- ENTREE de SECOURS -



dimanche 29 novembre 2015

L'innocence du carbone, de François Gervais

28 novembre 2015
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Le GIEC est une juridiction d'exception, soi-disant scientifique et intergouvernementale, en réalité seulement intergouvernementale, c'est-à-dire politique. C'est en effet une créature des Nations Unies, dont le but clairement avoué est d'instruire le procès du seul carbone, présumé coupable de tous les maux climatiques que connaît la planète, sans que soit jamais donnée la parole à ses défenseurs.
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Le GIEC ne doute pas, ou si peu. Il affirme, sans vergogne et sans preuve scientifique, avec une probabilité de 90%, que la concentration de gazcarbonique d'origine anthropique est coupable:
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- de l'augmentation de la température moyenne globale, qui pourrait s'élever de plusieurs °C dans les décennies à venir
- de la montée d'au moins un mètre du niveau des océans
- de la fonte de la banquise
- d'une acidification des océans
- d'événements climatiques extrêmes
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A défaut d'éradiquer complètement ce délinquant qu'est le gazcarbonique, le GIEC a prononcé sa sentence: sa concentration doit être réduite de 20%, pour limiter la hausse de température moyenne globale à 2°C. C'est l'objet de la COP21 qui s'ouvre à Paris.
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Pour sauver la planète il faut en payer le prix, elle le vaut bien ! Ce prix est estimé à pas moins de 35'000 milliards d'euros, soit l'équivalent de la dette publique mondiale actuelle...
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En réalité:
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- la concentration en gazcarbonique est infime (390 ppm de l'air en 2013): elle a été à plusieurs reprises plus importante par le passé, sans que l'homme y soit pour quelque chose
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- la part de gazcarbonique d'origine anthropique est de 5% de cette concentration (on le sait grâce à la mesure de concentration des isotopes de carbone)
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- le solde de l'accroissement annuel de la concentration d'origine anthropique est de 0,4 ppm (25% de l'accroissement de la concentration totale)
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- la part de concentration en gazcarbonique d'origine anthropique des pays européens est de 11% de ces 5%, soit 0,55%, c'est dire l'impact d'une réduction de 20% de ces mêmes pays: 0,45%
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- les 95 autres % de la concentration sont en fait le fruit des échanges naturels avec la biosphère: sa croissance résulte en majeure partie d'une élévation de la température (la courbe de concentration en gazcarbonique suit de six mois celle de la température au cours des trente dernières années)
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- l'effet de serre du gazcarbonique a atteint ses limites avec la concentration actuelle: il y a saturation des molécules de gazcarbonique dans l'absorption du rayonnement infrarouge; deux vibrations principales sont en effet actives: à 20 et à 70 térahertz, soit moins de 10% de la gamme infrarouge
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- compte tenu de tous les facteurs entrant en jeu, l'impact sur la température des émissions anthropiques de gazcarbonique peut être estimé à 0,0005°C par an, soit à 0,05 °C par siècle...
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Cela donne froid dans le dos...
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Les autres prédictions du GIEC sont à l'avenant:
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- la pente de la montée du niveau des océans est passée de 32 cm par siècle sur la période de 1993 à 2006, à 20 cm sur la période de 2006 à 2012, et, depuis, à 10cm
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- la perte relative de la banquise dans l'Arctique est plus que compensée par un net gain de l'Antarctique: la superficie globale est en fait restée à peu près constante depuis 33 ans, alors que la fonte de la banquise aurait dû se produire aux deux pôles selon le GIEC
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- les océans présentent un PH de l'ordre de 8: ils sont donc nettement basiques et le resteront "compte tenu du rapport élevé, de l'ordre de 60, entre quantités de gazcarbonique dans l'eau et dans l'air. La variation de PH attribuée aux causes anthropiques mesurée sur les 500 premiers mètres de profondeur n'excède pas - 0,01"
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- "l'énergie cyclonique globale n'a jamais été aussi basse entre 2008 et 2012 depuis trente-trois ans"
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Le principal oubli du GIEC est que le changement climatique est cyclique: il y a eu des maxima en 1940-1945 et en 2000-2005, la tendance étant maintenant vers un minimum analogue à celui de 1970-1975. C'est pourquoi l'extrapolation linéaire du GIEC à partir de la période 1979-1998 ne lui a pas permis de prédire la stagnation de la température depuis 18 ans...
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C'est donc un mauvais procès qui est fait au carbone. Un procès qui en occulte les bienfaits:
- rendements accrus par unité de surface cultivée
- rendements accrus par plante
- rendements accrus rapportés à une consommation d'eau donnée
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Un procès qui occulte bien commodément les causes naturelles des changements climatiques.
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Depuis Kyoto le GIEC s'est tellement engagé dans cette impasse qu'il ne lui est plus possible de reculer. Il en va de sa survie et de tous ceux qui se sont engagés à sa suite et qui sont autant de profiteurs: politiciens, journalistes, scientifiques (qui ne veulent pas mettre en péril leur carrière et ne plus recevoir de manne pour leurs recherches), capitaines de l'économie verte, haute finance, activistes environnementaux, bénéficiaires de la revente de "droits à polluer" etc.
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Il n'est pas étonnant dans ces conditions que le GIEC dise que le débat est clos, que la science réfutable cède le pas à la croyance irréfutable:
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- "le soleil n'a rien à voir avec les variations de température de la Terre
- la température est restée la même pendant des millénaires avant que l'homme ne se mette à pécher, c'est-à-dire à émettre du gazcarbonique
- le réchauffement climatique est responsable de tout, du chaud, du froid, des séismes, des tsunamis, des éruptions volcaniques etc.
- le gazcarbonique est un polluant, un poison: il faudra, mes frères, changer de comportements"
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Il n'est pas étonnant que François Hollande, pris d'un vertige planétaire, veuille appliquer à la terre entière ses recettes fabuleuses de dépenser toujours plus l'argent des autres: elles lui ont si bien réussi en Corrèze, puis en France... Dilapider 35'000 milliards d'euros a de quoi faire perdre la tête à plus d'un homme de pouvoir, alors qu'un tel pactole, faramineux, manquera à la résolution de problèmes réels et cruciaux, tels que les problèmes énergétiques, et qu'un tel gâchis étatiste détruira nombre d'emplois.
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Comme bien d'autres, le président français croit (ou feint de croire) que tout se résout avec des lois et des taxes et que lutter contre cet ennemi imaginaire qu'est le gazcarbonique permettra d'éviter l'enfer sur Terre. Là, comme dans tous les domaines qu'il aura touchés jusque-là, il échouera et la nature reprendra ses droits, d'autant que le risque est grand qu'elle inflige sous peu un démenti glacial aux élucubrations du GIEC qu'il prend pour argent comptant et sur lequel il compte.
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L'innocence du carbone - L'effet de serre remis en question, François Gervais, 320 pages, Albin Michel
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13 commentaires:

  1. Passé le stade du scientifisme et de sa compréhension par tous - arrive celui de la folie qui s'empare d'êtres idiots demandant/suppliant/exigeant que les autres sur Terre soient eux aussi des attardés mentaux afin de leur appliquer le remède (prouvé parfaitement efficace) de la mort à toutes souffrances.

    Remarquez bien qu'aucun de la nazional socialiste réuni n'ira même suggérer de tenir un débat public et en direct (comme toute démocratie l'exige) afin d'expliquer comment si un mètre cube de glace qui font peut donner des millions de m3 d'eau ! et pourquoi refusent-ils toujours d'inviter des scientifiques dans une réunion censée parler de sciences ?

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html

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  2. Sociologue suggère désinformation corporative à la racine de la polarisation du changement climatique

    24 novembre 2015
    par Bob Yirka rapport


    (Phys.org) — Justin Farrell, sociologue à la School of Forestry & Environmental Studies à l'Université Yale, a mené une étude sur la question du pourquoi il est tellement polarité au sujet de l'opinion des américains concernant le changement de l'environnement mondial et a constaté qu'il peut être très fortement lié aux campagnes de désinformations entreprises. Dans son article publié dans Proceedings de la National Academy of Sciences, il décrit son étude des textes écrits et oraux publiquement disponibles sur le sujet durant les deux dernières décennies, et pourquoi ce qu'il trouve l'a amené à croire que quelques joueurs clés aux États-Unis ont réussi à embrouiller le débat dans l'esprit des électeurs.

    Beaucoup dans la communauté scientifique ont été déroutés par beaucoup d'américains (et autres) refus de croire que la planète se réchauffe et que c'est presque certainement à cause des émissions de gaz à effet de serre anthropiques. Soupçonnant qu'il pourrait avoir quelque chose à voir avec l'information qui reçoivent des américains sur le sujet, il a versé plus de 20 ans d'une valeur de données comprenant 40 785 textes et autre support. Ce faisant, il a pu identifier les 164 organisations qu'il catégorise comme « acteurs », tels que les compagnies pétrolières et d'autres avec quelque chose à perdre si des solutions de rechange à l'utilisation de l'huile sont promues.

    Il a ensuite utilisé les méthodes de calcul de données pour extraire des informations à partir du dataset qui, dit-il, ont révélé deux principales constatations. La première était que les organismes grâce à un financement corporatif étaient plus susceptibles donc d'envoyer des messages qui sont censés polariser que sont ceux qui ont été financés par l'État. La deuxième chose est que financement corporatif a influencé le contenu des polarisations des efforts et a conduit à la digression plus de ce que l'on pourrait qualifier, science réelle. Messages destinés à polariser, note-t-il, génériquement tendent à amplifier vues contrarian sur le sujet — effacer les tentatives de causes lecteurs ou auditeurs aux preuves scientifiques question.

    En bref, il suggère qu'à contre-courant des efforts déployés par certains acteurs qui cherchent à tromper le public ont causé donc beaucoup de confusion que de nombreux Américains qui ne sont plus en mesure de comprendre qui écoutent ou qui croient que. Il laisse entendre que ses recherches soulignent également le besoin pour plus diffusion de l'information provenant de sources subventionnées par l'État pour lutter contre ceux qui sont soutenus par des sociétés. Explorer plus loin : Non seulement les frères Koch : nouvelle étude révèle bailleurs derrière le climat changent effort déni

    Plus d'informations : Justin Farrell. Financement corporatif et la polarisation idéologique du changement climatique, Proceedings de la National Academy of Sciences (2015). DOI : 10.1073/pnas.1509433112

    (suite en dessous:)

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  3. Résumé

    S'appuyant sur des méthodes et des données informatiques à grande échelle, cette recherche démontre comment les efforts de polarisation sont influencés par un réseau à motifs d'acteurs politiques et financiers. Ces dynamiques, qui sont notoirement difficiles à quantifier, sont illustrés ici avec une analyse informatique de la politique de changement climatique aux Etats-Unis. Les données complètes comprennent tous les acteurs individuels et organisationnels de la lors de changement de climat (164 organisations), ainsi que de tous les textes écrits et oraux, produites par ce réseau entre 1993 – 2013 (mots 40 785 textes, plus de 39 millions). Deux principales conclusions émergent. Tout d'abord, que les organisations grâce à un financement corporatif étaient plus susceptibles d'avoir rédigé et diffusé des textes censés polariser la question du changement climatique. Deuxièmement et plus important encore, que le financement corporatif influe sur le contenu thématique de ces efforts de polarisation et la prévalence discursive de ce contenu thématique au fil du temps. Ces résultats apportent la nouveauté, et confirmation de la dynamique de longue complet, pensé pour être à l'origine de la politique de changement climatique et le discours. Au-delà des spécificités du changement climatique, cet article a des implications importantes pour la compréhension de la polarisation idéologique plus généralement et le rôle croissant des fonds privés pour déterminer pourquoi certains thèmes polarisants sont créés et amplifiés. Enfin, le document suggère que les études à venir sont de construire sur l'approche novatrice adoptée ici qui intègre l'analyse textuelle à grande échelle avec les réseaux sociaux.

    http://phys.org/news/2015-11-sociologist-corporate-disinformation-root-climate.html

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    1. Effectivement, les organismes publics des médias (télés, radios, journaux) dirigés et tenus en laisse par le gouvernement se tuent chaque jour à répéter que "La mer va monter" ou que "Les températures ont battu des records de chaleurs" alors que c'est absolument faux et PROUVE PAR LES SCIENTIFIQUES et non par des politiciens aussi merdiques que leurs journalistes qui se prennent pour des scientifiques !

      C'est bien pourquoi la réunion à Paris de la nazional socialiste a interdit toute manifestation dénonçant la vérité face aux anti-scientifiques de divers pays réunis pour échafauder une dictature mondiale.

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  4. Comment l'énergie verte fonctionne vraiment

    Soumis par Tyler Durden le 28/11/2015 14:00 -0500


    Après l'évaporation de cette semaine de $ 29 milliards de dettes ($ 230 millions dont était dû au contribuable américain) au milieu de la faillite de Abengoa (de l'Espagne "Solyndra"), nous avons jugé utile de rappeler les imbéciles une plus grande du monde à quel point "vert" l'énergie fonctionne...

    Il est indiqué comme Pater Tenebrarum, oh si éloquemment,

    Les entreprises qui ne peuvent éventuellement survivre sans subventions sont ipso facto pas économiquement viables. En dépit de toutes les nobles déclarations sur la "nécessité de sauver la planète" et comment ce vaillant effort prétendument « combinable avec la croissance économique", leur existence sert principalement une fonction: à distribuer l'argent pillé des contribuables et des consommateurs aux copains assorties de la classe politique, qui fournissent à leur tour ces derniers avec des rebonds. C'est tout là est à lui.

    Certainement personne sont si naïves pour croire que les politiciens modernes, dont les préférences horizon et temps n'étirement jamais au-delà de la date des élections prochaine, sont vraiment préoccupés par ce qui pourrait arriver à la planète un siècle d'où (sans compter que l'ensemble de la religion « changement climatique » semble être guère plus qu'un canular élaboré). Avec la faillite de Abengoa, on nous présente une fois de plus avec un projet de loi qui sert de rappel stark combien capital rare a été gaspillé sur ces régimes.


    En fin de compte, c'est guère plus qu'une forme moderne du grand banditisme, vêtu de propagande très efficace. Beaucoup de gens se sentir coupable de « consumérisme », croyant que ça doit être vrai que la prospérité et le progrès ne sont en quelque sorte coupables. En réalité, environnementalisme est devenu depuis longtemps la maison d'un grand gauchistes autoritaire beaucoup après qu'ils ont perdu leur ancien daddy sucre à Moscou en 1990.

    Ils essaient – avec beaucoup de succès elle nous attriste d'admettre, à saper le capitalisme de libre marché en faisant appel au sentiment de culpabilité et leur innée doivent recevoir l'absolution de leurs péchés. Et ils ont bien sûr découvert que leur nouveau papa de sucre est beaucoup mieux que leur ancien, car il n'y a bien plus de richesses prêt à être pillés et tout le monde impliqué est très heureux d'obtenir une coupe. Parfois la réalité a l'habitude de s'ingérer, mais cela n'empêche, au moins pas encore.

    Il est grand temps que les victimes réveillent ces escroqueries et commencent à s'opposer à eux.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-11-28/how-green-energy-really-works

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  5. La recherche révèle la réalité de la perte de glaces fugueuses en Antarctique

    28 novembre 2015

    En étudiant les roches à différentes élévations à côté de la feuille est de la glace Antarctique (IAE), l'équipe a conclu qu'une période d'amincissement rapide glacier s'est produite dans le passé géologique récent et a persisté pendant plusieurs siècles.

    Les observations par satellite montrent que certaines parties de l'inlandsis antarctique sont actuellement éclaircies en réponse à un réchauffement de l'océan. Particulièrement préoccupante est la possibilité de "instabilité marine inlandsis, lesquels peut provoquer une retraite initiale des marges glaciaires dans les vallées s'approfondisse continuée, perte de glace instable.

    La nouvelle recherche, dirigée par Postdoctoral Research Fellow Dr Richard Jones, indique que les processus conduisant à l'instabilité peuvent être initiées par le réchauffement climatique juste mineur.

    « La conclusion est très importante pour prédire la contribution future de l'Antarctique au changement du niveau de la mer , » dit le Dr Jones. "En particulier lors de l'examen que le EAIS contient suffisamment de glaçons vulnérable pour augmenter le niveau de la mer de quelques dizaines de mètres.

    « Il pourrait exiger seulement une petite quantité de variation climatique pour initier la perte de glace fugueur, et elle pourrait continuer pendant des siècles voire des millénaires, » dit le Dr Jones.

    Alors que ce processus a été posé pendant de nombreuses années, l'étude présente la première preuve directement enregistrée qu'il a fallu déposer dans le passé, fournissant de nouvelles informations sur le comportement futur de l'évolution rapide des pièces de l'Antarctique aujourd'hui.

    Un atout majeur de l'étude combine des expériences de modélisation numériques qui simulent des glaciers avec des données géologiques celle enregistrée après abaissement surface glacée.

    « La plupart des recherches a déjà concentré sur la calotte glaciaire Antarctique Ouest, qui rend ces observations de l'Antarctique les plus importantes, » dit le Dr Jones.

    Recherche de Dr Jones a été publiée dans la revue Nature Communications.

    http://phys.org/news/2015-11-reveals-reality-runaway-ice-loss.html

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    1. Bien sûr cette 'information' est TOTALEMENT fausse car Jonova (Australie) l'a révélé dernièrement qu'il existe des volcans sous-marins au pôle Sud qui font (comme au pôle Nord) détacher des blocs de glaces qui ensuite flottent sur les océans. Il ne s'agit donc nullement de 'réchauffement (océanique) de la planète' puisque le contraire a été démontré.

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  6. Paludisme et manipulation génétique : combien faudra-t-il de morts pour qu’une avancée décisive soit autorisée ?

    le 29 novembre 2015
    par jacqueshenry

    Le titre de ce billet résume la situation qui prévaut de par le monde quand il s’agit de transgenèse. Les manipulations génétiques ne sont pas du tout en état de grâce du fait de l’opposition systématique et totalement obtuse car sans aucun fondement scientifique de groupes de pression politisés qu’il est inutile de nommer ici. Le principe de base de cette opposition irraisonnée est que les biologistes modifient l’état naturel et qu’ils se comportent donc comme en quelque sorte des sorciers maléfiques. Je pèse mes mots. Cette opposition aux techniques modernes de transgenèse relève du plus pur obscurantisme et l’objet de ce billet est d’en faire encore la démonstration.

    Le riz doré dont j’ai écrit à plusieurs reprises des articles constitue un exemple évident de la volonté rétrograde des organisations de protection de la nature qui rêvent d’un retour à l’ère préindustrielle, technologique et scientifique. Si aujourd’hui, compte tenu de l’emprise des groupes de pression écologistes politiques, il fallait homologuer le vaccin contre la variole, celui-ci serait refusé ! C’est exactement ainsi. La variole a tué plus d’êtres humains que n’importe quelles guerres et ce serait tant mieux si cette maladie réapparaissait et faisait à nouveau des ravages car plus personne n’est vacciné puisque cette maladie a été éradiquée de la planète grâce à la vaccination.

    Venons-en à l’objet de ce billet qui concerne le paludisme ou malaria, c’est selon, une maladie qui tue chaque année un million de personnes : vous aves bien lu, un million de personnes selon les dernières statistiques de l’OMS, l’un des rares organismes des Nations-Unies qui soit encore crédible. La majorité des morts sont de pauvres gens malnutris, des enfants en bas âge, d’Afrique, du Pakistan ou du Brésil dont on se contrefout dans les salons dorés des ministères et des organisations supra-nationales. C’est tout de même regrettable qu’on ait consacré autant d’argent pour combattre le SIDA qui aurait pu finalement tuer autant de gens (voire plus) que le paludisme. Sauf que le SIDA n’atteint pas seulement les pauvres mais aussi les nantis ! Il y avait donc moralement une urgence à investir des milliards de dollars pour circonscrire cette maladie qui se transmets par les relations sexuelles, ce qui concerne tout le monde et pas seulement les plus démunis de la planète … suivez mon regard.

    (suite en dessous:)

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  7. Bref, les écologistes vont être maintenant pris à leur propre piège. Refuser la culture du riz doré est criminel, refuser bientôt la dispersion d’un moustique génétiquement modifié pour ne plus pouvoir transmettre le paludisme fera carrément désordre ou plutôt non, ce sera une attitude conforme aux idéaux de ces organisations malthusiennes : éliminer les pauvres de la planète et juguler par tous les moyens l’accroissement de la population en reniant tout progrès technologique contraire aux desseins de la nature. La question est donc la suivante : dans quelle mesure sera-t-il possible d’autoriser la dispersion de moustiques génétiquement modifiés équipés d’armes biologiques les interdisant de répandre la malaria ? Combien de dizaines de millions de morts supplémentaires faudra-t-il pour que soit enfin autorisée la dispersion de ces moustiques qui viennent d’être mis au point dans les laboratoires de biologie cellulaire de l’Université de Californie ?

    C’est en utilisant l’outil révolutionnaire appelé CRISPR dont j’ai déjà mentionné dans ce blog l’aspect révolutionnaire, qu’une équipe de biologistes en tandem entre les Universités de Californie de San Diego et d’Irvine est arrivée à créer un moustique qui détruit les ookinetes, ces larves spéciales du Plasmodium falciparum qui se trouvent dans les glandes salivaires du moustique qui transmet la malaria. Il fallait en effet trouver un stratagème pour incorporer deux gènes dans les chromosomes du moustique dont l’expression soit stimulée quand les femelles piquent quelqu’un pour s’abreuver de sang afin de permettre la maturation des œufs, un processus qui en réalité n’a rien à voir avec la transmission du parasite, le plasmodium, car en définitive le moustique s’en passerait très bien. C’est en effet l’homme qui est le réservoir naturel du parasite mais celui-ci ne peut être transmis d’homme à homme que par l’intermédiaire du moustique, l’anophèle. Une sorte ce cercle vicieux sophistiqué comme l’indique l’illustration ci-dessus.

    - voir sur site -

    La stratégie a consisté à introduire une série de gènes en pratiquant de la très haute couture moléculaire au niveau de l’ADN, c’est-à-dire de manière ciblée, des gènes, deux pour être plus précis, l’un (m1C3) codant pour un anticorps dirigé contre une protéine de l’enveloppe de l’ookinète et l’autre (M2A10) dirigé contre une protéine du sporozoïte. Ces deux gènes ont été inclus dans un véhicule d’ADN circulaire contenant également le gène codant pour l’enzyme Cas9 associé au CRISPR et une partie codant pour l’ARN (gRNA) qui dirige le CRISPR vers un site spécifique de coupure pour que cet assemblage soit intégré dans un des chromosomes du moustique et non pas au hasard. Le site d’insertion a en effet été choisi de telle manière qu’on puisse reconnaître quel moustique a bien intégré ces informations. Il s’agissait d’un enzyme impliqué dans la pigmentation des yeux de la bête adulte. Les manipulations ont été réalisées par micro-injection dans des œufs de l’anophèle An. stephensi, une espèce qui contribue à répandre la malaria dans les zones urbaines de l’Inde en particulier mais sévit aussi depuis l’Egypte jusqu’à la Chine.

    (suite en dessous:)

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  8. Après 4 générations il s’est avéré que 99,5 % de la descendance, mâle et femelle, avait acquis ces caractères de manière stable et non mendélienne c’est-à-dire que ces gènes étaient devenus, pour faire bref, constitutifs. Les curieux peuvent lire l’article des PNAS en accès libre mais voici le diagramme résumant la « manipulation » par CRISPR interposé :

    - voir schéma sur site -

    Qu’attendre de cette avancée dans la lutte contre la malaria, pour l’instant peu de choses sinon que cette approche ne pourra être validée qu’en milieu réel. Les auteurs de l’article concluent qu’il faudra une combinaison de techniques pour espérer non pas éradiquer la malaria de la planète mais en réduire l’incidence. Ce ne sera que la conjugaison de l’approche prophylactique, des médicaments, des vaccins, des insecticides et de cette technologie alternative de modification génétique du vecteur qui pourra être couronnée de succès. La route à parcourir reste encore longue, des millions de victimes, mais y a-t-il une réelle motivation des Occidentaux dans cette lutte sinon celle des scientifiques ? Parce qu’après tout ces victimes de la malaria, ce sont des pauvres dans des pays pauvres et les pauvres, tout le monde s’en fout …

    http://www.pnas.org/cgi/doi/10.1073/pnas.1521077112

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/11/29/paludisme-et-manipulation-genetique-combien-faudra-t-il-de-morts-pour-quune-avancee-decisive-soit-autorisee/

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  9. «Le curieux cas de la chauve-souris": inversion du vieillissement à venir ?

    20 Décembre, 2013 12:37

    Les chauve-souris sont devenues les premières créatures à l'expérience de la 'Etrange histoire de Benjamin Button' pour de vrai, que des scientifiques australiens et américains ont réussi à inverser littéralement leur processus de vieillissement. Et ils disent que les humains pourraient être les prochains dans la ligne.

    La découverte est centrée sur un composé qui est comme un élixir de jeunesse, le ciblage et inverser le vieillissement musculaire, construire le tonus musculaire et en réduisant l'inflammation et en donnant plus d'énergie souris - comme si elles ont travaillé dans le gymnase. De même, la résistance à l'insuline a été la cible, en ajoutant le diabète à une liste déjà impressionnante de maladies liées à l'âge, qui pourraient bientôt être combattu, comme les maladies neurodégénératives et les cancers.

    La recherche résultant a été publiée dans la revue Cell le 20 Décembre.

    "J'ai étudié le vieillissement au niveau moléculaire maintenant près de 20 ans et je ne pensais pas que je verrais le jour où le vieillissement peut être inversé. J'ai pensé que nous serions chanceux de le ralentir un peu," a déclaré le professeur David Sinclair, de l'Université de Nouvelle-Galles du Sud. Il était le chef de l'étude, le travail à la Harvard Medical School aux Etats-Unis.

    La recherche a été testé sur des souris 6-month-old et 22 monthold vieux, en comparant d'abord comment le vieillissement a eu lieu en général, puis tester le nouveau composé sur les souris plus âgées pour voir si la "potion de la jeunesse" a travaillé.

    Une explication de comment et pourquoi le vieillissement se produit peut être vu dans les niveaux d'acide ribonucléique messager (ARNm) dans le noyau et dans les mitochondries, qui commencent à différer avec l'âge. Ces niveaux codent l'information génétique dans une cellule.

    Les mitochondries sont où tout le travail se fait. Tous les mammifères créent de l'énergie dans la façon dont les petites molécules sont créées lorsque les plus grands se décomposent, et l'énergie est libérée. Squelettique respiration musculaire est le résultat de cela, et son fonctionnement rapide est la clé de l'inversion de l'âge, les chercheurs expliquent.

    "Nous avons chromosomes que nous connaissons tous, nous l'appelons notre génome, mais il ya un autre ADN que souvent nous ne pensons pas - l'ADN mitochondrial que nous recevons de nos mères ... ce que nous avons trouvé est que pendant le vieillissement de ces deux génomes, les chromosomes, ne parlent pas de l'autre ", a dit Sinclair, en comparant les deux pour un couple marié vieillissement.

    (suite en dessous:)

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  10. Bien qu'une grande partie de l'information est réalisée par la mitochondrie, quelques fonctions responsables de la respiration musculaire sont codés dans les informations stockées dans le noyau. Par conséquent, un fonctionnement équilibré et coordonné des deux est essentielle, car avec l'âge, il commence à manquer, comme un appel téléphonique interrompu par des parasites.

    Les niveaux d'ARNm dans les mitochondries ont diminué dans les plus âgés. Et la même chose a été remarqué pour des protéines appelées SIRT-1 et une autre produite par le noyau, dont les niveaux sont reliés avec une durée de vie plus élevée.

    La coordination sain entre le noyau et les mitochondries ont été trouvés à mentir directement dans le montant de ces protéines - en particulier SIRT-1: plus le niveau, plus le vieillissement.

    Cependant, un problème plus important a été constaté à jeter dans la molécule que l'on appelle le NAD +, sa teneur dans le noyau. Mais les scientifiques ne pouvaient pas expliquer exactement comment il a gardé SIRT-1 niveaux plus haut. Ses propres niveaux simplement diminuaient avec l'âge.

    «Quand nous sommes jeunes, nous avons des niveaux élevés de NAD et si nous exerçons et de l'alimentation, les niveaux de cette molécule de NAD sont élevés dans notre corps ... mais que nous vieillissons, et que ces souris dans nos expériences étaient plus vieilles, le niveaux ont baissé d'environ 50 pour cent, puis nous pourrions donner ce médicament à apporter les niveaux remonter ".

    Pour essayer de tricher avec les organismes de souris à produire plus de SIRT-1, les scientifiques ont injecté à une vieille souris de 22 mois avec nucléotides mono nicotinamide (FLN) - une molécule directement responsable des niveaux de NAD, qui est au contraire connu pour mener à une augmentation de SIRT-1.

    L'expérience a fonctionné.

    Professeur Sinclair était étonné, disant cellulaire que "les souris ont plus d'énergie, leurs muscles étaient comme ils seraient l'exercice et il était capable d'imiter les avantages de la diète et l'exercice juste dans une semaine."

    En conséquence, les essais humains semblent pas être loin. "Nous pensons que cela devrait être en mesure de garder les gens en meilleure santé plus longtemps et les empêcher de contracter des maladies du vieillissement," Sinclair poursuivi, ajoutant que les maladies que nous sommes venus à attendre de la vieille âge ont été radicalement inversée chez les souris: atrophie musculaire a diminué, et n'a donc inflammations - qui conduisent à l'arthrite. Et le muscle le plus important dans le corps - le cœur - tout simplement inversé l'âge à la suite.

    Tout cela s'est passé en seulement une semaine.

    Et les résultats surprenants ont scientifiques envisagent sérieusement des essais humains dans la prochaine année, comme Sinclair se confirme qu'ils aimeraient faire le composé disponible dans le commerce bientôt.

    Bien sûr, sans tests rigoureux sur l'homme, ce n'est pas encore une possibilité, mais le professeur a mis en place une société dédiée à cela. Il n'est pas une tâche facile, car les coûts devraient être dans les millions. Mais jusqu'à présent, l'argent est le seul défi, afin que nous puissions ainsi commencer à se préparer à vivre plus longtemps, étant donné ce que nous venons d'apprendre.

    http://rt.com/news/mice-humans-age-reverse-551/

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    1. Cette étude a été démontrée aussi sur des souris vieilles (Université de L.A.) qui recevaient du sang de souris jeunes et qui, retrouvaient leur mémoire et leur motricité.

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