- ENTREE de SECOURS -



jeudi 22 janvier 2015

Ukraine/Novorossia : SITREP de l'aéroport - Donetsk 20.01.2015

http://gaideclin.blogspot.fr/2015/01/ukrainenovorossia-sitrep-de-laeroport.html

13 commentaires:

  1. Mensonge des médias : la manifestation de Grozny n'était pas anti-Charlie !

    mardi 20 janvier 2015

    Contrairement a ce que racontent les médias français (bis), la manifestation de Grozny qui a rassemblé près d'un million de tchétchènes n'était pas dirigée contre la France ni même contre "Charlie", aucune banderole anti-Charlie n'y était visible et personne n'y a brulé de drapeau français. C'était au contraire une manifestation pour défendre les valeurs de l'Islam et contre la violence et le terrorisme, dont les médias oublient bien entendu de rappeler que la Tchétchénie est victime, tout comme la France...

    http://gaideclin.blogspot.fr/2015/01/mensonge-des-medias-la-manifestation-de.html

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  2. 'Les politiciens européens ont eu 3 ans pour mener des réformes économiques... Malheureusement, ils n'ont rien fait'

    par Audrey Duperron
    21 janv. 2015

    Les politiciens européens ont eu trois ans pour mettre en œuvre des réformes économiques. Malheureusement, ils n'ont rien fait. Ce constat, c’est celui qu’Axel Weber, l’ex-président de la Bundesbank, maintenant président du Conseil de surveillance de la banque suisse UBS, a formulé lors du World Economic Forum de Davos, en Suisse. Weber a quitté la BCE en 2011, en raison de son désaccord avec la politique monétaire accommodante de la banque.

    Il a expliqué que la BCE était venue plusieurs fois au secours de la zone euro avec des moyens non conventionnels depuis le début de la crise grecque en 2011, afin de calmer les marchés, mais que malgré cela, la croissance demeurait faible, et le chômage, toujours aussi élevé. De plus, maintenant, la zone euro est confrontée au spectre de la déflation, ce qui contraint la BCE à envisager un programme de rachat massif d’obligations souveraines, dont elle pourrait annoncer le lancement dès demain.

    Le vrai problème, c’est que la BCE a continuellement acheté du temps pour permettre aux politiciens européens de régler les problèmes, mais ils ne l’ont pas fait », a déclaré Weber. « Maintenant, l'Europe n’est pas de retour mais les problèmes le sont. Dorénavant, ces réformes devront être menées sous la surveillance des marchés financiers internationaux. L’Europe a perdu une bonne opportunité de faire toutes les choses nécessaires qu’elle aurait pu faire dans un environnement beaucoup plus favorable. La BCE ne peut que contribuer partiellement à la solution en Europe. A mon avis, elle ne devrait pas trop en faire, parce que plus elle en fait, moins les gouvernements sont incités à faire des efforts. Et le problème, c’est que si vous continuez à acheter du temps et que ce temps n’est pas utilisé pour mener les réformes, alors vous devez vous poser la question si poursuivre dans cette voie est une bonne recette ? ».

    Weber a également salué la décision de la Banque nationale suisse de désindexer le franc suisse de l'euro. « Nous savions que c’était une mesure temporaire et qu’elle finirait brusquement ». Mais il a estimé que même si les Suisses étaient confrontés à une période difficile, ils étaient assez forts pour la surmonter.

    http://www.express.be/business/fr/economy/les-politiciens-europeens-ont-eu-3-ans-pour-mener-des-reformes-conomiques-malheureusement-ils-nont-rien-fait/210760.htm

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  3. Voici l’Etat africain où le prix d’une grenade est le même que celui d’une bouteille de Coca-Cola


    par Arnaud Lefebvre
    22 janv. 2015

    La République centrafricaine peut être considérée comme un microcosme du commerce international d’armes, écrit Andrew Harding de la BBC. Les grenades présentes sur le marché de ce pays proviennent de Chine ou de Bulgarie, les mortiers sont soudanais, les lance-roquettes sont iraniens, les balles sont britanniques, belges ou tchèque et les tours de tir sont espagnoles ou camerounaises, indique un rapport détaillé sur le commerce des armes en RCA.

    En 2013, lorsque ces armes sont arrivées dans les mains des membres de la Seleka, une coalition religieuse musulmane au pouvoir en RCA, une guerre civile a éclaté provoquant le déplacement de centaines de milliers de civils.

    « Les grenades à main de type 82-2 sont parmi les articles militaires les plus répandus en RCA », précise le rapport Conflict Armament Research group, un organisme de l’Union européenne. Selon le rapport, elles sont si répandues sur le marché que leur prix d’achat varie entre 0.5 et 1 dollar l’unité, soit un prix moins élevé qu’une bouteille de Coca-Cola. De petite taille et facile à dissimuler, elles ont un impact conséquent sur la sécurité et sont responsables de nombreux décès et de blessures dans les populations civiles, à Bangui et partout dans le pays tout au long de l’année dernière.

    Les forces de la Seleka de la capitale possèdent ces grenades ainsi que les mercenaires étrangers à plusieurs endroits. Elles semblent avoir été introduites en RCA par plusieurs Etats voisins comme le Soudan. Leur fabrication daterait de 2006 et il semble qu’elles aient été destinées dans un premier temps au Népal à partir de la Chine.

    Dans plusieurs cas, des munitions chinoises et iraniennes présentes en RCA semblent avoir transités depuis le Soudan. Pour la Chine, ce trafic constituerait une violation des conditions générales d'utilisation entre les deux pays. L’armée népalaise affirme n’avoir jamais utilisé ce type de grenades. .


    « Peu importe d’où viennent les armes, le résultat est clair : le Seleka avec sa prise de pouvoir a inondé une région déjà remplie d’armes. Ses membres ont commis de graves violations des droits de l’homme incluant des assassinats de femmes et d’enfants », a déclaré Lewis Mudge de Human Rights Watch.

    http://www.express.be/business/fr/economy/voici-letat-africain-ou-le-prix-dune-grenade-est-le-meme-que-celui-dune-bouteille-de-coca-cola/210794.htm

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  4. Comment des investisseurs ont perdu des millions pour un haricot que personne n'aime sauf les bœufs

    par Arnaud Lefebvre
    22 janv. 2015


    Le guar, une gomme extraite de la graine de la légumineuse Cyamopsis tetragonoloba, utilisée dans l’industrie textile, papetière et agroalimentaire, a complètement perdu sa valeur. Ce haricot était auparavant cultivé exclusivement en Inde en tant que nourriture pour le bétail jusqu'à ce que l'industrie en plein essor du gaz de schiste aux Etats-Unis découvre ses vertus lors du forage de puits. Ainsi, le guar est subitement devenu le légume le plus cher, écrit le magazine en ligne Quartz. Mais pour un temps seulement.

    En 2012, une tonne de gomme de guar valait 11.135 dollars. De nos jours, son prix n’est plus que de 186 dollars. D’une part, le guar a commencé à voir sa valeur diminuer car son essor a créé un excédent. Ce déclin se doit aussi en partie à la baisse de 60% des prix du pétrole de schiste constatée depuis juin dernier. Durant le boom du guar, des milliers de paysans indiens avaient vu leurs revenus augmenter sensiblement. L'entreprise texane West Texas Guar avait pensé avoir découvert un créneau idéal et avait attiré des centaines d’agriculteurs avec des promesses de richesse. Entre 2010 et 2012, les prix pour une tonne de guar avaient explosé car les producteurs de gaz américains s’étaient rués sur tous les stocks.

    Qu’est-ce que le guar ?

    Il s’agit d’un type de haricot long. Il est nécessaire d’enlever la peau afin de pouvoir récolter les graines en son sein et ainsi obtenir cette gomme si prisée auparavant. Outre le fait qu’il servait d’aliment pour les vaches indiennes, le guar était encore il y a peu utilisé en tant qu’agent émulsifiant dans l'industrie agroalimentaire.

    L'industrie de production du papier et l'industrie textile ont aussi utilisé cette gomme. Cependant, c'est grâce à l'industrie de la fracturation hydraulique que la demande de guar a fortement augmenté. Lors de l'extraction du gaz de schiste ou de pétrole, du liquide à haute pression est injecté dans les puits. La gomme de guar permet de rendre ce liquide plus épais, ce qui facilite le pompage du pétrole et du gaz.

    Mais ces prix élevés et l'argent supplémentaire des investisseurs ont eu pour conséquence d’engendrer une augmentation de la production. La hausse de l'offre, combinée à la baisse récente des prix du pétrole, a amené une chute des prix du guar, aussi rapide que la hausse initiale.

    Actuellement, une tonne de guar vaut 186 dollars, un sixième du prix de la belle époque, un montant à peine plus élevé que son prix de la période pré-boom. Le revenu des paysans indiens est maintenant le même que celui de l’époque précèdent l’essor de la gomme. West Texas Guar a fait faillite et les agriculteurs texans attendent encore la fortune promise. Entretemps, le guar est redevenu un haricot que seuls les bœufs apprécient.

    http://www.express.be/business/fr/economy/comment-des-investisseurs-ont-perdu-des-millions-pour-un-haricot-que-personne-naime-sauf-les-boeufs/210791.htm

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    1. de $11,135/kg à $0,186/kg (9.824,29 €/t à 164 €/t)

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  5. Le rêve de Draghi devient réalité et l'euro chute


    par Audrey Duperron
    22 janv. 2015

    La parité de l’euro est descendue en dessous de 1,15 dollar et a atteint son niveau le plus bas en 11 ans après que la Banque Centrale européenne (BCE) a annoncé ce jeudi le lancement d’un programme de rachat mensuel de 60 milliards d'euros d’obligations souveraines jusqu’à la fin du mois de septembre 2016.

    Cet argent devrait inévitablement donner des sources de financement aux banques. Elles pourront prêter davantage aux particuliers et aux entreprises, ce qui devrait accroître les dépenses, et provoquer une relance de l'économie. L'inflation pourrait encore augmenter.

    Les bourses européennes se sont appréciées à l’annonce de la nouvelle. Les actions américaines ont d’abord chuté, puis elles ont rebondi.

    Le programme d’assouplissement quantitatif (QE) tant attendu de la BCE est moins radical que celui que les États-Unis ont mené et il est assorti de certaines conditions.

    Draghi a admis qu'un certain nombre de pays s’étaient prononcés contre le programme. L’Allemagne et les Pays-Bas se sont montrés très critiques au cours des dernières semaines.

    Dans une interview avec De Standaard, le ministre belge des Finances, Johan Van Overtveldt (N-VA), a estimé que la politique monétaire de la BCE ne devrait pas « attaquer l’épargne en silence ». Selon le ministre, l'économie européenne souffre principalement d’un problème de confiance en l’avenir des particuliers et des entreprises, et il a déclaré qu’il ne voyait pas comment un QE « pourrait ramener la confiance ».

    http://www.express.be/business/fr/economy/le-reve-de-draghi-devient-realite-et-leuro-chute/210790.htm

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  6. Sept ans plus tard, nous sommes tous encore en vie dans l'ombre de la grande récession

    L'élément cyclique de la nouvelle crise de la zone euro peut carrément être blâmé sur les événements de 2007 à 2009


    Par Allister Heath
    9:19 PM GMT 22 janvier 2015


    Quand seront tous de cette fin ? Nous souffrons encore des retombées de la grande récession et crise financière – politiquement, économiquement et financièrement. Il n'est pas bon faire semblant toute différente. Décision de la Banque centrale européenne à lancer € 60 milliards de dollars de l'assouplissement quantitatif (QE) par mois est simplement une réaction étonnamment tardive par une institution profondément viciée aux événements qui a démarré à sept-et-un-moitié ans.

    Il convient de rappeler que la crise financière a commencé dans sérieux en août 2007 quand BNP Paribas a été obligé de stopper les retraits à certains de ses fonds spéculatifs. Le mois suivant, Northern Rock a souffert une course comme le cauchemar en développement frappé au Royaume-Uni ; Il est finalement nationalisée début 2008. En octobre de la même année, le système financier et l'économie ont été imploser ; Finalement, les banques centrales ont réagi. La BCE n'a aussi, bien sûr, mais il n'est jamais allé aussi loin que les autres, pour diverses raisons politiques et intellectuelles.

    Lorsque des comptes correcte et objective de la crise sont enfin rédigés par les historiens de l'économie dans les décennies à venir, ils seront particulièrement étonnés par le fait qu'il a fallu si longtemps pour ce qui est censé pour être une des plus importantes banques de centrales du monde pour commencer à faire son travail correctement. Ils seront sans doute noter que les leçons des années 1930 – comme décrit brillamment par Milton Friedman et Anna J Schwartz dans une histoire monétaire des États-Unis – ont été pas appris correctement. Les autorités européennes n'a en particulier pas de saisir pleinement l'ampleur du choc côté demande provoqué par la compression du système bancaire, une grande partie de celui-ci nécessaire mais poussé à travers de façon bâclée et irrationnelle de régulateurs de mauvaise qualité.

    Beaucoup a changé dans les économies occidentales depuis 2007-09, bien sûr, mais pas assez. L'économie britannique a rebondi, mais nos propres taux d'intérêt sont encore au juste 0.5pc et tout le paysage idéologique et culturel s'est déplacé en permanence. Le banquier extrême-bashing est terminée, mais l'héritage du buste mondial continue de jeter son ombre sur la campagne électorale.

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  7. Normalement, nous devrions avoir vu un durcissement majeur dans la politique monétaire dans les économies occidentales maintenant. Au lieu de cela, ils restent en général en mode crise. Les derniers hawks restants ont temporairement renoncé à la lutte sur le Comité de politique monétaire du Royaume-Uni ; et les banques centrales du Canada, Norvège, Inde, Danemark (y compris hier encore), Suède et Suisse qui ont toutes réduit leurs taux d'intérêt depuis le début de décembre. Il s'agit d'une situation tout à fait remarquable.

    Comme le souligne le Capital Economics, nous avons pu voir à desserrer davantage que l'année avancera au Japon (ce qui pourrait accélérer les achats d'actifs), dans les nations qui sont étroitement liés à l'euro (comme le Danemark) et parmi les perdants de l'effondrement de prix des matières premières (par exemple, Norvège, Canada et Australie). Bien sûr, certains pays sont resserrent – y compris la Russie et le Brésil – mais qui sont parce qu'elles souffrent de leurs propres problèmes très spécifiques.

    Il y a plusieurs raisons pour le desserrage généralisées, mais l'héritage de la grande récession reste le plus important d'entre eux presque partout. Autres facteurs moins importants comprennent le ralentissement de la croissance dans les marchés émergents (ce qui n'est pas lié et est l'un des facteurs entraînant une baisse du prix des matières premières et interrompant ainsi l'inflation) et les problèmes structurels continus dans la zone euro.

    Mais l'élément cyclique de crise renouvelée de ce dernier peut carrément être imputé sur les événements de 2007 à 2009 ; banques de la zone euro sont encore licencier et en ajoutant à leur stock de capital, dans de nombreux cas, réduire la disponibilité du crédit. En fait, la réalisation de grands commentateurs que la monnaie unique était structurellement erronée a été seulement déclenchée par le choc cyclique qui a été la crise financière.

    Donc ce que sera la BCE un peu terne étreinte de sa propre version de QE effectivement réaliser ? Pour une réponse, il est préférable de faire appel à des observateurs indépendants qui comprennent vraiment le rôle de l'argent dans l'économie. Tim Congdon, maintenant à l'Université de Buckingham, est un tel expert : il est une des principales voix monétariste au Royaume-Uni depuis les années 1970. Il est aussi un sceptique qui doutent de la viabilité à long terme de la zone euro. Ainsi, il est intéressant de noter qu'il soutient largement la taille de l'emballage. Il croit qu'il va ajouter 2pc à 2.5pc à la croissance annuelle de la masse monétaire (tel que défini par la mesure de M3), et que le taux de croissance de cet agrégat sera 3.5pc à 4pc plus haut qu'il serait autrement dans un an. Augmenter la quantité de monnaie en circulation est le point clé de se livrer à QE, au moins dans une perspective de monétariste ; la liquidité de plus il est ballottement autour, plus les gens et les entreprises ont tendance à dépenser. Congdon est d'avis que la demande globale va être stimulée par 1pc à.5pc, un résultat assez convenable.

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  8. Je suis moins optimiste que Congdon. Les actions de la BCE vont faire quelque chose de bon. Mais ils ne vont pas assez loin dans ses propres termes et évidemment peut guérir ni les contradictions structurelles et institutionnelles inhérentes de la zone euro, ni le fait que beaucoup d'économies européennes sont sclérosées, surréglementée et rigides. En plus d'une politique monétaire plus expansionniste, nous devons voir une révolution sur l'offre à travers le continent.

    D'où toutes de ce congé de Grande-Bretagne ? L'effondrement de la valeur de l'euro est une bonne nouvelle pour les vacanciers ; C'est une mauvaise nouvelle pour les entreprises qui sont en concurrence contre les importations de la zone euro, qui deviendra maintenant beaucoup moins cher. Il est aussi mauvaise nouvelle pour les entreprises ayant des filiales importantes de la zone euro, comme la valeur des profits générés en euros diminuera lorsqu'ils sont traduits en livres sterling. À moyen terme, il va aider l'économie britannique: la dernière chose que nous avons besoin est une véritable nouvelle récession dans la zone euro.

    Plus long terme, rien de tout cela comptera. La zone euro est encore condamnée, mais l'élément déclencheur de sa disparition sera politique: à un certain stade, eurosceptique parties triompher dans l'une des principales nations continentales et exiger un coup d'arrêt à l'intégration.

    En attendant, la grande récession continue d'éclipser et influencer les politiques du monde occidental. C'est une grande honte. Il rend plus difficile pour les entrepreneurs les plus brillants réaliser leur potentiel, et il alimente les distorsions et la mauvaise affectation des ressources à gogo. Nos politiques ne sera pas capables de se déplacer notre retour à la normalité monétaire, fiscale et réglementaire.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11364137/Seven-years-on-we-are-all-still-living-in-the-shadow-of-the-Great-Recession.html

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  9. Blitz QE de Mario Draghi peut sauver l'Europe du Sud, mais au risque de perdre l'Allemagne

    La BCE a mis les allemand consentement politique pour le projet euro en péril


    Par Ambrose Evans-Pritchard, à Davos
    5:18 PM GMT 22 janvier 2015


    Mario Draghi a obtenu un triomphe spectaculaire. Son offrande du titre de 60 milliards € (£45bn) un mois à l'assouplissement quantitatif vient face à la résistance de la terre brûlée de la Bundesbank allemande et du cœur de créancier de l'UEM. Il est finalement assez grand pour faire une différence économique.

    Encore action de choc-et-awe d'aujourd'hui par la Banque centrale européenne (BCE) est livré trois ans plus tard, après que la zone euro a déjà laissée à la dérive dans la déflation et presque dans une récession de la triple immersion.

    Le fait que la BCE est d'avoir à agir sur cette échelle, une période de six ans dans la récupération post-Lehman du monde est en soi un aveu que la politique a été horriblement derrière la courbe. M. Draghi nous a dit l'année dernière à Davos que les avertissements de déflation ont été détruites et que QE était hors de question.

    Ses mains étaient liées, bien sûr, tout ce qu'il vraiment pensé à l'époque. Il ne pourrait pas aller trop loin au-delà de centre de la BCE de gravité. Il devait démontrer que tout cela n'avait pas, et tout le reste n'a alors manqué.

    Il s'agit après six années de chômage de masse qui a ravagé le sud de l'Europe, érodé les compétences professionnelles d'une génération émergeante, laissé des cicatrices de l'hystérésis et abaissé la limite de vitesse de la trajectoire et productivité croissance de ces pays depuis un quart de siècle par conséquent. Il s'agit comme le PIB de la zone euro est toujours languissante bien au-dessous de son sommet de pré-Lehman, avec la production industrielle italienne bas 24pc, retour aux niveaux d'abord atteint en 1980.

    Les achats d'obligations ne commencera pas jusqu'en mars. Ils sont chipés sur les conditions qui peuvent s'avérer nuisibles, voire mortels.

    Adam Posen, une ancienne UK taux et maintenant chef du Peterson Institute de Washington, a déclaré que le blitz QE est grand, mais pas aussi écrasante que certains le pensent. "Il va faire une différence. Il ne va pas être suffisant pour pleinement compenser les forces déflationnistes, sans parler de restaurer la croissance, mais dans la mesure que Draghi a pu faire son ouvert a pris fin est une bonne chose,"dit-il.

    "En fin de compte, € 1,1 billions sur 18 mois, par rapport à la zone euro le PIB est à peu près un tiers de ce que la Banque d'Angleterre ou de la réserve fédérale fait en semblables circonstances et il est susceptible de prendre plus d'argent pour obtenir le même effet en Europe à l'heure actuelle," dit-il.

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  10. Les limites de l'action retardée sont désormais bien connus. Rendements obligataires sont déjà vers le bas pour les dépressions du XIVe siècle. La BCE ne peut pas forcer beaucoup plus faible, bien que M. Draghi a dit joyeusement qu'il allait acheter la dette avec des taux négatifs, ce qui incite les murmures sonores d'alarme de journalistes allemands.

    La décision revient à un acte de défiance politique par un bloc de la majorité au Conseil des gouverneurs - incontestablement le cartel un débiteurs des Etats latins et animés du même esprit - et par conséquent ouvre un tout nouveau chapitre de l'histoire de l'EMU.

    EAPN économie : ce qui est de l'assouplissement quantitatif ?

    Cette révolte Latin est de casser le contrat sacré de l'UEM: que l'Allemagne a renoncé à la Deutsche Mark et légua la Bundesbank s legacy à la BCE à la seule condition qu'Allemagne n'aurait jamais être out-voté sur les questions monétaires d'une importance cruciale.

    Ni l'irritation ne se limite à l'Allemagne. La Tweede Kamer du Parlement néerlandais a été aujourd'hui dans les bras, la scène de fulminaient protestations de l'ensemble de la partie. « Contribuables néerlandais convient pas responsables des dettes de l'Etat italien, » a déclaré le Parti libéral VVD.

    Il y avait une « large majorité sur la nécessité de la gâchette (QE) maintenant, si grande, Qu'on n'a pas besoin de voter », a déclaré M. Draghi. C'est une manière élégante pour décrire une bataille rangée. Sans doute, nous allons apprendre au cours de prochains jours juste combien de faucons ont exprimé leur protestation et avec quelle véhémence.

    Il a ajouté que la décision de 20pc piscine du risque au moyen d'achats collectifs a été Poussée « consensus », la BCE euphémique terme de désaccord. Il s'agit d'un fudge mal à l'aise.

    Il suffit d'irriter ceux aux créanciers qui s'opposent à toute « transferts financiers » par le biais de mutualisation de la dette. Encore dans le même temps, cela signifie que 80pc des obligations seront achetées par les banques centrales nationales à leurs propres risques souverains, consacrant la sorte de « boucle de rétroaction négative » que les dirigeants européens s'est engagé à mettre fin en 2012. C'est un pas en direction de fragmentation.

    À Davos, la chancelière Angela Merkel a déclaré que l'indépendance de la BCE doit être respecté. Pourtant elle a également averti que ses actions doivent être dans des « limites raisonnables » et conformément à la législation de l'UE.

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  11. M. Draghi s'est empressé de nous dire que tout le Conseil de la BCE a signé sur le principe que le QE est un « outil véritable de la politique monétaire au sens juridique ». Cela lui donne une défense contre la poursuite de venir par les professeurs eurosceptique en Cour supérieure de l'Allemagne. Serial plaideur Peter Gauweiler a déjà juré de classer une affaire.

    Pourtant, il s'agit d'un bouclier mince. Décisions antérieures de la Cour ont fait clairement que les questions de l'échelle. C'est le plus grand, plus clairement, il s'infiltre dans la politique fiscale et viole les prérogatives budgétaires du Parlement allemand. Il s'agit d'un sujet sensible. La Cour a statué qu'aucun organe supranational ne peut usurper les pouvoirs budgétaires du Bundestag, pour ce faire serait de déchirer le cœur de la démocratie après la guerre de l'Allemagne. Cette bataille juridique va glisser.

    Laissez-moi être clair : J'ai plaidé pendant au moins trois ans que le bloc Latin doit prendre le contrôle des machines de la BCE et appeler le bluff allemand, et c'est exactement ce qui vient de se passer.

    Ils ont parfait le droit de le faire. Politique de la BCE a été beaucoup trop serrée même pour la zone euro dans son ensemble. Pour eux, il a été désastreuse. La dérive de la déflation - et contractantes PIB nominal - a causé leurs trajectoires de dette à monter vers le haut encore plus vite.

    Pourtant, personne ne devrait avoir aucune illusion sur les conséquences de ce défi. Ce qui est en jeu est le consentement de politique allemand pour le projet de l'euro. Bernd Lucke, le chef du parti anti-euro AfD, appelé de la décision d'aujourd'hui un "acte de désespoir et de l'introduction d'euro-obligations en catimini" par la BCE.

    Les chrétiens sociaux bavarois (CSU) sont également furieux. « Avec cette décision, la BCE a franchi le Rubicon, » a déclaré Angelika Niebler, chef parlementaire du parti. Le ministre des Finances bavarois, Markus Soder, a déclaré: « illimitée des achats d'obligations souveraines menacent de faire tomber l'ensemble du système. »

    Sur la gauche, Die Linke fustigé la décision, qualifiant un cadeau pour les initiés. Il pille les économies des pauvres pour faire les "super riches encore plus riches" par entraîne une hausse des prix des actifs.

    M. Draghi peut-être sauvé l'Italie d'un piège de la dette-déflation dans l'entaille du temps. Il ont peut-être gagné un an ou deux pour l'Europe du Sud récupérer avant les partis populistes radicaux balayent les élites viciés de la scène politique. Mais ce faisant il risque de perdre d'Allemagne.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/comment/11363494/Mario-Draghis-QE-blitz-may-save-southern-Europe-but-at-the-risk-of-losing-Germany.html

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