- ENTREE de SECOURS -



lundi 14 septembre 2015

Tout aliment est génétiquement modifié

Quelques idées reçues à propos des OGM méritent d’être révisées.
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Par Chelsea German, depuis les États-Unis
Un article du Cato Institute
le 14 septembre 2015 dans Sciences, Technologies
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Un article récent de Business Insider sur les ancêtres sauvages des fruits et légumes modernes en peignait un sombre tableau. Une carotte ressemblait à n’importe quelle racine brune maigre arrachée de la terre au hasard. Le maïs était presque aussi fin et immangeable qu’un brin d’herbe. Les pêches étaient autrefois des baies minuscules avec bien peu de chair. Les bananes étaient les moins identifiables de tous les fruits, dépourvues des deux caractéristiques associées avec leurs homologues modernes : la peau pratique à enlever et l’intérieur sans pépins. Comment ces plantes à peine comestibles se sont-elles transformées en ces appétissants fruits et légumes que nous connaissons aujourd’hui ? La réponse est l’ingéniosité humaine et des millénaires de modification génétique.
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L’humanité n’a cessé d’innover pour produire plus de nourriture avec moins de terres, moins d’eau et moins d’énergie. En conséquence, la nourriture est non seulement plus abondante, mais elle est aussi proposée à des prix toujours plus bas.
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Le rythme des avancées technologiques peut parfois être, passez moi l’expression, difficile à digérer.
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La viande cultivée en laboratoire, créée sans la nécessité de tuer un animal, est déjà une réalité. Le premier hamburger cultivé en laboratoire est apparu en 2013, et coûtait alors plus de 300 000 $, mais le prix du steak haché de laboratoire a depuis chuté, et le créateur de cette innovation « prévoit d’être en mesure de produire des steaks hachés sur une échelle suffisamment importante pour les vendre moins de 10$ la pièce dans les cinq ans à venir. »
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Les personnes qui ne mangent pas de viande sont toujours plus nombreuses, et la culture en laboratoire est une excellente nouvelle pour ceux qui sont végétariens uniquement pour des raisons éthiques. Il faut actuellement plus de terres, d’énergie et d’eau pour produire une livre de bœuf qu’on ne le fait pour produire des calories équivalentes sous forme de poulets ou de céréales. Ainsi, la viande cultivée pourrait également conduire à d’énormes gains dans l’efficacité de la production alimentaire.
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Un autre bel exemple du progrès humain dans le domaine de la nourriture est le riz doré. L’Organisation mondiale de la santé estime que 250 000 à 500 000 enfants deviennent aveugles chaque année en raison de carence en vitamine A, et environ la moitié d’entre eux meurent dans l’année où ils perdent la vue. Le riz doré, qui doit en grande partie son existence à une fondation privée, la Fondation Rockefeller, est génétiquement modifié pour produire du bêta-carotène, que le corps humain peut transformer en vitamine A. Des centaines de milliers d’enfants des pays en développement pourraient voir leur carence en vitamine A éliminée par le riz doré et ainsi échapper à la cécité et à la mort.
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Les humains n’ont cessé de modifier les aliments depuis des millénaires, et aujourd’hui nous pouvons le faire de bien des façons, de la viande cultivée au riz doré. Malheureusement, il est devenu à la mode de redouter les organismes génétiquement modifiés (OGM) modernes, même si les scientifiques conviennent globalement qu’ils sont sans danger.
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L’hystérie anti-OGM a incité la chaîne de restaurant populaire Chipotle à se qualifier très récemment « sans OGM » (affirmation très douteuse), inspirée par un mouvement politique qui exige l’étiquetage des aliments génétiquement modifiés (une réglementation inutile laissant entendre aux consommateurs que les OGM sont dangereux), et alimente également l’opposition au riz doré.
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Matt Ridley, membre du conseil consultatif de HumanProgress.org, a résumé le problème dans une récente tribune publiée par le Wall Street Journal :
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« Après 20 années et des milliards de repas, il n’y a encore aucune preuve que les [OGM] nuisent à la santé humaine, et il y a de nombreuses preuves de leurs avantages environnementaux et humanitaires.
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Enrichi de vitamines GM le « riz doré » pourrait sauver des vies dans l’avenir, mais Greenpeace s’y oppose. Les producteurs bangladais d’aubergine pulvérisent leurs cultures avec des insecticides jusqu’à 140 fois en une saison, au risque de leur propre santé, parce que la version OGM de la plante qui résiste aux insectes est farouchement condamnée par les écologistes. L’opposition aux OGM a certainement coûté bien des vies.
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D’ailleurs, que remplacent les OGM ? Avant l’invention des cultures transgéniques, le principal moyen pour créer de nouvelles variétés était « la sélection par mutation » : brouiller l’ADN d’une plante de manière aléatoire, en utilisant des rayons gamma ou des mutagènes chimiques, dans l’espoir que certains des monstres ainsi produits auraient de meilleurs rendements ou de nouvelles caractéristiques.
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Par exemple, l’orge « Golden Promise », le favori des brasseurs organiques, a été produit de cette façon. Cette méthode, pourtant moins sûre que le transfert de gènes bien connus, n’est pourtant soumise à aucune réglementation particulière. »
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Heureusement, si les règlements inspirés par le sentiment anti-OGM peuvent ralentir les progrès, il est probable qu’ils ne peuvent le faire indéfiniment. Pour ceux qui veulent éviter les aliments GM modernes, le marché pourra toujours fournir des alternatives plus traditionnelles, et pour le reste d’entre nous, l’ingéniosité humaine continuera probablement à augmenter l’efficacité agricole et améliorer la nourriture d’une manière que nous ne pouvons même pas imaginer.
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Pour en savoir davantage sur les progrès que nous avons déjà faits, visiter HumanProgress.org et sélectionner dans « Browse Data » la catégorie « Food ».
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Traduction de « Human Ingenuity and the Future of Food » par Gérard-Michel Thermeau pour Contrepoints.
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17 commentaires:

  1. vendredi 21 août 2015

    OGMs (3) : Le cas du riz doré, Greenpeace une organisation criminelle

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/08/ogms-3-le-cas-du-riz-dore-greenpeace.html

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  2. Ne tournons pas 110 ans autour du pot ! TOUT est OGM ! TOUT ! Et cela depuiis les premiers jours de la Terre. Le vent, la pluie et les insectes fabriquent TOUS LES JOURS des milliers de nouveauc OGM.

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  3. Sondage de YouGov : 29 % des américains soutiendraient un coup d'État militaire

    Joshua Krause
    Le quotidien Sheeple
    12 septembre 2015

    Tel qu'il est aujourd'hui, notre gouvernement est une République constitutionnelle que le nom. Notre pays est gouverné par les riches oligarques et des intérêts particuliers, et il ya beaucoup de blâme pour tout le monde pour cette situation. Aucune société ne tombe à ces profondeurs au moins le consentement implicite de la population, et même le plus impitoyable des gouvernements ne peuvent pas survivre si ses citoyens refusent d'aller de pair avec le programme.
    Il est donc prudent de dire que le peuple américain est au moins partiellement à blâmer pour les institutions malades qui règnent sur eux. Et si c'est le cas, vous devez vous demander ce que notre société parvienne à accepter à l'avenir ? Si notre manque de résistance a contribué à la corrosion de nos libertés civiles et la croissance de notre gouvernement illimité, alors rien n'est sur la table. Si nous sommes prêts à mettre en place avec cela, ce qui ne sera pas nous avons mis en place avec ? Quelle sorte de système de notre société peut produire à l'avenir ?
    Si l'on en croit les sondages récents, puis une dictature militaire est certainement possible. Après qu'un professeur de West Point diverti la possibilité d'un coup d'État se produisant sur le sol américain il y a deux semaines, (qui a conduit à sa démission) YouGov a décidé d'interroger 1000 électeurs américains sur leur opinion de l'armée, et si oui ou non ils seraient favorables à une prise de contrôle militaire. Les résultats ont été assez choquants.
    – Dans un nouveau sondage de YouGov, 29 % des répondants ont dit qu'ils peuvent imaginer une situation dans laquelle ils soutiendraient le militaires prendre le contrôle du gouvernement fédéral – qui se traduit plus 70 millions d'Américains adultes. Quarante pour cent des répondants ont dit ne pouvait pas imaginer soutenir les militaires reprendre le pays.
    Républicains (43 %) étaient plus susceptibles de dire qu'ils peuvent imaginer un scénario dans lequel ils pourraient soutenir un coup d'Etat militaire que les démocrates (20 %). Peut-être cette différence est liée à avoir un président démocrate qui voient outrepasse son pouvoir dans certains critiques à droite.
    Quel que soit l'idéologie politique, les gens de l'une des raisons peuvent prendre en charge un militaire coup c'est parce qu'ils respectent les officiers dans l'armée beaucoup plus qu'ils les gens au Congrès. Selon le même sondage YouGov, près des trois quarts (70 %) des répondants croient que les officiers militaires veulent ce qui est mieux pour le pays, tandis que seulement 29 % pensent la même chose des membres du Congrès.
    — Législateurs meilleure forme vers le haut, ou ils peuvent être expédiés — littéralement.

    (suite en dessous:)

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  4. Le sondage révèle aussi que 55 % de la population croit que la police veut ce qui est mieux pour le pays, tandis que 24 % pensaient qu'ils étaient seulement intéressés par ce qui est meilleur pour eux-mêmes. Les autres catégories, qui comprenait des congrès, des politiciens locaux et les fonctionnaires, est allé dans l'autre sens. La majorité des personnes interrogées pense que les gens dans ces catégories étaient égoïstes.

    En d'autres termes, la plupart des américains ont beaucoup de confiance dans les enforcers armés du gouvernement, mais très peu de confiance dans les politiciens et les bureaucrates dans notre gouvernement. Il s'agit d'une tendance plutôt dangereuse quand on y pense, mais ce n'est pas exactement une nouvelle.

    Chaque année gallup demande américains sur leur confiance à 15 segments majeurs de la société américaine. La police et l'armée régulièrement en tête de liste avec une écrasante de soutien, alors qu'aucune autre institution de gouvernement ne bénéficie de la confiance parmi la majorité des électeurs. Cela comprend la présidence, la Cour suprême, les écoles publiques, le système de justice et Congrès. Aussi près du fond, est les médias, grandes entreprises et les banques.

    Essentiellement, la plupart des américains ont complètement perdu la foi dans le système et le pouvoir. Les seules personnes qu'ils ont toujours confiance, sont des policiers et soldats. Et une société qui fait confiance à ses forces armés plus que tout le monde, y compris le peuple pour qu'ils votent, est une société qui est venue d'un coup d'État.

    http://www.thedailysheeple.com/yougov-poll-29-of-americans-would-support-a-military-coup_092015

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  5. « Conspiracy Theory » perd ses Implications sémantiques « Puissantes » ?

    Activiste Post
    12 septembre 2015
    Par Catherine J. Frompovich


    À mon humble avis, un des plus érudits médias alt « talking heads » sur Internet est James Corbett of The Corbett Report.com. James fait ses devoirs et discute des questions d'intérêt concernant la géopolitique d'un état d'esprit très vif, qui, selon moi, graines de certains des rapports des médias plus esprit progressiste, contrôlés qui commence à apparaître dans certains des "Big Six médias » [1] et sur l'Internet, en particulier.

    Une fois par semaine, Corbett se joint à James Evan Pilato de MediaMonarchy.com pour produire une production conjointe intitulée New World la semaine prochaine. La question 10 septembre 2015, a eu le "Conspiracy Theory" et comment il perd sa connotation péjorative, et que beaucoup, si pas tous, les théories du complot ont éreinté — ou êtes panoramique — en fait d'avoir des bases factuelles. OMG !

    Je pense que mes lecteurs apprécieront les montrer les notes Corbett et Pilato placé au-dessous de ce spectacle en ligne, qui j'ai copié et collé ci-dessous.
    Story #2: « Théorie du complot » perd ses Connotations négatives?
    Certains osent appeler conspiration : quelque chose d'étiquetage une théorie du complot ne réduit pas la croyance dedans ' par le Dr Michael Wood
    CV du Dr Michael Wood

    Rapport Corbett : Episode 050-le mot « C »

    Si les lecteurs auraient plaisir à l'écouter que toute question de la semaine prochaine nouveau monde, Voici le lien. Personnellement, je pense que ces deux hommes apportent un grand besoin d'air souffle de frais c'est à l'encontre des cycles contrôlés nouvelles nous sommes nourrie à la cuillère par les grands médias.

    Une phrase Corbett mentionne, ou peut-être même « inventé », est « phrases comme armes », quelque chose qui apporte à l'esprit, du moins à mon avis, à l'aide de mots qui visent à obtenir médias contrôlés lecteurs à penser et à agir d'un point de vue dialectique hégélienne. Certains théoriciens de la conspiration réfèrent à lui comme « Problème-réaction-Solution » c'est-à-dire, créant le problème, tout en ayant une solution souhaitée à l'avance pour obtenir une réaction publique exigeant la solution très les auteurs problème offert et voulait dès le début. Vous voyez comment nous sommes contrôlés ?

    http://www.thedailysheeple.com/is-conspiracy-theory-losing-its-powerful-semantic-implications_092015

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  6. Le Hold-up 911


    Il y a un soupçon que certaines personnes avaient connaissance d'avance de l'heure approximative de l'accident d'avions afin de sortir des montants supérieurs à $ 100 millions. Ils pensaient que les enregistrements de leurs transactions ne pourraient pas être retracées après que les armatures principales ont été détruites.


    12 septembre 2015,
    par James Corbett


    En 1998, l'autorité portuaire de New York et du New Jersey a décidé de privatiser le World Trade Center, le complexe de tours de bureaux dans le Lower Manhattan qu'ils avaient possédé et exploité depuis sa construction en 1973. En avril 2001 un accord a été conclu avec un consortium d'investisseurs mené par les propriétés de Silverstein et le 24 juillet 2001, Larry Silverstein, qui possédait déjà le World Trade Center Building 7, a signé un bail de 99 ans pour les tours jumelles et les bâtiments 4 et 5.

    - voir clip sur site -

    Le bail a été de $ 3,2 milliards et a été financé par un bridge loan de GMAC, le bras d'hypothèque commerciale de General Motors, ainsi que $ 111 millions de Lloyd Goldman et Joseph Cayre, investisseurs immobiliers individuels. Propriétés de Silverstein matée seulement $ 14 millions de ses propres fonds.

    Le deal était inhabituel dans une variété de façons. Bien que l'administration portuaire de seulement $ 1,5 milliards de l'assurance sur le WTC complex, qui plus tôt cette année a été évaluée à $ 1,2 milliards, Silverstein avait insisté pour doubler ce montant, assurer les bâtiments pour $ 3,55 milliards. Courtier en assurances de Silverstein eu du mal à mettre une couverture beaucoup plus en place et devait en fin de compte elle répartie entre 25 concessionnaires. Les négociations ont été impliquées ainsi que seuls les contrats temporaires ont été mis en place pour l'assurance à l'époque le bail a été signé et en septembre, les contrats étaient encore en cours de finalisation.

    Groupe de Silverstein reçut aussi explicitement le droit de reconstruire les structures si elles avaient été détruites, et même pour augmenter la quantité d'espace de vente au détail sur le site si la reconstruction a eu lieu.

    Dans les heures suivant la destruction des tours jumelles le 11 septembre, Silverstein était au téléphone avec ses avocats, tente de déterminer si ses polices d'assurance pourraient « interpréter les attentats dans deux incidents distincts, assurables plutôt qu'un ». Silverstein a passé des années devant les tribunaux en tentant de gagner $ 7,1 milliards de sa police d'assurance de $ 3,55 milliards et en 2007, est reparti avec $ 4,55 milliards, la seule plus grande colonie d'assurance jamais. Dès que l'accord a été annoncé que Silverstein a poursuivi United et American Airlines pour un autre $ 3,5 milliards pour leur "négligence" dans les attentats du 9/11, une revendication qui a été invalidée par les tribunaux mais est encore en appel.

    Peut-être même plus outrageusement, dans un accord secret en 2003, l'administration portuaire a accepté de rembourser 80 % de leur capital initial dans le bail, mais il a permis au groupe Silverstein maintenir le contrôle du site. L'affaire a donné Silverstein, Goldman et Cayre $ 98 millions de le $ 125 millions qu'ils déposa sur le bail et un autre $ 130 millions en produits d'assurance qui ont été affectés à la reconstruction du site.

    (suite en dessous:)

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  7. En fin de compte, Silverstein a profité de l'attaque 9/11 à hauteur de $ 4,55 milliards et de comptage.

    Mais c'est le Hold-up d'assurance de 9/11, que vous avez vu. Il y avait un hold-up beaucoup plus profond, plus complex et bien caché qui se déroulait à huis clos le 11 septembre 2001, au coeur du World Trade Center lui-même.

    Marsh & McLennan est un risque diversifié, l'entreprise d'assurance et de services professionnels avec plus $ 13 milliards en chiffre d'affaires annuel et 57 000 employés. En septembre 2001, 2000 de ces employés travaillaient dans les bureaux de Marsh dans le World Trade Center. Marsh occupé étages 93 à 100 de la tour Nord, la zone exacte de l'impact et l'explosion.

    Au cours de l'année avant 9/11, Marsh avait contracté avec le logiciel SilverStream pour créer une connexion électronique entre marais et ses clients dans le but de créer des « opérations sans papier ». SilverStream avait déjà construit des plates-formes internet transactionnelles et commerciales pour Merrill Lynch, Deutsche Bank, confiance du banquier, Alex Brown, Morgan Stanley et autres sociétés de services financiers qui furent plus tard impliqués dans 9/11, mais ce nouveau projet était contrairement à tout ce qui avait été tenté avant.

    Richard Andrew Grove, le vendeur qui a géré le projet Marsh & McLennan dans SilverStream, explique.

    « En 2000 SilverStream a été contracté par Marsh pour fournir une solution technologique au-delà de ce que nous avions fait pour l'une des sociétés susnommées ; dans la mesure où il serait utilisé pour connecter électroniquement des marais à ses partenaires commerciaux majeurs par l'intermédiaire de portails internet, dans le but de créer "des transactions sans papier" et accélérer les cycles de recettes et de renouvellement et construit à partir du sol sur le site du client.

    "SilverStream fourni un type spécifique de connectivité qui servait à lier AIG et Marsh & McLennan--les deux premières sociétés commerciales sur la planète d'employer ce type de transaction--et en fait, que Marsh a été présenté avec ce qu'on appelle le prix d'ACORD à l'été 2001 pour être la première société commerciale à faire alors... et ce que vous devriez prendre loin de qui est-ce : cela signifie qu'aucune autre entreprise ne faisaient ce type de transaction, donc la question dans votre esprit devrait être - ce qui étaient alors Marsh et AIG faire, et pourquoi besoin d'exploiter les technologies qu'aucune autre entité commerciale sur le visage de la terre ne nécessaires à la conduite des affaires ?

    "Une fois que la sécurisation du contrat, SilverStream stationnés puis environ 30-40 développeurs au marais, et cette équipe était dirigée par des gestionnaires de 2-3, avec qui j'ai travaillé pour assurer la livraison de la « solution » qui a été promis. L'équipe de développement régulièrement travaillé tard dans la nuit, voire toute la nuit et parfois travaillé 7 jours par semaine afin de respecter de Marsh a indiqué date limite 11e avant septembre. »

    Mais il ne fallut pas longtemps avant des irrégularités graves dans la facturation du compte pour ce projet conduit Richard Grove au cœur d'un mystère plus profond sur le logiciel, et sur le travail qu'il effectuait.

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  8. "J'ai d'abord remarqué des anomalies fiscales en ce qui concerne le projet de Marsh.com, quand j'étais à une réunion au 98e étage en octobre 2000 avec un gentleman nommé Gary Lasko. Gary était nord-américain Chief Information Officer de Marsh, et particulièrement dans l'après-midi un collègue et j'ai aidé à identifier sur 10 000 000 $ en achat suspect arrêtés-après j'ai reconnu que certains vendeurs ont été tromper Marsh et spécifiquement semblait être vente marais de grandes quantités de matériel qui n'étaient pas nécessaires-comme cela a été confirmé plus tard par Gary.

    "J'ai apporté mes préoccupations jusqu'à des cadres à l'intérieur de SilverStream, et j'ai ai exhorté à garder la tranquillité et l'esprit de ma propre entreprise. Je suis allé à un exécutif au marais et il m'a conseillé de faire de même... mais ensuite je l'ai mentionné quelques cadres de marais qui j'aurais confiance--comme Gary Lasko... et Kathryn Lee, Ken Rice, Richard Breuhardt, John Ueltzhoeffer--ceux qui est devenu également concerné que quelque chose d'anormal se passait.

    "Les collègues concernés, que je viens de mentionner, ont été assassinés le 11 septembre et les cadres dirigeants qui a exprimé sa consternation à mes préoccupations, sont vivants et libres aujourd'hui à cause de cela.

    « Je pense que ce n'est aucun un hasard si, comme l'exécutif Marsh qui me prie de laisser tomber ma ligne d'enquête fait en sorte que son personnel, qui je viens de mentionner, ont été dans le bureau très tôt pour un appel de conférence mondiale avant la réunion du personnel sur lequel je devais intervenir... une conférence téléphonique qui m'a informé cet exécutif en question réalisée mais a assisté à partir de la sécurité de son appartement de l'Upper West Side ».

    L'appel conférence mondiale avec Marsh, informaticiens, dans la matinée du 9/11, une réunion qui comprenait le personnel qui enquête sur la facturation suspecte sur le deal de SilverStream, a été confirmé dans une interview de 2006 avec Marsh lors-Chief Information Officer, Ellen Clarke.

    Richard Grove ont été invité à assister à la réunion mais était coincé dans la circulation sur la voie de tours au début de l'attaque. Ses amis au marais n'étaient pas aussi chanceux. 294 employés de Marsh, y compris tous les participants à cette conférence téléphonique dans la tour Nord, est décédé ce matin. Pendant ce temps l'exécutif Marsh, qui avait prévu la réunion, le même que celui qui avait demandé à Grove de laisser tomber la question des facturation des anomalies, était sûr dans son appartement, participant à la réunion par téléphone.

    Alors, quelle est le projet Marsh.com vraiment sur ? Pourquoi était-il si important pour qu'il soit terminé avant le 11 septembre, et quel genre de transactions il permettait ? Plus important encore, quelles informations ont été perdues lorsque les données Centre au 95e étage de la tour Nord a souffert un coup direct sur 9/11 et les bâtiments ont été démolis ?

    Une réponse partielle provient de rapports qui ont émergé à la fin 2001, qu'une firme allemande, Convar, avait été embauchée pour reconstruire des données financières depuis les disques durs récupérés à Ground Zero. La firme parle travaille dans ses vidéos promotionnelles.

    (suite en dessous:)

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  9. Plus de détails sur les travaux proviennent d'une histoire d'IDG News Service posté à CNN.com en décembre 2001. Sous le titre « disques durs de WTC pourrait donner des indices, » les notes de l'article: "une augmentation inexpliquée des transactions a été enregistrée avant les attentats, menant à la spéculation que quelqu'un pourrait avoir profité de connaissance préalable du complot terroriste en déplaçant les sommes d'argent. « Mais parce que les installations de nombreuses sociétés financières, les opérations de traitement sont trouvaient à World Trade Center du New York, détruites dans les explosions, il a jusqu'à présent été impossible de vérifier cette suspicion ».

    Un article de Reuters de la même époque, par la suite affecté au site de Convar, offre un aperçu révélateur dans les premiers résultats de l'enquête. Il cite Peter Herschel, directeur de Convar à l'époque.

    "Le soupçon est qu'à l'intérieur d'informations sur l'attaque a été utilisées pour envoyer des commandes de transaction financière et les autorisations dans la croyance qu'au milieu de tout le chaos les criminels auraient, à tout le moins, une bonne longueur d'avance. Bien sûr, il est également possible qu'il y avait des raisons parfaitement légitimes la hausse inhabituelle de chiffre d'affaires. Il pourrait s'avérer que les américains allaient sur une frénésie de shopping absolue ce mardi matin. Mais à ce stade, il y a beaucoup de transactions qui ne peuvent pas être prises en compte. Non seulement le volume mais la taille des transactions a été beaucoup plus élevé que d'habitude pour une journée comme ça. Il y a un soupçon que ceux-ci étaient éventuellement prévus pour profiter du chaos. »

    Il cite également Richard Wagner, un des experts de récupération données entreprises. "Il y a un soupçon que certaines personnes avaient connaissance d'avance de l'heure approximative de l'accidents d'avion afin de sortir des montants supérieurs à $ 100 millions. Ils pensaient que les enregistrements de leurs transactions ne pourraient pas être retracées après que les armatures principales ont été détruites. »

    La révolution électronique s'échangeait à lien entre AIG et marais utilisés pour canaliser l'argent par le biais du World Trade Center au moment de l'attaque ? Les auteurs de l'attaque espéraient que la destruction de centre de données du marais, au 95e étage au centre de l'explosion de la tour Nord, morte serait cacher leur crime économique ?

    Un élément de preuve corroborant cette idée vient de l'auteur et chercheur Michael Ruppert, ayant déclaré en 2004 qu'immédiatement avant le début de l'attaque, les systèmes informatiques de la Deutsche Bank, un des autres clients e-link de SilverStream, avait repris depuis un emplacement externe que personne dans le Bureau pourrait identifier.

    Malheureusement, aucune réponse aux questions soulevées par ces comptes n'est attendu de Convar. Après la déclaration initiale sur l'enquête, qui a noté que la compagnie collaborait avec le FBI pour récupérer et analyser les données, Convar refuse maintenant de parler de l'information, ils ont découvert.

    Il est très possible que, jusqu'à présent, le real 9/11 terroristes ont réussi à s'en tirer avec le Hold-up ultime. Trillions de 9/11 : suivre le Podcast d'argent

    http://theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/The_911_Heist

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  10. Le FBI a participé à peu près chaque complot terroriste depuis 9/11

    Joshua Krause
    Le quotidien Sheeple
    12 septembre 2015

    Jeudi dernier le FBI a arrêté Joshua Ryne Goldberg pour avoir conspiré pour bombarder un service commémoratif de 9/11 à Kansas City. Goldberg, cependant, semble avoir été un idiot et un troll d'internet et probablement ne serait pas en mesure de retirer n'importe quel acte de terreur sans l'appui d'un informateur du FBI. Malheureusement, ce genre de chose s'est passé depuis, et vérité être dit, la grande majorité des parcelles terreur qui ont été déjouées par notre gouvernement depuis 9/11 sont shams complets.
    Trevor Aaronson, un journaliste qui a enquêté sur ces affaires, mentionnées dans un discours de TED plus tôt cette année que " "le FBI est responsable de plusieurs parcelles de terrorisme aux États-Unis que toute autre organisation. Plus qu'al-Qaida, plus qu'al-Shabaab, plus que l'État islamique. » Selon Aaronson, n'ont été 6 parcelles de véritable terreur intérieure aux États-Unis depuis 9/11. Human Rights Watch a appuyé ces conclusions en documentant les 27 cas où le FBI, avec l'aide d'informateurs payés, favorisé les terroristes qu'ils seraient plus tard de poursuivre.
    Le FBI trouve fréquemment des gens qui sont soit dérangé, financièrement démunis, ou souffrant de faible IQ et puis les convainc d'effectuer ces parcelles en faisant tout court d'éclairage le fusible eux-mêmes. Selon Andrea Prasow, un directeur adjoint avec Human Rights Watch « beaucoup de ces gens n'auraient jamais commis un crime sinon pour law enforcement encourageant, pressions et parfois en leur payant à commettre des actes terroristes. » L'intrigue de terreur typique entendu parler sur les lectures de nouvelles plus comme un cas tragique de la provocation policière qu'une menace à notre mode de vie.

    http://www.thedailysheeple.com/the-fbi-has-been-involved-in-just-about-every-terror-plot-since-911_092015

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    1. Depuis les tours amiantées réputées non louables ni vendables, Silverstein perdait beaucoup d'argent. De plus, pour les faire détruire cela aurait coûté un maximum à cause justement de l'amiante contenue dans les WTC à N-Y.

      Donc, l'idée de faire entrer un avion fou dans les tours pouvait être chargée de terrorisme et, à chercher un terroriste pourquoi pas l'Irak ?! D'où la mise en programme conjoint d'hologrammes d'avions + de plasticage des tours à chaque étage comme lorsqu'il s'agit de démolition contrôlée.

      Cela fut fait le 11 Septembre 2001 à New-York (sauf que le 3ème projecteur d'hologramme n'a pu se mettre en route tandis que la bombe à la tour n°7 allait exploser ! et ce fut le cas !).

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  11. Syrie: les Etats-Unis et l'Europe se servent de la crise des réfugiés pour intensifier la guerre

    Bill Van Auken
    WSWS
    lun., 14 sept. 2015 09:41 UTC

    Les politiciens et les médias des États-Unis et ceux de l'Europe occidentale se sont cyniquement saisis de la situation terrible des réfugiés fuyant les violences en Syrie comme d'un prétexte pour intensifier la guerre pour un changement de régime dans ce pays.

    Le président français François Hollande et le premier ministre britannique David Cameron, qui s'activent fébrilement pour n'accueillir chacun qu'une poignée de réfugiés, ont annoncé des campagnes de bombardements en Syrie dont l'apparente logique est que plus on larguera d'explosifs sur eux, plus il est probable que les Syriens décideront de rester chez eux.

    Washington a déclenché une confrontation provocatrice avec la Russie à propos de l'aide militaire de longue date du Kremlin au gouvernement du président Bachar al-Assad, ses mises en garde contre un « développement » de l'aide russe en Syrie devenant de plus en plus hystériques.

    Ces développements récents ne font que souligner l'inconstance des prétextes utilisés par les puissances impérialistes occidentales pour leur intervention sanglante en Syrie. D'abord ce fut la défense des «droits humains» contre le régime Assad, puis la lutte contre le terrorisme de l'Etat islamique (EI) et maintenant, ce sont les réfugiés et l'«ingérence» russe.

    Les véritables forces motrices de l'intervention occidentale sont de purs intérêts géostratégiques et l'installation d'une hégémonie sur les principales ressources énergétiques du monde et les réseaux de pipelines qui les relient au marché mondial. Dans des conditions de crise économique toujours plus profonde, la classe dirigeante, et avant tout l'aristocratie financière américaine, projette d'intensifier la violence militariste.

    Ces tendances s'expriment directement dans le battage incessant des médias pour une escalade de la guerre syrienne. Nulle part cette guerre de propagande n'est plus répandue ou plus hypocrite que dans les pages du «journal de référence» supposé libéral, le New York Times.

    Le chef de cette meute est Roger Cohen, chroniqueur des affaires étrangères du NYT, dont l'article intitulé « Le cauchemar syrien d'Obama » est paru jeudi.

    La thèse de Cohen est que le calvaire du peuple syrien - plus de 200.000 morts, des millions de personnes forcées à l'exil ou déplacées à l'intérieur du pays et toute une société ravagée par la guerre civile - est le produit de «l'inaction de l'Occident».

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  12. «L'interventionnisme américain peut avoir des conséquences terribles, comme l'a démontré la guerre en Irak, » écrit-il. « Mais le non-interventionnisme américain peut être tout aussi désastreux, comme le montre la Syrie. Ne pas faire une chose est autant une décision que de la faire. Le pendule oscille sans cesse entre l'interventionnisme et le repli parce que les États-Unis sont programmés à l'idée qu'ils peuvent rendre le monde meilleur ».

    Quels mensonges réactionnaires et absurdes! Cohen, bien sûr, n'informe pas ses lecteurs qu'il a été dans les médias un des principaux défenseurs de la guerre criminelle contre l'Irak. Quant aux «terribles conséquences», il ne s'en est jamais bien inquiété. En 2009, longtemps après qu'il était clair que la guerre avait fait des centaines de milliers de morts et détruit toute une société, Cohen a écrit, « Je crois toujours que la liberté de l'Irak l'emporte sur son terrible prix».

    Après que la guerre de changement de régime menée par les Etats-Unis et l'OTAN a réussi à renverser et assassiner le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, Cohen a écrit un article triomphaliste intitulé «Un point pour l'interventionnisme». Près de quatre ans plus tard, le pays est le théâtre de conflits sanglants entre milices rivales et l'épicentre de la vague de réfugiés, dont des milliers ont trouvé la mort en cherchant à traverser la Méditerranée.

    Depuis la guerre des Etats-Unis et de l'OTAN en Bosnie en 1995, Cohen a soutenu, en serviteur fidèle de l'appareil militaire et de renseignement américain, toutes les interventions militaires des États-Unis ainsi que leurs opérations de déstabilisation, de l'Iran à l'Ukraine.

    S'il trouve maintenant à redire à la politique d'Obama en Syrie, c'est pour promouvoir les positions de ceux dans l'élite dirigeante américaine qui veulent lancer une guerre à grande échelle

    Cohen incrimine la Maison Blanche pour avoir fait marche arrière en 2013 lorsque Obama menaçait de bombarder les forces gouvernementales syriennes en les accusant d'avoir utilisé des armes chimiques contre des civils. De nombreuses preuves ont fait surface depuis, montrant que ce sont les «rebelles» soutenus par l'Occident qui ont organisé les attaques chimiques dans le but de provoquer une intervention militaire directe des États-Unis.

    Il critique Obama pour son manque de «volonté» et de «conviction dans la puissance américaine», insistant sur le fait que les avions de guerre syriens « auraient pu être éliminés» et qu'une «fourniture immédiate et massive d'armes aux rebelles aurait pu changer le cours de la guerre ».

    Tout cela déforme totalement la réalité. Obama a décidé de différer le bombardement de la Syrie en 2013 dans une large mesure à cause d'une hostilité populaire écrasante à une nouvelle guerre. Les débâcles de l'Irak et de l'Afghanistan ont décillé des millions de gens qui ne croient plus à l'« idée » de Cohen que les éruptions du militarisme américain « créent un monde meilleur ». Depuis, la Maison Blanche et l'armée ne cessent de manœuvrer pour relancer leurs plans de guerre et de travailler à de nouveaux prétextes pour une intervention.

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  13. Quant à la fourniture « massive » d'armes aux soi-disant rebelles, elle a bien eu lieu; des milliards de dollars d'armes furent acheminées aux milices islamistes par les principaux alliés de Washington dans la région - l'Arabie saoudite, la Turquie et le Qatar - et sous la conduite de la CIA. Si ces armes ne sont pas parvenues à obtenir la chute d'Assad, c'est parce que des masses de Syriens sont hostiles aux égorgeurs islamistes soutenus par l'étranger.

    Le peuple syrien est la victime, non pas de «l'inaction de l'Occident», mais d'une série d'actes criminels qui vont de la destruction de l'Irak et de la Libye à la fomentation d'une guerre civile sectaire en Syrie même.

    Cohen conclut en déclarant que, si Obama est « à l'aise avec l'utilisation chirurgicale de la force», à savoir les frappes et les assassinats par drones, il est « mal à l'aise avec la puissance militaire américaine ». L'implication est claire: faites-vous une raison et lancez une nouvelle guerre américaine totale au Moyen-Orient.

    Cette perspective est reprise par le collègue de Cohen au NYT, le chroniqueur Thomas Friedman, qui a mené l'offensive de propagande pour la guerre en Irak. Il a fait valoir dans un article mercredi que la seule façon d'arrêter le flux des réfugiés était soit de murer les pays d'où ils fuyaient, soit «les occuper avec des troupes au sol, écraser les méchants et construire un nouvel ordre fondé sur la citoyenneté réelle, un vaste projet qui prendrait deux générations ». En d'autres termes, une recolonisation militaire de tout le Moyen-Orient.

    La logique de l'escalade de la guerre syrienne a aussi été articulée mercredi par un éditorial du Washington Post. Pointant le renforcement russe présumé en Syrie, il déclare: «M. Poutine admet une vérité que M. Obama a refusé d'accepter: toute perspective politique pour l'avenir de la Syrie n'a de sens que si elle est soutenue par la force au sol ... Si M. Obama souhaite voir la vision des États-Unis pour la Syrie prévaloir sur celle de la Russie, il va falloir plus que des appels téléphoniques ».

    L'avertissement ne pourrait être plus clair ou plus terrifiant. Derrière le dos du peuple américain, de puissants éléments dans la classe dirigeante américaine et l'appareil d'Etat s'apprêtent, avec la collaboration de leurs écrivaillons dans les médias, à une intervention militaire qui met en place une confrontation directe entre les Etats-Unis et la Russie, les deux principales puissances nucléaires du monde.

    http://fr.sott.net/article/26415-Syrie-les-Etats-Unis-et-l-Europe-se-servent-de-la-crise-des-refugies-pour-intensifier-la-guerre

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    1. Tous les orphelins réfugiés en Europe se souviendront longtemps de l'assassinat de leurs familles !

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  14. Goldman Sachs: 'le cours du pétrole pourrait tomber à 20 dollars l'année prochaine'

    par Mylène Vandecasteele
    14 sept. 2015

    Les analystes de Goldman Sachs pensent que les cours du pétrole continueront de baisser l'année prochaine, et qu’ils tomberont peut-être même à 20 dollars. Selon eux, le marché du pétrole est pire qu'on ne l'imaginait. Ils se réfèrent à la surproduction dans les pays de l'OPEP, à la levée des sanctions économiques contre l'Iran, ce qui devrait permettre à ce pays de faire son retour sur les marchés internationaux du pétrole d’ici la fin de cette année, à l'offre croissante de l’industrie du gaz de schiste américain, le tout combiné à la baisse de la demande mondiale, et des problèmes en Chine.

    Le cours du pétrole oscille actuellement autour de 48 dollars, comparativement à 115 dollars en juin 2014. Le mois dernier, le prix flirtait même avec les 42 dollars.

    Goldman Sachs s’attend à un cours de 49,5 dollars pour l’année prochaine, mais la banque ajoute que le cours pourrait même chuter à 20 dollars, si la Chine ne parvient pas à remettre de l’ordre dans ses affaires.

    L’Agence internationale pour l'énergie (AIE) a une vision différente, et s’attend à ce que l'OPEP réduise sa production, tandis que l'offre devrait chuter aux États-Unis, ce qui devrait pousser les cours à la hausse l'année prochaine.

    http://www.express.be/business/fr/economy/goldman-sachs-le-cours-du-petrole-pourrait-tomber-a-20-dollars-lannee-prochaine/215609.htm

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    1. Même à 0 dollar le baril les prix à la pompe ne bougeront JAMAIS ! Tant qu'il y a la dictaure au pouvoir l'économie de chaque pays demeurera volontairement dans le rouge.

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