la plaque et aussi pour la France les deux tirets entre chiffres et lettre; bref ne vous étonnez pas si vous recevez une amende en France après avoir été flashé en Slovaquie...

    Droit de brûler et faire son alcool : il fallait parait-il supprimer ce droit, officiellement de manière à ce qu'aucun litre d'alcool ne puisse échapper au fisc; concrètement cela a multiplié l'alcool de contrebande et l'alcool frelaté (les grands fournisseurs sont l'Ukraine et la Turquie), et les pays qui continuent à laisser le brûleur faire sa tournée d'été n'arrivent pas à stopper ce système; d'abord parce que près de la moitié de la population de Roumanie (par exemple) brûle et ensuite parce que la police, lorsqu'elle vient contrôler les quantités, repart avec quelques litres dans le coffre de la Dacia, et enfin parce qu'une jacquerie n'est pas à exclure avec ces pays où le monde paysan est resté majoritaire et où, déjà, la tentative d'imposer sur le nombres de poules dans les basses-cours, d'interdire l'abattage rituel des animaux à Pâques (mouton) et avant Noël (porc) a lamentable échoué ;

    Cahier chez l'épicier : il existe encore dans certains pays de l'UE comme la Roumanie, la Bulgarie; dans ces pays c'est le facteur qui distribue les pensions et l'aide sociale et donc fait « banquette » chaque mois chez les épiciers des villages qui récupèrent leur dû; pas de chéquier, pas de carte de crédit, pas de frais ni d'agios bancaires, tout s'échange et se régularise en liquide; l'UE et les banques veulent généraliser l'utilisation des cartes et comptes bancaires, rentabiliser ces sommes énormes que représente ce crédit gratuit qui leur échappe, empêcher les facteurs de distribuer les retraites, c'est pas gagné !

    OGM : alors que l'UE de Bruxelles se couche devant les exigences des USA, divers pays décident d'interdire les OGM, notamment la Hongrie, et un grand voisin plus à l'Est a bien compris l'enjeu ! La Russie a décidé elle aussi d'interdire ces OGM. Bientôt nos magasins bio s'approvisionneront à l'Est, encore de la belle et bonne gestion européenne !

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  14. Immigrés et constitutions : Bruxelles a décidé que chaque pays aurait son quota d'immigrants, volontaires ou pas, c'est comme cela, et les pays qui refusent devront payer une amende pour chaque immigré refusé... même si le groupe de Visegrad fait plus que rechigner sur le sujet, notamment du fait qu'ils n'ont pas le même niveau de responsabilités dans la déstabilisation orchestrée par Washington, Londres et Paris de pays comme la Syrie, la Libye, l'Irak, l'Afghanistan.. Par ailleurs imposer des quotas à certains pays peut poser des problèmes majeurs, prenons à nouveau l'exemple de la Roumanie. Article 3 de la constitution roumaine : « il est interdit de faire venir sur le territoire de la Roumanie et de le coloniser avec des populations non-européennes » (texte original : pe teritoriul României nu pot fi stramutati si colonizate populatii non-europene ». Cet article était déjà en vigueur quand la Roumanie a été acceptée dans l'OTAN et dans l'UE donc la constitution roumaine a été de fait acceptée en l'état ! Et certains parlementaires de ce pays, voyant l'inféodation à Mme Merkel et à Erdogan du président roumain actuel, Klaus Johannis, originaire de la minorité allemande, ont annoncé qu'ils demanderaient sa destitution s'il accepte de violer la constitution de Roumanie.
    Troupes et bases américaines dans les pays de l'UE : il parait que la frontière et l'armée russes se rapprochent dangereusement de celle de l'OTAN (intervention d'un général américain), c'est une notion intéressante que de savoir que désormais ce n'est plus la frontière de l'UE, c'est celle de l'OTAN ; et pour nous protéger les USA veulent rouvrir des bases en France et demandent aux allemands d'aller occuper divers pays de l'est, notamment la Roumanie, qui bizarrement a élu un roumano-allemand à sa tête en 2014... que peut décider l'UE devant une telle proposition (de telles pressions), peut-être là aussi imposer aux divers pays un quota de militaires américains ou allemands, sinon de nouveau les amender ?

    TIG et aide sociale : là encore on va vers l'incident; en France le chômage est désormais une honte pour le chômeur; les merdias ont bien joué sur ce sujet, sur ordre du groupement LRPS et de ses affidés. Il n'y a pas de travail mais si tu n'en trouves pas c'est que tu ne cherches pas assez... Ou alors tu es trop exigeant, regardes le roumain, il accepte de travailler en France pour 600 euros par mois, soit 4 fois plus que le SMIC de son pays, et il est content ! T'es pas content, alors vas en Roumanie ou bien acceptes les futurs Travaux d'Intérêt Général, mesure répandue déjà en Roumanie, Hongrie et Bulgarie, depuis longtemps... et, chose amusante si je peux dire, mesure présentée par nos irréductibles merdias comme étant anti-tsiganes car dans ces pays l'aide sociale et le chômage frappent en priorité cette ethnie. Les TIG ce n'est pas anti-tsigane, c'est culturel, c'est l'orient de l'Europe...

    Vitesse sur les routes : il faut traverser l'UE pour se rendre compte de l'absence totale d'unicité, entre la France qui limite ses nationales à 90 km/h voire à 80 km/h et certains pays de l'est où la limite est 100 km/h, entre les autoroutes d'Allemagne où certains tronçons ne font pas l'objet de limitation alors que les autres pays sont à 130 km/h, entre le système métrique continental et l'Angleterre qui utilise les Miles, entre les panneaux d'autoroute, bleus en France et vert ailleurs, chacun défend ses traditions, ses principes, sa logique.

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  15. Salaires : là nous avons le plus bel exemple de la façon totalement dégueulasse dont le parlement européen fonctionne, des nantis qui se partagent un beau fromage et maintiennent les inégalités dans chacun des pays de l'UE... Un exemple ? Simple : les parlementaires européens ont tous grosso modo le même traitement, indemnités et avantages compris ils tournent autour de 30 000 euros mensuels, les Luxembourgeois, les Grecs, les Bulgares, tous logés à la même enseigne dorée... Par contre pour les ouvriers le système ne fonctionne pas, chacun son SMIC... et les multinationales sont très contentes de cette UE, elles attendent même que le marché s'ouvre aux immigrants Afghans et Pakistanais, aux Moldaves et aux Ukrainiens, là où le SMIC est inférieur à 100 euros mensuels...

    Cette liste n'est bien entendu pas exhaustive, je voulais juste montrer à quel point cette UE est néfaste pour tous les pays qui en sont membres sauf pour les paradis fiscaux comme le Luxembourg, et Juncker, luxembourgeois, comme par hasard ... est aux commandes de l'UE !

    Vous avez dit bizarre ? Comme c'est étrange !

    -- Commentaire : Depuis des décennies on nous serine avec les bienfaits de l'Europe : on se retrouve, présentement, dans la peau des rats qui suivent le joueur de flûte, ou dans celle de la grenouille qui prend son bain dans une marmite, au choix.

    L'on voit bien pourtant que le fort n'est pas aussi fort qu'il voudrait le faire croire : qui a besoin d'armes et d'un arsenal répressif pour faire entendre et accepter ses justes et bonnes paroles ? Si les mouvements populaires, populistes, sont récupérés, détournés, ici en Europe, c'est aussi une bonne nouvelle : l'élite est terrorisée, terrifiée par ceux qu'elle est censée représenter. C'est une situation tout à fait intenable, qui ne peut durer dans le temps. On le sait, la plus grande peur de l'imposteur est de se faire démasquer. Et la seule manière de confondre le bonimenteur est d'observer la différence qui existe entre ses actes et ses paroles. De constater qu'il y a la guerre là ou l'on nous dit qu'il y a la paix, de comprendre que les conditions et les restrictions que l'on nous impose ne sont pas la liberté. (Repris d'un commentaire précédent.)

    Voir aussi :
    - L'Union européenne dictera-t-elle à ses États-membres à qui ils peuvent ou pas acheter du gaz ?
    - L'Islande dit « Non Merci ! » à la dictature européenne
    Union européenne : le parlementaire gagne en moyenne 878 % de plus que le citoyen
    - L'Union Européenne et la Liberté matraquée
    - Union européenne : déceptions à tous les étages --

    https://fr.sott.net/article/28161-L-Union-europeenne-une-gigantesque-usine-a-gaz-nefaste-pour-presque-tous-ses-pays-membres

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