- ENTREE de SECOURS -



lundi 7 septembre 2015

Comment le lombric résiste aux poisons des feuilles mortes

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Publié le 6 septembre 2015
par jacqueshenry
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On estime que 35 milliards de tonnes de feuilles d’arbres tombant au sol chaque année sont recyclées dans les sols. Ça fait beaucoup de carbone et parmi les mécanismes biologiques du recyclage il y a la microfaune des sols qui intervient activement et en particulier les vers de terre. Mais comment les vers de terre peuvent-ils résister à toutes les substances toxiques d’auto-défense que contiennent les feuilles des arbres, des arbustes et des buissons. Tous les végétaux ont en effet mis au point des mécanisme de protection contre les prédateurs et ce sont la plupart du temps des polyphénols toxiques qui peuvent être très abondants dans les feuilles, jusqu’à 25 % du poids sec. En toute logique les feuilles mortes ne devraient être dégradées que par des microorganismes équipés pour résister aux polyphénols. La question qui intriguait les biologistes était l’aptitude des vers de terre à s’en donner à cœur joie dans le compost sous des épaisseurs de feuilles mortes qui relarguent jusqu’à 200 kilos de tannins et autres flavonoïdes par hectare. Il a fallu la sagacité exemplaire d’une équipe anglo-allemande pour finir par comprendre pourquoi et comment le lombric survivait à ces polyphénols.
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Certes il n’y a pas que des lombrics dans les feuilles en décomposition mais on peut imaginer que toutes sortes de larves d’insectes ont développé un mécanisme de défense similaire à celui du ver de terre. Cependant ce qui a été découvert est unique aux lombrics. Il s’agit d’une molécule aux propriétés détergentes puissantes qui empêche les polyphénols de se lier aux protéines solubles puis de les rendre insolubles avec les dégâts facilement imaginables que peut occasionner ce processus dans un organisme vivant. Il s’agit d’un d’un acide di-alkyl-furane-sulfonique unique aux lombrics identifié par les méthode classiques d’analyse d’extraits du tube digestif du ver sans aucune idée préconçue en réalisant ce que l’on appelle dans le jargon scientifique une recherche métabolomique, en d’autres termes une identification à l’aide machines presque automatiques de tout ce qui se trouve d’identités chimiques dans un échantillon de n’importe quel fluide biologique. Ce composé jusqu’alors inconnu a été appelé une drilodéfensine. Je dois avouer que j’ignore le pourquoi et le comment d’un tel mot mais les biologistes aiment beaucoup donner un nom à un composé chimique dont le nom scientifique est souvent rebutant comme on peut le constater.
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Plus le lombric est exposé à des polyphénols comme par exemple des tannins, plus il sécrète uniquement dans son tube digestif cette drilodéfensine et il ne s’en trouve que mieux disposé à digérer ce qui est digeste pour lui d’une feuille morte. Ce composé chimique est soufré et représente jusqu’à 20 % du soufre total contenu dans le lombric, c’est dire à quel point ce ver doit dépenser une énergie considérable pour assurer sa survie dans l’environnement hostile que constituent les feuilles mortes. De plus ce détergent n’interfère pas avec les diverses activités enzymatiques nécessaires à la digestion.
Capture d’écran 2015-09-05 à 16.09.21
Selon les résultats obtenus au cours de cette étude, le plus abondant de la famille des drilodéfensines, le 2-ethyl-5-hexyl-4-furane sulfonate, se trouve dans la totalité des sols européens à raison d’un million de tonnes en estimant la masse de lombrics à une demi-tonne par hectare sans que ce composé se retrouve toutefois dans les excréments du ver de terre car il est astucieusement recyclé sans que l’on sache exactement comment. Une sorte de magie naturelle. Au contraire du lombric, les détergents industriels de synthèse, pour la plupart des phosphates, des phosphonates ou des sulfonates se retrouvent dans la nature et ne sont que lentement dégradés … mais on n’ose pas trop en parler.
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Source en accès libre : Nature Communications, 2015; 6: 7869 DOI: 10.1038/ncomms8869
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17 commentaires:

  1. Étude très intéressante sur la transformations des poisons contenus dans les feuilles (que certains vont jusqu'à enfouir pour 'faire de l'engrais' !!!) et sur la santé toute relative des vers de terre qui s'en délecteraient.

    Longtemps cette étude est restée au point mort. Pourquoi les arbres sont-ils excrétophores ? Où pourquoi perdent-ils leurs feuilles alors qu'en automne il ne gèle pas tandis qu'au printemps (quand il gèle encore) naissent des bourgeons aux feuilles tendres ? Ou encore, pourquoi certains arbres comme les platanes communs ont-ils des branches (branchettes) adventices ? Ces branchettes qui poussent parfois à l'horizontale du tronc ou des branches sont... destinées à mourir. Elles semblent recueillir là tous les poisons, acides et métaux lourds absorbés par les racines. Et donc, à l'automne, des arbres se dépouillent de leurs feuilles où - pour une fois - se sont rassemblés tous les poisons remontés par la sève et expulsés.

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  2. Tsipras joue au plus malin avec Poutine, échec assuré
    Un membre de Syriza confirme que Tsipras a tenté de balader la Russie au sujet du projet de gazoduc


    Par Alexander Mercouris
    Le 2 septembre 2015 – Source Russia Insider


    Une interview avec un membre de Syriza confirme que les avances de Tsipras à la Russie n’ont jamais été sérieuses et qu’il n’y a jamais eu de consensus politique en Grèce – de même que pour la sortie de l’Euro – pour une telle alliance.

    Tsipras : pas vraiment un homme

    Russia Insider avait déjà dit que les avances du Premier ministre grec, Tsipras, envers la Russie au début de cette année pendant les négociations avec les institutions européennes étaient des manipulations et ne montraient aucune intention de s’aligner aux côtés de la Russie.

    De même nous disions que Tsipras tentait d’utiliser la Russie comme épouvantail afin de paniquer les Européens et les amener à des concessions.

    Nous avions aussi dit que malgré que les Russes, au début, désiraient les aider, ils ont promptement compris que Tsipras n’était pas très chaud, et après un certain moment leurs offres se sont faites progressivement moins généreuses.

    Notre vision était isolée. Plus généralement, le reste des médias internationaux interprétait les avances de Tsipras différemment. En fait, il y avait de nombreuses discussions inquiètes – ou confiantes – sur le fait que la loyauté de la Grèce envers l’Europe était en balance, et sur la façon dont elle se préparait à se tourner vers la Russie et les BRICS.

    La confirmation que ce que nous disions était correct nous parvient maintenant de Stathis Kouvelakis, ancien membre du Comité central de Syriza, proche de Panayiotis Lafazanis, ancien ministre grec de l’Énergie, qui maintenant dirige Unité Populaire, le nouveau groupe de l’Aile Gauche composé d’anciens membre de Syriza qui s’opposent au dernier accord de refinancement.

    Lanfazanis, en tant que ministre de l’Énergie a négocié le contrat du gazoduc avec les Russes. Il a eu plus d’intenses discussions avec les Russes que n’importe quel officiel du gouvernement grec. Des commentaires de la part de quelqu’un aussi proche de lui, qui fut aussi membre du Comité central de Syriza dans toute sa rigueur, peuvent de ce fait être considérés comme crédibles.

    Voici ce que Kouvelakis a déclaré dans une interview au quotidien français l’Humanité :

    » …sur le fond les Russes n’ont jamais compris ce que les Grecs désiraient. Ils ont été extrêmement méfiants dès qu’il sont eu l’impression que le rapprochement de la Grèce allait vers une utilisation des négociations comme un outil pour peser sur les institutions européennes.


    Les photos en compagnie de Poutine avaient pour but d’exercer une pression, mais tout cela restait très superficiel, ils pouvaient toujours dire que cela n’allait pas vers des conclusions concrètes. Et les Russes n’ont pas apprécié d’être promenés avec ça . »

    (suite en dessous:)

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  3. C’est exactement ce que nous disions.

    Cela n’est pas simplement un fait historique. Nous avons aussi dit que le contrat du gazoduc négocié avec la Russie par Lanfazanis était condamné.

    Certains continuent à refuser ce fait, dans l’espoir que le contrat puisse être réanimé, mais les Russes n’ont aucune raison de se faire de telles illusions.

    Il est vrai que les Grecs, en diverses occasions ces dernières semaines, ont assuré aux Russes qu’ils étaient toujours engagés dans le projet de gazoduc.

    On a pu le voir pour ce que c’était, une tentative de Tsipras pour garder un peu de crédibilité envers ses anciens supporters en ne se précipitant pas pour enterrer un contrat qui était populaire chez eux.

    La réalité est qu’avec une Grèce aujourd’hui sous tutelle minutieuse des institutions européennes, il n’y a plus aucune possibilité que le projet se réalise. Les Européens peuvent dire que cela contrevient à la loi européenne – pour être précis au Third Energy package – et, avec la Grèce sous leur coupe, il n’y a aucune possibilité pour les Grecs d’en tirer quoi que ce soit. Cela signifie que ce n’est qu’une question de temps pour que le projet de gazoduc subisse le même sort que le projet South Stream.

    Une seule chose pourrait sauver le projet, c’est la victoire électorale d’Unité Populaire.

    Pour Unité Populaire, avec actuellement moins de 10% dans les sondages, c’est tout à fait improbable.

    Même si Unité Populaire gagne, et que le projet de gazoduc peut être sauvé, le réalignement avec la Russie, que certains souhaitent ou craignent n’est guère probable.

    Ainsi qu’il ressort de l’interview de Kouvelakis – aujourd’hui un des leaders d’Unité Populaire – au sujet des relations avec la Russie, celui-ci a des choses réellement intéressantes à dire :

    «Développer les relations avec la Russie ou avec la Chine n’est pas exactement la même chose.

    Les intérêt des Chinois sont le commerce et les affaires. Nous ne voulons pas des privatisations qui tentent les Chinois ; mais en même temps, ils ont proposé de créer une agence de la banque des BRICS.

    Avec la Russie c’est une affaire différente, essentiellement une vision géopolitique : pour les Russes, les intérêts économiques sont subordonnés à cette vision géopolitique.

    Il est aussi évident que développer des relations avec la Russie ne signifie pas du tout que Poutine est politiquement ou idéologiquement proche de nous. C’est une question de relations internationales.»

    Ces sentiments ne sont pas moins manipulateurs que ceux de Tsipras.

    Plutôt qu’une volonté sérieuse de construire une relation solide basée sur des intérêts mutuels de confiance, il y a l’affirmation arrogante que la Grèce peut utiliser à son profit la supposée importance géopolitique qu’elle a pour la Russie.

    Une telle approche, si elle est toujours en cours, ne peut qu’amener à un échec car elle surestime l’importance de la Grèce vis-à-vis de la Russie, importance qui est en réalité assez mince.

    (suite en dessous:)

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  4. Il est tout simplement faux de déclarer que les Russes subordonnent leurs intérêts économiques à leurs buts géopolitiques. C’est une analyse occidentale courante, mais il n’y a aucune preuve qui le confirme.

    Il continue à y avoir une grande croyance, ou un espoir, que le véritable regard que les Grecs et les Russes ont les uns sur les autres est basé sur la même foi orthodoxe, que ce n’est qu’une question de temps pour arriver à un alignement politique entre la Grèce et la Russie.

    Ceux qui entretiennent un tel espoir se préparent à une grande déception.

    Quand un des leaders du principal parti de gauche grec anti-européen ne peut penser ses relations avec la Russie qu’en termes de manipulation, les perspectives d’un partenariat sincère entre la Grèce et la Russie n’existent tout simplement pas.

    Alexander Mercouris
    Traduit par Gabriel, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/tsipras-joue-au-plus-malin-avec-poutine-echec-assure/

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  5. Conférence de presse de Poutine : Ukraine, submersion migratoire de l'UE et Syrie

    Emilie Defresne
    kremlin
    lun., 07 sept. 2015 04:20 UTC


    En ouverture du Forum économique oriental, qui s'est tenu à Vladivostok du 3 au 5 septembre 2015, le Président de la Fédération de Russie a donné une conférence de presse.

    - Dans la première partie les questions portent sur la situation économique de la Russie, et aussi les substantiels encouragements donnés aux entrepreneurs pour qu'ils s'installent dans la partie orientale de la Russie, dont il veut faire l'un des centres d'affaires les plus actifs de la planète, avec son potentiel énorme en ressources et en étendues, au moment où le centre du monde semble se déplacer de l'Atlantique vers le Pacifique. Des terrains d'un hectare gratuits, des facilités financières etc.

    - Dans la seconde partie, les questions portent sur la situation de l'Ukraine et la sur la crise immigratoire en Union européenne en lien avec la guerre au Moyen-Orient.

    (Vous trouverez ci-dessous, la traduction intégrale et exclusive de cette seconde partie de l'interview. Les intertitres sont de la rédaction.)

    La situation en Ukraine

    Question : Au sujet de l'Ukraine, nous savons que les événements qui ont eu lieu hier à la Verkhovna Rada [Parlement] à Kiev, lorsque les agents des forces de l'ordre ont été tués [Il sont quatre à présent ndlr] et des manifestants ont affronté la police. Cela a eu lieu après que le Parlement eût voté les amendements à la Constitution. Comment évaluez-vous ces événements et quel est votre pronostic ?

    Vladimir Poutine : Je vous rappelle que, conformément aux Accords de Minsk, des modifications devaient être apportées à la Constitution de l'Ukraine, mais cela devait être fait par le dialogue et la coordination avec la région du Donbass en liaison avec la République populaire non reconnue de Donetsk et la République de Lougansk. Malheureusement, les autorités de Kiev ne ne mettent pas en applications ces mesures aujourd'hui et il n'y a pas de dialogue et de coordination sur les amendements à la Constitution de l'Ukraine. Ceci est un principe d'importance.

    Si nous parlons de l'exécution des accords de Minsk, permettez-moi de vous rappeler que les amendements à la Constitution doivent être discutées et réglées avec la région du Donbass d'une part, et d'autre part, la loi sur les élections locales doit également être réglée avec la région du Donbass. Troisièmement, une loi sur l'amnistie était censée être passée, mais cela n'a pas eu lieu, et une loi sur le statut spécial pour ces régions est censée entrer en vigueur. Cette loi a été adoptée, mais son entrée en vigueur a été reportée. Ce sont quatre conditions de base pour un règlement politique que nos collègues de Kiev n'ont pas mis en œuvre, malheureusement. Ceci n'a tout simplement pas été effectué.

    Quant aux événements tragiques qui ont eu lieu, je pense que cela n'est pas lié aux amendements à la Constitution, parce que tout ce qui a été proposé ce jour-là n'était que des modifications purement déclaratives et des changements qui ne modifient rien à la nature du pouvoir de l'État en cours en Ukraine.

    (suite en dessous:)

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  6. Je ne vais pas entrer dans les détails maintenant. Vous pouvez en parler avec les experts. Tout cela est assez clair. Simplement, ce que nous voyons aujourd'hui est un nouvel épisode de confrontation politique en Ukraine, et les amendements à la Constitution ne sont utilisés que comme prétexte pour intensifier la bataille politique pour le pouvoir.

    Question : Que pensez-vous qui va se passer d'ici là ?

    Vladimir Poutine : Cela ne dépendra pas de nous mais de l'Ukraine elle-même, du peuple ukrainien et de combien de temps ils sont prêts à s'accommoder de cette bacchanale. Je l'ai déjà dit, le fait que l'Ukraine a été placée sous la gouvernance d'étrangers venus de l'extérieur qui détiennent tous les postes clés dans le gouvernement et maintenant en plus dans des régions clés est je pense, une insulte de trop vis-à-vis du peuple ukrainien.

    N'y a-t-il vraiment aucun gestionnaire décent, honnête et compétent en Ukraine ? Bien sûr qu'il y en a. Je le répète ; cela ne dépend pas de nous. La façon dont les événements se développent en Ukraine dépendent de l'Ukraine elle-même et du peuple ukrainien.

    Crise de l'immigration en Union européenne

    Question : Au cours des derniers jours, la crise des réfugiés a atteint un point critique en Europe. La situation est très tendue. Quelle est votre appréciation de cette situation, pourquoi pensez-vous qu'elle a lieu ? Que pensez-vous qu'il va se passer ensuite ?

    Vladimir Poutine: Nous avons parlé de cela à de nombreuses reprises depuis longtemps. Je crois que cette crise était absolument prévue. Si vous vous souvenez, ou le recherchez dans vos archives, nous en Russie, - votre serviteur en particulier -, avons déclaré depuis quelques années que nous courrions vers des problèmes à grande échelle si nos partenaires occidentaux continuaient avec leur politique étrangère erronée, de laquelle je me suis toujours inquiété, en particulier dans les régions musulmanes, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord - c'est la politique qu'ils mènent effectivement actuellement encore.
    Quelle est cette politique ? Celle d'imposer leurs normes sans prendre en considération l'Histoire, la religion, la culture ou les caractéristiques nationales de ces régions. Ceci est, particulièrement, la politique menée par nos partenaires américains; l'Europe suit aveuglément son leadership, docile à respecter ses engagements de soi-disant alliée, et par conséquens elle en porte le poids.
    Ensemble, et je tiens à souligner ce mot, ensemble, nous devons lutter contre le terrorisme et les extrémismes de toutes natures, principalement dans les pays en difficulté. Je suis surpris de voir certains médias américains critiquer l'Europe pour son excessive dureté, comme on dit, envers les migrants. Cependant, les États-Unis n'ont pas à faire face à un tel afflux de migrants, tandis que l'Europe, après avoir suivi aveuglément les instructions de l'Amérique est en train de porter le poids de la crise.

    Je ne dis pas cela pour dire combien nous sommes intelligents et combien myopes sont nos partenaires, ou pour plaire à quiconque; nous avons simplement besoin de considérer ce qu'il faut faire maintenant. Que faut-il faire ? La réponse est très simple.

    (suite en dessous:)

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  7. Tout d'abord, ensemble, et je tiens à souligner ce mot, ensemble, nous devons lutter contre le terrorisme et les extrémismes de toutes sortes, principalement dans les pays à problèmes, pour résoudre ce problème - avant que toute amélioration devienne impossible. Comment pouvons-nous faire quelques progrès dans les régions contrôlées par l'État islamique en l'état actuel ? C'est impossible! Les gens fuient ces régions, ils en tuent des centaines de milliers, ils font sauter des monuments culturels, brûlent les gens vivants ou les noient, leur coupent la tête. Comment peut-on y vivre ? Bien sûr, les gens fuient.

    Premièrement, nous devons lutter efficacement contre le terrorisme et l'extrémisme ensemble.

    Deuxièmement, nous devons rétablir l'économie de ces pays et leur sphère sociale. Mais Seulement en montrant du respect pour l'Histoire, les traditions et la religion de ces peuples et pays, ainsi nous pourrons restaurer leur souveraineté et leur fournir un soutien économique et politique à grande échelle.

    Si nous unissons nos efforts dans tous ces domaines, nous allons avoir des résultats positifs. Si nous agissons séparément et continuons à discuter entre nous sur certains principes et procédures, sur certains territoires à propos de la démocratie, cela va nous faire entrer dans une impasse plus grande encore. Cependant, je veux espérer un développement positif en conjuguant nos efforts avec ceux de tous nos partenaires.

    Question : Monsieur le Président, Pourriez-vous préciser une chose à l'égard de l'État islamique, parce que la Russie a parlé de la nécessité de créer une coalition politique, et les États-Unis ont exhorté à la même chose. Il n'y a pas d'accord sur la Syrie, par exemple, et ainsi de suite. Comment voyez-vous la création d'une telle coalition ?

    Vladimir Poutine : Nous prenons des mesures spécifiques, et nous le faisons publiquement. Si vous voulez en connaître les détails, je peux vous expliquer une fois de plus. Il est vrai que nous voulons créer une coalition internationale pour combattre le terrorisme et l'extrémisme. Dans cet objectif, nous organisons des consultations avec nos partenaires américains ; personnellement, j'ai discuté au téléphone avec le président des États-indiqué, M. Obama, et j'ai également discuté avec le président de la Turquie, les dirigeants d'Arabie saoudite, avec le roi de Jordanie, le président d'Égypte et d'autres partenaires. Nos agences militaires sont en contact étroit, à tel point que récemment les chefs des états-majors des pays voisins de ces conflits se sont rencontrés à Moscou.

    Nous continuons nos efforts politiques visant à créer une certaine coalition. Si, aujourd'hui, il est impossible d'organiser le travail en commun directement « sur le champ de bataille », pour ainsi dire, impliquant tous les pays intéressés dans la lutte contre le terrorisme, nous devrions au moins atteindre une certaine coordination entre eux. Nous essayons de faire certains efforts dans ce sens. Nos premières étapes vous montrent que, globalement, cela semble possible.

    (suite en dessous:)

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  8. Nous savons qu'il y a des positions différentes sur le devenir de la Syrie. A ce propos : les gens ne fuient pas le régime de Bachar el-Assad - ils fuient l'Etat islamique qui a occupé de vastes territoires en Syrie et en Irak et y a commis des atrocités. Voilà ce que les gens sont en train de fuir. Toutefois, nous comprenons que le changement politique est également nécessaire. Nous travaillons également avec nos partenaires en Syrie.

    Il est vrai que nous voulons créer une coalition internationale pour combattre le terrorisme et l'extrémisme.

    Il y a une compréhension globale que ces efforts conjoints pour lutter contre le terrorisme doivent aller de pair avec certains processus politiques à l'intérieur de la Syrie. Le président syrien est d'accord avec cela aussi, y compris, par exemple, la tenue d'élections législatives anticipées et la recherche de liens avec les prétendues «oppositions modérées » et leur implication dans la gestion du pays. Ceci est essentiellement une question de développement interne de la Syrie. Nous n'avons rien à imposer, mais nous sommes prêts à aider à un dialogue interne syrien.

    Question : Monsieur le Président, juste pour clarifier : la Russie est-elle prête à participer à une opération militaire si la coalition ne se forme pas ? Particulièrement depuis que nous avons une certaine responsabilité morale - puisqu'il y a des Russes au sein de l'Etat islamique. Certains médias disent déjà que notre aviation est en cours de déploiement dans la région.

    Vladimir Poutine : Vous savez, cela est une question distincte et nous observons ce qui est en train de se passer. Ainsi, l'aviation américaine fait certaines actions. Jusqu'à présent, leur efficacité n'a pas été très élevée, mais il est trop tôt pour dire que nous sommes prêts à le faire. Toutefois, nous fournissons à la Syrie un important soutien de toute façon, à la fois dans l'équipement et dans l'armement et la formation du personnel.

    Nous avons signé d'importants contrats avec la Syrie il y a quelques 5-7 ans, et nous nous conformons à les appliquer dans leur intégralité. Par conséquent, nous envisageons différents scénarios, mais jusqu'ici, ce que vous avez mentionné ne figure pas sur notre ordre du jour. Cependant, nous allons continuer nos consultations à la fois avec nos amis de la Syrie et avec les pays de la région. Je vous ai déjà dit que nous sommes en consultations et dialogue sur ce sujet avec les différentes parties. Merci beaucoup.

    http://fr.sott.net/article/26350-Conference-de-presse-de-Poutine-Ukraine-submersion-migratoire-de-l-UE-et-Syrie

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  9. Pourquoi jours de la nouvelle voiture bulle est comptée


    Soumis par Tyler Durden le 06/09/2015 21:00 -0400



    Ayant récemment détaillé pire cauchemar les constructeurs d'automobiles - nouvelle voiture inventaires - approvisionnement en pleine progression; au milieu de la baisse rapide croissance dans le monde entier (EM et la Chine) - demande ;

    Constructeurs automobiles juste déclenché une vague de production massive d'entretenir son rêve...

    - voir graphique sur site -

    Avec des stocks à des niveaux records (ayant augmenté de 61 mois consécutifs)...

    - voir graphique sur site -

    Qui serait parfait si les ventes étaient en jonglant - mais ils ne sont pas...

    - voir graphique sur site -

    Il semble que la bulle dans les ventes de voitures neuves est sur le point d'être écrasé par encore une autre conséquence involontaire du bas de la Fed pour expérimenter plus.
    Edmunds.com estime qu'environ 28 % des nouveaux véhicules sera louée cette année - une allure presque record...

    - voir graphique sur site -

    Ce qui signifie...

    13,4 millions de véhicules (loué au cours des 3 dernières années dans les Etats-Unis) - comparativement à seulement 7 millions dans les trois années à 2011 - sont sur étincelle un excédent massif de haute qualité de voiture d'occasion .

    - voir graphique sur site -

    Idéal pour les consommateurs (s'il y a une gauche qui n'ont pas loué une voiture dans les 3 dernières années) mais l'écrasement des marges des constructeurs d'automobiles comme prix de luxe soins utilisés sont tumbling à l'instar des résidus ont bondi.

    Comme l'explique le Wall Street Journal,

    Consommateurs axées sur le montant de leurs mensualités ont profité des taux d'intérêt faibles à parfois acheter une voiture plus qu'ils ne pourraient autrement en mesure de payer.

    - voir graphique sur site -

    Mais, mis à part le coût réel du véhicule, le taux de n'est qu'une partie de l'équation de calcul des mensualités. L'autre est ce que constructeurs automobiles et leurs bras financement pense que la valeur résiduelle sera une fois un bail type de 36 mois jusqu'à


    Ceux valeurs ont fait un bond après la crise financière.

    Maintenant, un excès de fin du bail de véhicules commence à baisser les prix, en particulier pour les véhicules coûteux.

    Trois ans, occasion voiture de luxe prix ont chuté de près de 7 % par rapport à il y a un an, selon les données de Edmunds.com. Ainsi que des augmentations du taux d'intérêt Fed, qui rendraient baux moins d'une bonne affaire et occasions plus attrayant.

    Cette odeur de voiture neuve peut impliquer bientôt plus d'une folie.

    Et si vous comptez sur un assouplissement plus de la PBOC... Il a fait absolument aucune différence que ce soit dans les 10 dernières années...

    (suite en dessous:)

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  10. - voir graphique sur site -

    Et tout cela sur le fait que le marché de prêts subprime auto est défini pour s'effondrer...

    Nous allons avoir besoin d'un plan de sauvetage de biggerer... ou les explosions de plante plus chimiques...

    Pour résumer...

    • La seule façon que les constructeurs automobiles font des ventes est en abaissant les normes de crédit à des niveaux vraiment abrutissant et augmentant les résidus pour rendre l'écrou mensuel abordable... qui ne peut pas durer.
    • L'effondrement économique de la Chine a écrasé les prévisions pour les constructeurs automobiles.
    • Inventaires de voitures neuves sont déjà à des niveaux records.
    • Inventaires des véhicules usagés de qualité luxe est à des niveaux records et les prix sont tumbling.
    • Et juillet j'ai vu un vague massive de producton.
    • Ce qui vient après est simple... un ralentissement de la production - il suffit de demander l'Atlanta féd.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-06/why-new-car-bubbles-days-are-numbered

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  11. A voir absolument !

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html

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  12. Le cas de proscription Cash

    Soumis par Tyler Durden le 06/09/2015 14:15 -0400
    Soumis par Bill Bonner via Bonner & partenaires (annoté par intérim-Man Pater Tenebrarum) ,

    Perdre confiance
    Septembre est là. Comme prévu, la volatilité des marchés s'accroît. La grande guerre Zombie s'intensifie. Et les investisseurs ont faire peur.

    Maintenant ils veulent même en finir avec le scrip de l'État – parce que cela pourrait aider à vous évader les déprédations des banquiers centraux madcap.

    Oui, les investisseurs perdent confiance... ils sont probablement perdre confiance dans les dirigeants d'entreprise, par exemple. Qui veut des actions propres dans les sociétés dirigées par des numskulls qui racheter partage dans leur entreprise à des prix records juste avant un grand bradage ?

    Le DJIA encore yoyo – « investisseurs » (nous utilisons le terme lâchement) revint jouer mercredi déjà, via StockCharts, cliquez pour agrandir.

    Ou peut-être qu'ils vous demandez si $ 200 billions le monde total des dettes (environ 300 % de la production totale) éventuellement peut être remboursé ? Ou peut-être ils commencez à puzzle politiques comment scammy et frauduleux de la Fed sont.

    Mais attention ! Sous les moqueries de ces deux dernières semaines, s'attendre à une forte contre-attaque de zombies et de leurs alliés. Un gouverneur de la Fed va se lèveront – peut-être même Janet Yellen – et nous disent ne pas s'inquiéter d'un retour à des taux d'intérêt plus « normal » n'importe quand bientôt.

    Nous sommes beaucoup trop loin dans l'étrange d'obtenir n'importe où près normale maintenant. Et les compères de Wall Street sera sûrement dans les nouvelles expliquant comment les marchés deviennent excessivement craintifs de temps en temps. Ils diront investisseurs qu'il est temps de chasse aux bonnes affaires. Dow 25 000 ! Pourquoi pas?

    Et ils ont peut-être raison. Il a forcément une inflation purge en attente quelque part avant. Les stocks vont s'envoler. Mais pas avant qu'ils crash.

    Une autre retraite « relique barbare »
    En attendant, regardez votre arrière : il y a une grave contre-attaque à venir. Ce sera une attaque sur nos lignes d'approvisionnement. Les copains et le gouvernement fédéral tentera de couper nos finances et notre ligne de retraite, nous piéger entre l'enclume de la déflation du marché et le marteau de l'inflation de la Fed. Il ne sortira aucun échappatoire, aucun moyen.

    La semaine dernière, l'influent journal Financial Times a publié un article appelant à l'abolition de l'argent. Il a été intitulé « The case for sa retraite une autre « relique barbare. » » Et il a affirmé que trésorerie cause « beaucoup de distorsion dans le système économique ». Pouvez-vous croire ? Trésorerie provoque des distorsions économiques ! De la FT:

    (suite en dessous:)

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  13. "L'existence d'espèces – un titre au porteur avec un taux d'intérêt zéro – limite capacité des banques centrales pour stimuler une économie déprimée. Le souci est que les gens vont changer leurs dépôts d'argent si une banque centrale se déplace tarifs en territoire négatif. »

    Il a également répété que le familier prétend que cash est également quel terrorisme finances, évasion fiscale et le marché noir. Trésorerie rendant illégale, il est dit, « rendrait la vie plus facile pour un gouvernement mis sur serrant le secteur informel de l'existence. »

    Le FT a omis de mentionner qu'il permettra plus facilement de vous faire obéir, qui fumeraient moins sur les coûts de publicité subliminale.

    Vous voyez où cela se passe, pas vous, cher lecteur ? Si le gouvernement fédéral est en mesure d'interdire l'argent, ils vous aura totalement sous leur contrôle. Vous investirez lorsqu'ils veulent vous faire investir. Vous achèterez quand et ce qu'ils veulent vous faire acheter.

    Vous serez forcé de garder votre argent dans une banque, une banque contrôlée, bien sûr, par le gouvernement fédéral. Vous direz que vous avez « argent en banque », mais il ne sera pas vrai. Tout ce que vous avez est un crédit contre la Banque. (Dépôts bancaires sont rien de plus que les reconnaissances de dette auprès de votre banque vous.)

    Une taxe sur vos dépôts bancaires
    Comme il est maintenant, votre banque aura peu d'argent part dans ses coffres, mais pas presque assez pour satisfaire toutes les revendications contre elle. Si cette nouvelle attaque réussit, par la Loi, il n'aura aucun accès à tout pour argent comptant. Et ni la volonté vous...

    Vous serez complètement entouré. Si le gouvernement fédéral voulez vous forcer à dépenser... ou investir... votre argent, ils imposeront tout simplement un « taux d'intérêt négatif ». Ils le feront en tout simplement imposant une taxe ou impôt, sur les dépôts supérieurs au taux d'intérêt que vous recevez sur votre épargne.

    En 2001 en Argentine, ils ont fermé les banques. Quand ils ont rouvert, des avoirs en dollars avaient été convertis en pesos, avec une perte d'environ les deux-tiers ! En 2013 à Chypre, ils buter grands comptes avec une taxe de 50 % pour aider à recapitaliser les banques.

    En 2001, les citoyens de l'Argentine a rempli les rues par milliers pour protester quand ils ont réalisé qu'ils étaient sur le point d'être volé pour sauver les banques – en vain.

    Et aux États-Unis, JPMorgan Chase a récemment envoyé une lettre à ses grands déposants en leur disant que, le 1er mai, il aurait commencer à facturer ce qu'il appelle une "taxe d'utilisation de bilan" de 1 % par an. Cela a poussé le net taux d'intérêt ces déposants gagnaient en territoire négatif.

    Comme les stocks diminuent, vous pouvez vous attendre à plus de gens à vouloir se tenir au comptant. Si les stocks baissent de 10 %, la « coût d'opportunité » de la tenue de caisse descend du même montant.

    (suite en dessous:)

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  14. Les gens voudront détenir des liquidités. Mais si cette manoeuvre d'encerclement fonctionne, vous serez incapable de mettre la main sur elle. Tout ce que vous avez est une réclamation contre certaines de la plupart des débiteurs insolvables dans l'ensemble de l'économie.

    Coupé de trésorerie
    En 2008, presque chaque grande banque américaine était sur le bord de la faillite. Mais si le gouvernement fédéral parvient à nous couper de la trésorerie, qui ne se reproduira jamais. Parce que les banques vont juste nous whack – avec la pleine approbation de la Fed, les copains au Congrès et les zombies dans le monde – pour se rendre ensemble à nouveau.

    Déjà, plusieurs lecteurs du Journal ont signalé qu'ils ont eu des difficultés à obtenir des espèces de leurs propres comptes. (Vous pouvez lire le plus récent compte en sac postal de vendredi dernier.

    Banques de décrochage. Elles imposent des limites de retrait. Ils veulent vous faire venir en personne, etc., etc.. En ce moment, l'impossibilité d'obtenir rapidement des liquidités est simplement une nuisance. Mais attendez... Il ne sera pas long avant de nouvelles initiatives sont annoncées à « stimuler la demande ».

    Peut-être les taux d'intérêt négatifs va le faire. Peut-être une taxe plus générale. Mais tôt ou tard, la prochaine crise de crédit est durement touchés...

    Considérez-vous, libéré sous caution, citoyen !

    Ensuite, votre incapacité à obtenir de l'argent sera plus qu'une nuisance. Ce sera un coup mortel. Vous sera verrouillé sur un compte bancaire auprès d'une institution en faillite. Et le gouvernement fédéral et leurs copains de banque vous dira quand et comment vous pouvez avoir accès à votre propre argent.

    Le gouvernement fédéral va annoncer un « jour férié ». Ils peuvent interdire les transferts d'or vendeurs ou des comptes en devises étrangères. Ou peut-être il faudra juste temps – tandis que votre argent perd rapidement – de valeur pour sortir votre argent. Si cette nouvelle campagne réussit, il sera presque impossible de se protéger.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-09-06/case-outlawing-cash

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    1. Cette idée en l'air ne va pas y rester longtemps ! Et même si la Chine serait prête à acceuillir 'tous les riches du monde' avec 'copies-villes-occidentales' et billets de banques à l'appui, il y en a encore aux États-Unis comme en Europe (malheureusement) qui se 'promettent de se venger' ! (Aïe-aïe-aïe !) aux... prochaines élections !!! HAHAHAHAHAHAHA !

      Ces 'riches' (en argent pas en neurones) n'auront plus que des biens immobiliers et des véhicules de fonctions visés par des taxes aussi monstrueuses qu'absurdes leurs montrant qu'ils n'ont réellement plus que leur 'montant de richesse' en banques ! et, (comme un malheur n'arrive jamais seul ?) non-seulement cet 'argent en banques' sera sans intérêt, il aura en plus: des taxes ! ('frais bancaires' ! Hahahahaha !).

      Si bien qu'en peu de temps TOUS les riches seront pauvres ! TOUS ! (Est-ce vous qui espériez un jour devenir riche ? Hahahaha ! Jouez-vous encore tous les dimanches au tiercé ? au loto ? hahahaha !).

      Comme je l'ai dit et le répète: Vendez tout ! (immobiliers, voitures, meubles, etc), achetez-vous un bateau et METTEZ LES VOILES !

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  15. Devons nous changer le nom « Labor Day » to « Robot Day » ?

    Dimanche 6 septembre 2015 20:26

    Bonne fête du travail !

    Voici la question de la journée, ce week-end de la fête du travail : une économie de robotique fera loin avec travail humain ?

    C'est ce que Barron suggère dans son commentaire éditorial paroi payante : The End of Labor ?
    Le message est clair, même si elle est assurée par une voix qui sonne presque comme mécanique comme le processus il décrit: « l'automatisation est inévitable. C'est un outil pour produire l'abondance pour peu d'effort. Nous devons commencer à penser maintenant à ce qu'il faut faire lorsque de larges couches de la population sont inaptes au travail sans faute de leur propre. Que faire dans un futur où, pour la plupart des travaux, les humains peuvent ne pas appliquer. »
    C'est le seul clip voir non-abonnés.

    John Reader me ping avec cela à l'intérieur de la citation "l'Amérique va devoir changer le nom de fête du travail à jour Robot — au moins jusqu'à ce que l'intelligence artificielle se rattrape, et robots devenus citoyens."

    Doom pour les travailleurs ?

    PBS NewsHour demande allégeant robots sort doom pour les travailleurs américains?
    L'assaut de l'automatisation qui remplace des travailleurs humains--des caddies de golf aux guichetiers de banque--peut être nous mettre sur un chemin d'accès à une crise humanitaire, dit Jerry Kaplan, auteur de « Les êtres humains peuvent ne pas appliquer. » Comme la technologie se développe et emplois deviennent obsolètes, la pauvreté et l'inégalité des revenus pourraient suivre pour des millions d'américains. Rapports de Paul Solman correspondants économique.
    Mon point de vue

    Automation a toujours été avec nous. Nous sommes passés de chevaux aux voitures. Bougies à l'électricité. Opérateurs de téléphonie sans fil.

    Emplois ont jamais disparu. Et du niveau de vie a augmenté à chaque étape de la voie.

    Est-ce différent maintenant ? Dans l'affirmative, pourquoi ?

    http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/2015/09/should-we-change-name-labor-day-to.html

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    1. Si nous nous avons des machines à café ou à laver, des voitures et autres robots qui 'travaillent pour nous', les fonctionnaires eux aussi ont les leurs pour leur payer leurs salaires, vacances dorées en hôtels 4 étoiles et retraite sous les cocotiers !

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