- ENTREE de SECOURS -



mardi 8 décembre 2015

« Développement durable » : mensonges, destruction pérenne ou les mots et la réalité

Derrick Jensen
Le Partage
sam., 05 déc. 2015 10:13 UTC
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Commentaire : En période de crise, les mots ont tendance à perdre de leur signification. Ils sont galvaudés ; sens et usage, détournés. Ils ne correspondent plus à la réalité et servent les objectifs bien précis de personnes aux intérêts et intentions spécifiques. Un glissement sémantique subtil qui est bien loin d'être anodin : en utilisant un mot, une expression, dans un contexte nouveau, inhabituel, nous lui donnons un sens nouveau, inhabituel. Par la répétition incessante du procédé dans une situation donnée, de nouvelles croyances prennent racine ; l'on peut ainsi donner naissance à une nouvelle façon de penser, et celle-ci, pour toute artificielle et mensongère qu'elle soit, sert de base à l'élaboration d'une nouvelle réalité commune. Comme le souligne Philippe Vergnes, le locuteur, « par la langue qu'il parle, se fait - délibérément ou à son insu - le porteur d'une intention politique ou d'une idéologie ».
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En l'occurrence, on peut constater que le rapport que l'Homme entretien avec son environnement est un désastre. Il ne considère ce qui l'entoure qu'à l'aune de la rentabilité, de l'efficacité ; et l'on nous a appris à trouver cela naturel. Une conception pathologique de notre rapport à l'univers qui nous pousserait à extorquer ce qui nous est naturellement donné. L'exemple qui concerne l'agriculture est particulièrement parlant. Si les modèles agricoles sont parfois remis en cause, avec la promotion de l'idée d'une autre agriculture plus respectueuse de l'environnement et de l'être humain ( et qui l'est réellement, avec l'agriculture biologique et/ou biodynamique ), on ne parlera jamais, encore et toujours, que d'économie rurale.
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Et c'est effectivement de paradigme dont il est question ici. On pourra se contorsionner tant que l'on voudra, inventer les normes, les contraintes, les conditions, les conformités, se donner l'illusion que la caution financière, philosophique, nous donne un droit, en réalité, est-ce vraiment le cas ? Le problème de fond ne reste t-il pas le même ? Un rapport à sens unique avec l'univers qui nous entoure ?
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Alors pour faire perdurer un système, qui est celui de la domination et, in fine, de la destruction du vivant, il faut travestir la réalité et contraindre à une réinterprétation de celle-ci, avec les mots par exemple. L'esprit « apaisé », la conscience détournée, le monde peut continuer à fonctionner comme il le faisait encore le jour précédent.
L'agriculture - la pire erreur de l'humanité
La pire erreur de l'histoire de l'humanité : l'agriculture
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Le « développement durable » est une prétention à la vertu. Le mot « développement » utilisé dans ce sens est un mensonge.
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Le mot « développer » signifie « croître », « progresser », « devenir plus complet, plus avancé ». Parmi ses synonymes, on trouve « évolution, déroulement, maturation, maturité », et parmi ses antonymes « détérioration, désintégration ». En voici un exemple d'usage concret tiré d'un dictionnaire : « Le théâtre a atteint l'apogée de son développement avec les pièces de Shakespeare ».
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Mais voilà le problème : un enfant se développe et devient un adulte, une chenille se développe et devient un papillon, un cours d'eau endommagé par (disons) l'extraction minière pourrait, avec le temps, se redévelopper et redevenir un cours d'eau sain ; mais une prairie ne se « développe » pas en maisons en forme de boîtes, une baie ne se « développe » pas en port industriel, une forêt ne se « développe » pas en routes et clairières.
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Le mot « tuer » fonctionne aussi bien.
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Destruction durable
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Pensez-y. Vous menez votre vie, quand arrive une personne souhaitant gagner de l'argent en « développant » la « ressource naturelle » qu'est votre corps, et comptant donc collecter vos organes pour effectuer des greffes, vos os pour en faire de l'engrais, votre chair pour de la nourriture. Vous répondriez peut-être : « Hé, je m'en servais, de ce cœur, de ces poumons ». Cette prairie, cette baie, cette forêt, utilisaient toutes ce que vous appelez « ressources naturelles ». Ces « ressources naturelles » les maintenaient en vie. Ces « ressources naturelles » sont précisément leur corps. Sans elles, elles mourront, tout comme vous.
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Cela ne fait aucune différence d'associer le mot « durable » à tout ce que vous vous apprêtez à faire. L'exploitation reste l'exploitation, même sous l'appellation « exploitation durable ». La destruction reste la destruction, même sous l'appellation « destruction durable ».
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La capacité à remarquer la récurrence de schémas est un signe d'intelligence. Nous, les humains industrialisés, nous nous croyons plus intelligents que tous les autres. Je vais donc vous présenter un schéma, voyons si nous pouvons le reconnaitre sur, disons, les 6000 dernières années.
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Le développement durable grec
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Lorsque vous pensez à l'Irak, la première image qui vous vient en tête, sont-ce des forêts de cèdres si denses que la lumière du soleil n'atteint pas le sol ? C'était pourtant l'Irak avant les débuts de cette culture. L'un des premier mythes écrits de cette culture raconte l'histoire de Gilgamesh, déforestant les collines et les vallées de ce que l'on appelle aujourd'hui l'Irak, pour construire des grandes cités.
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Oups, pardon, j'imagine qu'il ne déforestait pas la région ; il « développait » les ressources naturelles.
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La majeure partie de la péninsule arabique était couverte d'une savane de chênes, avant que ces « ressources » ne soient « développées » pour l'exportation. Le Proche-Orient était densément boisé. Vous vous souvenez peut-être des cèdres du Liban ? Ils en ont toujours un sur leur drapeau. Le Nord de l'Afrique était densément boisé. Ces forêts furent détruites — pardon, « développées durablement » — pour la construction des flottes égyptiennes et phéniciennes.
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La Grèce était densément boisée. Les anciens philosophes grecs se plaignaient de l'impact nocif de la déforestation sur la qualité de l'eau. Je suis sûr que les bureaucrates de l'antique département grec du développement durable expliquèrent alors qu'ils auraient besoin d'étudier le problème pendant quelques années afin de s'assurer qu'il y ait vraiment une corrélation.
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Dans les Amériques, les baleines étaient si abondantes que leur respiration donnait à l'air un aspect constamment brumeux, et qu'elles étaient un danger pour le transport maritime. Le « développement » de cette ressource régla ce problème. La morue proliférait tellement que leurs corps ralentissaient le passage des navires. Le « développement » de cette ressource régla également ce problème. Il y avait tellement de pigeons migrateurs que leurs nuées assombrissaient le ciel pendant plusieurs jours d'affilée. Une fois encore, le « développement » de cette ressource régla ce problème.
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Savez-vous pourquoi il n'y a pas de pingouins dans l'hémisphère Nord ? Il y en avait avant. Ils étaient appelés « Grands Pingouins ». Un explorateur français rapporta qu'il y en avait tellement sur une île que chacun des navires de France aurait pu en emporter autant que possible, sans que cela fasse de différence. Mais cette « ressource » fut « développée » et le dernier des Grands Pingouins fut tué — pardon, « développé » — au 19e siècle.
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La « Mafia du Cèdre » à l’œuvre dans le Moyen-Atlas au Maroc
200 espèces par jour
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200 espèces se sont éteintes rien qu'aujourd'hui. Et 200 s'éteindront demain. Et le jour suivant. Et le jour d'après. Tous les indicateurs biologiques indiquent la mauvaise direction. Et nous savons tous pourquoi. Ces problèmes ne sont pas intellectuellement exigeants.
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Le « développement », c'est le vol et le meurtre. Le « développement » c'est le colonialisme que l'on applique au monde naturel. Le « développement » c'est la kleptocratie — un mode de vie basé sur le vol.
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Voici un autre test de notre intelligence : nommez une communauté naturelle — ou un écosystème, si vous préférez le langage mécanique — ayant été « gérée » pour de l'extraction, ou ayant été « développée » — ce qui signifie industrialisée — et n'ayant pas été considérablement endommagée, par rapport à sa forme propre.
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Vous n'y parvenez pas, parce que gérer dans le but d'extraire est dommageable, comme nous le comprendrions tous, si, comme expliqué dans l'exemple ci-dessus, cela nous arrivait à nous. Si une armée d'occupation pénétrait dans notre maison et prenait notre nourriture et quelques-uns de nos proches, nous comprendrions tous la souffrance de notre famille. Pourquoi, donc, avec la planète entière en jeu, devenons-nous si stupides vis-à-vis du « développement durable » ? Pourquoi avons-nous tant de difficultés à comprendre que si l'on vole, ou endommage, une communauté naturelle, cette communauté naturelle souffrira ?
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Asservir la planète
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Upton Sinclair a écrit :
« Il est difficile de faire comprendre une chose à quelqu'un quand son salaire dépend du fait qu'il ne la comprenne pas ». Je préciserai même : « Il est difficile de faire comprendre une chose à quelqu'un quand ses prérogatives dépendent du fait qu'il ne la comprenne pas ».
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Dans les années 1830, un philosophe pro-esclavagiste affirmait que l'esclavage était nécessaire parce que sans lui les propriétaires d'esclaves ne pourraient bénéficier du « confort et du chic » auxquels ils s'étaient habitués. La même chose est vraie ici. Il nous suffit d'étendre notre compréhension de l'esclavage au monde naturel, étant donné que cette culture tente d'asservir — pardon, « de développer », oups, de « développer durablement » — un pan toujours plus important de cette planète vivante. En résumé, nous permettons la destruction du monde afin de pouvoir manger des glaces 24 heures sur 24. Et nous appelons ça développement durable pour atténuer notre culpabilité, voire nous sentir vertueux.
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La bonne nouvelle, c'est que beaucoup de gens comprennent toute cette merde. La mauvaise, c'est qu'en gros, ça n'affecte pas la politique.
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Une histoire pourrait nous aider à y voir plus clair.
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Avant le grand sommet de la Terre à Rio en 1992 (qui fut un succès, n'est-ce pas ? Les choses vont beaucoup mieux aujourd'hui, pas vrai ?), l'ambassadeur US aux Nations Unies envoya des assistants hautement qualifiés à travers le pays, officiellement pour déterminer quelle devrait être la position des USA lors du sommet. L'un des meetings eut lieu à Spokane, à Washington, où je vivais à l'époque. Le hall était plein à craquer, et la queue de ceux qui voulaient s'exprimer serpentait jusqu'à l'arrière du bâtiment. L'une après l'autre, chaque personne insista sur le fait que le « développement durable » était une arnaque, que ce n'était qu'une excuse pour continuer à détruire la planète.
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Elles firent remarquer que le problème n'était pas l'humanité, mais cette culture, et supplièrent le représentant des USA d'écouter et de suivre les initiatives des peuples indigènes du monde qui vécurent correctement et de manière vraiment durable sur leurs terres, sans « développement ». (D'ailleurs, ils vécurent correctement et durablement parce qu'ils ne se sont jamais industrialisés). Elles firent également remarquer que le « développement » expulsait inéluctablement à la fois les peuples indigènes et les petits agriculteurs de leurs terres. L'une après l'autre, chaque personne souligna précisément ce dont je parle dans cet article.
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Après que nous avions fini de témoigner, le représentant nous remercia de notre soutien envers la position US et de notre soutien au « développement durable ». Comme s'il n'avait rien écouté de ce que nous venions de lui dire.
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Soutenir un mode de vie d'exploitation
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Voici le problème : le mot « soutenable » (durable) a depuis été détourné afin de ne pas signifier « aider le monde réel à se maintenir », en jouant votre propre rôle et en participant à la vie d'une communauté plus large incluant vos voisins non-humains, mais signifie « soutenir [« rendre durable », mais ça n'aurait pas le même sens, comme vous le comprenez certainement, c'est pourquoi en français, nous nous faisons doublement avoir par la mauvaise traduction de cette expression insensée : nous devrions utiliser la traduction fidèle des termes décidés par l'ONU, à savoir le « développement soutenable », NdT] ce mode de vie d'exploitation ».
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Pensez-y : qu'ont en commun toutes ces soi-disant solutions au dérèglement climatique ? C'est simple : elles prennent toutes le capitalisme industriel (et le colonialisme sur lequel il s'appuie) comme une donnée établie, fixe, et le monde naturel comme la variable censée s'ajuster, se conformer, au capitalisme industriel. C'est dément, en termes de déconnexion, de perte de contact avec la réalité physique.
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Le monde réel doit primer sur le système d'organisation sociale — peu importe lequel — dont vous parlez, qui doit être secondaire, car dépendant, parce que sans monde réel, vous ne pouvez avoir aucun système d'organisation sociale. « Le développement durable » est une arnaque et une prétention à la vertu parce qu'il tente de soutenir cette culture destructrice, d'exploitation, et pas le monde réel dont elle dépend.
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Et cela ne fonctionnera jamais.
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Tant de personnes indigènes m'ont dit que la première et plus importante des choses à faire, c'est décoloniser nos cœurs et nos esprits. Elles m'ont expliqué, entre autres, que nous devrions cesser de nous identifier à cette culture, et à la place, que nous devrions associer notre identification au monde réel, au monde physique, à la Terre vivante, notre seule maison.
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Je voudrais raconter une dernière histoire. Dans son livre, Les médecins nazis, Robert Jay Lifton se demande comment des hommes ayant prêté le serment d'Hippocrate ont pu travailler dans des camps de la mort nazis. Il fait remarquer que beaucoup de médecins se sont intensément souciés de la santé des détenus et ont fait tout leur possible pour les protéger. Ils leur donnaient des portions de pommes de terre supplémentaires. Ils les cachaient des agents de sélection qui allaient les tuer. Ils les envoyaient à l'infirmerie, et les laissaient s'y reposer une journée. Ils faisaient tout ce qu'ils pouvaient, à l'exception de la chose la plus importante. Ils ne remettaient pas en question l'existence même des camps. Ils ne remettaient pas en question le travail à mort des détenus, leur privation mortelle de nourriture, leur empoisonnement. Et cette absence de remise en question de la situation à un niveau plus large, plus élevé, a poussé ces médecins à participer activement à ces atrocités.
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Avec la planète entière en jeu, accoler le mot durable (soutenable) devant l'insidieux mot développement n'est pas suffisant, sachant que ce que nous entendons par là, c'est « la continuation de ce mode de vie d'exploitation destructeur pour un peu plus longtemps« . Il s'agit d'une falsification du mot « soutenable » (et « durable ») et du mot « développement », et, bien sûr, cela alimente la destruction en cours de notre planète. Cela gaspille un temps dont nous ne disposons pas.
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Avec la planète entière en jeu, nous devons non seulement faire ce que nous pouvons pour protéger les victimes de cette culture, mais nous devons également remettre en question le maintien de cette culture des camps de la mort, qui fait travailler mortellement la planète, qui affame mortellement la planète, et qui empoisonne mortellement la planète.
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43 commentaires:


  1. Il eut été insoutenable que les esclaves blancs qui étaient majoritaire en Martinique soient durables afin même d'être évoqué dans les livres d'histoires. Pourtant, en 'ces temps là', l'esclavagisme existait en France (Monarchie) et fut donc exportée vers les colonies, mais, comme l'on ne doit de décrire les rois et seigneurs et toutes la basse clique des ducs, contes et vicomtes, marquis, etc comme étant des dictateurs sanguinaires mais comme des 'bons rois de France' !!! les manuels d'histoire se bornèrent à décrire seulement les 'esclaves noirs' (donc: venus d'Afrique) afin de ne pas froisser la dictature au pouvoir.

    C'est pourquoi le 'développement' s'est fait UNIQUEMENT par la planche-à-billets où seule la race dite blanche était arrosée.

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  2. L'injustice sociale engendre le terrorisme et la radicalisation

    07.12.2015
    Par Ben Tanosborn

    Quand il s'agit de la criminalité en général - et criminalité homicide en particulier - l'Amérique semble avoir l'intention de prouver au monde qu'elle est une nation à part. Et si la sous-spécialité de la criminalité est l'une des fusillades de masse, tels que l'événement qui s'est passé récemment à San Bernardino (Californie), nous ignorerons délibérément un sujet que nous préférons garder feutré ; une rubrique qui fait ressortir le fait peu glorieux que le taux de fusillades de masse aux États-Unis est six fois que dans le reste de la planète basée sur la population. Pas de double, pas triple, mais six fois plus élevé !

    Et cela rend notre société américaine unique, unique sur trois chefs d'accusation : taux très élevés lui-même ; dans notre entêtement continuel, faute de le reconnaître comme un problème sociétal ; et dans notre refus de discuter avec une mentalité axée sur la solution.

    Chaque fois qu'il existe une masse événement de tir, nous cherchons rapidement et trouver, une étiquette appropriée pour lui : qu'il s'agisse de terrorisme intérieur (souvent associé à des milices ultra-droite) ; ou le terrorisme d'inspiration étrangère (actuellement du Moyen-Orient origine) ; ou tout simplement odieux actes perpétré par des individus mentalement dérangés - ou en très petits groupes cohésifs. La communité toujours présente à la suite de ces événements est une recrudescence de strident rhétorique politique par les partisans et les adversaires de la disponibilité des armes à feu... le besoin, ou non, pour un plus grand contrôle des armes à feu continue relecture comme nos éternelles « débat des armes à feu ».

    L'amour des Américains d'armes à feu, bien que principalement du ressort de passionné Caucasiens mâle blanc, est littéralement (et saintement) considéré comme un droit habilité dans le deuxième amendement de la Constitution... bêtement interprété par une Cour suprême manque de vision pour voir l'inapplicabilité du soutien des milices prévu au-delà du XIXe siècle ; une aberration juridique qui invite à une relecture moderne du Far West sans foi ni loi.

    Comme il arrive souvent, nous semblons être emporter par nos expériences et nos préjugés, donnant le statut de variables intermédiaires de la causalité, même par les spécialistes des sciences sociales parmi nous Qu'on s'attendrait à mieux connaître. Et donc, à la moitié du pays semble blâmer les fusillades de massives sur l'absence de législation sur le contrôle des armes à feu, tandis que l'autre moitié, la National Rifle Association (NRA), dirigée par le deuxième plus puissant groupe de pression dans la terre, préfère pointer du doigt notre incapacité en tant que société pour identifier et contrôler un déjà grand et ça grimpe, population mentalement instable ; proclamant la validité de leur affirmation que « les armes ne tuent les gens, on tue les gens ».

    Mais, serait-ce que les deux côtés de la controverse sont seulement partiellement correctes, que la variable causale doit être recherchée à une plus grande profondeur, le niveau fondamental des droits humains fondamentaux et la justice sociale ? Que ni plus, ni mieux, lois de pistolet, ni une amélioration de la santé mentale de dépistage et de traitement vont empêcher, seulement légèrement diminuer, le nombre horrible des fusillades de masse suicidaire ?

    (suite en dessous:)

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  3. Dans le passé nous avons fait une règle non écrite, inspirée peut-être notre politique bipartite, que les questions relatives aux fusillades de masse ne sera ne pas discuté pendant une période de temps... sort d'une période de « rafraîchir » ; et qui s'est avéré seulement une pause bienvenue pour les politiciens de carrière paresseux et une absurde perte importante de temps et de criticité émotionnelle faire bouger les choses. Peut-être s'attaquer à toutes les questions à la suite de la fusillade massive pourrait avoir effacé de notre vision et nous a permis de reconnaître que la part du lion du problème peut reposer dans Comment la société, chacun d'entre nous, réagissez aux cris d'injustice sociale perçue, si l'injustice est par erreur ou réel perçue comme réel.

    Dans son discours à la nation hier soir (12/6), Barack Obama, que l'on pourrait attendre d'un homme politique concerné à apaiser une nation redoutable de la portée du « terrorisme djihadiste, » livré le type de ralliement des discours que l'on pourrait s'attendre de tout politicien américain dans ses chaussures... une collection crédible des placebos patriotiques mélangé avec des demi-vérités ; car, malheureusement, américains ne sont pas préparés et seraient avérerait sceptiques, si dit que la version non sucrée de la vérité.

    Radicalisation a été ajoutée au terrorisme est un terme-du-jour, une autre perle à ajouter à notre Rosaire croissante des craintes. Et indépendamment de sa signification et son application, il va être approuvé par l'ensemble de la population sur un groupe spécifique de personnes qui pourraient regarder, robe, prier ou se comporter d'une manière qui éveille des soupçons et intensifie les craintes. Efforts de Obama dans son discours à inclure les musulmans-américains dans la lutte de la nation contre ISIS/ISOL n'auront pas beaucoup de poids dans une nation où 29 pour cent de sa population (43 % parmi les républicains) crois que Barack Obama est un musulman.

    Suicidaires fusillades de massives aux États-Unis, en particulier ceux du terrorisme d'inspiration étrangère et de la vengeance, sont susceptibles d'augmenter à court terme avec peu ou rien de la sécurité intérieure peut faire pour les empêcher. Nous pouvons être sûrs que la physionomie du débat pistolet aura bientôt un nouveau look, et qu'il y aura des millions de personnes dans une grande partie du Moyen-Orient qui va prétendre que, finalement, américains vont recevoir leurs justes déserts.

    http://www.pravdareport.com/opinion/columnists/07-12-2015/132791-social_injustice_terrorism-0/

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    1. La sempiternelle remise en cause du 2è Amendement est de vouloir supprimer les armes aux citoyens honnêtes et libres défenseurs de sa personne, famille et propriété afin que seuls les bandits puissent avoir le droit de tuer ! Car, figurez vous que dans un aussi grand pays que les Etats-Unis (17 fois la France), il y a des farmers qui ont parfois des propriétés de 300 km de long et se font régulièrement voler du bétail voire des récoltes complètes. Ainsi, comme l'on ne peut demander aux 'forces de l'ordre' de surveiller nuit & jour de telles propriétés, il est bien nécessaire que le paysan se défende lui-même. Aujourd'hui, grâce aux drones, la surveillance est facilité (surtout si le drone est armé).

      C'est un pays qui est régulièrement envahi par des 'mexicains' (qui ne viennent pas toujours du dit Mexique) et qui franchissant la frontière Sud n'ont d'autres distractions que de voler voire de tuer pour s'approprier çà ou çà !

      C'est pourquoi le droit aux armes est défendu et, par le nombre de morts il ne faut pas entendre 'tous innocents' mais plutôt : tous coupables ! Car, si l'americain a une arme pour se défendre, l'étranger qui en achète une va s'en servir uniquement pour agresser car lui, il n'a rien à protéger !

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  4. Choquant de nouvelles recherches sur les maladies d'origine alimentaire

    06.12.2015
    Pour la première fois dans l'histoire de l' Organisation mondiale de la santé a produit des estimations sur comment étendus sont les effets de l'intoxication alimentaire. À savoir, une personne sur dix sont touchée chaque année et place à 500 000 personnes meurent de cela - un tiers de ces enfants.

    L'Organisation mondiale de la santé a terminé le plus de rapport détaillé sur les maladies d'origine alimentaire dans l'histoire: "Les estimations de la charge mondiale des maladies d'origine alimentaire". Ce rapport a révélé les statistiques choquantes que dix pour cent de personnes chaque année tombe malades atteints de maladies d'origine alimentaire, 420 000 personnes meurent de ceux-ci et parmi ceux-ci sont 125 000 enfants.

    Les régions les plus touchées sont l'Afrique et l'Asie du sud-est, et selon le rapport, les principales causes de maladies d'origine alimentaire sont 31 agents, parmi les bactéries, les virus, lesparasites et les toxines. Et aussi, de produits chimiques. Alors si un paquet de cigarettes a un avertissement de santé, pourquoi ne pas les emballages d'aliments ?

    600,000,000 personnes tombent malades chaque année de maladies d'origine alimentaire, cela traduit en environ un dixième de la population du monde, soit une personne sur dix. Plus de 550,000,000 personnes tombent malades de maladies diarrhéiques chaque année, faisant 230 000 morts. Parmi ceux-ci, les enfants représentent pour les 220,000,000 patients et 96 000 décès chaque année.

    Selon le rapport de l'OMS, les principales causes de maladies diarrhéiques sont manger viande crue ou peu cuite, oeufs, produits laitiers ou des produits frais contaminés par des norovirus, Campylobacter, Salmonella, la fièvre typhoïde, hépatite A, Taenia solium, aflatoxine, choléra d'origine alimentaire et e. coli.

    Campylobacter, un pathogène répandu dans les pays à revenu élevé

    Le rapport identifie le Campylobacter comme un pathogène dans hauts revenus pays et la fièvre typhoïde, e. coli et le choléra comme étant les plus répandus dans les pays à faible revenu. Les pays les plus à risque sont celles sur les supports intermédiaires et à faible revenu et les vecteurs impliqués sont l'insalubrité de l'eau, des conditions d'hygiène déficientes, mauvais stockage et pratiques de production, déficient d'alphabétisation et des niveaux d'instruction et une absence ou manque de législation appropriée.

    Le rapport identifie les aliments empoisonnement comme à court terme (vomissements et diarrhée) et à long terme (cancer, insuffisance rénale, insuffisance hépatique, cérébrale et troubles neuraux). De toute évidence, enfants, personnes âgées et celles dont le système immunitaire supprimé sont plus à risque, et les enfants qui ont été contaminés par des maladies d'origine alimentaire peuvent subir une altération du développement et des répercussions à long terme sur leur vie.

    Tout d'abord, nous devons savoir ce qui est dans les aliments que nous achetons. S'il y apotentiellement ou réellement dangereux éléments, alors qu'une petite dose pourrait ne pas être dangereuse, une exposition prolongée peut être, auquel cas nous avons besoin d'une mise en garde de santé comme on le voit sur les paquets de cigarettes. Si les produits génétiquement modifiés sont présents dans la nourriture, nous devons également savoir parce que la science n'a pas encore produit aucune preuve concluante quant à l'innocuité de la consommation de ces éléments.

    Timothy Bancroft-Hinchey
    Pravda.Ru

    http://www.pravdareport.com/health/06-12-2015/132787-foodborne_diseases-0/

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  5. Pourquoi Marine Le Pen sera présidente de la République française en 2017

    par Mylène Vandecasteele
    08 déc. 2015

    Ses auteurs se sont livrés à un calcul intéressant, en reprenant les résultats du Front National aux élections régionales et présidentielles au cours des 30 dernières années. Ils constatent qu’à l'exception des élections présidentielles de 2007, au cours desquelles l’ex-président du parti, Jean-Marie Le Pen, avait enregistré une performance lamentable, le Front national a toujours réalisé de meilleures performances aux élections présidentielles qu’aux élections régionales, et que la “surperformance” moyenne atteint 18,83%.

    Ils concluent:
    Donc, sans même prendre en compte les vents ultra favorables qui portent le FN New Style, si on ajoute au score du FN d'hier (27,73%) sa surperformance moyenne observée lors de la présidentielle (+18,83%*)... on obtient Marine Le Pen à 32,95% au soir du premier tour en 2017. CQFD. (27,73 x 1,1883)."

    Or, ils observent que sous la Vème République, tous les candidats à la présidence française qui ont obtenu un score supérieur à 32% au premier tour des élections, ont remporté le second tour...

    http://www.express.be/joker/fr/platdujour/pourquoi-marine-le-pen-sera-presidente-de-la-republique-franaise-en-2017/217424.htm

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  6. Régime de l'euro fonctionne comme un charme pour la Marine Le Pen de France
    Marine Le Pen a balayé 55 % du vote ouvrier, voler la base socialiste sous leur nez avec les politiques de gauche radicales


    Par Ambrose Evans-Pritchard
    8:30 PM GMT 7 décembre 2015


    La France est pris au piège dans un marasme économique qui fait penser à l'envoûtante de l'entre deux guerres de 1929 à 1936 sous l'étalon-or. Chaque rebond provisoire s'avère une fausse aube.

    Le taux de chômage a continué de grimper depuis la crise de Lehman, en net contraste avec l'Allemagne, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis. Il a bondi de 42 000 en octobre à un sommet de 18 ans de 10.6 %.

    Le fusible retardé politique a enfin explosé. Front National de Marine Le Pen ces jours-ci est un mélange de la droite nationaliste et bien-être-gauche a balayé la moitié des communes de France au premier tour des élections régionales au cours du week-end.

    Le Front a remporté 55 % d'électeurs classés comme travailleurs (ouvriers). Le parti socialiste a été ramené à 15 % de ce qui était autrefois sa circonscription de base et peut faire n'est plus toute réclamation plausible pour être la voix de la classe ouvrière Français.

    "Rien n'a été fait sur chômage malgré toutes les promesses. Personne n'est à l'écoute de la détresse," a déclaré le professeur Brigitte Granville, de Queen Mary University of London.

    Mme Le Pen a comblé le vide. Elle a abandonné les opinions libérales de son père, fondateur du parti Jean-Marie Le Pen, qui une fois embrassé « Reaganomics » et s'est engagé à réduire l'État.

    Elle mange dans la base socialiste de gauche à droite, en promettant de défendre le modèle Français de protection sociale contre les « neo-libéraux » et de vaincre la « dictature des marchés ». Elle appelle la mondialisation de la « Loi de la jungle » qui permet aux multinationales de jouer hors main-d'oeuvre bon marché en Chine contre le travail des Français

    Ses projets comprennent une stratégie industrielle nationale qui swats côté droit de la concurrence, mais aussi une réduction de l'âge de la retraite à 60 ans et un "réalignement de la fiscalité contre le capital et en faveur des travailleurs".

    Pierre Gattaz, Président de la Fédération d'employeurs MEDEF, elle appelle un programme radical volé du gauche qui détruirait la France. Encore il fait clairement une infusion enivrante des électeurs lorsqu'il est mélangé avec la politique nationaliste identitaire.

    Mme Le Pen une fois dit The Telegraph que son premier acte dans le Palais de l'Elysée serait de commander le Trésor à élaborer des plans pour une restauration du franc Français. "L'euro cesse d'exister au moment où la France quitte. Que vont-ils faire à ce sujet, envoyez en citernes ?", a-t-elle dit.

    (suite en dessous:)

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  7. Professeur Jacques Sapir, de l'École des hautes études (EHESS) à Paris, affirme que le Front National fait ses plus grands progrès dans les régions qui ont subi de plein fouet la désindustrialisation et le "choc de la mondialisation".

    Plusieurs de ces domaines sont dans le centre du pays, ou en Bourgogne et Lorraine ou parties de la Normandie et la Picardie, qui ne sont pas les principaux champs de bataille de l'immigration et les guerres culturelles de la France.

    Prof Sapir dit industrie française s'est lentement creusé. C'est un effet de goutte-goutte de fermetures - typiquement qui frappent 150 ou 200 travailleurs à un moment qui se glisse sous l'écran radar de la presse nationale. « Ce sont les régions de la misère rurale », dit-il.

    Prof Granville a dit il y a sans doute des que problèmes de la France sont cultivés. Il est empêtré dans un fourré de lois inapplicables. Il y a 383 taxes, dont 50 coûtent plus cher à faire valoir qu'elles ne cèdent. Le code du travail est plus de 3 000 pages, agissant comme un vent de face de violents contre la création d'emplois.

    L'union monétaire a encore joué son rôle, trop. Politiques de jumeau de la zone euro de contraction budgétaire et monétaire de 2011 à 2014 abandonnée la récupération et a conduit à une profonde récession qui a duré assez pour causer des dommages économiques par le travail « hystérésis » durables.

    Prof Granville a dit qu'il y a une autre tournure. La France et l'Allemagne s'installent dans des directions radicalement différentes après le lancement de l'euro. Alors que Paris a présenté la semaine de travail de 35 heures, Berlin a poussé par le biais de la compression des salaires Hartz IV et une dévaluation interne au sein de l'UEM - une stratégie de mendiant-thy-voisin.

    Le résultat est que la France a perdu 20 % en compétitivité de coûts de la main-d'oeuvre. Il avait un excédent du compte courant de 2.5 % du PIB au début de la dernière décennie. Il est maintenant un saignement richesse nationale lentement - comme c'est la Grande-Bretagne, pour des raisons différentes - avec un déficit corrigé des variations conjoncturelles de 1.5 %.

    Elle a comparé à la lente torture que France endurée dans les années 1930 sous l'étalon-or, accepter stoïquement les « décrets de 500 déflation » du premier ministre Pierre Laval. Le barrage s'est brisé en 1936 avec l'élection d'outsiders éconduits, puis le Front Populaire.

    La France ne peut pas facilement poursuivre une dévaluation interne de son propre dans l'actuel climat inflation zéro car cela engendrerait le ratio de la dette – déjà 97.3 % du PIB - spirale supérieure. Dans tous les cas, il perpétuerait l'affaissement.

    Même dans les conditions actuelles de bénignes de pétrole bon marché et de l'argent facile, la Banque de France dit croissance sera juste 1.2 % cette année et 1.4 % l'année prochaine, et le cycle global vieillit. « Il est très difficile de voir comment le pays peuvent restaurer la compétitivité au sein de la camisole de force de l'euro », dit-elle.

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  8. Simon Tilford, du Centre for European Reform, a déclaré que le Président Francois Hollande est presque certain d'abandonner les objectifs budgétaires de l'UE après le choc du week-end. « Il ne va pas avec n'importe quel resserrement budgétaire avant les élections, » dit-il.

    "Les allemands ne vont pas faire pression pour qu'il soit. Ils sont terrifiés de faire tout ce qui pourrait encore renforcer Le Pen. "Ils savent qu'elle représente une menace existentielle pour l'axe franco-allemand, dit-il.

    Léviathan de France Etat a explosé à 57 % du PIB, un nordique niveau sans la flexibilité du travail nordique et libre des marchés. Ce secteur public pléthorique a agi comme force de stabilisation au cours de la crise de Lehman mais maintenant retient récupération.

    Peu est fait pour les pathologies sous-jacentes. L'OCDE indique un quart des Français âgés de 60-64 ans sont au travail – comparativement à 40 % pour la moyenne de l'OCDE – principalement en raison d'incitations de la retraite anticipée. Ils peuvent s'attendre à vivre pendant 25 ans après sa retraite, contre 20 au Royaume-Uni. Pensions publiques engloutir 14 % du PIB.

    Professeur Charles Wyplosz, de l'Université de Genève, a déclaré que France n'est pas encore prête à affronter la vérité. « Hollande est un socialiste vintage des années 1970, et l'élection de 2012 a été un exercice de rêverie, » dit-il.

    "Il a jamais dit électeurs il y avait une crise sur le chemin et n'a maintenant aucun mandat pour faire face à cette crise. Il est en train de faire une petite réforme du marché du travail, [mais] c'est une infime partie de ce qui est nécessaire.

    "Tout le monde sait ce qui doit être fait. Il y a eu des centaines de rapports écrits. Mais aucun politicien n'a l'estomac de faire quoi que ce soit. L'establishment politique n'a tout simplement pas à la hauteur."

    http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/12038100/Euro-regime-is-working-like-a-charm-for-Frances-Marine-Le-Pen.html

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    1. Pourquoi un électeur sur deux ne s'est pas dérangé ?

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/la-ruine-des-elections.html

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  9. Desmond orage : Met Office met en garde contre plus de pluie et de vent – mise à jourLigne principale côte occidentale de rouvrir avec des limitations de vitesse

    Milliers de foyers encore sans électricité

    16 mises en garde de graves inondations en place pour le nord-ouest de l'Angleterre

    Lire le dernier Résumé

    En direct Mise à jour Métrage de drone sur Carlisle, qui montre les dégâts laissés par la tempête Desmond

    Contribuer avec Témoin de la gardienne Matthew Weaver et Mark Tran

    le mardi 8 décembre 2015 09.45 EST
    14:26 GMT09:26

    La West Coast main line, au nord de Carlisle est claire pour les services à reprendre, selon une vidéo de Network Rail.

    Mais vérifier la voyage est toujours des problèmes avec Virgin trains entre Carlisle et Glasgow et une série de trains annulés.

    National Rail dit trains sont maintenant en mesure d'exécuter entre Carlisle et l'Ecosse. Mais il avertit: « pour les trains d'exécuter en toute sécurité, limitations de vitesse sont en place à travers la région. Les trains seront retardées par jusqu'à 75 minutes, cela devrait se poursuivre à 17:00."

    Mis à jour à 2 h 32 CEST
    14:16 GMT09:16

    Le nombre de personnes laissées sans abri par les inondations à Kendal est passé à 1 397, écrit Mike Glover.

    Mardi le lieu plus fréquenté sur la grand-rue était le centre d'aide se soucie de Kendal, mis en place dans l'ancien bureau d'Information touristique à l'hôtel de ville.

    Une grande partie de l'activité a été un flux régulier de bénévoles apportant de la nourriture, de vêtements, de literie, de jouets pour les familles qui ont été chassés de leurs foyers. Leur générosité a été supérieure à la demande de ceux qui ont besoin d'aide.

    Mais les familles désespérées ont été pleurant goutte à goutte à travers d'obtenir l'avis du Conseil, fournisseurs d'électricité et des représentants d'assurance et de la charité, qui tenaient les pupitres.

    Chez les personnes sans assurance était Carol Nicholson, une mère de deux avec un rez-de-chaussée appartement dans la bien nommée immobilier Waterside. La rivière Kent, qui a éclaté ses rives pour la première fois depuis les défenses contre les inondations ont été mis dans les années 1980, était cuissardes en eau sale chez elle.

    Maintenant, l'eau a reculé elle peut voir tous ses meubles est ruiné, ses électrique est inutilisable et la boue et des eaux usées limon sa propriété. « Ça pue absolument, » dit-elle.

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  10. Comme la plupart des victimes de l'inondation, elle s'appuie sur la famille immédiate refuge, se réfugiant dans la maison de sa fille, même si qui a été également inondée. Mais Deborah Nicholson, une mère de trois, savait qu'elle était également en difficulté à 16:00 samedi après-midi dans sa maison de trois chambres à coucher, également à bord de l'eau, quand l'eau a commencé à bouillonner à travers le plancher. Les trois générations a passé le week-end tremblants sous les combles.
    Maintenant il y a des flaques d'eau seules, avec tapis, canapés et sa télévision jeté dans le vert communal. Tas de meubles trouvent des maisons à l'extérieur près de la rivière.

    Beaucoup de gens à l'aide du centre de réfugiés disent qu'ils ne sont pas assurés.

    "Nous avons pensé tout simplement jamais que la rivière serait sortis de son lit. Ça près en 2009, mais nous n'avons jamais eu quelque chose comme cela, a déclaré Deborah.

    Evita Zamberga et sa fille Anete, trois, dans la salle du Conseil, maintenant un magasin de vêtements et literie. Photo : Mike Glover Le même est vrai de Evita Zamberga, de partout au fleuve dans Aynam Road. Le , mère de trois plat sous-sol a été inondé, avec tous les meubles en ruine. L'eau était la tête haute à son paroxysme.

    « Nous allions à l'église le dimanche matin, quand l'eau est venu à travers le plancher. J'ai eu ma soeur à venir pour les enfants, saisie de documents essentiels et un paquet de vêtements, puis rejoint, » dit-elle.

    Sa sœur Sarmite vit sur les hauteurs à Kendal et a servi de refuge pour la famille depuis.

    Evita a été à la mairie pour obtenir des conseils sur le relogement. Ils avaient essayé le secteur privé, mais le logement est à une prime dans la riche ville au bord du Lake District.

    Retour au centre refuge qu'arrivait plus de nourriture, une grande partie de lui donnés par les magasins locaux et des supermarchés, allant des bouteilles d'eau pour la nourriture pour chiens.

    Maire Chris Hogg avec Rachel de banque alimentaire du roi dans la salle de Bindloss à hôtel de ville de Kendal. Photo : Mike Glover
    Maire de Kendal, Chris Hogg, a été en charge de la procédure depuis quatre jours, après avoir lutté pour rentre d'une fonction officielle samedi soir. « J'ai fini sur mes fesses après avoir glissé sur le sol détrempé près de Kendal Castle, » dit-il.

    "La réponse des gens dans la ville a été incroyable. Nous sommes extrêmement reconnaissants pour tous les bénévoles et les marchandises qui ont été donnés. »

    Également le devoir était le Président du Conseil du quartier South Lakeland, Peter Thornton. "Nous avons eu une fausse alerte il y a trois semaines alors nous avons eu en effet un essai à vide," dit-il. "La réponse initiale était juste sauver des vies et assurer la sécurité des personnes. Nous sommes maintenant en mode récupération.

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  11. "Nous sommes des ennuis avec tous les objets ménagers mis au rebut, avec des gens préoccupés par les réclamations d'assurance, ou vouloir leur laisser de côté à sécher.

    "Mais le gros problème est le logement. Heureusement, beaucoup de gens ont un vaste réseau familial, donc beaucoup de victimes sont canapé-surf. L'argent peut résoudre quoi que ce soit, mais nous devons au gouvernement de nous donner la clarté sur combien d'argent nous pouvons passer et quand. »

    Hôtels et parcs de caravanes pourraient vous demander de l'aide pendant une accalmie de l'hiver pour le tourisme. "Mais il y a un réel danger que les besoins de Kendal seront oubliés," Thornton a ajouté.

    http://www.theguardian.com/environment/live/2015/dec/08/storm-desmond-west-coast-main-line-to-reopen-after-floods-live-updates

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    1. Pourquoi ce qui est arrivé l'an passé se reproduit aujourd'hui ? Parce que RIEN n'a été fait ! Il ne pleut pas plus qu'avant et ça déborde ! Ca inonde parce que la Tamise n'a PAS été dragué ! Donc: les alluvions s'amoncèlent de plus en plus et, d'une inondation par an l'Angleterre va passer à 2 puis 3 etc !

      Attention ! Les 'zones inondées' ne sont plus dommageables même s'il y a continuité des paiements d'assurance !!

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  12. Si tout se passe comme prévu, chaque Finlandais recevra bientôt 800 euros par mois


    par Audrey Duperron
    07 déc. 2015

    Le gouvernement finlandais étudie actuellement les conditions de l’introduction d’un revenu national minimum de 800 euros, éventuellement à partir du mois de novembre 2016.

    Le Premier ministre de centre droit Juha Sipilä, qui a pris les commandes du pays en juin, soutient ce projet qui figurait dans sa déclaration de politique générale, lors de sa prise de pouvoir. Si tout se passe comme prévu, à partir de cette date, l’Etat supprimerait tous les programmes d’aides sociaux, et verserait 800 euros aux 4,9 millions d’adultes que compte le pays.

    Un sondage commandé par la Kela, la sécurité sociale finlandaise, a montré que 69% de la population soutiennent cette initiative.

    De façon paradoxale, la mesure vise à réduire le chômage qui atteint 9,53%, son plus haut niveau en 15 ans. Un revenu de base permettrait en effet aux chômeurs d’accepter des emplois peu payés. Actuellement, un chômeur qui accepte un emploi à temps partiel perd une partie de ses bénéfices, ce qui signifie qu’il peut éventuellement se retrouver avec un revenu global inférieur à celui qu’il percevait au chômage.

    L’un des inconvénients de ce système, c’est son coût. Liisa Hyssälä, directrice générale de la KELA, affirme que ce projet permettra au pays d’économiser des millions d’euros. Mais selon les calculs de Quartz, le versement mensuel de 800 euros aux 4,9 millions d’adultes du pays coûtera quelque 46,7 milliards d’euros par an. Toutefois, le budget devrait être équilibré, puisque le gouvernement estime qu’il recevra 49,1 milliards d’euros de recettes en 2016.

    Une autre considération à prendre en compte est la notion que certains bénéficiaires qui cumulent actuellement plusieurs aides sociales pourront être perdants avec le revenu minimum de base. Les mères célibataires en particulier pourraient être lésées, par rapport aux adultes qui vivent seuls, par exemple.

    Le revenu minimum de base pose aussi la question de l’équité: est-il juste qu’une personne fortunée perçoive le même montant qu’une personne dans le besoin ? La constitution finlandaise insiste sur le principe de l’égalité, mais ce principe peut être interprété de multiples façons...

    http://www.express.be/business/fr/economy/si-tout-se-passe-comme-prevu-chaque-finlandais-recevra-bientot-800-euros-par-mois/217420.htm

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    1. (...) est-il juste qu’une personne fortunée perçoive le même montant qu’une personne dans le besoin ? (...) !!!? Hahahaha !

      Lors d'un accident de la route, est-il juste qu’une personne fortunée verse ou perçoive le même montant qu’une personne dans le besoin ? Lorsqu'un pv est sur le pare-brise, est-il juste qu’une personne fortunée verse le même montant qu’une personne dans le besoin ?

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  13. Matières premières en déroute approfondissent le signal de données sur le commerce chinois demande à faible

    Les chiffres suggèrent continue faible demande intérieure du plus grand utilisateur d'énergie du monde, le prix du pétrole, du minerai de fer et autres métaux au volant inférieur

    le mardi 8 décembre 2015 06.39 EST

    La déroute d'accélération des prix a empilé des pression sur l'énergie et de ressources partage en Asie-Pacifique au milieu de plus de signes de ralentissement de la demande de la Chine.

    Bien que les prix du pétrole repoussé mardi au prix d'y a sept ans bas, autour de la région, les marchés boursiers ont ressenti la douleur de l'incertitude quant à la croissance mondiale et la hausse probable des taux d'intérêt américains ce mois-ci.

    L'indice Nikkei au Japon a reculé de presque 1 % mardi, et les indices composites Shanghai et Hang Seng étaient en baisse de plus de 0,9 % et 1,6 % respectivement. En Australie de riches en ressources naturelles, la référence ASX/S & P200 a eu une journée de volaltile mais ours avaient la haute main de l'après-midi avec l'indice large de 0,91 % à la clôture avec les grandes pétrolières et entreprises gazières et minières portent le fardeau.

    « Au-delà de décembre, randonnée, les investisseurs sont préoccupés par l'absence de la demande chinoise, qui agit comme une meule de moulin autour du cou des actifs risqués et la plupart des investisseurs vont rester à l'écart jusqu'à ce qu'ils voient une orientation plus claire sur les taux, » a déclaré Cliff Tan, Extrême-Orient tête des marchés mondiaux à la Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ à Hong Kong.

    Données a montré mardi que les exportations chinoises ont reculé un 6,8 % de plus que prévu en novembre à l'année précédente, leur cinquième mois consécutif de déclin. Importations ont diminué de 8,7 %, ce qui n'était pas aussi bien comme prévu, mais assez pour signaler la faiblesse continue de la demande du monde sa deuxième plus grande économie.

    Les analystes n'étaient pas sûrs si le nombre signalé une amélioration possible de la demande intérieure chinoise, qui a été un facteur clé dans la conduite des prix mondiaux à des niveaux de plusieurs années.

    La grande image n'a pas vraiment changé tant que ça. Aux Etats-Unis se porte très bien, mais les problèmes avec les marchés émergents sont vraiment très grandes, a déclaré Kevin Lai, économiste en chef Asie ex-Japon chez Daiwa Capital Markets à Hong Kong.

    Les importations ont été affaissement depuis plus d'un an maintenant, donc les chiffres de l'année sur l'autre bénéficient d'une base beaucoup plus faible, ce qui statistiquement nous devrions nous attendre. « Mais je ne suis pas sûr que du nombre aujourd'hui reflète un changement réel fondamental pour le mieux dans la demande d'importations ».

    Brent brut à terme ont augmenté de 27c à 41 dollars le baril mardi matin, levée par rapport aux creux de sept ans a atteint lundi. Brut US s'échangeait à 37,77 $ le baril à 0300 GMT, jusqu'à 12c de sa dernière colonie.

    Décision de l'OPEP de maintenir la production à des niveaux quasi record dans un marché de fermeté a effrayé les investisseurs aux prises avec la baisse de la demande de la Chine, plus gros consommateur d'énergie au monde.

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  14. Le déclin dans l'huile a débordé d'autres marchandises industrielles avec le minerai de fer poursuit sa chute sous les 40 dollars par tonne barrière à 38,90 $. Cuivre stabilisé sa chute grâce aux chiffres d'importation Chine un peu mieux mais prix nickel et l'aluminium ont été plus faibles.

    Soulignant les perspectives prudentes pour la Chine, un sondage de Reuters de firmes japonaises ont montré le profond pessimisme quant aux perspectives à court terme la croissance chinoise, avec 79 % disant qu'ils ne vous attendez pas à développer des affaires là l'année prochaine.

    Nikkei du Japon avait plus tôt fait exception à la tendance ojn autres marchés, augmente de 0,3 % avant de se tourner plus bas dans la journée, après la chute de données révisées ont montré Qu'au Japon avait esquivé une récession au troisième trimestre, avec un PIB annualisés 1 %, par rapport à une lecture préliminaire d'une 0,8 %.

    L'Australie, dont les trois plus grandes exportations sont le minerai de fer, de charbon et de gaz naturel, a ressenti la douleur brusquement dans ses secteurs de ressources volumineux.

    BHP Billiton et Rio Tinto, qui, ainsi que de la société brésilienne Vale, dominent le commerce de minerai de fer en Chine, ont été vendus. BHP, qui figure également au Royaume-Uni, a chuté de plus de 5 % à un minimum de 10 ans frais de 17,05 $. Rio s'est absenté plus de 4 %.

    « La vente a vraiment tourné vers le haut et les secteurs de l'énergie et des matières sont getting slammed, » a déclaré Michael McCarthy, stratège de marché principal au trading ferme CMC Markets.

    Le renforcement du dollar américain devant une hausse probable des taux Fed fait pression sur le dollar australien, qui a baissé de 0,5 % à US72.22c.

    http://www.theguardian.com/business/2015/dec/08/commodities-rout-deepens-as-chinese-trade-data-signal-weaker-demand

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  15. Voici La vague déflationniste: Comment la Chine inonde le monde avec ses produits inutiles

    Soumis par Tyler Durden sur 08/12/2015 22:00 -0500


    Entre offres de financement matières premières à des créances et le mal-investissement guidé par le bras-capacité excédentaire planifiée, la Chine a beaucoup de «liquidation» à faire pour normaliser d'un monde de fumée et miroirs de-crédit-alimenté à un réalité douloureuse. Comme le note Bloomberg, il n'y a pas de répit dans l'assaut de produits en provenance de Chine. Alors que les exportations totales du pays sont le ralentissement en termes de dollars (comme nous l'avons noté la nuit dernière), les expéditions d'acier, de produits pétroliers et de l'aluminium atteignent des nouveaux sommets, inondant le monde avec des stocks indésirables. De-engorgement de la Chine est maintenant le reste du problème du monde que le tsunami déflationniste pousse toujours plus haut.

    Les données commerciales chinoises étaient laides avec des exportations en baisse de 5 mois consécutifs ...

    Mais, comme le note Bloomberg, les expéditions d'acier, de produits pétroliers et de l'aluminium sont pour atteindre de nouveaux sommets, selon les données du commerce de l'Administration générale des douanes.

    En effet, les moulins, les fonderies et les raffineries produisent plus qu'ils ont besoin au milieu ralentissement de la demande intérieure, et l'expédition de l'excédent à l'étranger.

    - voir graphique sur site -

    L'inondation aggrave un surplus dans le monde entier des produits de base qui a entraînés rendements des matières premières à la plus faible depuis 1999, les producteurs de l'Inde à la Pennsylvanie et les différends commerciaux aggravantes menaçant. Alors que les entreprises telles que JSW Steel Ltd de l'Inde dénoncent exportations bon marché comme injuste, la Chine dit la surcapacité est un problème mondial

    L'inondation de l'approvisionnement chinois est mouvante fabricants du monde entier et d'exacerber les frictions commerciales. Le marché de l'acier est submergé par les producteurs de métal appartenant au gouvernement et financés par l'État de la Chine, une collection d'associations de l'industrie ont dit. Les neuf groupes, dont Eurofer et l'Institut American Iron and Steel, a déclaré il ya près de 700 millions de tonnes de capacité excédentaire dans le monde entier, avec la nation asiatique contribuer autant que 425 millions de tonnes.

    Faible coût d'approvisionnement de la Chine en Europe a incité producteur ArcelorMittal de réduire ses prévisions de bénéfice et de suspendre son dividende. Le gouvernement de l'Inde a signalé qu'il a l'intention de plus de bordures sur les importations d'acier tandis que les régulateurs aux États-Unis ont l'intention de soulever prélèvements sur les livraisons de certaines entreprises chinoises.

    Et enfin, si les taux d'Yuan offshore sont à être cru, une dévaluation des métiers (nouveau) ...

    Enfin, comme le souligne Raul Ilargi Meijer de la Terre automatique, il ya un autre côté à cela, celui qui pas une âme parle, et il a Washington, Londres et Bruxelles très inquiet. Voici:

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  16. Ces grandes sociétés minières -y compris de pétrole fonctionnent le plus souvent dans les régions dans le monde qui sont à distance et situés dans des pays avec, au mieux, discutable gouvernements (les sociétés comme comme ça, il est comment ils savent à qui soudoyer pour être en mesure de viols et les pillages ).

    Les sociétés de facto constituent une grande partie du système US / UK / EU politique / militaire de contrôle de ces zones. Ils travaillent en tandem avec la CIA, le MI5, l'armée américaine et au Royaume-Uni, pour garder le domaine «amical» pour les industries et le régime de l'Ouest.

    Cela a causé la misère inimaginable à travers le monde, par exemple dans (un bon exemple), le Congo, l'une des régions les plus riches du monde quand il vient aux minéraux «nous» voulons, mais l'une des zones les plus pauvres de la planète. Pas un hasard.

    Untold millions sont mortes à la suite. 'Nous' avons fait beaucoup plus de dégâts que ce que nous y faisons actuellement en Syrie, si vous pouvez imaginer. Et bien d'autres millions sont contraints de vivre leur vie dans des circonstances misérables au-dessus des plus riches richesses du monde. Mais cela va changer maintenant.

    La chose est, avec les grands mineurs va ventre en l'air, «notre» le contrôle de ces lieux sera également disparaître. Parce que tout cela a été une question d'argent tout au long, et les Etats-Unis ne seront pas en mesure de se permettre le contrôle -politique et militaro de ces endroits, si il n'y a pas des profits à faire.

    Ils seront des gouffres pour les budgets militaires, et ceux qui seront étirés déjà «protéger» d'autres endroits. La disparition des produits de base est un signe avant-coureur d'une position américaine changer radicalement dans le monde. Washington sera forcé de se concentrer sur la protection de son propre sol, et éloignez-vous des politiques expansionnistes.

    Parce qu'il ne peut se permettre ceux sans les profits grotesques ses sociétés ont évincés des populations dans ces terres «oubliées». Cela va changer la politique mondiale beaucoup.
    Et il est pas comme si la Chine va intervenir Ils ne peuvent pas se permettre de prendre en charge une proposition perdante. l'économie chinoise est non seulement croît à un rythme plus lent, il se pourrait bien effectivement rétrécissement. Nouvelle réalité de Pékin est que les importations et exportations sont à la fois la chute considérablement (peu importe les numéros «officielle»), et le coût d'une expansion énorme dans le territoire minier mondial n'a guère de sens en ce moment.

    Avec le yuan maintenant partie de basket'm le FMI «Pékin ne peut plus imprimer à volonté. La Chine doit se concentrer sur ce qui se passe à la maison. Il faut que le US. Ils ont pas le choix. Autre que d'aller à la guerre.

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  17. Et, d'accord, étant donné que le choix, ils seront probablement tous. Mais les sociétés minières seront toujours de simples coquilles d'elles-mêmes d'ici là. Il n'y a pas profit de gauche à être faite.

    Cela ne va pas finir bien. Pas pour tout le monde. Autre que le lobby des armes. Qu'est-ce qu'il va faire est de changer la géopolitique toujours, et beaucoup.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-12-08/behold-deflationary-wave-china-flooding-world-its-unwanted-commodities

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    1. Ne parlons pas de 'merdes' venues de Chine, PERSONNE ne vous oblige a les acheter ! Mais, suivez plutôt la conjoncture... Les Matières Premières se 'cassent la gueule', sont à prix plancher, c'est presque du donné ! Or, que constatez vous ?!

      Vous constatez que: le pétrole qui fait partie des MP est à 40 ou 39 $ le baril ou plus bas depuis 7 ans et... que les prix à la pompe n'ont pas baissés !

      Alors, n'accusons pas 'la Chine' de dicter les marchés mais plutôt certains chefs d'Etats pitoyables dictateurs d'obliger les centrales d'achats de sur-gonfler leurs marges à tout-va !
      Le prix du blé est au plancher: Avez vous vu le prix du pain baisser ? Au contraire ! Les prix en supermarchés ont AUGMENTÉ !

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    2. VOIR:

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html

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  18. Lutte Reckless de l'Amérique contre le Mal: Six erreurs sur la route de la guerre perpétuelle


    Soumis par Tyler Durden sur 08/12/2015 21:30 -0500
    Rédigé par Ira Chemus via TomDispatch.com,


    Oh non! Pas une autre guerre américaine contre le mal !
    Cette fois, il est l'État islamique (IS). Après les attentats à Paris, Barack Obama, le porte-parole en chef pour les États-Unis d'Amérique, que l'équipage a appelé «le visage du mal." Shades of George W. Bush. Les «méchants» sont de retour. Et de toute montagne, il semble, en Amérique sonne maintenant avec appels à la rampe jusqu'à sa machine de guerre.

    Par ailleurs, George W., comment cette dernière guerre contre les «méchants» fonctionne pour vous ? Pas tout à fait la façon dont vous vous attendiez, non ? Je parie que vous ne l'avez pas imaginer que votre Global War on Terror serait semer les graines d'un État islamique et tourner étendues importantes de l'Irak (et la Syrie) dans le sol fertile qui est allait devenir une nouvelle marque, même ennemi plus redoutable.

    Mais cela est la façon dont les guerres contre le mal semblent toujours travailler.

    Pardonnez-moi si je me défouler exaspération face à tous les décideurs de Washington, passés et présents, entourés de leurs soi-disant experts et les experts tambour de guerre-battant dans les médias. Je sais que je ne devrais pas être plus choqué. Je l'ai vu assez souvent comme un historien étudier les guerres contre le mal dans le passé - depuis les temps bibliques, en fait - et en tant que citoyen de regarder les guerres dans ma propre vie, depuis celui qui a déchiré le Vietnam (et, accessoirement , Amérique) à part.

    Pourtant, il me rend fou de regarder décideurs et les experts faisant en même temps des erreurs idiotes après le temps, plusieurs erreurs, en fait, qui ajoutent en synergie jusqu'à une bourde autodestructrice après l'autre.

    Ce qui est pire, la tendance dominante dans l'opinion publique est si souvent sur le côté de seulement ces erreurs. Vous pensez que quelqu'un pourrait apprendre quelque chose. Et dans ce quelqu'un que je inclure «Nous, le peuple," la nation dans son ensemble.

    Pourtant, aujourd'hui, face à l'État islamique, vous l'avez deviné: nous faisons tout recommencer.

    Je vais essayer d'exposer nos erreurs répétitives, tous les six d'entre eux, un par un, en commençant par ...

    Mistake Number One: Traiter l'ennemi comme le mal absolu, pas même humaine.

    Barack Obama a appelé la tragédie Paris "une attaque contre l'humanité tout entière», ce qui signifie que, même pour le président, est combattants se tiennent en dehors de cette catégorie. Ils sont évidemment d'autres espèces et semblent simplement être humain. Et ce fut le plus doux des descriptions dans cette surchauffe saison politique qui est le nôtre. "Le visage du mal» semble bien modeste par rapport aux images vives offerts par les républicains en lice pour le remplacer. Pour Ben Carson, est sont un tas de "chiens enragés"; pour Ted Cruz, "scorpions." Donald Trump les appelle des "fous", "animaux".

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  19. Tous les points à la même conclusion dangereuse: Puisque nous sommes des êtres humains et ils ne sommes pas, nous sommes leur contraire dans tous les sens. Si elles sont mal absolu, nous devons être le contraire absolu. Il est le vieux conte apocalyptique: le peuple de Dieu contre Satan. Il assure que nous ne devons admettre à tout lien significatif avec l'ennemi. En suivant cette logique, il ne pouvait pas être plus évident que la nation nos dirigeants appellent sans cesse «exceptionnel» et «indispensable»,
    la seule nation capable de conduire le reste du monde dans la guerre contre le mal, n'a aucun rapport avec ce mal.
    Cela nous amène à ...

    Erreur numéro deux: Enterré dans l'hypothèse que l'ennemi est pas dans un sens humain comme nous l'absolution est pour quelque part, nous avons peut-être eu des étincelles ou de contribuer à la montée et la propagation de mal. Comment aurions-nous pu fécondé le sol de mal absolu ou supporter aucune responsabilité pour ses succès? Il est un postulat de base de la guerre contre le mal: le peuple de Dieu doivent être innocent.

    En conséquence, nous ne devons examiner toutes les façons dont les États-Unis, même en mode de combat, continue de contribuer aux succès de combattants état islamique dans les terres arabes sunnites, par exemple, soutenir un chiite irakienne régime à Bagdad qui a une histoire sombre d'opprimer les sunnites, une histoire qui pousse beaucoup d'entre eux de tolérer, voire soutenir activement EST.

    En refusant un rôle futur de toute sorte pour le président syrien Bachar al-Assad, nous avons entravé le processus diplomatique qui pourrait guérir la guerre civile dans ce pays. Au lieu de cela nous avons laissé le chaos syriennes continuent comme un terrain fertile pour les EST expansion (mais peut-être cette politique commence tout juste à changer). Notre alliance à long terme avec l'Arabie Saoudite est tout aussi contre-productif, la protection des réseaux de financement qui alimentent un califat en plein essor.

    Tout comme nous ne regardons pas du tout ce dans le présent, alors nous nous aveugle à ce qui aux États-Unis a fait dans le passé. Considérez ceci ...

    Erreur numéro trois: Appelez-le buvard sur l'histoire. Nous perdons la capacité de comprendre vraiment l'ennemi parce que nous ignorons l'histoire réelle de la façon dont cet ennemi est venu à être, de la façon dont un réseau de relations a grandi dans laquelle nous avons joué, et continuent de jouer, un rôle central.

    Le record historique est clair pour tous ceux qui se soucient de regarder: Les États-Unis (la CIA en particulier) a été une des clés de la création, le financement et l'armement des moudjahidines, les combattants rebelles en Afghanistan qui ont pris sur l'armée soviétique il dans les années 1980 , les hommes (souvent des islamistes extrêmes) que le président Ronald Reagan par rapport à nos pères fondateurs. De cette situation est venu al-Qaïda.

    L'invasion de George W. Bush de l'Irak fissuré la région ouverte et ouvert la voie à l'État islamique. L'administration Bush a déchiré l'Irak en lambeaux, puis démobilisé l'armée de Saddam Hussein et a envoyé à ses membres de les lignes de chômage d'un pays détruit.

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  20. Un de ces lambeaux, al-Qaïda en Irak, peuplée par des officiers mécontents de cette armée dissoute, allait plus tard se transformer dans le noyau du nouveau mouvement Etat islamique. En effet les Etats-Unis nourri la direction actuelle de ce mouvement dans les prisons militaires américaines en Irak, où nous les avons présentés à l'autre, pour ainsi dire. Le processus a été accéléré au moins, et peut-être finalement provoqué, par le biais anti-sunnite véhémente du gouvernement irakien chiite, qui aux Etats-Unis installé au pouvoir et aussi nourri.

    Pour maintenir notre image de nous-mêmes comme des innocents dans toute cette affaire, nous devons effacer cette histoire empirique et le remplacer par un mythe (pas si surprenant, étant donné que toute la guerre contre le mal est une entreprise mythique). Cela ne veut pas dire que nous refusons tous les faits. Nous venons choisissons celles qui correspondent à notre meilleur mythe.

    Dans ce conte, l'ennemi est tout simplement ce que les chrétiens pendant des siècles ont appelé le diable, qui nous amène à ...
    Mistake Number Four: Nous supposons que l'ennemi, comme Lucifer lui-même, fait le mal pour le simple plaisir de le faire. Même les parties les plus libérales des médias ne peuvent souvent pas voyez est combattants que plus de "fous" plié sur "l'abattage pour son propre bien."

    Dans de telles circonstances, quelle tâche il est insensé de toute évidence, même de penser à motifs réels de l'ennemi. Après tout, de le faire serait de les traiter comme des êtres humains, avec des fins humaines découlant de l'histoire. Il serait smack de sympathie pour le diable.

    Bien sûr, cela signifie que, tout ce que nous pourrions penser de leurs actions, nous ignorons généralement une abondance de preuves que les combattants de l'État islamique ne pouvaient pas être plus humaine ou avoir des motivations plus compréhensibles. En fait, si vous regardez assez dur, vous pouvez trouver des preuves de cela.

    L'Atlantique, par exemple, a gagné un peu d'attention pour avoir publié un article de Graeme bois qui a exploré les idées religieuses complexes du mouvement est. Dans le New York Review of Books, Scott Atran et Nafes Hamid donné un aperçu de personnes qui avaient pris le temps de parler effectivement avec des combattants est ou ex-combattants au sujet de sa stratégie et de leurs propres motivations à devenir partie. De cette manière, Atran et Hamid ont aidé à expliquer le grand mystère de l'IS (si vous croyez qu'il est une organisation inhumains): Comment peut-il attirer tant de jeunes adeptes, surtout des États-Unis et en Europe ? Pourquoi certains jeunes hommes et femmes mécontents trouver le mouvement «profondément séduisante» ?

    Olivier Roy, un éminent spécialiste de l'islam politique, a répondu que beaucoup de ces jeunes, plein de "frustration et de ressentiment contre la société," sont attirés par le fantasme de se joindre à une "petite confrérie des super-héros." Mais une récente étude le Programme de l'extrémisme à l'université George Washington, plein de détails riches sur partisans américain est, a conclu que «leurs motivations sont diverses et échappent à l'analyse facile."

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  21. Ajouter cette sorte d'évidence et vous êtes susceptible d'arriver à une surprenante et, dans notre contexte actuel, la conclusion profondément troublant. Il est non seulement qui est combattants sont nettement humaine, mais que dans certains égards, ils sont étrangement comme nous. Après tout, nous aussi, nous avons une armée qui utilise un récit idéologique à recruter des jeunes et de les préparer à être prêts à mourir pour elle. Nos militaires, aussi, est savvy en utilisant les médias sociaux et les différentes formes de publicité et de publicité à déployer son récit de manière efficace. Comme IS recrute, les jeunes se joignent à nos militaires pour toutes sortes de raisons, mais certains parce qu'ils sont déracinés, mécontents, et à la recherche d'un système de croyance, ou tout au moins une aventure passionnante (même celui qui peut les mettre en danger de perdre leur vie ). Et ne pas oublier que ces jeunes recrues, comme les combattants est souvent seulement la sketchiest compréhension de ce qu'est exactement qu'ils signent jusqu'à mourir pour ou de la nature des conflits qu'ils peuvent être impliqués.

    Notre idéologie d'Etat est, bien sûr, laïque. Mais la plupart d'entre nous sont familiers certainement personnellement (ou à un niveau plus) avec les fondamentalistes religieux américains dont les croyances partager beaucoup avec le récit est. Des deux côtés, les gens veulent revenir l'horloge de l'histoire et de vivre selon un plan censé sacré gravé dans la pierre il ya plusieurs siècles.
    Il y a, en fait, des parallèles frappants - et je le dis en tant que professeur d'études religieuses - entre l'humeur et des méthodes de nos fondamentalistes évangélique et celles de l'Etat islamique. Tous deux conviennent que l'on doit choisir entre la vérité de Dieu (dérivé d'un ancien texte) et le diable. Les deux offrent le confort psycho-sociale d'une communauté, apparemment vivant par des lois immuables. Certains de nos fondamentalistes, comme le reconstructionnistes chrétienne, serait heureux de voir cette nation régie par la loi religieuse, tant qu'il est leur religion nous parlons.

    Quoi que chacun d'entre nous pensent de nos intégristes de chez nous, nous serions guère les nier leur humanité, même si nous nous demandons souvent ce qui les conduit à telle (pour beaucoup d'entre nous) croyances étranges. Alors, voici la question: Pourquoi devrions-nous pas être tout aussi curieux de connaître les croyants de l'État islamique, même si elles sont nos ennemis ?

    Rappelez-vous, à comprendre est pas à justifier. Bien au contraire, la compréhension ouvre souvent des façons de penser de manière plus constructive et créative sur la façon de répondre à un tel défi. Il est clair que les stratèges état islamique comprendre les cultures politiques américains et européens bien en effet et, comme ils l'ont montré à maintes reprises, ils utilisent cette compréhension à leur avantage sombre. Ils savent exactement comment nous provoquer dans la rhétorique anti-musulmane et belligérants politiques, qu'ils jugent les plus utiles à leur projet et leur mouvement. Comme guerriers de judo classiques, ils emploient notre immense force remarquablement efficace contre nous.

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  22. Chacun des mots de Washington et des actes de guerre, tous les alliés comme la Grande-Bretagne qui se joint à la campagne de bombardement contre IS, ne fait que confirmer le message de l'État islamique que les musulmans sont attaqués par l'Occident. Tout cela ne joue en propre vision du monde apocalyptique de l'IS. Chaque étape du processus rend l'est plus attrayant pour les musulmans qui se sentent opprimés et marginalisés par l'Occident. Alors, pensez à chaque menace a été proférée dans la campagne présidentielle ici et chaque bombe maintenant chuté en recrutement encore plus globales affiches arriver "comme une manne tombée du ciel» pour ce mouvement. Chacune est une invitation à lancer de nouvelles attaques contre Paris-style.

    Notre aveuglement à eux comme des êtres humains, et à tous les moyens que nous les ont influencés, augmente leur pouvoir et sape notre pouvoir de façonner l'issue des événements en Irak, en Syrie, et ailleurs dans le Grand Moyen-Orient. Ironiquement, nous acceptons cette perte de puissance volontiers, même avec impatience, car elle nous permet de tenir à ce qui semble importer plus pour nous: notre vision d'une guerre contre les méchants inhumaines, ce qui nous amène à ...

    Mistake Number Five: Pour nous convaincre que l'État islamique est le mal incarné, nous imaginons que l'ennemi est aussi implacable, intraitable, et implacable comme le diable lui-même. En conséquence, nous imaginons aussi que nous ne pouvions rien faire pourrait diminuer leur volonté au mal. Depuis, comme nous le voyons, nous avons eu rien à voir avec la création de ces monstres, aucun changement dans nos politiques ou actions pourraient éventuellement influencer leur comportement. Et comme ils sont tout simplement fou - pas capable de rationalité normale - il est inutile d'essayer de parler avec eux.

    Par cette voie, nous avons finalement, inévitablement, arrivons à ..
    Mistake Number Six: La conviction que nous avons une seule option: l'anéantissement. Ou si cela se révèle impossible, malgré les forces militaires à notre disposition, alors au moins les contenant toujours.

    En fait, les candidats à la présidence de ce moment toute exigent l'anéantissement et rien de moins. Dans les mots de Donald Trump, "bombarder la merde hors de 'em." Dans formulation plus sage de Hillary Clinton, "écraser ISIS ... briser l'élan du groupe, puis son dos." Même Bernie Sanders confirme: «Notre priorité doit être .. . de détruire le régime ISIS brutale et barbare ".

    Le rêve d'une guerre d'anéantissement contre le mal a une longue, longue histoire dans l'Amérique blanche. Il a commencé en 1636 lorsque les puritains de la Nouvelle Angleterre anéanti la tribu Pequot, promettant que cette leçon serait empêcher de nouvelles attaques par d'autres tribus. En fait, il a créé une spirale de la violence et de la contre-violence, et une guerre-contre-mal modèle que le pays suit toujours de près de quatre siècles plus tard, dans sa "guerre contre le terrorisme." Le conflit actuel en Irak et la Syrie ne semble être nous enfermer dans ce modèle et de son cycle garanti de violence de plus en plus fermement.

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  23. Pourquoi avons-nous en tant que nation continuer à jouer dans le même scénario lugubre et de commettre les mêmes erreurs ? Pourquoi cette envie irrésistible apparemment pour lutter contre une nouvelle guerre contre le mal ?

    Je crains que la réponse à ces questions réside peut-être dans ce que je l'ai appelé un mythe américain de l'insécurité nationale. Il nous dit que nous serons toujours en guerre avec les malfaiteurs plié sur nous détruire; que cette guerre (selon le dernier peut-être) est la mission et le sens de notre nation; et que la seule façon de se sentir comme un vrai Américain est d'enrôler en permanence en guerre permanente.

    En d'autres termes, même si nous Stoke l'État islamique, nous nous Stoke ainsi. Le plus nous nous battons, plus profondément, nous sommes saisis par la peur. Le plus que nous craignons le plus férocement nous sommes déterminés à combattre. Peut-être le point est de ne pas gagner la guerre, mais de rester coincé dans ce cercle vicieux, qui se sent paradoxalement réconfortante, car il offre un sentiment d'identité nationale unifiée comme rien d'autre ne peut dans notre nation profondément divisée contraire.

    Les mythes nationaux sont, cependant, inventés par les êtres humains, et nous sommes toujours capables de changer nos esprits. Qui sait ? Peut-être un jour l'État islamique comprendre que le meurtre et d'autres actes d'horreur dans le nom du califat ne sont pas une si bonne idée après tout. Et peut-être les États-Unis comprendre que, selon, une guerre autodestructrice éternelle contre le mal pour notre identité nationale est une énorme erreur, après tout. Peut être.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-12-08/americas-reckless-fight-against-evil-six-mistakes-road-perpetual-war

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  24. Manuel déclassifié de la CIA montre comment nous utilisons la bureaucratie pour déstabiliser les gouvernements


    Soumis par Tyler Durden sur 08/12/2015 20:50 -0500

    Submitted par Jake Anderson via TheAntiMedia.org,


    Quand la plupart des gens pensent de la CIA est le sabotage, qu'ils pensent de coups d'Etat, les assassinats, les guerres par procuration, des groupes de rebelles armés, et même faux drapeaux - la bêtise non stratégiques et incompétence bureaucratique délibérée. Toutefois, selon un document déclassifié de 1944, l'Office of Strategic Services (OSS), qui devint plus tard la CIA, utilisé et formé une race curieuse de «citoyen-saboteurs" dans les pays occupés, comme la Norvège et la France.

    Le document II-ère guerre mondiale, appelé Simple Manuel de terrain de sabotage, décrit les moyens dans lesquels les coopératives peuvent perturber et de démoraliser les administrateurs de l'ennemi et les forces de police. La première section du document, qui peut être lu dans son intégralité ici, aborde "les organisations et conférences» - et comment les transformer en un "gâchis dysfonctionnel»:

    • Insister sur faire tout par "les canaux." Ne jamais permettre des raccourcis à prendre afin d'accélérer les décisions.

    • Assurez «discours." Réagissez aussi souvent que possible et au plus grande longueur. Illustrez vos «points» par de longues anecdotes et d'expériences personnelles.

    • Si possible, soumettre toutes les questions à des comités, pour tenter de faire le comité aussi large que possible "une étude plus approfondie et de considération." - Jamais moins de cinq ans.

    • Apportez des questions non pertinentes aussi souvent que possible.

    • marchander les formulations précises des communications, des minutes, des résolutions.

    • Référez-vous aux questions décidées lors de la dernière réunion et tentent de rouvrir la question de l'opportunité de cette décision.

    • avocat "prudence." Être «raisonnable» et exhorter vos compagnons de conférenciers d'être «raisonnable» et d'éviter la hâte qui pourrait aboutir à des embarras ou des difficultés plus tard.

    Sur son site officiel, la CIA se vante de trouver des moyens novateurs pour parvenir à un sabotage, appelant leurs tactiques de déstabilisation "étonnamment pertinente." Bien qu'ils admettent que certaines des idées peut sembler un peu désuet, ils affirment que "Ensemble, ils sont un rappel de la facilité et de la productivité afin peut être compromise. "

    Dans une deuxième section visée au manager-saboteurs, le guide répertorie les mouvements tactiques suivantes:

    • En faisant des affectations de travail, connectez-vous toujours sur les emplois peu importants. Voir que les emplois importants sont attribués aux travailleurs inefficaces.

    • Insister sur le travail parfait dans des produits relativement sans importance; renvoyer pour la finition de ceux qui ont le moins faille.

    • Pour abaisser le moral et, avec elle, la production, être agréable aux travailleurs inefficaces; leur donner des promotions imméritées.

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  25. • Organiser des conférences quand il y a du travail plus critique à faire.

    • Multiplier les procédures et autorisations liés à la délivrance des instructions, des chèques de paie, et ainsi de suite. Voir que trois personnes doivent approuver tout où l'on pourrait faire.
    Enfin, le guide présente le protocole pour combien de saboteur-employés peuvent perturber les opérations de l'ennemi, trop:

    • Travaillez lentement.

    • Contrive que de nombreuses interruptions de votre travail que vous le pouvez.

    • Faites votre travail mal et rejeter le blâme sur de mauvais outils, machines ou équipements. Se plaignent que ces choses vous empêchent de faire votre travail à droite.

    • Ne jamais passer sur votre compétence et d'expérience pour une nouvelle ou moins habile travailleur.
    La CIA est fière de son manuel de terrain kafkaïen et évidemment considère encore comme une forme peu orthodoxe mais efficace des opérations de déstabilisation ennemies à travers le monde. Bien sûr, si trop pourraient un anarchiste ou révolutionnaire au regard de telles tactiques et les afficher dans le contexte de perturber certaines structures de pouvoir internes, dont beaucoup sont déjà construits comme une maison bureaucratique de cartes.

    Il semble, si un pays abstenir de démontrer à quel point il est facile de perturber organismes fédéraux inefficaces, cependant, il serait aux États-Unis.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-12-08/declassified-cia-manual-shows-how-us-uses-bureaucracy-destabilize-governments

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    1. C'est ce que nous voyons TOUS LES JOURS avec les syndicats et les journalistes qui empêchent les invités de parler alors qu'ils sont là pour les interviewer !

      Les caméras de télé passent plus de temps à filmer LE journaliste à la tête de con plutôt que l'invité(e) qui apparait alors comme secondaire, voire accessoire !

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  26. Rien de concret à l'horizon: l'Union européenne pourrait accueillir 50 000 réfugiés installés en Turquie

    Jean-Pierre Stroobants
    lemonde.fr
    mar., 08 déc. 2015 12:12 UTC

    La présidence luxembourgeoise de l'Union européenne (UE) lance une nouvelle piste pour tenter de résoudre la délicate question de la répartition des réfugiés. Un dossier quasiment « gelé » depuis les accords difficilement conclus, en septembre, entre les Vingt-Huit pour la répartition de 160 000 personnes arrivées en Italie et en Grèce. Moins de 200 de ces réfugiés ont été « relocalisés » jusqu'ici, compte tenu de la frilosité de nombreux Etats, mais aussi du fait qu'une grande majorité d'entre eux refuse une procédure qui les détournerait de leur objectif premier, qui est d'atteindre l'Allemagne ou la Suède.
    Jean Asselborn, le ministre luxembourgeois des affaires étrangères et de l'immigration suggère désormais, dans un entretien au quotidien Süddeutsche Zeitung, la « réinstallation » de 50 000 réfugiés syriens présents en Turquie. Ce nombre serait déduit des 160 000 personnes déjà arrivées dans l'Union européenne, que les Européens s'étaient engagés à se répartir.

    Le but serait d'abord d'envoyer un signal positif à Ankara, qui a reçu, par ailleurs, lors d'un récent sommet UE-Turquie, la promesse de 3 milliards d'euros pour gérer la crise des réfugiés, ainsi que l'assurance d'une relance des négociations d'adhésion à l'UE et d'une libéralisation de la délivrance des visas européens pour les Turcs.

    M. Asselborn paraît aussi vouloir tirer publiquement les leçons de l'échec du plan de répartition des 160 000 réfugiés : ce plan cherchait à assurer la « relocalisation » de candidats à l'asile, alors que le ministre luxembourgeois évoque désormais la « réinstallation » de 50 000 personnes, soit des réfugiés reconnus comme tels par la Nations unies, en vertu de mécanismes multilatéraux et nationaux. En juillet, les pays de l'Union s'étaient déjà mis d'accord sur la répartition de 22 000 « réinstallés ».

    Radicalisation de la position des pays d'Europe de l'Est

    Lors du sommet UE-Turquie, la chancelière allemande, Angela Merkel, avait convoqué une réunion parallèle des huit pays les plus concernés par la crise migratoire, à savoir, outre l'Allemagne, la Finlande, la Suède, l'Autriche, les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et la Grèce. La chancelière entendait les persuader d'organiser l'arrivée d'une partie des réfugiés syriens directement depuis la Turquie par des voies légales, plutôt que par la route des Balkans.Elle n'avait pas cité le nombre des réfugiés potentiellement concernés.

    L'appel de l'Allemagne n'avait toutefois reçu qu'un très faible écho au sein même de ce groupe de pays dits « de bonne volonté ». La France s'était abstenue de participer au débat et indiquait seulement que l'intérêt de tous était que les réfugiés restent en Turquie.

    Les pays d'Europe de l'Est ont, eux, radicalisé leur position. Lors du conseil européen des affaires intérieures, vendredi 4 décembre, la Hongrie et la Slovaquie, désormais appuyées par le nouveau gouvernement polonais, ont confirmé leur refus du principe même de la répartition des 160 000 réfugiés. Ces pays confirment leur intention de déposer un recours devant la Cour de justice européenne contre ce texte.

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  27. La Commission européenne a, elle, pris le relais de l'Allemagne et doit déposer, la semaine prochaine, avant le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement des 17 et 18 décembre, un nouveau plan de répartition. A-t-il la moindre chance d'être adopté ? « Sans doute pas, d'où l'initiative luxembourgeoise pour tenter de limiter les dégâts d'un nouvel échec probable », commente une source diplomatique bruxelloise.

    Le chiffre de 400 000 réfugiés supplémentaires à se répartir entre les Vingt-Huit a circulé, mais est jugé « fantaisiste » par diverses sources. Plus modeste, le plan évoqué par M. Asselborn apparaît, toutefois, lui aussi, comme très difficile à concrétiser en raison, notamment, de divers obstacles juridiques.

    -- Commentaire : Beaucoup de chiffres et de pays visés... beaucoup de réfugiés mais concrètement, rien de clair. Les gouvernements ont-ils peur de s'impliquer dans cette tragédie des réfugiés ? De plus, est-ce bien sensé de donner 3 millions d'euros à la Turquie ? Pourquoi cet argent ne couvrirait-il pas directement les besoins vitaux des réfugiés qui sont en Europe et qui vivent dans des camps, dans des conditions dramatiques, sans ressources, à l'approche de l'hiver ?

    Vous pouvez lire aussi:

    Allemagne : +600% pour les ventes de sprays lacrymogènes par peur des réfugiés
    Impérialisme et réfugiés

    Exil - Près de 5 000 migrants secourus entre la Libye et l'Italie en trois jours

    Attentats au feu contre les centres d'accueil en Allemagne : 200 attaques... sans conséquences
    La Pologne utilise les attaques de Paris pour refuser les réfugiés

    Entrevue avec le président syrien Bachar al-Assad
    La Russie présente les preuves de la contrebande de pétrole vers la Turquie par l'EI
    Pétrole, Turquie, Daech : un rebelle modéré de l'ASL vide son sac --

    http://fr.sott.net/article/27055-Rien-de-concret-a-l-horizon-l-Union-europeenne-pourrait-accueillir-50-000-refugies-installes-en-Turquie

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  28. Nous refusons de bombarder les Forces d'Assad, accuse la Russie


    Soumis par Tyler Durden sur 08/12/2015 10:40 -0500


    Sur dimanche, quelqu'un a bombardé une position SAA dans l'est de la Syrie tuant trois soldats de Assad et en blessant plus d'une douzaine.

    Comme nous l'indiquions lundi, l'attaque aurait eu lieu dans le vieux fief de Paris cerveau Abdelhamid Abaaoud de Deir ez Zor. "La Syrie condamne fermement l'acte d'agression par la coalition menée par les USA qui contredit la Charte de l'ONU sur les objectifs et principes", a déclaré Damas. Le ministère des Affaires étrangères a envoyé des lettres au Secrétaire général de l'ONU et le Conseil de sécurité de l'ONU, affirmant que l'attaque "entrave les efforts pour combattre le terrorisme et prouve encore une fois que cette coalition manque de sérieux et de crédibilité." Washington prétend avoir aucune idée de ce que Damas est parlant de. "Nous avons vu ces rapports syriens mais nous ne menons pas d'attaques dans cette partie de Deir ez Zor hier. Donc, nous ne voyons aucune preuve », a déclaré le porte-parole de la coalition colonel Steve Warren.

    On peut supposer que les «preuves» sont les trois soldats morts et le mardi, la guerre des mots intensifiée. Le groupe Observatoire syrien des droits de l'homme de suivi (ou, comme il est plus communément connu, "un gars à Londres") a déclaré que les jets étaient des avions de la coalition probable. Les États-Unis, d'autre part, dit maintenant qu'il est «certain» que les Russes sont à blâmer.

    "Un responsable militaire américain, parlant sous condition d'anonymat, a déclaré aux États-Unis est certain que la Russie était responsable de la grève mortelle sur le camp de l'armée syrienne", rapporte Reuters, ajoutant que "le fonctionnaire a catégoriquement rejeté les allégations que les États-Unis dirigée par des jets de la coalition étaient responsables. "

    "Les rapports de la participation de la coalition sont fausses", l'envoyé d'Obama à la coalition insiste.

    Le susmentionnée Steve Warren a admis que les États-Unis ne fait effectuer au moins quatre grèves à Deir ez Zor dimanche, mais affirme qu'ils étaient tous "contre les têtes de puits." En outre, Warren dit, la coalition opérait "à environ 55 kilomètres (35 miles ) sud-est de Ayyash [et frappé] pas de véhicules ou des cibles de personnel. "

    «Nous avons aucune indication des soldats syriens étaient près de nos attaques," a t-il conclu.

    Encore un autre responsable américain a déclaré à Reuters que Washington est "conscient que la Russie a mené des frappes à longue portée de bombardiers en Syrie (le dimanche)." Apparemment, la ligne officielle sera qu'une russe TU-22 bombardier est responsable.

    Pour être sûr, les autres avions sont là dans les cieux au-dessus Syrie, plus le potentiel de «accidents» se produisent. Nous serons les premiers à l'admettre.

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  29. Cela dit, évidemment Moscou ne serait pas bombardé une position de l'armée syrienne sur le but qui signifie Washington veut vous faire croire ce fut un exemple de l'ASA prendre accidentellement un tir ami. Mais ministère des Affaires étrangères de la Syrie dit neuf missiles ont été tirés dans le camp, ce qui suggère que ce ne fut pas simplement une bombe errant. Sûrement la Russie est en étroite communication avec les forces terrestres d'Assad. Après tout, qui est l'ensemble du dispositif: la Russie fournit une couverture aérienne pour les soldats syriens et iraniens qui feront la plupart des combats sur le terrain. Ce serait un échec logistique plutôt flagrante si bombardiers russes ne savaient pas où leurs forces terrestres fonctionnent et il serait tout sauf inexplicable pour les avions de combat de Moscou pour tirer neuf missiles directement à un campement SAA.

    En tout état de cause, nous allons probablement ne sait jamais la vérité, mais il est certainement intéressant de noter que les forces d'Assad sont tués lors des frappes aériennes mystérieuses près de champs de pétrole ISIS.

    En outre, il est intéressant de noter que les Etats-Unis n'a pas le meilleur bilan dernièrement quand il vient à frapper les cibles «bonnes». Peut-être cela, comme l'incident de Kunduz qui a entraîné le massacre de dizaines d'employés de l'hôpital de MSF, mais est un autre exemple de l'AC-130 pilotes "reposant sur une description physique de la cible" après un "dysfonctionnement du système."

    http://www.zerohedge.com/news/2015-12-08/us-denies-bombing-assads-forces-blames-russia

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  30. Les compagnies minières réduisent la voilure face à la chute des cours

    8 Décembre 2015
    Par AWP

    Le secteur minier est victime d'une surabondance de l'offre alimentée par les géants du secteur, couplée à une baisse de la demande originaire de Chine.
    Reuters
    Le secteur est victime d'une surabondance de l'offre alimentée par les géants du secteurs, couplée à une baisse de la demande originaire de Chine, la deuxième économie du monde.

    Reuters
    Le secteur est victime d'une surabondance de l'offre alimentée par les géants du secteurs, couplée à une baisse de la demande originaire de Chine, la deuxième économie du monde.

    Matières premières
    Les grandes compagnies minières sont contraintes de réduire la voilure dans un contexte de chute des cours du minerai de fer et des métaux industriels, à l'image d'Anglo American qui a annoncé mardi des mesures d'économie et une réduction drastique d'effectifs.
    Le secteur est victime d'une surabondance de l'offre alimentée par les géants du secteurs, couplée à une baisse de la demande originaire de Chine, la deuxième économie du monde.
    Le minerai de fer - utilisé pour fabriquer de l'acier - est passé sous les 40 dollars la tonne, selon l'indice de référence portant sur les livraisons au port chinois de Qingdao, compilé par Metal Bulletin.
    Entre le début de l'année et fin novembre, les cours du nickel ont plongé de 38%, le minerai de fer de 33%, le cuivre de 29%, le platine de 25% et les diamants de 15%, estime Anglo American, l'un des grands producteurs miniers.
    Et ce contexte difficile devrait durer, jugent les experts.
    "A l'approche de 2016 il est clair que la surcapacité de ces dernières années dans le secteur minier va prendre du temps à se résorber" tandis que "la demande chinoise devrait rester faible", souligne Michael Hewson, analyste chez CMC Markets.
    Pour s'adapter, les compagnies minières annoncent des mesures drastiques.
    Anglo American, une multinationale basée à Londres, a annoncé mardi une restructuration "radicale", prévoyant des cessions d'actifs, de nouvelles économies et une réduction des investissements.
    A l'issue de cette cure d'amaigrissement, le groupe comptera moins de 50.000 employés contre 135.000 aujourd'hui, une réduction de deux-tiers de ses effectifs.
    "La sévérité de la détérioration des cours des matières premières nécessite des mesures plus audacieuses", a expliqué le directeur général Mark Cutifani, qui présentait mardi son plan aux investisseurs.
    Les actions plongent
    Le nombre d'actifs de l'entreprise sera réduits de 60%, les détails sur le futur portefeuille de l'entreprise devant être dévoilés en février.
    Le groupe minier a déjà prévu de ramener le nombre de ses divisions de six à trois: De Beers (diamants), Industrial Metals et Bulk Commodities.
    Anglo American veut aussi réduire ses dépenses d'investissements d'environ 1 milliard de dollars supplémentaires d'ici à la fin de 2016.

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  31. Le groupe s'attend à des dépréciations allant de 3,7 à 4,7 milliards de dollars - reflétant la baisse de la valeur de ses mines et des ventes d'actifs - et va suspendre le dividende versé aux actionnaires au titre du deuxième semestre et de 2016.
    Son concurrent anglo-australien Rio Tinto a également annoncé mardi qu'il allait réduire ses investissements de près d'un milliard de dollars l'an prochain. Il les attend désormais autour de 5 milliards de dollars contre près de 6 milliards prévus auparavant.
    Les géants du secteur étaient malmenés à la Bourse mardi. A Londres, l'action Anglo American chutait de 8,37% à 338,1 pence mardi matin vers 11H35 GMT.
    Ses annonces ont en effet encore laissé sur leur faim certains observateurs. "Nous avons bien peur que ce ne soit pas suffisant", écrivent les analystes de la banque Barclays dans une note.
    "Nous espérions voir des coupes plus significatives dans plus de divisions y compris le platine, les diamants, le nickel et le charbon", ont ils expliqué.
    Le suisse Glencore, dans la tourmente depuis plusieurs mois, dégringolait de 8,36% tandis que BHP Billiton perdait 5,15% et Rio Tinto 5,15% également.

    http://www.bilan.ch/entreprises/compagnies-minieres-reduisent-voilure-face-a-chute-cours

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    1. Il y a tout de même une différence ente les combustibles et le malléables. Depuis quelques jubilés les minéraux n'ont plus de secret et ne retournent plus en terre. C'est-à-dire qu'il est dès lors nécessaire de faire de la récup' comme de retirer les fers des immeubles écroulés ainsi que les voitures pour s'en resservir après la fonte. C'est ainsi que peu à peu les mines se ferment tandis que les métaux se recyclent ad vitam eternam.

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  32. Aïe ! Enquête montre que 45 % du Royaume-Uni veulent rien payer du tout pour les fonds d'adaptation climatique.

    Quand on lui demande de payer aux pays en développement à s'adapter au changement climatique, British 1066 personnes interrogées a dit qu'ils étaient prêts à donner une moyenne de seulement £27 (30US$) par an. C'est bien en dessous le gambit des Nations Unies qui souhaite prendre autant que 150 dollars par habitant et par an. Mais même ce chiffre de 27 £ est faussement élevé. La vraie histoire est que le nombre a été biaisé vers le haut par quelques personnes qui étaient prêtes à payer beaucoup de chacun. Près de la moitié de la foule ne voulait pas donner un centime. La valeur médiane était un dérisoire de 6 £ par an. Et ce fut lors d'un essai chargé avec des messages quant à l'utilité de ces paiements serait agréable et faisant autorités. Entièrement, 45 % des britanniques interrogés ne voulait pas à contribuer en rien du tout. (Le chiffre est probablement semblable aux États-Unis, et la merveille de gens pourquoi Trump est si populaire?)

    La question porte sur la volonté du publique à payer (WTP) et la réponse est « négligeable » :

    Dans l'ensemble, prendre ensemble toutes les réponses, les résultats montrent que les répondants sont prêts à payer environ £27 par an en impôts sur les bénéfices pour soutenir les efforts d'adaptation dans les pays en développement. Cela équivaut à $29,37, utilisant des ajustements de pouvoir d'achat (World Bank 2014), sensiblement inférieur du dos-de-la-enveloppe $100 150 dollars par habitant (basé sur l'adaptation de la Banque mondiale prévisions mentionnées précédemment). Cependant, si nous prenons la médiane WTP de 6 £ par an comme notre statistique de choix, étant entendu que le soutien aux pays en développement, adaptation dépendrait de soutien de la majorité (au moins 50 %) du public, alors il est clair que le soutien du public pour le développement d'adaptation est négligeable.

    L'idée sous-jacente de cette enquête est la constatation que seulement 43 % des personnes britanniques interrogés conviennent avec le GIEC. Cinquante-sept pour cent sont sceptiques. Cela correspond assez bien avec une enquête plus grande et plus neutre dans la UK indiquant que 62 % sont sceptiques des changements climatiques anthropiques.
    La figure 2. Conviction personnelle sur le changement climatique (CC) (% de répondants qui ont choisi la déclaration). Taille de l'échantillon total D 1066.
    Le gros problème était apparemment que 31 % des britanniques, pense que le changement climatique est le plus souvent naturel, qui est quelque chose que les chercheurs disent est « mauvais » :

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  33. De toute évidence, beaucoup reste à faire pour motiver les gens à soutenir ceux qui, malgré la contribution relativement peu aux émissions mondiales de carbone – ont tendance à supporter le poids des impacts du changement climatique. Cependant, les résultats de la régression sur nos données suggèrent que ce ne soit pas une tâche facile. Ainsi que la capacité de payer, WTP semble être fortement tirée par un ensemble de croyances et de la perception des individus de leur propre niveau de connaissance, plutôt que d'une connaissance réelle des niveaux de changement ou de l'éducation climatique. En particulier, une croyance que la nature est la principale cause du changement climatique semble avoir une forte influence négative sur la décision ou non de contribuer ou non.

    Les chercheurs ne savent pas pourquoi les sceptiques ne veulent pas payer et suggèrent essentiellement, le poli possible, qu'ils pourraient être des gens égoïstes, indifférents et immorales. Ils se demandent si les sceptiques rationaliser leur comportement scroogelike en adoptant stratégiquement la croyance que le réchauffement artificiel est naturel ? Quelles personnes occupées petits mesquins ces sceptiques serait... donc à la différence des chercheurs nobles qui spéculent sur les défauts de mentales subconscient complexes chez les personnes qu'ils n'ont aucuns données sur :

    Fait intéressant, une croyance dans la nature comme la principale cause du changement climatique (31 % de l'ensemble de l'échantillon)
    a une forte influence négative sur la participation globale. Peut-être, ce qui suggère une attitude fataliste de
    ceux qui ont de telles croyances. Ou peut-être la causalité se trouve dans la direction opposée : ceux qui ne sont pas
    souhaite soutenir des projets d'adaptation pour vulnérables autres, justifier leurs choix en expliquant le climat
    changer comme phénomène naturel. Cela donne à penser que, pour ces personnes, la responsabilité morale
    pour d'autres, il est excusé par la présence d'un facteur externe (dans ce cas, la nature) sur lesquels le
    l'intimé se sent qu'ils n'ont aucun contrôle (Eshleman 2014). On pourrait considérer cela une forme de « stratégique »

    fatalisme. Quelle que soit la raison de ce résultat intéressant, cependant, l'implication est claire : une croyance

    que le changement climatique est causé par la nature permet à certaines personnes d'absoudre eux-mêmes de la responsabilité
    vis-à-vis de ceux qui seront touchés négativement par le changement climatique.

    Les chercheurs ne suggèrent pas que les sceptiques ne veulent pas payer parce qu'ils savent que les modèles sont fausses, les scientifiques se comportent mal et il est fort probable que le monde sera plutôt cool, qui plutôt mucks ces plans "adaptation". Je suppose qu'ils n'ont pas google « sceptiques de climat » pendant dix minutes avant qu'ils ont écrit leur livre. (Et pas plus que des « réviseurs ».)

    Les chercheurs définissent « connaissance véritable » comme étant d'accord avec le consensus. Quelle est la taille que préjugé de confirmation ?
    En ce qui concerne les différences de comment les répondants préfèrent contribuer, nous constatons qu'une plus grande connaissance réelle

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  34. liés au changement climatique (indiqué par accord avec l'affirmation "les émissions de gazcarbonique sont la principale cause du changement climatique ") influe sur la probabilité de contribuer à la WAF, considérant que cela n'a aucune influence sur la probabilité de contribuer à des programmes individuels
    (par rapport à ne contribuent ne pas du tout).

    La WAF, est par ailleurs, le Fonds d'adaptation dans le monde entier – (une entité hypothétique à ce stade, mais qui peut changer en un jour ou deux) :

    Supposons qu'il y avait un fonds d'Adaptation dans le monde entier – une institution internationale chargée de superviser le mise en œuvre et la gestion des Programmes d'Adaptation dans le monde entier. Ces programmes d'Adaptation seraient conçus pour atténuer les impacts négatifs du changement climatique sur la nature et l'environnement, l'agriculture, la santé humaine et l'environnement bâti. Financement de ces programmes d'Adaptation proviendraient de tous les pays individuels sous forme de pourcentage de leur PIB. Cela signifie que tout le monde aurait à payer un peu plus impôt sur le revenu.
    On dirait que les sceptiques ont remporté un seul tour :
    Curieusement, le livre commence en nous disant que personne n'aimait l'idée de faire beaucoup de « s'adapter » au changement climatique, sauf quelques personnes appelée Tol et Pielke, mais ces derniers temps même le GIEC a vu la sagesse de leurs idées.
    1. introduction
    Jusqu'à assez récemment, la politique d'adaptation au climat changement était considéré comme largement moralement suspect et écart en faveur de son cousin plus noble, des mesures d'atténuation (Pielke et al., 2007 ; Tol, 2005). Cependant, comme climatiques risques sont devenus plus sûrs et real, adaptation a été accepté comme une politique réaliste et nécessaire aux côtés d'atténuation (Pielke et al., 2007) un fait particulièrement mis en évidence dans le récent rapport du GIEC (GIEC 2014).

    La tâche herculéenne futile, d'atténuation ou contrôler le climat par la réduction du gazcarbonique, a été beaucoup plus attrayante à grand-gouvernement amoureux et Hum, tellement plus « éthiques ». Il a touché le tiercé gagnant, il puni les compagnies indépendantes et aidé dépendants (énergies renouvelables). Et les mécanismes d'échange ont été un fantasme de bureaucrates, un marché de contrôlés par le gouvernement à plat sur les récompenses aux patrons et à punir les critiques.

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  35. RÉSUMÉ

    Adaptation au changement climatique gagne traction comme une politique nécessaire aux côtés d'atténuation, en particulier pour les pays en développement, dont beaucoup n'ont pas les ressources nécessaires pour s'adapter. Cependant, financement des pays en développement adaptation reste cruellement défaut. Cet article identifie le fardeau de la responsabilité que personnes au Royaume-Uni sont prêts à engager à l'appui de projets d'adaptation dans les pays en développement. Résultats d'un sondage représentatif au niveau national indiquent que les résidents du Royaume-Uni sont prêts à contribuer 27 £ par an (soit une valeur médiane de 6 £ par an) adaptation des pays en développement (US$ 30 et $7 à l'aide de facteurs de conversion pour le pouvoir d'achat de la Banque mondiale). Cela représente moins d'un tiers de l'arrière de l'enveloppe 100 $140 $ par habitant par an que l'estimation d'auteurs serait nécessaire pour faire monter le 70 $100 $ bn/an, recommandé par la Banque mondiale pour financer l'adaptation des pays en développement. Régressions indiquent que volonté de payer est conduite principalement par une combinaison des croyances et les perceptions de son niveau de connaissance, plutôt que d'une connaissance réelle des changements climatiques. Nous concluons que, pour engager les nombreux différents publics qui composent le « public », des efforts de communication doivent aller au-delà de la simple fourniture d'informations et au lieu de cela, se connecter avec les valeurs existantes et les croyances du peuple.

    RÉFÉRENCE

    Sommes-nous prêts à donner ce qu'il faut ? Volonté de payer pour l'adaptation au changement climatique dans les pays en développement

    Journal de Environmental Economics and Policy, Tanya O'Garra & Susana Mourato, publié par Taylor & Francis DOI : 10.1080/21606544.2015.1100560

    PS: Nous pouvons discuter du tirage au sort sur la définition exacte d'un sceptique et des divers degrés avec lesquels ils sont en désaccord avec le consensus, mais les deux Richard Tol et Roger Pielke ont DeSmog pages. Que faire plus dont ils ont besoin ?

    http://joannenova.com.au/2015/12/ouch-survey-shows-45-of-the-uk-want-to-pay-nothing-at-all-for-climate-adaption-funds/#more-46818

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