- ENTREE de SECOURS -



mardi 13 octobre 2015

Brûler de l'huile, nourrir le monde, faire pousser des plantes, sauver les forêts, obtenir plus riches, vivent plus longtemps. Pourquoi il est urgent d'élever le gazcarbonique.

Il est temps de cesser de pied chatte autour. Nous avons besoin des niveaux plus élevés de gazcarbonique. Il est moralement et éthiquement irresponsable de se taire, alors que des millions meurent de faim, de la biodiversité est menacée, et les gens meurent de froid.
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Le gazcarbonique augmente les cultures, flore forestière et de 14 % et vaut $ 140 milliards, juste dans la production agricole. Grâce au gazcarbonique, les forêts ont été protégés comme exploitations agricoles sont plus efficaces dans un monde de gazcarbonique plus élevé.
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Les pays qui ne font pas leur part dans la production de suffisamment de gazcarbonique ont besoin de lever leur jeu. L'utilisation du charbon devrait être favorisée au nucléaire, hydroélectrique, éolienne et solaire. Les pays comme la France sont sans contrepartie sur les nations comme la Chine, les États-Unis et l'Australie — qui aident à vert au monde et à nourrir les affamés.
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Indur Goklany a dressé un rapport complet sur les avantages du gazcarbonique pour la GWPF.
L'avantage de gazcarbonique plus élevé pour toutes les plantes cultivées de C3 est spectaculaire. C'est le riz, blé, orge, seigle, coton, betterave, épinards et pommes de terre. Les plantes C4 a évolué dans les dernières années de 30 millions pour être bon à s'attaquer aux faibles concentrations atmosphériques de gazcarbonique (maïs, canne à sucre, chou, brocoli, Carex, daisy) La plupart des usines sont C3.
Plant growth, CO2, C3 crops, C4 crops
Figure 1: fertilisation de gazcarbonique (en ppm, axes horizontaux) des récoltes de C3 et C4 contre les mauvaises herbes
Source : von Caemmerer et coll. (2012).
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Le froid tue plus que le fait de chaleur, même dans les villes chaudes plus de gens meurent en hiver :
Le modèle d'un taux plus élevé de décès dans les mois plus froids vaut également pour toutes les causes mortalité dans les régions tropicales et subtropicales en Chine, au Bangladesh, Koweït et Tunisie. Taux de mortalité apparemment aussi pic en hiver à Sao Paulo, Brésil ; Mexico et Monterrey (Mexique) ; Santiago (Chili), Cape Town, South Africa ; et Nairobi (Kenya) (voir la Figure 9). C'est aussi le cas pour les États américains du sud de la Floride, Texas, Californie et même Hawaii.198 en plus, à Cuba, décès par maladies cardiaques et les maladies cérébro-vasculaires, qui représentent 37 % de tous les décès, de pointe dans les mois les plus froids (hiver).
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Conclusion — des concentrations plus élevées de gazcarbonique améliore les deux humains et le bien-être des plantes.
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Résumé

  1. Cet article aborde la question de savoir si et comment beaucoup, des concentrations de dioxyde de carbone accrue ont bénéficié de la biosphère et l'humanité en stimulant la croissance des plantes, réchauffement de la planète et l'augmentation des précipitations.
  2. Les données empiriques confirment que la productivité de la biosphère a augmenté d'environ 14 % depuis 1982, en grande partie en raison de l'élévation du niveau de gazcarbonique.
  3. Des milliers d'expériences scientifiques indiquent que les concentrations croissantes de gaz carbonique dans l'air ont contribué à l'augmentation des rendements agricoles.
  4. Ces augmentations de rendement sont très susceptibles d'avoir réduit l'appropriation des terres pour l'agriculture 11 – 17 % par rapport à ce que ce serait dans le cas contraire, ce qui entraîne davantage de terres laissée sauvage.
  5. Satellite confirment que les concentrations ont également entraîné une plus grande productivité des écosystèmes terrestres sauvages dans tous les types de végétation croissant du gazcarbonique.
  6. Augmentation des concentrations de gazcarbonique ont également augmenté la productivité des écosystèmes marins beaucoup.
  7. Ces dernières décennies, les tendances des indicateurs sensibles au climat de bien-être humain et environnemental se sont améliorées et continuent de le faire en dépit des affirmations qu'ils se détériorerait en raison du réchauffement.
  8. En comparaison avec les avantages du gazcarbonique sur la productivité agricole et de la biosphère, les impacts négatifs du dioxyde de carbone – sur la fréquence et l'intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, le niveau de la mer, de la prévalence des maladies à transmission vectorielle et de la santé humaine – ont été trop petits pour mesurer ou ont été débordés par d'autres facteurs.
  9. Modèles utilisés pour influencer les politiques sur les changements climatiques ont surestimé le taux de réchauffement de la planète, sous-estimé les avantages directs de gazcarbonique, surestimé les méfaits du changement climatique et sous-estimé les capacités humaines d'adaptation afin de bien saisir les avantages tout en réduisant les méfaits.
  10. Il est très probable que l'impact de la hausse des concentrations de gazcarbonique est actuellement net bénéfiques pour l'humanité et la biosphère en général. Ces avantages sont réels, alors que les coûts du réchauffement sont incertaines. Enrayer l'augmentation des concentrations de gazcarbonique brusquement priverait les gens et la planète des avantages du gazcarbonique beaucoup plus tôt qu'ils réduiraient les coûts du réchauffement.
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29 commentaires:

  1. L'imposture du « Monde libre »

    le 12 octobre 2015
    par Eric Zuesse.

    13 octobre 2015 est la date de sortie du rapport de l'enquête faux — par les gouvernements de l'Ukraine, Pays-Bas, Belgique, Australieet en Malaisie plus tard — en qui et quoi et pourquoi causé l'abattre de l'avion malaisien MH17 Boeing sur la zone du conflit en Ukraine le 17 juillet 2014. C'est l'avion qui, au dernier moment, a été inexplicablement mandatée par contrôle du gouvernement ukrainien du trafic aérien pour aller hors du cours normal en évitant la zone de la guerre civile ukrainienne sur l'est et d'aller plutôt à droite dans la zone de guerre. L'avion de ligne a reçu une balle vers le bas avec 298 tous à bord de la mort. Obama et son coup d'état-installé le gouvernement ukrainien accusé la Russie immédiatement, et l'Union européenne (qui savait qu'il avait en fait pris Ukraine lors d'un putsch sanglant de février 2014 qui a été mis en scène pour ressembler à une « révolution ») rapidement cédé à la demande d'Obama faire de la randonnée les sanctions contre la Russie qui avaient été instituées en mars 2014, la Crimée a repoussé de Obama ukrainien coup d'État-imposées par le gouvernement et a organisé un référendum qui a donné lieu à de la Crimée de commutation pour redevenir une partie de la Russie , de qui la Crimée avait fait partie des centaines d'années jusqu'à ce que le dictateur soviétique en 1954 l'avait transféré à l'Ukraine — et donc la Russie est maintenant punie pour activer l'autodétermination, la vraie démocratie, pour les habitants de la Crimée.

    Mais l'Ouest gouvernement - et -« Actualités »-media mensonge est presque uniquement sur l'Ukraine. Par exemple, Regardez ceci :


    - voir clip sur site -
    https://www.youtube.com/watch?v=Kji6Jnuj1XY

    Cliquez sur ce lien juste en dessous de l'image de la vidéo. Dès le début, vous voyez CNN montrant que cette prétendue « ISIS vidéo de formation, » dans lequel les tentes des djihadistes sont arborant « US », et encore CNN n'est pas tirer toute conclusion que cette vidéo évidemment fausse implique le gouvernement américain. Non : au lieu de cela, à 0:18, l'annonceur affirme « Il s'agit de la propagande ISIS dernière. » Oh, vraiment — ISIS fait la promotion aux Etats-Unis? Non, ce n'est pas ce que CNN essaie de transmettre: à 0:30 onward, voyez-vous plutôt militaire expert Anthony Cordesman qualifiant « un décor », « et ce n'est pas vraiment un exercice d'entraînement, c'est un exercice vidéo. » Il a peut-être remarqué, le « US » sous ces tentes ? Eh bien, c'est très bien, parce que c'est vraiment « un exercice vidéo » (de Cordesman euphémisme pour "propagande"), mais Cordesman avec tact n'est pas affirmer dont il s'agit de la propagande. Au lieu de cela, CNN « reporter » fait cela, mais parce que la vérité à ce sujet n'est pas ce qu'il est payé pour signaler ici: À 0:50, ce même CNN « journaliste » qui avait, juste secondes plus tôt, a présenté la vidéo comme constituant « la propagande dernière ISIS, » conclut, encore une fois, « c'est la propagande. » Alors immédiatement, tout simplement, il s'éteint sur une tangente différente, tout est-il dangereux d'ISIS. Il ignore la stupidité de son avoir présumé, dès le début de son « rapport », qu'il est « PropagandeISIS , » quand c'est évidemment plutôt la propagande US. Et au lieu de son maintenant corriger ce mensonge de son, il laisse juste lui, non corrigé. Il ignore la fausseté qu'il avait précédemment indiqué (et titré), et tout s'éteint sur une tangente anti-ISIS. C'est combien outrage aux États-Unis des « nouvelles » médias ont de leur propre auditoire.

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  2. Ils ont au mépris non seulement pour le public, mais pour les victimes du MH17 Messe-meurtre .

    Il s'agit de la ' presse ' d'une dictature, pas d'une démocratie. C'est la propagande, pas de nouvelles. Il donne une idée fausse, détournant, désinforment et pointe où il ne fait pas partie de la responsabilité .

    Et c'est pourquoi chef de Russie, Vladimir Poutine, discutant le 7 octobre, la suggestion du Président Français Francois Hollande que la Russie doit coopérer avec "les groupes de rebelles modérée en Syrie", ou « l'armée syrienne libre, » fait référence à

    l'armée syrienne libre ce que l'on appelle. Toutefois, nous ne savons pas où il est et qui il dirige. Mais si nous supposons que cette aile militaire qui constitue ce qu'on appelle partie saine de l'opposition, s'il était encore possible d'unir leurs efforts dans la lutte contre l'ennemi commun, les organisations terroristes, al-Nusra et autres comme eux — puis il créerait de bonnes conditions pour plus de règlement politique en Syrie.

    Il pensait peut-être que les combattants rebelles supposés qui apparaissaient dans ce vidéo constituent les « rebelles modérées » que l'Occident faisait marche arrière, et dont CNN appelé « ISIS » ?

    Ce qui peuvent les dirigeants occidentaux faire, à part avoir des gros éclats de rire sur stupide leur public doit être, pour aller chercher leurs mensonges ?

    http://www.washingtonsblog.com/2015/10/the-fakery-of-the-free-world.html

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  3. Valeurs de gaz d'échappement travaillée : Volkswagen menace le remboursement de la prime à la casse

    Par rédacteur chef Nils Viktor Sorge

    Quand l'Allemagne avec le bonus environnemental promu le nouvel achat de voiture, aucun groupe n'a bénéficié plus que Volkswagen. Maintenant l'État pourrait exiger l'argent du groupe, les acheteurs VW a reçu à ce moment-là. Il s'agit de plusieurs millions d'euros.

    Quasi-quotidienne nouvelle dette sur Volkswagen tapotement vers le haut : devant les automobilistes de scandale de gaz d'échappement, les autorités, les banques et les actionnaires demandent une indemnisation pour les dommages en raison des millions manipulé Motors.

    Le dispositif de payé de prime à la casse 2009 et 2010, selon les informations fournies par le gestionnaire de magazine en ligne dans le collimateur des écologistes. Le contrôle Office fédéral de l'économie et de l'exportation (BAFA) vérifie une reprise pour les véhicules qui viennent avec un moteurs diesel modifiés sur le marché.

    Décider veulent BAFA, s'il n'y a plus de résultats de l'enquête sur le scandale. "Avant peut répondre à la question, si accordée au premier bonus environnemental pour véhicules à moteur diesel VW a été accordé peut être un problème, que les faits doivent tout d'abord ont été complètement résolu et légalement évaluées", a annoncé un porte-parole du BAFA. La promotion officiellement appelée environnement prime a été versée uniquement lors de l'achat de voitures au moins conforme à l'émission la norme Euro 4.

    Le cas, cependant, est déjà clair pour la Deutsche Umwelthilfe (DUH). « Cette subvention agi à tort », déclare le PDG de la Deutsche Umwelthilfe (DUH). « Volkswagen doit rembourser les dégâts ». Selon une étude de mmo devrait une somme de l'ordre de millions d'euros à trois chiffres.

    Au milieu de la grande dépression, l'État allemand avait financé l'achat d'une voiture neuve avec 2500 euros il y a six ans si un véhicule ancien est échangé en échange. Essentiel au maintien de promouvoir officiellement dénommé le prix de l'environnement a été également des nouvelles voitures répondant à l'émission de la norme Euro 4.

    La DUH suppose que nombreux diesel VW atteint cette norme uniquement grâce au logiciel de lutte contre la fraude intégré. Grâce à ce logiciel , les véhicules ont eu mai ne pas être admis en outre à tous. Volkswagen a eu une demande de mmo à la DUH prétendent tout d'abord sans réponse.

    État, parrainé par l'achat de 700 000 voitures de VW

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  4. Dans l'ensemble, la 2009/2010 État eu l'achat de 700 000 voitures de la marques Volkswagen, Audi, Skoda et seat subventionnées. Vente de l'aide pour Volkswagen s'élevait donc à 1,75 milliard d'euros. Le groupe a été le principal bénéficiaire de la prime de déchirage.

    Combien diesel voitures avec la prime ont été financées, est cependant imprécise – à propos de combien d'entre eux était équipés de moteurs modifiés. L'ACFA tant le Kraftfahrt-Bundesamt a dit mmo, qu'ils n'avaient aucune connaissance à ce sujet.

    Ce qui est certain c'est que Volkswagen le moteur affecté 189 EA à partir de 2008 dans les modèles de la série a construit. Les chiffres de l'enregistrement général indiquent encore une fois, que beaucoup plus d'essence que les véhicules à moteur diesel avec la casse ont été subventionnés.

    Officiellement considérés comme les acheteurs de voiture aurait à la solde de la prime retour - ceux-ci, accordés avant six ans enfin. Toutefois, selon la DUH, Volkswagen doit rembourser l'argent pour les automobilistes. Les visiteurs ne savaient pas que les voitures satisfaisaient aux conditions de l'indemnité d'environnement. Rapide: « consommateurs doivent pas les dommages. »

    http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/volkswagen-droht-rueckzahlung-der-abwrackpraemie-a-1057622.html

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  5. Le « 1 % » possèdent des actifs de la moitié du monde : le tableau magnifique

    Soumis par Tyler Durden le 13/10/2015 11:50 -0400

    Sur des éléments clés pour comprendre tout le massif, coordonné, global alléger l'effort que les banques centrales ont entamé depuis la crise financière est que ces politiques ont contribué à creuser le fossé entre les riches et les pauvres.

    Ben Bernanke - et beaucoup d'autres planificateurs centraux tant vantées d'ailleurs - vous dira une autre histoire. Ils vous diront qu'en créant des emplois et stimuler l'économie, QE et ZIRP ont fait plus pour les classes moyennes - et bas-qu'ils ont pour les riches.

    Évidemment, c'est absurde. Lorsque vous adoptez un ensemble de mesures politiques spécifiquement conçu pour gonfler la valeur des actifs qui sont plus susceptibles d'être concentré dans les mains des riches, vous perpétuer les inégalités et aggraver la ségrégation de la classe par défaut - en effet, par définition. Preuve Voici :

    Si ce n'était pas Benle hérosBernanke du "courage d'imprimer comme un fou ivre keynésien", rien de tout cela n'aurait été possible, et par « cela », nous entendons bien sûr qui la valeur nette des 0,1 % des Américains s'apprête à surpasser la richesse de la fond 90 % des ménages américains.

    - voir graphique sur site -

    Cela est apparent partout et a été documenté par la Fed elle-même au moins une fois cette année. Pendant ce temps, des bulles d'actifs dans les choses comme art haut de gamme et mega demeures soulignent la mesure dans laquelle les échelons de la société sont plus en plus ras.

    Le Credit Suisse est maintenant avec la dernière édition de son rapport de la richesse mondiale et même si les résultats ne sont pas surprenants, ils valent mise en évidence.

    Trois solistes: i) la hausse de la valeur des actifs financiers est plus certainement contribuer à une augmentation de l'inégalité mondiale, force ii) dollar a conduit à la première baisse dans la richesse mondiale totale (qui tombait par $ 12,4 billions de $ 250,1 billions) depuis 2007-2008, iii) 0,7 % de la population mondiale possède près de la moitié de la richesse du monde tandis que le bas 71 % de la population possèdent seulement 3 %.
    Nous présentons la pyramide de richesse tout d'abord suivie d'une autre couleur d'après le rapport.

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  6. - voir graphique sur site -

    Le topd de la pyramide, zoomée :

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    Du Credit Suisse

    La part des actifs financiers a de nouveau augmenté en pourcentage de la richesse totale et peut aider à expliquer pourquoi les inégalités de richesse sont bordure vers le haut. Le top 1 % des détenteurs de richesse possèdent maintenant la moitié de toutes les richesses des ménages.

    Pour déterminer comment mondial richesse est distribuée sur les ménages et les individus – plutôt que les régions ou les pays – nous combinons nos données sur le niveau de richesse des ménages dans tous les pays avec des informations sur le modèle de répartition des richesses au sein des pays. Une fois que les dettes ont été soustraites, une personne a besoin seulement USD 3 210 parmi la moitié plus riches des citoyens du monde à la mi-2015. Cependant, USD 68 800 est tenu d'être membre des 10 % des richesses mondiales des supports et USD 759 900 appartenant au top 1 %. Tout en bas de la moitié des adultes détiennent collectivement moins de 1 % de la richesse totale, le décile le plus riche détient 87,7 % des actifs et les comptes seul centile de la moitié de la richesse totale des ménages. Rapport de l'an dernier couvert tendances dans l'inégalité de richesse en détail. Les actions du top 1 % et top 10 % de la richesse mondiale a chuté entre 2000 et 2007, celui du centile de 48,9 % à 44,8 %, par exemple. Toutefois, la tendance s'est inversée depuis 2008 et la hausse supplémentaire cette année prend la part du centile supérieur à un niveau non observées depuis 2000 et peut-être ne pas vu depuis près d'un siècle. Néanmoins, la part du décile supérieur reste au-dessous du niveau de 88,3 % atteint en 2000.

    - voir graphique sur site -

    Bien qu'il existe des raisons pour lesquelles les inégalité de richesse peut être sur une trajectoire ascendante laïque, les changements d'année en année sont fortement influencés par l'importance relative des actifs financiers dans le portefeuille des ménage, alors que nous explorons plus en détail dans la section suivante du présent rapport. Il existe de fortes raisons de penser que la hausse des inégalités de richesse depuis 2008 est liée principalement à la hausse des prix des actions et à la taille des actifs financiers dans les États-Unis et d'autres pays de haute-richesse, qui ensemble ont fait grimper la richesse de certains des pays plus riches et d'un grand nombre de personnes les plus riches du monde. Le saut de la part du centile supérieur à 50 % cette année est supérieure à l'augmentation attendue sur la base de toute tendance à la hausse sous-jacente. Il est compatible, cependant, avec le fait que les actifs financiers continuent d'augmenter en importance relative et que l'augmentation de l'USD l'an dernier a donné inégalité de richesse aux États-Unis, qui est très élevé selon les normes internationales, plus de poids dans l'image globale.

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  7. - voir graphique sur site -

    Il y a beaucoup de raisons pour les richesse des différences observées entre les personnes. Certaines personnes avec faible richesse sont jeunes et auront eu peu d'occasions d'accumuler des actifs. D'autres pourraient avoir subi des pertes commerciales ou malheurs personnels, ou peuvent vivre dans des pays ou régions où les perspectives de création de richesse sont limitées. Possibilités sont également limitées pour les femmes ou les minorités dans certains pays. À l'autre extrémité du spectre sont des personnes qui ont acquis des grosses fortunes grâce à une combinaison de talents, de travail acharné et de bonne chance. La pyramide de richesse illustrée à la Figure 1 reflète ces différences. Il a une grande base de détenteurs de richesse faible et les niveaux supérieurs occupés par des adultes de moins en moins. Nous estimons que 3,4 milliards de personnes – 71 % des adultes dans le monde – ont une richesse au-dessous de USD 10 000 en 2015. Une autres milliards adultes (21 % de la population mondiale) chute dans la gamme de 10 000 – 100 000 USD. Alors que la richesse moyenne est modeste dans les niveaux de base et intermédiaires de la pyramide, la richesse totale ici s'élève à USD 39 billions, soulignant l'importance économique de ce segment souvent négligé.

    Rapport complet:
    https://www.credit-suisse.com/ch/en/about-us/research/research-institute/publications.html

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    S'il vous plaît Ben, nous en dire plus sur comment qui trickle down « effet de richesse » oeuvres...

    http://www.zerohedge.com/news/2015-10-13/1-own-half-worlds-assets-stunning-chart

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  8. Le désordre mondial

    Par Ghassan Kadi –
    Le 3 octobre 2015 – Source thesaker.is

    Le récent discours du président Poutine à l’Assemblée générale des Nations unies a révélé au reste du monde l’ampleur des mensonges et de l’inefficacité de l’Occident. De plus, l’initiative militaire russe en Syrie qui a suivi presque immédiatement ce discours a laissé tous les ennemis de la Syrie dans une impasse, confus et pantois.

    Simultanément, le secrétaire d’État Kerry dit qu’il veut coopérer avec la Russie tandis que les autres responsables états-uniens se disent préoccupés par le rôle de cette dernière et demandent l’arrêt de son intervention militaire. Israël est très préoccupé par le couvre-feu imposé par les Russes à son aviation dans le ciel syrien. Pour ajouter aux malheurs d’Israël, quelques fuites indiquent que le Hezbollah a reçu de l’Iran des missiles anti-aériens sol-air SA-22 de dernière génération. La Turquie est furieuse parce que la Russie aurait attaqué l’Armée syrienne libre (FSA dans son sigle anglais). Les Saoudiens demandent que la Russie cesse son assaut, et tous les soi-disant islamistes protégés souhaitent que les Russes soient ramenés en Russie dans des linceuls pour rejouer ce qui s’est passé en Afghanistan.

    La Russie démontre clairement qu’il n’y a aucune différence entre l’une ou l’autre des forces armées illégitimes qui opèrent en Syrie et qu’elle est là pour soutenir l’armée syrienne et le gouvernement élu, indépendamment de ce que l’Occident et ses partisans disent, veulent ou pensent.

    Lavrov ne pouvait pas l’exprimer plus crûment lorsqu’il a dit que «s’il ressemble à un terroriste, s’il marche comme un terroriste, s’il combat comme un terroriste, c’est un terroriste, non ?»

    En fait, on peut être presque certain que les premières attaques russes ont délibérément frappé autant de groupes différents que possible dans le but, pour la Russie, d’envoyer le message clair qu’elle ne fait aucune distinction entre les divers groupes terroristes et qu’elle a l’intention de tous les détruire.

    Le président Poutine a fait une remarque très subtile lorsqu’il a dit que les combattants étrangers en Syrie ne devraient pas être autorisés à rentrer chez eux. Logiquement, cela implique qu’il pensait qu’ils seraient tous tués ou capturés.

    L’intervention militaire russe est indéniablement un acte sans précédent, qui marque le véritable début d’une nouvelle ère géopolitique. C’est un pas beaucoup plus important que les diverses étapes qui ont précédemment signalé la fin de l’ère du Nouvel ordre mondial. [US NWO, NdT]

    La fin de l’hégémonie du Nouvel ordre mondial était déjà apparue clairement en Ukraine, puis en septembre 2013, en Méditerranée occidentale [pour empêcher le bombardement de la Syrie, NdT], indiquant que l’Amérique n’est plus le leader mondial incontesté.

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  9. L’ancienne nation syrienne était destinée à être le lieu où cette nouvelle phase historique de la géopolitique a émergé et où un changement fondamental a été imposé.

    Lorsque nous utilisons le terme imposé, nous devons définir la nature de cette imposition, parce que les présidents Poutine et Assad imposent le droit international et les accords bilatéraux ; contrairement à la multitude de coalitions menées par les États-Unis, qui ont envahi des pays pour renverser leurs gouvernements légitimes, piller leurs ressources et leurs infrastructures et détruire leurs économies.

    Donc les États-Unis sont maintenant pris entre le marteau et l’enclume. Pour la première fois depuis très longtemps, ils sont contraints d’admettre qu’ils ne sont plus l’unique superpuissance mondiale. En outre, ils se retrouvent à devoir accepter qu’un développement international majeur s’est produit en Syrie contre leur volonté et qu’ils sont incapables de l’arrêter.

    Mais l’acceptation par l’Amérique du nouveau statu quo et l’abolition du Nouvel ordre mondial post-URSS n’est pas le principal dilemme auquel elle doit faire face. Aux yeux des politiciens américains bellicistes, la question principale est d’affronter les conséquences. Si l’Amérique devait rester assise et regarder la Russie mettre en œuvre ses propres résolutions en Syrie, alors cette position reviendrait à accepter la défaite.

    Accepter sa défaite est quelque chose d’énorme que l’Amérique n’a pas l’habitude de faire. Pour elle, accepter la défaite est une affaire sérieuse qui pourrait amener des politiciens bellicistes à se lancer dans de gros paris et de dangereuses manœuvres .

    Il n’y a pas très longtemps, je me suis demandé ce que pourrait faire une Amérique désespérée, et j’ai écrit un article intitulé How Far Will A Desperate America Go ? [Jusqu’où ira une Amérique désespérée ?]. J’y examinais hypothétiquement quelques scénarios potentiels et j’y envisageais quelques réactions, mais l’initiative russe en Syrie a redistribué toutes les cartes, plongeant l’Amérique dans une situation où elle pourrait devoir lutter non seulement pour sa survie, non seulement pour sa taille, mais aussi pour son impunité et sa capacité à prendre des décisions indépendantes.

    En effet, de nombreux observateurs considèrent que les actions de l’Amérique en Ukraine visaient à punir la Russie pour le rôle qu’elle a joué en Syrie jusqu’en 2013. Nous devons garder à l’esprit que si c’est vrai, ç’aurait été en représailles des deux missiles américains visant la Syrie et abattus par les Russes au-dessus de la Méditerranée orientale. Comparé à ce que fait la Russie aujourd’hui, la destruction de deux missiles est une peccadille, dérisoire et insignifiante.

    Là est la question : l’Amérique a-t-elle déclenché le chaos ukrainien dans le but de punir la Russie simplement pour avoir abattu deux missiles américains destinés à frapper la Syrie ? Alors, jusqu’où est-elle prête à aller pour punir la Russie parce que celle-ci bombarde les cellules terroristes en Syrie, révélant ainsi l’impuissance de l’Amérique ?

    Un tel scénario est effrayant, c’est peu de le dire, et c’est peut-être le seul souci relatif à la manière dont l’intervention russe en Syrie peut devenir scabreuse.

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  10. Hormis une confrontation ouverte avec la Russie en Syrie, l’Amérique ne peut pas, de façon réaliste, faire grand chose pour entraver la Russie. Les acolytes régionaux de l’Amérique au Moyen-Orient, y compris Israël, ne sont pas en position de se dresser contre la Russie. Ergodan a été rendu totalement impuissant et les Saoudiens sont profondément empêtrés. De plus, même avant le début de l’assaut russe, le cocktail anti-syrien avait déjà volé en éclats et chacun de ses fragments a continué en solo à récupérer des morceaux dans la poursuite de ses propres intérêts et de sa survie.

    Washington doit être en effervescence, dans l’agitation et la confusion. Les décideurs et les conseillers politiques, les stratèges et les experts recherchent sans doute toutes les solutions alternatives, mais ils doivent trouver tous les choix très difficiles, parce qu’ils n’ont pas trop d’options. Si l’Amérique opte pour laisser la Russie faire sa part en Syrie, elle pourrait laisser faire avec l’idée qu’elle peut facilement allumer un autre foyer ailleurs et/ou raviver l’incendie en Ukraine et causer ainsi des problèmes à la Russie. Mais cela ne règle que la moitié de la question parce que, à moins que l’Amérique ne réussisse à stopper l’initiative russe en Syrie, elle sera considérée comme ayant accepté sa défaite.

    La Russie tente de restaurer un ordre mondial universellement accepté basé sur l’ONU, mais l’Amérique a encore le pouvoir de créer un nouveau désordre mondial. Le fait que les auteurs de la politique américaine soient assez fous pour aller dans cette direction sera déterminé par de nombreux facteurs, y compris savoir qui tiendra la barre après Obama. Nous pouvons bien critiquer Obama, nous le faisons et le devons, mais il est très possible que le nouveau président américain fasse ressembler George W. Bush à Mère Teresa. C’est peut-être une bonne raison pour que la Russie agisse rapidement en Syrie avant que quelque fou furieux conservateur ne remporte la prochaine élection présidentielle aux États-Unis.

    Maintenant, la Russie dirige la manœuvre. La conspiration menée par les États-Unis en Ukraine s’est déjà retournée contre elle en Crimée, augmentant le butin des russes.

    Le président Poutine comprend bien la mentalité américaine. Il sait que les Américains sont des fiers-à-bras et il sait comment s’y prendre avec eux.

    Les fiers-à-bras n’acceptent pas qu’on les voie vaincus. Par conséquent, les Américains doivent pouvoir accepter de voir leur fierté rabaissée, avec un minimum de dommages, si la diplomatie russe parvient à leur trouver une porte de sortie qui leur permette de sauver la face.

    Après tout, la reddition des armes chimiques en 2013 était un édulcorant négocié par les Russes que l’Amérique a avalé sans hésitation. La différence entre les événements de 2013 et ceux d’aujourd’hui est que l’événement des deux missiles américains abattus par la Russie en 2013 était resté en coulisse et n’était connu que de quelques-uns. L’Amérique n’était pas partie la queue entre les jambes parce que l’événement est resté ignoré aux yeux du monde. Mais actuellement on voit tout et quelle que soit l’ordonnance prescrivant la potion magique qui sauvera la face des États-Unis, elle sera clairement écrite en cyrillique pour le reste du monde.

    Ghassan Kadi
    Traduit par Diane, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/le-desordre-mondial/

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  11. Pic pétrolier – Cul par dessus tête [2/3]

    L’effondrement des prix du pétrole n’est pas dû à une surproduction de pétrole, mais à une destruction de la demande et à un pic du crédit

    Par Allan Stromfeldt Christensen – Le 11 septembre 2015 – Source fromfilmerstofarmers.com
    Note du Saker Francophone


    Ce second épisode permet de relier les problématiques de crédit et d'endettement à la production d'énergie, base de notre système économique.

    Comme j’avais commencé à l’évoquer à la fin de la première partie de ce triptyque, je suis très récemment venu à la conclusion que les prix du pétrole ne vont pas avoir une tendance haussière, en raison du resserrement de l’approvisionnement imposé par le pic pétrolier, mais vont au contraire se déprécier. Bien sûr, cela va à l’encontre de la logique commune de l’offre et de la demande, mais lorsque l’on tient compte de la méthode par laquelle la majorité de notre argent est créé, on peut voir entrer en jeu un effet déflationniste. Bizarrement cela m’a pris longtemps pour le deviner, car bien qu’ayant amassé un tas d’éléments divers, je n’avais pas réalisé qu’ils faisaient en fait tous partie du même puzzle.

    Avec le pic pétrolier et les banques à réserves fractionnaires comme les deux premières pièces de ce puzzle, la troisième pièce que je devais prendre en compte (et curieusement, j’avais déjà écrit à ce sujet) est le fait que l’argent est un intermédiaire pour l’énergie. Comme je l’écrivais dans un précédent post, l’argent: intermédiaire populaire.

    Autrement dit… la fonction de base de l’argent est de nous permettre de domestiquer l’énergie – celle utilisée pour déplacer nos corps, pour alimenter nos machines, pour nourrir les animaux domestiques dont nous utilisons l’énergie ensuite pour faire le travail (ce qui de nos jours signifie généralement nous divertir), etc. En d’autres termes, même si c’est difficile et / ou incommode, on peut se passer d’argent. Mais pas d’énergie [pensez au soleil qui nous chauffe, et permet la vie, NdT].

    En d’autres termes, à la base, nos économies ne fonctionnent pas sur l’argent, elles fonctionnent sur l’énergie. En outre, la forme de monnaie n’a, à la limite, pas vraiment d’importance, que vous utilisiez des pièces de monnaie, des morceaux de papier, de l’or, des digibits (zéro et un), des coquillages, ou quoi que soit d’autre, parce que si vous ne disposez pas de l’énergie nécessaire pour effectuer le travail et / ou créer les produits que votre société attend, l’argent est pratiquement inutile et sans valeur.

    Bien qu’il serait exagéré de dire que tous nos problèmes économiques ont toujours été, à la base, des problèmes d’énergie, le pic pétrolier (et le pic de combustibles fossiles en général) combiné avec le fait que l’argent est un intermédiaire pour l’énergie, impliquerait, à l’inverse, une sorte de pic de l’argent. En d’autres termes, cela implique donc une limite à la création de crédit. Par conséquence, comme les banques créent l’argent sous forme de dette via le système des réserves fractionnaires et doivent continuellement créer de nouveaux crédits de sorte que les intérêts puissent rembourser les crédits précédents (pour que le système n’implose pas), eh bien, le système est un peu dans un cul de sac. En outre, les prix du pétrole et les marchés boursiers à travers le monde ayant pris récemment un bouillon, la situation en Grèce et dans les pays dans une situation similaires restant encore une question épineuse, cette potion diabolique commence à faire son effet.

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  12. Quoiqu’il en soit, aucune de ces questions de fond et de ces problèmes ne sont volontiers reconnues (ni même mentionnées) par les médias traditionnels. Comme Business Insider l’a souligné fort à propos, mais peut-être un peu trop adroitement (en ce qui concerne la confusion actuelle du marché):

    … ce qui est vraiment au cœur de la confusion des marchés à l’heure actuelle, c’est qu’il n’y a rien à montrer du doigt. Il n’y a aucune bulle technologique prête à éclater ou d’implosion du marché des subprimes… [Il y a quand même une grosse bulle sur les valeurs mobilières et les dérivés, NdT] Et donc les médias, comme par exemple Business Insider, et les acteurs du marché ne peuvent simplement que constater ce qui est arrivé, sans être en mesure de l’expliquer.

    Jusqu’à présent, les médias grand public ont surtout mentionné que nous sommes dans une époque de surabondance de pétrole, due à l’augmentation massive de la production de pétrole de schistes aux États-Unis au cours des dernières années, et à l’augmentation de la production de l’OPEP l’année écoulée, ajoutant encore la possibilité de l’arrivée sur le marché du pétrole iranien suite à la levée des sanctions. Toutefois, cette notion d’une surabondance de pétrole est plutôt douteuse pour plusieurs raisons. Tout d’abord, la consommation mondiale de charbon augmente à son taux le plus faible depuis la crise asiatique de 1998. En plus de cela, plus tôt cette année, le Baltic Dry Index (un indice qui mesure le prix du transport maritime) a atteint son plus bas sur 28 ans. Pendant ce temps, les commandes à l’exportation des usines chinoises viennent de baisser pour le onzième mois consécutif, avec l’activité du mois d’août baissant à son rythme le plus rapide depuis trois ans, ce qui à son tour a conduit à une augmentation des licenciements.

    Ce genre de choses ne se produit pas parce qu’il y a trop de pétrole, une surabondance supposée, cela se produit parce que les gens achètent moins. C’est cela entre autre qui a amené certaines personnes à penser que le problème n’est pas tant une surabondance de pétrole que l’absence de demande, autrement dit la destruction de la demande.

    Dans le passé, la chute des prix du pétrole a finalement conduit à son propre rétablissement, lorsque la demande est revenue, stimulée par la baisse des prix. Mais ces chocs étaient souvent induits géopolitiquement, tandis que la situation actuelle est un choc sur les prix du pétrole induit géologiquement. Autrement dit, depuis plusieurs années maintenant, le pétrole a été vendu dans une gamme de prix plutôt élevée, de l’ordre de 100 dollars, en raison de conditions d’extraction plus difficiles [rendements décroissants, NdT]. Maintenant il est extrait des sables bitumineux, des plate-formes en haute mer, du pétrole de schiste, et ces sources exigent des prix plus élevés pour permettre aux producteurs de faire des profits. Le pétrole à 100 dollars le baril permettait aux foreurs et aux autres acteurs du marché de faire des bénéfices, rendant possible, pendant assez longtemps, de payer une main d’œuvre importante. Mais le Projet national pour l’emploi et le travail vient d’annoncer que «le salaire moyen en termes réels a chuté de 4% sur la période 2009-2014».

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  13. À son tour, la réduction de la demande a contribué à une dépression des prix du pétrole, ce qui a conduit au licenciement massif d’un personnel bien payé («Il est facile de gagner au moins 100 000$ par an»), une perte de 100 000 postes aux États-Unis jusqu’à présent, et 900 autres au Canada la semaine dernière, et ainsi de suite.

    Du coup, le nombre croissant de consommateurs laissés en route a fini par avoir moins d’argent à dépenser, conséquence de la perte de l’accès à la forme la plus classique du crédit, l’emploi, tandis que d’autres ne cherchent plus et / ou acceptent autant de crédit que les banques tentent désespérément de distribuer, soit parce que les gens essaient de rembourser les dettes qu’ils ont déjà soit qu’ils se réveillent face aux risques d’en prendre encore plus. Comme le Toronto Star en convient ,

    Les difficultés économiques pourraient commencer à peser sur leurs résultats [ceux des grandes banques canadiennes], sinon directement, du moins au travers des défauts plus élevés sur les crédits, avant – indirectement – de réduire la croissance des crédits et des autres sources de revenus.

    Si vous êtes comme moi, alors vous avez probablement reçu des cargaisons d’offres de cartes de crédit avec des taux d’intérêt à 0% (avec une taxe initiale de 1%, plus une marge sur les transferts) de toutes sortes de banques. En d’autres termes, les banques sont de plus en plus désespérées pour amener les consommateurs à s’endetter pour éviter que la spirale de la dette ne s’arrête et que le système se grippe en fin de compte. De même, c’est la raison pour laquelle les gouvernements [en réalité les banques centrales, NdT] pratiquent l’assouplissement quantitatif (QE) [planche à billets,NdT], pour augmenter la liquidité.

    Dans l’intervalle, tandis que le crédit au consommateur final pose un problème, la situation du crédit pour les industries d’extraction et de production d’énergie n’est pas meilleure. Les sables bitumineux canadiens fournissent ainsi un bon exemple pour l’expliquer.

    Si on laisse de côté la destruction écologique terrible laissée dans le sillage des projets autour des sables bitumineux, les opérations industrielles massives mises en place pour réaliser des profits nécessitent un prix relativement élevé du pétrole (avec le corollaire que ces prix contribuent à l’insolvabilité de beaucoup de consommateurs). Actuellement, avec des prix aussi bas pour le pétrole, seulement 450 000 des 2,2 millions de barils de brut synthétique produits par jour sont rentables. Cela place de nombreuses sociétés travaillant sur les sables bitumineux entre le marteau et l’enclume. Car, comme l’écrit le Toronto Star :

    Le problème est que ces entreprises ne peuvent tout simplement pas cesser de produire. Elles en ont encore besoin pour payer leurs factures, et pour assurer que leurs engagements obligataires soient respectés.

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  14. En d’autres termes, avec autant d’argent investi à perte dans leurs opérations, et avec autant d’obligations vendues (en parallèle à toutes les obligations pourries vendues par les opérateurs autour de la fracturation hydraulique, en particulier aux États-Unis), les projets pétroliers non rentables doivent continuer l’extraction pour obtenir un strict minimum de revenus quotidiens, de peur d’avoir à renier leurs paiements et faire faillite.

    Cela étant dit, certains producteurs de pétrole ont couvert leurs paris jusqu’en 2015 avec un prix médian de 87,51 dollars, et s’en sortent donc pour le moment. Néanmoins, ces couvertures expirent et les remboursements venant à échéance, les producteurs ont besoin de trouver plus de 500 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années. Ce qui va se passer d’ici là est l’objet de conjectures. Est-ce que les foreurs de puits de pétrole et autres entreprises vont pouvoir restructurer leurs crédits et / ou accéder à de nouveaux crédits s’ils sont saignés à blanc ? Vont-ils faire faillite en masse et se vendre pour quelques centimes par dollar investi et très probablement jeter l’économie mondiale dans une récession induite encore une fois par une autre bulle ? Est-ce que les banques exposées aux dérivés de crédits vont obtenir d’être renflouées encore une fois après avoir fait gonfler et vu éclater leur deuxième bulle en moins d’une décennie ?

    D’autre part, avec le problème des prix bas du pétrole, est-il encore possible que certains types d’intervention et / ou de politiques gouvernementales puissent provoquer une remontée des prix du pétrole et sauver les marchés (et, euh… la civilisation industrielle) ? Eh bien, comme il se doit, les gouvernements ont fait deux choses la semaine dernière qui ont entraîné la hausse du prix du pétrole de 27% en trois jours. Tout d’abord, l’Arabie saoudite a annoncé qu’elle était disposée à discuter du prix du pétrole. Cela a rendu le marché heureux et a donc contribué à augmenter les prix. Mais c’était juste histoire de baratiner les marchés car l’Arabie saoudite n’a en réalité rien dit de nouveau, car elle avait depuis longtemps indiqué qu’elle était prête à engager un dialogue (dans le but de restreindre la production courante avec d’autres, pas unilatéralement). Deuxièmement, la branche de New York de la Réserve fédérale a laissé entendre que la prochaine hausse des taux d’intérêt que beaucoup avaient prévue était susceptible d’être retardée. Ainsi les marchés boursiers ont obtenu une autre dose de dopamine et ont regagné la plupart de leurs pertes, tandis que le prix du pétrole a simultanément rebondi. Cependant, vous ne pouvez pas baratiner les marchés trop longtemps.

    De même, un certain nombre de circonstances pourraient orienter le prix du pétrole à la hausse, un ouragan bien placé ou le déclenchement d’une guerre dans une partie optimale du monde. En réalité, deviner les prix et les mouvements du pétrole est finalement un jeu de dupes, joué par des imbéciles néanmoins plutôt grassement payés.

    Indépendamment de la façon dont tout cela va se terminer, toutes choses étant égales par ailleurs, la tendance est maintenant à ce que les prix du pétrole continuent à diminuer. Nous ne sommes plus dans un cycle de haut plus hauts et de bas plus bas, suivis par des hauts toujours plus élevés et des creux, mais des plus hauts en baisse et des creux inférieurs, suivant leur chemin vers le bas dans la direction opposée de l’économie des niais qui professent dans des journaux comme le New York Times : «Cela se résume à une simple économie de l’offre et de la demande.»

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  15. Pour clore tout cela, et pour souligner une question assez juste – et tout à fait pertinente –, est-ce que cela signifie que le pétrole va se planter tout en bas à 0 $ et être libre ? En bref, non, et les circonstances actuelles peuvent l’expliquer. Bien sûr, si les gouvernements et les banquiers ont décidé de laisser tout le système se gérer seul, alors oui, la chaîne de Ponzi irait probablement à sa ruine en implosant, et le prix du pétrole serait à 0 dollars – ou plutôt à ?? dollars. Cela bien sûr ne sera pas autorisé à se produire. Car puisque le système de crédit est un intermédiaire pour le système énergétique que la civilisation industrielle maintient, cela signifie que le tri des peuples et des nations par la machine industrielle du crédit les trie efficacement pour la fourniture de combustibles fossiles. En supposant que nous puissions même nous le permettre, cela signifie qu’il y aura moins de combustibles fossiles pour eux et plus pour nous afin de maintenir le fonctionnement de nos économies industrielles et continuer à vivre le XXIe siècle avec nos vies alimentées par les combustibles fossiles auxquels nous sommes accros (jusqu’à ce que le tri frappe à notre porte comme il l’a déjà fait pour certains). Et la méthode par laquelle le tri se fait est la méthode bien connue maintenant de l’austérité sur une micro échelle, avec des Grexits et d’autres variantes à une échelle macro.

    Aussi ambigu que cela puisse être, il y a cependant une troisième option pour laquelle il peut valoir le coup de se battre. C’est celle que je vais développer dans la partie 3.

    Allan Stromfeldt Christensen
    Traduit par Hervé, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/pic-petrolier-marche-arriere-23/

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  16. Le plan américain pour anéantir la Russie en Syrie

    Valentin Vasilescu
    mondialisation.ca
    dim., 11 oct. 2015 12:00 UTC

    L'unique objectif de Washington en Syrie est de destituer Bachar Al-Assad et de le remplacer par une marionnette américaine capable de mettre en œuvre le plan de Qatar Petroleum (soutenu par l'Arabie Saoudite, le Qatar, la Turquie et les États-Unis), pour remplacer le russe Gazprom sur le marché européen du gaz naturel et du pétrole brut. C'est l'opposition de Bachar Al-Assad à ce plan qui a déclenché l'utilisation de forces extérieures et la guerre civile de la Syrie.

    Pourquoi les Américains ont perdu le match en Syrie ? Quelques éléments de réponse

    De ce point de vue, l'État Islamique, qui lutte contre l'armée nationale syrienne fidèle à Bachar Al-Assad, est de facto un allié des États-Unis. La preuve en est que, après plus de 2 000 frappes aériennes menées par les États-Unis durant la dernière année, la capacité combattive de l'EI est restée intacte et n'a pas diminué d'un iota. Une autre preuve est mise en évidence par les milliers de camionnettes Toyota utilisées par l'EI, fabriquées aux États-Unis, avec les modifications exigées par l'armée américaine et qui probablement appartenaient aux troupes américaines déployées en Irak et en Afghanistan.

    -- Commentaire : Souvenons-nous que l'État Islamique est une création des États-Unis et qu'il n'existe que pour servir les objectifs étasuniens.

    État Islamique crée à Langley par la CIA soutenu par Tel-Aviv et Riyad
    L'Occident facilitera la montée de l'État Islamique afin d'isoler le régime syrien --

    L'intervention de la Russie en Syrie représente la première contestation du rôle de gendarme du monde des États-Unis depuis la chute du rideau de fer. En fait, en déployant ses avions de combat en Syrie, la Russie a repris là brutalement et sans équivoque, un rôle de premier plan dans la croisade contre l'EI. Après 10 jours de bombardement, les Russes étaient arrivés à un taux de 67 frappes/jour, visant quelques 60 cibles de l'EI. Dans quelques semaines la Russie lancera quotidiennement 10 fois plus de bombes avec des bombardiers Tu-95, Tu-22 M3 et Tu-160.

    Ils peuvent procéder de la même manière que les Américains avec leurs bombardiers B1, B-2 et B-52 en Yougoslavie en Irak et en Libye, puisque le rayon d'action de ces avions permet de frapper des cibles en Syrie en décollant et atterrissant sur des bases en Russie. Ces bombardiers russes à grand rayon d'action transportent 10 fois plus de missiles de croisière et de bombes que les Su-24, Su-25 et Su-34 basés en Syrie. Les États-Unis ne peuvent ni abattre les avions russes dans l'espace aérien de la Syrie, ni frapper leurs bases, pour la simple raison que la Russie dispose de l'arme nucléaire et qu'une riposte de sa part déclencherait la troisième guerre mondiale.

    Et si la Russie n'est pas entravée dans son action, elle peut résoudre le dossier syrien en 6 à 8 mois seulement. Par conséquent, Washington se voit forcé de concocter, dans l'ombre, un plan avec des mesures susceptibles de compromettre la mission russe en Syrie. Quelles sont ces mesures ?

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  17. 1. La désinformation permanente de l'opinion publique sur le sens de cette action russe en Syrie, en la présentant comme plus criminelle que celles de l'EI, de manière à ce que la solution américaine apparaisse comme la meilleure, quelle qu'elle soit.

    2. Par exemple, dès le premier jour des frappes russes en Syrie (30 septembre), les médias ont diffusé des photos truquées pour induire l'idée que les Russes auraient tué des femmes et des enfants, et qu'elle bombardait les centres de population. Les photos en question étant faites le 25 septembre.

    Les Russes ont démonté cette désinformation en démontrant, grâce à des vidéos, qu'ils n'en étaient encore qu'à un stade où ils cherchaient à priver l'EI de munitions, de carburant et de moyens de communication. Les dépôts de carburant et de munitions dans les zones occupées par l'EI appartenaient, par le passé, à l'armée syrienne avant qu'elle ne se retire.

    3. Ensuite, les Américains entreprirent de désinformer l'opinion publique encore une fois, disant que les avions russes larguaient des bombes de la Seconde Guerre Mondiale, qui auraient une précision de plus de 500 m, ce qui ne leur permettrait de détruire aucune cible de l'EI. Un reportage de la télévision russe RT sur rapport à partir de la base aérienne russe à Lattaquié, montre des bombes et des missiles à guidage laser, TV et GPS, au moment où on les accrochait aux avions avant leurs missions de combat. L'écart probable de ces armes est de 4 m, maximum.

    4. Après que des navires russes de la mer Caspienne aient lancé 26 missiles de croisière sur 11 cibles de l'EI en Syrie, les américains ont menti à l'opinion publique en affirmant, sans produire le moindre élément de preuve, que quatre d'entre eux seraient tombés en Iran. Les missiles de croisière 3M-14T Kaliber ne peuvent pas rater leurs cibles, car ils disposent de trois systèmes différents de guidage coordonnés par un radioaltimètre très précis. La Russie a lancé 26 missiles de croisière à partir de la mer Caspienne sur des cibles de l'EI

    5. Une autre mesure visant à limiter le succès des russes est la remotivation des rebelles islamistes, fortement ébranlés par les bombardements des avions russes. Le plan des Américains consistera, très probablement, à augmenter les salaires des mercenaires islamistes qui se battent en Syrie, de 350-500 USD/mois à 2 000 USD/mois. Le Congrès américain a alloué 500 millions de dollars aux rebelles syriens. Il est probable que les États-Unis feront pression sur l'Arabie Saoudite et le Qatar (sponsors des rebelles islamistes, et qui ont, jusqu'ici, donné 4 milliards de dollars) pour compléter le budget nécessaire pour le renversement de Bachar al Assad. Dans ce contexte, 6 000 combattants islamistes ont déjà abandonné la lutte et se sont retranchés en Turquie, d'où ils comptent poursuivre leur route vers l'Europe. Surtout que, à plus ou moins brève échéance, des commandos Spetsnaz russes entreront dans la danse sur le terrain et commenceront la chasse aux rebelles islamistes en Syrie.

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  18. 6. Aussi, pour remonter le moral des islamistes ils doivent pouvoir démontrer que les Russes ne sont pas invincibles. À cette fin, il est nécessaire de leur livrer des moyens AA, tout aussi faciles à manipuler et capables d'abattre des avions russes, ce qui aurait un fort impact dans l'opinion publique. Pour abattre des hélicoptères d'attaque russes qui volent sous l'altitude de 1 800 m, l'arme la plus efficace serait la mitrailleuse américaine à 6 tubes rotatifs GAU-19/A, cal. 12,7 mm qui peut être montée sur des camionnettes et qui a une cadence de tir de 2 000 coups / minute.

    Contre les hélicoptères, mais aussi contre les avions russes Su-25 qui volent souvent sous l'altitude de 5.000 mètres pour les missions d'appui rapproché, les missiles portatifs américains FIM-92 Stinger, produits sous licence par Roketsan (Turquie), sont très efficaces. Les officiels saoudiens ont déjà répondu à la demande américaine, affirmant avoir livré cette semaine aux rebelles islamistes, encore un lot de systèmes de missiles antichars américains BGM-71 TOW, pour stopper l'offensive de l'armée nationale syrienne.Offensive de grande envergure de l'armée nationale syrienne

    -- Commentaire : Les mesures que citent M. Vasilescu sont toutes très réelles mais ne sont surement pas complètes car pour des êtres de conscience il est impossible de prévoir ce qu'un esprit psychopathique peut penser et surtout ce qu'il va faire. Il ne faut jamais oublier que pour un psychopathe, tout ce qui se trouve entre lui et son objectif doit être éliminé et TOUS les moyens sont bons pour arriver à son objectif. --

    http://fr.sott.net/article/26587-Le-plan-americain-pour-aneantir-la-Russie-en-Syrie

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  19. Les États-Unis souhaitent soutenir le MEK (Moudjahidine e-Khalq), organisation terroriste en Iran, pour compenser leur défaite en Syrie


    Land Destroyer
    mar., 13 oct. 2015 16:44 UTC
    Traduit par Lawrence Desforges


    Alors que les États-Unis cherchent à extorquer une résolution en Syrie construite sur le changement de régime, les sénateurs US et les généraux conspirent pour armer et soutenir une nouvelle armée terroriste ciblée sur l'Iran.

    Une audition du 7 octobre 2015 devant le Comité Sénatorial US sur les Forces Armées (SASC, Senate Committee on Armed Forces) intitulée, « L'Influence Iranienne en Iraq et le Cas de Camp Liberté », a servi de réaffirmation de l'engagement des USA à soutenir l'organisation terroriste Moudjahidine e-Khalq (MEK), et spécifiquement 2400 membres de cette organisation actuellement hébergés dans une ancienne base militaire américaine en Irak.

    Fournissant leurs témoignages étaient le Sénateur américain Joseph I. Lieberman, l'ancien Commandant du Corps des Marines et ancien Suprême Commandant Allié pour l'Europe le Général James Jones (retraité) et le Colonel Wesley Martin de l'US Army (retraité).

    Ces trois témoins ont livré des plaidoiries passionnées devant une salle remplie de sénateurs acquis pour que les États-Unis continuent non seulement de soutenir les terroristes de MEK actuellement hébergés dans une ancienne base militaire américaine en Irak, mais de soutenir des groupes comme MEK à l'intérieur même de l'Iran pour menacer la survie du gouvernement de Téhéran.

    Dans ses remarques d'ouverture, Lieberman a déclaré :

    Non seulement il était juste et bon que nous les ôtions de la liste des organisations terroristes étrangères, mais le fait est qu'aujourd'hui nous devrions les soutenir ainsi que d'autres qui s'opposent au gouvernement iranien davantage que nous ne l'avons fait.

    Lieberman a également ajouté :

    Voici mon idée M. le Président, nous devrions compartimenter aussi cet accord, cet accord nucléaire. Nous devrions le ranger de côté, et ne pas le laisser nous empêcher de confronter ce qu'ils font en Syrie. Poursuivre les sanctions pour les violations des droits de l'homme en Iran en soutien au terrorisme. Et voici ce que je tiens à dire concernant le Conseil National de Résistance de l'Iran et d'autres groupes d'opposition démocratiques qui sont iraniens - nous devrions les soutenir.

    Ce régime à Téhéran est sans espoir. Il ne va pas changer. Il n'y a pas de preuve... chaque élément de preuve affirme le contraire. Donc j'espère que nous pouvons trouver un moyen, c'est ce que nous faisions il n'y a pas si longtemps, soutenir des groupes d'opposition en Iran. Ils méritent notre soutien et en fait ils génèreraient une forme de pression sur le gouvernement de Téhéran qui les déstabiliserait autant que toute autre chose en notre pouvoir parce que cela menacerait la survie du régime qui, de par tous les indicateurs objectifs que je peux voir, est en Iran un régime très impopulaire.

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  20. Les États-Unis, sans remords pour l'arc de chaos, de tueries de masse, de terrorisme, de destruction civilisationnelle qu'ils ont créé et qui s'étend de la Libye à la Syrie, cherchent désormais ouvertement à l'étendre plus loin à l'intérieur de l'Iran en se servant exactement des mêmes tactiques - l'usage d'intermédiaires terroristes - pour démanteler et détruire la société iranienne.

    Bien que Lieberman, le Général Jones et le Colonel Martin aient tous les trois catégoriquement échoué à décrire avec précision la réelle nature des terroristes de MEK qu'ils entendent soutenir dans une guerre par procuration contre l'Iran, les documents de politique américaine desquels ces trois lobbyistes lisent l'ont fait et en grand détail.

    MEK s'est livré à des décennies d'attaques terroristes brutales, d'assassinats et d'espionnage contre le gouvernement iranien et son peuple, ciblant dans le même temps des citoyens américains dont la tentative d'enlèvement de l'Ambassadeur US Douglas MacArthur II, la tentative d'assassinat du Brigadier-Général Harold Price de l'US Air Force, l'assassinat réussi du Lieutenant-Colonel Louis Lee Hawkins, le double assassinat du Colonel Paul Shaffer et du Lieutenant-Colonel Jack Turner, et le traquenard et le meurtre réussis des employés de Rockwell International William Cottrell, Donald Smith et Robert Krongard.

    La reconnaissance des morts des employés de Rockwell International peut être trouvée dans un rapport écrit par l'ancien responsable du Département d'État US et du Ministère de la Défense Lincoln Bloomfield Jr. pour le compte de la firme de lobbying Akin Gump, une tentative d'ignorer les inquiétudes entourant le passé violent de MEK et de comment il est relié à sa campagne actuelle de terreur armée - un testament des profondeurs de vice hors desquelles opèrent les lobbyistes de Washington et de Londres.

    À ce jour les terroristes de MEK ont mené des attaques à l'intérieur de l'Iran tuant des opposants politiques, attaquant des cibles civiles, ainsi qu'en exécutant le programme israélo-étasunien de ciblage et d'assassinat de scientifiques iraniens. Les terroristes de MEK sont aussi soupçonnés d'avoir contrôlé des agents dans de récentes opérations sous faux drapeau exécutées en Inde, en Géorgie et en Thaïlande, qui ont été faussement imputées au gouvernement iranien.

    MEK est décrit par l'agrégé supérieur du Council on Foreign Relations Ray Takeyh comme une « organisation sectaire » ayant des « tendances totalitaires ». Tandis que Takeyh se retient d'élaborer sur ce qu'il entend par « sectaire » et « totalitaire », une interview avec la Radio Free Europe-Radio Liberty gérée par le Département d'État rapporte qu'un évadé du Camp Ashraf de MEK a affirme que l'organisation terroriste interdit le mariage, l'usage de radios, d'Internet, et retient beaucoup de membres contre leur gré sous la menace de mort si jamais ils sont pris à essayer de s'échapper.

    Pas une seule fois, le moindre élément de cette toile de fond n'est évoqué par aucun des témoins de l'audition sénatoriale, souillant la mémoire de ceux qui ont été assassinés et autrement victimisés par cette organisation terroriste. Le retrait de MEK de la liste d'organisations terroristes en 2012 par le Département d'État américain est un autre révélateur du manque total de principes derrière lesquels se cachent les États-Unis plutôt que de les soutenir dans l'exercice de l'exécution de la politique étrangère.

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  21. MEK a déjà permis aux États-Unis la possibilité de mener un conflit de basse intensité contre l'Iran. Le rôle de MEK en la matière fut discuté avec enthousiasme aussi tôt qu'en 2009, plusieurs années avant même qu'il soit retiré de la liste d'organisations terroristes par le Département d'État américain dans le document d'orientation de la Brookings Institution « Quelle Chemin vers la Perse ? Options pour une Nouvelle Stratégie Américaine Envers l'Iran » (PDF).

    Le rapport déclarait :
    Le groupe d'opposition peut-être le plus important (et certainement le plus controversé) qui ait attiré l'attention comme potentiel intermédiaire américain est le CNRI (Conseil National de Résistance de l'Iran), le mouvement politique établi par le MEK (Moudjahidine e-Khalq). Des détracteurs pensent que le groupe est non-démocratique et impopulaire, et même anti-américain.

    Par contraste les défenseurs du groupe avancent que l'opposition de longue date du mouvement au gouvernement iranien et ses antécédents d'attaques réussies et d'opérations de recueil de renseignements contre le régime le qualifient pour un soutien américain . Ils affirment également que le groupe n'est plus anti-américains et mettent en doute la valeur d'accusations antérieures. Raymond Tanter, l'un des défenseurs du groupe aux États-Unis, argue que le MEK et le CNRI sont des alliés pour un changement de régime à Téhéran et agissent aussi comme intermédiaire utile pour l'obtention de renseignements. Le plus grand coup du MEK en matière d'espionnage fut la fourniture de renseignements en 2002 qui menèrent à la découverte d'un site secret en Iran pour l'enrichissement de l'uranium.

    Malgré les affirmations de ses défenseurs, le MEK demeure sur la liste du gouvernement américain d'organisations terroristes étrangères. Dans les années '70, le groupe a tué trois officiers américains et trois employés civils américains en Iran. Pendant la crise des otages de 1979-1980, le groupe a applaudi le choix de prendre des otages américains et Elaine Sciolino a rapporté que bien que les leaders du groupe aient publiquement condamné les attaques du 11 septembre, au sein du groupe la liesse était répandue.

    Certes, le groupe a mené des attaques terroristes - souvent pardonnées par les supporters du MEK parce qu'ils sont dirigés contre le gouvernement iranien. Par exemple, en 1981, le groupe bombarda le siège central du Parti de la République Islamique, qui était alors la principale organisation politique de la direction ecclésiastique, tuant selon les estimations 70 responsables de haut rang. Plus récemment, le groupe a revendiqué plus d'une douzaine d'attaques au mortier, d'assassinats et autres assauts contre des cibles civiles et militaires iraniennes entre 1988 et 2001. Au minimum, afin de travailler plus étroitement avec le groupe (du moins de façon ouverte), Washington aurait besoin de le retirer le la liste d'organisations terroristes étrangères.

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  22. Preuve que le document d'orientation de Brookings était davantage qu'un simple exercice théorique, en 2012 le MEK allait effectivement être retiré de la liste des organisations terroristes étrangères par le Département d'État avec le soutien à ce groupe terroriste étendu. Le fait que d'anciens sénateurs et généraux à la retraite représentant des think tanks corporatistes grassement financés complotent cette semaine d'utiliser le MEK pour renverser le gouvernement iranien devrait éveiller le soupçon que davantage de criminalité ourdie dans les pages de ce document d'orientation est peut-être toujours en action.

    Lieberman lui-même suggère que la guerre par procuration et le changement de régime devraient continuer quel que soit le soi-disant « accord nucléaire » - le rapport de 2009 de Brookings ayant lui-même affirmé que :
    ... toute opération militaire contre l'Iran sera probablement très impopulaire et nécessitera le contexte international approprié - à la fois pour assurer le soutien logistique dont aurait besoin l'opération et pour minimiser son retour de flamme. La meilleure façon de minimiser l'opprobre international et de maximiser le soutien (quel qu'il soit, réticent ou indirect) est de ne frapper que lorsqu'il y a la certitude répandue que les Iraniens ont rejeté une offre superbe - si bonne que seul un régime déterminé à acquérir des armes nucléaires et de les acquérir pour les mauvaises raisons la déclinerait. Dans ces circonstances, les États-Unis (ou Israël) pourraient présenter leurs opérations comme prises dans la tristesse, pas la colère, et au moins certains dans la communauté internationale en concluraient que les Iraniens « se les sont attirées sur eux-mêmes » en refusant un très bon accord.
    Clairement, à la fois Brookings en 2009 et Lieberman cette semaine ont conspiré pour utiliser le soi-disant « accord nucléaire » comme couverture pour la trahison et le changement de régime.

    Pour ceux qui se demandent pourquoi la Russie est intervenue en Syrie de la manière dont elle l'a fait, cela devrait être clairement évident. Les États-Unis n'ont nullement l'intention de s'arrêter en Syrie. Avec l'Irak, l'Afghanistan et la Libye derrière eux, et la Syrie entre leurs griffes, il est évident que l'Iran est le suivant, et inévitablement cette guerre-éclair globale ne s'arrêtera pas avant qu'elle n'atteigne Moscou et Pékin.

    Même si les États-Unis nient énergiquement l'évidence - qu'ils ont délibérément créé et perpétuent actuellement al-Qaïda, le soi-disant « État Islamique » et d'autres groupes terroristes en Syrie, ils conspirent ouvertement pour utiliser une autre armée de terroristes contre l'Iran voisin, en direct lors d'une audition sénatoriale. Si les États-Unis devaient réussir en Syrie, cela ne serait pas la fin du conflit, mais seulement la fin du commencement d'une guerre mondiale beaucoup plus vaste.

    http://fr.sott.net/article/26585-Les-Etats-Unis-souhaitent-soutenir-le-MEK-Moudjahidine-e-Khalq-organisation-terroriste-en-Iran-pour-compenser-leur-defaite-en-Syrie

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  23. La banque de l'UE envisage de réclamer à VW le remboursement de prêts qu'elle lui a accordés


    par Aude Ottevanger
    13 oct. 2015

    La Banque Européenne d'Investissements (BEI) veut déterminer si Volkswagen a utilisé les prêts accordés par l'UE afin de falsifier les tests d'émissions polluantes de ses véhicules diesel. Dans l'affirmative, elle pourrait exiger le remboursement de ces aides, a indiqué le patron de la BEI Werner Hoyer au journal allemand Süddeutsche Zeitung.

    "La BEI pourrait avoir subi un coup dur (suite au scandale), parce que nos prêts doivent remplir des objectifs climatiques", aurait dit Hoyer, selon un résumé de l'article à paraître lundi dans le journal.

    Le plus grand constructeur automobile d'Europe a admis avoir falsifié les tests d'émissions des gaz aux Etats-Unis et, selon le ministère des transports allemand, les tests européens auraient également été truqués. VW vend 40% de ses véhicules en Europe.

    La BEI aurait octroyé des prêts d'une valeur d'environ 4,6 milliards d'euros à Volkswagen depuis 1990, entre autres pour financer le développement de véhicules produisant moins d'émissions, et la construction de sites de montage en Afrique du Sud. Sur ce chiffre, 1,8 milliard d'euros devraient être remboursés.

    La BEI conduira une "enquête très poussée" afin de déterminer ce à quoi les fonds ont été employés, aurait déclaré Hoyer au Süddeutsche en marge d'une réunion du FMI à Lima, Pérou. S'il s'avère que les fonds ont été utilisés à d'autres fins, la banque de l'UE devra "se demander s'il faut réclamer le remboursement des prêts", a-t-il précisé.

    Hoyer a également déclaré qu'il était "très déçu" par Volkswagen, ajoutant que les relations de la BEI avec le fabricant pourraient être grandement affectées par le scandale.

    http://www.express.be/business/fr/economy/la-banque-de-lue-envisage-de-reclamer-a-vw-le-remboursement-de-prets-quelle-lui-a-accordes/216229.htm

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  24. 15.000 conducteurs sans permis en Belgique en 2014

    par Arnaud Lefebvre
    12 oct. 2015

    En Belgique, les contrôles de police révèlent de plus en plus souvent que des chauffeurs roulent sans permis, indique le journal La Dernière Heure sur base des statistiques des tribunaux de police belges. L’an dernier, 15.116 conducteurs ont dû se justifier devant un tribunal de police car ils circulaient sans permis valable, soit une augmentation 57% par rapport à l'année précédente. Selon les juges, ce sont surtout les jeunes qui prennent place derrière un volant de manière illégale parce qu'ils n'ont pas la patience d'avoir satisfait à toutes les conditions nécessaires pour obtenir le permis.

    Selon l'IBSR (Institut Belge de la Sécurité Routière), le phénomène doit sans doute être attribué plus à la fréquence et à l'efficacité des contrôles qu'à une attitude de la population en matière de conduite. La loi est également plus sévère à l'égard des conducteurs sans permis.

    Les juges de police ont vu aussi augmenter les dossiers pour d'autres infractions. En 2014, au total, 293.887 personnes ont été condamnées par les tribunaux de police, ce qui correspond à une augmentation de 7% par rapport à l'année précédente.

    En outre, il est apparu que 868 conducteurs ont dû répondre d'un délit de fuite après un accident avec blessés, ce qui équivaut à une hausse de 12,4% par rapport à l'année précédente. Les accidents avec dégâts matériels importants ont augmenté de 21,4% par rapport à 2013 avec 6.415 délits de fuite commis.

    6.242 chauffeurs ont été jugés parce qu'ils étaient impliqués dans des accidents alors qu’ils étaient en état d’ébriété, soit une hausse de 11% par rapport à 2013. 2.393 conducteurs ont été responsables d’accidents avec blessés alors qu’ils avaient consommé de l’alcool, soit une augmentation de 0,2% par rapport à 2013. Enfin, pendant les contrôles, on a retiré le permis à 1.794, soit une hausse de 60% par rapport à l'année précédente.

    http://www.express.be/sectors/fr/auto/15000-conducteurs-sans-permis-en-belgique-en-2014/216205.htm

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  25. Permis de Nestlé d'attirer des millions de gallons d'eau en Californie est expirée, costume soutient


    par Geoffrey Mohan
    14 octobre 2015

    Environmental poursuivi le US Forest Service mardi, alléguant que l'agence a permis à Nestlé Waters pour tirer l'eau d'un ruisseau dans les montagnes de San Bernardino vertu d'un permis qui a expiré il y a plus de 25 ans.

    L'entreprise, propriétaire de la marque Arrowhead de l'eau embouteillée, a attiré des millions de gallons de la fourche ouest de Strawberry Creek vertu d'un permis, il semble acquis en 2002.

    À une époque où les résidents ont été invités à réduire la consommation d'eau durant la sécheresse de record, le détournement d'embouteillage commerciale aux consommateurs une fois de plus a mis Nestlé dans le réticule des querelles d'eau de l'Etat. La société fait face à un examen de ses activités de prélèvement d'eau ailleurs dans l'état.

    "Nous, les Californiens ont considérablement réduit notre consommation d'eau au cours de l'année écoulée dans le visage d'une sécheresse historique, mais Nestlé a refusé de se lever et de faire sa part», a déclaré Michael O'Heaney, directeur exécutif de l'histoire du projet Stuff, un demandeur dans la plainte déposée en Cour de district des États-Unis. "Jusqu'à ce que l'impact de l'opération de Nestlé est correctement examinée, le Service des forêts doit fermer le robinet."

    Le Service des forêts a permis aux opérateurs de pipelines de continuer à transporter de l'eau à environ quatre miles, à partir d'une série de 18 trous de forage et les tunnels à un réservoir de stockage près de Californie, sans examen plus rigoureux requis après le permis original a été publié en 1976, la poursuite allègue.

    «Examen moderne ne laisserait jamais ce genre de choses se produire", a déclaré Eddie Kurtz, directeur exécutif de l'Institut campagne Courage, un groupe d'intérêt public qui est co-demandeur dans l'instance. "Notre compréhension est qu'il y a un grand nombre de permis de ce genre dans tout le pays."

    Les groupes, avec le Center for Biological Diversity, disent la branche Creek fournit une connexion est-ouest cruciale entre les bassins versants dans une zone habitée par des espèces en péril d'oiseaux, des serpents, des poissons et des grenouilles. Les niveaux d'eau naturels de la branche sont difficiles à déterminer en raison de la déviation, mais le ruisseau a de l'eau toute l'année, une rareté dans la région, la poursuite allègue.

    L'action en justice vient sur les talons d'une enquête cette année par le Desert Sun. Jody Noiron, superviseur pour la forêt nationale de San Bernardino, a déclaré au journal que la suite re-délivrance du permis serait devenu une priorité pour l'agence.

    Jane Lazgin, porte-parole de Nestlé Waters North America, a déclaré la société opère dans le cadre d'un permis valide et en coopérant avec le service forestier.

    «Le Service des forêts des États-Unis est en train de réexaminer le permis, mais nous continuons à fonctionner avec ce permis qui ne reste en vigueur et de plein effet», a déclaré Lazgin.

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  26. Porte-parole du service régional des forêts John Heil dit politique actuelle permet Nestlé de poursuivre ses activités tout en un examen de sa demande de renouvellement de permis est en cours.

    Bien qu'un examen de la demande de Nestlé pourrait prendre au moins 18 mois, l'agence envisage de limites provisoires pendant la sécheresse, a déclaré Heil.

    L'agence dispose d'un carnet de commandes d'environ 2500 a expiré permis d'utilisation spéciales, dont environ 1200 impliquent l'utilisation de l'eau, a t-il ajouté.

    Les manifestants ont piqueté et livrés pétitions à l'entreprise cette année exigeant qu'il arrête les opérations d'embouteillage en Californie.

    Nestlé dispose de cinq usines d'eau embouteillée en Californie et emploie environ 705 millions de gallons d'eau chaque année. Nestlé a déclaré qu'il utilise moins de 0,008% de l'approvisionnement en eau de la Californie.

    http://touch.latimes.com/#section/1780/article/p2p-84696714/

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  27. Chine joint à la Russie en Syrie amène des risques de guerre mondiale

    Lundi 12 octobre 2015

    American déclin : Chinois force la tête vers la Syrie à se joindre avec la Russie pour combler le vide du pouvoir de Obama et censée lutter contre l'Etat islamique. Un faux déplacer les membres de l'OTAN impliquant la Turquie pourraient signifier la guerre mondiale.

    Des sources militaires russes et chinois nous confirment que les navires de guerre chinois sont en route vers le Moyen Orient pour mettre la main sur certains de l'action d'humilier les Etats-Unis

    En seulement une semaine et demi, Moscou a bouleversé la dynamique du pouvoir dans la Mideast en prenant sur le rôle que le président Obama a renoncé : agissant comme une superpuissance dans un conflit régional qui a des répercussions qui s'étend bien au-delà de la région.

    Souverain russe Vladimir Poutine a lancé des frappes aériennes contre les rebelles s'opposant à l'organisation terroriste régime Assad en Syrie, tout d'abord avec une modeste force pour jauger la réaction américaine et peut-être sortir si menacé. Ne voir aucune menace, Poutine a intensifié les opérations russes, même l'envoi de troupes des forces spéciales Spetsnaz.

    Entrée de la Chine signifie deux grandes puissances sont retirent faire ce que les Etats-Unis n'était pas disposé à faire contre est.

    C'est une leçon à quelle vitesse les tableaux peuvent tourner quand Amérique affiche faiblesse — perdre les guerres en Irak et en Afghanistan et avéré inefficace contre est malgré elle combat pendant un an et trois mois maintenant.

    Notre commandant en chef admet même qu'il n'a aucune stratégie de lutte contre le califat monstrueux qui a sa propre politique de faiblesse mis en place.

    Ce qui se passe apparemment maintenant était inconcevable avant Obama envoyé l'Amérique en spirale en déclin : nos deux adversaires de la guerre froide s'unir militairement dans un effort qui en définitive leur domination, à nos frais, dans la partie plus stratégiquement importante du monde, les riches en pétrole et politiquement fragile au Moyen-Orient.

    Vous ne peut pas acquitter vos objectifs là au cours des années avec les militaires plus avancés dans le monde ? Amende. Regardez-nous faites-le, Moscou et Pékin nous disent avec leurs actions. Et au mois, ou peut-être seulement quelques semaines.

    Comment le prochain président nous creuserons hors de ce trou est difficile à comprendre. Une nouvelle Doctrine de Brejnev guerre froide pourrait entrer en vigueur, dans laquelle Moscou et Pékin avertissent qu'ils laisseront pas les États-Unis réaffirmer son influence dans les pays qu'ils ont "libéré" dans la Mideast.

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  28. Si qui s'avère être le cas, l'Amérique sera risquer de guerre avec la Russie et la Chine, si elle tente même de regagner son influence de pre-Obama dans la région.

    Qui plus est, avec déjà plus d'une fois « accidentellement » violé l'espace aérien de la Turquie, membre de l'OTAN en dépit de son actuel gouvernement anti-américain, les dangers de la Russie, Moscou et Pékin se livrant à des incursions ou autres actes de provocation à la frontière entre la Syrie et la Turquie — sont claires.

    Tous les pays de l'OTAN sont obligées par traité pour se défendre contre une attaque sur n'importe quel pays de l'OTAN individuels. Si la Russie et la Chine voir ce qu'ils peuvent impunément, ils pourraient exposer l'OTAN comme impuissant.

    Ou, pire encore, elles pourraient déclencher la troisième guerre mondiale.

    Ni Obama, ni les nombreux millions de personnes qui ont voté pour lui deux fois jamais pensé que sa politique de faiblesse pourraient rendre les choses aussi mauvaise.

    http://news.investors.com/ibd-editorials/100915-774990-china-joining-russia-to-humiliate-us-weakened-by-obama.htm

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    1. On comprend vite que le 'News Investors' est du côté des assassins et non du côté de ceux qui veulent empêcher la III è guerre mondiale !

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